George Rosebury
Sam 21 Mar 2020 - 11:38
Rosebury
Prénom(s) : George William Jacob - ou George, tout simplement
Âge : 51 ans
Date de naissance : 6 mai 1968
Lieu de naissance : Londres
Nationalité : Anglaise
Groupe : The Exiles
Ancien métier : Major general dans l'armée du Royaume Uni
Célébrité : Colin Firth
Têtu
Cynique
(trop) fougueux
Snob
Logique
Patient
Cultivé
Protecteur
- Rien n’est plus imprévisible qu’un pur british avec trop de caractère… George, du fait de son passé et ses choix de vie, avait su développer ce qu’il fallait pour lutter contre la bonne société anglaise trop étriqué. A l’inverse, il avait pris certains de ses défauts, et plissait du nez devant une chemise trop mal taillée. Il était d’ailleurs très étonnant de constater que c’était toujours le cas des années après l’invasion des rôdeurs. Très conscient de cette partie superficielle de son caractère, il ne la cache pas pour autant, et essaye de se permettre quelques conforts qui le faisait sentir un peu plus digne.
Après tout, un bon costume et un accent snob avait été toute sa vie des armures nécessaire à sa survie dans l’aristocratie anglaise. Ça, et une détermination à toute épreuve : montrer sa valeur avait toujours été primordial, et s’il fallait pour cela agir de manière cynique, et abuser de son esprit logique, il était capable de le faire.
Il fallait savoir que l’homosexualité de George dans un milieu comme le sien l’avait obligé agir et réfléchir par et pour lui-même. Pour autant, dès son adolescence, sa loyauté allait à ceux qui savaient l’accepter, et ladite loyauté était faite d’acier.
La rigueur militaire faisait maintenant partie de ses traits de caractère, il en découlait un esprit carré et parfois rigide. Mais plus il avait monté les échelons, plus il avait pu prendre sous son aile quelques talents prometteurs, et se révéler très protecteur (presque papa poule). Pour ces quelques personnes qui avait su passer l’armure de snobisme anglais, il pouvait se comporter de manière très caractérielle, et montrer un tempérament fougueux qui contrastait avec tout le reste de son comportement.
- Les états unis. Entre tous les pays possibles où George pouvait se retrouver coincé dans une situation aussi improbable, il fallait que ce soit la nation où quelque chose d’aussi immonde que les Pop Tarts existe. Le début de toute cette mésaventure fut… déroutant. Autant dire que les réflexes du terrain sont rapidement revenus au militaire, qui s’organisa rapidement. Les engrenages de son esprit savaient gérer les situations stressantes. Mais rester aussi isolé dans un lieu étranger où les morts se réveillaient… Il fallait avouer que même la flegme anglais commençait sérieusement à se troubler. Il était en situation de guerre et son esprit alerte commençait à manquer le reste de sa division. La solitude lui pesait, surtout depuis que son chien était mort.
- 1 mètre 87 pour 76 kilos, George maintenait une très bonne forme pour son âge, n’ayant jamais fumé (sauf quelque chose vert, planant, durant ses années d’études…) ni trop bu (on ne reparlera pas de ses années d’études…), et ayant toujours maintenu ses activités physiques. Un léger défaut de vision l’oblige à porter des lunettes quand il lit, lunettes qu’il conserve très précieusement depuis 2015, inquiet comme il est de ne plus pouvoir en refaire (l’âge lui a donné des inquiétudes très superficielles).
Evidemment, depuis l’arrivée des rôdeurs, sa peau d’aristocrate s’est faite plus tannée et quelques cicatrices sans gravités sont apparues. Mais finalement, son physique est aussi passe partout qu’il l’a toujours été.
- Il a toujours sur lui son couteau militaire anglais de 18 centimètres, dont il ne se sépare jamais. Caché dans un fourreau attaché à son torse, il appelé ledit couteau « Harry » dans un moment d’extrême solitude (et c’est une information qu’il se gardera de divulguer, bien sûr).
Il a aussi trouvé un Benelli M3 Super 90 sur un cadavre à la tête éclatée, et conserve ses munitions précieusement. Le petit bijou italien lui est aussi très cher, même s’il s’en sert rarement (à cause du bruit).
Naissance – 1968 – Londres
La seule difficulté dans la vie de George semblait être la religion catholique de sa mère dans un milieu culturelle protestant. Un détail, dans la vie de ce poupin intelligent aux yeux clairs et aux cheveux noirs. Après tout : fortune, culture, famille, tout était déjà devant lui, et le chemin qui se traçait promettait d’être brillant. D’une certaine manière, il allait l’être, mais certainement pas aussi discret que ses parents ne l’espéraient.
Dans une maison de pierres blanches au cœur d’un quartier riche de London naissait donc George William Jacob Rosebury. Son père, homme d’affaire et comte de la noblesse anglaise, n’était dans son enfance qu’une odeur de pipe à tabac et le dessin d’un blason fièrement et frénétiquement dessinée partout sur ses affaires. Apparemment, l’absence paternelle n’était rien, mais il ne fallait pas que le petit chérubin bave ailleurs que sur un tissu où les trois croissants de lune sur fond bleu n’apparaissaient pas.
Quant à sa mère, elle avait ses qualités et ses défauts, mais il l’adorait, et jamais ce sentiment envers elle ne s’atténuerait : cette présence vaporeuse blonde droguée au Xanax l’avait envers et contre tout élevé avec amour, lui et ses deux petites sœurs.
Adolescence – 1983 - Londres
Sautillant sur une de ses chaussures vernies pour mieux enlever l’autre, George rentra en trombe dans l’hôtel particulier familial et salua avec chaleur ses deux petites sœurs. Le goûter improvisé allait être son bref moment de répit avant qu’il ne se plonge à nouveau dans les études, oubliant le reste avec difficulté.
Mais la tartine de marmelade fourrée dans sa bouche fut soudainement oubliée alors que son regard glissait par accident sur la chute de rein d’un domestique. Il s’étouffa aussitôt et projeta sur sa chemise blanche plein de petites tâches de groseille qui ne s’en iront jamais.
Il était assez malin pour savoir que sa vie risquait d’avoir quelques … complications, s’il ne s’arrangeait pas comme il le fallait.
Études – 1989 – Oxford
Oxford signait la fin de son enfance comme de son adolescence. Les études de droit international étaient passionnantes. Il apprit aussi le latin, puis l'italien et l'espagnol. Par ailleurs, George avait découvert comment rendre ses pauses plus amusantes, et visitait parfois la chambre de ses camarades. Il n’était pas le seul dans son cas, et lui comme une poignée d’autres savaient se distraire en toute discrétion. Outre le sexe, un peu de cannabis, du bon scotch et un jeu de billard savait rendre les samedis après-midi plus distrayants. Si son père le regardait parfois d’un air méfiant quand il rentrait à Londres, George n’en avait cure et avait d’une certaine manière la bénédiction de sa mère.
Et puis, d’un autre côté, il s’était aussi révélé très bon ailier au rugby, et écraser fréquemment l’équipe de Cambridge lui conférait une petite célébrité qui lui garantissait la paix. Ainsi, l’école comme l’autorité paternelle fermait les yeux sur ses petites activités illicites.
L'armée – 1991 – Londres
Il ignorait pourquoi l’armée l’attirait. Après tout, il y avait des carrières plus discrètes pour les personnes dans son genre. Mais il enfila néanmoins l’uniforme d’officier, fit ses classes et s’intégra avec une facilité surprenante. Après tout, c’était le même genre de milieu masculin qu’à Oxford, ou dans l’équipe de rugby. Et s’il pouvait être surprenant qu’un enfant presque entièrement entouré de femmes finisse dans des milieux avec uniquement (ou presque) des hommes, il ne s’en plaignait pas.
Les folies de l’université étaient terminées, cela-dit, et une période de disette s’imposait : après tout, la présence d’homosexuels au sein de l’armée était toujours interdite, et le sujet n’était même pas encore d’actualité.
Le coming out – 2000 – Londres
Et puis la loi passa. Les révélations à droite et à gauche arrivaient. Au début, George comptait se taire, entouré qu’il était par la pudeur… Absorbé par la honte, aussi. Et puis quelques blagues de mauvais goûts fusèrent, avec pour pauvre victime un simple soldat.
Jamais l’aristocrate n’avait recadré ses hommes avec autant de violence. Quelques-uns avaient même lâchés une ou deux larmes de terreur face à leur supérieur qui osa enfin révéler qu’il était un « enfoiré de pédé et si ça vous posait un problème, prendre la porte est l’option la moins violente que j’ai à vous proposer. »
L'armée avait relativement bien encaissé le coup. L'aristocratie l'avait pratiquement mis au banc de sa société. Sa mère l'avait accepté avec amour, comme elle le faisait toujours. Son père n'a jamais voulu le revoir avant son décès. Comme il l'avait prévu, les réactions étaient mitigés, et il ne pouvait rien y faire
La réussite professionnelle – 2010 - Londres
Le titre de Major General était évidemment une réussite de tous les points de vue. Il n’était qu’à deux échelons d’être l’homme le plus important de l’armée de terre. Il n’allait pas y parvenir, évidemment, il n’était pas politicien après tout. Mais il avait sous ses ordres une énorme quantité d’hommes, et on lui prédisait déjà le poste de General avant sa retraite. Sa carrière ne lui avait laissé strictement aucune place pour sa vie privé, et George gardait à 2 ans et demi le record de sa plus longue relation. Il fallait dire qu'être marié à l'armée britannique était déjà une activité chronophage, et qui laissait peu de place au reste. Il s'en contentait.
Bien sûr, quelques médias de gauche avaient saisi l’occasion pour faire un entrefilet : « un Comte homosexuel a atteint le poste de Major General ».
Il se fichait de tout cela.
Après tout, ce qui le satisfaisait le plus dans son job actuel était la qualité de mentor qu’il endossait souvent pour les soldats sous sa responsabilité.
Seattle - septembre 2015 : on l'avait envoyé prendre contacts avec quelques politiciens de Seattle. Le manque de diplomatie de George ne l'avait jamais vraiment destiné à jouer ce rôle, mais cela allait de pair avec la fonction d'officier supérieur, et il acceptait ces petits désagréments qui l'éloignait de sa capitale brumeuse. Après tout ils n'étaient que temporaires.
Il soupçonnait aussi ses supérieurs de l'envoyer, lui, à Seattle, parce qu'envoyer un officier ouvertement homosexuel était plus intéressant quand la ville en question était particulièrement de gauche. George ne pouvait pas vraiment leur en vouloir : tactique et politique, c'était leur métier.
• 27/09/15 / Olympic national forest : Les rumeurs semblaient improbables sur tous les réseaux sécurisés. George se trouvait dans la villa d’un dignitaire américain, loin du brouhaha de Seattle. Et voilà que depuis quelques heures, les deux hommes se regardaient en chien de faïence, conscient tous les deux que l’autre savait ce qu’il se passait, mais incapable de contredire les ordres clairs de la hiérarchie pour partager leurs informations.
Puis enfin, le ministre de la Défense demande la collaboration envers les Etats Unis et tout leurs ressortissants, et le Major General comme le politicien peuvent enfin partager leurs inquiétudes. Le premier mot qui sort entre eux laisse présager le futur : « pandémie ».
C’est faible, léger, petit, mais jour après jour, les barrières se ferment, et on demande à l’anglais de rester sur place pour assurer la liaison entre les deux pays anglophones. Quand c’est le premier ministre qui vous demande cela, vous obéissez, généralement. Et les voilà cloîtrés dans la villa. Le militaire n’en peut plus, veut exploser, transmettre l’information à Seattle, bouger quelque part et se rendre utile. Mais le politicien les enferme dans la villa. Les voilà barricadés.
• 06/05/16 / Olympic national forest : Il ignore comme l’infection est rentrée dans le huis clos. Mais voilà que George tue l’américain – Samuel – d’un bon coup de couteau dans l’œil. Bon anniversaire George ! Il fallait pourtant obligatoirement un contact avec l’extérieur pour être infecté, non ? Mais tout était fermé, et ce n’était pas le politicien avec son cœur fragile qui allait escalader les barricades. Enfin… Une fois tout seul, George doit se résoudre à défoncer les portes métalliques que Samuel avait fermé. Après tout, les vivres se font rares, et il ne va pas rester enfermé seul avec son yorkshire Lady. Il risquerait de finir par manger la pauvre chienne, et rien que l’idée lui serrait le cœur.
C’est maigre comme un des infectés qu’il réussit à sortir de la villa, après des jours à batailler avec un fer à souder contre une énorme porte blindée. Mais le voilà prêt à affronter l’extérieur, après quelques mois dans cette prison dorée.
• 21/09/17 / Olympia : Il y en avait d’autres. D’autres survivants. Ils étaient là, en plein cœur de la ville, et ils semblaient en bonne santé. Sales et épuisés mais en bonne santé. Un instinct ridicule leur demanda en tout premier s’ils avaient quelques nouvelles sur l’Angleterre. Les rires qu’il obtint en réponse l’obligèrent à taire sa question sur l’état de santé de la Reine.
Et puis l’anglais se vit offrir de la nourriture. De la viande. Avec un anneau de mariage accroché à un os. Sa mâchoire se contracta, son sens éthique se vit tout chamboulé, et sa flegme anglaise le fit sortir très sereinement son énorme couteau militaire. Le combat fut long, fatiguant, mais pour finir, George en sortit vivant. Il allait devoir apprendre la survie en ville dans ce contexte si particulier.
Il apprit rapidement : "l'homme est un loup pour l'homme". A Olympia, il ne trouva que des cannibales, ou quelques groupes trop désespérés. Il était peut être trop cynique, mais il refusait de se joindre à des groupes trop fragiles ou peu organisés. Cela semblait être comme l'aller simple pour la mort, et la transformation en rôdeur. Clairement pas pour lui.
A un moment, il se lia d'amitié avec une caissière de son âge, qui lui révéla les informations qu'il n'avait pas pu récolter, à force de vivre en solitaire. Mais au bout de 2-3 mois, elle émit l'idée de rôtir Lady pour en faire son dîner, et George l'abandonna aussitôt pour reprendre son chemin.
• 01/08/2019 / Olympia : Le bruit de la musique secoua le britannique. Aussitôt, l’adrénaline parcourut ses veines. Les années avaient fini par lui inculquer quelques réflexes, et il savait bien que le bruit signifiait l’arrivée de rôdeurs. Quelle idée stupide il avait eu de rentrer en conflit avec ces redneck ! La dispute n'était que sur quelques aliments, mais l'anglais y tenait assez et il avait perdu patience, entre les insultes et l'accent imbuvable de ces imbéciles.
Sauf que les imbéciles en question avaient mijotés une vengeance de leur crû, et voilà que des amplis plus grandes que leur 4x4 se trouvaient à l'entrée du refuge du britannique, diffusant au maximum "Dixie", l'hymne des confédérées.
« Les salauds. »
L'insulte avait été murmurée entre ses dents avant qu'il ne se jette sur les amplis. Mais d'énormes chaines l'empêchaient d'éteindre le vacarme. Ces ploucs avaient tué son refuge pour quelques rations de survie.
Un grognement lui rappela la réalité, et il saisit son sac, toujours prêt au pied de sa couche. Il s'apprêta à partir en trombe quand il se rendit compte que quelqu'un manquait à l'appel :
« Lady ! »
Le yorkshire était introuvable. George s’était fait avoir par le calme apparent d’Olympia ces derniers jours, et avait laissé la chienne aller plus loin qu’à son habitude ! Mais quelle idée à la con d’adopter un chien aussi petit et sans défense aucune. Si le militaire avait su auparavant que l’apocalypse était prévue, il aurait adopté un rottweiler plutôt que ce petit paillasson ridiculement mignon auquel il tenait affreusement.
Malheureusement, si George survécut à cette marée de zombie, il trouva plus tard les ossements du petit yorkshire.
Pour la première fois de toute sa vie, il était réellement seul.
Et il adopta la solitude, évitant les humains qu'il croisaient ça et là. Longtemps, il fit le vautour, survivant surtout en dépouillant les cadavres de rôdeurs. Puis après il essaya de s'oublier dans la chasse.
Il avait été malheureux à la villa, emprisonné avec Samuel - langue - de - bois. Il avait réussi à vivre, plutôt que survivre, dans la forêt et à Olympia, avec Lady. Maintenant qu'il était seul, il avait touché le fond et se semblait même pas vouloir en sortir.
La seule manière de sortir de cette boue
• 02/02/20 / Seattle : Aller en ville semblait dangereusement inconscient, mais George était dangereusement seul. Ce n’était plus viable, plus depuis la mort de Lady. Le fusil de pompe qu’il venait de trouver lui donnait une certaine assurance, et il devait maintenant trouver un groupe… ou mourir. Quelque part, il y était résigné. S’il avait réussit à survivre depuis bientôt cinq ans, il s’était bien trop habitué à parler seul pour que ce soit preuve d’une bonne santé mentale.
Le voilà arrivé au No man's land, horrible nom qui ne pouvait que rappeler qu'une autre guerre, dans un autre siècle, sur un autre continent.
Chez les exilés, George met au service de la communauté ses compétences militaires : prendre soin des armes, enseigner le tir aux néophytes, ou chasser, ce sont des activités de la vie de tous les jours. Il pratique aussi la chasse à la prime avec ferveur, satisfaisant son addiction à l’adrénaline qui trouble son caractère calme.
Son rapport à l’autorité est plutôt sain : de par son passé, il aime quand les hiérarchies sont claires. En l’occurrence, venant d’arriver, il a quelques appréhensions sur la vie en micro-communauté, mais ne se laisse pas impressionner par ses inquiétudes.
• Âge irl : 21 ans
• Présence : une fois par semaine... Plus fréquente pendant le confinement, évidemment
• Personnage : Inventé [ X ] / scénario/prédef [ ]
• Code du règlement : He who sat on it had the name death
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Re: George Rosebury
Sam 21 Mar 2020 - 11:39
Courage pour ton personnage et ta fiche!
- Johanna L. Gordon
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Re: George Rosebury
Sam 21 Mar 2020 - 11:45
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Re: George Rosebury
Sam 21 Mar 2020 - 14:48
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Re: George Rosebury
Sam 21 Mar 2020 - 14:58
Bonne rédaction !
N'hésite pas si tu as des questions !
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