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Prend garde à toi visage pâle !
Mar 6 Juin 2017 - 21:22
24 ANS ≡ AMÉRINDIENNE ≡ ETUDIANT ≡SANCTUARY HILLS
La survie en solitaire au cours de l'épidémie m'a rendu plus distant, presque sauvage, bien loin du jeune adolescent plein de vie que j'ai pu être à une époque. De positif, je suis devenu fataliste, partant du principe que chaque perte était prévue à l'avance, et qu'on ne peut pas se battre contre du vent. J'ai beau avoir l'air froid ou secret au premier abord, je n'en reste pas moins humain. Empathique et selon les membres du groupe, relativement matûre pour mon âge. Peut-être à cause de la survie en solitaire, je n'en sais rien. L'entraide me paraît essentiel dans la survie, ce qui m'amène souvent à me porter volontaire pour toute sortie de ravitaillement, mais surtout de chasse. C'est une chose qui demande du temps, et de l'observation, deux capacités que je possède à force. J'aime prendre le temps d'analyser les gens qui m'entourent avant de pouvoir m'ouvrir à eux un minimum. Difficilement manipulable, je n'accorde ma confiance qu'après un long moment; En revanche... Ce n'est pas rare que lorsque je dis haut et fort ce que je pense, j'amène à en vexer quelques uns; Franc, mais peut-être trop. Sarcastique aussi. J'adore envoyer des petites remarques gratuite, et j'apprécie encore plus quand on me répond. Je ne saurai dire si c'est un point positif ou non du coup.
Obstiné, je vais toujours au bout de mes idées et de mes ambitions, la simple idée de défaite m'insupporte. Après tout, si on à survécu jusqu'ici, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? Le problème, c'est que qui dit survie dit changement. A la fois dans le sens ou il faut apprendre à se débrouiller avec plus grand chose, ce que j'ai appris à faire. Tu n'est pas créatif tant que tu n'as pas dû apprendre à fabriquer un semblant de lance avec un bout de bois, je te le dis.
Je crois que je mesure pas loin des un mètre quatre-ving, enlevez deux ou trois centimètres et vous devriez arriver à la bonne taille. Comme ça, je n'ai pas l'air impressionnant, je suis encore qu'un gamin aux yeux de certains, mais j'entretiens mon corps du mieux que je peux. Je suis musclé et sec dû au manque de nourriture. Je suis brun aux cheveux courts, les yeux sombres, autrefois on pouvait y apercevoir de la gaiété mais avec l'épidémie, celui-ci est devenu froid.
J'ai quelque cicatrice par-ci par là, celle qu'on voit en premier est celle sur le haut de ma joue gauche. Je me la suis faite en balade à cheval en forêt avec mon paternel. Une branche cassée était pile à la hauteur de mon visage, quelque centimètre de plus et je perdais mon œil. Les autres sont principalement sur mes mains. Beaucoup de coupure au canif en taillant des lances ou des pièges pour la chasse.
J'ai cinq tatouages :
- Spoiler:
Epaule gauche = Cette femme représente Sacagawea issue de la tribu des Shoshones. L'une des femmes qui ont marqué l'Histoire du continent Américain. Ma grand-mère lui vouait un culte, elle m'en parlait à chaque fois qu'elle en avait l'occasion.
Bras droit = Ceux sont deux bandes qui représentent le deuil et entre j'y ai fait tatoué les initiales Db pour Dayana Barnes, ma mère. Celui-ci est le plus récent, un mec de l'un de mes anciens groupes me l'a fait. On peut y voir quelque imperfection au niveau du tracé et du remplissage des bandes mais je ne lui en veux pas, pour moi la signification de ce tatouage est plus importante que les détails.
Mollet gauche = Dans un sens vous pouvez lire Derek et dans l'autre Jessi, ces deux prénoms appartiennent ou appartenaient à mes deux meilleurs amis d'enfances. Malgré les déménagements, les changements etc. Nous sommes toujours restés en contact et on partait souvent en vacance ensemble. Depuis l'épidémie je n'ai aucune nouvelle d'eux et cela m'attriste de temps en temps. J'essaye seulement de ne pas y penser.
Avant bras gauche = Ce sont deux moitiés de visage côte à côte. L'un représente un loup signe de mon deuxième prénom Nashoba qui signifie Loup et l'autre un crâne qui représente ma façon de voir la vie.
Au niveau vestimentaire. Je porte en général un t-shirt et un pantacourt en été. Avec une casquette quand l'envie me dit. Oui je suis très loin de porter des peaux de bête et des plumes dans les cheveux. Je veux bien respecter mes origines mais n'oubliez pas que ma mère était Américaine. En hiver je laisse place à un jean, un pull et une doudoune que Jasper m'a donné le premier Hiver que j'ai passé à Sanctuary.
-Ficelles
-Canif
-Lampe torche
-Gourde en peau
-Boussole
-Lance en bois
-Couteau de chasse
-Winchester
Amarok Horn - Père - Aucun signe
Dayanna Barnes - Mère - Décédé
Lomasi Horn - Grand-mère - Décédé
Wakiza Horn - Grand-père - Décédé
Derek Lodge - Meilleur ami - Aucun signe
Jessi Keller - Meilleur ami - Aucun signe
Je suis né le 05 septembre 1992 à Billings dans le Montana, le fruit d'un père Cheyenne et d'une mère américaine. Ma mère étant journaliste de profession elle rencontra donc mon père pendant un documentaire sur la vie au sein de la réserve de Blackfeet. Au départ mon paternel n'était pas très enjoué de figurer dans un soit disant documentaire, mais en rencontrant Dayanna Barnes, il eut le coup de foudre. Ma mère était très curieuse par ce peuple et leur mode de vie, alors la magie se fit rapidement. Ils tombèrent amoureux et décidèrent au bout d'une année de me mettre en route.
Je n'ai pas souvenir d'avoir été un bébé trop agaçant, à pleurer pour un rien et rendre dingue mes parents pendant la nuit. Je rigolais souvent tout seul en observant le monde qui m'entourait du haut de mes soixante centimètres. Un rien m'intriguais. Un rideau bercé par le vent, une mouche qui tourne en rond, les ombres qui dansaient sur le plafond. Bref, un bébé que tout le monde à rêve d'avoir.
A mes 4 ans, je me souviens d'un vendredi soir où ma mère a décidée de partir. C'était en début de mois de février. Je sentais qu'il y avait quelque chose entre mes parents, leurs façons d'agir ensemble. Les disputes, les gestes. J'étais peut-être encore qu'un gamin mais je pouvais ressentir ces choses-là. Mes parents m'expliquèrent qu'ils ne s'aimaient plus et que nous irions vivre chez mes grands-parents puisque maman serait beaucoup absente à cause de son boulot. Je n'avais pas mon mot à dire, je n'étais qu'un enfant, je devais juste subir et me taire.
Nous avons déménagé le 20 février. Le changement était radical, il n'y avait pas les mêmes conforts qu'il avait en plein centre-ville mais ça ne me dérangeais pas, j'aimais ce type de vie. La nature, les principes de la réserve. Mes grands-parents que j'appréciais énormément. C'était un petit coin de paradis. Mon père ne voulant pas non plus me convertir en Cheyenne pure souche, m'inscrivit à une école publique du coin. Je fis la rencontre alors de Derek et Jessi, qui sont par la suite, devenus mes deux meilleurs amis.
Mon père et mes grands-parents m'ont inculqué beaucoup de valeur. J'ai appris à chasser et traquer du petit et grand gibier. Je sais me repérer dans la nature. Ma grand-mère avait tenté à m'apprendre à reconnaître les plantes, pour en faire des remèdes, mais ça ne m'intéressais pas plus que ça, alors je faisais qu'acquiescer pendant ses explications pour ne pas la vexer.
Au niveau scolaire, je m'en sortais bien. Toujours de bonnes notes. Le seul moment où je n'étais pas plongé dans mes révisions c'était pendant mes matchs et mes entraînements de Lacrosse. J'étais plutôt doué, co-capitaine de mon équipe, j'avais des responsabilités et ça me plaisait. J'ai dû arrêter en fin d'année suivante à cause d'une épaule démise, lors d'un choc en plein match.
Assez tôt je savais ce que je voulais faire plus tard et c'est pour cela que j'étais quelqu'un de sérieux au niveau de mes études. J'ai dû quitter la réserve de Blackfeet pour pouvoir faire mes études à Seattle en 2012 à l'âge de mes 20 ans. J'ai fais mon mois de Fac et il me restait plus qu'à entrer à l'université médical Washington. Ma mère m'a proposé de payer mon entrée à l'université mais je voulais être autonome. Réussir ma vie par mes propres moyens. J'ai donc pendant deux année, cumulé plusieurs boulots pour avoir les fonds nécessaires.
C'est donc à 22 ans que ma vie d'universitaire commença.
La première année était difficile mais je m'accrochais, j'étais motivé à réussir. Je n'avais pas fait tout ce chemin pour baisser les bras à certains détails que je ne comprenais pas. C'était cool et pour moi, rien ne me stopperait. Je voulais devenir médecin et je le serais ! Mais hélas, j'avais crié victoire trop rapidement. Cette foutue épidémie allait m'enlever tout espoir d'avoir le statu de docteur un jour.
Comme un bon nombre de personne, je pense. Le début de l'épidémie c'était qu'une simple histoire de deux, trois jours rien de plus. Un fait d'hiver qui s'évaporerait aussi rapidement qu'il était venu. Pour ma part je n'y ai pas plus prêté attention. J'avais les réseaux sociaux, d'ailleurs je n'y allais plus quand j'ai vu l'ampleur que ça prenait dessus. Si c'était pour allumer facebook et voir que des conneries sur la fin du monde, ce n'était pas la peine.
J'ai commencé à avoir des sérieux doutes le cinquième jours. Quand j'ai su que l'hôpital dans lequel les victimes séjournaient était en quarantaine. Au départ j'avais cru à une drogue synthétique, un peu comme la drogue Flakka qui faisait beaucoup parler d'elle en juin. Mais pour qu'une drogue fasse autant de dégât en aussi peu de temps et sur autant de personnes différentes. C'était autre chose de bien plus grave.
Le lendemain, je m'en rappelle très bien, je ne suis pas parti à l'université et j'ai forcé ma mère à rester à la maison. Elle allait manquer un scoop d'enfer mais peu m'importait, ce qui se passait en ville était moins important que sa santé. Ma mère avait tendance à être fragile alors, je préférais qu'elle reste en sécurité pendant que l'épidémie prenne fin. Mais elle ne prit jamais fin. Le onzième jour, nous avons décidé de rejoindre un des camps de réfugiés. Nous pensions que la force militaire nous protégerait de cette épidémie mais nous avions tort.
Ma mère et moi pensions que nous serions de retour à la maison d'ici une semaine ou deux mais plus cela allait, plus l'épidémie faisait rage. On parlait de cannibalisme, de personnes mortes qui se relevaient pour attaquer les vivants. Je n'y croyais pas jusqu'à ce que j'en vois de mes propres yeux. La situation avait dégénéré en l'espace d'un mois. Nous étions sur un point de non retour.
J'ai dû tuer mon premier Wendigo en novembre, plus précisément le 18. Les forces de l'ordre qui étaient censées nous protéger, on demandé aux hommes du camp de leurs prêté mains fortes. Pour me défendre, j'avais récupéré un manche à balai que j'avais taillé en lance. Bien évidemment elle me servit qu'une dizaine de fois avant de casser. Ce n'était pas vraiment le bois idéale pour durée.
Je ne pourrais pas vous dire combien j'ai dû en tuer pendant ce mois-là et le mois qui suivit. Le 16 décembre fut une descente au enfer. Le camp tomba entre les mains des Wendigos. On l'avait bien cherché de toute manière, la nature reprendrait son cours et il y allait avoir bon nombre de perte. On a quitté rapidement les lieux avec ma mère, quand on a vu que les militaires commençaient à ouvrir le feu sur la foule. Tuant vivant et Wendigo dans leurs rafales.
L'hiver fut rude. Nous avions trouvé refuge dans une vieille bâtisse. Tous les placards étaient vides, il n'y avait rien à manger, rien à boire. Par chance, il y avait de quoi nous couvrir pendant la nuit, mais ça n'empêcha pas mère d'attraper froid. Au départ, je pensais à une simple toux, mais plus les jours passaient et son état empirait. J'ai essayé de trouver des médicaments, de la protéger du froid le plus possible mais rien à faire. Je compris ce qu'elle avait et que je ne pourrais rien faire pour empêcher l'inévitable. J'ai tenu à ses côtés jusqu'à son dernier souffle le 12 janvier 2016 et c'est là que j'ai compris que même sans morsure on revenait en Wendigo.
J'ai donc dû mettre fin au second souffle de ma mère. Dit comme ça, ça semble cruel mais je ne voulais pas que son âme soit bafouée par cette chose qui n'était plus ma mère. Je l'ai enterrée à l'arrière du jardin. J'ai essayé de faire ça bien, je ne voulais pas la laisser là, étendue sur le sol aux yeux de tout le monde.
J'ai vécu seul pendant plus d'un mois je crois, je n'avais plus le sens du temps. J'avais rejoint la forêt. C'était l'endroit où je me sentais le plus à l'aise. Je dormais souvent en hauteur, accroché avec une corde pour éviter de glisser pendant l'un de mes courts sommeils. Je me nourrissais le plus souvent de lapin et d'écureuil qui venait se coincer dans mes pièges. Pour l'eau je la récupérais dans un petit ruisseau et la filtrait avec une chaussette que je gardais dans mon sac, après l'avoir fait bouillir. Les choses que m'avaient enseigné mon père et mon grand-père me maintenait en vie.
Le 16 février je fis la rencontre d'un groupe sédentaire. Ils s'étaient installés dans une petite zone résidentiel. Ils semblaient bien installés et ils ne manquaient pas de vivre. Je croyais avoir trouvé ma place dans cette nouvelle vie, mais le destin me mit à nouveau des bâtons dans les roues. Mon intégration s'était bien passé, j'avais fait connaissance de personne formidable. J'étais assez respecté de part ma connaissance en chasse, mais plus cela allait et plus on me mettait la pression de trouver de plus en plus de gibier. Les animaux ce faisaient de plus en plus rare dans le coin et on tomba peu à peu en rade de vivre.
Le comportement de mon groupe changea radicalement et des tensions s'installèrent. Beaucoup se vantaient en revenant d'un ravitaillement qu'ils avaient trouvés de quoi manger. La première fois, j'avais pensé à un coup de chance mais la deuxième fois, je me mis à retracer le chemin qu'ils avaient emprunté et tomba nez à nez avec un groupe de cadavre. Il était alors question de ça maintenant, décimer un autre groupe pour survivre. J'ai donc essayé de faire entendre raison au reste du groupe, mais les faibles suivaient les forts et apparemment je n'avais pas mon mot à dire, je n'étais qu'un gosse pour eux.
N'étant pas friand de ses pratiques, je décidai de quitter le groupe en pleine nuit le 8 juin 2016. Il perdait sans doute un bon pisteur et chasseur mais j'en avais rien à foutre. Je n'étais pas inhumain pour tuer, pour de simple vivre. Alors je fis mon retour en forêt. Je m'y sentais bien, j'étais dans mon élément. Courant juillet, en vadrouillant, j'ai trouvé un ancien abri. Je dus faire quelque modification dessus pour y vivre et après deux bonnes semaines de travail acharné, je pouvais enfin y vivre. J'avais installé un peu plus loin autour des ficelles reliées à plusieurs boîtes de conserves. Si quelqu'un ou des wendigos s'approchaient alors je serais averti du danger et pourrait y faire face.
Ma vie suivait son cours. Je n'avais encore croisé aucun vivant et cela m'était égal. La solitude me jouait parfois des tours mais pas assez pour en devenir fou. Mon abri prenait de plus en plus forme. Je ramenai quelque petit truc par-ci par là. Des livres, des vêtements, quand j'avais de la chance, des conserves. Pour moi, si on enlevait le côté épidémie, ma vie m'allait parfaitement bien, il me manquait juste une meute mais est-ce que je pouvais vraiment faire confiance à quelqu'un ?
C'est le 26 août que j'ai sus Ô combien la cruauté humaine existait. Au départ, je n'avais pas compris ce qu'il m'arrivait mais vu la douleur que j'avais à l'arrière du crâne, je compris que quelqu'un m'attaquait, puis je me rendis compte qu'ils étaient plusieurs à essayer de me dérober mes biens. J'ai essayé de me défendre du mieux que je pouvais mais le combat n'était pas équitable.
Je ne sais pas combien de jours se sont écoulés après cette attaque. Je souffrais atrocement, mais je me forçais à marcher, je devais trouver un endroit où me soigner et me cacher . Je sentais la vie me quitter peu à peu, est-ce-que j'allais finir comme ces wendingos ? A errer en quête de viande fraiche à dévorer ? je me suis effondré sur un tapis d'herbe et je me suis réveillé attaché à un lit. Entouré de deux hommes et une femme.
Je fis alors la connaissance de Sanctuary Hills, je ne fus pas très bien accepté par certain membre du groupe au départ mais essayais du mieux que je pouvais de me faire une place et accepté. Mon débrouillardisme pour la chasse et repérer les environs me donnèrent de bons points. Puis vint le moment où je sauvai la vie de Carmen. Je n'étais là que depuis 1 mois mais je sentais encore des tensions à mon égard. Je crois que ce fut au moment où je l'ai sauvé que j'ai enfin eu ma place. Mes quelques connaissances en médecine m'avait permis d'arrêter les saignements et de pratiquer les premiers soins en recousant du mieux que je pouvais ses plaies.
Je sentais que j'avais enfin ma place dans ce groupe. Je passai l'hiver en leur compagnie. Nous avions recueillit Levia en novembre puis se fut au tour de Ashley et de sa fille Hope en décembre. Je n'étais pas souvent appelé au ravitaillement, Carmen préférait que je m'occupe du Ranch. Que je garde un œil sur Shawna et ma petite princesse Hope. Je n'avais sans doute pas l'étoffe pour elle pour partir dans de "grosses missions".
La nuit du 25 décembre, je l'ai passé seul à monter la garde. Ne fêtant pas Noël, pour moi c'était une nuit comme n'importe laquelle. Hope m'avait rejoint un instant pour me donner une part de gâteau qu'ils avaient réussi à préparer dans la journée. Il avait une sale tronche mais je l'accepta en la remerciant puis lui demandai de repartir s'amuser. J'ai dû tuer une dizaine de rôdeur cette nuit là. Ils faisaient vraiment trop de bruit.
J'étais enfin accepté. Je faisais partie à par entière de ce groupe. J'ai eu quelque problème avec Carmen le jour où Ashley, Jasper et Axel ne rentraient pas. Elle m'avait mis la pression pour les pister. Je voulais bien être bon pisteur, mais comment retrouver une trace de trois personnes en plein centre-ville ? Je lui avais dit d'ouvrir les yeux pour la survie du groupe, d'aller de l'avant. Pour moi, ils étaient morts. Ce fut la première fois que je la vis ainsi. Si elle avait pu me tuer à l'instant même, je serai déjà six pieds sous terres. Tous le monde à pris ma défense et cela m'a permis de ne pas être banni du ranch. On se parlait plus, l'ambiance était vraiment mauvaise. Elle me prouva qu'il pouvait y avoir de l'espoir dans ce monde en ramenant le trio à la maison. Je lui fis alors mes excuses. J'avais eu tort et je comprenais que mon côté fataliste pouvait rendre dingue.
Voilà, depuis que je suis dans ce groupe, je chasse, je monte la garde la nuit dû à mes insomnies. Il m'est rare de fermer l'oeil, ce qui peut me donner parfois un sale caractère. Je m'occupe de la partie médecine du camp, avec les moyens que je peux et mes connaissances. Nous sommes en juin et j'ai vraiment l'impression d'être à ma place ici. J'aime ce groupe et ses membres. Je ne les remercierai jamais assez de m'avoir sauver la vie cette journée là du 2 septembre 2016.
passeport :≡ recensement de l'avatar. - Code:
Tyler Posey ♦ <bott>Isha N. Horn</bott>
≡ recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
♦ Isha
≡ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
♦ Horn
≡ recensement du métier. - Code:
♦ Etudiant en médecine
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Re: Prend garde à toi visage pâle !
Mar 6 Juin 2017 - 21:25
Pas besoin de fiche de bienvenue, tu connais la maison !!
Hellcome à Isha tout de même =P
Hellcome à Isha tout de même =P
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Re: Prend garde à toi visage pâle !
Mar 6 Juin 2017 - 21:34
Une fiche de bienvenue ne me dérange pas
Merci
Merci
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Re: Prend garde à toi visage pâle !
Mar 6 Juin 2017 - 21:36
Bienvenue avec ce nouveau compte. Dommage, on aura pas de Padalecki xD. J'ai hâte de te croiser avec Tam
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Re: Prend garde à toi visage pâle !
Mar 6 Juin 2017 - 21:50
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Bonne rédaction !
ET HOP ! =P
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