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Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 22:52


Zelef Harisson
32 ans Américaine Béret vert Island Freedom

i've got a war in my mind


Expliquez ici le caractère actuel de votre personnage.

« Imprévisible », je pense qu'il s'agit du mot parfait pour me désigner. Pas pour me vanter ou mettre en avant quoi que se soit mais il paraît que mon comportement laisse un tout petit peu à désirer. Soyons franc, enfin disons plutôt que moi je suis trop franc. Je n'ai absolument pas tendance à embellir certaines choses et le fait d'être attentionné envers les enfants ne change rien. Il vaut mieux qu'ils se mettent à chialer un bon coup pour devenir plus fort et survivre mieux que leurs prédécesseurs, après tout, leur mentir trop longtemps risque de détruire la confiance et Dieu sait qu'elle est fragile en ces temps d'apocalypse permanent.
On peut également me considéré comme un idiot fini, quelqu'un qui veut jouer aux héros dans un monde où la survie individuelle prime, pourtant je le sais au fond de moi...en restant seul, on vit certe mais sans pouvoir dormir tranquillement, manger la boule au ventre, alerte au moindre bruit sans jamais pouvoir souffler. Autrement dit, c'est ainsi que je le vois, survivre seul, c'est vivre sur un fil prêt à se briser. A mes yeux il est alors essentiel de protéger les gens qui méritent encore de vivre. Une confiance mutuelle, un apport de compétence dans certains domaine...et puis, on a toujours besoin de quelqu'un pour protéger ses arrières non ?

Même si je suis plutôt débrouillard, un bon combattant ou encore une personne réfléchie, je suis également très introvertie. Disons que ma… « formation » ne m'a pas forcément apporté que des choses positives. Est-ce que je peux vraiment considéré ça comme un défaut même par les temps qui cours ? J'en suis partagé. Mais une chose est sur, quelque chose n'a pas changé chez moi, je suis toujours rancunier et bagarreur, enfin surtout lorsqu'il s'agit de protéger un honneur ou une fierté baffoué. Je n'aime pas me faire marcher dessus, je ne suis peut-être qu'un jeunôt mais on à tous vécu des choses atroces avec ces récents événement alors hors de question que j'entende quoi que se soit de "méchant" sur mon passé pigé? Vous le constatez bien assez vite de toute manière comment je le suis...tu veux que je sois ton homme ? Alors prouve ta valeur, montre moi que tu es capable de maintenir notre espèce sur le chemin sans penser à ton plaisir perso et on devrait bien s'entendre…

M'enfin j'ai beau faire le philosophe, j'ai l'impression de me méfier de tout ce qui m'entoure...je vous ai déjà dit plus haut que j'étais introvertie ? Ho ben c'est que j'en ai pas assez parlé. Faut dire que depuis cette éternel enfance je ne faisait quasiment plus confiance à qui que se soit, de peur des moqueries, des représailles ou encore des dangers que cela pouvait m'apporter. Plus d'une fois sa m'a sauvé, comme éviter des punitions étant enfants, survivre face aux rôdeurs seul quelques temps, oui je suis d'accord avec vous, la transition d'exemple n'est peut-être pas la mieux effectué...mais que voulez-vous hein ? Et puis d'un autre côté, rester aussi renfermé sur moi-même m'a fait énormément perdre...ma famille, ceux qui ont essayé de me protéger ou ceux que je voulais protéger. Autant dire que sous mes airs de grand gaillard surentraîné, je ne suis finalement qu'une boule de nerf imprévisible.
Cela me concernant, il faudrait peut-être maintenant me parler de vous non ? Qu'est ce que vous en dites ?


and blood on my hands


Expliquez ici les caractéristiques physiques de votre personnage..


Si nous nous trouvions encore dans notre société moderne, je serai appelé comme beaucoup le dirait, une véritable armoire à glace. Un bon mètre quatre-vingt de haut pour un poids atteignant les 85 kilogrammes, sois une belle bête de muscle et pas bête comme beaucoup pourraient le penser. On a pas que des idiots sans cervelle chez les commandos. Mais oublions ce petit préjugé.
Pour ce qui est de mon faciès, je suis un jeune homme de 32 ans, j'ai un visage assez carré dans l'ensemble ce qui à contre-coeur, je dois l'avouer, est un cliché habituel pour notre carrière. On nous compare presque à des machines à cause de ça alors je vous laisse imaginer le reste. Je possède également des yeux d'une couleur bleu très clair, je les considère aussi bleu que la pureté du ciel mais je m'embarque dans de la poésie inutile. Parcourant la totalité de l'épiderme du bas de mon visage, une courte barbe se forme, pas de quoi piquer comme une barbe à la Logan dans les Xmens mais juste de quoi montrer que je ne suis pas un petit bambin pour autant malgré mon jeune âge. Enfin concernant le reste de mon corps, le plus marquant au premier regard est sans doute la taille de mes biceps qui peuvent paraître surdimensionné pour les simples civils ou encore le reste de mon torse que l'on juge aussi musclé qu'un haltérophile...vous rigolez j'espère...même à côté d'eux je ressemble à une brindille.

Concernant mon look en général il n'y a pas grand-chose à observé. En effet, lors de mes fonctions j'étais effectivement habillé dans un treillis habituel mais en dehors, mon style vestimentaire était déjà plus diversifié. En effet, je pouvais porter des tenues plus strict dans le genre veste de costume, chemise et chaussure ciré avec un jean ou alors comme à mes envies, c'est à dire comme aujours'hui, je suis habillé avec un simple t-shirt blanc, une veste de cuir noir, un jean bleu et de simple basket de ville. Je n'ai pas besoin de quelque chose de très prononcé après tout .

Enfin concernant mon matériel, je ne pense pas avoir pris le mieux, du moins pour ce genre de problème mondial. J'ai surtout pris des choses qui avait une valeur sans doute sentimental à mes yeux. Je ne me sépare jamais de mon Dragunov, toujours muni de son silencieux à son canon, quant au corps-à-corps, je suis accompagné d'une machette tout ce qu'il y a de plus classique. Beaucoup aime le couteau de combat pour sa précision, moi je préfère la machette afin de faire peur à l'ennemi...enfin maintenant mes plus grand ennemi ne ressentirons plus la peur donc plus besoin de s'en soucier.

a storm is coming


Expliquez ici l'histoire de votre personnage avant l'épidémie.

Origines
Je me souviens encore de l'histoire de mon grand-père. Il me racontait l'héritage de notre famille, comment nos ancêtres d'Algérie ont rejoint les Etats-Unis pour arriver au final à notre famille d'aujourd'hui. Mon père, Charles Harisson, fervant patriote et à l'époque seulement secrétaire d'un député du Parlement puis de l'autre Aïska Malek, ma mère, une simple responsable de magasin de vêtement à l'époque. Bien que ces deux-là avaient l'air d'avoir des objectifs différents, ils ont finalement fini ensemble pour vivre une vie heureuse.
Je suis alors né 3 ans après le début de leur relation dans un hôpital de New-York, précisément le 17 Septembre 1986 né de l'amour entre un père et une mère dont les frontières des peuples étaient brisé depuis déjà un bon bout de temps. Ils se vantaient tout deux de pouvoir m'apporter le mieux, une vie paisible et respectable où je pourrai m'épanouir...quel affreux mensonge.

Zelef – 5 ans
Voilà que déjà 5 ans sont passé depuis ma conception et ma naissance...qui aurait cru que le temps passerait si vite, pas moi en tout cas. Je n'avais pas trop à me plaindre les toutes premières années de mon existence, j'étais petit, fragile et innoncent, enfin jusqu'à ce que je sois en âge de pouvoir apprendre correctement quelque chose après savoir lire et écrire. A votre place un enfant est fait pour jouer, découvrir le monde...pas rester cloîtré à un bureau la journée ou presque pour être meilleur que tous les autres. En tout cas c'est de cette manière là que ma mère voyait les choses, mon père quant à lui, débordé par son travail, c'est seulement lorsqu'il rentrait que je pouvais m'amuser un peu. Vous vous rendez-compte ? Déjà à l'âge de 5 ans, je détestais ma mère comme je détesterai un démon. Et bon...faut aussi dire que les choses ne se sont pas amélioré au fur et à mesure que le temps passe.

Zelef – 10 ans
Et me voilà déjà à mes 10 ans, voilà que commence mes années de calvaire et pourtant je n'exagère en rien dans ce que je dis. La relation entre mes parents s'est aggravé, mon père revient de moins en moins à la maison, ma mère est toujours des plus sévère pour que je sois le premier de ma classe. La « pauvre » s'est mise à boire, elle dit vouloir pour moi un meilleur avenir mais ce qu'elle veut surtout est un fils « reconnaissant » qui puisse lui donner du fric lorsqu'elle en a envie oui. N'importe quel enfant peut importe son âge aurait put comprendre ça au premier regard tellement elle empestait la malice, j'en reviens même à apprécier le fait que mon père ne sois pas là pour être contaminé par la bêtise maternelle.
A l'école, sa ne s'améliore pas non plus, je suis certe premier de ma classe mais n'ayant jamais pu me faire d'amis je suis donc devenue rapidement un garçon introvertie qui ne pensais qu'à ses études pour faire plaisir à son idiote et radine de mère. C'est alors qu'un jeune garçon de ma classe vint à ma rencontre malgré tous les dires et moqueries sur ma personne.

« Salut...heu…sa te dérangerait de m'aider...je sais que tu es fort dans notre classe et ya certaines chose que je n'ai pas compris. Ton aide pourrait être utile. Ho au fait, mon prénom à moi c'est Sam, et toi tu t'appelles comment ? »

« Moi...heu...c'est Zelef...et heu, oui je veux bien t'aider. »

J'avais l'air d'un tel idiot, on aurait presque put croire que je vivais dans une grotte sans connaître le moindre humain à l'extérieur. Sans m'en rendre compte je venais de changer ma vie, une simple rencontre allait me changer du tout au tout. Et cela, je ne m'en rendrais compte que bien plus tard.

Zelef – 15 ans
« Dis Zelef, maintenant que sa fait 5 ans qu'on est potes dans cette école et qu'on peut tout deux allé au même endroit...tu crois pas qu'il serait aussi temps de se trouver une poulette pour chacun ? On est jeune faut profiter non ? »

« T'es bien précoce sur ce genre de chose toi, Sam, tu sais qu'on peut pas trop faire d'impasse pour le moment. »
Avait-je répondu en rigolant. Depuis 5 ans, j'étais vraiment fier de me dire que j'étais vivant et humain, non pas une simple machine au service de ma génitrice pour son simple plaisir. Je faisais souvent le mur depuis que je connais Sam, on faisait les 400 coups en douce...on allait sois draguer, sois emmerder les voisins un peu la nuit...certe ce n'est pas grand-chose mais au moins sa nous amusait...sa ressemble pas au fameux élève modèle des années précédentes hein ? En ce qui concerne ma scolarité, finit la première place, je suis resté troisième, de quoi me satisfaire pleinement, gardant du temps pour pouvoir m'amuser. Ma mère toujours alcoolique ne m'emmerdait plus si ce n'est vouloir me faire la peau quand je la contrarie, mais bon faut être franc parfois. Quant à mon père, il semblerait purement et simplement qu'il aie une nouvelle femme ainsi qu'un nouveau poste de Député au Parlement comme tous ces autres pingouins qui se trémousse en faisant croire tout et n'importe quoi. Pourtant, je me dis qu'il a bien fait de vivre sa vie en laissant ma mère. Ma rancoeur envers elle ne m'a jamais laissé, elle m'a toujours fait honte, pour moi ainsi que le reste de la famille, la considérant simplement comme la honte depuis l'existence de notre lignée Algérienne...génial, maintenant je peux me donner un nouveau surnom, l'engeance de la honte.

Néanmoins je ne me préoccupe pas du reste, je vais toujours de l'avant, comme me l'avait toujours dit mon grand-père, garder son objectif en vue. Enfin cela c'était avant que je ne rencontre Stessie...la sœur de Sam. Une bombe aux yeux clairs brillant de milles feux, une chevelure ébène aussi sombre que l'infini de la nuit, un corps digne d'un mannequin pour son âge...alors c'est ça lorsqu'on a un coup de foudre ? Je comprend mieux pourquoi les filles le traite toujours de coureur de jupons.

« Salut, je suis Stessie, la sœur de Sam, heureuse de faire ta connaissance...et heu, ton visage est tout rouge, tu as avalé un truc de travers ou quoi ? »

« Bonjour Stessie et heu...ho non non juste un peu chaud rien de plus ne t'inquiète pas »

Bien qu'elle n'aie pas vraiment compris pourquoi, Sam lui par contre avait entièrement saisie la situation, étouffant son rire et attendant le moment où sa sœur serait partie pour me charrier à volonté. De mon côté, j'avais l'air d'un parfait idiot à avoir réagit ainsi et c'est relâchant mon rire une fois Stessie partie plus loin que mon acolyte et moi discutions de nouveau sur les amourettes possibles.

Zelef – 28 ans
Déjà 28 ans ? La vache...je sais que je ne devrai plus être surpris du temps qui passe mais purée, sa en fait un sacré bond dans le temps, vous n'êtes pas d'accord ? En tout cas, pas grand-chose n'a marqué ma vie, j'ai obtenue mon diplôme d'école, toujours accompagné de mon « frère » Sam qui l'a eu au ras des paquerette. C'est pourtant pas faute de l'avoir aidé à réviser de manière optimale...ou alors c'est moi qui aie été trop sévère avec lui...dans tous les cas on a réussit et on rejoint  notre rêve, rejoindre l'armée à 21 ans. C'est d'ailleurs à cet âge-là que j'ai put sortir avec Stessie, elle qui auparavant me considérait juste comme un ami, je me retrouve maintenant à ses côtés en tant que compagnons. Sam lui ne se privait pas de faire diverse blague sur le possible mariage, les enfants ou encore le fait de devenir tous les deux beau-frère et non juste amis. Un trio de choc qui aurait put survivre à bien des adversités si seulement il existait encore.

Finalement, le jour venue j'ai laissé Stessie chez elle pour partir avec Sam pour entrer à la base du coin...paraît que sa rigolait pas là-bas...sa tombait bien puisque nous non plus, on comptait bien écraser chaque obstacle pour continuer. Et puis finalement on en a chier comme pas permis. Levé aux aurores, le sport matinale à s'en fissuré les os, les cours qui exploseraient le cerveau d'un humain normal. Pas étonnant que l'armée américaine sois aussi forte et réputé avec tout ça. Beaucoup ont abandonné mais Sam et moi on s'accrochait, peu importe le problème on continuait couvrant les lacunes que l'autre avait. Il semblerait d'ailleurs que nous soyons une source de motivation pour ceux qui se jugeraient incompétent. Ensemble on peut tout surpasser et c'est ainsi que notre cercle d'ami s'est agrandit avec les autres camarades de baraquement. Cette routine et les missions durèrent alors jusqu'à mes 28 ans. Atteint cet âge, toujours à correspondre avec Stessie et rigoler avec mes collègues et Sam, mon supérieur me confia alors une lettre comme à d'autres soldats qui me disait à moi seul que je pouvait rejoindre les commandos américains...les fameux bérets verts. Au départ j'étais réticent mais mes camarades et Sam m'assuraient que c'était une chance à ne pas louper, que cela ne changeait rien à nos relation. Pour ma promotion, c'est quelques jours plus tard que mes collègues m'offrirent un de mes rêves, une Harley Davinson, une moto jugé comme légendaire aux Etat-Unis...connu pour son moteur, sa puissance ou sa carrure. A vrai dire je ne savais pas comment les remercier de cette profonde gentilesse à mon égard, leur seul réponse étant ma gentillesse contagieuse à répétition, quelle bande d'idiot. C'est ainsi qu'avec les larmes j'ai dût remercier puis quitter mes frères d'armes, mon meilleur ami et laisser ma copine un peu plus de temps pour rejoindre mon nouveau poste dans l'état de Washington. Enfourchant mon nouvel engin avec quelques affaires, laissant le reste aux quelques militaires qui transporteraient mes affaires restantes, je fais ronronner le moteur dans toute sa splendeur et démarre alors une nouvelle carrière

on the highway to hell


Expliquez ici l'histoire de votre personnage depuis l'épidémie.

Jour 1
Je viens à peine de fêter mes 30 balais au sein du camps de Fort Lewis, que déjà au camp commando des informations nous parviennent sur quelques cas isolé, la plupart de mes nouveaux collègues en rigolent tellement cela paraît absurde. Même moi j'ai du mal à croire à ce genre de chose. La seule chose  qui me préoccupait dans le camp était mon entraînement mental et physique permanent en plus de correspondre avec Sam, Stessie et mes anciens frères d'armes. Ils ont l'air d'aller bien et eux aussi ont eût droit à ces informations étranges, mais ils ont eu la même réaction que moi. Pourquoi des cas isolés devraient inquiéter les forces spéciales ou l'armée américaine pour si peu. Cela paraissait juste débile. Ensuite en ce qui concernait Stessie, elle vivait encore paisiblement aux alentours de New-York comme si de rien n'était, me demandant régulièrement des nouvelles de ma vie au camp ou du reste en général. De son côté elle continue les études pour faire la médecine, n'arrêtant pas de blaguait sur le fait qu'un commando doit toujours avoir sa petite infirmère sexy dans les parages. Sam m'avait pourtant prévenue qu'elle m'en ferait voir des vertes et des pas mûr...pire que pour notre première fois. M'enfin...il est temps de continuer à tracer la route pour l'avenir.

Jour 5
Les choses ont l'air de rapidement dégénérer. Alors que 4 jours auparavant nous rigolions du fait que ce cannibalisme notoire n'était qu'une vaste blague, le gouvernement avait décidé de nous déployer rapidement pour essayer d'évacuer les médecins qui s'occupaient de l'autopsie des corps infectés. Sans un mot nous avions vite préparé notre équipement et nous étions partie en hélicoptère vers le fameux hôpital de Seattle qui au grand secret de la population avait décidé d'examiner les cadavres. La zone était déjà en quarantaine et notre mission était clair...sauver les médecins en charge de ce virus et personne d'autres...cela me faisait de la peine mais nous n'avions pas le choix. Nous nous sommes alors descendu en rappel sur le toit, en formation et armé prêt à intervenir. Quelques médecins arrivèrent sur place demandant leur évacuations puis celui qui semblait être leur dirigeant nous ordonna de vouloir fusiller ceux ayant été mordu...pourquoi être aussi violent. Ce n'était qu'une simple morsure et mes collègues pensaient la même chose. Du moins jusqu'à ce que le gouvernement nous ordonne d'agir et que certains… « patients » mécontent enfonce la porte. Sans un mot, par réflexe pour notre survie et la réussite de la mission nous avons ouvert le feu visant parfois la tête ou les membres inférieurs pour les stopper. Les personnes sans blessures sont alors monté dans le véhicule aérien mais les autres sont obligé de rester. Nous avons réussi aussi de justesse à nous enfuir. Ces gens n'ont pas l'air de ressentir la douleur. Peu importe la zone si ce n'est la tête il ne faiblissent pas et continue leur avancé sans peur même de sauter depuis plusieurs étages. Qu'est-ce que c'était ces choses...espérons que Sam, Stessie et mes camarades de New-York n'aie rien.

Jour 6 à 16
La situation est complètement partie en vrille. Pas une seule seconde durant plus d'une semaine il n'avait vraiment put se reposer lui et on équipe. Ils étaient appelé aux quatre coins de la nation pour venir en aides à des collègues en galère, des politiciens en fuite ou des scientifiques réquisitionné par le président et le gouvernement.
C'est finalement le 11ème jour qu'on leur fit alors un briefing sur la situation et ce fameux virus caché en général à la population. Et bien il était temps, on aurait put crever qu'on n'aurait rien su de plus. Le chef d'équipe, du moins de ce qu'il a obtenue, raconte que la cours martiale sera bientôt mise en place dans la totalité du pays, les morts se multiplient et on raconte qu'ils se relèvent pour bouffer les vivants. L'origine du virus est inconnu et même si l'on nous informe que les chercheurs mettent déjà la main à la patte pour trouver un vaccin on est pas plus avancé. Je comprend mieux pourquoi ils continuaient à bouger même en se brisant la nuque et d'autres points sensibles du corps. Ils sont déjà mort alors il ne peuvent pas s'effondrer facilement.

« Pourquoi on ne nous informe que maintenant ?! Nos familles sont peut-être en danger, nos enfants souffrant ou peut-être sont- ils déjà mort ! On est peut-être des forces spéciales mais on ne nous informe que bien trop tard. »

Pesta un de mes collègues à notre supérieur. Sa remarque et sa hargne sont parfaitement justifié. Après tout je n'ai aucune nouvelle de mon paternel, de Sam ou encore de Stessie depuis maintenant une dizaine de jours. J'espère juste qu'ils ont put se retrouver et qu'ils sont en sécurité actuellement.
C'est finalement le Jour 16 que les choses se firent. La loi martial est appliqué, des civils rejoignent alors notre base au sud de Tacoma sous la protection de notre unité et des autres en formations. Ils se sentent rassuré car nous sommes des commandos et non de simples soldats...mais que valent des commandos à qui on a appris à tuer des humains et non des morts-vivants ? Heureusement, mon supérieur a eu la grâce de nous accorder à chacun un appel téléphonique à nos proches pour voir si ils vont bien. Le téléphone de Stessie ne répond pas et c'est Sam qui finalement décroche sur son téléphone.

« Oui Zelef...désolé de pas avoir répondu plus tôt...c'est la merde ici... »

« Je m'en doute Sam, comment vous débrouillez-vous ? »

« Stessie et moi ainsi que nos collègues de notre sections avons décidé de partir il y a quelques jours pour te rejoindre et te faire une surprise...néanmoins la panique et cette épidémie nous a mis mal...la moitié de nos frères d'armes ont disparut ou sont devenue...ces choses dehors... »

« Merde...merde...non...où êtes-vous je viens vous chercher »

« Non ne viens pas...nous allons bien, Stessie dit que tu doit garder espoir et qu'elle t'aime. Nous devrions mettre juste un peu plus de temps pour arriver c'est tout. »

Derrière lui j'entends des sanglots, des tirs, des râles inaudible qui caractérisent parfaitement ces choses dans les rues. Sam...pourquoi m'as tu mentis ? Et c'est ainsi que j'ai eu la dernière conversation avec ceux qui comptait pour moi. Hurlant littéralement à la mort quand mes camarades ont essayé de me réconforter au mieux. Je ne pouvais pas espérer pire que ça. Mon meilleur ami depuis ma plus tendre enfance...ma bien-aimé...mes camarades...tous péris à cause de ce putain de virus. Pourquoi ces putains de pingouin du gouvernement inutile ont survécu et pas eux...pourquoi !
A partir de cet instant précis...je savais que dehors...ce n'étais plus que mort et désolation.

Jour 19
La fin du monde est officiellement prononcé. Apparemment, de nombreux camps de réfugiés sont déjà tombés aux mains de ceux que l'on appelle maintenant des rôdeurs...ces choses sans vie avide de chair humaine. Il ne faudra sûrement pas longtemps avant que ce camp sois leur nouvelle cible. J'ai littéralement perdu foi en la vie après la mort de mes proches...de nombreux civils ont quitté le camps à leurs risques et périls pensant que rester au sein de la base ne servait plus. Des tensions éclatent alors ravageant une partie du camps et puis enfin , le moment tant redouté. Les rôdeurs arrivent en masse vers le camp, attiré par l'odeur, la chaleur humaine ou encore simplement le bruit, peut importe comment ils sont maintenant là. Avide de vengeance je me prépare à tirer avec mon Dragunov lorsque les cries de panique commencent déjà. Les gens cherchent à fuir par tous les moyens, se servant des autres comme boucliers ou peut-être espérer parlementer avec ces choses sans vie. Mon équipe aussi a des tensions et sans que nous le sachions, notre supérieur avait déjà pris la fuite, pourtant nous avions choisis de combattre pour protéger le plus grand nombre. On avait été formé pour ça alors nous devions continuer. Même si nous étions des spécialistes, les civils étaient bien trop nombreux et éparpillé, nous empêchant de pouvoir viser correctement au risque de tuer des gens encore humains. Ne pouvant pas continuer ainsi nous avons pris une lourde décisions : nous séparer en groupe de 2. Nous sommes alors formé de 3 groupes, avec moi, je possède Mike qui était notre expert armurier et ingénierie. Puis à contre-coeur profitant du chaos ambiant nous avons cité une dernière fois notre devise avant de disparaître. Je cours aussitôt vers ma moto en compagnie de Mike. La pauvre avait dût rester là à cause de mes repos trop peu fréquents. Nos missions à répétition m'empêchait de prendre du temps à l'utiliser à l'extérieur. J'avais beau fais une longue partie du trajet avec elle jusqu'au camp, elle n'était à l'heure actuel qu'une machine en plein sommeil. Heureusement, j'étais bien content qu'elle sois avec moi...le dernier lien avec mes proches. Sans attendre, le paquetage sur le dos, mon arme et ses munitions tandis que Mike rajoutait des outils à ses affaires pour l'extérieur, je démarre la moto qui ne tarde pas à attirer ces choses nauséabonde. Une fois tous deux prêt je démarre à fond, désolé ma belle mais tu vas souffrir un peu pour notre survie. Défonçant une ou deux de ces choses avant de zigzaguer le reste de la horde, nous voilà maintenant un minimum libre de cet enfer. L'ère de la survie venait de commencer...et elle allait durer longtemps.

  Jusqu'en Février 2016
Tout ce que je pensais était vrai...il n'y a maintenant que mort et désolation aux delà des murs. Mike se retient de me le redire sachant pertinemment que cela ne servirait à rien de répéter quelque chose d'évident. Durant un bon mois, sois jusqu'à fin Décembre 2015 nous avons juste eu à errer sur les routes grâce à ma Harley Davinson qui tenait bien la route malgré la neige qui commençait à tomber en masse ces temps-ci. Une moto de course aurait à peine tenue la distance avec ce froid permanent. Dans un premier temps nous avions pour projet de nous rapprocher de Seattle. Il paraissait qu'un camps été formé en son centre et que peut-être nous pourrions trouver un peu plus de soutien une fois là-bas. Mais à peine arrivé à la périphérie de la ville, c'est une ville fantôme que nous voyons à l'horizon. Une ville morte quitté de toute vie possible si ce n'est les rôdeurs, enfin si on peut les considéré comme vivant déjà.
Nous nous sommes alors arrêté à une station service qui par miracle possédait encore un peu d'essence...suffisament pour faire le plein de la moto puis je rejoins Mike qui fouillait le bâtiment à côté.

« Hey Zelef...sa fait bizarre non, de se dire que nous qui chassions les ennemis, maintenant c'est eux qui nous chassent... »

« Effectivement vu sous cet angle je suis d'accord avec toi...les rôles sont complètement inversé. »

« Dis, tu as un espoir pour la suite ? Moi j'espère que ma famille est encore en vie pour peut-être les serrer dans mes bras...j'attendais une petite fille en plus. »

« J'ai déjà tout perdu moi...je ne sais même pas ce qui me force à rester ici en vie et ne pas me tirer une balle... »

La conversation fut refroidit rapidement. Et puis finalement nous avions repris la route, quittant les alentours de Seattle pour voir si autre part, des survivants avaient un semblant de camps à eux.
Nos recherches prirent littéralement un mois de plus, c'est presque à croire que nous étions les derniers humains sur cette planète à la con. Néanmoins, il y a peut-être un dieu en ce monde qui nous a écouté et nous a permis de rencontrer des gens aux alentours de Tiger Mountain, une réserve naturel assez massive remplie de bête encore à l'état sauvage. Enfin pas des très sympa. Il est vrai que dans une société où les forces de l'ordre n'existe plus, le crime peut être commis sous toutes ses formes, viols, meurtres, vol et j'en passe. En l'occurence je ne pouvais pas laisser faire ça continuellement. Deux jeunes femmes étaient en danger et Mike hésita à me suivre pour intervenir. A lui d'en décider, mais moi je ne compte pas oublier cette souffrance ni ma fonction première...une machine de guerre, protecteur et assassin des criminels. Je prend mon Dragunov silencieux à mon épaule, vise tranquillement les criminel sans sourciller et tire dans l'objectif de tuer, un mort, puis deux, puis trois...le dernier s'enfuit voyant que ses potes en répliquant ne m'ont pas du tout touché, ce fut dans le dos qu'il fut tué par une dernière balle vidant la moitié de mon chargeur.

Je ne m'attarde pas sur les demoiselle qui me regarde moi ainsi que mon compagnon en larme et appeuré. Je prend seulement la bouffe nécessaire à nous deux, une machette qui trainait sur un des corps puis nous sommes reparties sans un mot, nous étions des fantômes, nous avons alors disparut aussi vite que nous étions arrivé. Ainsi notre philosophie avait changé et nous avons vécu ainsi jusqu'en Février 2016. A l'origine nous avions eût pour objectif de nous éloigner de l'état de Washington en allant vers l'Est, vérifier si à un endroit particulier, l'infection était un minimum endigué mais tout ce que nous avions trouvé jusqu'à présent n'était que similaire à tout le reste, mort, désolation, criminels qui pullulent...nous avions finalement abandonné cet espoir et nous avions décidé de revenir sur nos pas. Peut-être avions nous manqué quelque chose, un détail, une personne ou autre. Pourtant au fur et à mesure que nous avancions...nos espoirs disparaissaient les uns après les autres

Avril 2016
La situation ne s'arrange pas, à vrai dire elle continue d'empirer. Et moi qui pensais que malgré l'apocalypse, rien de pire ne pouvait arriver. Les morts se mettent à quitter les villes au profit des campagnes. Il semblerait que parmi eux il y a un esprit de ruche, les forçant petit à petit à suivre un mouvement imaginaire. Au final ils se déplacent sans cesse, si bien qu'il est compliqué pour Mike et moi de circuler convenablement sur les routes puisque nous risquons de nous retrouver avec une de ces choses qui pourraient nous sauter à la gorge.

Sur le chemin nous avons donc retrouvé un de nos véhicule de la base des mois auparavant...des civils qui l'on volé, un véhicule abandonné ? Non, il s'agissait de deux de nos camarades, mordu et transformé toujours coincé dans le véhicule...prononçant des râles affreux avec un corps en décomposition...nous ne savions pas ce qu'il s'était passé ici mais ils ont dut subir la dernière peur de toute leur existence. Au moins durant ces derniers mois nous avions compris que les rôdeurs n'étaient pas invincible...si le cerveau est endommagé alors le rôdeur peut mourir définitivement. A coup de couteau ou de machette bien planté nous avons donc exécuté nos anciens camarades avant de récupérer de la nourriture encore utilisable ainsi que des balles ou armes facile à transporter.
C'est alors que j'entends un crie de douleur dans mon dos, me retournant violemment je constate avec horreur que Mike s'est fait mordre par une de ces choses. J'abats de nouveau cette chose en plantant ma machette dans le crâne...mais le mal est déjà fait. Il nous est arrivé de voir des humains se transformé après une morsure...et nous savions le risque que cela représentait.
Cela voulait-il dire que je me retrouverai seul ? Je ne pouvais pas y croire mais Mike me l'a fait comprendre autrement.
Il prit alors son 9mm, me le passa et posa le canon sur son crâne.

« S'il te plaît...fais que je meurt en restant humain...c'est le seul souhait que je possède... »

« Mais Mike, tu as peut-être une chance de t'en sortir, une remède ou de quoi ralentir la propagation... »

« Tu sais très bien qu'il n'y a rien...alors fais le... »

Comme nous le faisions toujours envers  un frère d'armes, nous récitions une prière en son honneur au moment de sa mort, puis avec énormément d'hésitation...je presse la détente, explosant la tête de mon dernier frère d'arme que je vois encore en vie. Je sais que je ne peux pas rester ici éternellement à le pleurer comme les autres, ces choses ont une ouïe sur-développé et rester ici serait du suicide. Je remet alors mon casque, ferme bien ma veste...et enfourche ma moto, après avoir pris la nourriture et les balles sur le cadavres, la moto refait un bruit monstre au redémarrage cependant bien moins fort qu'une moto de compétition. Je n'avais pas tort...ces choses continue de me suivre peu importe la distance, je me dois de leur échapper encore et toujours...c'est ainsi que je repart, versant une dernière larme pour mes défunts compagnons.

Hiver 2016-2017
Voilà de nouveau l'hiver...a vrai dire, le second hivers depuis que j'ai quitté la base avec Mike. J'ai d'ailleurs « fêter » mes 31 ans, seul dans un petit chalet abandonné juste avant de monter aux pistes. Je crois qu'il se situe à proximité de Crystal Mountain...hé oui c'est loin de Seattle...je me suis dit que fuir loin des villes et des regroupements me sauverai sans doute la mise mais il semblerait que j'eu encore tort puisque ces choses ont réussit à arriver jusque là. Aux vue de mes vivres et maintenant que je suis seul à survivre, je devrais pouvoir tenir deux bon mois sans avoir à sortir du chalet, si ce n'est pour continuer à couper un peu de bois pour la cheminée et me réchauffer un minimum dans ce froid qui ne cesse de grimper. Heureusement, le chalet était vide à mon arrivé, sans doute appartenait-il à une famille qui avait rejoint Seattle pour écouter les « bon conseils » du gouvernement qui ne sert plus à rien de nos jours. Mais bon, sa peut paraître égoïste mais je suis bien content qu'il n'y aie personne...pas de rôdeurs à tuer, la maison est sur un terrain assez élevé et je peux me reposer avec un minimum de tranquillité...si seulement mes proches ou mes compagnons d'armes pouvaient encore être en vie aujourd'hui...leur vision morbide ne fait aujourd'hui...que me hanter chaque nuit.

Janvier-Juillet 2017
J'ai dût finalement quitter cette douce maison de montagne pour essayer de trouver des vivres...moi qui vivait paisiblement pour une fois, je mangeais à ma fin réduisant mes prédiction en terme de nourriture. Heureusement que j'ai put m'arrêter à temps pour avoir un minimum de réserve en cas de départ précipité. Je suis donc allé au village du coin, cherchant différentes vivre...qu'il s'agisse de bouteille d'eau, de conserve, viande séché..voir même du tabac...je ne suis pas fumeur mais en tant que commando on nous a appris à utiliser énormément d'objet du quotidien pour subvenir à diverse besoin. Une fois au différentes supérette, je remarque  un ou deux rôdeurs solitaire. Il n'est pas trop dur de les éliminer et pour les vivres de la supérette, elle est complètement vide ou presque. Il ne reste que de la viande séché, sans doute avec presque aucun goût et une ou deux conserve de haricots vert. Il y en a encore qui font les fines bouches malgré la fin du monde ? Ca en est presque hilarant. Je prend alors ce que je peux, prenant également un ou deux paquet de cigarette sur une étagère pas du tout dévaliser. Sa peut devenir un bon combustible par les temps qui cours.

En revenant à la maison je remarque que le nombre de rôdeur a brusquement augmenté dans la zone. Pas bon, je peux pas rester ici, si je me repose trop sur mes lauriers je risque de finir comme mes camarades...autant partir illico. Je remet ce qui me reste de bouffe, de balle et de matériel dans mon sac militaire, met mon Dragunov silencieux à mon épaule, ma machette dans son étui à ma ceinture, enfourchant ma Harley et repartant à grande vitesse, échappant aux rôdeurs qui commençaient à monter.


Septembre-Décembre 2017
J'ai réussi tant bien que mal à survivre jusque là...la route à été longue depuis Crystal Mountain jusqu'au alentour de Mercer Island, il a fallu gérer le carburant, les vivres ainsi que les rôdeurs qui ne semblaient pas vouloir me lâcher la grappe une seule seconde. Néanmoins, j'ai put fêter mon 32ème anniversaire, une nouvelle fois seul et sans encombre...ou presque dans une bibliothèque en banlieue de cette commune dont j'ai quasiment oublié le nom, ha oui, Bellevue . Sa devait être un repaire pour les geeks ou rat de laboratoire en tout genre, qui aurais cru que je m'y cacherai aujourd'hui ? Pas moi en tout cas. Durant un bon mois je me déplace à droite à gauche faisant le tour de l'île à la recherche de vivre ou d'un moyen de rejoindre des survivants. En effet, rejoindre des survivants peut-être un avantage non négligeable pour la suite même si les expériences passées sont encore douloureuse. Pourtant d'un autre côté, rejoindre un groupe signifie autant d'avoir quelqu'un pour nous couvrir que d'avoir quelqu'un pour nous abattre dans le dos. C'est comme ça que je le voyais.

Pourtant depuis quelques semaines je trouve quelque chose de bizarre. Je n'ai pas eu souvent l'occasion d'utiliser mes jumelles de mon paquetage et pourtant quelque chose m'intrigue. Je ne me trompais pas, il y a bien de la vie dans cette ville. Ce ne sont que de faible lumière...sans doute de la bougie ou d'une autre source de lumière mais il y a des gens encore en vie...hostile ? Bienveillant ? Je ne pourrai le savoir qu'en allant voir. Je fais alors au plus vite pour rentrer à mon pseudo-repaire tout en restant le plus discret possible. Être heureux de savoir que des vivants résident non loin ne me sauve pas du danger environnant et c'est donc avec prudence que j'avance. Une fois à la bibliothèque je retrouve des rôdeurs à l'intérieur... Comment ont-ils put rentrer ? Pas le temps de se poser la question, je prend mes affaires manquante à mon paquetage risquant d'attirer ces morts-vivants et je cours rejoindre au plus vite ma moto.  Redémarrant, je fonce sans hésiter faisant rugir mon moteur vers la grande maison qui semble être une maison de retraite, est-ce qu'enfin ce calvaire pourra m'apporter une récompense ? Seul dieu peut nous le dire.

Une fois en route, la maison de retraite grandit, ne faisant que faire grandir mon envie de voir ces humains toujours soudé pour faire face à l'adversité. Regardant plusieurs fois derrière moi je remarque que les rôdeurs, bien qu'ayant entendu le bruit, ne suivent pas ma trace...sans doute étais-je trop rapide pour leur permettre de suivre. Une fois arrivé devant la bâtisse barricadé, je coupe le moteur de mon engin, mon matos sur le dos. Je remarque alors des gens qui sortent attiré par le bruit de la Harley. Ils n'ont pas l'air armé mais restons sur nos gardes. Je fais alors attention, prêt à dégainer mon fusil au moindre signe d'hostilité, gardant mon casque couleur carbone, visière fermé tant que je ne suis pas sûr de leurs attentions...que Dieu ne me fasse pas un nouveau coup de pute s'il vous plaît.

(PS : je rejoindrai donc la faction Island Freedom, un mp a été envoyé et accepté par la leader du groupe ^^)

time to meet the devil

• pseudo › Nemesis
• âge › 18 ans

• comment avez-vous découvert le forum ? › je dis ça, je dis rien mais c'est google qui vous a balançé :0
• et vous le trouvez comment ? › génialisime *-*
• présence › assez régulière généralement
• personnage › créé [X] - scénario [...]

• code du règlement ›Ok Morgan.
• crédit ›
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 23:03




bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour ta fiche o/

Si tu as des questions n'hésites pas à contacter un membre de staff ^^
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 23:10

Sois le bienvenu Zelef, bon courage pour le reste de ta fiche Smile

Attention : ton avatar doit être au format 200*320 pour être accepté sur le forum Wink si tu n'arrives pas à te procurer un avatar à la bonne taille ou à redimensionner une image, n'hésite pas à nous le dire. L'un des membres du staff aura certainement la possibilité de te trouver ce qu'il faut.
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 23:17

Bienvenue dans le coin Very Happy
Bon courage pour la fin de ta rédaction :smile48:
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 23:18

Merci pour votre accueil et justement c'est mon actuel problème, je ne possède pas d'image aux bonnes dimensions et je ne sais pas modifier une image pour la mettre aux bonnes dimensions alors si quelqu'un au cœur pur pouvait m'aider je lui en serai très reconnaissant Crying or Very sad
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 23:19

Je vais te trouver ça, quel est le nom de l'acteur ?
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

Jeu 28 Déc 2017 - 23:22

Il s'agit de Jack McDorman
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Re: Une lumière dans l'obscurité? [Terminé]

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