Spoiler:

Jusque là je n'avais trop rien dis, j'avais accompagné le groupe de loyaliste pour escorter les paysans jusqu'aux cachots de fortune. Il y avait de la casse, Je n'étais pas personnellement concernés par le sort de ce groupe que je fréquentais peu et que je n'avais rien perdu à proprement parlé. Pendant que le groupe se réunissait dans la bibliothèque pour exposer la situation à savoir si on attendait June ou non et surtout quel châtiment infligé. Finalement c'est Zelda qui ouvrit la bouche pour suggérer une bonne vieille torture au moyen âge. La connaissant elle se voyait déjà entrain de tester sur Mme Baker, et aux même moment c'était la tête de Terrance Robinson qui me traversa la tête !
J'attendais que la conversation se calme pour glisser une suggestion quand de nouveau Zelda tenta de nouveau de pousser Maddison dans mes bras. Même si cela ne me déplairait pas, se n'était pas le moment.

Non sa ira. Je faisais juste la synthèse des événements. C'est plus Maddison qui aura besoin de se poser un peu après tout ça. Elle fait déjà beaucoup June serait fière et elle serait fière de nous tous pour avoir maintenu le fort dans l'ordre avec .... peu de perte.

Je me retourna vers la chipie pour lui faire une grimace l'air de dire "t'es folle ou quoi de dire ça ici et maintenant !"

Je me releva pour m'approcher un peu plus de l'assemblée pour aborder un point que personne autre que moi-même et Zelda avions vécu:

Je souhaiterais que Terrance Robinson est une punition, certes réduite mais qu'il soit aussi jugé pour ses mots et actes. Quand j'ai demandé poliment des armes, non létales ou du matériel de défense. Le vieux monsieur m'a tout bonnement insulté de punk, que j'étais la dernière personne à qui il confierait une arme. Que je n'étais pas digne de confiance et que les responsables avait qu'à envoyer quelqu'un d'autre ou venir en personne.

J'ai eu attendre "l'aide" de Norman et Briana. Pour moi il était clairement prêt à laisser le reste du fort sans arme pour se défendre à couteaux tirés. Les deux coups de feux de Clayton ne l'a pas fait changer d'avis. C'était en gros on se demerde à 1 contre 5 au couteau uniquement. Il devrait être jugé comme les autres il a clairement mis tout le monde en danger. Et surtout qu'on lui retire le droit de garder une armurerie qu'il est incapable de défendre. Zelda à elle seule aurait presque pu le renverser. J'aurais lever la main sur lui. Je me serais servi dans l'armurerie comme à l'épicerie du coin.

J'abordais juste son cas. Mais j'en faisais une affaire personnelle, si le tribunal que nous formions prenait pas de décision j'en parlerais directement à June et aux responsables. Quitte à leur prouver qu'il n'est plus digne de confiance ni apte à tenir ce poste !

Résumé:

Quinn est de l'avis qu'il faut organiser une battue pour retrouver celui qui, vraisemblablement, appartient maintenant aux rôdeurs. Zelda opine du chef tout en sachant pertinemment qu'elle ne risque pas d'être désignée pour les recherches. De son côté, Raph s'en sort plutôt bien. Même s'il n'a pas profité de la merveilleuse opportunité que l'adolescente vient de lui fournir, il a au moins adressé quelques compliments indirects à Madisson. Non, franchement, c'est bien ! L'intéressé, lui, bien sûr, trouve cela un peu moins drôle qu'elle. La grimace qu'il lui adresse tend à la prouver. Elle lui répond en arquant l'un de ses sourcils. «Quoi ? » demande-t-elle, sourire au coin des lèvres.  Il devrait plutôt la remercier ! Quoi qu'il en soit Zelda se rend bien compte que le bras-droit de June a d'autres chats à fouetter en cet instant et que le sujet des amourettes n'est peut-être pas le plus adapté à la situation. Elle décide prudemment de ne pas remettre le sujet sur la table. Pas avant quelques jours, en tout cas. Et puis la fatigue commence à se faire sentir. Elle étouffe un long bâillement tandis que le tailleur se lance dans une diatribe contre de Terrance. Elle l'avait un peu oublié avec tout ça, le papy...

En tout cas elle est surprise par la véhémence de son aîné. Et par amitié, justement, elle décide d'apporter sa pierre à l'édifice de sa colère. « Ouais ! Même qu'il a pas non plus voulu nous r'filer d'lance-roquettes ! » indique-t-elle donc, presque en aparté, lorsque le milanais explique que le vieillard n'a pas voulu les fournir en armes non-létales. Et puis, quand il ajoute qu'elle en est presque venue à bout - même si ce n'est pas l'impression qu'elle a eue sur le moment ! - toute seule, sa fierté la pousse à apporter une précision : « Faut dire qu'j'y suis pas allée d'main morte... » souffle-t-elle, un peu contrariée. Non mais c'est important de préciser, quoi ! « Après j'l'ai pas vraiiiiment agressé ! » La dernière chose dont elle ait besoin, là, en cet instant, c'est qu'on se mette à croire qu'elle a attaqué l'armurerie. Un autre bâillement se manifeste et elle prend la direction de la sortie de la bibliothèque.. « Bon, bonne chance avec votre jug'ment, là ! Moi j'vais voir Clayton ! » annonce-t-elle en adressant un léger signe de la main aux personnes présentes. Au pire, si elle croise Bergmann, il lui suffira de l'éviter. Autant laisser les adultes parler entre eux !

Spoiler:

« Donc ton plan serait de mettre dehors des personnes susceptibles de se venger par la suite ? De donner notre position à d’autres personnes ??? » Je regarde Casey en fronçant les sourcils. Sans compter son idée de faire de Ray un cobaye pour les scientifiques. Je suis sceptique…Toute cette agitation autour de moi ne m’aide vraiment pas. Alors quand  Raphael et Zelda commencer  à se plaindre, s’en est trop !

« Ça suffit ! Monsieur Robinson n’a fait QUE son travail ! Je suis navrée pour vous deux mais ce n’est pas à l’ordre du jour ! Sortez d’ici ! Tout de suite ! » Je gronde, lançant un regard noir à Zelda et Raphaël.

Agacée, je finis par reprendre. « Le rôle de chacun, dans cette histoire, devra être rapidement tiré au clair. Si certains n’ont fait que suivre le mouvement, d’autres étaient clairement là pour nous nuire. Ces personnes, dont Monsieur Robertson, ne méritent pas notre compassion. S’ils ont échoué dans leur action aujourd’hui cela ne veut pas dire qu’ils ne recommenceront pas, et même si nous gardons un œil sur eux, leur traîtrise est impardonnable. Je ne peux pas laisser passer ça. Se débarrasser d’eux est sûrement le moyen le plus efficace pour que ça ne se reproduise pas ! »

Spoiler:

Spoiler:

Mon intervention n'avait pas été la bienvenue, savoir que d'autre personne en poste n'était pas prêt à lever le petit doigt pour Clayton Maddison et les scientifiques. C'était clair pour moi mais apparemment pas pour Maddison. D'un côté je pouvais la comprendre cela faisait beaucoup trop à gérer d'un coup, mais plutôt que vouloir en parler plus tard et traiter le sujet urgent, elle préféra lever la voix sur une personne qui l'a tout de même aidé et une fillette qui avait eu peur pour son père de coeur.
J'avoue que j'étais un peu humilié et vexé de me faire si salement renvoyé devant une assemblée. Mais ma rancoeur contre ce Terrance n'allait pas se taire.

Dites merci à Briana et Norman qui ont fait leur boulot. Pas Terrance. Si chacun peut juger qui est digne ou non. Il pourra se promener nu dans le camp cet hiver, cela me sera égal. Je ne suis pas digne de son armurerie, il n'est pas digne de mes vêtements ? c'est ça le deal. Très bien j'attendrais June pour corriger ce soucis, tu as d'autres chats à fouetter. Vu que mon aide n'est plus nécessaires apparemment.....

Répondis-je d'air non chalant à Maddison. Décharger ses nerfs sur moi n'était ni une bonne idée et dire que c'était la pression n'était pas une excuse. Avant de partir je repris sur un ton de sarcasme pour faire comprendre à Maddison son erreur.

Si vous avez besoin de mon aide de nouveau. Vous n'avez qu'à tirer en l'air, je vais me rappliquer avec des cintres et mon mètre ruban pour vous aider tant que je peux. Sur ce bonne soirée messieurs dames. Zelda tu devrait aller au chevet de Clayton qui a lui été blessé...

Le message était passé. J'étais toujours de leur côté, je le serais toujours mais la jeune Summer devait comprendre que pour être une leader il fallait savoir se contrôler et peser ses mots car si j'étais conscient d'autres ne le seront pas toujours, même chez des allié de longue date. Heureusement que cela resterait entre le petit groupe. Sinon cela aurait donné raison à Monsieur Robertson.

résumé: