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Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 1:52
20 ANS ≡ AMÉRICAINE ≡ ANCIENNE ETUDIANTE ≡ TRAVELLERS
Etre un Piltover, ce n'est pas être n'importe qui. En tout cas, c'est ce que répétait papa. Papa ... Même après tout ce temps, l'exigence qu'il m'avait inculqué - envers moi autant qu'envers les autres - était encore aujourd'hui très importante pour moi. Je ne pouvais m'empêcher de garder mes bonnes manières, celles des grandes et traditionnelles familles bourgeoises du pays. J’étais bien élevée, et je le resterai, fin du monde ou non. Une fille devait être précieuse, cultivée, et respecter ce que l'on attendait d'une femme de haut rang. La culture, bien qu'obligatoire selon les Piltover, était aussi une passion chez moi, et lire les traités de philosophie et autres recherches historiques étaient pour moi une activité délicieuse. Grâce à Dieu, j'étais également naturellement charismatique, ce qui faisait que j'excellai dans l'art d'être une petite fille modèle. Des fois, les incultes me traitaient de princesse, insupportablement prétentieuse. Je n'en avais que faire, de toute façon pourquoi ne pas montrer aux autres toutes mes qualités, puisque j'en avais autant ? J'avais raison, point barre. Ah voilà, vous pouvez rajouter têtue et caractérielle à la liste de mes traits de caractère.
Puis tout est parti en ... Comment rester polie dans cette situation ? C'est parti en couille, un point c'est tout. L'enfermement, les morts-vivants, et moi qui n'avais jamais rien vu d'autres que des livres et des buffets luxueux. J'étais totalement inexpérimentée à la survie. Je ne savais rien faire, mais je n'étais pas stupide. Je l'avais promis à papa, je me débrouillerai quoi qu'il arrive. Je deviendrai opportuniste et survivrai en toute situation. Tenace comme je suis, je ne lâcherai rien.
Suis-je belle ? C'était une question que je m'étais souvent posée, encore et encore, sans vraiment trouver une réponse qui me convenait réellement. Je n'étais certainement pas un boudin, certes, mais de là à dire que j'étais belle, c'était différent non ?
Même aujourd'hui, où seuls ces ... zombies pouvaient me voir, je me posais la question. J'étais une petite brune aux yeux en amande et au teint blanc. Trop blanc, diraient les diktats de la mode d'Instagram - du moins au temps où nous pouvions encore utiliser nos réseaux sociaux - mais j'appréciais ce teint de porcelaine, qui sur mon visage encore arrondi par l'enfance me donnait un des airs de duchesse française de la Renaissance. Mon corps, déjà fin il y avait deux ans, était aujourd'hui des plus maigres. Une maigreur maladive, due à une sous-alimentation, mais une maigreur qui ne me dérangeait pas. De toute manière, sous le gros pull de laine que j'avais mis tout l'hiver, personne ne voyait mes côtes saillantes. De toute façon, personne ne me voyait plus, dans ce monde. J'avais récupéré une énorme veste de garde-chasse au motif militaire, qui m'engloutissait mais me cachait et me réchauffait l'hiver. En bas, c'était un leggings que je portais la plupart du temps, même si je pillais très souvent les gardes-robes de maisons abandonnées, qui, à la différence de la nourriture, étaient souvent laissés par les autres survivants.
Ces autres survivants ... Je ne voulais pas tellement les connaître. Dans ce nouveau monde, il ne fallait compter que par soi-même. Alors certes, quand je croiserai d'autres personnes, je serai prétendument amicale. Mais je me méfie toujours de la noirceur de l'âme humaine. C'est pourquoi, toujours prêt de moi, je gardais cette arme de collection que j'avais récupéré de mon père. Un Brooklyn Firearms Slocum, revolver de collection du XIXe siècle, seul réel objet que je gardais aujourd'hui de mon paternel. Je ne savais certes pas réellement m'en servir, mais je pouvais au moins faire semblant. Et puis il me restais deux cartouches de balles, enroulées dans un plaid dans un sac à dos que j'avais récupéré, et qui était inlassablement agrippé sur mon dos.
Droiture, respect des bonnes manières, et toujours le dos droit.
Et le sourire, très important le sourire. Même faux-cul.
D'aussi loin que je m'en souvienne, j'avais été élevée dans la plus grande tradition de la famille Piltover. Dès l'âge de quatre ans il me semble, j'étais déjà désabusé du comportement de la classe moyenne, n'aspirant qu'à la grandeur à laquelle mes parents m'avaient habitués. San Francisco avait beau être reconnue comme la ville de toutes les excentricités, il restait quelques traditionalistes prêts à défendre les valeurs de l'éducation stricte et raffinée. Mon père était était mon protecteur, et ma mère mon idole. Déjà petite, je savais reconnaître les hautes gens.
Fille unique, j'ai grandi et je le reconnais dans un luxe à en faire pâlir d'envie plus d'un. Ces jalousies, je n'en avais que faire, et à vrai dire je me frottais rarement aux bas peuple. Non pas que je les dénigre – quoi que – mais j'avais été habituée à l'école privée, les fréquentations culturellement et monétairement très élevées, et ce pendant toute une enfance que je pourrais qualifier de privilégiée. Mon cercle d'ami ne se résumait qu'à quelques héritiers de l'élite de l'ouest américain, mais il m'a rapidement été inculqué que mieux valait peu d'amis mais d'une qualité de diamant, plutôt que toute une cour en toc. Ma meilleure amie Gladys ainsi que mon adorable voisin Kentucky formaient, avec moi, le trio de l'année 1997, prêts à conquérir le monde. Mon anniversaire était d'ailleurs le 2 novembre, au lendemain de la fête des morts. J'y voyais là le symbole de la renaissance.
Alors oui, je vais passer pour une petite privilégiée profondément détestable, et je peux comprendre cela. Néanmoins, j'y ai appris la valeur de la connaissance, l'égalité, les grandes questions historiques et philosophique, ainsi que l'importance de se battre pour ses valeurs. Je revendique les mêmes droits pour tous, la protection de l'environnement, et la transparence politique. Si à dix-huit ans j'ai réussi à entrer à Yale, ce n'est pas grâce à l'argent, mais grâce au travail acharné que j'ai effectué. Les lettres, en voilà une bien belle carrière selon moi. Si ma vie semblait toute tracée d'un fil d'or jusqu'à une réussite professionnelle et sociale, c'était grâce à ma ténacité. J'étais une jeune femme en pleine éclosion, concentrée sur ma vie depuis toujours, esquivant les histoires puériles avec les garçons dragueurs et les crêpages avec les filles jalouses. J'étais victorieuse. Et seule une catastrophe planétaire pouvait empêcher cela.
Oh ?
Je ne saurais pas réellement dire comment tout a commencé. A vrai dire, je préférais oublier. C'était en octobre 2015. A Yale, les gens s'amusaient à montrer des vidéos de gens maquillés comme des morts déterrés qui se jetaient sur les passants, pure perte de temps. Encore un moyen de faire du buzz pour un nouveau film d'horreur, avais-je analysé, perspicace. Puis père m'avait appelé.
Ce n'était pas bon signe.
D'ailleurs, il m'ordonna de rentrer immédiatement.
Je pris alors l'avion pour San Francisco, sans prendre toutes mes affaires, et ce ne fut que le lendemain que le grand public se mit à paniquer. Une seule journée d'avance, grâce aux contacts de haut rang de la famille, nous avait permis de faire d'immenses réserves d'eau, de nourriture et d'autres objets de première nécessité. Sur le moment, je ne compris pas tout de suite pourquoi les adultes avaient autant pris de nourriture. C'était une véritable montagne de provisions. Enfermés dans le bunker de la famille voisine – heureusement que nous avions des voisins riches et paranoïaques – nous étions alors prêts à affronter les quelques mois d'horreurs, tapis sous terre.
Mais ce ne fut pas quelques mois …
Nous étions six. Mes parents, le couple Fizernopf d'à côté dont nous étions de très proches amis, ainsi que leur fils Kentucky, de deux ans mon cadet. Ce fut incroyablement long, ces mois dans cette pièce d'une vingtaine de mètres carrés, à manger de la nourriture en boîte et compter les réserves d'eau. La radio, qui aurait du marcher grâce à des fils traversant la terre pour capter des ondes satellites à la surface, ne marcha cependant que très peu de temps. Que se passait-il en haut ? Ma mère devenait de plus en plus folle, entraînée par le tempérament paniqué de Mrs Fizernopf ; tandis mon père, un homme incroyablement courageux et calme, s'enfermait dans les comptes et les recomptes de nos réserves. Kentucky était un soutien de taille pour nous tous, mais je sentais son moral s'effriter de semaines en semaines. Un jour, je l'entendis dire « C'est comme si nous étions déjà dans un cercueil, là sous terre, prêts à mourir ». Bien qu'éduquée aux bonnes manières, je lui avais retourné une gifle monumentale. Paniquer c'était user de l'énergie pour rien.
Nous avions décidé de ne pas sortir tant que les ondes radio ne fonctionnaient pas. Car si le problème était un problème sur le réseau mondial, mieux valait ne pas sortir en l'absence de nouvelles. Cela nous rendait fou, n'imaginez pas le contraire.
Alors, pour pallier à cela, je m'occupais à compter les jours, entretenir un calendrier, écrire un journal de bord, et m'obstinai à fêter tout ce qu'il fallait fêter. Thanksgiving, Noël, le jour de l'an. Je ne laissais pas tomber. Une année était passée, et la situation ne changeait pas. Au contraire, tout le monde semblait sur le point de craquer.
Tout le monde sauf moi, toujours à regarder la montre et tenir mon calendrier.
C'est pourquoi, je savais que le jour qui marqua le tournant le plus dramatique de mon existence fut le 30 mai 2017. Nos réserves étaient quasiment épuisés. Une réserve même aussi conséquente que la notre, ne suffisait pas à tenir plus d'un an et demi de survie à six. Alors père décida de sortir. Nous étions en train de mourir de faim, car après autant de temps à l'intérieur de ce bunker, les réserves étaient épuisées. La montagne de nourriture qui m'avait tant impressionné il y avait dix-neuf mois me semblait alors très loin. Et mon estomac grondait. Heureusement, il y avait un système du cuve sous la maison qui abreuvait le bunker en eau courante. Froide, certes, mais potable. Nous ne savions d'ailleurs pas pour combien de temps cela pouvait durer, c'était donc la raison de cette sortie.
Armé de son pistolet,mon père s’apprêtait à savoir ce qu'il se passait dehors. Kentucky l'accompagna.
Lorsqu'ils revinrent, ils n'étaient pas seul.
Jeal. C'était comme cela qu'il s'appelait. Il était terriblement maigre, terriblement sale. Avec son récit, nous apprîmes que le monde était dévasté, et que des monstres à moitié humains tuaient quiconque tentait de survivre ; Il n'y avait quasiment plus personne sur terre. Ses quelques vivres, des fruits, nous firent comprendre qu'à partir de maintenant, pour manger, il allait falloir risquer sa vie. Père décida d'accueillir cet homme, touché par l'horreur qu'il avait traversé, totalement seul.
Nous n’eûmes même pas le temps de s'organiser pour chercher à manger. La première nuit passa, tout devint un enfer.
Un coup de couteau, mais je dormais. Dans le cœur. Plus de Mr Fizernopf.
Un second coup. Plus de Mrs Fizernopf.
Lame dans le cœur. Plus de mère.
« Non ! »
Je fus réveillée par un poids qui me tombait dessus. Ils se battaient ! Je ne savais qui, il faisait terriblement noir dans ce bunker. « Cours ! » J'allumai la lumière, et remarquai trois corps qui baignaient dans le sang. Puis un coup me sonna, tandis qu'un bras me tirait en m'arrachant l'épaule. « C'est l'inconnu ! Il veut nous buter ! » avait crié Kentucky. Puis il y eut un bruit atroce, je compris que quelqu'un d'autre était mort. Jeal était en train de faire un carnage, le monde extérieur devait l'avoir rendu fou. Mes inventaires faits et refaits depuis tout ce temps firent echo dans ma tête ; L'arme de mon père. Il fallait que je la récupère, je savais où elle était. D'ailleurs, je connaissais tout par cœur ici. J'éteignis alors la lumière, plongeant les autres dans l'inconnu du noir. Je me levai ensuite, en mettant un grand coup à tous ses corps vivants ou non devant moi, pour me précipiter vers le lit de mon paternel. J'attrapai vite l'arme et la tendit, tout en rallumant la lumière.
Puis je tirai. Juste devant moi, il était si près que je ne pouvais le rater.
Jeal s'écroula, et rejoignit tous les autres dans l'autre monde.
« Tout le monde est … » la voix de Kentucky se brisa. J'essayai de le prendre dans mes bras, mais je n'en avais plus la force. Nous restions là, silencieux, baignant dans le sang.
Nous avions dû partir, quand nous remarquâmes que nos parents se mouvèrent de nouveau. Alors c'était donc ça, les monstres dont parlaient Jeal ? Ces "morts pas morts" ...
Les semaines passèrent, les mois aussi, et peu à peu j'eus l'impression d'en devenir un aussi, de "mort pas mort". Je n'arrivais plus à dormir, je ne mangeais presque plus, et Kentucky n'exprimaient rien d'autre que de la peur. Il m'apprit à conduire, et nous quittions la ville pour les campagnes plus au nord. Moins de densité, donc moins de chance de croiser des "morts pas morts".
Ce n'était pas bête, jusqu'à la grande marée. Ils étaient des milliers. Des "morts pas morts" de partout. Et nous fûmes séparés. Je réussis à prendre la voiture, mais aucune trace de Kentucky. Je conduisais très mal, ne savait pas me repérer ni savoir quoi manger dans la nature, et mon corps ne me tenait presque plus. J'étais seule. Seule. Seule seule seule. Et en train de virer folle ? Non, il n'y avait pas intérêt ! Je ne permettrai à personne, encore moins à des trucs même pas humains, je me rendre cinglée. Nous étions alors le 2 novembre. Bon anniversaire Ornacia.
Comment pouvais-je être encore vivante ?
« Tu es une vraie teigne », m'avait un jour dit Kentucky. « Toi et ton sale caractère, vous pouvez tout vaincre. Je sais que tu ne lâcheras jamais ». Qui sait, il avait peut-être raison.
L'hiver passa, je ne savais même pas comment je survivais. Je passais trois mois dans la cave d'une ferme isolée, où je mangeais les derniers restes entassés et m'abreuvais de vin. Beaucoup de vin. L'ivresse me couvrait d'une sécurité mensongère. Depuis Kentucky, je n'avais croisé aucun être humain. Depuis le début de l'épidémie, le seul inconnu que j'avais vu était Jeal. Et je l'avais tué. Étonnement, l'avoir tué ne m'avait absolument pas dérangé. C'était tellement ... Naturel pour moi dans cette situation que d'exploser la cervelle de celui qui avait abusé de la compassion de quelques survivants pour les trucider. En y repensant, j'aurai carrément dû l'attacher et le laisser se faire dévorer par les "morts pas morts". Abruti.
Ma témérité semblait aujourd'hui se muer en une froideur atroce. Le vin avait peut-être grillé mon cerveau d'ailleurs. Le printemps revenant et les dernières bouteilles de ma cachette se vidant, il allait falloir se mouvoir. Adieu, cette hibernation alcoolisée. En sortant, je découvris encore l'horreur de l'extérieur. Une fois, un monstre faillit avoir raison de moi,et je remarquais que lui tirer dans la jambe n'y faisait rien. Ces bêtes semblaient increvables, en tout cas je pus m'enfuir mais ne sus jamais comment venir à bout de ces "morts pas morts". Le printemps était là, les oiseaux aussi, mais toujours aucun être humain sur mon chemin.
Seule, je rejoignis la ville de Seattle. J'avais dit à Kentucky qu'il fallait retrouver un lieu où les gens survivaient. Il fallait que je trouve des gens avec qui survivre; Le bunker m'avait sauvé du début de cette apocalypse, puis Kentucky s'était battu quelques mois à mes côtés, puis je m'étais de nouveau terrée sous la surface pour abuser d'une cachette offerte par le bon Dieu. Il fallait que je trouve des intellectuels. Pour trouver une solution contre cette infection qui détruisait le monde. Seattle était la ville la plus proche de ma position. En voyant la ville au loin, je ne savais si elle était une bonne chose pour moi ou non. Le revolver dans ma poche, j'essayais de me convaincre que j'étais prête. Nous sommes à l'orée de l'été 2018.
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Anya Taylor-Joy • <bott>Ornacia Piltover</bott>
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Re: Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 2:30
Le début de ta fiche me fait penser à LoL ... (Bien que je préfère Bilgewater, parce que MF mais bon o/)
Bienvenue à toi ! , bon courage pour la suite de la rédaction !
Bienvenue à toi ! , bon courage pour la suite de la rédaction !
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Re: Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 7:59
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
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Bienvenue parmi nous !
Bon courage pour la rédaction de ta fiche ^^
Si tu as des questions n'hésite pas à les poser le staff est là pour y répondre o/
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Re: Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 8:04
Sarah Miller a écrit:Le début de ta fiche me fait penser à LoL ... (Bien que je préfère Bilgewater, parce que MF mais bon o/)
Caitlyn est tellement plus cool que Miss Fortune que je ne commenterai même pas
Bienvenue à toi Ornacia ! Bonne rédaction de fiche
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Re: Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 8:27
Bienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche
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Re: Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 8:43
Bienvenue !
Bon courage pour la suite de la rédaction de ta fiche
Bon courage pour la suite de la rédaction de ta fiche
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Re: Ornacia ≡ The question is how, not why.
Mer 23 Mai 2018 - 9:00
Bienvenue ici señorita, puisses-tu être inspirée pour la rédaction de ta fiche
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