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Chris Baker
Jeu 2 Nov 2017 - 17:05
35 ans ≡ Américaine ≡ Barman ≡ American Dream
Impulsif mais rusé, Chris est un homme qui s'est toujours débrouillé seul tout au long de sa vie. Issu d'une famille pauvre des quartiers populaires de Tukwila, au sud de Seattle, dans lesquels il a été confronté à la criminalité et à la violence tout au long de sa jeunesse, le jeune Baker en a tiré un caractère dur et pragmatique. Cynique jusqu'au bout des ongles, il ne croit que ce qu'il voit, et est très peu enclin à faire confiance à un étranger. Aucun espoir pour le futur ou l'espèce humaine ne l'a jamais animé, et ce, même avant l'apocalypse zombie. Pourtant, au fond, il n'est pas nécessairement méchant. Ses amis sont rares mais pourraient témoigner sans aucun doute de la loyauté sans faille dont il fait preuve à leur égard. En tout et pour tout, Chris est un personnage nuancé et désabusé. Les premiers contacts avec lui sont rarement agréables, encore plus maintenant que le monde est parti en vrille ; mais il suffit de ce feeling, de cette intelligence sociale pour dompter la bête apeurée en lui, et en faire un allié de choix, prêt à tout pour le peu de sens qu'il arrive à effleurer dans sa vie, ici et là, rarement, de manière éparse.
En dehors de cet aspect de sa personnalité, ses valeurs sont guère nombreuses. A quoi bon avoir des valeurs en enfer, où le seul combat qui vaut la peine d'être mené est celui pour la survie ?
Par lui-même, Chris est donc un homme imprévisible et égoïste. Un leader rusé saura néanmoins le façonner en un homme de Bien, ou au contraire, en un homme mauvais. Car, au bout du compte, le rêve du trentenaire, c'est tout simplement de croire... Croire est une chance qu'il n'a jamais vraiment pu avoir. Il suffit de lui présenter les bons arguments pour le convaincre qu'un projet est juste - même s'il ne l'est pas. D'aucuns diraient que malgré ses trente-et-quelques années, Chris est toujours à la recherche d'un paternel, une figure masculine pour le guider et le canaliser. Là réside sans doute sa plus grande faiblesse.
1m82 pour 74 kilos, Chris possède une silhouette élancée, qu'il a toujours souligné avec un style vestimentaire assez simple. Pantalons chinos, baskets, t-shirts et blousons en cuir composaient la majorité de son garde-robe, le tout dans des teintes de bordeaux et de noir. Aussi, il n'était pas rare de voir une écharpe enrouler son cou, même durant le printemps ou l'été. Il ne savait pas pourquoi, mais sentir la sensation de ce doux tissu à même la peau le réconfortait, tout en lui rappelant quelques souvenirs agréables de son enfance. Il n'avait jamais eu de peluche. Juste l'écharpe de sa mère avec son parfum qui l'aidait à triompher de quelques terreurs nocturnes...
Dénué de ses vêtements, Chris avait toujours été beau garçon. Jamais il n'avait pratiqué la musculation en salle, mais cela ne l'empêchait pas de se défouler dans son petit appartement à coup de pompes, abdos, ou tractions. Jamais il n'avait arrêté cette routine, cela lui conféra donc une musculature modérée, qui sans être à la hauteur d'un athlète, était agréable à l’œil.
Pendant l'apocalypse, Chris n'avait pour arme qu'un P226 à l'unique chargeur, et une hache de pompier troquée contre des soins avec son futur partenaire Davis, à l'aube de leur relation.
→ Katanas et autres sabres en tout genre.
→ Arcs, arcs à poulies, arbalètes.
Tout commença dans les quartiers nord de Tukwila. Cette ville, connue dans les années 2000 pour son taux de pauvreté relativement élevé, ne fit preuve d'aucune pitié pour le garçon. Fils d'une prostituée et d'un maçon alcoolique, son enfance n'eut rien d'enviable.
Ses parents n'ont jamais été liés par un grand amour. Au vu de la situation, l'amour était pratiquement impossible, il fallait dire. Paradoxalement, Chris, leur enfant, était la seule chose qui les liait. Sa mère n'avait pas toujours été une prostituée - avant les nouvelles de la grossesse, elle était une demoiselle tout à fait respectable, bien qu'isolée de sa famille. Une relation sexuelle non protégée plus tard, et là voilà enceinte. Le père de l'enfant - un homme qui autrefois avait des valeurs - sacrifia sans doute le reste de son futur pour prendre soin de sa famille à venir, par principe. Ces mêmes principes qui l'enfermèrent dans une vie misérable, une vie qui le mena à l'alcoolisme. De son côté, la mère de l'enfant décida de se prostituer pour subvenir aux besoins à venir, au grand dam de son "compagnon". Depuis ce jour, ce qui aurait pu être un couple devint une simple relation de cohabitation. Et ainsi naquit une famille que rien ne liait, si ce n'est un bien triste aléa du destin.
Inutile de dire, donc, que Chris n'eut guère le loisir de profiter du moindre confort, si ce n'est de l'amour maladroit de sa mère contrebalancé par le caractère instable de son père. Ce fut donc presque naturellement que Chris apprit à vivre à l'extérieur de sa maison, dès son plus jeune âge, profitant de ses amis pour passer le plus de temps possible chez eux en prétextant un travail à faire pour l'école, le plus souvent. Les années passèrent, l'enfant grandit, habitué à son quotidien peu commun.
Pour évacuer, il commença la pratique du football. Bien qu'il n'eut que peu d'intérêt concret pour la compétition, il affectionnait cette activité pour son aspect physique et sa violence. Quelque part, cela lui permettait de se venger de sa maltraitance par son paternel. A côté de ça, il avait une réputation de cancre à l'école - réputation on ne peut plus méritée, il fallait le dire. Car Chris était bien plus intéressé par la connerie que par la connaissance.
La vie du jeune Baker prit un tournant tragique durant l'été 97 ; l'été de ses 15 ans. Sa mère fut violée puis assassinée par l'un de ses clients. La police ne s'intéressa guère à l'affaire, étant donné que la victime faisait partie d'un vaste réseau de prostitution dont le mac était soupçonné de divers meurtres et agressions. Le flou sur toute cette histoire demeura donc - une histoire qui enfonça d'ailleurs le père de Chris plus profondément dans la dépression et l'alcoolisme. Traumatisé par cette période sombre de sa vie, le jeune Baker quitta la maison familiale sans adieux ni reproches - et pourtant, il en avait, des reproches à faire.
Comme si la situation était normale, un gamin d'à peine 15 printemps parcourut donc seul les rues de Tukwila, ne sachant ni où aller, ni quoi faire, pour survivre. Dans les bas-fonds de l'urbanisme, il côtoya visages amicaux et visages renfermés, personnalités désabusées et personnalités haineuses. S'intégrant à un groupe de sans-abris, il regagna une forme de "confort" qui perdura quelques mois durant.
Et là, il entra enfin en contact avec un échappatoire. Une solution de facilité, pour ainsi dire : le monde du crime. De 15 à 20 ans, il baigna dans ce monde, s'en imprégna, s'en répugna. Car si son traumatisme l'avait dénué de toute joie et de tout espoir en l'être humain, il ne le fit pas pour autant basculer dans une idéologie de criminel... Il n'était pas un criminel. Juste un survivant, qui saisissait toutes les opportunités pour s'en tirer. Comment lui en vouloir ?
Au crépuscule de sa deuxième décennie, Chris décida de se ranger. Avec l'argent sale emmagasiné pendant ces cinq longues années, il put écrire un nouveau chapitre de sa vie, et accompagner son meilleur ami dans son déménagement à Seattle. Ensemble ils louèrent un appartement de 50 m², chacun possédant sa chambre. Disposant d'un confort inconnu jusque là, Chris put enfin se poser, et songer à son avenir, ainsi que faire la paix avec les démons de son passé. Une paix relative, certes, son anxiété et ses terreurs nocturnes le hantant toujours ; mais pour la première fois dans sa vie, il était disposé à aller de l'avant, à progresser dans sa propre vie. Dans cette continuité, il décida de se laisser une année de pure liberté. 2002 fut donc l'année où il put profiter des fruits de la vie : filles, alcool, drogues, soirées, bagarres, bref, ce monde de la nuit qu'il avait pu effleurer en fin d'adolescence, mais dont il n'avait guère pu profiter.
Hélas, l'ivresse du bonheur amorça sa chute future dans une addiction terrible. Pendant cette année, il prit goût à l'alcool ; à l'insouciance et la légèreté que conférait ce nectar si insidieux. Dans son esprit, il ne faisait cependant que s'amuser. Les conséquences ne furent visibles que plus tard...
Les années qui suivirent furent, heureusement, dénuées de grands malheurs. Chris enchaîna quelques relations de longues durées, passa d'un boulot merdique à un autre, pratiqua quelques sports, continua nonchalamment une consommation raisonnée d'alcool, aveugle à son goût de plus en plus prononcé pour ce liquide...
De 2012 à 2015, Chris fut embauché en tant que barman. Un job on ne peut plus classique, mais qui dans ces circonstances était un véritable danger invisible pour le trentenaire. A ce stade de sa vie, sa dépendance, bien que non avouée et peu remarquée, était belle et bien présente. Cependant il faisait du bon boulot, et avait un bon contact avec les habitués, donc le patron l'autorisait à boire un verre ou deux au boulot. Un geste anodin qui un jour eut de graves conséquences...
Après avoir vu une jolie cliente être harcelée par un pervers à l'extérieur du bar, Chris, sous l'emprise de l'alcool, fut en proie à des souvenirs douloureux. Cette scène qui n'avait pourtant rien d'exceptionnel éveilla en lui une colère qu'il ne sut retenir. Il sortit, serrant les poings, et sans autre forme de procès, asséna un coup magistral à ce "glandu". Une bagarre violente s'ensuivit, et si Chris parvint à prendre le dessus pour péter le bras du pauvre homme, il ne s'en tira pas indemne pour autant...
9 octobre 2015, Chris est tranquillement posé dans sa chambre. Il s'ennuie comme un rat mort. Son meilleur ami est en vacances en Alaska, lui laissant la totalité de l'appartement à lui tout seul. Cet appartement qu'il n'a jamais quitté depuis ses 20 ans, et qu'il n'avait d'ailleurs pas les moyens de quitter, encore plus maintenant qu'il avait été viré du bar. Un sentiment d'injustice le traversa : qu'avait-il fait de mal, sinon sauver une jolie jeune fille d'un trauma certain ? Il songea alors avec ironie qu'il n'y avait pas plus grande injustice pour l'humain, que l'humain lui-même. Fort heureusement, au niveau de la justice, il n'avait eu que quelques broutilles, grâce au témoignage de celle qu'il avait aidée.
Il se leva. D'un pas traînant, il gagna la cuisine. Et en ouvrant le frigo, il se rendit compte qu'il ne restait que des bouteilles de bière. Sa main tremblante saisit l'une d'elle. L'autre sortit le décapsuleur de sa poche. Le cliquetis se fit entendre, et les lèvres du trentenaire rejoignirent le goulot. Une gorgée, puis deux. Il regarda sa montre. Et après un soupir de lassitude, se décida à aller faire les courses.
Le quotidien du chômeur peut certes être reposant, mais dieu qu'il peut être également frustrant. L'ennui teintait chaque jour de ce début de mois d'octobre ; et l'ennui était bien l'un des alliés les plus précieux de la dépendance. Alors jamais un verre d'alcool ne quittait la main de Chris. Devant la télé, sur l'ordinateur, il l'accompagnait où qu'il aille, parfois vide, mais bien rapidement rempli quoiqu'il en soit.
Les news d'Internet parlaient de plus en plus d'une nouvelle "maladie", cependant, Chris n'y prêta aucune forme d'attention. Il était habitué aux canulars, aux "clickbaits" comme disait l'un de ses pote geek. Cependant, dès le lendemain, cette rumeur prit une tournure plus que réelle. Le soir venu, depuis sa fenêtre, Chris pouvait assister aux patrouilles des forces de l'ordre. Les rumeurs d'Internet se transformèrent en bouche-à-oreille inquiétant des rues... Chris devait l'admettre. Quelque chose était entrain de se produire.
De là, ce fut l'escalade. La loi martiale, les centres de réfugiés... Face à la panique générale, Baker prit la décision risquée de rester barricadé chez lui, au moins les premiers temps. Il était loin d'être un scientifique, mais il savait pertinemment que se rassembler en de telles circonstances, c'était s'exposer aux menaces de l'extérieur mais aussi de l'intérieur. Il demeura donc chez lui. Inquiet pour son sort, inquiet pour son ami. Fort heureusement, le destin avait fait que le frigo était rempli.
L'ambiance était pesante. Comme un climat de guerre... La télévision relayait les images des émeutes et des gestes de violences en tout genre...
Le monde devenait fou. C'était surréaliste. Mais ce qui inquiétait le plus Chris, c'était qu'un jour il manque d'alcool. Des sommes ridicules volèrent sans aucune retenue dans la création d'un stock pour le mois. Il était conscient, vu l'état du monde, de l'imminence des pénuries... Les violences étaient visibles partout. Et les vitres brisées d'un supermarché, teintées de quelques tâches de sang, amenaient à réfléchir...
Fin octobre, le petit immeuble dans lequel vivait Chris était complètement vidé de ses occupants. N'ayant plus aucune nouvelle concrète de l'extérieur - les médias ne diffusant que des messages officiels - et voyant la défaillance progressive du réseau électrique, il prit les devants. Un à un, il priva les appartements de leurs portes d'entrée, et s'employa, à s'en faire mal au dos, à les descendre tout en bas de l'immeuble. Une petite dizaine de portes dégondées barricadèrent donc l'entrée du bâtiment, le condamnant pour de bon.
D'où Chris tirait cet instinct primaire, il ne le savait pas vraiment. Mais en tout cas, il agissait avec méthode et ruse. Ce bâtiment était le sien. Il pilla donc sans aucune honte les ressources de ses anciens voisins. Denrées en tout genre furent rassemblées dans son appartement du premier étage. Il trouva même, dans sa grande chance, un 9mm P226 planqué dans un matelas. Dès lors il le garda constamment avec lui... Dès lors il demeura dans sa forteresse de fortune. Attendant... la fin de cette crise. Mais au final... il n'était qu'au début. Le début de la fin.
Quelques mois passèrent. Les ressources fondaient comme neige au soleil. Hiver 2015, printemps 2016... Chris observait avec inquiétude les allées et venues des hordes de rôdeurs. L'automne 2016 arriva, et avec lui, ce premier contact tant craint. Un groupe de survivants, une petite douzaine, arpenta la rue déserte au crépuscule d'une journée froide. Ils ne s'attardèrent cependant pas à l'immeuble du Baker ; voyant qu'il était solidement condamné.
Automne 2016 fut également la période où Chris fut contraint de s'aventurer dehors pour entretenir son stock de denrées. Eau, nourriture, et surtout alcool - oui, alcool - commençaient sérieusement à manquer. Précautionneusement, il se lança vers l'inconnu pour piller les autres bâtiments du quartier. C'est là qu'il tomba sur Davis ; un ado de 17 ans, blessé à la jambe. Armé seulement d'une hache de pompier, le jeune fit face à un choix : son matos contre des soins. Cet accord était très injuste, mais il était la base de ce qui allaient devenir deux compagnons de route. Usant du peu d'alcool qui lui restait, Chris désinfecta la plaie - une vilaine coupure - et la recousu aussi bien qu'il le pouvait, ce qui revenait à dire, très très grossièrement. Néanmoins, le gamin s'en tira, et ne quitta plus son partenaire. Ensemble, ils surent maintenir un semblant de paix dans leur quartier, laissant passer les hordes et pillards trop bien armés, et braquant les solitaires vulnérables. Tel était le prix de la survie.
Malheureusement, au début de l'année 2017, un groupe surarmé mena une vendetta sanglante contre le duo pour avoir dépouillé l'un des leurs. Davis y trouva la mort pour ouvrir à Chris une fenêtre de fuite. Cette perte attrista profondément le trentenaire, qui pour la première fois depuis longtemps, se retrouva seul. Un pauvre vagabond solitaire...
D'un coup la survie devint difficile. Trop habitué au sédentarisme, Chris faillit perdre la vie trois fois aux griffes des rôdeurs. Pour s'en sortir, il passait de bâtiment en bâtiment, gagnant les hauteurs et les toits, pillant de quoi se nourrir. Sur les nerfs à cause du manque d'alcool, ses quelques rencontres avec d'autres survivants s'étaient terminées dans le sang.
Jusqu'à ce qu'il tombe sur un étrange individu. Le porteur d'un message, d'un espoir, et d'une idée. Le porteur du rêve américain... Pas celui d'antan, non. Celui du présent. De la violence. De la survie.
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Re: Chris Baker
Jeu 2 Nov 2017 - 17:21
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Bonne rédaction !
Une nouvelle fois, bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche !
Si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous envoyer un MP.
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