Le plan qu'avait en tête le petit groupe ne put aboutir car Gary en avait décidé autrement. Il fallait à présent trouver un véhicule et le remplir de vivres, ainsi que d'armes et de munitions. Dante ne contesta pas, après tout, cet homme semblait connaître les démarches à suivre et il dégageait une réelle assurance. Il confia cette mission à Tam qui allait devoir gérer au mieux cela. L'expression du visage de la brune changea, prenant un ton plus sérieux. Cela changeait en comparaison à la Tam connue de tous, mais elle assurait aussi en donnant des directives claires et précises d'autant plus qu'Arthur prenait le relais et confirmait ses dires. Dante écoutait avec attention leurs petits discours et ils avaient l'air de produire l'effet escompté car la plus part des réfugiés semblaient reprendre espoir. Cette journée était un véritable ascenseur émotionnel, l'espoir de s'en sortir était de nouveau présent, mais comme tout le reste de la journée, rien ne semblait devoir se passer selon les différents plans.

June s'éclipsa tout d'abord, suivie en toute logique par Kassandra. Si c'est pas l'une, c'est l'autre. pensa le canadien. Il commençait à bouillonner et à en avoir marre de courir à droite et à gauche pour aller récupérer telle ou telle personne, c'était usant et stressant à chaque fois. Pourquoi avaient-elles ce besoin de fuir loin des autres ? En temps normal, Dante comprendrait, mais vu la situation actuelle cela n'avait pas de sens et les mettait en danger inutilement. Au final, il se dit que lorsqu'un peu plus tôt il dût aider Kassandra à avancer parce qu'elle était comme absente, ce n'était peut-être pas plus mal et que June aussi aurait dû se retrouver dans cet état.

Tam murmura à l'oreille de son ami d'aller les chercher, ce qu'il comptait faire de toute façon car deux personnes se retrouvant seules étaient bien plus en danger qu'un petit groupe, qui continuait à s'agrandir et se renforcer comme avec la dernière arrivante, une jeune femme aux cheveux bicolores. Dante attrapa la main de son amie afin de capter son regard et lui dit à voix basse « Fais attention à toi quand même. ». Puis, il regarda rapidement chaque personne de ce groupe en s'attardant un peu plus longtemps sur Tam avant de partir à la recherche de Kassandra et June. La brune serait en sécurité ici de toute façon, en tout cas plus qu'ailleurs dans le stade. Il en était persuadé.

Le brun dirigea son arme droit devant lui et commença à courir pour rattraper les deux jeunes femmes. Il alla vers la voix de la blonde qui , quelques instants plus tôt, avait appelé June. A son tour il hurla « REVENEZ BORDEL ! » avant de s'en vouloir. Il y avait beaucoup d'agitation et de bruit dans tous le stade, certes, mais crier n'était pas la meilleure option pour rester discret et ne pas attirer des créatures.

Il arriva à la hauteur de Kassandra et l'attrapa par le bras. La fixant droit dans les yeux, il lui dit ; « Elle est où June ? Et pourquoi elle s'est barrée ?! » En soit, il le savait plus où moins car il l'avait entendu dire ne pas vouloir descendre, mais n'en étant pas complètement sûr, il préférait en avoir la confirmation.

Ils repartirent à la recherche de la jeune femme, mais Dante n'était pas rassuré à l'idée de devoir refaire le chemin inverse, alors il espérait de tout cœur la retrouver le plus rapidement possible afin de rejoindre les autres. Plus la distance s’agrandirait et plus le retour pourrait s'avérer dangereux pour tous les trois. « Quand on retrouve June, je vous attache toutes les deux à moi comme ça vous ne partirez plus. » murmura-t-il sans se soucier du fait que Kassandra puisse entendre cette phrase.

 

EVENT DE JANVIER | Nara & Buzz

  Gary, le mari de Rose, semblait avoir enfin comprit que la situation était vraiment trop merdique. Il fallait partir. Cependant, l’idée première des vestiaires fût avortée au profit d’un camion qui servait auparavant aux militaires. Ils pourraient monter à plusieurs à l’intérieur, pour forcer le passage et quitter les lieux. Nara écarquilla les yeux en l’entendant appeler tout le monde. Au même moment, Alan, sa femme et leur fils arrivaient à leur hauteur. Nara poussa un soupire de soulagement alors que Buzz venait passer sa main dans les cheveux de Sven d’une ébouriffe affectueuse. Ils étaient désormais regroupés, ils pouvaient alors se hâter à préparer leurs bagages pour partir d’ici. Buzz balança le sac de sport qui contenait toutes leurs affaires dans le dit camion. Il entendit alors Dante qui criait pour s’élancer à la poursuite de Kassandra, qui elle-même était partie chercher June, leur amie qui avait littéralement pété les plombs.

Il y avait de quoi. Pour partir, il faudrait foncer vers ces infectés et faire du forcing. Nara ne pourrait pas se poster à l’avant du camion avec sa lance, alors elle laissa le soin à Buzz partir avec Arthur, armé de son nouveau joujou pour libérer le passage. Le binôme n’irait pas non plus clamer « hourra » à l’adresse de ce type qui, à ce stade, n’était qu’un autre Homo Sapiens dans de sales draps, comme eux. Nara s’élança alors sur les côtés pour récupérer le plus de choses possibles. Il y avait des sacs abandonnés par des victimes dans les tentes les plus proches. Dans réfléchir, Nara les embarqua avec elle, tout en plantant au passage sa lance dans le crâne d’une victime récente qui commençait tout juste à émerger sous la forme d’un infecté. Pas le temps de faire des politesses, ils pleureraient leurs morts plus tard. Nara se dépêcha en accélérant le pas, tout en surveillant du regard où étaient les autres. Elle indiqua une tente à côté d’elle à la blonde aux cheveux teints de rose. Elle l’avait déjà aperçut sans jamais lui avoir parlé, mais il semblait qu’elle s’appelle Colleen. Buzz avait roulé des yeux pendant le discours du fameux sergent, mais il acquiesça tout de même, se résignant à toute remarque ironique.

Nara approuva son comportement d’une tape sur l’épaule en passant devant lui tout en embarquant sur son épaule un autre sac. Elle ne savait pas bien ce qu’il y avait dedans, mais elle aurait espéré qu’il s’agisse de vivres ou/et de vêtements. « Vas falloir s’activer là… On attend pas mille ans ! On rentre dans l’gros machin et on s’tire ! » Beugla Buzz en agitant son arme comme s’il s’agissait d’un étendard de guerre, après avoir éliminé un ou deux infectés qui leur barrait la route. Nara eu un petit rictus avant de compter ce qu’elle avait récupéré. Quelques sacs à dos abandonnés par leur propriétaire et quelques sacs de couchage qui avaient été rangés à la hâte lorsque les festivités avaient commencé. De multiples sangles et ficelles de sac pendouillaient de chaque côté de ses épaules et de ses bras. Elle avait l’air d’une marchande à la sauvette, mais ne s’en voulait même pas de piller les morts.

Dante et Kassandra devaient se dépêcher de revenir en compagnie de June. Nara retrouva le petit groupe qui avait réussit à avancer la marche vers ce camion qui n’était plus très loin. La chercheuse finit par croiser le regard de Rose qui avait tenté ce qu’elle avait pu concernant cet enfant blessé qui n’était plus dans les parages. Nara balaya l’endroit du regard en constatant qu’il n’y était pas. Elle avança vers elle avec son bardas, qui la limitait dans ses déplacements, déséquilibrée pour pouvoir se servir de la lance en cas de besoin. Elle esquissa un léger sourire à l’adresse de la chirurgienne. « On s’tire d’ici, ça va aller. » C’était simple, mais cela suffirait pour le moment.

Ils étaient en groupe, et travaillaient plus vite. C’était déjà ça. D’autres pouvaient prendre la relève pendant que Nara resserrait les liens de sa lance, qui aurait besoin d’un peu plus d’optimisation lorsqu’elle en aurait l’occasion. Elle se releva pour reprendre son bardas en espérant que ce cauchemar s’arrête bientôt.

Combien de personnes ils étaient là. Sérieusement, Ed ne parvenait plus à compter le nombre de survivants ralliés à eux. Cela dit, le fauconnier éprouva énormément de soulagement à l'idée de retrouver "son groupe" de départ. Et puis Gary donna ses instructions. Un sourire en coin naquit sur les lèvres du brun. Ouais, il prenait au sérieux son rôle et ça, c'était un bon point pour tenter de maintenir un semblant d'ordre et de cohésion en eux. Enfin l'homme s'en alla retrouver sa famille. Ed espérait qu'il retrouverait les siens rapidement, avant qu'il ne leur arrive quoi que ce soit du moins. Et puis ce fut à Tam de prendre la parole, donnant à son tour les directives. Bien, il fallait suivre. Enfin, c'était à Arthur de parler. Sergent McLeod, hein ? Super, quelqu'un d'affirmé pour organiser la bande.

Pourtant, trois alliés s'en allèrent, l'une fuyant, les deux autres tentant de la ramener. Eh merde. Edwin s'apprêta à se lancer à leur poursuite pour les ramener "à bon port" mais il se stoppa en sentant les doigts de Lilou dans sa main. Il ne pouvait pas la laisser seule. Retenant un soupir, il déglutit difficilement avant de descendre les bretelles de son sac et de le tendre à son amie blonde.

- Met le devant toi, y a mon oiseau dedans, serre le mais pas trop, d'accord ? On va au camion, je te protège.

Sans réellement y réfléchir, Ed embrassa le front de Lilou et la poussa aux côtés des gens désarmés. Lui même tendait son flingue pour assurer le flanc gauche du petit groupe. Ceux qui savait tirer, qu'avait dit le soldat. Pouvait-on réellement dire que l'employé de zoo savait tirer ? Il se débrouillait et encore, il lui fallait du temps avant de réellement réussir ses coups. Pourtant, ça ne l'empêchait pas d'aider au mieux.

- Go ! Go ! go !

C'est ce que criait son esprit pour le motiver à avancer. La peur revenait et rendait ses jambes lourdes. Mais il se forçait à aller de l'avant. C'était quand même le commando suicide là, s'approcher d'un camion alors que les vagues de l'Enfer déferlaient toujours plus violemment sur les survivants. A mesure qu'ils avançaient jusqu'au véhicule tant désiré, les infectés approchaient, eux et les blessés. A plus d'une occasion, Edwin dû tirer pour se débarrasser d'un ennemi ou repousser une victime. Ils ne pouvaient pas les sauver, ils ne devaient pas les sauver. Ces survivants deviendraient des infectés et là.... Là... Le cauchemar recommencerait et l'apocalypse reviendrait à la charge. Pas question que ça arrive.

La sueur coulait le long du visage d'Ed, faisant ainsi dégouliner le sang qui séché qu'il portait. Des peintures de guerre. Ç'aurait été drôle, s'il ne s'agissait pas de sang humain. Les coups de feux partaient, il tirait à chaque fois qu'on s'approchait trop de son petit groupe. Ne pas flancher. Ne pas flancher. Depuis quelle heure il se battait ? Il n'en savait rien mais là les muscles de ses bras, tendus à mourir, brulaient plus que jamais lui faisant comprendre qu'il avait besoin d'une pause. De plus, il claqua la dernière balle de son premier chargeur. Instinctivement, il tourna le regard vers Arthur pour lui faire part de la chose.

- J'ai besoin de recharger ! Comment on fait ?!

Ah bah çaaaaaa ! Çaaaaaaaaaaa ! C'était le truc qu'il avait pas encore apprit à faire ! Naturellement, il se recula pour se mettre en retrait et laisser ses compagnons assurer la sécurité du passage menant au camion tandis qu'il se débattait pour virer son chargeur vide et le remplacer par le nouveau. On vint à son aide pour lui expliquer le fonctionnement et puis il revint à sa place, recommençant à achever sécuriser le périmètre, jetant quelques coups d'oeil à ses amis, attendant, anxieux, de revoir les autres, en vie de préférence. Vite, vite ! Fallait se grouiller et si tirer !  

Évidemment, ils n'étaient pas les premiers à avoir l'idée de se servir joyeusement dans les réserves de vivres du stade. Les couloirs grouillaient de monde et pas que des vivants. Là, le corps d'un militaire, son ventre ouvert en une plaie béante duquel s'échappaient tripes et boyaux, avait maculé le sol d'un rouge écarlate. À peine avait-il aperçu l'obstacle qu'Adam s'en éloigna, détournant le regard pour ne pas rendre son repas de la veille. Ce ne fut malheureusement pas le cas de Michaela qui, trop absorbée par cette vision d'horreur, n'avait pas vu le type qui leur arrivait en face. En un battement de cils, leurs mains étaient à nouveau séparés. Le trentenaire stoppa net sa course et se retourna à la hâte, braquant le fusil à pompe sur l'imbécile qui n'avait été foutu d'éviter son associée. À voir l'homme étendu sur elle, sa tête près du cou de la brune, il pensa au pire pendant un fraction de secondes. Il savait intérieurement que ce n'était pas possible. Il venait de le croiser. Il avait lu dans son regard la même regard que celle qu'il avait vu chez les autres. Il l'avait vu portant un sac plein de nourriture. Il l'avait vu. Il le savait. Et pourtant, l'éventualité que Michaela puisse se faire dévorer par un infecté s'imposa dans son esprit aussi clairement que si cela avait été réellement le cas. Il était prêt à appuyer sur la détente. Il était prêt à parsemer le corps de cet homme de plomb mais elle fut plus rapide que lui pour le dégager. Sa lèvre entaillée devrait attendre, plus ils retardaient leur départ, plus ils prenaient de risques.

Rejoindre leur destination ne leur prit guère trop de temps. Si Shepherd pensait que l'armurerie était un beau bordel, ce n'était rien comparé au garde-manger. Il laissa Michaela s'engouffrer dans la pièce après un hochement de tête en guise d'approbation. Elle avait raison. Seule, elle s'en sortirait mieux à l'intérieur et en procédant ainsi, ils réduisaient à zéro la probabilité qu'ils soient définitivement séparés. Elle avait raison mais il détestait l'idée. Les gens étaient des animaux. Ils l'avaient plus qu'amplement prouvé. Qui sait ce qu'il pouvait lui arriver entre ses quatre murs pendant que lui était là, dans le couloir. La main droite sur la crosse de l'arme, le pouce à quelques millimètres de la sécurité située sur le haut du fusil, la main gauche tenant fermement la pompe, Adam était prêt à faire parler la poudre aux moindres signes de danger. Son sac à dos collé au mur, il jetait des regards inquiets à sa gauche, à sa droite et plus particulièrement à l'intérieur, égrainant mentalement les secondes depuis que Miss Lewis était entrée dans le garde-manger.

Du soulagement encore, lorsqu'il vit son magnifique minois sortir, un sac plein de vivres entre les bras et qu'il sentit, un court instant plus tard, le contact de ses doigts contre les siens. Ils avaient tout ce dont ils pourraient avoir besoin dans les prochains jours. Ne restait plus qu'à trouver une sortie. Plus facile à dire qu'à faire. Ils durent s'y reprendre à plusieurs fois jusqu'à tomber sur Keith. Jusqu'à ce moment. Deux morts s'étaient dressés sur leur chemin. Ils auraient pu certainement les abattre, mais ils étaient proches, peut-être un peu trop. Faire demi-tour était le seul coup qu'ils avaient à jouer. Et le voilà, lui aussi en travers de leur route. Un instant, il se tenait là, en face d'eux, un sourire béat sur le visage, l'instant d'après, Michaela le donnait en pâture aux infectés. Il s'arrêta une seconde, interdit lui aussi face à ce geste qu'elle avait accompli et lui emboîta le pas la seconde suivante sans dire mot. Il n'y avait rien à dire. Elle avait fait ce qu'il fallait. Ce qui ne semblait pas être l'avis de la rouquine à plusieurs mètres.

- KEEEEEEEEIIIIIITH, hurla-t-elle avant de courir vers Michaela, ses yeux lançant des regards plein de haine.

Adam non plus n'hésita pas un instant. Avant même que la nana au nom sortit d'On-nesaizou atteigne la brune, il avait forcé le pas pour se placer devant elle et inversé sa prise du fusil. Un léger crac retentit lorsque la crosse du pompe vint violemment s'écraser contre la mâchoire de Niamh. Son corps s'affala comme une vulgaire poupée de chiffon. Il ne l'avait peut-être pas tuée, mais avec les deux autres derrière, c'était tout comme.
Chacun pour soi et Dieu pour tous n'est-ce pas ?

- Par-là, dit-il simplement avant de bifurquer dans un autre couloir.

Si voir la petite pancarte dessinant des escaliers lui fit plaisir, celle d'à côté sur laquelle était écrit "Parking lot" lui apparut comme un signe de la providence. Un véhicule. C'était bien là la dernière chose qui leur manquait avant de pouvoir quitter cet enfer.

Le silence règne dans la petite loge où la petite famille se trouve. Brooke continue à faire en sorte de garder son sang-froid mais, il n’y a vraiment rien de super facile à ce moment. Toujours ses armes en mains, la jeune mère attend d’avoir des nouvelles de son mari. Le temps commence à devenir très long et sa patience comme peu à peu à laisser placer à l’angoisse de celle-ci. Surtout lorsqu’elle entend des bruits de détonations. Le rythme cardiaque de la jeune femme s’accélère, le stresse commencé à montrer. Brooke est loin d’être stupide, elle comprend très bien que put rien n’est sous contrôle. Surtout qu’à ce moment Ethan fait son entrer dans la pièce. Sans même avoir besoin d’entendre ce qu’il dit, les doutes de Brooke se fixent rien qu’au regard de son mari. Brooke se tourne vers le reste de sa famille puis sans attendre, le petit monde prend la direction de la sortie de la loge. Ethan donne les dernières instructions. Une balle dans la tête et éviter les morsures. Voilà ce que Brooke prend véritablement en compte, les informations les plus importantes.

Pendant que la petite famille se dirige vers les gradins, Brooke ayant pris la tête de la file, celle-ci vit un cadavre sur le sol, visiblement une personne qui a servi de repas à l’un de infecter ayant pénétré dans le stade ou autrement... Brooke n’en a aucune idée. Elle se stoppa net, elle regarda un peu aux alentours pour voir si l’une de ses choses fut présente dans les loges. Une trace de sang sur le mur décoré l’une des portes.

« Je reviens... »

Elle retira le cran de sureté du pistolet qu’elle a entre les mains. Elle s’approche doucement vers la porte et l’ouvre un peu plus pour voir, il l’infectait et toujours dans le coin. Brooke prit son courage à deux mains et vit une personne se tenir dans un coin. Pour être sure de son coup, Brooke interpelle la personne : « Oh ! Vous allez bien .?» Lorsque celui-ci se retourne Brooke, comprit rapidement que ce n’est pas une personne vraiment vivante. Elle lève son arme, tandis que celui-ci approche d’elle et elle tire en pleine tête. La jeune femme reste pendant quelques secondes immobiles. Puis elle se tourne vers les autres :

« La voie est dégagée ! On y va ! »

Une fois arrivé dans les gradins, Brooke vit d’autres survivants. La famille s’approcha d’eux. Brooke resta bien silencieuse mais, elle écouté ce que les gens racontent et au bout d’un moment, à ce moment elle entendit un homme donner de nouvelle instruction. Les différents groupent se sont activé très rapidement. La jeune mère s’assure que ses enfants vont bien puis elle avance vers Ethan :

« Partons maintenant ! Je n’ai pas envie de rester encore un second ici et nous devons trouver un endroit sur pour eux. » Dit-elle est en désignent d’un regard les membres de leur famille. « On devrait sortir est trouver une voiture et partir de notre côté. »