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ERINE LEONE (TERMINE)
Sam 4 Mar 2017 - 18:36
22ans≡ Américaine≡ Assistante Sociale ≡ TRAVELERS
i've got a war in my mind
Erine a toujours été une jeune femme pleine de vie, pleine de rêves. Elle n'hésite pas à se battre pour ses idées mais aussi pour les autres. Elle rit, pleure, aime, déteste sans filtre et sans limite. Elle est émotive et prend tout à coeur, peut -être même trop, elle manque de détachement et de recul dans ses décisions. Elle a du mal à contrôler ce qu'elle ressent et davantage encore à masquer ses émotions, on sait immédiatement ce qu'elle pense en posant les yeux sur son visage.
Plutôt lunatique elle jongle entre ses émotions ce qui déstabilise son entourage, elle peut passer d'un état à un autre sans raison. Elle est agréable, sa compagnie est généralement appréciée, elle n'avait pas spécialement beaucoup d'amis mais elle savait créer des liens solides sur la durée. Erine n'est pas du genre à décevoir, elle est loyale, altruiste, elle aime être entourée et la solitude lui pèse, le fait d'avoir un foyer, des repères lui manquent.
Erine a toujours eu de l'ambition, déterminée, elle a su mener ses projets a bien malgré les obstacles, elle ne renonce jamais. Elle se montre impatiente quand les choses n'avancent pas assez vite, quand la situation tourne en rond ou qu'elle n'obtient pas ce qu'elle veut, il faudrait que tout se déroule comme elle le souhaite alors qu'elle est impuissante face à ce qui se passe et qu'il lui est impossible de contrôler quoi que ce soit.
Même si elle est aujourd'hui consciente que ses rêves ne pourront se réaliser, elle est dévoué, toujours présente pour aider les autres et leur porter secours. Elle est déterminée et ne recule devant rien, allant jusqu'à être imprudente et se mettre en danger, elle ne supporte pas la contrainte ou l'autorité
Elle se montre particulièrement pragmatique, quand elle se fixe un objectif elle sait comment l'atteindre et trouve toujours une solution. Entêtée elle agit tête baissée jusqu'à parvenir à ses fins, il est difficile de la dissuader d'agir comme elle l'entend .
Erine est une jolie jeune femme. Elle mesure près d'un mètre soixante-dix, plutôt fine elle arbore de jolies courbes féminines. Née d'un père italien et d'une mère slovène elle est un parfait mélange de ces deux origines . Elle possède de longs cheveux blonds qui ondulent le long de son visage, de grands yeux bleu-vert en amande et une bouche pulpeuse héritée de sa mère. Son visage est fin, ses pommettes saillantes.
À force de lutter pour survivre, son corps est marqué par la fatigue et le manque de nourriture, on distingue de nombreuses traces, cicatrices et hématomes fruit du combat acharné qu'elle mène pour survivre. Erine porte généralement des tenues pratiques et confortables, avec un parka bien chaude pour affronter le froid.
Comme la grande majorité des survivants, il ne lui reste que peu d'affaires, elle a en sa possession son sac à dos de survie, une gourde, des jumelles, quelques allumettes, un grand couteau de cuisine ainsi qu'un pistolet Beretta. Elle a aussi gardé une photo de sa famille.
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the last of us
Erine est née à Portofino un petit village italien, ses parents étaient en Europe pour célébrer leur troisième année de mariage. C'est alors qu'elle est venue au monde, plus d'un mois avant terme. C'était un petit nouveau-né, encore fragile pour naître mais déjà attaché à la vie. Sa mère s'appelait Adriane, c'était une superbe Slovène de trente ans tout pile et son père Daniel Leone un séduisant italien de quelques mois son ainé. Ils s'étaient rencontrés à l'université de Phoenix où ils poursuivaient leurs études et ne se sont jamais quittés. Ils ouvrirent ensemble une galerie d'art contemporain et s'installèrent dans le quartier de Marywale. Erine fut leur premier enfant, ils eurent ensemble Gabriel, Sofia et Chiara. Érine a grandi dans un foyer aimant et chaleureux, avec son frère et ses sœurs.
Dès son plus jeune âge Erine s'est énormément impliquée dans ses études, petite elle adorait l'école, apprendre de nouvelles choses. Elle avait pour ambition de devenir assistante sociale, elle en était à sa deuxième et dernière année d'études. Elle était toujours disponible pour aider les autres et voulait en faire son métier. Sa vie était presque parfaite, sa famille était présente, ils passaient de bons moments ensemble, une grande complicité les unissait.
Ses véritables amis se comptaient sur les doigts de la main, ils sortaient régulièrement ensemble comme les jeunes de leur âge, ils profitaient de la vie. Ils passaient souvent l'après-midi à la rivière ou au parc, riaient, s'amusaient. L'été précédant l'épidémie, Érine avait rencontré un garçon, Adam, avait qui elle s'entendait bien, elle ne pouvait pas dire qu'elle l'aimait mais elle l'appréciait beaucoup. Ils étaient différents, il semblait avoir la force de caractère dont Érine manquait, il ne se dévoilait pas vraiment, mais il avait toujours un geste affectueux et savait lui donner le sourire.
Le père d'Érine était très protecteur, c'était un homme fort lui aussi, il avait du mal à voir sa fille grandir, il voyait d'un mauvais œil la relation que sa fille entretenait avec le jeune homme, il aurait préféré qu'elle ne grandisse jamais comme tout père. Elle fréquentait Adam dans le secret pour ne pas troubler l'équilibre familial. Quant à sa meilleure conseillère, sa mère, elle était douce et Câline, elle s'épanouissait dans son rôle maternel et chérissait énormément ses enfants.
Erine avait trois frères et sœurs plus jeunes qu'elle. Gabriel son unique frère traversait la phase difficile de l'adolescence, il avait de mauvaises fréquentations, de mauvais résultats scolaires. Erine l'aidait à se construire, elle était un repère pour lui. Ils se chamaillaient mais s'appréciaient toujours, ils faisaient régulièrement des escapades en forêt pour se défouler, son frère s'apaisait au contact de la nature, elle le savait. Elle avait aussi deux sœurs de sept et cinq ans pour lesquels elle était un modèle, elle la copiait sans cesse c'était toujours très amusant de les regarder faire.
Elle n'avait jamais connu le deuil avant que l'épidémie se repende. La perte d'un être cher lui était inconnue. On l'avait toujours épargnée, surprotégée. Elle ne se croyait pas à même de pouvoir affronter la douleur car elle ne l'avait vraiment côtoyé. C'est sans doute la raison pour laquelle elle s'investissait autant pour les moins chanceux, elle s'évertuer à trouver une solution au malheur qu'elle ignorait.
Et elle grandit, devint une femme plus forte qu'elle ne le pensait. Sa sensibilité était retranscrite dans sa passion pour la photographie. Elle capturait l'instant présent et le sublimait, elle espérait que son cocon ne se briserait jamais mais elle avait tort. Les temps changeaient, sa réalité allait s'effondrer et elle n'était pas préparée pour. L'automne arriva, c'était sa saison préférée, les feuilles multicolores jonchés le sol. Après une journée d'étude elle rentra chez elle, l'atmosphère était différente, il se passait des choses dehors et elle en prenait conscience au fil des jours.
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Erine du faire face à la perte de sa mère et de ses sœurs le même jour. Une fièvre impressionnante se déclara, l'état de sa mère se dégrada très rapidement, c'était l'un des premiers cas dans le quartier et personne ne savait quoi faire, les médecins étaient eux-mêmes dépassés. Hormis la fièvre Adriane ne présentait aucun symptôme, ils avaient songé à une grippe et pensaient qu'elle guérirait. Ils ne faisaient pas le rapprochement avec les évènements relatés. Ils se souciaient de son état mais sans s'alarmer outre mesure. Ce serait un virus parmi tant d'autres.
Adriane rendit l’Âme dans son lit, elle s’éteignit en quelques heures à peine. Ses jeunes filles dormaient dans la chambre à côté. Son mari Daniel et Erine était parti chercher de l'essence à l'aube, ils voulaient l'emmener dans une clinique éloignée de la ville. Les stations commençaient à manquer d’approvisionnement et les hôpitaux étaient plein à craquer. Erine et sa famille pensaient qu'il y avait surement une explication rationnelle à tout cela, que ce ne pouvait être réel, ils étaient sceptiques face aux rumeurs qui couraient. Gabriel, l'unique fils âgé de 17 ans était resté à son chevet, quand elle revint il fut incapable d'empêcher le massacre de ses jeunes sœurs, il parvint tout juste à se protéger lui-même.
La scène était atroce, c'était un carnage absolu, ses sœurs moururent sous ses yeux, impuissant il put seulement les enfermer dans leur chambre avec leur mère. Après plusieurs heures de recherches Érine et son père revinrent au domicile et découvrirent Gabriel en état de choc, paralysé sur le sol de la cuisine. Erine vue en premier le sang coulé le long des escaliers, une quantité impressionnante de sang... Elle monta les escaliers, ouvrit la porte et ce fut le début de son apocalypse.
Erine avait du mal à se remémorer ce qui avait suivi, plus elle y pensait et plus sa mémoire défaillait. Elle avait fui, elle avait couru de longues minutes jusqu'à épuisement, tout ce que l'on racontait à l'université était donc vrai. Les gens qui perdaient la raison, qui mouraient et revenaient, les cannibales, les monstres n'étaient autres que des personnes normales, des êtres aimés et chéris. Tout prenait forme. À genoux a même la route, elle titubait. Elle resta ainsi près d'une heure, ne parvenant à réagir.
Son père et son frère la trouvèrent et la déposèrent à l'arrière du break familial, l'horreur se lisait sur leurs visages. Ils avaient fui eux aussi laissant derrière eux Adriane, Chiara et Sofia prisonnières de leurs corps. Ils prirent la direction du Nord. Commença le reste de leur périple.
Ils avaient quitté Phoenix et s'étaient retrouvés à plus de 2000 kilomètres de chez eux en moins de trois jours. Erine, son père et son frère allaient finir par tomber en panne de carburant, toutes les stations étaient vides à des kilomètres à la ronde. Les militaires étaient déployés dans tout le pays, il y avait des barrages sur l'autoroute, elle devenait impraticable. La famille Leone avait quitté leur foyer, leurs repères, ils roulaient encore et encore sans but, les images défilaient en boucle dans leurs têtes. Ils avaient perdu la moitié des leurs.
Erine voyait le visage de ses sœurs si fragiles si innocentes, elle pensait que moins d'un mois auparavant tout allait pour le mieux. Elle ne comprenait pas ce qui s'était passé, elle regretta des avoirs abandonnées elles et sa mère dans cet état, après tout elle pouvait peut-être les aider, les faire changer, peut-être ne seraient-elles pas ainsi pour toujours, si c'était un virus il y aurait des vaccins, des remèdes. Sur leur chemin ils croisèrent beaucoup de décharnés qui titubaient, et se ruaient sur la voiture, la mort prenait un nouveau visage. Ils avaient entendu les coups de feu, les hurlements, tout le pays était plongé dans le chaos.
*Il faut y retourner* Elle se répétait cette phrase sans arrêt. Tout se précipitait, après une journée de route durant laquelle personne ne ferma l’œil, ils tombaient d'épuisement. Ils avaient du quitté l'autoroute 405 en direction de Seattle, devenue impraticable. Après des heures de recherche, ils s'arrêtèrent dans un petit motel non loin de Tacoma et s'y installèrent trois jours, ils ne se parlaient pas beaucoup, ne sachant quoi dire, ou quoi faire. Ils pleuraient en silence.
Au bout de 72 heures, la télévision ne diffusa plus que des messages officiels, on savait ce qui se passait dehors mais l'on n'en parlait pas. L'armée avait averti la population de l'existence de camps de réfugiés où ils seraient plus en sécurité. Le motel se vidait petit à petit, le propriétaire décida de fermer les portes de son établissement quand les derniers clients qui restaient avaient eux aussi reprit la route. Les gens tentés de fuir ce qu'ils ne pouvaient pas fuir.
Erine, Daniel et Gabriel avait le choix de rester encore quelques jours ou de reprendre la route, le propriétaire, un petit homme d'une cinquantaine d'années, à qui Daniel avait tout raconté lui avait gentiment proposé de rester, ils partiraient ensemble trouver de l'essence. N'ayant aucune affaire, ni de quoi manger ils préférèrent rester à l'abri le temps que les autorités trouvent un remède.
Novembre était bien entamé. Erine et les siens reprenaient des forces et du courage, ils prévoyaient de reprendre la route, rejoindre Seattle, la ville la plus proche, en quête de réponse. Quand ils avaient pris la direction du Nord, leur unique intention était de fuir l'horreur. Aujourd'hui il était temps de donner une explication, un sens à tout ça. Et pourquoi pas un remède. Quand la nuit tombait, les morts s'agitaient dehors, Érine les observait, ils n'avaient plus grand-chose d'humain.
L'hôte Arthur M. avait barricadé portes et fenêtres avec l'aide des Leone. Ils ne cessaient de retarder l'heure du départ et reportaient toujours au lendemain. De nombreuses personnes chercher un refuge pour une nuit ou plus, Arthur et sa femme ne pouvaient plus accueillir personne, les provisions viendraient à manquer et il était trop dangereux de s'aventurer dehors. Il avait hésité à expulser les derniers hôtes qu'il abritait mais c'était un homme peureux d'ordinaire, ils pourraient lui être utiles. Dans la cuisine du motel il y avait de quoi tenir plus d'un mois, le remède viendrait d'ici là, sinon les forces de l'ordre régleraient la situation.
Un soir parmi d'autres, Arthur, sa femme et les Leone se retrouvèrent dans le salon et discutèrent, ils contèrent leurs malheurs, buvèrent et passèrent le temps comme ils pouvaient. Le lendemain, enfin décidés Daniel avec l'aide d'Arthur irait chercher de l'essence et des provisions, ils prépareraient leur départ.
À 2h08 du matin, ils entendirent des cris dehors, des cris qui se rapprochaient de plus en plus, on frappa à la porte. "À l'aide, aidez-nous, je vous en prie, ils sont là, à l'aide", Gabriel tira le rideau et arracha une planche de la fenêtre, dehors une dizaine de rôdeurs se précipitaient en direction du motel. Deux femmes d'une trentaine d'années et un gamin de dix ans au plus criaient à l'aide derrière la porte. Un choix s'imposait, les laissés dehors ou les faire entrer, dans tous les cas la horde se dirigeait droite vers le refuge, ils devaient trancher. Ils les firent entrer.
"Rapprochez tous les meubles des portes et fenêtres, éteignez les bougies, né faites aucun bruit" ordonna Daniel. Tout le monde s'exécuta. Erine regarda à l'extérieur, ils arrivaient. Elle tenta de garder son sang-froid mais la peur la tétanisait. En quelques secondes, les premiers morts frappèrent aux portes. Ils entourèrent le bâtiment. Avec le manque de luminosité il était difficile de les dénombrer mais ils en attiraient de plus en plus.
Les minutes défilèrent, les morts en provenance de la route continuaient de s'attrouper. La porte d’entrée faiblissait, elle ne tarderait pas à lâcher. "Il faut sortir, elle va lâcher" s'écria Daniel. Il attrapa ses enfants, et chercha une issue. Il y avait une petite fenêtre au sous-sol qui donnait sur un bois, ils s'enfuiraient par là."On va sortir par là, une fois dehors courait le plus vite possible jusqu'à la voiture." murmura Daniel. Gabriel se hissa dehors, il avait les clés du véhicule, suivie par Érine, ils se mirent à courir, les morts alertaient pas le bruit approchèrent. Daniel arrivait tout juste à sortir quand l'un d'eux se jeta sur sa jambe, il n'eut pas le temps de s'échapper. Erine et son frère arrivèrent au véhicule, ils s'aperçurent que Daniel ne les suivait plus, entendirent des cris et virent l'attroupement autour de leur père. C'était la fin. Erine tenta d'y retourner, son frère l'en empêcha, c'était déjà trop tard pour lui. Elle vacilla.
Les semaines s'enchaînaient, Erine et son frère vaquaient de maison en maison. Ils avaient abandonné la voiture et fuyaient les morts au quotidien. Aucun d'eux ne savait se battre, ils couraient, s'échappaient quand le danger approchait. Ils s'affaiblissaient à force de courir. 2016 succéda à 2015. En plein hiver, la faim les tiraillait, ils croisaient des vivants, des malades et côtoyaient la mort sans cesse. Ils avaient pensé à rejoindre un camp mais ne voulaient pas revivre ce qui s'était passé au motel. Ils étaient conscients que la mort les guettait à chaque instant. Ils finiraient par se faire avoir. Ils firent quelques rencontres, ils apprirent à manier un couteau, ils savaient désormais qu'il fallait viser la tête. Parfois ils trouvaient l'hospitalité dans de petites maisons en périphérie de Seattle, ils ne pouvaient se rapprocher de la ville là-bas les morts marchaient par centaines, par milliers.
Le printemps puis l'été arriva. Une odeur nauséabonde flottait sans arrêt, l'odeur de la pourriture et des corps en décomposition était accentuée par la chaleur. Le manque d'eau était une privation de plus pour Érine et son frère. Il squattait une petite maison depuis quelques semaines, et ne sortit que pour se ravitailler. Ce qui devait arriver arriva. Gabriel se fit mordre à l'épaule par un rôdeur en allant chercher de quoi manger, il put s'échapper mais son destin était scellé, la fin était proche.
Deux jours passèrent, après la fièvre, les hallucinations, l'immense douleur, son cœur cessa de battre. Erine resta près de lui, elle savait qu'il allait revenir tôt ou tard, elle ne voulait pas qu'il se transforme. Les larmes coulèrent le long de son visage, il était l'unique personne à laquelle qu'il lui restait. Elle ne trouva pas la force de l'achever. Elle pensait à en finir, à arrêter la douleur. Elle chercha un but à son existence, à sa survie. Que devait-elle faire ? Combien de temps elle survivrait ? Personne ne serait là pour l'empêcher de devenir l'un de ces monstres. Elle finirait ainsi, avide de chair humaine, elle tuerait des innocents. Elle abandonna son frère, cessa toute réflexion et marcha sans jamais se retourner.
Les saisons se succédaient. Elle finit par perdre la notion du temps, par chance ou par malheur, la mort ne semblait pas vouloir d'elle, elle avançait jour et nuit. Elle se situait à l'Est de Seattle. Elle s'était procuré un pistolet sur le corps d'un mort, ainsi que quelques balles, une paire de jumelles et des allumettes. Le soir elle se réfugiait dans les foyers délaissés par leurs occupants, dans des voitures abandonnées, des bennes à ordures, sur le toit des camions, le repos n'était bref, les morts jamais loin. Elle maniait plutôt bien le couteau, quand c'était nécessaire elle s'en servait. Elle avait abattu plusieurs rôdeurs.
Une nouvelle année s'acheva. Elle croisa un groupe de survivants avec lequel elle resta quelque temps. Elle finit par partir après la disparition progressive de leurs membres, elle s'habituait à leur présence et ils mouraient. C'était sa nouvelle vie, fuir, se cacher. Elle pensait qu'elle finirait par perdre la raison, mourir de faim, de fatigue ou de froid peut-être. Elle imaginait rejoindre un havre de paix où elle serait à l'abri, un endroit qui ne serait pas contaminé par les morts, peut-être ce lieu existait-il ? Cette idée lui redonna espoir, elle s’endormit une nouvelle fois seule dans le froid et la peur.
time to meet the devil
passeport :≡ recensement de l'avatar. - Code:
Gigi Hadid <bott>Erine D. Leone</bott>
≡ recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
♦ Erine
≡ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
♦ Leone
≡ recensement du métier. - Code:
♦ Assistante Sociale
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Re: ERINE LEONE (TERMINE)
Sam 4 Mar 2017 - 18:37
Bienvenuuuuuuuuuuuuuue ! :3
Je te dis pas bon courage pour ta fiche vu que tu as déjà fini mais j'espère que tu te plairas ici !
Je te dis pas bon courage pour ta fiche vu que tu as déjà fini mais j'espère que tu te plairas ici !
Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
- Yulia Iojov
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