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Re: Don't follow me !
Lun 11 Jan 2021 - 23:39
Tu t'es fais avoir !
Abigail & Chara
>- J’ai pas dis que j’allais pas finir par te kidnapper mais je te suivais pas depuis des heures pour le plaisir. C’est à cause d’une stupide histoire d’honneur que tu n’arriverais pas à saisir, dit-elle se maudissant de sa propre connerie. Elle aurait dû l’attraper et la traîner jusqu’à ces bandits sans se soucier de tout ça.
Encore une fois elle avait chercher à jouer à la bonne chasseuse de prime comme si ce métier était honorable ! Son code s’était retourner contre elle et la voilà menacer par une arme. Quel terrible situation n’empêche, être sympa pour une fois et finir en position de victime.
- Mon contrat, mon fameux contrat. J’ai une récompense seulement si je te ramène donc rien ne m’empêche de l’abandonner. Ils ne me retrouveront pas et je n’ai aucune dette envers eux. Quelques chargeurs en plus ça ne mange pas de pain mais de là a embarquer une innocente, non ça ira. J’suis pas une daleuse quand même mais par contre s’ils savent que j’ai sympathiser avec toi ça risque de barder pour nous deux. Donc si tu veux faire d’une pierre deux coups en te débarrassant de ce soucis avec moi, laisse-moi reprendre mon arme et ont ira les secouer.
La jeune femme marqua un temps de pause réfléchissant à ses arguments, elle changeait son fusil d’épaule très rapidement et comment lui expliquer ce revirement de situation ? Comment ne pas paraître suspecte envers cette femme qui quelques minutes en arrière fut encore sa proie ? Il y a de quoi être paranoïaque surtout en se sachant rechercher.
- Je sais que ça fait très cliché mais vaut mieux que je sois dans ton camp que l’inverse. Parce que si je disparais du jour au lendemain, ils hésiteront pas à en recruter d’autres et de plus en plus. Ces gens avaient l’air vraiment décidé de te retrouver. Cela m’étonnerait même pas que malgré les chasseurs à ta trousse, ils mènent leur propre traque à côté. Soit tu t’en débarrasse maintenant soit ils te suivront jusqu’à que tu fasses une erreur de merde et qu’ils te butent.
Beaucoup de parlote pour peu d’action mais l’équipement de la chasseuse et son air réfléchi ne donnait pas une impression d’amateur, de plus l’ancienne athlète estimait ses paroles plutôt sage et concises. Elle ne pouvait pas faire plus convaincre Chiara !
Encore une fois elle avait chercher à jouer à la bonne chasseuse de prime comme si ce métier était honorable ! Son code s’était retourner contre elle et la voilà menacer par une arme. Quel terrible situation n’empêche, être sympa pour une fois et finir en position de victime.
- Mon contrat, mon fameux contrat. J’ai une récompense seulement si je te ramène donc rien ne m’empêche de l’abandonner. Ils ne me retrouveront pas et je n’ai aucune dette envers eux. Quelques chargeurs en plus ça ne mange pas de pain mais de là a embarquer une innocente, non ça ira. J’suis pas une daleuse quand même mais par contre s’ils savent que j’ai sympathiser avec toi ça risque de barder pour nous deux. Donc si tu veux faire d’une pierre deux coups en te débarrassant de ce soucis avec moi, laisse-moi reprendre mon arme et ont ira les secouer.
La jeune femme marqua un temps de pause réfléchissant à ses arguments, elle changeait son fusil d’épaule très rapidement et comment lui expliquer ce revirement de situation ? Comment ne pas paraître suspecte envers cette femme qui quelques minutes en arrière fut encore sa proie ? Il y a de quoi être paranoïaque surtout en se sachant rechercher.
- Je sais que ça fait très cliché mais vaut mieux que je sois dans ton camp que l’inverse. Parce que si je disparais du jour au lendemain, ils hésiteront pas à en recruter d’autres et de plus en plus. Ces gens avaient l’air vraiment décidé de te retrouver. Cela m’étonnerait même pas que malgré les chasseurs à ta trousse, ils mènent leur propre traque à côté. Soit tu t’en débarrasse maintenant soit ils te suivront jusqu’à que tu fasses une erreur de merde et qu’ils te butent.
Beaucoup de parlote pour peu d’action mais l’équipement de la chasseuse et son air réfléchi ne donnait pas une impression d’amateur, de plus l’ancienne athlète estimait ses paroles plutôt sage et concises. Elle ne pouvait pas faire plus convaincre Chiara !
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Re: Don't follow me !
Dim 24 Jan 2021 - 13:01
Bon, clairement, elle part pas gagnante. Les histoires d'honneur sont monnaie commune, ou du moins elles l'étaient avant que le monde ne s'écroule chez les irlandais, qu'ils soient des USA ou de l'île. C'est quelque chose qui est dans notre sang, dans notre ADN. C'est ce qui explique que je ne baisse pas mon arme... Mais, dans un autre sens, la brune n'a pas vraiment tort... A savoir si je pouvais lui faire confiance ? Tout indiquait que oui, mais la prudence restait de mise.
Etait-ce une véritable prise de conscience de celle qui se disait chasseuse de primes ? Ou un simple piège pour m'amener à ces types, ou femmes, auxquels je ne savais pas ce que j'avais bien pu faire pour que mon visage, ou mon nom, soit la cible d'une traque ? Certes, je n'étais plus une enfant de coeur depuis bien longtemps alors, quelques unes des épreuves et rencontres que j'avais surmonté pouvait justifier ses dires...
Je finissais, après l'avoir écouté attentivement, par baisser légèrement le canon de mon arme, dirigeant celui-ci à portée de ses pieds, prête à relever celle-ci si jamais je m'étais trompé.
- "Tu m'as l'air honnête..." Entamais-je, bien qu'elle parle beaucoup trop, quelque chose me disait, mon instinct probablement, de lui faire confiance. "Mais j'suppose, je sais pas, rapidement, que ce sera pas gratuit ? Qu'est-ce que je vais te devoir si on s'entraide et que tu m'indiques qui me veut du mal ?"
Par cela, j'entendais bien que ma confiance n'était pas encore à son summum et que je me voyais mal partir à la chasse aux mécréants en compagnie d'une fille qui m'avait traquée des kilomètres durant. Aussi bienveillante se disait-elle... Enfin, peut-être le regretterais-je, mais autant faire un pas en avant moi aussi.
- "Récupère ton arme va." Abdiquais-je finalement, la laissant faire, non sans me cramponner à la mienne et être prête à la relever si jamais elle tentait quelque chose. "C'est ma première part du marché. Maintenant, discutons des termes et prouve moi que tu comptes pas me jeter dans la gueule du loup ok ?"
Tout le monde attendait quelque chose de tout le monde aujourd'hui. Toujours alerte, j'attendais qu'elle pose les conditions de son aide, à défaut de paraître suspecte si elle ne faisait cela que par bienveillance. Et en ce cas, je n'savais pas encore si j'allais lui caler une simple balle dans l'épaule... Ou dans la tête. En tout cas, vu qu'elle avait son fer de nouveau entre les mains, je devrais être la plus rapide.
Erreur ? Tu verras bien maintenant que c'est fait.
Etait-ce une véritable prise de conscience de celle qui se disait chasseuse de primes ? Ou un simple piège pour m'amener à ces types, ou femmes, auxquels je ne savais pas ce que j'avais bien pu faire pour que mon visage, ou mon nom, soit la cible d'une traque ? Certes, je n'étais plus une enfant de coeur depuis bien longtemps alors, quelques unes des épreuves et rencontres que j'avais surmonté pouvait justifier ses dires...
Je finissais, après l'avoir écouté attentivement, par baisser légèrement le canon de mon arme, dirigeant celui-ci à portée de ses pieds, prête à relever celle-ci si jamais je m'étais trompé.
- "Tu m'as l'air honnête..." Entamais-je, bien qu'elle parle beaucoup trop, quelque chose me disait, mon instinct probablement, de lui faire confiance. "Mais j'suppose, je sais pas, rapidement, que ce sera pas gratuit ? Qu'est-ce que je vais te devoir si on s'entraide et que tu m'indiques qui me veut du mal ?"
Par cela, j'entendais bien que ma confiance n'était pas encore à son summum et que je me voyais mal partir à la chasse aux mécréants en compagnie d'une fille qui m'avait traquée des kilomètres durant. Aussi bienveillante se disait-elle... Enfin, peut-être le regretterais-je, mais autant faire un pas en avant moi aussi.
- "Récupère ton arme va." Abdiquais-je finalement, la laissant faire, non sans me cramponner à la mienne et être prête à la relever si jamais elle tentait quelque chose. "C'est ma première part du marché. Maintenant, discutons des termes et prouve moi que tu comptes pas me jeter dans la gueule du loup ok ?"
Tout le monde attendait quelque chose de tout le monde aujourd'hui. Toujours alerte, j'attendais qu'elle pose les conditions de son aide, à défaut de paraître suspecte si elle ne faisait cela que par bienveillance. Et en ce cas, je n'savais pas encore si j'allais lui caler une simple balle dans l'épaule... Ou dans la tête. En tout cas, vu qu'elle avait son fer de nouveau entre les mains, je devrais être la plus rapide.
Erreur ? Tu verras bien maintenant que c'est fait.
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- Chiara O'Malley
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Re: Don't follow me !
Ven 29 Jan 2021 - 22:24
Business is business
Abigail & Chara
>Sa vie aurait suffit comme offre d’échange mais maintenant que Chiara avait poser ce sujet sur la table, la jeune femme n’allait pas se gêner pour s’engouffrer dans la brèche. Cela serait un vrai coup de maître de sa part de se faire récompenser alors qu’elle avait complètement échouer à sa tâche, par sa cible qui plus est ! La chasseuse envisage sérieusement de se mettre au poker avec des coups aussi osé.
- Que je puisse récupérer mon arme déjà ensuite on verra je préfère pas que tu me paies avant que le travail soit fait. On s’occupe de tes mystérieux ennemis puis on discutera d’une récompense, dit-elle plutôt raisonnable. Se faire payer d’avance c’était un vrai aimant à merde, déjà parce que les arnaques étaient courantes et ensuite parce que le client devenait soudainement plus exigeant.
Abigail savait aussi qu’en demander trop, se montrer avide ne la ferait pas monter dans l’estime de Chiara. Or pour s’en sortir c’était tout le but. Gagner sa confiance pour mettre fin à cet interminable échange. Personne apprécie avoir la lourde menace d’un canon pointer sur soit.
Elle ne se fit d’ailleurs pas prier lorsqu’elle lui autorisa à récupère son assurance-vie, ce bout de métal porteur de mort et garanti de sa survie. Sans geste brusque craignant que l’autre ait la gâchette facile, Abigail récupéra l’arme puis ré-emboîta avec agilité le chargeur dans sa chambre. Elle aurait pu tirer aussitôt après et se débarrasser du «problème» mais elle n’était pas Lucky Luck et tirer plus vite que son ombre ne suffit pas à devenir invincible face aux balles. Ensuite le dit «problème» lui paraissait plus sympathique et ouverte que ses commanditaires. Elle était la victime de cet histoire et la jeune femme ne voulait pas endosser le terrible rôle de bourreau.
- C’est simple, soit on les retrouve et on les fait faire un tour en enfer ou bien on n’y arrive pas et nos chemins se séparent après que tu m’as échanger quelques balles contre la garantie que je te laisserais tranquille prime juteuse ou pas.
Ses termes lui paraissaient pas déconnant, Abigail ne voulait surtout pas repartir les mains vides. Perdre une journée serait terrible pour elle qui vivait ces temps-ci sur le fil. Quelques peaux et viandes par-ci par-là, une prime parfois lui permettait tout juste de se ravitailler.
- Que je puisse récupérer mon arme déjà ensuite on verra je préfère pas que tu me paies avant que le travail soit fait. On s’occupe de tes mystérieux ennemis puis on discutera d’une récompense, dit-elle plutôt raisonnable. Se faire payer d’avance c’était un vrai aimant à merde, déjà parce que les arnaques étaient courantes et ensuite parce que le client devenait soudainement plus exigeant.
Abigail savait aussi qu’en demander trop, se montrer avide ne la ferait pas monter dans l’estime de Chiara. Or pour s’en sortir c’était tout le but. Gagner sa confiance pour mettre fin à cet interminable échange. Personne apprécie avoir la lourde menace d’un canon pointer sur soit.
Elle ne se fit d’ailleurs pas prier lorsqu’elle lui autorisa à récupère son assurance-vie, ce bout de métal porteur de mort et garanti de sa survie. Sans geste brusque craignant que l’autre ait la gâchette facile, Abigail récupéra l’arme puis ré-emboîta avec agilité le chargeur dans sa chambre. Elle aurait pu tirer aussitôt après et se débarrasser du «problème» mais elle n’était pas Lucky Luck et tirer plus vite que son ombre ne suffit pas à devenir invincible face aux balles. Ensuite le dit «problème» lui paraissait plus sympathique et ouverte que ses commanditaires. Elle était la victime de cet histoire et la jeune femme ne voulait pas endosser le terrible rôle de bourreau.
- C’est simple, soit on les retrouve et on les fait faire un tour en enfer ou bien on n’y arrive pas et nos chemins se séparent après que tu m’as échanger quelques balles contre la garantie que je te laisserais tranquille prime juteuse ou pas.
Ses termes lui paraissaient pas déconnant, Abigail ne voulait surtout pas repartir les mains vides. Perdre une journée serait terrible pour elle qui vivait ces temps-ci sur le fil. Quelques peaux et viandes par-ci par-là, une prime parfois lui permettait tout juste de se ravitailler.
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Re: Don't follow me !
Dim 7 Fév 2021 - 11:26
Mes mystérieux ennemis... Y'avait pas à dire mais je voyais pas qui j'avais pu mettre de travers alors que j'évitais le plus possible les rencontres actuellement. Seulement, y'avait des gens qui avaient la rancune sévère et peut-être que des actes de l'année passée refaisait surface... Sauf qu'à l'époque, je faisais parti d'un groupe. La vie de plusieurs personnes pouvait dépendre de la vie d'une seule. On devait se serrer les coudes et éliminer n'importe quelle menace potentielle à l'époque... J'vois que ça ?
Enfin, la brune m'interpellait de nouveau avec ses histoires de récompense. Mouais... J'connaissais bien ça, les histoires de "on verra plus tard", ça n'avait rien de bon non plus si elle décidait que le paiement était pas suffisant. Dans un autre temps, mon instinct me disait de lui faire confiance et d'la laisser récupérer son arme. Sans coup de pute... C't'à dire que j'allais pas lui coller une bastos en en profitant qu'elle soit penchée. Une fois ceci fait, je souriais de toute mes dents, avant de répondre.
-"Donc, juste des balles ? J'croyais qu'on en discuterait après ? M'enfin, soit, allons y pour ce prix !" Déclarais-je en m'approchant d'elle, lentement tout de même, les yeux rivés sur ses gestes et le fusil prêt à être remis en joue, pour lui tendre une main. Il fallait bien sceller ce pacte. "J'm'appelle..." Je me stoppais un instant, sourcil tendu suspicieusement. "Au No Man's Land tu dis ? Alors, devait y'avoir mon nom sur la prime non ?"
Bien que je prenne tout doucement confiance, ça n'empêchait pas d'essayer d'en savoir plus, comme ça ne serait pas la première fois qu'on essaierait de m'entuber avec un peu de fausse gentillesse. Les gens pouvaient être sacrément pervers pour arriver à leurs fins. M'enfin, ça allait me desservir si je ne faisais que regarder ses faits et gestes. Faut t'détendre Chi'.
-"Excuse moi, j'suis encore toute tendue... C'est que j'ai pas foutu un pied là bas depuis un moment, j'comprends pas pourquoi y'a une prime sur ma tronche." Fis-je en finissant par fouiller dans les poches de mon pantalon et d'en sortir un plan où j'avais entouré l'endroit exact où je comptais me rendre. "J'vais t'payer en avance, ça évitera que tu t'retournes contre moi hein. Dans ce coin et si il m'arrive un truc, y'a un peu de matos que j'ai laissé traîner, j'suis sûr que ça vaut plus que c'qu'il comptait te payer." Alors, il restait plus qu'à y aller maintenant ? "On ferait mieux de tailler maintenant non ?" Question rhétorique, suffisait de regarder le ciel et les journées n'était pas longues comme en Arctique. Ou c'était l'autre pôle ? On s'en fout non ?
Ca fait déjà plusieurs heures qu'on est sur la route et comme j'l'avais deviné, un voile s'abattait à l'horizon. Fallait qu'on trouve un endroit pour la nuit, même si elle me signalait qu'on était plus loin... Avec le peu de visibilité qu'on aurait dans le noir et le manque d'infos, ça serait du grand suicide de tenter de jouer aux plus connes maintenant.
-"On va devoir passer la nuit ensemble j'crois. En tout cas moi, j'avance pas plus dès qu'on tombe sur un endroit secure pour enlever mes godasses."
Enfin, la brune m'interpellait de nouveau avec ses histoires de récompense. Mouais... J'connaissais bien ça, les histoires de "on verra plus tard", ça n'avait rien de bon non plus si elle décidait que le paiement était pas suffisant. Dans un autre temps, mon instinct me disait de lui faire confiance et d'la laisser récupérer son arme. Sans coup de pute... C't'à dire que j'allais pas lui coller une bastos en en profitant qu'elle soit penchée. Une fois ceci fait, je souriais de toute mes dents, avant de répondre.
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Bien que je prenne tout doucement confiance, ça n'empêchait pas d'essayer d'en savoir plus, comme ça ne serait pas la première fois qu'on essaierait de m'entuber avec un peu de fausse gentillesse. Les gens pouvaient être sacrément pervers pour arriver à leurs fins. M'enfin, ça allait me desservir si je ne faisais que regarder ses faits et gestes. Faut t'détendre Chi'.
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Ca fait déjà plusieurs heures qu'on est sur la route et comme j'l'avais deviné, un voile s'abattait à l'horizon. Fallait qu'on trouve un endroit pour la nuit, même si elle me signalait qu'on était plus loin... Avec le peu de visibilité qu'on aurait dans le noir et le manque d'infos, ça serait du grand suicide de tenter de jouer aux plus connes maintenant.
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Re: Don't follow me !
Sam 13 Fév 2021 - 13:44
Une fragile entente
Abigail & Chara
>Ainsi elle ne savait pas comment fonctionnait les primes ? Ou bien elle faisait semblant d’être idiote pour la piéger ? La jeune femme ne laisse pas longtemps la chasseuse dans ces interrogations car elle s’empressa d’ajouter qu’elle était chamboulée par ces événements. Tu m’étonnes ! Qui aimerait savoir que des types n’auront de cesse de te chercher juste pour une stupide récompense. Elle était innocente et son moment de faiblesse le confirmait d’autant plus. Les deux femmes devaient à présent se faire confiance sans quoi elle finirait au fond d’un fossé avant qu’elles n’aient le temps de souffler.
Briser un contrat était synonyme de danger car vous vous mettiez automatiquement en opposition avec vos employeurs, vous preniez même sans le vouloir le parti de votre cible. Cette situation ne pouvait se régler que dans le sang, que dans la destruction de l’un des partis. Si possible adverse car qui sait ce qu’ils pourront leur infliger en cas de défaite ? Il n’y a plus personne pour venir à leur secours, plus de loi qui les protègent et encore moins de personne pour la faire exécuter. Chaque choix était déterminant.
- Parfois il y a un nom d’autres non, ce n’est pas le plus utile de toute façon. On ne retient que les dessins des visages c’est plus parlant qu’un simple prénom, lui informa-t-elle sur un ton relativement neutre. Car les primes n’étaient pas que capturer ou tuer d’autres survivants mais parfois en retrouver, sauver des âmes perdues incapable de se défendre. Rien n’était noir ni blanc surtout dans ce genre de métier.
Puis la chasseuse acquiesça ne souhaitant pas partir dans un débat suite à ses dires. Si elle souhaitait la payer d’avance, tant mieux, ça lui fera plus de balles à décharger sur leur nouveaux ennemis.
Elles partirent toute les deux, un fragile contrat faisant tenir leur nouvelle entente. Les arbres défilèrent, les routes se succédèrent. Chacun était joncher de voiture ici et là, carcasse symbole d’un temps révolue. Victime silencieuse d’un monde en ruine. Sauf que la chasseuse n’était pas là pour faire de la poésie, ainsi lorsqu’elle vit le soleil se coucher sous la cime des arbres, elle ne chercha pas à le contempler. Au lieu de ça, elle se mit aussitôt à chercher un endroit convenable pour y passer la nuit. Car voyager dans la noirceur de celle-ci est une erreur de débutant voir d’inconscient. Sa partenaire fit la même réflexion et notre jeune femme se contenta de dire :
- J’ai une tente et un sac de couchage, on serra serré mais cela fera l’affaire. On peut faire un feu aussi mais on risque d’attirer des saletés voir des gens. Sinon, elle prit une pause ne souhaitant pas vraiment choisir cette option, on peut chercher une cabane ou une maison dans le coin et s’y installer. Ceux qui te cherchent passeront peut-être dans le coin.Ils m'avaient engager seulement pour leur faciliter la tâche.
Briser un contrat était synonyme de danger car vous vous mettiez automatiquement en opposition avec vos employeurs, vous preniez même sans le vouloir le parti de votre cible. Cette situation ne pouvait se régler que dans le sang, que dans la destruction de l’un des partis. Si possible adverse car qui sait ce qu’ils pourront leur infliger en cas de défaite ? Il n’y a plus personne pour venir à leur secours, plus de loi qui les protègent et encore moins de personne pour la faire exécuter. Chaque choix était déterminant.
- Parfois il y a un nom d’autres non, ce n’est pas le plus utile de toute façon. On ne retient que les dessins des visages c’est plus parlant qu’un simple prénom, lui informa-t-elle sur un ton relativement neutre. Car les primes n’étaient pas que capturer ou tuer d’autres survivants mais parfois en retrouver, sauver des âmes perdues incapable de se défendre. Rien n’était noir ni blanc surtout dans ce genre de métier.
Puis la chasseuse acquiesça ne souhaitant pas partir dans un débat suite à ses dires. Si elle souhaitait la payer d’avance, tant mieux, ça lui fera plus de balles à décharger sur leur nouveaux ennemis.
Elles partirent toute les deux, un fragile contrat faisant tenir leur nouvelle entente. Les arbres défilèrent, les routes se succédèrent. Chacun était joncher de voiture ici et là, carcasse symbole d’un temps révolue. Victime silencieuse d’un monde en ruine. Sauf que la chasseuse n’était pas là pour faire de la poésie, ainsi lorsqu’elle vit le soleil se coucher sous la cime des arbres, elle ne chercha pas à le contempler. Au lieu de ça, elle se mit aussitôt à chercher un endroit convenable pour y passer la nuit. Car voyager dans la noirceur de celle-ci est une erreur de débutant voir d’inconscient. Sa partenaire fit la même réflexion et notre jeune femme se contenta de dire :
- J’ai une tente et un sac de couchage, on serra serré mais cela fera l’affaire. On peut faire un feu aussi mais on risque d’attirer des saletés voir des gens. Sinon, elle prit une pause ne souhaitant pas vraiment choisir cette option, on peut chercher une cabane ou une maison dans le coin et s’y installer. Ceux qui te cherchent passeront peut-être dans le coin.Ils m'avaient engager seulement pour leur faciliter la tâche.
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Re: Don't follow me !
Lun 22 Mar 2021 - 11:17
Donc les connards qui m'cherchait avait pris le temps de faire mon portrait robot. Ca m'donnait de plus en plus l'idée que j'ne connaissais pas ces types. Que peut-être, ces abrutis avait juste confondu ma trogne avec celle d'une autre blonde au teint pâle et que ça aurait pu mener à ma capture et à ma mort. Super. Enfin....
Ca aurait pu être pas de chance pour moi mais j'commence à faire confiance à cette fille. Surtout que ça fait déjà bien trop longtemps qu'on s'regarde dans le blanc des yeux.
"J'ai comme la cruelle impression que les abrutis qui t'ont engagés ne doivent pas être doués avec un crayon."
J'espère avoir raison en tout cas, sinon c'est le passé qui m'rattrape. Et vu les atrocités que j'ai pu commettre, ça serait vraiment pas de bol. Alors, j'accepte les termes de ce "contre-contrat".
On a donc marché jusqu'à ce que le ciel prenne une teinte orangée. J'ai mal aux pieds. Franchement, j'suis crevée et j'veux me poser.
"Une tente ?" Repétais-je, grinçant légèrement des dents... Je n'aimais pas trop l'idée. A l'intérieur, on est vulnérable. Ok, on pourrait monter la garde à tour de rôle, mais vu la fatigue qui me gagne, j'aurais bien peur de m'endormir durant mon tour et nous conduire à une mort certaines toutes les deux. "J'aime pas trop l'idée. Il nous faudrait une maison, ou même une cabane de garde chasse. Un endroit d'où on pourrait voir arriver l'ennemi non ?"
On poursuit donc notre route, jusqu'à une intersection où un vieux panneau au sol indique l'emplacement d'un soit disant "parc de mobil-home". Seulement, vu qu'il est déglingué et au sol. Faut connaître le secteur pour savoir dans quelle direction il se trouve.
"Tu sais où ça se trouve ?" J'lui tends le panneau rouilé. Si j'ai l'accent new-yorkais, elle a un accent d'ce côté d'la Côte alors même si j'commence à connaître la région, j'préfère me fier à elle. J'me fie enfin à elle en toute confiance plutôt. "Doit bien rester un ou quelques caravanes là bas non ?" Ca serait une chance, parce que si ces fameux types s'impatientent et viennent nous trouver comme elle semble le penser. "Faut l'atteindre avant qu'il fasse vraiment nuit noire."
Le ciel se couvre de plus en plus d'ailleurs. J'la regarde, j'hausse les épaules avant de tendre l'oreille et penser entendre un véhicule qui s'rapproche... Ca pue le caca ça ! Que ce soit eux ou pas.
"Vite ! Dans l'fossé !"
J'cherche pas à comprendre, là c'est sûr, y'a du monde qui arrive sur la route et j'saute dans l'trou et m'cache dans les broussailles qui le recouvrent.
Ca aurait pu être pas de chance pour moi mais j'commence à faire confiance à cette fille. Surtout que ça fait déjà bien trop longtemps qu'on s'regarde dans le blanc des yeux.
J'espère avoir raison en tout cas, sinon c'est le passé qui m'rattrape. Et vu les atrocités que j'ai pu commettre, ça serait vraiment pas de bol. Alors, j'accepte les termes de ce "contre-contrat".
On a donc marché jusqu'à ce que le ciel prenne une teinte orangée. J'ai mal aux pieds. Franchement, j'suis crevée et j'veux me poser.
On poursuit donc notre route, jusqu'à une intersection où un vieux panneau au sol indique l'emplacement d'un soit disant "parc de mobil-home". Seulement, vu qu'il est déglingué et au sol. Faut connaître le secteur pour savoir dans quelle direction il se trouve.
Le ciel se couvre de plus en plus d'ailleurs. J'la regarde, j'hausse les épaules avant de tendre l'oreille et penser entendre un véhicule qui s'rapproche... Ca pue le caca ça ! Que ce soit eux ou pas.
J'cherche pas à comprendre, là c'est sûr, y'a du monde qui arrive sur la route et j'saute dans l'trou et m'cache dans les broussailles qui le recouvrent.
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Re: Don't follow me !
Mar 30 Mar 2021 - 1:36
Situation de merde
Abigail & Chara
>Elle reprit le dessin puis faisant semblant de l’inspecter fut prit d’un petit et se permit de dire :
- Il y a quand même un petit air de ressemblance, un travail de maître. Tu l’aurais vendu cher quelques années en arrière, continua la chasseuse en s’esclaffant.
Puis la dure réalité revint à la charge, il fallait trouver un abri, un endroit où crécher pour la nuit. Car l’obscurité fut toujours le pire ennemi de l’homme surtout quand sous n’importe quel tas de feuilles pouvait se cacher une saloperie de mort-vivant qui n’attends que de planter ses crocs dans votre cheville. Bref c’était pas la joie, il suffisait de rajouter une meute de survivants qui ne désirent que vous retrouvez pour faire nous ne savons quoi dans leur cave et c’est une époque de merde. La chasseuse pratique et soucieuse de régler rapidement le problème proposa la tente, elle avait une tente et de quoi faire du feu. Elle avait cela de pratique qu’il était facile de s’enfuir avec. C’est généralement ce qu’elle utilisait durant ses longues sessions de chasses là où le nouveau prédateur de l’homme ne s’était pas aventuré, faute d’agilité et de proie intéressante.
- Je doute qu’ils puissent nous trouver ici, c’est un coin paumé, argumenta-t-elle en désignant les alentours de sa main. Il n’y avait qu’une seule route, deux fossés sur les côtés et de la forêt dense et menaçante après. Bref rien d’extraordinaire dans un état si rurale.
Pourtant elles prirent le risque de chercher une maison, en cas d’échec elles risquaient se faire surprendre par la pénombre mais c’était la meilleure des pires solutions. Car dans ce monde rien n’était idéal, rien ne pouvait être sans risque. Le simple fait d’aller pisser dehors était un risque en soit. Il s’agissait alors de prendre les plus sages décisions, plus facile à dire qu’à faire pour deux jeunes femmes qui n’avait pas l’expérience qui vient avec l’âge.
Elles trouvèrent un panneau de camping, le nom lui rappela vaguement quelque chose et elle hocha la tête suite à la question de Chiara. La chasseuse n’imaginait pas quelqu’un s’amuser à transporter cet écriteau pour le balancer au hasard sur une route de campagne, ce camping était forcément tout proche. Mais son incapacité à le situer, la frustrait terriblement. Les heures qui s’égrainaient laisser planer une menace que l’ancienne athlète ne s’était pas préparer à prendre.
Puis tout s’enchaîna d’un coup, un bruit de moteur. Des pneus qui crissent sur le béton craquelé mais surtout des éclats de voix et des phares qui percent au travers des buissons et autre joyeusetés qui ont envahis la route. Le doute c’est la mort, alors elle sauta dans le trou. La voiture pouvant être des survivants tout-à-fait sympathique comme ses anciens commanditaires. Elle se colle contre la paroi boueuse, le filet de lumière passa juste au-dessus d’elles mais il ne s’éloigna pas à son grand dam. Non comme dicté par le sort, le véhicule s’arrête juste au-dessus des jeunes femmes.
Un bruit de portière, des bottes qui tombent lourdement sur le sol puis le bruit caractéristique d’une braguette. Un soupir et un jet jaune, malodorant qui fila tout droit sur les jeunes femmes planqué. Une voix parti derrière le pisseur :
- Putain Jack c’est la quatrième fois que tu nous fais l’coup, t’as une vessie en carton j’ai jurer, s’exclama probablement le conducteur.
Abigail reconnu cette voix, c’était eux. Aucun doute.
- Il y a quand même un petit air de ressemblance, un travail de maître. Tu l’aurais vendu cher quelques années en arrière, continua la chasseuse en s’esclaffant.
Puis la dure réalité revint à la charge, il fallait trouver un abri, un endroit où crécher pour la nuit. Car l’obscurité fut toujours le pire ennemi de l’homme surtout quand sous n’importe quel tas de feuilles pouvait se cacher une saloperie de mort-vivant qui n’attends que de planter ses crocs dans votre cheville. Bref c’était pas la joie, il suffisait de rajouter une meute de survivants qui ne désirent que vous retrouvez pour faire nous ne savons quoi dans leur cave et c’est une époque de merde. La chasseuse pratique et soucieuse de régler rapidement le problème proposa la tente, elle avait une tente et de quoi faire du feu. Elle avait cela de pratique qu’il était facile de s’enfuir avec. C’est généralement ce qu’elle utilisait durant ses longues sessions de chasses là où le nouveau prédateur de l’homme ne s’était pas aventuré, faute d’agilité et de proie intéressante.
- Je doute qu’ils puissent nous trouver ici, c’est un coin paumé, argumenta-t-elle en désignant les alentours de sa main. Il n’y avait qu’une seule route, deux fossés sur les côtés et de la forêt dense et menaçante après. Bref rien d’extraordinaire dans un état si rurale.
Pourtant elles prirent le risque de chercher une maison, en cas d’échec elles risquaient se faire surprendre par la pénombre mais c’était la meilleure des pires solutions. Car dans ce monde rien n’était idéal, rien ne pouvait être sans risque. Le simple fait d’aller pisser dehors était un risque en soit. Il s’agissait alors de prendre les plus sages décisions, plus facile à dire qu’à faire pour deux jeunes femmes qui n’avait pas l’expérience qui vient avec l’âge.
Elles trouvèrent un panneau de camping, le nom lui rappela vaguement quelque chose et elle hocha la tête suite à la question de Chiara. La chasseuse n’imaginait pas quelqu’un s’amuser à transporter cet écriteau pour le balancer au hasard sur une route de campagne, ce camping était forcément tout proche. Mais son incapacité à le situer, la frustrait terriblement. Les heures qui s’égrainaient laisser planer une menace que l’ancienne athlète ne s’était pas préparer à prendre.
Puis tout s’enchaîna d’un coup, un bruit de moteur. Des pneus qui crissent sur le béton craquelé mais surtout des éclats de voix et des phares qui percent au travers des buissons et autre joyeusetés qui ont envahis la route. Le doute c’est la mort, alors elle sauta dans le trou. La voiture pouvant être des survivants tout-à-fait sympathique comme ses anciens commanditaires. Elle se colle contre la paroi boueuse, le filet de lumière passa juste au-dessus d’elles mais il ne s’éloigna pas à son grand dam. Non comme dicté par le sort, le véhicule s’arrête juste au-dessus des jeunes femmes.
Un bruit de portière, des bottes qui tombent lourdement sur le sol puis le bruit caractéristique d’une braguette. Un soupir et un jet jaune, malodorant qui fila tout droit sur les jeunes femmes planqué. Une voix parti derrière le pisseur :
- Putain Jack c’est la quatrième fois que tu nous fais l’coup, t’as une vessie en carton j’ai jurer, s’exclama probablement le conducteur.
Abigail reconnu cette voix, c’était eux. Aucun doute.
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