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Tony Finlay
Lun 21 Mar 2016 - 22:52
59 ans • Américain • Cryptologue • Traveler
Sous un sourire convaincant, Warrington est un homme de charisme. Très posé, de par sa bonne composition naturelle, il en impose par le bon sens qui semble s’échapper de chacune de ses pores, et surtout de chacune de ses paroles. Vif d’esprit et fin observateur, il faut dire qu’il sait généralement s’adapter à ses interlocuteurs et ne se lassent jamais de découvrir des nouvelles facettes de l’espèce humaine ! Rien ne l’enchante davantage ! Littéralement. Homme de passion donc, il sait l’être aussi avec les femmes, qui lui ont pourtant souvent reproché son manque d’attention.
Il faut dire que notre homme a toujours eu un peu de mal avec l'attachement. En dépit de sa grande sociabilité et de sa conversation généralement intarissable, il n'a jamais eu d'amis proches ou de confidents, et est au fond finalement assez perso. Ses petits désirs - en tous genres ! - passent toujours en premier ! Il n'en fait littéralement qu'à sa tête ! Ça peut être un brin agaçant.
Issu d’une famille particulièrement aisée, Warrington n’a pourtant jamais été un assisté. Travailleur assidu, puis baroudeur parfois de l’extrême, il a forgé sa survie future au cours de ces longues années. Sans compter sa bonne étoile. Et si l’apocalypse n’a pas changé fondamentalement son caractère, elle a décuplé son côté parfois déjanté, et son engouement pour certaines choses totalement décalées !
Il faut dire que notre homme a toujours eu un peu de mal avec l'attachement. En dépit de sa grande sociabilité et de sa conversation généralement intarissable, il n'a jamais eu d'amis proches ou de confidents, et est au fond finalement assez perso. Ses petits désirs - en tous genres ! - passent toujours en premier ! Il n'en fait littéralement qu'à sa tête ! Ça peut être un brin agaçant.
Issu d’une famille particulièrement aisée, Warrington n’a pourtant jamais été un assisté. Travailleur assidu, puis baroudeur parfois de l’extrême, il a forgé sa survie future au cours de ces longues années. Sans compter sa bonne étoile. Et si l’apocalypse n’a pas changé fondamentalement son caractère, elle a décuplé son côté parfois déjanté, et son engouement pour certaines choses totalement décalées !
Warrington a toujours eu une morphologie assez sèche. Ancien champion universitaire de plongeon (dans les années 70 !) puis amateur de tennis et grand marcheur, il a toujours gardé une bonne condition physique. Mais à bientôt 60 balais, la rouille apparait. Douleurs lombaires, fragilité des genoux, on ne peut pas dire que notre gaillard soit aujourd’hui de la première jeunesse ! Mais que voulez-vous… Il garde néanmoins le sourire ! Ah ça oui, quand on rencontre Tony, deux choses sautent aux yeux : ses dents bien blanches, qu’il dévoile à tout va, et sa barbe épaisse qu’il porte depuis bientôt 40 ans avec fierté ! Bee Gees attitude, baby !
Le reste est alors secondaire, et se fait d’ailleurs rapidement oublier derrière sa présence : son petit 1m70, son corps amaigri, ses vêtements trop larges et crado. Ces derniers sont d’ailleurs assez passe-partout, et il les change régulièrement au gré des maisons qu’il visite. A noter tout de même qu’il porte aux pieds ses vieilles chaussures de randonnées, hautes et pesant une tonne, et qu’il se trimballe l’hiver une fourrure de femme, dénichée au début de l’épidémie. Stylé ! Niveau armement, il porte une machette à la ceinture, ainsi qu’un pistolet, qui sert surtout de leurre, puisqu’il est depuis longtemps déchargé !
Le reste est alors secondaire, et se fait d’ailleurs rapidement oublier derrière sa présence : son petit 1m70, son corps amaigri, ses vêtements trop larges et crado. Ces derniers sont d’ailleurs assez passe-partout, et il les change régulièrement au gré des maisons qu’il visite. A noter tout de même qu’il porte aux pieds ses vieilles chaussures de randonnées, hautes et pesant une tonne, et qu’il se trimballe l’hiver une fourrure de femme, dénichée au début de l’épidémie. Stylé ! Niveau armement, il porte une machette à la ceinture, ainsi qu’un pistolet, qui sert surtout de leurre, puisqu’il est depuis longtemps déchargé !
Warrington nait en 1957 sur la côte Est des États-Unis. Ses parents, Windsor et Margaret, ont une situation privilégiée, puisque le premier est professeur de lettres à Harvard, et que la seconde est rentière, de par ses actions familiales dans le pétrole. Le jeune garçon grandit donc sereinement, dans l’immense maison familiale, au bord de la mer, à Providence, dans le Massachusetts. Très jeune, il développe une réelle fascination pour les autres. Il aime les regarder bouger, parler et surtout interagir. Il peut ainsi passer des heures à observer en retrait sa sœur ainée, Mary-Ann, jouer à la poupée, ou encore à écouter les discussions politiquement engagées de ses parents et leurs amis.
Son attention toute particulière du monde qui l’entoure, il continue à l’exploiter lors de ses classes, pour lesquelles il est envoyé, dès l’âge de 6 ans, sur le vieux continent, afin de parfaire une éducation exemplaire. N’ayant quasiment aucun ami véritable, Warrington n’est pas pour autant un jeune garçon solitaire. Très lucide, il apprend aisément à s’intégrer à cette jeunesse dorée, dont il partage le quotidien. Après plusieurs années, et de brillants résultats scolaires, il revient étudier aux Etats-Unis, dans la prestigieuse université d’Harvard. Toujours aussi studieux, il rencontre néanmoins Maddy, qui restera son grand amour de jeunesse. Dans leur fougue et leur jeunesse, ils se marient très vite, alors qu’ils sont encore étudiants. Mais ce mariage se solde par un divorce presque aussi rapide, seulement deux ans plus tard.
Suite à cette déception amoureuse, Warrington part terminer ses études à Cambridge, non loin de Londres. Il se spécialise dans la cryptologie, et dans ces codes finalement tout aussi palpitants à déchiffrer que le comportement de ses semblables. Il travaillera douze ans, au Royaume-Uni, avant de rentrer sur sa terre natale. Au cours de ces années, il rédige plusieurs essais, tous centrés sur l’essence des symboles au cœur des peuples autochtones amérindiens, qui lui valent de se faire embaucher à l’université de Princeton, dans le New-Jersey. Son temps se divise alors entre les cours, qu’il dispense, et divers voyages, que ce soit pour ses recherches, ou pour intervenir dans des universités du monde entier. Si le travail est passionnant, et que Warrington y excelle, on ne peut pas en dire de même de son mariage avec Evelyn, sa seconde épouse, qui s’essouffle. Il est absent et parfois infidèle. Elle est frustrée et franchement malheureuse. Ils divorcent, sans avoir eu d’enfant en 2010, après près de 18 ans de vie commune.
Il serait mentir que d’affirmer que cela n’affecte pas notre bonhomme. Désormais célibataire, il part en effet s’exiler de plus en plus souvent sur les terres indiennes et dans les villages perdus. Il enrichit là-bas ses recherches et se coupe progressivement de ses anciennes habitudes. Il finit notamment par délaisser son professorat à Princeton, où il ne fait depuis 2012 que de brèves interventions. Il se laisse ainsi vivre au gré des voyages et des réserves indiennes. Il se passionne alors pour les croyances et la mysticité tribale. A force d’observation, il déploie d’ailleurs une thérapie de réconfort, tout à fait artisanale, mais qui trouve son public dans les esprits influençables des indigènes. Il se fait alors nommer Pale Pangueca, ou l’homme-blanc-aux-pouvoirs.
Son attention toute particulière du monde qui l’entoure, il continue à l’exploiter lors de ses classes, pour lesquelles il est envoyé, dès l’âge de 6 ans, sur le vieux continent, afin de parfaire une éducation exemplaire. N’ayant quasiment aucun ami véritable, Warrington n’est pas pour autant un jeune garçon solitaire. Très lucide, il apprend aisément à s’intégrer à cette jeunesse dorée, dont il partage le quotidien. Après plusieurs années, et de brillants résultats scolaires, il revient étudier aux Etats-Unis, dans la prestigieuse université d’Harvard. Toujours aussi studieux, il rencontre néanmoins Maddy, qui restera son grand amour de jeunesse. Dans leur fougue et leur jeunesse, ils se marient très vite, alors qu’ils sont encore étudiants. Mais ce mariage se solde par un divorce presque aussi rapide, seulement deux ans plus tard.
Suite à cette déception amoureuse, Warrington part terminer ses études à Cambridge, non loin de Londres. Il se spécialise dans la cryptologie, et dans ces codes finalement tout aussi palpitants à déchiffrer que le comportement de ses semblables. Il travaillera douze ans, au Royaume-Uni, avant de rentrer sur sa terre natale. Au cours de ces années, il rédige plusieurs essais, tous centrés sur l’essence des symboles au cœur des peuples autochtones amérindiens, qui lui valent de se faire embaucher à l’université de Princeton, dans le New-Jersey. Son temps se divise alors entre les cours, qu’il dispense, et divers voyages, que ce soit pour ses recherches, ou pour intervenir dans des universités du monde entier. Si le travail est passionnant, et que Warrington y excelle, on ne peut pas en dire de même de son mariage avec Evelyn, sa seconde épouse, qui s’essouffle. Il est absent et parfois infidèle. Elle est frustrée et franchement malheureuse. Ils divorcent, sans avoir eu d’enfant en 2010, après près de 18 ans de vie commune.
Il serait mentir que d’affirmer que cela n’affecte pas notre bonhomme. Désormais célibataire, il part en effet s’exiler de plus en plus souvent sur les terres indiennes et dans les villages perdus. Il enrichit là-bas ses recherches et se coupe progressivement de ses anciennes habitudes. Il finit notamment par délaisser son professorat à Princeton, où il ne fait depuis 2012 que de brèves interventions. Il se laisse ainsi vivre au gré des voyages et des réserves indiennes. Il se passionne alors pour les croyances et la mysticité tribale. A force d’observation, il déploie d’ailleurs une thérapie de réconfort, tout à fait artisanale, mais qui trouve son public dans les esprits influençables des indigènes. Il se fait alors nommer Pale Pangueca, ou l’homme-blanc-aux-pouvoirs.
Lorsque le chaos frappe de plein fouet la planète, Warrington est au Canada, sur la côte Ouest, chez les Tsimshians, à Port Simpson exactement. Loin d’être coupée du monde moderne, la réserve découvre le début de la pandémie et ses ravages sur écran numérique via satellite. Si la menace peut paraitre lointaine, dans ce petit port tranquille, elle ne tarde pas à se déclarer comme ailleurs. Et à engendrer son lot de panique ! D’abord dépassé, le village tente de s’organiser et ils sont une centaine à réussir à se barricader. Parmi eux, Tony bien sûr, mais aussi la famille chez qui notre cryptologue occupait une chambre : celle de Mani et de sa sœur Nowellera.
Progressivement, le groupe apprend à se maintenir à flot. Encouragée par Warrington, qui voit là un heureux prétexte pour raviver les coutumes ancestrales de ses hôtes, la communauté parvient à se reconstruire. Ils protègent leur zone, et se concentrent sur la chasse pour s’alimenter. Tout n’est pourtant pas rose, car de nombreuses victimes sont à déplorées au cours de ces premières semaines de chaos. Nowellera perdra notamment ses deux grands fils. Ils entrent néanmoins dans une routine qui lasse notre aventurier. Ainsi, en dépit de l’hiver qui s’installe dans le nord canadien, Warrington décide de prendre la route. Il veut partir encore davantage à la rencontre de cette apocalypse, impatient de découvrir ce qu’est devenu son pays et de croiser d’autres survivants. Mani, sa sœur et son mari, choisissent de l’accompagner dans ce road trip dangereux.
Que ce soit à pieds ou en bagnole, selon leurs chances, le petit groupe se dirige doucement vers le sud, pour rejoindre les États-Unis. Si les infectés qu’ils croisent au début sont souvent isolés et relativement facile à éliminer ou distancer, la situation devient toute autre dans les environs de Vancouver ! Ils affrontent alors l’horrible réalité de ces hordes de pantins articulés et affamés. Nowellera et son époux décèdent ainsi à quelques jours d’intervalle, dans des conditions particulièrement dramatiques. C’est un coup dur, mais cela soude encore davantage les deux hommes restants.
Tony et Mani parviennent ainsi, non sans difficulté, à traverser la ville, et alors qu'ils viennent tout juste de traverser la frontière, ils sont accueillis par un groupe d'une vingtaine de personnes, logées dans une ancienne usine. S'ils n'avaient croisés que des survivants isolés jusqu'ici, ils apprécient la sécurité qu'assurent la vie en plus grande communauté. D'autant que ces gens sont bien installés. Mais la nourriture manque, et les deux hommes décident de reprendre leur errance après trois semaines de cohabitation. Ils rencontreront d'autres survivants, avec lesquels ils partageront quelques jours, tout au plus. Ces derniers sont rarement hostiles, et dans le cas contraire ne le restent pas longtemps. Warrington, avec son bagou, parle et amadoue.
Les semaines s'écoulent, les kilomètres défilent aussi doucement, et c'est ainsi à la mi-avril qu'ils arrivent aux portes de Seattle. Et des nouveaux dangers qui les guettent au cœur de la ville.
Progressivement, le groupe apprend à se maintenir à flot. Encouragée par Warrington, qui voit là un heureux prétexte pour raviver les coutumes ancestrales de ses hôtes, la communauté parvient à se reconstruire. Ils protègent leur zone, et se concentrent sur la chasse pour s’alimenter. Tout n’est pourtant pas rose, car de nombreuses victimes sont à déplorées au cours de ces premières semaines de chaos. Nowellera perdra notamment ses deux grands fils. Ils entrent néanmoins dans une routine qui lasse notre aventurier. Ainsi, en dépit de l’hiver qui s’installe dans le nord canadien, Warrington décide de prendre la route. Il veut partir encore davantage à la rencontre de cette apocalypse, impatient de découvrir ce qu’est devenu son pays et de croiser d’autres survivants. Mani, sa sœur et son mari, choisissent de l’accompagner dans ce road trip dangereux.
Que ce soit à pieds ou en bagnole, selon leurs chances, le petit groupe se dirige doucement vers le sud, pour rejoindre les États-Unis. Si les infectés qu’ils croisent au début sont souvent isolés et relativement facile à éliminer ou distancer, la situation devient toute autre dans les environs de Vancouver ! Ils affrontent alors l’horrible réalité de ces hordes de pantins articulés et affamés. Nowellera et son époux décèdent ainsi à quelques jours d’intervalle, dans des conditions particulièrement dramatiques. C’est un coup dur, mais cela soude encore davantage les deux hommes restants.
Tony et Mani parviennent ainsi, non sans difficulté, à traverser la ville, et alors qu'ils viennent tout juste de traverser la frontière, ils sont accueillis par un groupe d'une vingtaine de personnes, logées dans une ancienne usine. S'ils n'avaient croisés que des survivants isolés jusqu'ici, ils apprécient la sécurité qu'assurent la vie en plus grande communauté. D'autant que ces gens sont bien installés. Mais la nourriture manque, et les deux hommes décident de reprendre leur errance après trois semaines de cohabitation. Ils rencontreront d'autres survivants, avec lesquels ils partageront quelques jours, tout au plus. Ces derniers sont rarement hostiles, et dans le cas contraire ne le restent pas longtemps. Warrington, avec son bagou, parle et amadoue.
Les semaines s'écoulent, les kilomètres défilent aussi doucement, et c'est ainsi à la mi-avril qu'ils arrivent aux portes de Seattle. Et des nouveaux dangers qui les guettent au cœur de la ville.
passeport :♦ recensement de l'avatar. - Code:
Christoph Waltz ♦ <bott>Warrington Finlay</bott>
♦ recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
♦ Warrington
♦ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
♦ Finlay
♦ recensement du métier. - Code:
♦ Cryptologue
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