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Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:31
what i am
Méthodique Ambitieuse Calme Intelligente Eloquente Orgueilleuse Autoritaire Solitaire Carriériste Calculatrice | Hormis une longue lame confiée par une militaire pour les cas d’urgence à l’intérieur du camp, la quadragénaire ne s'équipe qu’avec ce qu’on accepte de lui accorder lors de ses sorties du camp. Assez exceptionnelles cela dit. On ne pouvait nier qu’elle était une belle femme. 40 ans et pourtant, son corps conserve une finesse athlétique, de belles courbes, un maintien noble. La maturité de ses traits la sublime, mettant encore plus ses yeux vert clair en valeur. Visage carré, menton volontaire et fendu, grande bouche – mais elle ne souriait presque jamais. Pourtant, sa dentition était irréprochable. Lorsqu’elle travaillait comme avocate fédéral, l’élégance et le professionnalisme était le maître mot de son style vestimentaire. En tailleur, en pantalon ou en robe, June était toujours classe, toujours parfaitement coiffée, toujours parfaitement maquillée. Elle avait par ailleurs fini par admettre que, comme son intelligence et ses ambitions, sa beauté sortait de la norme, alors elle savait la mettre en valeur. Son mari n’en était malheureusement pas l’unique cible – ou proie, selon comme on voyait les choses. Aujourd’hui, elle fait de son mieux pour rester présentable en se satisfaisant de ce qui est à sa portée. Ses cheveux roux sont généralement noués, ses vêtements propres et pratiques. |
Psychologie
Elle s’est toujours sentie au-dessus du lot. Au départ, simplement par défi, parce qu’elle aspirait à faire mieux que ses géniteurs ternes. Puis elle s’était sentie différente des autres, destinée à mieux que les déboires adolescents de ses camarades de jeunesse. L’orgueil est-il venu avant qu’elle ne s’efforce de s’élever au-dessus des autres ou après ? Impossible de savoir, mais elle l’est : fière, avec une haute estime d’elle-même, virtuellement indétrônable. L’avocate a toujours su ce qu’elle voulait, parfois même avant de le vouloir.
June est une solitaire, toujours calme, difficile à approcher. Pas qu’elle est associable, bien au contraire : elle est en apparence capable d’être une excellente compagnie, voire même de vibrer d’empathie. Des interprétations, souvent calculées ou intéressées. Fausses. Atouts indispensables dans son métier. Généralement sur la défensive, forgée par un milieu difficile pour les femmes, elle peut ranger ses griffes sans être apprivoisée pour autant. Se renfermant sur elle-même, secrète, assez maligne pour suivre des directives mais jamais prisonnière. Guettant dans l’ombre le moyen de s’affirmer, de grignoter un peu plus de pouvoir. Peut-être. Ce n’est pas comme si on ne lui reprochait pas, avant, de faire passer sa carrière avant tout.
Après l’épidémie, elle a compris que ceux qui survivent sont les plus forts et les gens utiles aux plus forts. C’est pourquoi elle a accepté sans sourciller la politique du sénateur et la façon de l’appliquer. S’ils ne le faisaient pas, quelqu’un d’autre le ferait et très clairement : June souhaite être de leur côté des fusils. De leurs mots aussi, car elle reste une excellente oratrice, capable de grands discours destinés à convaincre les foules. L’idée est parfaite, l’application un mal nécessaire, le résultat une grande ambition. Si nouveau royaume il y a : elle veut en être l’une des précurseurs.
En cas de soucis, elle conserve un sang froid effrayant. June est alors capable de réagir efficacement aux imprévus ; ses affaires l'ont insensibilisée à toutes les bassesses humaines. Organisée et méthodique, elle est rarement à court d’idée. Il est très rare de la prendre de court, et même dans ce cas, elle ne panique pas. Morts ou vivants, la quadragénaire ne fait plus grand état de ceux qui se présentent comme contre eux. La compassion, la contrition, les états d’âmes… très peu pour elle. Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades mais sur des sacrifices et des piles de cadavres.
Story of survival
Pre-apocalypse
Déjà enfant, même si elle avait quelques camarades à l’école et dans le voisinage, June préférait se réfugier dans sa « cabane » et lire pendant des heures. Sous les draps tendus entre les différents meubles de sa chambre, elle était dans un autre monde. Sa forteresse, son univers. Parfois, c’était elle qui tissait de longues et interminables histoires. Ses seuls public et protagonistes étaient ses jouets et ses nounours. Quand les mots ne suffirent plus pour lui permettre de s’évader, le dessin s’ajouta à ses centres d’intérêt. D’abord, elle copiait, tout et n’importe quoi, des illustrations de ses romans aux schémas biologiques de ses encyclopédies de science, puis son crayon devint autonome. Il traçait des personnages, des animaux, des paysages. Tous étaient grandioses, lumineux, admirés ou admirables. Comme elle ?
Les années frappaient tour à tour à la porte de son refuge. A la préadolescence, quand ses camarades découvraient tout un monde de sociabilité, June se refermait sur elle-même. Pas parce qu’elle était rejetée : en fait, elle était un peu plus chétive que la normale, mais ses traits trahissaient déjà sa beauté à venir. Les bagues et l’acné n’y changèrent rien. Non, elle trouvait simplement les gens ennuyeux. Les potins, les passions futiles, les « boum », l’école buissonnière… tout cela était pathétique, non ? Les adultes n’étaient pas mieux, avec leur guerre froide et leurs guerres tout court. Combien de fois la jeune adolescente avait entendu les mêmes réparties politiques préfabriquées ? C’était un peu sa vision des gens en fait : des poupées sans couleur, sans visage, sans âme, pour la plupart d’entre eux.
Elle aspirait à autre chose, avait ses propres idées. Même dans le salon familial, à chaque dîner, elle réalisait comme M et Mme Barton étaient ternes, fades, de simples professeurs qui répétaient les mêmes choses d’années en années, se plaignaient des mêmes élèves, des mêmes parents, des mêmes réformes… aucun doute, elle s’élèverait au-dessus de la masse. June Dakota Barton ne serait pas un pantin impersonnel, elle serait quelqu’un : les gens voudraient la rencontrer, l’admireront, la détesteront, mais ne seraient pas indifférents.…
Sa détermination était en acier trempée. Ce fut sans regret qu’elle embrassa la solitude, indomptable, passionnément plongée dans ses devoirs. A 15-16 ans, elle était devenue une belle adolescente. Oh oui, les garçons l’avaient approchée, plusieurs, et ils s’étaient tous heurté à un mur. Elle n’avait pas le temps pour se vautrer dans les dramas pathétiques de ses camarades ni pour réaliser qu’ils ne l’intéressaient foncièrement pas. Son objectif était clair depuis longtemps déjà : elle porterait sa voix. On la verrait se dresser dans une cours, faire face aux pouvoirs de l’Etat et à des personnes dont l’avenir – voire la vie – dépendait de sa capacité à faire son travail. Elle serait avocate, et pas n’importe laquelle !
Sans surprise, June fut major de sa classe, ses notes brillaient et lui offrirent sans mal une bourse pour l’université de Harvard dans le Massachussetts, à l’autre bout de l’état. Ses parents étaient bien plus peinés qu’elle de la voir quitter le cocon familial : sur la côte est, l’étudiante se fit bien vite à la vie sur le campus et trônait toujours dans les têtes de sa promotion. Au troisième mec qu’elle refoula pour préférer se consacrer à son cursus, la rouquine se fit traiter de gouine pour la première fois, ce à quoi elle répondit par sa plus belle indifférence. Ensuite, ça devint une malheureuse routine.
Pendant 7 ans, elle fit l’effort de rentrer régulièrement voir ses parents à Redmond. Jamais elle ne dévia de sa route ni ne perdit en motivation. Seul le sommeil la fuit parfois et certaines périodes étaient assurées à grand renfort de vitamines, boissons énergisantes et autres cachets légaux censés l’aider à garder les idées claires. A ne pas céder aux crises de larmes aussi. Quatre ans pour la licence, puis le concours d’entrée au barreau et trois nouvelles années pour passer son Juris Doctor. Au prix d’une vie privée proche du zéro absolu, June avait son fameux diplôme passés ses 25 ans. Il lui fallait encore choisir son orientation : la sienne était toute tracée. Le droit fédéral l’intéressait bien plus, parce qu’elle n’aurait à répondre de personne sinon à la cour à laquelle elle serait rattachée. Les avocats fédéraux étaient aussi généralement plus mobiles et traitaient des cas très pointus.
Alors qu’elle se démenait pour trouver sa place dans l’une des cours fédérales du pays (il y en avait entre deux et quatre par état en moyenne), ce fut à cette période que la rouquine fit la rencontre de Dawn Phelbs. Jeune avocat de quelques années son aîné qui l’aida à préparer sa demande d'admission au tribunal de Boston. Tout à fait honnêtement. Tandis qu’elle prenait ses marques, June accepta également de sortir avec lui. Largement plus par sentiment de « combler un vide » dans ses expériences que par véritable attirance. Le trentenaire était pourtant beau garçon, intelligent, drôle entre deux affaires, mais juste… son cœur envoyait un signal plat. Son corps aussi. Elle en était réduite à feindre, mais n’était-ce finalement pas la même chose qu’avec son travail ? Tant que l’autre partie y croyait, elle avait gagné.
Ce fut d’ailleurs le fait de pratiquer qui fit sortir la jeune femme de sa coquille. D’étudiante renfermée et plongée dans ses études, elle devint une assistante juridique perspicace et acharnée. Son éloquence et son instinct firent très vite sauter les verrous qui la séparait des échelons supérieurs. June eut une place à Chicago deux ans plus tard, comme avocate cette fois. Pour ses premières affaires, elle était obligée de s’attaquer à toutes les problématiques fédérales (droit de la faillite, de l’immigration, de la propriété intellectuelle…) mais au bout d’un an, elle put commencer à choisir sa spécialisation.
A 28 ans, la rouquine aiguisait ses griffes sur les crimes fédéraux. Elle ne s’était pas séparée de Dawn, non : ce serait mentir de dire qu’elle ne l’avait pas trompé – bien qu’ils se voyaient régulièrement – mais ses liaisons discrètes ne la détournait pas de l’idée qu’il fallait maintenir les apparences. Dans un pays où la cour jurait encore sur la bible, que dirait-on d’une professionnelle de la loi volage et célibataire ? C’était uniquement pour cette pensée rationnelle et utilitaire qu’elle accepta la demande en mariage de son petit-ami, deux ans plus tard. A ce moment, ils exerçaient tous les deux en Californie ; elle à Sante Fe, lui à Riverside.
2008, ils étaient mariés. 2010, le couple était-il heureux ? Difficile à dire. Disons qu’ils sauvaient les apparences dans un mode de vie plus que compliqué pour entretenir une vie de famille. June excellait dans ce qu’elle faisait, refusait de se poser, de mettre sa carrière en pause ne serait-ce qu’une année pour devenir mère. Dans son collimateur, il y avait encore le titre d’avocat général de la justice, puis procureur général des Etats-Unis. Une longue route qui devrait se justifier par du travail, des résultats et un comportement irréprochable. La trentenaire redoublait donc de discrétion pour entretenir des liaisons éphémères, satisfaire ses besoins physiques, que son époux ne pouvait lui apporter, avec d’autres partenaires.
En 2013, June saisit finalement l'opportunité de rejoindre la cour de Seattle. Une mutation principalement acceptée pour se rapprocher d'un confrère qui désirait la prendre sous son aile. Un homme très expérimenté qui lui assurait pouvoir lui ouvrir la voie qui menait au ministère de la justice. Il s'appelait Henry Hargreaves. Dans un dernier élan pour sauver son couple d’une façade qui s’effritait et d’un cœur mort, Dawn la suivit en intégrant le tribunal fédéral de Tacoma. Ils purent alors même reprendre une maison tous les deux, dans les beaux quartiers de Federal Way, mais ça ne changea rien à la flamme inexistante entre les deux Phelbs. Ils n’étaient plus liés que par un anneau au doigt et un papier signé cinq ans auparavant. A son tour, le mari se résigna et finalement, lui aussi se prit à tromper sa femme à partir de 2014.
L’été 2015, alors que le monde s’apprêtait sans le savoir à sombrer dans le chaos, telle était la vie de June. 38 ans et pas d’enfant, rien qu’une carrière en pleine phase ascendante et un mariage vide. Elle avait largement fait ses preuves dans les plaidoiries, elle n’attendait que la prochaine étape. Grâce à Henry, elle était la femme avocate la plus en vue de la côte ouest et avait déjà rencontré la famille Chambers. Ce qui était censé être un unique rendez-vous de courtoisie lui avait permis de devenir ami avec Siobhan Chambers... et c'était peut-être ce qui lui avait sauvé la vie.
Post-apocalypse
Les événements s’enchaînèrent très vite. Trop vite. Le temps que l’avocate comprenne qu’ils étaient coupés du monde, les communications avaient été confisqués, les militaires réquisitionnaient ce qu’ils pouvaient, fermaient certaines routes et surtout : ne donnaient aucune véritable information. Des civils, comme une certaine Lilian Blackmore, ne cessait de venir réclamer des comptes à grand renfort de texte de loi pendant un temps et il n’en fallut pas plus pour que June mette à profit sa férocité professionnelle à defendre l’honneur de ses amis. Elle était bien consciente de ne pas tout savoir, que l’état ne réunirait pas proche d'un fort une partie des personnalités éminentes juste par « précaution » ; mais argumenta néanmoins pour calmer les ardeurs de sa médiocre consœur. Cet événement convainquit la quadragénaire de ne pas s’enfermer dans une tour d’ivoire : les mois passaient, les saisons se succédaient, elle pressentait que quelque chose de très important se jouait. Rester proche du « peuple » lui permettait d’avoir les oreilles partout, de prendre la température du camp, de rapporter discrètement certaines informations capitales à la famille Chambers. Au final, ce statu-quo lui convenait : elle n’insistait pas pour savoir ce qui se passait réellement mais gardait son rang privilégié grâce à sa fidélité à l’homme – devrait-elle dire « au couple » – qui avait hérité du pouvoir.
En août 2016, June ne devait sa survit qu’à l’intervention d’une femme : Arizona Winslet. Une militaire qui avait abattu les deux pillards qui s’apprêtaient à la tuer dans sa maison, voir pire. A partir de ce moment, les deux femmes s’étaient liés d’amitié ; la soldate pouvait même se targuer d’être l’une des rares personnes que l’avocate admirait. Ce fut avec elle qu’elle appris à se défendre : manier les armes à feu, les lames, et avoir de solides bases en auto-défense (faire une prise, désarmer, ...). Pendant les longues journées que la quarantenaire consacrait à s’entraîner, elle crut que ce serait pour se prémunir d’autres Hommes qui viendrait à attaquer leur refuge doré mais en réalité… octobre 2016 lui appris la nature du vrai fléau. Les morts. Une fois de plus, ce fut grâce à Arizona que June surmonta cette épreuve : frapper la tête, atteindre le cerveau, ne pas hésiter… de précieuses indications.
C’était réellement dur pour elle. Une femme habituée à l’élégance et l’éloquence devait apprendre à utiliser la force, à se retrouver dans l’odeur du sang et de la charogne. Pourtant, n’avait-elle pas toujours été quelqu’un de déterminé ? Quelqu’un qui réussit ? Alors elle avait avalé la pilule, non sans demander à son amie Siobhan d’apprendre toute la vérité sur ce qui s’était passé. L’épidémie, la perte de 99% de la population – environ – sans doute l’explication à l’absence de son mari. Le pire, c’était qu’il ne lui avait jamais vraiment manqué. Elle avait conservé son alliance par habitude jusque là mais l’avait enlevée pour soigneusement la ranger l’hiver 2016.
Début 2017, l’avocate ne lâchait rien. L’entraînement, sa relation avec les Chambers, son intégration aux civils « lambdas ». Elle était habituée à discourir, à séduire, alors qui pourrait savoir ce qui se cachait derrière ses yeux verts ? La prise de pouvoir par son amie, Alec et Lawrence ne lui échappa pas mais elle ne protesta pas, ni ne l'ébruita. C’était pour elle la bonne voie, un secret de la couronne. Comme ces animaux que l’on disait dangereux une fois qu’ils avaient goûter au sang, June était à nouveau mordue par l’ambition depuis qu’ils savaient à quel point la situation était hors de contrôle. Il n’y avait plus de loi à suivre mais ils pouvaient faire les lois. Leurs lois.
Encore guidée par une mentalité élitise, elle sortait rarement, estimant que sa vie fallait plus que celles d’autres civils qui avaient choisi de se salir les mains pour leur cause. Toutefois, elle prit part à certaines opérations, pour se montrer sur le terrain, pour l’expérience aussi. Rien de mieux pour savoir de quoi on parlait. En avril, la quadragénaire était là lorsque qu’ils avaient fait brûler une ferme de récalcitrants. En juillet, elle avait participé à l’assaut contre le Garfield Highschool et en novembre, elle était partie en récupération de matériaux avec l’équipe de Ray pour reconstruire la barricade suite au séisme. Plus rien ne la choquait. Dans son ancien travail, elle avait déjà été familiarisée avec les crimes les plus atroces alors aujourd’hui… quand on avait vu à quoi ressemblait le monde – à quoi ressemblaient les gens – ce n’était plus qu’un mal nécessaire. L’attaque de la horde fut terrible mais que dire de plus ? Des gens restaient, d’autres partaient. C’était ainsi.
En novembre et décembre 2017, les oreilles de June furent bien heureuses de tomber sur des bribes de conversations, voire même des civils moins discrets qui lui avaient confié la situation : des rumeurs de contestations, des survivants qui ne se reconnaissaient plus dans la manière de diriger de Benjamin Chambers. On parlait même d’une dispute entre Donovan, qui avait repris la gestion des militaires depuis le décès tragique d’Alec, et l’un de ses hommes. Non sans rien laisser paraître de ses réelles opinions sur la question, l’avocate s’était empressée d’aller avertir son amie de ce qui se passait. Ainsi commençait l’année 2018…
Survie
time to met the devil
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Re: Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:34
MAIS IL EST SERIEUX LUI.
Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
- Yulia Iojov
The Exiles | Right Hand
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Re: Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:35
C'est pas raisonnable ...
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Re: Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:43
Sacha J. Brown a écrit:MAIS IL EST SERIEUX LUI.
Je me pose encore la question =/
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Re: Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:46
Aloha ! Bienvenue
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Re: Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:47
Ooooh xD
Au moins ce personnage sera sans doute plus agréable que Swann xD
En tout cas, j'aime beaucoup l'avatar Bonne fin de fiche (ce qui ne te prendra sans doute pas longtemps)
Au moins ce personnage sera sans doute plus agréable que Swann xD
En tout cas, j'aime beaucoup l'avatar Bonne fin de fiche (ce qui ne te prendra sans doute pas longtemps)
- Invité
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Re: Les empires ne se sont pas bâtis sur de grandes embrassades...
Mer 10 Jan 2018 - 10:48
PAS SÉRIEUX DU TOUT NON !!!
Ceci dit Jessica est sublime !! Bienvenue avec la miss ! =)
Ceci dit Jessica est sublime !! Bienvenue avec la miss ! =)
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