S'il y avait une seule chose que l'on pourrait dire sur Markus, il s'agirait probablement du fait qu'il semble vivre dans un autre univers. Toujours au fond de sa bulle protectrice, il n'était pas rare autrefois de le voir dans un livre, sur un ordinateur ou simplement dans son imagination. Cette tendance pour l'homme d'être toujours dans un autre monde lui aura valu plusieurs troubles anxieux et sociaux. Il n'arrive pas vraiment à ce faire des amis et lorsqu'il est en compagnie d'autre personne, il est très difficile pour lui de ne pas imposer un malaise par son silence ou par des commentaires qui peuvent paraître déplacés. Pour en ajouter une couche, il est d'humeur très changeante, passant de période où il cherche la compagnie, au désir de solitude et il a la mauvaise manie de corriger les gens sur chaque fois qu'ils émettent de fausses informations. Cette manie provient du simple fait que Markus est un génie, et son intelligence supérieure ainsi que son imagination débordante le rend difficile d'approche. Malgré tout, il s'agit d'une personne très généreuse, qui ferait tout pour être accepté par les autres. De ce fait, il fait de son mieux pour être coopératif et s'intégrer avec la populace. Toutefois, même s'il sait suivre le groupe, il se montre têtu lorsqu'il a une idée en tête, et suivra ses méthodes coûte que coûte, peu importe l'opinion d'autrui. Finalement, l'intelligence de l'ingénieur couplée à son imagination et à une certaine expertise avec ses mains, font de lui un homme aux aptitudes multiples.

→ qualities.
Généreux
Intelligent
Méthodique
Coopératif
Imaginatif
Polyvalent → flaws.
Anxieux
Obstiné
M. Je-sais-tout
Asocial
Lunatique
Malaisant

L'ingénieur a la corpulence typique d'un « Nerd », c'est-à-dire qu'il est plutôt chétif et qu'il a une taille plutôt dans la basse moyenne des hommes, 1m72. Il est généralement vêtu d'un jean en taille haute, et d'une chemise aussi boutonnée trop haute, laissant l'impression qu'il est toujours un peu coincé. Sa tête est couverte d'une « touffe » de cheveux frisés impossible à peigner autrement et son visage affiche une quasi-absence de pilosité comme s'il n'avait pas encore atteint la puberté malgré son âge. Alors que ses yeux bleus sont probablement son seul charme, son regard est généralement fuyant et il garde très peu de contact direct avec celui de quelqu'un d'autre. Dans sa fuite des derniers instants de son dernier groupe, il a tout de même réussi à s'équiper d'un sac à dos contenant une gourde d'eau, un poignard avec garde pour protéger les doigts, un harmonica, un briquet, des tournevis de précision, des lunettes de vue nocturne et un fusil de précision attaché à son épaule. En plus de cet équipement, Markus conserve toujours une vieille pièce de monnaie avec laquelle il joue nerveusement lorsqu'il sombre dans ses pensées. L'homme manque cruellement de vivre depuis qu'il est seul en nature, et se trouve sur le point de mourir de faim.

Le 1er septembre 1988, un jeune garçon en bonne santé naissait dans la ville de Surrey, en banlieue sud de Vancouver, au Peace Arch Hospital. Son père était malheureusement absent au moment de sa naissance, comme il sera une bonne partie de sa jeunesse. Sa mère était une jeune femme de vingt-deux ans intelligente qui avait abandonné ses études en sciences natures afin de fonder une famille avec un militaire de huit ans son ainée. Celui-ci était, à son grand désespoir, très souvent basé à l'étranger et il ne passait que très peu de temps en compagnie de sa nouvelle famille, jusqu'à ce que la maladie frappe sa pauvre épouse. Markus n'avait encore que trois ans lorsqu'elle apprit le diagnostique de cancer, et malgré son jeune âge, elle décéda seulement un an plus tard alors que celui-ci était déjà généralisé. Elle s'éteignit sans son mari, qu'il dût abandonner sa carrière militaire afin de prendre soin de son fils. D'ailleurs, l'homme en voudra toujours à son jeune garçon, comme s'il était la raison de tous ses malheurs, avait-il simplement voulu d'un enfant ou avait-il engrossée sa femme pour la rendre heureuse dans ses moments de solitude ? Encore, aujourd'hui, l'ingénieur se posait la question, sans toutefois pouvoir y répondre, car il avait depuis longtemps coupé les ponts avec son paternel.

À vrai dire, ça n'avait pas été un mauvais père. Il avait prodigué de tout à son fils, lui avait payé de grandes études, l'avait plutôt soutenu dans tous ses besoins et toutes ses passions, mais il avait été un homme très dur. Sans jamais avoir levé la main sur sa progéniture, il avait été d'une violence psychologique plutôt malsaine, allant jusqu'à dire à son enfant qu'il n'aurait jamais dû naître, qu'il était une déception et qu'il ne serait jamais l'homme que lui-même était.

Markus soufra de cet abus la majorité de sa vie. C'était déjà une personne destinée à être un peu renfermé sur lui-même, mais l'attitude de son père à son égard n'eut pour effet que de l'enfermer dans cette bulle qui chassait toutes interactions sociales. Inutile de vous dire qu'à l'école, il n'était pas l'intimidateur, mais l'intimidé, toujours dans un bouquin, sur un dessin, dans la musique ou dans la lune simplement, il n'avait aucun ami. Vers l'âge de 8 ans, le futur ingénieur développa une passion pour le fonctionnement des choses, et cela énervait encore plus son géniteur, qui lui hurlait dessus chaque fois qu'il découvrait que son fils avait démonté et "amélioré" le grille-pain ou tout autre appareil du quotidien. Son père aurait pourtant dû être fier de lui, car celui-ci avait développé son intérêt à voir celui-ci bricoler et "jouer" avec divers outils de le garage, pour une seule fois l'enfant avait voulu "faire" tout comme son paternel. À travers cette passion, son intelligence et son ingéniosité, le jeune geek survit à l'adolescence et grâce à ses notes impressionnantes, il obtient une bourse pour étudier à l'université d'Alberta en ingénierie électrique. Il déménage dans la province des grandes Prairies à l'âge de 19 ans où il passera la suite de ses études. Habitant pour la première fois sans son père, il est de plus en plus solitaire, se concentrant sur ses études sans se lier d'amitié avec d'autres élèves de sa cohorte, bien que plusieurs autres étudiants tentent de l'approcher, uniquement pour profiter de sa facilité d'apprentissage et ses travaux parfaits.

Il sort de l'université à 24 ans avec une maîtrise en génie électrique en poche, et trouve du travail pour une grosse firme de Vancouver. Il y travaille un an avant de décider de redresser sa carrière, s'ennuyant à mourir sans stimulation manuel. Ironiquement, malgré sa grande intelligence, il lui faut pouvoir toucher les objets, les manipuler, les entretenir. Il trouve un poste en électromécanique dans l'usine Boeing de Seattle, et malgré qu'il n'a pas réellement les qualifications requises, il apprend sur le tas avec l'aide de ses collègues. Il y déménagera seul, et coupera les ponts avec son père à ce moment, alors que celui-ci ne pouvait pas croire que sa progéniture abandonnait une carrière prometteuse dans le génie. Son désir et sa capacité exceptionnelle d'apprendre le propulsent rapidement dans l'estime de son patron, et il obtient un poste à temps complet en 2012. Il y travaillerait probablement encore à ce jour, si le destin l'avait bien voulu. Bien qu'il a enfin tissé quelques liens cordiaux avec ses confrères de travers, il ne participe à aucun évènement avec eux, il passe la majorité de ses soirées seul à son appartement, le nez dans des livres, ou sur son ordinateur. Pour beaucoup, il semble passer à côté de l'essentiel de la vie.

Octobre 2015, ce mois fatidique où le destin de millions, voir de milliard de personnes bascula. Pour l'ingénieur, il en sera de même que pour la majorité des citoyens typiques de Seattle, le mois débuta calmement jusqu'à ce que des informations commencent à glisser à travers les mailles des autorités. Déjà en septembre, Markus était obsédé par tous les rapports d'incidents et les vidéos étrangent qui apparaissaient sur l'internet, mais malgré tout, malgré sa nature plutôt imaginative, il avait du mal à croire qu'il s'agissait réellement de la fin de toute chose, la fin d'une époque, celle qui amènerait l'humanité au bord de l'extinction. De plus, à ce moment, il était loin de s'imaginer qu'il pourrait avoir le profil de survivre au travers. Il poursuivit tout de même son train quotidien, jusqu'au 19 octobre 2015, jour où la loi martiale fut imposé sur les habitants de Seattle, ce jour où la présence militaire fut si renforcée en ville que le jeune homme n'eut d'autre choix de se rendre à l'évidence. Sauf pour se nourrir, Markus n'avait pas réellement besoin de sortir de chez lui, il fit donc les provisions appropriées, bien qu'il ne semblait pas le seul à vouloir faire de même et que les tablettes des super-marchés commençaient déjà à se vider, il se barricada finalement chez lui comme plusieurs autres survivants.

Le survivant resta chez lui jusqu'à la mi-novembre 2015, acceptant peu à peu que la situation ne se résorbait pas. Ses réserves de nourriture baissaient, et ses dernières sorties l'avait fait se frapper à des magasins vides, il lui faudrait trouver une autre façon de survivre où il allait simplement mourir de faim à l'intérieur de son appartement. À dire vrai, chacune de ses sorties se soldait par un échec, l'homme avait peur de mourir malgré qu'il ne semblât pas, à première vue, être un amant de la vie. Il n'était proche de personne, il avait même coupé contact avec son père depuis longtemps, alors la possibilité que les gens qu'il ait connu soit maintenant des rôdeurs ne l'affectait pas vraiment. Toutefois, il ne savait pas du tout comment survivre face à ses cadavres ambulants et il se contentait de fuir ou de se cacher lorsqu'il en rencontrait. Autant dire qu'il les craignait et qu'il pensait qu'il ferait tout le nécessaire pour survivre.

Markus avait passé le reste de son temps sur l'internet, du moins jusqu'à ce qu'il perde la connexion. Passant d'un forum à l'autre, d'une vidéo d'incident à une autre, il nota les diverses informations et rumeurs sur des campements en ville. À la fin novembre, il se déplace donc pour Harbor Island, le campement le plus prêt de chez lui qu'il avait noté à travers les rumeurs du web, et y découvre un endroit protégé par les militaires. L'emplacement est stratégique, car l'endroit est entouré d'eau et il est simplement possible d'y accéder par Seattle Bridge, sans compter les nombreuses installations maritimes et les hangars qui servent à la fois de dépôt et d'endroit pour y placer les survivants. Markus y passera l'hiver, plutôt solitaire, jusqu'à ce qu'une jeune militaire de 3 ans sa cadette du nom d'Aélia s'approche de lui et tente de se lier d'amitié avec l'homme. La nature calme et renfermée de l'ingénieur inspire la jeune femme qui passera de plus en plus de temps en sa compagnie lorsqu'elle est libérée de services.

L'hiver a été rude pour la majorité des survivants, bien que stratégique, Harbor Island n'était pas dans une excellente position pour la survie hivernal. La proximité de l'eau rendait le climat encore plus glacial et les entrepôts n'étaient pas isolés, ils n'avaient pas été pensés ainsi. Heureusement pour eux, la majorité des générateurs de secours tiennent suffisamment longtemps pour amener la majorité d'entre eux au bout de la saison froide. Les plus faibles et vulnérables périssent, et ils découvrent trop tard qu'il n'est pas nécessaire d'être mordu pour revenir. D'autres périront dans les différents incidents et les cadavres seront alors rapidement jeté à l'eau afin de s'en débarrasser avec le courant. Les incidents se multiplient rapidement à travers le camp, certaines personnes ne veulent pas laisser les autorités se départir de leur famille et cachent donc la maladie et la mort de leur proche.

En mai 2016, le camp tomba aux mains des rôdeurs et, grâce à Aélia, Markus s'échappa en compagnie de deux autres militaires et d'une vingtaine de civils. Ils marcheront pendant des jours vers le sud, semblant pratiquement être poursuivi par une horde de rôdeurs, qui s'exilaient de la même façon qu'eux de la grande agglomération de Seattle. Marchant et s'arrêtant lorsqu'ils le pouvaient, ils étaient sans cesse repoussés vers le sud par des quantités incroyables de morts, perdant sur la route deux autres réfugiés. Ils finirent par s'installer dans un endroit stable, à Seabury School en bordure nord de Tacoma, juin 2016. L'endroit est nettoyé rapidement, l'école avait dû être évacuée avant qu'il y ait un quelconque incident, et ils ont enfin un moment de répit de la part des nouveaux ennemis de la vie. En sérieux manque de main d'œuvre et de militaires, les talents des civils survivants sont mis à profit et chacun met la main à la pâte à fin de construire une communauté. L'ingénieur ne s'intégra pas réellement au groupe, mais sa jeune amie profita de ses talents d'apprentissage et lui enseignera le tir de précision et lui offrit l'arme qu'il possède encore aujourd'hui ainsi que les lunettes de vision nocturne qui le fascinait tellement. Le tir n'était pas le talent de prédilection du jeune ingénieur, mais il finit par se débrouiller plutôt bien. Tout en s'entraînant quotidiennement sur les rôdeurs, il utilisa le reste de son temps pour améliorer les installations électriques et mécaniques du camp à l'aide de toutes les batteries que les autres lui apportaient.

La situation semblait s'être stabilisée pour les survivants d'Island Harbor, maintenant installé à Seabury School. L'été se déroula sans perte et l'hiver fut plus confortable que dans leur premier abri. Le bâtiment était isolé et les installations du génie avaient permis d'obtenir suffisamment de chauffage pour vivre dans un confort relatif. Le manque de ressources, surtout de denrée est le réel problème, alors qu'ils doivent sortir de plus en plus souvent et fouiller Tacoma à la recherche de nourritures pour passer au travers de l'hiver. Les rôdeurs sous la neige emportent deux nouvelles victimes et les réfugiés doivent de plus en plus limiter l'accès aux réserves restantes.

Sortant avec espoir aux premières lueurs du printemps 2017, un groupe en charge de ramener de quoi survivre rencontre une autre communauté de survivants. Espérant créé des liens amicaux avec eux, ils sont, au contraire, capturés et utilisés comme monnaie pour faire chanter les survivants de Seabury School. Le campement de Markus devient esclave de ses nouveaux ennemis, la mort n'étant plus le seul ennemi de l'humain. Même l'ingénieur commence à sortir, souvent en compagnie d'Aélia, pour qui il a commencé à développer des sentiments depuis le temps, mais jamais il n'arriva à passer au travers de sa timidité ou plutôt de son anxiété social. Leurs bourreaux étaient toujours de plus en plus exigeant et pendant près d'un an, ils exécutèrent leur demande à la lettre dans l'espoir d'être protégé et épargné de leur puissance. Toutefois, les pertes pour Seabury School furent massives, car les tentatives de sorties emportèrent de nombreux civils qui perdirent leur prudence au profit de quelques ressources supplémentaires.

En juillet 2018, l'un des militaires, Connor, ayant toujours été considéré comme le chef du camp de Markus, décida qu'il en avait assez. Leur nombre avait été réduit à sept, Aélia, Markus, lui et quatre autres civils, si l'on excluait la jeune femme que leurs bourreaux avaient pris en otage pour les faire chanter. Celui-ci prépara un plan qui impliquerait les derniers survivants et qui déciderait de leur destin. S'armant à l'aide de leurs dernières armes et de quelques autres trouvés lors d'une dernière sortie, lui et Aélia tendrait un piège aux envahisseurs en charge de les piller, Markus s'occuperait d'abattre le surveillant de leur otage, des tirs croisés s'en suivrait et ils fuiraient tous à la recherche d'un nouvel abri. Certains civils étaient en désaccord, leurs vies étaient plus importantes que celle d'un otage de plus, ils devraient fuir maintenant et l'abandonner à son sort, mais Connor arriva à les rallier et les convaincre qu'ils ne pouvaient pas abandonner leur dernière lueur d'humanité.

Le plan fut mis à exécution, Markus perché au loin et armé de son arme de précision glissa sa lentille sur le surveillant tel qu'on lui avait indiqué, mais il ne tira pas. Bien qu'il reçut plusieurs fois le signal, c'était une chose d'éliminer un rôdeur, mais ça en était une autre de prendre une vie, mais son hésitation fut beaucoup trop longue, et la situation dégénéra devant lui jusqu'à ce que l'un des bourreaux perd patience et égorge sous les yeux horrifiés de tous l'otage. Un autre homme attrapa Aélia d'un couteau sous la gorge et tout le monde était sur ses gardes. Pris par la panique, le tireur d'élite pointa son arme sur le ravisseur et appuya sur la gâchette, atteignit la femme qu'il aimait à l'épaule. Une tuerie sans précédent s'en suivit alors que les tirs éliminèrent les deux camps, du moins, les hommes de main du groupe en force et l'entièreté du camp de Markus, qui survécut caché dans son coin.

Il lui fallu plusieurs heures pour sortir de sa cachette, alors que les larmes caressaient ses joues sous les regrets d'avoir échoué. Il lui faudrait maintenant devenir plus fort s'il voulait survivre encore quelques années. Il marcha à travers, l'endroit qui avait servit de champ de bataille, découvrant que la jeune militaire n'était maintenant rien de plus qu'un rôdeur supplémentaire. Il regarda autour de lui, c'était maintenant lui seul contre la nature, les autres étaient tous au sol, certains rampaient déjà vers lui en grognant alors qu'Aélia tentait de se relever avec la seule envie de le mordre. Il se pencha sur elle, lui offrant la grâce de mourir, de ne pas être qu'un être sans vie errant à la recherche de nourriture, puis reprit la route dans un soupir.

Il suivra le bord de l'eau pendant des jours, s'arrêtant seulement pour se reposer, se cacher ou pour manger, puis il traversa le pont de Tacoma Narrows Bridge en août 2018, sans réelle destination, se demandant de plus en plus si la survie en valait vraiment la peine. Voilà trois jours qu'il n'avait pas mangés et ses réserves d'eau descendaient sous un niveau critique lorsqu'il fut arrêté sur Skansie Avenue, alors qu'il pensait s'installer pour la nuit dans les mini entrepôts, par deux jeunes femmes menaçantes. Son heure, était-elle venue ? Heureusement pour lui, la chef des Messiah était plutôt enclin à accepter de nouveaux survivants parmi ses rangs, elle avait besoin de gens, et il était probablement un candidat intéressant.

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !