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Re: Life is a chessboard
Sam 10 Fév 2018 - 22:38
Le sénateur toise la porte, s'en rapproche mais ne répond guère alors que l'architecte lui précise que le véhicule qu'il a quémandé plus tôt est bien en place, qu'il peut même l'apercevoir en se rapprochant de la fenêtre. Malgré le stress, malgré les larmes qu'il a pu verser lui même, sa main passe maladivement dans ses mèches humides de sueur et dévalent ses traits blêmes.
- Nina ? Interroge-t-il, la voix chevrotante malgré la douceur qu'il tente d'y mettre. Est-ce que cette femme dit vrai ?
Figée, la fillette l'observe sans encore bouger, mais lorsqu'il fait un pas dans sa direction, elle se redresse et rejoint la fenêtre pour lui indiquer la véracité des propos de leur interlocutrice. la négociatrice reprend alors et les mots prononcés invitent Benjamin à reporter son attention sur le corps inerte de son épouse. Son regard s'emplie de larmes à la seule vue du sang qui constelle sa tenue blanche et le parquet sur lequel elle git. Tandis que Nina fixe la porte, espérant que la jeune femme saura résonner celui à qui elle n'ose pas parler de peur de mourir à son tour.
- Je vous ai demandé de vous en aller... Ses mains tremblent encore, et Nina ne cesse plus de fixer celle qui serre l'arme qu'il n'a toujours pas abandonné. Cependant le simple fait de savoir la voiture en place l'apaise quelque peu. je sais ce que vous tentez de faire, mais je n'suis pas fou Madame Amrani ! Je veux juste partir, qu'on me laisse partir avec MA fille !! Reprend-il plus froidement. Vous ne savez rien non, je.... je suis responsable de...... je ne voulais pas et pourtant.... Allez vous en maintenant, que la rue soit vide pour que nous puissions nous en aller.
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Re: Life is a chessboard
Sam 10 Fév 2018 - 23:13
Le cœur battant, elle attendait patiemment qu’on lui réponde. De l’autre côté de la porte, le Sénateur s’agitait. Ela craignait pour Nina, elle était la personne à préserver, la personne à sauver dans toute cette sombre histoire. L’israélienne était profondément triste pour eux deux, pour Chambers aussi. Cela aurait pu mieux se passer, mais les conspirations, la tension ambiante avait achevé de terrasser le pauvre homme qui ne se remettrait jamais de l’acte qu’il avait commis. Ela était réellement désolée. Et inquiète. L’homme n’en réchapperait pas.
Une fois de plus, il réitéra l’ordre de la voir s’en aller. Mais l’israélienne ne pouvait pas. Pas comme ça. Ela fit quelques pas en arrière, ralluma son talkie. « June… Tu ne vas probablement pas apprécier la suite. Mais faites-moi confiance. » Elle n’attendit pas la réponse, elle retourna vers le bureau. Avant de reprendre la parole, Ela ralluma son talkie afin que June et les autres puissent l’entendre, mais coupa le son afin qu’aucune parole de l’extérieur ne puisse leur parvenir. « Je suis désolée Monsieur le Sénateur, je ne peux pas partir. » Dit-elle prudemment. « Nous avons déjà fait ce que nous avons pu pour éloigner tout le monde de la maison, le corps militaire a été renvoyé dans leurs bâtiments. Il n’y a que moi ici… » Elle hésitait. Mais elle devait tenter, temps qu’il restait quelque chose à tenter. Ela n’avait pas peur pour elle, loin de là. Elle jeta un œil à son talkie, mais elle était seule sur ce coup, elle refusait d’y retourner les mains vides. « Je suis venue vous aider à sortir, vous et votre fille. Personne ne prendra le risque de vous faire du mal si je suis avec vous. » Affirma-t-elle, sans sourciller. Elle savait ce que cela signifiait. Elle ne pouvait pas prendre la place de Nina, mais si elle pouvait se rapprocher un peu. « J’ai un gilet pare-balle, je vous le donne si vous acceptez mon aide, Monsieur le Sénateur. » Il était urgent qu’ils sortent de là. L’israélienne craignait le réveil de Siobhán. Mais cette urgence, elle ne la laissa pas transparaitre dans sa voix, toujours aussi calme et posée. « Je n’ai jamais songé un instant que vous étiez fou, Monsieur. Je pense que vous avez fait de votre mieux… Les choses n’auraient jamais dû se passer de cette manière. J’en suis la première désolée. » Ce qui rendait ses paroles si sûres et si douces, c’était qu’elles étaient criantes de vérité. Le Sénateur n’avait pas perdu l’esprit ; il avait peur. Il avait fait de son mieux ces deux dernières années pour que tout tienne ensemble, mais il avait perdu pieds devant l’ampleur de la tâche. Tout ceci n’aurait jamais dû arriver, cette violence, ce n’était pas ce qu’elle désirait. Elle se mettait en danger dans la manœuvre, elle en avait conscience. Mais l'israélienne espérait réellement pouvoir sauver Nina.
- Spoiler:
Ela a toutes les raisons du monde de s'en aller. Mais elle n'en fait rien, elle veut sauver Nina. Elle reprend le dialogue, offre son aide pour leur permettre de partir, et offre son gilet pare-balle comme gage de bonne foi. Oui, elle se propose comme otage, dans l'espoir d'atteindre Nina et de lui offrir une chance - plus tard - d'échapper à son père.
NB: son talkie est ouvert afin que tout le monde l'entende. MAIS personne ne peut la contacter car elle a coupé le son de son côté.
#idiote
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Re: Life is a chessboard
Sam 10 Fév 2018 - 23:43
- Bien...... bien.... Vous allez retirer votre gilet Madame Amrani, je vais ouvrir. Il serre la crosse de l'arme qu'il possède et intime à Nina de ne pas bouger encore.
Dans un geste brusque, rythmé par les tremblements de ses doigts, le Sénateur déverrouille le battant et l'ouvre lentement sans encore être certain de sa décision. Face à lui,
- Vous m'avez menti concernant votre seule présence Ela.
Certes le couloir est vide, mais d'autres qu'elle ont les oreilles attentive à ce qu'il a pu lui confier. Manquant de temps à son goût, il lui agrippe fermement le bras de ses doigts libres puis la pousse à l'intérieur. La porte claque. Il verrouille de nouveau derrière lui, puis tend la paume vers son otage pour l'inviter à lui fournir le Talkie afin de s'adresser à ceux qui conspirent contre sa personne. L'appareil en main, il tient en joug la négociatrice et se hasarde à parler :
- Je tiens votre médiateur... Si vous tentez quoi que ce soit.... Je...... En croisant les prunelles humides de Nina, il ne prononce guère la sentence. Faites en sorte que rien ne m'empêche de partir, Madame Amrani se portera garante de notre départ.
***
* Seules les personnes en possession des Talkie-walkie peuvent entendre le Sénateur et s'entretenir avec lui.
*
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Re: Life is a chessboard
Dim 11 Fév 2018 - 9:48
Ela allait se jeter dans la gueule du loup, Beatriz allait intervenir pour récupérer la gamine. Donovan soupira, il fallait qu’il se vide la tête pour réagir au mieux. C’était une situation qu’il connaissait, mais cette fois les personnes impliquées, il les connaissait. La petite Nina, Ela, et bientôt l’intervention de Bea.
Le son de son talkie grésilla, il entendit la voix d’Ela. Elle commençait son job de médiatrice. Le tatoué écouta la discussion, la voix d’Ela, calme, posée, qui se voulait rassurante. Et la voix de Chambers, étouffée, brisée et surtout remplie de colère. Donovan observait en même temps à travers la lunette de son fusil, il voyait encore le sénateur qui s’était approché de la porte. Le brun alluma son talkie à son tour, demandant à Michelle l’autre sniper en position si elle avait un meilleur angle sur le sénateur. « Je l’ai, je vois aussi la gamine. »
La voix de la veuve se fit à nouveau entendre dans le talkie, June n’allait pas apprécier ? Qu’est-ce qu’elle avait prévu exactement ? Donovan écouta attentivement la suite, pestant dans son coin lorsqu’il comprit.« Ela putain … » Mais elle ne les entendait pas, est-ce qu’elle avait volontairement coupé le son de son talkie ou alors elle avait simplement oublié de le remettre ? Dans tous les cas, ils pouvaient plus communiquer avec elle, quoiqu’il arrive ils en seraient simplement témoins.
Rapidement, le sénateur accepta cette offre qu’elle venait de lui faire, mais malheureusement, tout aussi rapidement il repéra le talkie qu’elle transportait.« Merde ! » Dans son viseur un nouveau visage apparut, celui de l’israélienne. Récupérant son talkie, Donnie l’alluma, cherchant à s’adresser au sénateur. « Chambers, vous avez déjà merdé … Pensez à Nina. Nous on pense à Nina, on vous laissera sortir de là, si vous blessez pas Ela qui est venue vous aider, le talkie c’était mon idée. » En partie, parce qu’on laissait jamais un négociateur partir entièrement seul.
June entendait tout cela, aucun doute qu’elle interviendrait, il fallait même espérer qu’elle interviendrait. Le tatoué se reconcentra sur ce qu’il voyait, à ce distance, il pouvait facilement l’avoir, ça serait propre, sans bavure. Il avait pas envie que ça se passe comme ça parce que la gamine avait déjà vu sa mère se faire descendre, mais s’il devait en arriver là, il presserait la détente. Ce gilet pare-balles ne le protègerait pas d’une balle dans la tête.
Le son de son talkie grésilla, il entendit la voix d’Ela. Elle commençait son job de médiatrice. Le tatoué écouta la discussion, la voix d’Ela, calme, posée, qui se voulait rassurante. Et la voix de Chambers, étouffée, brisée et surtout remplie de colère. Donovan observait en même temps à travers la lunette de son fusil, il voyait encore le sénateur qui s’était approché de la porte. Le brun alluma son talkie à son tour, demandant à Michelle l’autre sniper en position si elle avait un meilleur angle sur le sénateur. « Je l’ai, je vois aussi la gamine. »
La voix de la veuve se fit à nouveau entendre dans le talkie, June n’allait pas apprécier ? Qu’est-ce qu’elle avait prévu exactement ? Donovan écouta attentivement la suite, pestant dans son coin lorsqu’il comprit.
Rapidement, le sénateur accepta cette offre qu’elle venait de lui faire, mais malheureusement, tout aussi rapidement il repéra le talkie qu’elle transportait.
June entendait tout cela, aucun doute qu’elle interviendrait, il fallait même espérer qu’elle interviendrait. Le tatoué se reconcentra sur ce qu’il voyait, à ce distance, il pouvait facilement l’avoir, ça serait propre, sans bavure. Il avait pas envie que ça se passe comme ça parce que la gamine avait déjà vu sa mère se faire descendre, mais s’il devait en arriver là, il presserait la détente. Ce gilet pare-balles ne le protègerait pas d’une balle dans la tête.
- Spoiler:
- Donnie observe et écoute, évidemment il râle tout du long, et quand Chambers parle dans le talkie il lui répond, espérant que June prendra le relais pour donner des indices sur ce qu'elle compte faire. En dernier recours, il est prêt à tirer.
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Re: Life is a chessboard
Dim 11 Fév 2018 - 12:05
Tandis que Donnie et Michelle se préparaient pour se mettre en position, Stan s'était aussi équipé. Il était notamment allé chercher les gilets par balle, avec John, qui était aussi dans les parages, laissant Arizona surveiller la maison de Chambers. Il avait aussi ramené quelques renforts militaires. On ne savait jamais. Il était revenu quand son supérieur annonça qu'il avait un tir dégagé sur le sénateur. Il était lui aussi connecté au talkie. Il serra les dents se retenant de lui dire d'en profiter. Il ignorait ce que cherchait June, mais tout comme Joe et Swann, le sort de Benjamin était pour lui scellé. Le garder plus longtemps en vie, ce n'était que risquer davantage la vie de la gamine – et potentiellement de d'autres - mais aussi des prises de tête diplomatiques si jamais il finissait pas capituler gentiment.- Il devrait régler ça tout de suite, confia-t-il à Arizona et ses quelques collègues qui se trouvaient avec lui, de l'autre côté de la maison. Il laissa cependant le talkie muet et obéit aux ordres. Malgré sa grande gueule, le jeune homme restait un brave soldat. Conscient que les initiatives personnelles ne devaient pas intervenir dans des situations aussi critiques. Donovan était encore son responsable... Un instant plus tard, il apprenait qu'Ela partait seule discuter avec le sénateur. Il écarquilla les yeux.C'est pas une idée à la con, ça ? Demanda-t-il à ses voisins, alors qu'ils étaient là à ne rien faire. Sinon attendre.
- Michelle et Donovan protègent ses arrières, répondit Arizona, confiante, ce qui clotura le débat.
Et ce fut ainsi avec attention qu'ils suivirent l'échange entre l'israélienne et le sénateur. Stanley n'aimait pas la situation. L'homme était instable, il pouvait faire n'importe quoi. Il avait déjà fait n'importe quoi. Il lança ainsi un regard interrogateur à ses compagnons quand Ela se retrouva à son tour prise en otage. Il attendit une riposte immédiate d'un des snipers. La négociation ne venait-elle pas d'échouer ? Il n'en fut rien, et la voix de Donnie grésilla dans le talkie. Chambers était certainement hors d'atteinte. Le jeune homme serra les dents.- On dirait qu'on va avoir besoin de nous, déclara-t-il aux autres et il fit un mouvement de tête pour inviter la petit groupe de militaires à le suivre. Ils contournèrent la maison, pour rejoindre l'emplacement où se trouvait June. Et recevoir des directives - ou émettre quelques propositions - en dehors de la fréquence sur laquelle Benjamin Chambers pouvait maintenant tout entendre.
- Spoiler:
- Stan, Arizona et quelques autres militaires attendent de potentielles directives de l'autre côté de la maison de Chambers. Ils écoutent l'échange entre Ela et le sénateur et partent rejoindre June, pour éventuellement passer à l'action, quand la négociation échoue !
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Re: Life is a chessboard
Dim 11 Fév 2018 - 17:14
- Ela ? Ela ?!
L’israélienne ne l’entendait visiblement plus. Ne pas aimer la suite ? A quoi est-ce qu’elle jouait exactement ? Sa marge de manœuvre était pourtant suffisamment clair : rassurer le sénateur, l’amener à se rendre, point. La suite du discours de leur médiatrice, la rousse l’entendit grace au talkie, mais ça ne lui disait rien qui vaille. Couvrant la voix grésillante de la trentenaire, elle glissa à tous les autres présents sur le canal :
-Soyez prêts. Au moindre geste dangereux, tirez.
Ce fut tout ce qu’elle put dire avant que le timbre de Benjamin Chambers ne leur parvienne. June se figea un instant, réfléchissant à toute allure. Dire qu’elle n’y avait pas songé serait exagéré, mais c’était une possibilité qu’elle avait préféré occulter. Elle pensait avoir affaire à un lapin prit dans les phares d’un poids lourd mais en réalité, l’ancien dirigeant tenait plutôt du chien. Ils baissaient leur garde et voilà qu’il mordait. Donovan fut le premier à essayer de discuter. Faire vibrer la corde sensible, Nina. L’avocate savait que ça ne suffirait pas et l’issue de cette journée était claire désormais.
-Benjamin. Est-ce que vous m’entendez ? Elle attendit qu’il confirme, pour être sûr qu’il ait bien pensé à réactiver le son, nous avons fait le premier pas, Benjamin. La voiture est là, prête à vous emmener. Tout ce qu’on vous demande maintenant c’est de faire un geste à votre tour : libérez Ela ou jeter votre arme par la fenêtre. Donnant-donnant, il ne vous arrivera rien , il ne pouvait pas les voir, mais la dureté de ses yeux trahissait le contraire, le temps est compté Benjamin. Combien de temps d’après vous avant que Siobhán revienne ? Est-ce que vous aurez le courage de la blesser encore une fois ?
De cette façon, elle espérait l’ébranler. Soit il serait paniqué à l’idée de devoir se retrouver face à la réanimation de sa femme, soit il devrait détourner brièvement son attention de l’architecte pour s’occuper d’elle. Dans le premier ça, ça pourrait l’encourager en obtempérer, dans l’autre, ça laisserait à l’israélienne le temps de tenter quelque chose de l’intérieur. Le pire des scénarios serait d’apprendre que le sénateur l’avait atteint à la tête mais pour l’instant, il n’en disait rien.
Elle finit par voir arriver Stanley, Arizona, et quelques autres militaires. Sous les injonctions lointaines de Darrell Kane qui continuait de réclamer son droit à pénétrer dans la maison, June attendit qu’ils soient à sa hauteur pour les interpeler. Talkie éteint, bien sûr.
-On a fini d’attendre. Qu’est-ce que vous suggérez ?
L’israélienne ne l’entendait visiblement plus. Ne pas aimer la suite ? A quoi est-ce qu’elle jouait exactement ? Sa marge de manœuvre était pourtant suffisamment clair : rassurer le sénateur, l’amener à se rendre, point. La suite du discours de leur médiatrice, la rousse l’entendit grace au talkie, mais ça ne lui disait rien qui vaille. Couvrant la voix grésillante de la trentenaire, elle glissa à tous les autres présents sur le canal :
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Ce fut tout ce qu’elle put dire avant que le timbre de Benjamin Chambers ne leur parvienne. June se figea un instant, réfléchissant à toute allure. Dire qu’elle n’y avait pas songé serait exagéré, mais c’était une possibilité qu’elle avait préféré occulter. Elle pensait avoir affaire à un lapin prit dans les phares d’un poids lourd mais en réalité, l’ancien dirigeant tenait plutôt du chien. Ils baissaient leur garde et voilà qu’il mordait. Donovan fut le premier à essayer de discuter. Faire vibrer la corde sensible, Nina. L’avocate savait que ça ne suffirait pas et l’issue de cette journée était claire désormais.
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De cette façon, elle espérait l’ébranler. Soit il serait paniqué à l’idée de devoir se retrouver face à la réanimation de sa femme, soit il devrait détourner brièvement son attention de l’architecte pour s’occuper d’elle. Dans le premier ça, ça pourrait l’encourager en obtempérer, dans l’autre, ça laisserait à l’israélienne le temps de tenter quelque chose de l’intérieur. Le pire des scénarios serait d’apprendre que le sénateur l’avait atteint à la tête mais pour l’instant, il n’en disait rien.
Elle finit par voir arriver Stanley, Arizona, et quelques autres militaires. Sous les injonctions lointaines de Darrell Kane qui continuait de réclamer son droit à pénétrer dans la maison, June attendit qu’ils soient à sa hauteur pour les interpeler. Talkie éteint, bien sûr.
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- Spoiler:
- A son tour, June essaye de raisonner Chambers. Une fois que Stan et Arizona sont revenus devant la maison, elle leur demande leur suggestion pour intervenir sur le champ.
Les snipers ont déjà pour consigner de tirer à la moindre occasion.
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Re: Life is a chessboard
Dim 11 Fév 2018 - 18:03
***
Pendant cet instant de flottement, trois options s’offrent à toi
• Ne pas bouger, rester docilement dans la pièce en espérant que jouer le jeu du sénateur le calmera.
• Te ruer sur la porte et essayer de sortir de la pièce.
• Doucement gagner quelques mètres et te jeter sur le sénateur pour essayer de le désarmer.
Précise ton choix dans le flood pour connaître la suite.
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