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[Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Sam 2 Déc 2017 - 0:09
Dear escape from this afterlife.
Like walking into a dream, so unlike what you've seen so unsure but it seems, 'cause we've been waiting for you. Fallen into this place, just giving you a small taste of your afterlife here so stay, you'll be back here soon anyway. I see a distant light, but girl this can't be right. Such a surreal place to see so how did this come to be, arrived too early, and when I think of all the places I just don't belong. I've come to grips with life and realize this is going too far. I don't belong here, we gotta move on dear escape from this afterlife 'cause this time I'm right to move on and on, far away from here. A place of hope and no pain, perfect skies with no rain can leave this place but refrain, 'cause we've been waiting for you. Fallen into this place, just giving you a small taste of your afterlife here so stay, you'll be back here soon anyway.
En près de deux ans de galère, réussir à convaincre Simon qu'elle allait vraiment revenir avait été la chose la plus difficile qu'elle avait faite. Les líks et les psychopathes à côté de lui c'était rien quand il décidait de jouer la sangsue. Mais c'est finalement en lui donnant presque tous ses pétards et plus de la moitié des affaires de son sac que le blondinet avait accepté de la croire. Elle se sentait nue, vide. L'idée qu'il puisse se tirer avec ses affaires ne lui avait même pas effleuré l'esprit, c'était son genre à elle ça, pas celui de Simon. Mais elle lui avait promis de ne plus l'abandonner. Elle s'était installée avec lui dans un appartement qui allait leur servir de planque pour l'hiver, et elle avait ENFIN réussi à le convaincre de se séparer pour aller chercher des vivres. Il avait beau être un parfait boulet, s'il était toujours en vie c'était bien qu'il avait les capacités de survie nécessaires pour revenir sain et sauf d'une petite excursion de quelques heures. Les risques étaient grands, il pouvait ne jamais revenir, se faire embarquer par une mauvaise bande ou se faire croquer par un cadavre ambulant, mais s'ils restaient constamment sur le dos l'un de l'autre ils allaient devenir fou. Sans compter qu'il faisait froid et qu'ils iraient plus vite s'ils s'éparpillaient. Ils ne s'étaient pas donnés d'heures de retour précises, si ils n'étaient pas rentrés avant demain c'était qu'ils étaient morts, fin de l'histoire.
Liv ne comptait pas mourir aujourd'hui. Ni demain, ni les jours qui suivraient. Elle comptait bien survivre à tout ce bordel et en sortir pour enfin pour reprendre des bains chauds bourrés de sels parfumés et de mousse bien blanche. Elle avait bien trouvé un peu de shampoing dans sa planque du moment, mais sans eau chaude c'était galère. Et puis vu la quantité qu'il restait dans le flacon il valait mieux économiser. Alors entre l'hygiène des cheveux qui finissaient par s'auto-nettoyer et celle du corps, le choix était vite fait. Le shampoing servirait pour les brèves toilettes sur le toit en plein courants d'air. L'islandaise ôta cette image de sa tête. Elle devait rester concentrée. Son sac sur le dos, son pied de biche en main, elle avançait à pas de loup dans un quartier résidentiel. Il y avait bien quelques líks par ci par là mais ils semblaient complètement amorphes. Si elle restait silencieuse, il ne devrait pas y avoir de soucis. Les véhicules abandonnés ou accidentés servaient de cachette et Liv progressait bien. Jusqu'à ce que la chance tourne.
Un barrages de bagnoles et de vieux meubles, de grillages et de bennes à ordures tous entassés les uns sur les autres bloquaient la route. S'il y avait un barrage ça ne voulait dire qu'une chose. De l'autre côté, il y avait forcément quelque chose. Soit des survivants qui s'étaient barricadés, soit des survivants qui s'étaient barricadés mais qui avaient fini par se bouffer les uns les autres et qui avaient donc abandonné leurs vivres. Liv se coucha sur le sol, tentant de voir ce qui se tramait de l'autre côté, mais rien. Elle se releva, estima la hauteur de la barricade à trois ou quatre mètres et fit craquer ses doigts avant de commencer à grimper. Son truc à elle, c'était plus la course. Mais sa légèreté et son agilité étaient relativement pratiques lorsqu'il fallait s'échapper par les hauteurs. Ce n'est qu'une fois arrivée sur le toit d'une voiture étrangement stable que la jolie blonde eut enfin une vue d'ensemble. Rien. Absolument personne. Enfin, personne de vivant ou de mort, parce que la rue était jonchée de cadavres qui ne se relèveraient pas. Un autre barrage lui faisait face et il protégeait en fait ce qui semblait être un bâtiment. Bâtiment dont tout le premier étage et le rez-de-chausser s'étaient écroulés. En revanche, au bout du monticule de choses qu'elle avait grimpées, une planche reliait une benne à ordre à une fenêtre du deuxième étage. Elle était complètement à plat et semblait relativement épaisse. Il était temps de prendre des risques.
Liv se redressa et avança doucement, pas franchement à l'aise sur cet amas de vieux trucs rouillés. Si elle tombait, elle ne se tuerait pas. En revanche elle se casserait sûrement cinq ou six os aléatoirement dans tout le corps et là, personne ne viendrait la ramasser. Elle resta donc concentrée autant que possible malgré les faibles grognements des líks qui traînaient dans la rue et arriva enfin à la planche, après ce qui lui paru être une éternité. Elle resta pourtant sur celle-ci, accroupie, observant l'intérieur de la fenêtre. C'était un vieil appartement dont la moitié s'était écroulé. Plus de porte d'entrée donc, en revanche il y avait une porte ouverte menant vers une salle de bain. Et au centre de ce qui avait sûrement été un salon quelques mois auparavant, des affaires. Plein d'affaires. Des vêtements, un sac, de la nourriture, quelques objets lambdas qui pouvaient toutefois bien servir maintenant qu'on était revenu à l'âge de pierre, et même une trousse de premier secours. Mais personne. La jeune femme se glissa à l'intérieur avec la ferme intention de voler tout ça. Si une personne avait été assez stupide pour tout abandonner le temps d'une expedition, ce n'était pas son problème. Elle commença à ramasser des vêtements, trouvant même un t-shirt orange rigolo avec une citrouille dessus qui plairait sans doute à Simon, une boîte de gâteaux secs, et un briquet. Elle mit le tout dans son sac et continua de fouiller, jusqu'à ce qu'un bruit l’interpelle. Elle stoppa tout mouvement et tendit l'oreille, avant de se rendre compte que quelqu'un marchait sur l'amas de véhicules qui menaient à la fenêtre. Et merde. Worst timing ever. Son regard parcouru la pièce rapidement et c'est finalement dans un coin de la pièce, derrière un gros vaisselier qui faisait profil à la fenêtre, que Liv se planqua. Si l'intrus ne se tournait pas, elle aurait le temps de courir à la fenêtre et de se sauver. Le pied de biche bien serré entre ses mains, elle attendit, tentant de réguler son souffle pour qu'il se fasse inaudible.
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Re: [Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Sam 2 Déc 2017 - 14:33
Notre journée avait été plutôt productive, on était parti avec Loyd pour chercher des matériaux et surtout des petits morceaux de bois question qu'on puisse s'en servir pour faire du feu pour l'hiver à venir. Nous avions passés plusieurs jours à nous déplacer dans de Sud de Seattle, suite à une rencontre des plus mouvementés avec la russe qui était l'égal d'un Terminator. Je rentrais à notre petit campement de fortune pour la journée avec Loyd, cet homme-ours qui pouvait faire fuir n'importe qui d'un minimum censé ou d'un minimum logique. Surtout en voyant ce magnifique fusil qui l'accompagne. Alors que je regarde droit dans les yeux ce compagnon de route je lui dis.
- Putain je vais finir par avoir des bras aussi gros que tes cuisses à force de tuer des rôdeurs.
- Hey, je n’ai pas des cuisses énormes ! par contre si tu as des bras aussi gros que ça tu pourras décapsuler la tête des gens !
- Pourquoi les décapsulés ? S'ils sont gentils on pourrait les laissés nous rejoindre ?
- On verra petit, il faut pas que tu ne sois trop pressé.
J'avais ma batte de base-ball à la main que je devais nettoyer vu les amas de cervelle sur ma batte de baseball, car il faut toujours prendre soin de son matériel en tout lieu et en tout temps. Nous étions plus très loin de notre campement et alors que j'étais détendus alors quand on arrive revient dans ce vieil appartement où l'une des parties écroulées de celui-ci. Alors qu'on entre dans l'appartement, je constate que nos affaires ont bougés, je pose ma main sur le torse de Loyd et je lui montre que nos affaires ont étaient retourné et peut être que cette personne était encore là. Alors que je me mets à siffler l'air du film vendredi 13 je viens ensuite dire à la personne qui était encore peut être là.
- Petit, petit, petit. Si tu es encore là montre toi, parce que l'on est plusieurs et si tu ne le fais pas on va s'occuper de toi.
- Puis si tu ne te montres pas on te plombe le cul de plomb, mais évidemment, toujours avec courtoisie !
Merci Loyd, la personne qui doit être là doit être rassuré qu'elle se ferait plomber le cul avec courtoisie. Il faut bien essayer de faire peur aux pillards, puis on ne savait pas s'il y avait une ou plusieurs personnes dans l'appartement. Alors on se sépare pour vérifier chaque pièce les unes après les autres. Bon on ne voyait pas mon visage pour le moment, j'avais gardé mes lunettes de ski et mon demi masque en néoprène question de ne pas prendre froid. Je laisse Loyd aller vérifier nos provisions et il finit par me dire alors que je me mets à l'entrée de l'appartement.
- Ils nous ont piqués des vêtements dont ton tee-shirt avec une citrouille dessus. De la bouffe et un de tes briquets. Bon encore heureux que la personne ne soit pas assez intelligente ou n'ai pas pris le temps de fouiller tout l'appartement surtout de bouger les meubles sinon ils auraient pris la totalité de nos provisions.
Je viens taper doucement contre le vaisselier avec ma batte et je finis par regarder au sol quelque chose des plus étranges, il y a un espace entre le mur et le dit vaisselier et je réponds à Loyd tout en me tenant prêt.
- Ou peut-être qu'ils n'ont pas eu le temps de partir et qu'ils sont encore dans la pièce ? Car vu ce que tu me dis qui a était voler, ce n’est pas logique, qui prendrait seulement ce genre de chose ?
Je me décale doucement pour vérifier si quelqu'un se cache derrière le vaisselier et je me retrouve face à Liv, une fille que j'avais croiser et avec qui j'avais discuté lorsqu'on était au centurylink field. Et alors que je descends mon demi masque et que je retire ensuite mes lunettes de ski je dis d'un air surpris.
- Liv ? Mais... Non c'est pas possible que ce soit toi !
Ça faisait un an que je ne l'avais pas vu tout en la regardant de haut en bas, mon cœur s'emballe et je laisse tomber ma batte au sol sous le choc. Alors que je pensais que le monde était petit, alors là c'était la surprise de l'année pour être franc. Je la pensais morte depuis un long moment déjà. Comme quoi cette femme est pleine de surprise, au même moment Loyd arrive fusil à la main et voit la jeune femme tout en la pointant de son fusil.
- Tu la connais Declan ?
Je ne réponds pas, je m'en étais voulu en Janvier de l'année 2016 de ne pas l'avoir emmené avec moi, je sens les larmes me monter aux yeux entre culpabilité et soulagement. Je ne sais pas quoi répondre et je reste silencieux en me demandant ce qu'elle fait ici.
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Re: [Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Sam 2 Déc 2017 - 23:56
Dear escape from this afterlife.
Like walking into a dream, so unlike what you've seen so unsure but it seems, 'cause we've been waiting for you. Fallen into this place, just giving you a small taste of your afterlife here so stay, you'll be back here soon anyway. I see a distant light, but girl this can't be right. Such a surreal place to see so how did this come to be, arrived too early, and when I think of all the places I just don't belong. I've come to grips with life and realize this is going too far. I don't belong here, we gotta move on dear escape from this afterlife 'cause this time I'm right to move on and on, far away from here. A place of hope and no pain, perfect skies with no rain can leave this place but refrain, 'cause we've been waiting for you. Fallen into this place, just giving you a small taste of your afterlife here so stay, you'll be back here soon anyway.
Elle allait se faire choper. Elle le sentait gros comme une maison qu'elle allait se faire choper. Ce n'est pas une mais deux personnes qui pénétrèrent dans la petite cache. Un gros mastodonte armé d'un fusil et un autre, plus petit mais pas moins musclé. Difficile de se faire la male dans ses conditions, surtout qu'elle pouvait se faire tirer comme un lapin si elle ne passait pas par la fenêtre assez rapidement. La course, c'était son fort, mais pas l'escalade. Elle avait neuf chances sur dix de s'éclater la tête la première en bas si elle se ruait dehors. La première voix qui se fit entendre troubla profondément Liv. Elle la connaissait, cette voix, elle l'avait déjà entendu quelque part mais elle ne savait plus où. Elle n'augurait rien de bon, en tout cas. La seconde la rassura encore moins, surtout à cause de la menace du fusil. Pour autant, la jeune femme ne bougea pas de sa planque. Ces deux boulets venaient de sortir les phrases typiques des psychopathes potentiellement violeurs ou cannibales qui pouvaient traîner à Seattle. Autant dire que Liv préférait attendre le bon moment pour tenter une échappatoire au risque de se faire plomber le cul, plutôt que de finir entre les mains des deux inconnus.
Mais alors que Liv se mettait à compter jusqu'à trois dans sa tête, la première voix se rapprocha, émettant des hypothèses sur leurs cambrioleurs du jour. Elle ne pouvait plus fuir, alors elle se contenta d'attendre, serrant si fort le pied de biche dans ses mains que ses phalanges en étaient blanchies. Mais la personne dont elle était prête à fracasser le crâne n'était autre que Declan. Ce type, elle l'avait rencontré au camp de réfugier juste après que l'état d'urgence soit lancée. Il était venu de lui même lui parler, lui tenir compagnie, comme s'il avait su qu'elle était seule ici. Elle avait apprécié l'initiative, même si faire copain-copain avec quelqu'un à cet époque n'était pas son premier objectif. Elle avait plutôt la tête à l'Islande, à ses parents, à l'insécurité de son propre futur. Comme tout le monde dans le camp, ceci dit. Alors elle avait fais un effort, s'était faite violence pour ne pas l'envoyer voler, et finalement elle n'avait pas regretté. Il avait été doué pour lui changer les idées, il l'avait même fait rire, et elle n'avait pas eu le temps de l'en remercier. Lorsque le camp s'était fait attaquer, tout le monde s'était dispersé et elle n'avait plus eu de nouvelles. Elle n'avait pas cherché à en avoir, en réalité elle n'avait même plus pensé à lui sauf lors de ses moments de nostalgie et de doute, et elle refusait de les laisser prendre le pas trop souvent pour éviter de finir au fond du gouffre. Ou de l'estomac d'un lík.
Le pauvre sembla si choqué qu'il en laissa même tomber son arme. L'islandaise aurait pu lui éclater la tête avec son pied de biche à ce moment, mais elle n'en fit rien, desserrant même sa main sur son arme de fortune. Elle ouvrit la bouche pour répondre quelque chose, surprise par les larmes qui semblaient naître dans les yeux du photographe, mais n'eut pas le temps de dire un mot qu'elle vit le canon d'un fusil pointé sur elle. Par réflexe, elle se renfonça légèrement dans son trou et lâcha son pied de biche par terre avant de lever les mains en l'air. "Oh, oh, tout doux !" dit-elle d'une voix mal assurée. Elle posa les yeux sur Declan, haussant les sourcils d'un air pressent. "Declan, dis lui quelque chose, j'ai vraiment pas envie de me faire tirer dessus..." demanda-t-elle d'une voix douce. Elle posa les yeux sur le dit pote d'un air légèrement méprisant mais ne dit rien de plus. Elle n'était pas en confiance et préférait en dire le moins possible pour pouvoir jouer la comédie si jamais le besoin s'en faisait ressentir. Il y avait peu de chance que ça arrive, après tout ils se connaissaient un peu avec Declan et s'il n'avait pas changé et qu'il était toujours aussi sympa, il ne laisserait pas son pote le gorille lui tirer dessus gratuitement. Mais si jamais le tatoué ne prenait pas sa défense elle allait devoir mentir ou tout du moins les amadouer, alors autant ne pas griller sa chance tout de suite en insultant le pachyderme au fusil de tous les noms d'oiseaux qu'elle voulait lui cracher à la figure. Ses pensées allaient surtout vers Simon, qui serait sûrement dévastée si elle ne revenait pas. Elle lui avait pourtant promis de ne pas l'abandonner et comptait bien tenir sa parole. "Declan... S'il te plait..."
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Re: [Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Dim 3 Déc 2017 - 10:24
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Re: [Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Dim 3 Déc 2017 - 13:14
Comment c'était possible ? Liv' toujours vivante et en plus elle vient me voler moi et Loyd ? Dans ma tête c'est un bordel monstre alors que je suis coincé sur cette révélation qui est des plus étranges, je ne pensais jamais la revoir. Je m'en suis voulu de l'avoir laissé au Centurylink field, je voulais la prendre avec moi et qu'on s'enfuit. Je pensais qu'elle était morte et c'est comme si je voyais un mort face à moi. Loyd la tient en respect avec son fusil à pompe alors que la situation est dans une impasse. Alors qu'elle me demande de dire quelque chose je la regarde droit dans les yeux et j'essuis les larmes que j'ai aux yeux et je lui demande d'une voix douce.
- Tu ne vas pas bouger et je vais récupérer ton pied de biche juste le temps qu'on évite un drame d'accord ? Ensuite tu vas nous rendre ce que tu nous as volés et après on va discuter d'accord ? Loyd baissera son fusil quand j'aurais pris le pied de biche. S'il te plait l'oblige pas à te tirer dessus, on ne veut pas de problème et on veut pas perdre ce que l'on a trouvé. Je pense que l'on a beaucoup de choses à se dire.
Je me mets accroupis et je m'avance doucement pour prendre le pied de biche pour le récupérer. Ensuite je me recule pour prendre ma batte de baseball, j'abaisse le fusil à pompe de Loyd avec alors qu'il me dit.
- Je te jure que si elle nous la fait à l'envers, je la plombe sans hésiter. Même si c'est ton amie j'ai pas envie qu'elle nous encule.
Je peux sentir dans sa voix qu'il est énervé, mais je ne lui en veux pas. Je comprends sa réaction parce que je pense que si j'étais dans sa position je ferais pareil. Loyd s'écarte un peu toujours les mains sur son fusil tout en la gardant en vue et je fais signe à Liv' de s'avancer dans la pièce. Puis je prends une chaise pour m'asseoir et je me sors un paquet de cigarette pour pouvoir m'en allumer une avant d'en proposer une à Liv'. Putain, mais qui aurait parié sur elle en termes de survie ? Rien que de la revoir ici me soulage, mais dans ce genre de situation je dois bien avouer que je ne m'attendais pas à ça et je lui dis d'une voix douce.
- Alors dit moi pendant que tu nous redonnes ce que tu as pris ce qui s’est passé depuis le Centurylink field. Moi je dois bien t'avouer que l'année fut chargée, entre mon ancien groupe décimer par un groupe super violent. J'ai retrouvé mon meilleur ami qui était un zombie. Puis je suis tombé sur Loyd, le grand gaillard qui a l'air d'avoir eu un coup de cœur pour toi.
- Dit pas de connerie petit, tu sais bien comment ça se passe en temps normal. Puis tu lui racontes ta vie comme si c'est ton amie alors qu’elle n’aurait pas hésiter à t'éclater le crâne si t'avais étais seul. T'es trop gentil Declan, ça te tuera !
- Si je deviens le pire des fils de putes, a quoi ça sert de survivre ? Tout le monde a le droit de survivre et personne n'a demander à être dans cette situation. Et toi le premier, tu sais pourquoi j'ai dit que je te suivais. Alors ne me croit pas faible parce que je laisse en vie quelqu'un avec qui j'ai passé un bon moment dans le pire moment de ma vie.
Un long silence suit ce petit énervement mais c'est surtout la situation qui nous stress, je pense que l'arrivée en fourbe du petit écureuil de Liv' qui est venue nous volés quelques trucs. Alors que je la regarde nous rendre nos affaires, je souris au moins elle est coopérative, ce qui est loin d'être une qualité ces derniers temps. Du moins j'ai rarement vu quelqu'un de coopératif quand il s’est fait surprendre à voler. Je ne dis pas que je ne l'ai pas fait, mais maintenant que je suis avec Loyd il n'y a plus que ma vie qui est en danger si je vole des trucs. Prenant une taffe sur ma cigarette, je la dévisage, profitant de ce moment qui sera peut-être court. Peut-être qu'elle ne voudra pas me revoir suite à ce moment assez tendu avec le gros nounours de Loyd. Je ne vais pas la retenir longtemps, parce que si elle a du chemin à faire jusqu'à sa planque il ne vaut mieux pas que je la garde plus d'une heure environ, sinon elle partirait au coucher du soleil ce qui n'est pas le mieux. Quant à moi et Loyd, nous avions repérer un appartement plus sécurisé plus loin que l'on pourrait bloquer en cas de besoin. Puis de toute façon pour que les rôdeurs atteignent cet endroit il faudrait qu'ils arrivent à grimper ce qui n'est pas donner à tout le monde. Je reprends tout en la fixant droit dans les yeux.
- Tu es toute seule à survivre dans Seattle ? Je veux dire... Il y a quelqu'un qui t'accompagne ? Parce que si c'est le cas on va pas te garder longtemps ici question que personne ne s'inquiète ou que personne ne se lance dans une guérilla urbaine.
J'espère en tout cas qu'elle ne m'en voudra pas, qu'elle ne me tiendra pas rigueur du fait que l'on a récupérer ce qu'elle nous a voler. Je suis honnête et sincère avec elle, je ne veux pas du tout lui montrer que ça me fait mal qu'on se retrouve dans cette situation. Question qu'elle me fasse un peu plus confiance, je lui tends le pied de biche en souriant. Alors que je prends les affaires et que je pars vers la salle de bain et je range tout ce qu'elle nous a volés. Je vois une fissure qui serpente jusqu'au mur, alors que je ferme les sacs plus rapidement je retourne dans la pièce où se trouve Loyd et Liv. Je lui tends le sac avant de reprendre ma batte et je dis un peu paniqué.
- Euh, on ferait mieux de se barrer d'ici avant de finir sous l'immeuble.
Je remets mon demi masque en néoprène et mes lunettes de ski avant de me diriger doucement vers "l'entrée" par laquelle nous sommes entrés, je laisse Loyd et Liv passé en premier, je suis plus agile et les milieux accidentés c'est un peu mon rayon. Espérons juste que le tout ne me tombe pas sur la tête pendant notre fuite.
- Tu ne vas pas bouger et je vais récupérer ton pied de biche juste le temps qu'on évite un drame d'accord ? Ensuite tu vas nous rendre ce que tu nous as volés et après on va discuter d'accord ? Loyd baissera son fusil quand j'aurais pris le pied de biche. S'il te plait l'oblige pas à te tirer dessus, on ne veut pas de problème et on veut pas perdre ce que l'on a trouvé. Je pense que l'on a beaucoup de choses à se dire.
Je me mets accroupis et je m'avance doucement pour prendre le pied de biche pour le récupérer. Ensuite je me recule pour prendre ma batte de baseball, j'abaisse le fusil à pompe de Loyd avec alors qu'il me dit.
- Je te jure que si elle nous la fait à l'envers, je la plombe sans hésiter. Même si c'est ton amie j'ai pas envie qu'elle nous encule.
Je peux sentir dans sa voix qu'il est énervé, mais je ne lui en veux pas. Je comprends sa réaction parce que je pense que si j'étais dans sa position je ferais pareil. Loyd s'écarte un peu toujours les mains sur son fusil tout en la gardant en vue et je fais signe à Liv' de s'avancer dans la pièce. Puis je prends une chaise pour m'asseoir et je me sors un paquet de cigarette pour pouvoir m'en allumer une avant d'en proposer une à Liv'. Putain, mais qui aurait parié sur elle en termes de survie ? Rien que de la revoir ici me soulage, mais dans ce genre de situation je dois bien avouer que je ne m'attendais pas à ça et je lui dis d'une voix douce.
- Alors dit moi pendant que tu nous redonnes ce que tu as pris ce qui s’est passé depuis le Centurylink field. Moi je dois bien t'avouer que l'année fut chargée, entre mon ancien groupe décimer par un groupe super violent. J'ai retrouvé mon meilleur ami qui était un zombie. Puis je suis tombé sur Loyd, le grand gaillard qui a l'air d'avoir eu un coup de cœur pour toi.
- Dit pas de connerie petit, tu sais bien comment ça se passe en temps normal. Puis tu lui racontes ta vie comme si c'est ton amie alors qu’elle n’aurait pas hésiter à t'éclater le crâne si t'avais étais seul. T'es trop gentil Declan, ça te tuera !
- Si je deviens le pire des fils de putes, a quoi ça sert de survivre ? Tout le monde a le droit de survivre et personne n'a demander à être dans cette situation. Et toi le premier, tu sais pourquoi j'ai dit que je te suivais. Alors ne me croit pas faible parce que je laisse en vie quelqu'un avec qui j'ai passé un bon moment dans le pire moment de ma vie.
Un long silence suit ce petit énervement mais c'est surtout la situation qui nous stress, je pense que l'arrivée en fourbe du petit écureuil de Liv' qui est venue nous volés quelques trucs. Alors que je la regarde nous rendre nos affaires, je souris au moins elle est coopérative, ce qui est loin d'être une qualité ces derniers temps. Du moins j'ai rarement vu quelqu'un de coopératif quand il s’est fait surprendre à voler. Je ne dis pas que je ne l'ai pas fait, mais maintenant que je suis avec Loyd il n'y a plus que ma vie qui est en danger si je vole des trucs. Prenant une taffe sur ma cigarette, je la dévisage, profitant de ce moment qui sera peut-être court. Peut-être qu'elle ne voudra pas me revoir suite à ce moment assez tendu avec le gros nounours de Loyd. Je ne vais pas la retenir longtemps, parce que si elle a du chemin à faire jusqu'à sa planque il ne vaut mieux pas que je la garde plus d'une heure environ, sinon elle partirait au coucher du soleil ce qui n'est pas le mieux. Quant à moi et Loyd, nous avions repérer un appartement plus sécurisé plus loin que l'on pourrait bloquer en cas de besoin. Puis de toute façon pour que les rôdeurs atteignent cet endroit il faudrait qu'ils arrivent à grimper ce qui n'est pas donner à tout le monde. Je reprends tout en la fixant droit dans les yeux.
- Tu es toute seule à survivre dans Seattle ? Je veux dire... Il y a quelqu'un qui t'accompagne ? Parce que si c'est le cas on va pas te garder longtemps ici question que personne ne s'inquiète ou que personne ne se lance dans une guérilla urbaine.
J'espère en tout cas qu'elle ne m'en voudra pas, qu'elle ne me tiendra pas rigueur du fait que l'on a récupérer ce qu'elle nous a voler. Je suis honnête et sincère avec elle, je ne veux pas du tout lui montrer que ça me fait mal qu'on se retrouve dans cette situation. Question qu'elle me fasse un peu plus confiance, je lui tends le pied de biche en souriant. Alors que je prends les affaires et que je pars vers la salle de bain et je range tout ce qu'elle nous a volés. Je vois une fissure qui serpente jusqu'au mur, alors que je ferme les sacs plus rapidement je retourne dans la pièce où se trouve Loyd et Liv. Je lui tends le sac avant de reprendre ma batte et je dis un peu paniqué.
- Euh, on ferait mieux de se barrer d'ici avant de finir sous l'immeuble.
Je remets mon demi masque en néoprène et mes lunettes de ski avant de me diriger doucement vers "l'entrée" par laquelle nous sommes entrés, je laisse Loyd et Liv passé en premier, je suis plus agile et les milieux accidentés c'est un peu mon rayon. Espérons juste que le tout ne me tombe pas sur la tête pendant notre fuite.
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Re: [Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Mar 5 Déc 2017 - 23:05
Dear escape from this afterlife.
Like walking into a dream, so unlike what you've seen so unsure but it seems, 'cause we've been waiting for you. Fallen into this place, just giving you a small taste of your afterlife here so stay, you'll be back here soon anyway. I see a distant light, but girl this can't be right. Such a surreal place to see so how did this come to be, arrived too early, and when I think of all the places I just don't belong. I've come to grips with life and realize this is going too far. I don't belong here, we gotta move on dear escape from this afterlife 'cause this time I'm right to move on and on, far away from here. A place of hope and no pain, perfect skies with no rain can leave this place but refrain, 'cause we've been waiting for you. Fallen into this place, just giving you a small taste of your afterlife here so stay, you'll be back here soon anyway.
Quel dommage qu'elle se soit faite choper. Ce t-shirt citrouille aurait tellement bien été à Simon. Avec sa petite tête ronde et son air de gosse, il aurait été trop mignon dedans. Mais l'espèce de mastodonte qui accompagnait l'ancien photographe semblait avoir un sens du détail impressionnant. Un coup d'oeil et il avait remarqué tout ce que la blonde lui avait piqué. Elle aurait dû aller dans la salle de bain en premier, au moins il n'aurait vu que dalle... Liv laissa Declan récupérer le pied de biche qu'elle avait lâché au sol, sans esquisser un mouvement, mais le géant commençait sérieusement à lui taper sur le système. L'islandaise était patiente de nature, manipulatrice aussi, elle savait garder son sang-froid même face à des personnes qui étaient incroyablement exaspérantes. Mais lui, il dépassait tout entendement. Des vulgarités et des menaces, c'était tout ce qu'il avait à la bouche et Liv ne put s'empêcher de lui lancer un regard méprisant et hautain. Si elle ne disait rien, le jugement qu'elle se faisait de cet énergumène se voyait amplement sur son visage. Elle était d'autant plus surprise que Declan puisse traîner avec un type pareil. Il devait sûrement avoir ses raisons, le gorille ne pouvait pas être qu'un con, mais il en avait les réactions et la façon de réfléchir. Et petit à petit, inéluctablement, Liv se refermait sur elle-même... Et le jeu commença.
Elle sortit lentement de sa cachette lorsque son ancien ami l'y invita, mais garda un oeil sur l'autre boulet et son fusil bien trop chargé à son goût. Elle fit glisser son propre sac sur son épaule et sortit ce qu'elle avait piqué pour les lancer nonchalamment sur un bout de canapé pété près de Declan. Adieu petit t-shirt citrouille. Elle n'avait pas pris grand chose en somme, et que des petits trucs qui se trouvaient pas trop difficilement. Liv devait s'attendre à ce que Declan lui pose des questions et pourtant elle réussit à être surprise qu'il s'intéresse à ce qu'elle avait pu devenir. Elle ouvrit la bouche pour répondre mais l'autre con ouvrit sa gueule une fois de plus. Elle referma donc la sienne, lançant un nouveau regard froid et sans aucun sentiment sur Loyd. "Ou peut-être que le danger viendra d'encore plus près, qui sait ?" Le sous-entendu visait directement Loyd, mais il était clairement trop débile pour en comprendre toute la subtilité. Elle reposa les yeux sur Declan sans attendre la moindre réaction de son partenaire et écouta ce qu'il disait en gardant le silence. Si elle s'était sentie à l'aise au camp, avant qu'ils ne soient définitivement abandonnés dans la nature, aujourd'hui elle ne l'était plus.
Toutefois, elle notait que Declan ne semblait pas avoir beaucoup changé. A l'époque, elle avait rencontré un jeune homme optimiste et souriant, qui faisait de son mieux pour la réconforter, elle, l'étrangère qui était loin de sa famille et de tout. Aujourd'hui, il avait l'air tout aussi paisible et humain. Des qualités rares après tout ce temps passé à survivre en ces terres hostiles. Ceci, Liv appréciait grandement, même si elle ne pouvait pas le féliciter sur les compagnons de route qu'il trouvait... "Je ne suis plus seule. Plus depuis quelques jours... Mais je le suis restée jusqu'à peu. Je me sentais mal à l'aise en groupe, ça s'est toujours mal fini. Lui est différent." Un sourire amusé se dessina sur ses lèvres. "Il lancera pas une guérilla parce que c'est un boulet, mais il risque de devenir fou et de se faire des films très rapidement..." Un nouveau sourire se dessina sur le joli visage de la blonde, mais il était pour Declan cette fois. Et il était sincère. "Alors merci de ne pas me retenir." Mine de rien, c'était important. Elle connaissait leur cachette après tout, qui pouvait s'assurer qu'elle ne mentait pas et qu'elle ne reviendrait pas avec toute une bande pour les massacrer tous les deux et voler toutes leurs affaires ? Ce n'était pas impossible. Mais Declan avait fait le choix de faire un minimum confiance à Liv, et il avait raison.
La conversation coupa court lorsque le sol se mit à trembler, sans raison apparente. Pourtant, l'explication lui sauta à l'esprit aussitôt. Il suffisait de voir le rez-de-chausser et le premier étage pour comprendre que le reste menaçait de s'écrouler à tout moment. Sérieusement, était-il possible que ses 50kg ait autant changé la donne ? Ce gros tas de muscle qui accompagnait Declan n'avait pas fait bouger le sol depuis qu'ils étaient ici, mais elle arrivait et pouf, tout menaçait de s'écrouler ? C'était vexant. Liv récupéra volontiers son pied de biche et n'attendit pas l'autorisation pour s'extraire de la fenêtre par laquelle elle était entrée. Dommage, la planque était plutôt pas mal. Elle était bien plus agile que Loyd mais bien moins que Declan, et craignait que le tout ne s'écroule sur eux. Chose qui n'arriva pas. Pas tout de suite du moins. Elle redescendit par réflexe non du côté protégé par les deux barrages de trucs-qui-traînaient-dans-le-coin mais de l'autre, celui où il y avait quelques rôdeurs un peu plus loin. Si le bâtiment s'écroulait, elle préférait ne pas être coincée sous un tas de tôle froissée. "L'un de nous était de trop." lança-t-elle presque méchamment en direction de la brute deux fois plus grande qu'elle. Un détail qui ne semblait pas la gêner plus que ça. En revanche, elle était un peu plus mal à l'aise pour Declan. "Je vous déconseille de retourner là dedans... D'ailleurs on devrait s'éloigner, j'ai pas envie de me prendre une brique sur la tête. Tu sais où aller ?" s'enquit-elle.
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Re: [Abandonné.] Dear escape from this afterlife • Declan O'Reilley
Mer 6 Déc 2017 - 19:04
Je n'aime pas ce genre de situation où l'on choppe un voleur sur le fait, encore moins quand c'est une connaissance. Je dois bien avouer que ça me fait chier, surtout que Loyd habituellement est encore moins conciliant d'habitude. Ce qui me fait quand même bizarre, je ne m'attendais pas à revoir Liv' ici, c'est quand même la preuve que tout est possible dans ce monde. Enfin, de ce qui reste de ce monde. Je cherche seulement à pouvoir vivre tranquillement, je ne cherche pas les ennuis, mais apparemment de nos jours c'est limite impossible. Je dois bien avouer que cette vie n'est plus celle que tout le monde à pu connaître auparavant, comment voulez-vous qu'un monde dans le chaos retrouve un minimum de stabilité avec des meurtrier ? J'essaye de mettre ma pierre à l'édifice d'une civilisation qui va voir sa fin arriver de toute façon, si nous n'arrivons pas à tuer tous les rôdeurs du moins. Liv' n'avait pas l'air d'être une méchante personne après tout, mais bon qui sait ce qu'elle a pu faire depuis que nous sommes partis du Centurylink field ?
Je pouvais voir qu'entre Liv' et Loyd il y avait une certaine tension, mais bon dans tous les cas, je me devais d'éviter que les deux finissent par s'entre tuer. Je ne sais pas ce que je vais pouvoir faire pour éviter ça, alors qu'elle nous rend toutes nos affaires volées. Je la regarde droit dans les yeux en me demandant ce qu'elle peut bien faire dans ce coin de la ville qui est moins intéressant que les autres. Je croise les bras tout en l'observant de haut en bas, elle n'avait pas tant changé que ça, bon, un peu dans son attitude. Même si elle m'a toujours paru un peu distante avec les gens, je ne suis pas du genre à laisser de côté qui que ce soit. Si on se méfie de tout le monde, on ne finira par jamais par avancer contre les rôdeurs. L'écoutant parler, je finis par reprendre tout en souriant.
- De toute façon les affaires ont étaient rendus c'est le principal, vous n'allez pas vous foutres sur la tronche pour si peu, si ?
Il faut toujours être optimiste en toute circonstance, car la plus grande peur de l'homme c'est la déception et la trahison. Je ne sais pas quoi faire de plus pour les détendre, dans le pire des cas je les laisserais se foutre sur la gueule. Mais ce ne serait pas productif pour qui que ce soit, ça n'attirerait que des problèmes à nous tous. Je l'écoute attentivement, presque une histoire similaire à la mienne pour être franc. Ajoutant que son compagnon est un boulet, je ris tout en regardant Loyd, question boulet, je n’en connais aussi pas mal à ce sujet. Elle finit par me remercier de ne pas la retenir et je souris tout en déposant mon regard à nouveau sur elle. Je prends la parole avant que Loyd ne prenne la parole.
- Je n’ai pas connus énormément de groupe, le dernier en question c'est fait assassiner par un groupe que je ne connais pas. Sinon j'ai largement parcouru Seattle et les environs tout seul pendant un long moment malgré les quelques rencontres que j'ai pu faire. Et tu n'as pas besoin de me remercier, tu es libre de partir quand tu le souhaites...
- Tant que tu ne nous voles rien au passage...
Loyd toujours aussi délicat dans son contact avec les gens, alors que j'allais dire quelque chose. Je vois que le regard du barbu à changer, il n'est plus en colère mais triste à présent et il reprend d'une voix légèrement tremblante en sortant une photo de sa poche.
- J'ai étais séparer de ma femme et de ma petite fille au Centurylink field. Ma petite Amélia n'a que sept ans, je les cherche depuis ce jour et c'est pour ça que j'ai rejoint Declan.
J'ai rarement vu Loyd comme ça auparavant, mais rien de plus normal. Je pense que je serais dans le même état si ma femme et ma fille avait disparu. Je ne peux même pas imaginer la douleur que ça engendre. Je décide de ne pas appuyer la conversation sur ce point, alors que je range les affaires dans le sac en ressentant les premiers tremblements de l'immeuble. Je décide de me mettre à la suite de Liv' avec Loyd devant moi, comme quoi il faut être réaliste, les immeubles dégradés à ce point sont un potentiel danger. Mais le danger à venir c'est que si cet immeuble s'écroule, ça va amener tous les rodeurs du quartier vers cette zone. Nous avons tout intérêt à partir sans attendre, sinon nous finirons soit sous les décombres, soit sous les cadavres. Alors que la jeune femme descend, je fais signe à Loyd de passé devant, il n'a pas l'air tellement d'accord avec ce choix, mais je ne lui laisse pas le temps de décider. Alors qu'il amorce sa descente, je tente de me souvenir de la carte pour aller dans un endroit plus tranquille. Au Nord, il faut que nous allions plus au nord d'ici, nous avions repérer une usine avec un bureau en hauteur avec seul accès un escalier intérieur et un autre qui donne vers l'extérieur. C'est là-bas qu'il faut aller ! Alors que j'amorce ma descente doucement sans me précipiter, je mets pieds à terre. Liv' reprenant sa séduction sur Loyd, je ris tout en disant d'une voix douce.
- Si vous voulez je vous laisse tous les deux vous faires des câlins ? Parce qu’avec vos engueulades, on dirait un vieux couple. Par contre je ne pourrais pas vous mariés, je ne suis pas prêtre.
J'en profite pour m'allumer une cigarette, le temps qu'on décide quoi faire, je l'écoute tout en souriant et je finis par sortir la carte de mon sac et je déploie juste la partie qui nous intéresses. Montrant la rue droit devant nous je finis par reprendre.
- Si nous prenons cette rue et que nous prenons à gauche, nous arriverons à une usine qu'on à repérer ce matin. Il y a un bureau assez grand pour accueillir un groupe de six à sept personnes je dirais. Seul souci c'est la dizaine voire vingtaine de rôdeurs sur la route. Soyons-nous prenons par-là, soit nous pouvons prendre par la droite et faire un détour plus long, mais moins dangereux.
- De toute façon nous n'avons pas tellement le choix je pense.
Je lui laisse le choix alors que je range ma carte avant de surveiller les environs, Loyd reste silencieux, bien étrange. Lui qui d'habitude à la parole facile, se pourrait-il que notre petite discussion avec Liv' l’a refroidi.
Je pouvais voir qu'entre Liv' et Loyd il y avait une certaine tension, mais bon dans tous les cas, je me devais d'éviter que les deux finissent par s'entre tuer. Je ne sais pas ce que je vais pouvoir faire pour éviter ça, alors qu'elle nous rend toutes nos affaires volées. Je la regarde droit dans les yeux en me demandant ce qu'elle peut bien faire dans ce coin de la ville qui est moins intéressant que les autres. Je croise les bras tout en l'observant de haut en bas, elle n'avait pas tant changé que ça, bon, un peu dans son attitude. Même si elle m'a toujours paru un peu distante avec les gens, je ne suis pas du genre à laisser de côté qui que ce soit. Si on se méfie de tout le monde, on ne finira par jamais par avancer contre les rôdeurs. L'écoutant parler, je finis par reprendre tout en souriant.
- De toute façon les affaires ont étaient rendus c'est le principal, vous n'allez pas vous foutres sur la tronche pour si peu, si ?
Il faut toujours être optimiste en toute circonstance, car la plus grande peur de l'homme c'est la déception et la trahison. Je ne sais pas quoi faire de plus pour les détendre, dans le pire des cas je les laisserais se foutre sur la gueule. Mais ce ne serait pas productif pour qui que ce soit, ça n'attirerait que des problèmes à nous tous. Je l'écoute attentivement, presque une histoire similaire à la mienne pour être franc. Ajoutant que son compagnon est un boulet, je ris tout en regardant Loyd, question boulet, je n’en connais aussi pas mal à ce sujet. Elle finit par me remercier de ne pas la retenir et je souris tout en déposant mon regard à nouveau sur elle. Je prends la parole avant que Loyd ne prenne la parole.
- Je n’ai pas connus énormément de groupe, le dernier en question c'est fait assassiner par un groupe que je ne connais pas. Sinon j'ai largement parcouru Seattle et les environs tout seul pendant un long moment malgré les quelques rencontres que j'ai pu faire. Et tu n'as pas besoin de me remercier, tu es libre de partir quand tu le souhaites...
- Tant que tu ne nous voles rien au passage...
Loyd toujours aussi délicat dans son contact avec les gens, alors que j'allais dire quelque chose. Je vois que le regard du barbu à changer, il n'est plus en colère mais triste à présent et il reprend d'une voix légèrement tremblante en sortant une photo de sa poche.
- J'ai étais séparer de ma femme et de ma petite fille au Centurylink field. Ma petite Amélia n'a que sept ans, je les cherche depuis ce jour et c'est pour ça que j'ai rejoint Declan.
J'ai rarement vu Loyd comme ça auparavant, mais rien de plus normal. Je pense que je serais dans le même état si ma femme et ma fille avait disparu. Je ne peux même pas imaginer la douleur que ça engendre. Je décide de ne pas appuyer la conversation sur ce point, alors que je range les affaires dans le sac en ressentant les premiers tremblements de l'immeuble. Je décide de me mettre à la suite de Liv' avec Loyd devant moi, comme quoi il faut être réaliste, les immeubles dégradés à ce point sont un potentiel danger. Mais le danger à venir c'est que si cet immeuble s'écroule, ça va amener tous les rodeurs du quartier vers cette zone. Nous avons tout intérêt à partir sans attendre, sinon nous finirons soit sous les décombres, soit sous les cadavres. Alors que la jeune femme descend, je fais signe à Loyd de passé devant, il n'a pas l'air tellement d'accord avec ce choix, mais je ne lui laisse pas le temps de décider. Alors qu'il amorce sa descente, je tente de me souvenir de la carte pour aller dans un endroit plus tranquille. Au Nord, il faut que nous allions plus au nord d'ici, nous avions repérer une usine avec un bureau en hauteur avec seul accès un escalier intérieur et un autre qui donne vers l'extérieur. C'est là-bas qu'il faut aller ! Alors que j'amorce ma descente doucement sans me précipiter, je mets pieds à terre. Liv' reprenant sa séduction sur Loyd, je ris tout en disant d'une voix douce.
- Si vous voulez je vous laisse tous les deux vous faires des câlins ? Parce qu’avec vos engueulades, on dirait un vieux couple. Par contre je ne pourrais pas vous mariés, je ne suis pas prêtre.
J'en profite pour m'allumer une cigarette, le temps qu'on décide quoi faire, je l'écoute tout en souriant et je finis par sortir la carte de mon sac et je déploie juste la partie qui nous intéresses. Montrant la rue droit devant nous je finis par reprendre.
- Si nous prenons cette rue et que nous prenons à gauche, nous arriverons à une usine qu'on à repérer ce matin. Il y a un bureau assez grand pour accueillir un groupe de six à sept personnes je dirais. Seul souci c'est la dizaine voire vingtaine de rôdeurs sur la route. Soyons-nous prenons par-là, soit nous pouvons prendre par la droite et faire un détour plus long, mais moins dangereux.
- De toute façon nous n'avons pas tellement le choix je pense.
Je lui laisse le choix alors que je range ma carte avant de surveiller les environs, Loyd reste silencieux, bien étrange. Lui qui d'habitude à la parole facile, se pourrait-il que notre petite discussion avec Liv' l’a refroidi.
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