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Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:06


Arleen Charlotte Williams
49 ans Américaine Personnal shopper Issaqua Ranch

i've got a war in my mind


Expliquez ici le caractère actuel de votre personnage.

L’apocalypse quelle plaie. Cela ne sied absolument pas au caractère d’Arleen. Elle est l’archétype même de la non-survivante et c’est à se demander comment elle a pu survivre jusque-là.

Commençons par les défauts …

Arleen est une personne hautaine. Elle a reçu une éducation très bourgeoise et a eu l’habitude que ses parents lui passent tous ses caprices. Aussi elle a une très forte tendance à prendre les gens de haut et à considérer les autres comme des bons à rien incultes et ignares. Elle engagera toujours la discussion en essayant de se placer au-dessus intellectuellement parlant et n’hésitera pas à se moquer des personnes pour leur faire comprendre qu’elle a une intelligence au-dessus de la moyenne. Ce trait de caractère se marie très bien avec sa nature opportuniste et ambitieuse. Elle cherche toujours à se placer dans une conversation ou une situation et à en tirer profit aussi rapidement que possible. Elle a toujours procédé de cette manière tout au long de sa vie et cela lui a plutôt bien réussi jusqu’à maintenant lui procurant une carrière confortable et une réussite qui l’a toujours conforté dans sa façon de faire.

De plus Arleen est extrêmement bavarde. Elle ne s’arrête jamais de parler. Quand elle démarre une discussion elle se sent obligée de parler encore et encore. Cela lui permet d’avoir le monopole de la conversation et d’affirmer son savoir et sa position intellectuelle supérieure. Tout cela a pour conséquence de la faire passer pour une femme superficielle qui ne s’intéresse qu’à des sujets qui ne sont absolument plus d’actualités voir qui ne l’ont jamais été. Elle aime le luxe et le confort et elle ne s’en cache pas.

Dernier défaut et non des moindres. Arleen est une personne lâche. Elle a une peur panique du danger et du risque. Elle ne l’affrontera jamais de face et cherchera toujours à s’échapper ou à fuir si elle en a l’occasion. Son instinct de survie fonctionne ainsi, la poussant à courir plutôt qu’à lutter.

Mais Arleen n’est pas seulement une femme détestable en tout point, elle possède aussi des qualités notables qui équilibre sa personnalité. C’est une femme souriante. Il est très rare de la voir sans un sourire accroché aux lèvres. Elle aime la vie et tous ses plaisirs mis à part les vices comme l’alcool et la cigarette. Mais quoi qu’il en soit elle sourit toujours et profitera de chaque situation agréable qui se proposera à elle. Autre point fort d’Arleen, c’est une femme charismatique. Sûrement le privilège de l’âge et de prendre soin de soi. Elle a une aura qui rayonne autour d’elle qui fait que malgré elle on l’écoute. Elle est toujours présente pour donner des conseils ou converser avec les gens. Elle est consciente que son charisme favorise le fait qu’on l’écoute et cela est encore plus renforcé par le fait que ce soit une femme cultivée. Son adolescence et ses études dans les plus grandes écoles du pays lui ont donné une culture générale conséquente.

Autre gros point fort d’Arleen c’est une femme bosseuse et méthodique. Elle ne rechigne pas à la tâche pour peu que le travail l’intéresse. Elle ne ménage pas ses efforts pour venir à bout d’un boulot et applique une rigueur presque militaire à la manière dont elle le fait. C’est une vraie workaholic. Une de la plus pure espèce. Elle ne compte pas les heures ni les moyens qu’il faut engager quand il s’agit de travail. Force supplémentaire, Arleen est une personne créative dont l’imagination ne cesse de fonctionner à plein régime. C’était aussi ce qui faisait d’elle une excellente personnal shopper. Elle ne manquait jamais d’idées pour satisfaire ses clientes et au vue de la carrière qu’elle a eu cette qualité lui a toujours servi.




and blood on my hands


Expliquez ici les caractéristiques physiques de votre personnage..

Arleen est un petit bout de femme. Sa taille n’est pas très grande, elle peine à arriver à 1m60 et sa carrure est on ne peut plus fine. Elle pèse dans les 48-50 kilos. Elle a de longs cheveux blonds vénitiens qu’elle a pris l’habitude de laisser détachés et dont elle essaie de prendre soin au maximum.

Arleen est toujours bien habillée. Elle porte un tailleur veste-pantalon assorti d’un chemisier blanc. Le tout étant ajusté avec des escarpins. Malgré les temps compliqués et l’apocalypse elle n’a jamais dérogé à cette règle si ce n’est contrainte et forcée quand la situation l’oblige comme devoir courir pour sa vie. De manière générale elle est toujours très apprêtée que ce soit au niveau vestimentaire ou au niveau du maquillage. Elle ne force pas sur les artifices mais elle prend toujours le temps de se mettre un minimum en beauté. Ce n’est pas parce que c’est l’anarchie dehors que l’on doit se laisser aller et perdre ce qui fait de nous une femme.

Arleen fait presque toujours suivre une petite valise dans ses déplacements. Le genre qui rentre en cabine d’un avion. Celle-ci contient tout le nécessaire d’une femme, enfin le strict nécessaire. Un tailleur de rechange, une tenue plus décontractée jean et baskets, une paire de chemisier et de t-shirt et sa trousse de maquillage. Sous ses affaires trône une arme. Un Glock 9mm, avec deux chargeurs, que son père lui a offert pour sa majorité afin qu’elle puisse « faire face à la brutalité de ce monde ». Elle a appris à s’en servir étant jeune après avoir reçu des cours dans un stand de tir de Seattle et c’est donc naturellement que cette arme est devenue son moyen de défense privilégié.

Arleen ne boit pas et ne fume pas. Jamais. Cela donne une image bien trop négative de sa personne et elle ne peut tolérer de dégrader son image qu’elle veut parfaite en tout point. Aussi elle s’abstient de ce genre de chose et elle ne s’en porte pas plus mal.


Expliquez ici l'histoire de votre personnage avant l'épidémie.

Arleen est née le 9 août 1968 dans la banlieue Est de Seattle.

Enfant unique d’une mère avocate et d’un père chirurgien, Arleen a eu une enfance aisée. On ne peut pas dire que grandir dans une immense maison dans un quartier huppé d’une grande ville américaine soit la pire des enfances. Elle a toujours été choyé par ses parents qui cédaient à tous ses caprices de « princesse » mais en exigeant toujours le meilleur d’elle, notamment dans le domaine scolaire.

Elle a reçu une éducation à la hauteur de l’attente de ses parents. Bonnes manières, politesse, respect, toutes les valeurs de la haute bourgeoisie ont été les maitres mots de la petit Arleen tout au long de son enfance et de sa préadolescence. Elle a suivi le chemin qui lui avait été tracé par ses parents qui voulaient qu’elle devienne une notable de Seattle en embrassant la carrière de sa mère ou de son père. Soucieuse de ne pas vexer ses parents, elle a suivi le parcours parfait des études afin d’intégrer avec un an d’avance la faculté de droit de Seattle avant de ressortir quelques années plus tard avec un diplôme d’avocate spécialisée dans le droit à l’enfance.

Mais Arleen n’a jamais réellement choisi cette vie-là et choisi la voie sur laquelle ses parents l’avaient placée. Après être sortie de la faculté, elle a réalisé qu’elle ne souhaitait pas faire le même métier que sa mère et contre toute attente et à l’encontre de l’avis de ses parents elle s’est inscrite à la faculté d’arts de Seattle afin de suivre un cursus de designer de mode, ce qui était en réalité la seule chose qui l’intéressait depuis des années.

Grâce à son tempérament de bosseuse innée, elle décrocha son diplôme assez facilement en sortant première de sa promotion ce qui apporta tout de même fierté à ses parents bien qu’ils ne comprenaient toujours pas pourquoi elle avait fait ce choix.

Après avoir eu son diplôme Arleen intégra une petite société de mode de Seattle dans laquelle elle travailla d’arrache-pied pendant presque 10 ans pour se faire une place dans le milieu fermé de la haute-couture. Mais le fait d’avoir des comptes à rendre à un patron n’a jamais été le fort de la personnalité d’Arleen. Aussi à l’âge de 40 ans elle se décidait à se lancer à son propre compte comme « personnal shopper » et ainsi mettre ses compétences en matière de mode au service de clients fortunés prêts à payer de grandes sommes.

Le succès fût presque immédiat. L’instinct travailleur cumulé à la personnalité méticuleuse d’Arleen firent d’elle une personne incontournable pour les enfants riches de la ville qui cherchaient une identité dans des vêtements hors de prix. Arleen était dans son monde. Parcourir les boutiques à la recherche de vêtements plus chers les uns que les autres et les proposer à des jeunes gamins pour qui l’argent n’a pas d’importance était la chose qu’elle aimait le plus faire. Elle avait ses entrées dans tous les grands magasins de la ville ainsi que dans tous les endroits branchés de la ville.


on the highway to hell


Expliquez ici l'histoire de votre personnage depuis l'épidémie.

Dernier trimestre 2015
Quand les morts se lèvent de leurs tombes


Les violences faisaient rage dans les rues. La situation empirait de jour en jour et Arleen ne comprenait rien à ce qui se passait. Elle ne comprenait pas pourquoi la situation semblait être prise à la légère par les autorités dans les premiers temps. Chaque matin elle allait la peur au ventre voir ses clients, qui se faisaient de moins en moins nombreux il faut le dire. Mais elle continuait à bosser comme toujours sans compter les heures enfin son instinct de survie lui avait quand même soufflé de rentrer à des heures moins tardives que d’habitude. Déjà qu’elle n’aimait pas l’obscurité plus que de raison, s’imaginer au volant de sa voiture de nuit au milieu des rues tout en sachant qu’elle pouvait très bien être la prochaine victime des crimes sanglants qui secouaient la ville ne l’amusait guère.

Arleen était en plein rendez-vous client avec une jeune femme qui devait avoir à peine 25 ans mais qui avait l’avantage d’être riche quand la loi martiale fût décrétée et que la notification fit raisonner son smartphone dans le magasin de luxe où elles se trouvaient. Elle dut relire le texte à plusieurs reprises sur son écran afin de bien prendre en compte l’ampleur de la menace qui planait maintenant sur tout l’état et le pays. Alors que sa cliente essayait sa dix-septième robe elle rangea avec hâte son téléphone au fond de son sac Gucci et la laissa planter seule au milieu du magasin. S’en était beaucoup trop pour elle. Toutes les alarmes de son cerveau étaient au rouge et elle devait clairement se mettre à l’abri là où elle serait le plus en sécurité à son sens, chez elle. Après tout le message des autorités qui tournait en boucle sur les ondes indiquait bien qu’il fallait rester chez soi et ne pas en sortir jusqu’à la fin de cette « crise ».

Plus les jours filaient et plus les nouvelles étaient mauvaises. Cloitrée dans sa maison toutes fenêtres fermées Arleen passait ses journées devant son écran plat fullHD à regarder les mêmes reportages en boucle sur ce qui semblait être un virus qui poussait les gens à se dévorer entre eux. Ces images étaient horrifiques et Arleen bien que révulsée ne pouvait se résoudre à éteindre son écran.

Les premiers camps furent ouverts pour accueillir des réfugiés, la situation semblait totalement hors du contrôle des autorités et bien qu’elle se sentait plus en sécurité chez elle Arleen dut se résoudre à partir de chez elle. Elle n’avait pas eu la présence d’esprit de prévoir des réserves de nourriture et les vivres venaient à lui manquer cruellement, quant à se rationner elle était bien loin de ce genre de concept. Elle n’était pas adaptée à ce genre de monde. C’est donc en prenant le peu de courage qu’elle avait en elle à deux mains qu’elle se décidait à monter dans sa voiture et à foncer au camp de réfugiés le plus proche de son domicile.

Dans le camp la situation semblait un peu plus sereine. Certes il y avait des règles strictes comme le couvre-feu ou l’interdiction de sortir du périmètre mais au moins la présence militaire avait le mérite de la rassurer un minimum et elle se sentait en sécurité toute relative au vue des évènements dans le reste de la ville.

Année 2016 / 2017
Et les cadavres seront sur la place de la grande ville


Arleen n’était clairement pas bien depuis plusieurs semaines. Elle pensait tout au fond d’elle que la situation n’était que temporaire mais cela ne semblait pas être le cas. C’était même tout le contraire d’après les nouvelles quotidiennes. Des camps s’écroulaient un peu partout, un à un et elle se demandait quand serait le tour du sien. Elle ne pouvait pas rester là et attendre que cela lui tombe dessus. Il fallait qu’elle fuit, qu’elle parte dans un endroit plus sûr. N’écoutant que sa peur Arleen rassemblait quelques affaires dans sa valise et se débrouillait pour sortir du camp de jour afin d’éviter toute mauvaise surprise dans les rues.

Elle passait des jours à errer dans les rues et les maisons abandonnées du East Seattle proche de la maison de son enfance mais sans jamais y remettre les pieds. Elle avait peur de tomber sur ses parents enfin sur ce qu’aurait pu devenir ses parents dans l’éventualité que cette « maladie » les ai touchés. Aussi elle passait rarement plus d’une nuit au même endroit et c’était toujours de la même manière, habillée et recroquevillée dans un coin d’une pièce serrant nerveusement son arme de poing en direction de la porte. Elle passait de longues nuits à entendre au loin les cris et gémissements des vivants et des morts, à imaginer les pires situations dans la rue et à se voir attaquée à chaque seconde.

Le jour, elle faisait de rares sorties pour aller trouver de quoi manger le soir même mais elle ne s’aventurait jamais à plus de 10 minutes à pied de son lieu de retraite. Cette période a été la plus dure pour Arleen. Le monde qu’elle connaissait et qui lui avait apporté tant de confort s’était écroulé et l’acclimatation était très compliquée. Plus aucun des plaisirs qu’Arleen avait connu n’étaient de mise maintenant et devenir une survivante était la chose la plus dure qu’elle eut à faire dans sa vie.

La situation allait mieux à Seattle. Pendant de longues semaines le flot de mort semblait quitter la ville et cela permettait à Arleen de « revivre » un peu. La survie était un peu plus facile la menace diminuant légèrement chaque jour. Elle avait perdu du poids pendant de longs mois et elle n’était plus que l’ombre d’elle-même aussi quand l’été arrivait et que les rôdeurs se faisaient moins nombreux ce fut l’occasion pour Arleen de reprendre un peu du poil de la bête. Elle recommençait à sortir faire des excursions de ravitaillements toujours en usant de prudence et sans prendre aucun risque.

Elle passait plus d’une année à errer, en fouillant chaque magasin et chaque maison qu’elle savait abandonnée. Son quotidien se résumait à fouiller les poubelles pour y trouver de quoi tenir jusqu’au lendemain. Elle se détestait et détestait encore plus ce qu’était devenu sa vie depuis cette satanée « apocalypse ». Elle fuyait toujours et encore, n’osant jamais approcher le moindre groupe qu’il soit vivant ou « mort », elle avait bien trop peur pour sa vie pour se permettre de croiser qui que ce soit, elle se remémorait sans cesse les images de pillages et de violences qui avaient rythmées le quotidien de tout Seattle depuis plus de deux ans.

Elle s’était réfugiée vers l’Est de Seattle dans un secteur qui semblait beaucoup plus calme que le reste de la ville et avait élu domicile dans une petite maison d’un quartier résidentiel qui semblait ne pas être trop fréquenté de ce que certains appelaient les « rôdeurs » ou les « marcheurs ».

Dernier trimestre 2017 / Premier trimestre 2018
Dieu jugera le juste et le méchant, car il y a là un temps pour toute chose et pour toute œuvre


Cela faisait plusieurs mois qu’Arleen vivait dans cette petite maison et les seules sorties qu’elle menait étaient destinées à se procurer un peu de nourriture et d’eau. Elle était obligée de multiplier les sorties car la conservation des aliments qu’elle trouvait trainant dans des poubelles ou de vieux réfrigérateurs n’était pas optimale. Elle ne sortait que le jour. Depuis le début de tout cela, sa peur de la nuit n’avait fait que grandir et il était hors de question qu’elle mette le nez dehors dès le soleil couché. Elle passait ses soirées à feuilleter de vieux magazines de mode, se rappelant son ancienne vie et son ancienne carrière sous le feu des projecteurs de la haute couture. Arleen était envahi de nostalgie à chaque fois qu’elle redécouvrait sur le papier glacé d’un Vogue les photos de mannequin portant des vêtements hors de prix.

A plusieurs reprises elle avait entendu des véhicules qui passaient non loin de son quartier et à chaque fois elle avait prié le ciel que ceux-ci ne s’arrêtent et la laissent en paix dans sa cachette de fortune.

Lors de sa dernière excursion pour trouver quelques vivres elle dans une maison qu’elle avait repérée quelques jours auparavant, elle était tombée nez à nez avec la famille qui devait habiter là. Ils étaient loin d’être vivants et alors qu’elle fouillait méticuleusement la cuisine elle fut surprise par le « père » de famille qui essayait de se jeter sur elle pour la dévorer. Prise de peur et de panique Arleen fit comme à son habitude. Elle prit les jambes à son cou et détalait en dehors de la maison pour échapper une fois de plus à la mort. N’écoutant que sa lâcheté elle traversait le jardin à grande enjambée avant de sauter par-dessus la muraille qui servait de clôture à cette habitation. Malheureusement pour elle, son empressement cumulé à la trouille qu’elle avait firent qu’elle se réceptionnait mal au sol et réalisait une chute assez sèche dans laquelle elle se luxait l’épaule.

Retenant un cri de douleur pour ne pas attirer le père et le reste de la famille de cadavre vers elle, elle s’adossait au mur en faisant le moins de bruit possible. Impossible pour elle de repartir pour le moment, la douleur de son épaule lui faisant extrêmement mal à chaque mouvement elle dut se résoudre à attendre de longues heures, seule.

La nuit commençait à tomber lorsqu’une fois de plus Arleen entendit un véhicule se rapprocher d’elle. Fermant les yeux elle se mit à prier pour que le véhicule ne soit que de passage et lorsqu’elle entendit les claquements de porte résonner elle sut que c’était la fin. Elle n’était qu’à quelques centaines de mètres de sa planque et elle se maudissait d’avoir eu l’imprudence de sortir sans son arme. Comment avait-elle pu avoir un excès de confiance pareil après tant d’années dans cet Enfer ? Se recroquevillant sur elle-même Arleen ne vit même pas les hommes se poster devant elle …

« Et alors ma p’tite dame … on a oublié de se réveiller de la sieste »

La voix semblait douce mais méfiante à la fois. Ouvrant les yeux, Arleen découvrit trois personnes, armées, mais qui n’avaient pas l’air d’être une quelconque menace pour elle. Les suppliant de ne pas lui faire du mal elle fut surprise par la bonté dont ils firent preuve en cette fin d’après-midi et après avoir l’aidé à se relever ils lui donnèrent à boire et prirent le temps de mettre son bras en écharpe avant de la reconduire chez elle pour lui permettre de rassembler ses affaires. En l’espace de moins d’une heure Arleen avait vu un éclair de lumière et de bonté dans la noirceur de ce monde dans lequel elle survivait tant bien que mal depuis deux ans. Ils lui avaient proposer de les suivre jusqu’à un endroit « sûr » où elle pourrait rencontrer d’autres personnes et se remettre de sa blessure, un ranch dans l’est de Seattle.

Ainsi donc il restait des camps de survivants, ainsi donc tout espoir n’était pas perdu pour l’humanité. Quel autre choix avait-elle si elle voulait retrouver un semblant de vie et de prestance ? C’était l’occasion rêvée de se remettre en partie en selle.

time to meet the devil

• pseudo › Lieenah
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• et vous le trouvez comment ? › en général en tapant l’adresse dans mon navigateur …
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• code du règlement › C’est le schtroumpf qui schtroumpf du schtroumpf avec un schtroumpf de schtroumpf !
Non bon plus sérieusement : - OK Shun
• crédit › de la bannière et du gif, écrire ici
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fiche (c) elephant song.
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Re: Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:06

Rebienvenuuuuuue! Very Happy
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Re: Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:10

Merchiiiiiiiiiiiiiiiii
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Re: Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:11



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Re-bienvenue ! Bon courage pour la suite de ta fiche ! Razz


P.S. : On sait tous qu'il n'y a pas que l'apocalypse qui "sucks" hein :111:
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Re: Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:14

Jonathan Good a écrit:P.S. : On sait tous qu'il n'y a pas que l'apocalypse qui "sucks" hein :111:

Je sens que ça va être très long cette histoire ... Embarassed
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Re: Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:20

Aileen C. Williams a écrit:
Jonathan Good a écrit:P.S. : On sait tous qu'il n'y a pas que l'apocalypse qui "sucks" hein :111:

Je sens que ça va être très long cette histoire ... Embarassed

OH MERDE, tu m'as tué Jon :smile1: :smile1:
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Re: Apocalypse sucks ...

Lun 9 Avr 2018 - 15:22

xDD

Rebienvenuue ! o/
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Re: Apocalypse sucks ...

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