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Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 17:20

Jack Oli
Roberts

WHO AM I
- Informations personnage -
Nom : Roberts
Prénom(s) : Jack, Oli
Âge : 53 ans
Date de naissance : 18 Août 1967
Lieu de naissance : Seattle
Nationalité : Américaine
Groupe : Traveler
Ancien métier : Flic/détective privé
Célébrité : Woody Harrelson
- Défauts -
Téméraire
Rancunier
Sarcastique
Blasé
Austère
- Qualités -
Loyal
Franc
Bienveillant
Percévérant
Courageux

WHAT'S IN MY HEAD

- Psychologie du personnage -

Jack est un type bien comme on en fait plus. Presque caricatural même, c'est vraiment l'archétype du "good guy", l'invasion a quelque peu esquinté le vernis, mais globalement, on se demanderait presque comment quelqu'un comme lui n'a pas pris un coup de couteau dans le dos, ceux que Tessa sait lui planter mis à part.
Il est aussi un type qui n’a pas la langue dans sa poche. Incapable de garder le fond de sa pensée pour lui, il a toujours besoin de l’exprimer de manière directe et sans détour. C’est là-dessus qu’on le reconnait, sa marque de fabrique réside dans les punchlines qu’il distribue à tour de bras, et surtout le sarcasme qu’il est capable de glisser dedans. Grand cynique amateur de double sens cachés ou pas, il n’est pourtant pas un grand intellectuel, plutôt bourru et expérimenté en matière d’humanité.

Il n’a pas froid aux yeux et n'abandonne jamais "une enquête en cours" comme il aime a le répéter régulièrement. Jack part du principe que ce n'est pas a reculant devant l'adversité qu'il a pu se débrouiller jusqu'à présent pour s'en sortir. Que ce soit pour une prime, pour un job, pour aider un ami, pour vous pourrir la tronche ou quoi que ce soit d'autre, il ne lâche jamais l'affaire et son ex peut en témoigner. Il a le gout de l'action dans le sang et plus ça a l’air dangereux, plus il a à cœur d’y aller.

Jack est aussi un homme difficile d'accès au sens où il n'accorde pas sa confiance sans vous faire passer au banc d'essais. Il peut se montrer glaciale avec ceux qui éveillent sa méfiance en premier sentiment. Pour autant, ce qu’on peut lui reconnaitre c’est qu’à partir du moment où on est rentrés dans sa vie et qu’il vous respecte, il est d’une loyauté sans faille. Certes, sa manière de montrer son affection est particulière, mais il sait exprimer de la bienveillance et être protecteur avec les gens qu’il apprécie. Mais avec lui, vous n'avez qu'une seule cartouche : une fois son estime perdue, c’est définitif, et il ne tendra jamais l’autre joue. Mieux vaut ne pas être dans les parages quand il décide de rendre pièce pour pièce le mal qu’on lui a fait.

Blasé par ce que cette saloperie de destin lui a fait et lui fait encore vivre, il peut se montrer un peu absent dans certaines situations pourtant jugées critiques par son entourage. On s'y habituerait presque, puis il recommence a balancer le fond de sa pensée à grand renfort de sens et de dossiers à peine dissimulés et chacun se rappelle rapidement que Jack sera toujours Jack.  



WHAT AM I MADE OF

- Physique / équipement -

Jack a le physique de l'emploi, s’il n'est pas exceptionnellement grand, il est baraqué à souhait, ses mains sont de véritables battoires et la vue de ses poings couverts de cicatrices met parfois un terme brutal à des argumentaires sans fin. Son visage est carré et buriné, une petite cicatrice au niveau de la pommette lui rappelle régulièrement qu'il ne faut jamais sous-estimer ses adversaires. Ses yeux gris acier transpercent tout et tout le monde avec une intensité qui peut parfois mettre mal à l'aise, des années de pratiques et son divorce ont largement participé à aiguiser son regard assassin.

Jack est aussi cabossé. Compte tenu de son métier et de sa propension à se jeter dans le feu de l'action sans réfléchir à un plan de repli, il en a vu de toutes les couleurs. Là encore, son corps est caricatural, il est bardé de cicatrices et de souvenirs qu'il évoque quand on lui pose des questions. Le quart droit de son dos est recouvert d'un tatouage de loup garou, bonne allégorie de son caractère profond selon lui.

Même s’il le possède encore rangé dans un sac, Jack ne porte plus jamais son uniforme, il a troqué la tenue qu'il juge anachronique par des vêtements plus anonymes : bottes, jean, t-shirt et cuir. Un stetson pour parachever l'assemblage et voilà le travail. C'est fiable, c'est à tout épreuve et c'est adapté à toutes les situations.

Ses carrières actuelles et anciennes lui ont permis de facilement se procurer des armes. Elles sont compactes et adaptées à sa façon de s'impliquer dans les bastons : Une Tremblay bois et acier récupérée peut après le début de la fin et sa panoplie de policier transposée à son métier de détective : un Remington 870 à cross repliable et un Glock 17C.



HEAR MY STORY


Jack est né dans une petite ville au sud de Seattle et comme dans toutes les petites villes, soit on y reste, soit on se trouve une passion et on la quitte pour élargir ses horizons. Le début de sa vie a été sans histoires vraiment digne d'intérêt : il y a un peu fait toutes ses premières fois, il a fait ce qu'il fallait à l'école pour s'en sortir avec les honneurs. Comme dans toutes les petites villes, il y avait des bandes de gamins qui faisaient les 400 coups, Jack en faisait partie. Lui et ses potes étaient de toutes les conneries et ils se plaisaient a faire tourner en bourrique le shérif local et ses adjoints. Et puis un jour il y eu la bêtise de trop, celle qui brise les plus fortes têtes et qui ramènent les enfants à la réalité : cette fois les flics étaient organisés, il y avait un piège de tendu et Jack et ses potes s'y jetèrent. Pendant l'inévitable course poursuite, les gamins durent se séparer pour semer leurs poursuivant au travers la forêt. Un des potes de Jack disparu ce soir là, on le rechercha pendant des semaines puis, la mort dans l'âme, le Shérif stoppa les recherches.

A peine les recherches interrompues, le corps affreusement mutilé du gamin fut trouvé "par hasard" par Jack. Le trauma fut terrible et il lui fallu plusieurs semaines pour s'en remettre. Quand il fut en état d'aider la police dans son enquête, un des adjoints du Shérif lui avoua que ce n'était pas un animal qui avait si atrocement mutilé son ami, c'était bien un homme ou une femme qui avait fait cela. Malheureusement pour Jack et tous les habitants de la petite ville, il ou elle ne devait jamais être retrouvé.

Au delà du traumatisme de savoir qu'un de ses amis avait été assassiné et de la vision du corps qu'il n'arrivait pas oublier, Jack dû composer avec le sentiment de culpabilité d'avoir participé à la connerie de trop, d'avoir survécu alors que son pote était mort, de n'avoir pas su quand arrêter. Plus grand encore était le sentiment d'injustice quand il pensait à celui ou à celle qui avait fait cela, la police n'avait pas l'ombre d'une piste et avait du classer l'affaire faute de mieux.

C'est le jour du classement de l'affaire qu'il a trouvé sa vocation : Devenir flic à son tour et ne jamais laisser la situation se reproduire. Dès sa majorité il monta à Seattle pour rentrer à l'école de police, sans même attendre l’appui de sa famille : c'était ce qu'il voulait faire et il n'avait d'autorisation a recevoir de personne. Le fantôme de son ami le suivait partout, tout le temps et le motivait plus que jamais à avancer dans la voie de la justice. Il survola l'académie tant il était motivé et il fit la fierté de ses proches en étant reçu à son concours.

Il fut affecté à la police de Seattle en bas de l'échelle d'abord, puis il gravi rapidement les échelon en se montrant consciencieux et appliqué pour réussir. Il ne laissait rien au hasard, il buchait ses affaires, ne comptait pas ses heures et prenait le temps d'analyser les moindres détails. Il avait le cœur bien accroché, du moins, il avait appris à faire avec le tout venant comme avec le spectaculaire. De toute façon, il n'avait encore rien vu qui puisse dépasser en horreur le corps de son ami.

Qu’importait les scènes sur lesquelles il arrivait, ou ce qu’il voyait d’horrible, Jack avait toujours un mot sympa pour les collègues arrivés les premiers, un peut de réconfort si la famille ou des proches étaient là... puis il y avait l'enquête.

La veille de ses trente cinq ans, il fit la connaissance de la plus belle femme qu'il eu la chance de rencontrer depuis Amy quand il avait 10 ans. Elle s'appelait Tessa et c'était la première vivante à faire s'effacer le visage de son ami mort depuis presque quinze ans. Rien que sa voix l'envouta presque instantanément et il prit l'affaire malgré le peu d'excitation qu'elle suscitait : La jeune femme suspectait des combats clandestins de chiens dans son quartier. Grande passionnée et dresseuse de canidés, elle voyait trop d'estropiés pour ne pas faire le lien.
La première audition fut un véritable calvaire pour Jack qui se trouva complètement troublé par Tessa, il eu plusieurs moments d'absence et finis par laisser un autre inspecteur prendre la suite. S'ensuivi une longue période de mise en boite par ses collègues couplée à plusieurs jours de déconvenue : la jeune femme lui résistait comme jamais personne auparavant. Sans être un irrésistible charmeur, Jack n'avait clairement pas l'habitude de se faire rembarrer plusieurs fois d'affilé. Il finit même par lâcher l'affaire pour se concentrer sur son enquête. Ce choix lui fut plutôt bénéfique puisqu'en quelques jours il réussit à inscrire un des chiens du central pour un des combats et fit tomber les organisateurs puis toute la filière en un temps record. Cette réussite lui valu ses galons d'inspecteur chef et le diner chez Orfeo que Tessa lui refusait depuis le début de l'enquête.

Les dix années suivantes furent les meilleurs de leur vie ensemble, Jack continuait à briller au travail et Tessa à élever les chiens qu'on lui confiait. Très indépendant l'un et l'autre, il vivait leur passion de leur coté pour se retrouver ensembles et passer de bons moments. Le rythme de travail un peu asynchrone de Jack ne présentait pas de problème pour une femme indépendante, habituée à vivre seule et peu entourée. Du moment qu'elle avait ses chiens, Jack pouvait être absent plusieurs jours d'affilés, ça ne lui posait guerre de problèmes.

A quarante cinq ans, Jack finit par céder à la pression sociale et familiale : à défaut d'enfants, la demande en mariage revenait trop souvent dans les discussions de Thanksgiving ou de Noel. D'un commun accord, lui et Tessa décidèrent qu'il était peut être temps d'agir un peu comme les autres... Jack fit donc sa demande en bonne et due forme, à grand renfort de bague, diner, nuit d'amour. Ce fut le premier coup de canif dans le vernie de leur couple : l'organisation du mariage s'avéra être un claver absolu. Le rythme de travail d'un inspecteur chef n'est pas spécialement compatible avec celui d'une organisation aussi complexe que celle d'un mariage, surtout avec une femme aussi autoritaire que la sienne. Tessa savait ce qu'elle voulait et temps pis si Jack n'était pas d'accord, elle usa de tous les stratagème et de toutes les pressions pour atteindre ses objectifs. Fatigué de se battre jusque dans les moindres détails, Jack finit par lui laisser les rênes de l'organisation. Elle essaya de lui reprocher son manque d'investissement, mais cette fois il ne se laissa pas faire et la mise au point fut mémorable, leur couple vacilla, mais ils tinrent bon. Ils se marièrent un 1er novembre et faisant le souhait que les choses s'arrangent... mais un mariage construit sur un souhait d'amélioration ne dur jamais.

Il ne fallut pas plus d'un an pour que le destin mette un terme tragique à leur histoire : A peine la pression du mariage envolé, une autre vint prendre sa place : celle de ne pas arriver à faire d'enfant. Si Jack pensait avoir vécu le pire avec le mariage, il se trompait lourdement. Les remarques vinrent de sa famille, de ses collègues, de leurs rares amis ce qui eut pour effet de les renfermer respectivement dans leurs métiers. Tessa passait plus de temps avec ses chiens qu'avec son marie et lui prenait affaires sur affaires pour essayer de se changer les idées.
Mais la corruption de la violence finit par l'éclabousser sans même qu'il ne s'en rende compte, à bout de nerf et de fatigue, il intervint un soir pour une affaire de mœurs, il homme avait battu sa femme à mort et avait essayé de faire tomber un voisin à sa place. En trouvant le corps affreusement meurtri, Jack recroisa le chemin de son passer : cet homme qui s'était cru en droit de disposer de la vie de sa femme, ce déchet qui avait essayé de faire tomber un autre à sa place, s'en fut trop pour l'inspecteur chef. Il aurait pu ne pas déraper si le gars ne lui avait pas craché son mépris à la figure, Jack attrapa la première chose à portée de mains et le pulvérisa purement et simplement. Quand ses collègues lui arrachèrent la batte de baseball des mains, il ne restait presque plus rien a ramasser.

La faute était trop grosse, même avec un dossier aussi impeccable que celui de Jack, on lui retira son badge et son arme et on le mit à pied, sa carrière était finit.
Incapable de gérer le monstre qu'elle voyait en regardant son marie, Tessa le quitta dans le mois qui suivi : il rentra un soir et elle était partie.

A quarante huit ans, Jack avait tout à refaire. Il n'avait plus de travail, sa femme était partie, la quasi totalité de sa famille lui avait tourné le dos. Il n'avait plus que le fantôme de son ami pour seul compagnon et il le détestait, le tenant pour responsable de sa sortie de route. 48h de cuite le ramenèrent paradoxalement à la raison : on ne pouvait pas en vouloir aux morts pour nos propres conneries, il fallait rester adulte et se remettre sur la trace du tueur de son pote, attraper le faiseur de fantôme.
Il fit jouer les quelques relations qui lui restaient : des indics, des amis dans la police qui se souvenait du bon flic qu'il s'était toujours efforcer d'être et il obtint sans difficultés majeurs une licence de détective privé. Ses anciens collègues lui filèrent même quelques tuyaux pour lui mettre le pieds à l'étrillé. Ce connard de destin pouvait bien s'acharner, Jack était toujours dans le coup et la justice gardait avec elle un précieux allier.



1er Octobre 2015 / Seattle :

Lorsque la situation sanitaire dégénéra vraiment, l'affaire de détective privé de Jack était déjà bien implantée dans le paysage judiciaire de Seattle : Les quelques collègues qui lui parlaient encore l'alimentaient en affaires et lui n'était pas avare en partage d'infos. Les échanges fonctionnaient bien, sans que ce soit l'opulence totale, Jack s'en sortait, payait ses factures, allait chez le médecin de temps en temps, picolait un peu moins et allait parfois au restaurant. Mieux encore, il avait perdu la trace de Tessa (ou était ce elle ?) et ça lui allait très bien. Mais quand à la mi-aout 2015 son ancien capitaine lui passa un coup de téléphone pour lui demander d'enquêter sur des disparitions, alors il comprit que quelque chose n'allait vraiment, VRAIMENT pas.

Au début, ses investigations ne donnaient rien de formidables : des fugues, des disparitions pures et simples, quelques fois il retrouva des personnes profondément choquées, terrorisées par des rencontres brutales avec des rodeurs. La quasi totalité des personnes parlaient d'anthropophage, d'hommes et de femmes qui les avaient poursuivi, inlassablement, essayant de les mordre, de les griffer... de les manger ! Lors d'une de ses affaires, il retrouva un cadavre affreusement mutilé d'un jeune garçon disparu depuis des mois et les blessures lui rappelèrent de douloureux souvenirs, mais cette découverte fut la dernière chose de notable qu'il découvrit, sans réelles pistes sérieuses pour donner des réponses à ses clients sur les agresseurs il faillit tout abandonner.

Son ex-capitaine le convoqua le premier septembre 2015 pour lui rendre ses armes, son glock et son fusil à pompe. Extraordinairement surpris par la rencontre, une foule de question lui vint, mais le teint blafard de son ancien chef et ami le retint de les poser, l'homme savait des choses qui l'avait manifestement profondément choqué. Il lui donna une adresse, un immeuble dans le quartier de SoDo, avec pour mission de tuer toutes personnes qu'il y croiserait. D'abord abasourdit par la demande, Jack refusa, arguant qu'il risquait sa licence et sa liberté si il était prit sur le fait. Le capitaine sortit de sa poche un petit enregistreur sur lequel toute la conversation avait été copiée, il le confia au détective en garantit. Complètement halluciné par ce qu'il venait de vivre, Jack demanda combien il serait payé pour ce job, le capitaine lui lança une grosse enveloppe contenant cinq milles dollars en lui demandant de se mettre rapidement en chasse. Le regard vide de son ancien ami décida complètement Jack de partir, il passa à son bureau mettre l'argent et l'enregistrement en sureté. Il trouva plusieurs nouvelles propositions d'emplois pour des disparus et son répondeur était plein. Son instinct lui hurlait de partir avec l'argent, mais son sens de l'éthique le retint et mena son chemin vers cet immeuble du quartier sportif de Seatlle.

Sur place, des flics au regard vide l'attendaient : le quartier était bouclé. C'était complètement incohérent, délirant même... Jack ne comprenait pas pourquoi les forces spéciales n'étaient pas là, pourquoi lui. Il faillit repartir mais là encore, son coté héroïque le fit entrer dans le petit bâtiment. Tout de suite, Jack sut tout de suite que quelque chose n'allait pas : tout était bien trop silencieux. Il arma son remington et s'engagea dans le couloir sombre. Il avança prudemment dans les couloirs, fouillant chaque pièce des quelques appartements. Il n'y trouva rien de notable, sauf dans le dernier : une double cloison, une petite alcôve, des rites, des symboles sataniques. D'autres symboles religieux dans des langues inconnues. C'est derrière cette alcôve que le cauchemar commença vraiment : des morceaux de corps humain étaient disposé suivant des symboles compliqués, du sang humain était tartiné sur les murs, une odeurs de putréfaction qui faillit le faire gerber. Derrière cette mise en scène épouvantable, Jack trouva un manifeste rédigé dans une calligraphie claire et soignée.

L'auteur mentionnait la venu de créatures se repaissant de chair humaine vivante, que le seule moyen qu'il ou elle avait trouvé de s'en protéger était de les nourrir de personnes vivantes... Jack sauta plusieurs passages dans lesquels l'auteur du manifeste délirait sur la beauté des repas et l'harmonie des hurlements des victimes dévorées vivantes. Les dernières lignes trahissaient une panique surprenante, l'auteur y avouait que la situation lui avait complètement échappée maintenant qu'il avait "sacrifié" tous les habitants de l'immeubles et qu'il avait du enfermer les créatures dans la cave... Le manifeste s'arrêtait sur ces dernières lignes. Un craquement fit sursauter Jack qui se retourna brutalement : Une silhouette venait d'émerger d'un escalier dérobé à quelques mètres de lui. C'était une femme décharnée qui se balançait doucement d'avant en arrière, un son rauque sortant de sa gorge. Sa tête dodelina en arrière, Jack croisa son regard blanchâtre et vide. Elle poussa un sifflement terrifiant avant de se jeter littéralement sur lui bouche ouverte avec l'intension de le mordre. Le détective lui décocha un violent coup de crosse dans les mâchoires pour la faire reculer, mais l'effet fut assez décevant : elle fit deux pas en arrière puis attaqua à nouveau. Il n'en fallu pas plus aux nerfs de Jack, bien éprouvés par l'ambiance et ce qu'il venait de lire, pour lâcher complètement : il lui tira dessus au fusil à pompe quasiment à bout portant. L'intérêt du Remington 870, c'est que ça ne fait pas dans le détail et à moins de 5 mètres, la femme fut presque coupée en deux. Elle fut projeté en arrière dans les escaliers qu'elle dégringola, de son coté Jack se laissa tomber contre un mur, le cœur battant. Il lui fallu de longues minutes pour retrouver son calme, il en aurait bien pris plus si grondement rauque ne monta pas de l'escalier.

La femme était de retour, Jack n'en revenait pas, elle le "regarda" en siffla à nouveau. Jack tira deux fois de plus, faisant voler le corps, lui arrachant même une jambe sans efficacité notable, la femme rampait pour venir le mordre (!!!). Au bord de la folie, il lui tira en pleine tête : si il ne pouvait l'empêcher de se mouvoir, la priver de sa vue lui semblait être la meilleurs des solutions. Une cartouche de Remington 870 à faible porté eu pour effet de faire exploser la tête de l'horreur humaine qui s'approchait de lui.

Le corps ne se releva pas et ne bougea plus.

Jack ne bougea plus pendant de longues minutes.

Il dût abattre quatre créatures de plus, sans doute alertées par bruits de fusillade, avant de trouver la force de se lever et de partir. Parmi elles, il reconnu au moins un de ses collègues.

Son esprit profondément choqué ne fit pas le lien ce jour là ni les suivants, il retourna au commissariat pour annoncer qu'il avait tuer cinq abominations dont une en quatre cartouches de fusil à pompe. Il mentionna qu'il n'avait pas osé descendre dans la cave.

Après plusieurs jours de congés et plusieurs bouteilles de Bourbon, une période de retour au travail durant laquelle Jack eu toujours la sensation d'être suivi, les médias lui confirmèrent ce qu'il avait vu ce premier jour de septembre. Il dépensa ses dollars en matériel de survit et décida de se débrouiller seul, comme il l'avait toujours fait.


14 Octobre 2015 / Seattle :
Un des contacts sûr de Jack l'informe que l'armée est dans la ville et que la situation n'est pas si bien contrôlée que ce que les médias veulent le faire croire. Le détective décida de se claquemurer chez lui en attendant que la situation se stabilise. Il organisa sa vie comme si il était déjà confiné, fit des réserves d'eau potable, de nourriture et de matériel. Il se renseigna sur les réseaux sociaux pour apprendre à vivre seul en territoire hostile. Une nuit, il réalisa que sa confrontation avec les créatures début septembre l'avait beaucoup plus traumatisé qu'il ne l'imaginait, puis remisa cette pensée à plus tard en se promettant d'aller voir un psy quand les choses se seraient tassées.

Il dépensa l'essentiel de ses économies en suffisamment de matériels et denrées essentielles pour survivre seul et transforma son bureau / appartement en un véritable petit bunker avec pièges et autre joyeusetés. Il fit également des recherches sur l'exorcisme par acquis de conscience. La prise de conscience de sa fragilité mentale lui fit également faire des recherches sur des mantras, des routines et tout un tas d'automatismes complètement inutile en temps normal mais qu'il réutilisera tout au long de vie de Travelers.

Lorsque la loi martial fut déclarée le 19 octobre 2015, Jack était prêt depuis plusieurs jours à recevoir tout intru essayant de rentrer chez lui, quelque soit son intention.


24 décembre 2015 :
Deux mois dans une ville pleine de rodeurs avait appris au détective comment se comporter, comment se déplacer, comment se ravitailler, comment éviter les "autres", comment négocier avec les tarés qui comme lui avait décidé de rester. L'essentiel de ces activités pouvaient se dérouler dans le feutrer, mais certaines... certaines ne pouvaient se régler qu'à coup de batte, au sens littérale du terme.

Cette du détective s'appelait "Frost", parce qu'elle refroidissait plus ou moins définitivement ceux qui venait troubler sa retraite. C'était une Tremblay bois et acier qu'il l'avait trouvé chez la dernière personne qu'on lui avait demandé de rechercher, le pauvre gars avait été descendu par erreur, finit par les rodeurs et terminé définitivement par sa propre batte entre les mains d'un Jack au grand cœur.

L'ancien flic avait vite compris que les rodeurs étaient attirés par le bruit (entre autre) et que moins on en faisait, moins on avait d'ennuis. Il avait donc gardé la batte et remisé les guns pour des temps plus calmes. Toute cette histoire pour arriver à la veille d'un réveillon de noël tellement morne que Jack avait faillis regretté son ex. Il ouvrit les derniers paquets de Twinkies qu'il s'était gardé pour l'occasion et, une fois n'était pas coutume, décida de se coucher tôt et de ne pas veiller, espérant que la trêve serait respectée.

Ses derniers pièges à loups le réveillèrent sur les coups d'une heure du matin : pas de cris, c'était des rodeurs. Comment ils étaient arrivés là, mystère, mais il étaient là et c'était bien le problème. Jack se leva, attrapa Frost et s'avança doucement vers la porte, il regarda entre les lattes qu'il avait disjointe justement à cet effet. Il y avait bien une paire de rodeurs qui essayaient d'avancer vers sa porte en tirant stupidement sur leurs chevilles entravées par les énormes mâchoires d'aciers. Mais qu'est ce qui avait bu pu les attirer ? Il sorti prudemment de son appartement, explosa les deux créatures avant de faire volte face et de comprendre : on avait tartiné sa porte de sang frais. Il n'y avait pas prêté attention, tant son attention était focus sur les rodeurs. Un froissement de tissu dans le fond du couloir l'averti juste a temps pour qu'il se baisse et évite la décharge d'un fusil de chasse qui traversa le mur sans effort. Il se jeta dans son appartement juste a temps pour éviter la seconde balle.
Les mecs qui l'attaquaient ne prenaient pas la peine d'essayer d'être discrets, soit ils étaient sur de leur coup et pourrait se calfeutrer dans son appart une fois leur besogne accomplit, soit il étaient très très cons. Jack jeta un œil rapide entre les lattes, l'œilleton de sa porte vola en éclats juste à ce moment là. Jack reconnu ses anciens clients, un couple qu'il avait eu l'imprudence de prendre en pitié et qu'il avait laissé rentrer chez lui. Ils avaient du remarqué comme il était bien installé et pensé que le vieux cinquantenaire serait une proie facile. Pas de chance.

Le couple fut les premiers vivants que Jack laissa en pâture aux "autres". Ce qui se passe ce soir là est un secret absolu qu'il ne s'est jamais résolu à avouer, toujours est-il qu'au lendemain de ce réveillon, il vida ses réserves et quitta définitivement Seattle.

Année 2016, alentours de la ville,
Les affaires tournaient pour Jack, son expertise et son professionnalisme était reconnu et même recherchés. Il avait remonté son affaire en périphérie du centre ville et son bureau bougeait au gré de ses envies, des opportunités, du bon vouloirs des rodeurs.

Que ce soit pour rechercher quelqu'un, élucider une affaire, voir même faire des arbitrages, il était toujours là à proposer son aide et repartait une fois la ou les taches accomplies sans jamais s'installer nul part plus longtemps que nécessaire.

Il était resté droit, incorruptible et indépendant, c'est ce qui faisait sa réputation et ce qui attirait toujours des clients, même après qu'il ai commis certaines atrocités qu'on lui avait commandé. Il se réservait le droit de refuser un job si la moralité n'était pas au rendez vous et ça n'entachait en rien sa crédibilité. Il faisait le job, prenait la prime, repartait jusqu'à sa prochaine destination.

Il vivait sans attaches pour s'éviter les déceptions et les désillusions qu'il avait vécu lorsque les choses n'avaient pas déraillées puis lorsqu'elles étaient partie en live. Parfois il pensait à des gens, ça le faisait sourire ou ça l'énervait, mais il n'en parlait jamais. Il continuait sa route, vivant au jour le jour en quête d'âme à sauver, quelque soit la façon de le faire.


Novembre 2017 :
Deux ans à bourlinguer sans jamais se sentir suffisamment en sécurité pour se poser avait usé la patience du chasseur. Jack se sentait un peu fatigué et cherchait inconsciemment le contact des autres. Voyageur, marchands, survivants, paumés de tout poil, clients... tous les prétextes étaient bons pour discuter et prendre des nouvelles du monde.

Le chaos gouvernait depuis bien longtemps, Jack avait recroisé des anciens collègues ou amis, il avait du en buter quelques uns, faire du commerce avec d'autre, échanger des souvenirs, voir quelques verres de bourbon. Il avait finit par apprendre l'existence d'un carrefour commerciale "No Man's Land". C'était un carrefour au sens premier du terme : un lieu ou se croisaient plusieurs axes de transhumance. Certains ne faisaient que passer, d'autre y restaient sans date d'occupation fixe. Ce n'était rien de civilisé, rien de vraiment construit, plus des routes qui se croisent, quelques bâtiments vaguement solides. Juste de quoi se poser pour reprendre des forces, faire des échanges, proposer des primes, reprendre assez de force physique et mentale pour reprendre la route.

L'idée plut au Chasseur qui se mit en quête de ce "No Man's Land", il remonta son réseau de contacts, menaça quelques types, dessouda un ou deux rodeurs qui essayèrent de lui voler son matos, collecta le plus d'infos possible avant de finir par trouver LE lieu et il était à la hauteur de ce qu'on lui avait vendu.
Il n'y avait effectivement pas grand chose, un carrefour ou des gens se rencontraient, échangeaient proposait du taf. Son arrivé à No Man's Land fut mémorable au sens ou il y trouva le pire et le meilleure : Les primes étaient toutes à sa porté et la concurrence loin d'être à la hauteur, il sut tout de suite que c'était là qu'il devait s'installer pour avoir du taf régulier et le contact humain qui commençait à cruellement lui manquer. Mais, en un regard, il su également tout de suite que cette tranquillité matériel et d'esprit aurait un prix énorme : Tessa avait survécu à l'apocalypse ET elle était arrivé avant lui à No Man's Land.

Jack s'installa à No Man's Land, le boulot était bon et régulier, les gens reconnaissaient sa valeur et il développait son réseau et Tessa aiguisait son sens de la réparti et son cynisme à grand coup de disputes aussi régulières que jouissives.

Décembre 2018.
Premier noël sans dézinguer qui que ce soit, première fête de fin d'année sans livrer qui que ce soit aux rodeurs. Jack se souvient de cette date comme ci c'était hier, c'est ce qu'il se dit tous les jours.

Un réveillon avec des gens qui ne lui en veulent pas, des "cadeaux", du bon temps, des potes, de la bonne bouffe de l'alcool et un compte à rebours à la con, tout ce qu'il avait l'habitude de vivre avant que tout ce merdier ne s'installe, tout ce qu'il avait appris à aimer avant que Tessa ne le quitte, tout ce qu'il avait adapté par la suite, tout ce qui lui suffisait pour passer à la décimale suivante.

La fin de cette putain d'année 2018 avait quelque chose de positif, un peu comme si le destin lui avait dit "hey, te fais pas de soucis, t'as vu ce qu'il y avait de pire, tout va bien se passer maintenant". Mais Jack savait que le pire était à venir, que le destin lui réservait le chien de sa chienne, que tout partirait en live au moment ou il s'en inquiéterait le moins, que le No Man's Land finirais bien par mériter son nom. En attendant il vivait au jour le jour, il naviguait à vu et ça lui suffisait bien assez.

Mai 2019.
Tout aurait pu se passe correctement cette année là, mais non, ce foutu destin poursuivait toujours et encore notre pauvre Jack qui se débattait comme il le pouvait. Cette année avait un air de doigt d'honneur : 2018 devait aller trop bien, le printemps était bien parti pour se passer tranquillou, mais en fait non, juste NON.

Jack gérait trop bien son ex, il gagnait trop de tunes et de ressources avec ses primes. Tout aillait trop bien, c'était pas gérable comparer au bordel ambiant.

Surtout que Jack avait retrouvé une relation qui tournait bien : Sally était juste parfaite pour lui. Elle le supportait, elle avait la réparti qu'il fallait quand il allait trop loin, elle tenait tête à Tessa... elle tenait tête à TESSA. Jack n'en revenait juste pas, elle le défendait, elle gagnait, c'était tellement bon de voir son ex repartir la queue entre les pates comme ses clébards quand Sally la défonçait... et au lit c'était juste parfait. Bref, Jack était heureux et ça faisait tellement de temps qu'il ne connaissait plus ce sentiment qu'il avait la sensation de renaitre.

Mais le destin n'était pas ok avec le plaisir de Jack... alors il envoya des mecs masqués pour lui enlever sa Sally, le soleil de sa vie, ce qui le différenciait de ses clients et de la pire engeance de No Man's Land. Elle lui fut enlevé le jour de leur rencontre, un peu facile.
Au début il resta optimiste, pensant qu'il le retrouvera, mais Jack avait oublié ces putains d'années accours desquelles il avait du se battre pour s'affirmer et rappeler au destin qu'il était là. Quand il reçu les premières phalanges, il sut qu'il ne devait plus croire à un happy end.
Lorsqu'il reçu le scaphoïde droit dans un jolie paquet cadeau, c'est Tessa elle même qui trouva les mots pour le calmer et le convaincre de ne pas y aller seul. Pourtant, quelque chose était irrémédiablement brisé dans l'esprit de son ex, elle même en avait, et en a toujours, froid dans le dos en évoquant le sujet.

Il monta une équipe de gars triés sur le volet, les équipa et les entraina personnellement. Il partir le matin de premier juin pour enregistrer le première victoire contre le gang des masqués. Ce jour fut encore plus sanglant et encore plus sordide pour Jack que son 24 décembre 2015 : il massacra les assassins de sa Sally avec ses seuls poings et dents, comme l'aurait fait un Rodeur. Les rescapés de son escouade durent appeler Tessa pour le ramener et il lui fallu deux bonnes semaines pour se remettre de ce qu'il avait vu et surtout de ce qu'il avait fait.

Depuis, Jack met un point d'honneur à ne plus jamais s'attacher à qui que ce soit.
Plus jamais.



Mai 2020
La vie serait tellement plus "cool" si cette connasse de Tessa ne lui pourrissait pas la vie. Tout est prétexte à faire chier le monde du moment qu'il s'agit de Jack et que Tessa est la première protagoniste. Mission qui ne se passe pas comme prévue, délais non respecté, terme de contrat qui ne se résout pas comme ce qui est prévu. TOUT.

Même ce qui met No Man's Land en porte à faux, Tessa ne manque jamais une occasion de pourrir Jack. Il a beau être LE chasseur numéro un, celui qu'on va voir en premier, l'aide la plus précieuse pour la justice, le référent loi, Tessa ne manque jamais une occasion de le défoncer en privé comme en publique.

La plupart du temps il esquive la confrontation. Parce que ça ne mène nulle part, Jack l'a bien compris. Défoncer verbalement Tessa ne l'amène nulle part. Il ne peut pas dire que c'est facile, c'est même un exercice, un défit de tous les jours auquel il se livre parfois avec une certain plaisir pervers. Elle est forte, mais il la connait, il sait ce qui la fait partir en vrille et il garde ses arguments les plus acerbes pour la fin de la confrontation. Parfois elle gagne, parfois il perd, toujours il s'amuse de leur lutte : il n'y a plus d'enjeux, juste une joute qui l'amuse autant qu'elle le consterne.

La vie se passe bien à No Man's Land, du moment qu'il ne la croise pas, c'est comme ça depuis des semaines et ça n'a pas l'air d'avoir envie de s'arranger.





Depuis qu'il a rejoint No Man's Land, Jack passe le plus clair de son temps a revivre les derniers instants de son mariage : bosser un max et en mettre autant que possible dans la tronche de Tessa. La stratégie peut paraitre revancharde et sans intérêt, mais un observateur qui n'a que ça faire de regarder leur manège comprendra que c'est sa façon d'éviter les emmerdes : Sans prétendre comprendre la psychologie de son ex, l'ancien détective fait ce qu'il peut pour éviter de lui donner l'opportunité de lui rappeler sa responsabilité dans leur naufrage. Rongé par la culpabilité et son incapacité à faire face, il emploi une partie de ses ressources journalières à éviter la jeune femme. Et quand la confrontation ne peut qu'avoir lieu, alors il est sans pitié, ça fait aussi mal que ça fait plaisir, ce sont les joies du divorce et de l'après.

Quand il n'est pas occupé à pourrir son ex, Jack check les primes, aide les nouveaux arrivants, aide ceux qui représentent au mieux les forces de l'ordre. C'est un homme un peu cinglant au début, un peu blasé, mais qui se montre rapidement aimables avec ceux qu'ils jugent fiable.

Jack est un chasseur de primes certes, mais il a un code de conduite doublé d'honneur. Il s'applique tout un tas de règles dont la première est de faire un peu d'exercice pour se maintenir en forme, nettoyer ses armes, checker les primes. Tout ça dans un ordre variable mais toujours lors des premières heures du jour.

Puis il re-check les primes, parce que le travail c'est la santé parait-il, c'est aussi un super moyen pour être loin de Tessa... en vrai c'est le seul moyen qui lui reste pour se sentir utile, parce que faut pas se mentir, il est bon, même très bon dans ce qu'il fait. Ses reflexes de limiers sont là et plus utiles que jamais et comme il ne laisse pas grand chose au hasard il est rare que ses missions se passent mal.

Jack passe aussi une partie de son temps a répéter les mantras qu'il a trouvé suite à sa première rencontre avec les rodeurs, fait des rondes, aide les gens... cherche tous les moyens que l'apocalypse a laissé à sa porté pour ne pas s'ennuyer, pour se sentir utile et pour éviter son ex.




Time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Tankaal
• Âge irl : 38 ans
• Présence : plusieurs fois par semaine
• Personnage : Inventé [ ] / scénario/prédef [X]
• Code du règlement : HE WHO SAT ON IT HAD THE NAME DEATH

• Comment avez-vous découvert le forum ? :
J'ai été harcelé par une joueuse
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? :
l'intérêt de l'univers
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum : Oui [X] / Non [ ]
• Crédits (avatar et gifs) :
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Re: Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 17:23

Oh ouiiii Woody Harrelson !!!!!!!!!!!!
Bienvenue à toi !! Très très bon choix
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Re: Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 17:37

Bienvenue sur le forum avec ce très bon choix d'avatar ! Jack Roberts' life 1011461198
J'ai hâte d'en apprendre plus sur ton personnage ! Jack Roberts' life 2451098191
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Re: Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 18:16

Yeaaaah ! Bienvenue !
Très belle batte, si je peux me permettre. Jack Roberts' life 3143002135
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Re: Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 18:41

Bienvenue Jack et bon courage pour ta fiche ! I love you
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Re: Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 18:44

Bienvenue et trop cool de voir le scenario pris!


Inachevés
La médiocrité commence là où les passions meurent. C'est bête mais j'ai besoin de cette merde pour sentir battre mon cœur. J'ai tellement misé sur mes faiblesses et mes failles, j'mérite une médaille au final j'ai fait qu'briller par mes absences.
Levi M. Amsalem
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Re: Jack Roberts' life

Sam 24 Oct 2020 - 19:59

Bienvenue par ici Jack, bonne rédac Wink
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Re: Jack Roberts' life

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