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William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 12:46


William Patersontell me more about you

prénom(s) : William
nom : Paterson
date de naissance : 11 juin 1978
âge : 43 ans

ville de naissance : Minneapolis
métier : Barman/Boxeur
groupe : The Remnants

avatar : Dominic Cooper

what i am

qualites
Sociable
Protecteur
Rusé
Attentif
Polyvalent
defaults
Opportuniste
Menteur
Manipulateur
Solitaire
Violent
Equipement :
Depuis le début de l’épidémie, il n’a pas grand-chose. Il a fui, avec son fils, aussi vite que possible. Mais à travers ses diverses rencontres, il a acquis un costume de pasteur, qu’il ne quitte plus. Un peu coincé dans ses chemises, il n’a plus vraiment d’autre choix.
     
Details physiques :
William est de taille moyenne (1m70) pour 60kg, avec une carrure assez fine. Il à une barbe de quelques jours qu’il rase rarement.
Il a des cheveux noirs, souvent peignés avec soin. Il utilise du gel quand il en a, sinon il les laisse tomber comme ils peuvent.
Il possède des yeux marrons, sombres. Ses paupières se plissent lorsqu’il réfléchit, lui donnant un air sournois. Il a toujours un sourire sur le coin des lèvres, ce qui le rend d’apparence plus sympathique.
Son torse est rayé d’une entaille de couteau, sous le pectoral gauche, cadeau d’un combat de rue qui a mal fini.
Il a une patte d’ours tatouée sur le biceps.
Il est athlétique, mais pas très fort. Il compte sur son agilité et sa rapidité pour surpasser ses adversaires en cas de combat rapproché.

Psychologie

- William est un opportuniste. S’il saisit une occasion de profiter à lui seul de quelque chose, il va en profiter. Il ne partage pas et n’est pas prêteur. Pour ce faire, il ment à tour de bras, manipulant les sentiments des personnes qu’il rencontre. Il joue très bien la comédie, pour démasquer un autre menteur. Il garde une nature très froide, en toutes occasions.
- Il est très sociable, mais ne cherchera jamais de liens. Les amis qu’il a sont des individus de son type, sans foi ni loi. Il ne peut pas les manipuler, il les garde donc ainsi de son côté. Il n’hésitera cependant pas à les abandonner, si sa vie propre est en danger. Il restera toujours avec son fils, et ne se séparera jamais de lui. Il pense avant tout à la vie de son fils qu’à la sienne.
- Il travaille seul, et élabore de fines stratégies pour arriver à ses fins. Il sait s’adapter parfaitement à son environnement.
- Il profite de l’épidémie pour accroître son pouvoir sur les autres. Les personnes dans le besoin sont toujours des proies faciles. Certains désignent cette épidémie comme un châtiment, lui la voit comme une opportunité. Son fils le suit, et apprend de son père, bien que plus réservé sur la manipulation.
- Il fume occasionnellement pour se donner de l’assurance ou une consistance.
- Il ne supporte pas l’autorité, et n’obéit que très rarement aux ordres. Il s’énerve très rapidement lorsqu’il n’est pas écouté.
- Il est franc avec les autres, dans le seul but de blesser. Il aime sentir les personnes choquées par ses propos, ou ses actions.
- Il espère que la situation durera encore. Il n’a pas fini ses péripéties. Il en profitera jusqu’au bout.
- Il est violent. Il a appris à se battre sur le tas, lors de combats de bar, ou de boxe clandestins. Il n’hésite pas à tuer, lorsque c’est utile. Il ne tue pas gratuitement pour le plaisir, mais se trouve très souvent une bonne excuse pour ses actes. Il n’hésitera à aucun moment à faire souffrir un de ses ennemi, jusqu’à le tuer. Il essayera d’éviter au maximum les combats physiques s’il n’est pas mieux équipé que son adversaire, car ils sont trop risqués. Il se dispute régulièrement avec Junior, mais n’en viennent pas aux mains. Il ne veut pas être un mauvais père, comme le sien l’a été, mais ne sait pas vraiment comment faire.
- La mort est loin d’être un obstacle pour lui. Lorsqu’il la rejoindra, il discutera avec elle. Elle ne lui est pas inconnue. En attendant, il faut profiter de tous les vivants.
- Il ne supporte pas qu’on l’appelle Will, ou Willy, seule Susan le faisait.
- Porte toujours sur lui, une photo de Susan, Junior bébé, et lui. Il la regarde souvent quand il réfléchit




Story of survival

Pre-apocalypse

William nait le 11 juin 1978 aux États-Unis, dans le Minnesota, à Minneapolis. Son père est un riche homme d’affaire dans un laboratoire pharmaceutique, et sa mère ingénieur aéronautique.
Il vit la plupart de son enfance seul à la maison, ses parents travaillant beaucoup. Il obtient toujours ce qu’il désire, en utilisant l’argument de l’absence. Il traverse le collège et le lycée difficilement, étant un élève médiocre, passant plus de temps à embêter ses camarades qu’à travailler. Il obtient tout de même un diplôme général, et part pour Seattle, s’éloignant le plus possible de ses parents.
Il vit tout d’abord à leur crochet, écumant Seattle sans chercher de travail. Il rencontre deux individus dans un bar, lui parlant de combats de free-fight clandestins.
Il s’inscrit aussitôt dans un club, pour apprendre ce sport. Une fois son niveau lui semblant satisfaisant, il se rend dans cet endroit, et effectue plusieurs combats, gagnant un grand nombre d’argent après de nombreuses défaites cuisantes. Il ne gagnait pas à tous les coups, mais il gagnait sa vie, pour vivre en mangeant du moins.
Il réussit à décrocher le poste de serveur au comptoir dans un bar d’une rue mal famée de Seattle, se servant de son expérience de boxeur pour sortir les clients les plus récalcitrants. Le patron le connaissait bien, il le voyait souvent venir se battre. Il lui avait lui-même proposer un poste ici. Les clients le voyaient au bar et sur le ring, ils savaient à quoi s’en tenir.
Il rencontre Susan Collins en 1999, tous deux âgés de 21 ans, en rentrant d’un combat particulièrement rude. Elle était sa voisine, et étudiante en médecine. Elle le soignait avec pitié lorsqu’elle le trouve ensanglanté, visage gonflé tentant d’ouvrir la porte de chez lui.
Ils eurent un enfant deux ans plus tard, Junior.
Susan mourut le 23 août 2005, suite à un accident d’avion au Pérou, où elle était partie travailler.

Mars 2008

William se leva avec une idée en tête: il retournerait au club ce soir, pour vaincre son adversaire d’hier. Il avait encore mal au nezet à la tête, mais cela ne l’arrêterai pas. Il avait perdu beaucoup d’argent ce soir là, il était temps de le récupérer. Les paris allaient d’autant plus monter.
Susan aurait refusé qu’il y retourne.
Ses combats nocturnes avaient été une source de dispute récurrente, mais aboutissaient toujours par William, claquant la porte, partant pour son combat. Il avait diminué la fréquence, mais ne voulait pas renoncer à y aller. Il travaillait, mais il gagnait plus en un combat qu’en un mois.
Il prit la journée pour récupérer, et alla courir pour se réveiller. Il voyait les gens le regarder étrangement. Il devait avoir une sale tête après tout. Un nez un peu gonflé, un oeil au beurre noir, et une coupure à la pommette. Et ce n’était que la façade extérieure. Il sentait tous les muscles de son visage tendus, et gonflés.
Junior n’avait pas posé de question. Il avait 9 ans, et avait pris l’habitude de voir son père dans cet état.
William s’en foutait. Les gens pensent ce qu’ils veulent, ce n’était pas son problème. Il avait un combat à gagner.

Le soir arriva rapidement, et William se rendit au bar. Il rencontra quelques personnes qu’il connaissait, leur serra la main, et descendit dans la cave. L’odeur de transpiration et de renfermé se fit sentir dès les premières marches. Il entra dans la salle, et assista aux dernières secondes d’un combat, le vainqueur frappant la tête du perdant sur le sol. Ce n’était pas un coup utile, étant donné que son adversaire était inconscient depuis longtemps. S’il voulait le tuer, c’était par contre la bonne démarche.
Il salua Jack qui s’occupait des paris, et alla se changer.

Il fuma une cigarette avant de revenir dans la salle. En tirant sur sa clope, il réfléchissait. Il connaissait la tactique de son adversaire, il devait s’adapter. Il donnait de grands coups puissants, et William devait jouer sur l’endurance, et limiter les coups reçus.
Une fois sa cigarette finie, il se leva, et se dirigea vers la salle.
Deux hommes étaient en train de nettoyer ce qui avait servi de défouloir aux deux d’avant. Il rentra dans la cage métallique, et attendit. Son ennemi attendu arriva, et s’installa, trop confiant.

- Accueillez à ma droite William, qui affrontera Jason à ma gauche. Le combat d’hier avait donné la victoire à Jason. William va-t-il reprendre l’avantage ?

Le présentateur hurlant énervait William. Il n’avait jamais combattu dans cette cage, et ne comprenait pas qu’il s’agissait de bien plus que d’une simple vengeance. S’il perdait ce match, il devrait affronter des adversaires moins forts, et les paris baisseraient. Le molosse d’en face faisait hurler la foule.

- C’est bien ducon, pensa William, fait les croire que tu gagneras, je me ferais encore plus de sous.

Il entendit la cloche sonner le début combat.
Il tourna autour de son adversaire, les deux s’observant. Jason lui criait dessus, le provoquant. Il n’allait pas s’abaisser à cela.
Au bout de plusieurs minutes, Jason se rua sur lui. William réussit à l’éviter, et profitant pour le faire trébucher, et lui donner un coup de coude à l’arrière du crâne.
Lorsqu’il se releva, titubant à moitié, William prit son élan, et sauta. En atterrissant, il frappa le nez du monstre du pied droit. Il retomba au sol, sous le bruit de la foule en délire, échauffée par le flot d’hémoglobine qui coulait sur le sol.
Son ennemi se releva rapidement, fou de rage. William tenta une attaque frontale. Il n’aurait pas dû. Son adversaire le saisit pas le col, et le lança contre la grille. Sa tête s’écrasa contre le sol, l’étourdissant. Jason n’eut pas la courtoisie d’attendre qu’il se relève pour frapper. Il le prit par les épaules, et l’envoya balader plus loin. William se releva, un peu étourdi. Il attendit que l’autre approche pour attaquer. Il réussit à lui donner plusieurs coups au visage, sans grande conséquence, mais reçu un formidable coup droit sur le nez, suivi d'un coup de genou au torse..
Il tomba à la renverse, la bouche se remplissant du sang qui coulait abondamment, ayant du mal à reprendre son souffle.
Son adversaire, pensant qu’il avait gagné, fit hurler la foule, levant les poings au ciel.
William attendit un instant, repris ses esprits, et se releva. Il devait se mobiliser pour gagner.
Il ne tiendrait pas très longtemps, il fallait vite finir le combat.

Il se releva, essuyant du revers de son gant le sang qui coulait sur son visage, et laissa le colosse s’avancer. Il esquiva le premier coup, et le frappa de toute sa force dans le dos. Il se plia et tomba au sol à genoux.
William lui donna un coup de talon au crâne, faisant frapper sa tête contre le sol. Il était sonné, mais se relevait.
La victoire de William approchait. Jason était au plus mal, titubant. Il n’en restait pas pour le moins inoffensif.
Il tenta vainement d’attaquer William, mais trébucha lui même et s’écroula. William en profita pour lui donner un coup de genou au visage.
Il voulait en finir le plus vite possible.
Une fois son adversaire à peine relevé, il l’acheva d’un coup de poing au visage. Il avait prit son élan sur un rebord de la cage pour lui asséner ce coup fatal.

Le corps immense de Jason effondra sur le sol, inerte. William cracha le sang qu’il lui restait dans la bouche.
Il avait gagné. Une victoire de plus, une réputation qui tenait, et de l’argent qu’il empochait.
Une bonne soirée. Il ne sentait même plus sa douleur. Ou il ne voulait plus la sentir.

Il sortit de la cage un peu titubant, pendant que les deux nettoyeurs secouaient le perdant pour qu'il laisse place au combat suivant.
Il salua vaguement la foule, prit une serviette sur le rebord des gradins, et s’essuya le visage. Le blanc immaculé de la serviette ne résista pas longtemps au nez sanguinolent.

Une fois dans les vestiaires, il s'assit sur un banc, relâchant son corps meurtri, pour pouvoir se lever et partir.
Après avoir pris une douche et avoir mit un pansement sur son nez, il alla chercher ses gains du jour. Le barman lui offrit un cocktail, qu’il dégusta en regardant les deux combattants suivants.
Il avait gagné huit mille dollars ce soir là. Il pouvait mener cette vie longtemps, mais ce soir lui avait apprit une chose. Si son adversaire n’avait pas été stupide en l’attaquant de front, il aurait perdu.
Il allait surement devoir reprendre des cours de free-fight. Il n’était pas mauvais, mais seulement face aux brutes épaisses comme Jason. Un stratège l’aurait emporté sans forcer.
Une fois son cocktail terminé, il empocha son argent et sorti du bar. Il remonta les escaliers. Il avait besoin de dormir.
Heureusement, il n’habitait pas loin. Il serait vite chez lui.
Enfin presque.

Il vit s’approcher trois hommes. Il les connaissait, et il n’avait pas envie de les voir.

- Alors William ? Tu croyais t’en tirer comme ça ? Tu dézingues notre combattant et tu nous voles notre argent ?

- Si vous n’avez plus de combattant, vous n’avez qu’à y aller vous même. Et puis c’est ce que j’avais convenu avec lui.

Il désigna du menton l’homme le plus à droite. C’était un mensonge pur et dur, mais il pourrait semer le doute dans l’esprit des trois hommes, et en tirer parti pour ne pas se battre.
Soucis de stratégie: l’homme en question dégaina son couteau, et en fit briller la lame.

- Tu penses vraiment que tu vas nous avoir espèce de menteur ? On est pas aussi cons que ça.

- Écoute mec j’y peux rien si t’es cramé. On avait dit que je gardais quarante pour-cent de mes gains si je gagnais.

Ça y était. Il avait réussi à retourner les deux autres contre celui qui était armé. Ils le regardaient avec haine, incompréhension, et un léger sentiment de s’être fait trahir. C’était à la fois comique, et triste. Il décida d’enfoncer le couteau dans la plaie, avant que le véritable couteau n’en fasse une bien réelle.

- Bon les gars, voyez ça entre vous, moi je croyais que vous étiez d’accords. En tout cas, c’est ce qu’il m’avait dit. Vous savez bien que je cherche pas les emmerdes.

Ce fut le mot de trop. L’homme de droite lui sauta dessus, et lui donna un coup de couteau dans le ventre, pas très profond, mais d’une grande taille. Il réussi à le repousser en le frappant au visage.
Ses deux collègues avaient du prendre ce geste pour une tentative de le réduire au silence, et l’attaquèrent à deux.

William se tenait le ventre, pour empêcher le sang de trop couler. Il fila rapidement, avant que les deux autres ne réalisent qu’il s’était échappé. Il marcha péniblement jusqu’à chez lui. Il désinfecta la plaie et se fit un bandage. Il avait mal, mais la coupure n’était pas très grave. Son blouson avait amorti la plus grande partie du coup.
Il se passa de l’eau sur le visage, en alla se coucher. Il verrait demain l’état de sa cicatrice. Pas vraiment possible d’aller à l’hôpital, il n’y avait plus qu’à prier.
Junior semblait dormir, et n’avait pas réagit à la rentrée bruyante de son père.


William continua les combats les années qui suivirent, les espaçant de plus en plus. Il voyait le regard de son fils sur lui. Un regard de honte. Il avait essayé de changer de métier, au moins de changer de bar. Il y était parvenu, mais retrouvait aux combats au bout de quelques mois de pause. Ça lui manquait trop.
Junior grandissait, et s'éloignait de son père. William se rendait compte qu'il devenait un aussi mauvais père que le sien l'avait été. Il voulait lui en parler, mais la discussion n'était pas son fort. Surtout sur des sentiments.
Junior l'évitait.
Il finit par arrêter les combats, se forçant à ne plus jamais y retourner. Junior avait l'air un peu plus heureux de son père. Un mal pour un bien, il fumait de plus en plus, à chaque fois qu'il avait envie de se battre. Mais au moins, c'était différent.

Junior était un adolescent. William était fier de lui. Il était bon à l'école, beau, avait des amis. Il n'avait pas été le modèle de père parfait, mais il était content de lui. Junior se rapprochait de lui, cessant de l'éviter, ou de le regarder avec honte. Il approchait de ses 14 ans.

Post-apocalypse

10 Septembre 2015:

Les clients étaient agités aujourd’hui. Tous le monde parlait des personnes devenues folles, agressant les autres, en les griffant ou les mordant. Les informations n’en parlaient pas spécialement, ils évoquaient seulement les cas.
Son père avait appelé huit fois aujourd’hui. Pourquoi après tant d’années d’absence, réapparaître maintenant ? William supprima sans écouter les messages vocaux. Peu importe.

20 Septembre 2015:

La situation avait dégénérée. Les militaires étaient partout, certaines zones de la ville étaient en quarantaine. Le bar dans lequel William travaillait avait été fermé. Il avait dû rejoindre une zone d’hébergement militaire avec son fils, au plein milieu du stade de Centurylink Field.
Chaque jour, de plus en plus de matériel militaire arrivaient à Seattle. William et Junior étaient coincés dans la ville. William entendait des rumeurs, et il ne savait pas vraiment à qui se fier. Il voulait partir. Mais il n’avait aucune arme. Il avait un peu d’équipement et de nourriture qui lui permettrait de fuir pendant un certain temps, mais rien pour se défendre, excepté un couteau de chasse qu’il avait trouvé par terre lors d’un moment de bousculade générale.

13 Novembre 2015

C’en était trop. Les militaires étaient de plus en plus violents avec les civils, et les « rôdeurs » comme ils les appelaient, étaient de plus en plus nombreux. Les gens en parlait de plus en plus, et cela devenait oppressant. Il tenta de poser une question à un soldat pour en savoir plus, et il eut pour seule réponse un coup de crosse dans le ventre.
C’est à cet instant qu’il décida de fuir, de quitter la ville par le sud. Ils y seraient toujours plus en sécurité. Junior était d'accord avec lui. Ils ne se sentaient pas en sécurité ici, dans le camp.

Ils attendirent la nuit, et sortirent de la tente. Ils se dirigèrent discrètement vers une autre tente, celle du ravitaillement. Ils en firent le tour, et rentrèrent par derrière. Il y avait deux soldats qui montaient la garde devant l’entrée, mais pas derrière. William se cacha derrière deux caisses de nourriture, et ouvrit son sac. Junior l’observait. Il y mit plusieurs boites de conserves et des rations de combat. Il prit des barres énergétiques et trois paquets de cigarettes.
Pour ce qui était de la nourriture, il était prêt. Il fit signe à Junior de faire de même.
Il laissa son sac là où il était, et se dirigea vers les vêtements. Il y prit une parka militaire, qui devait appartenir à un officier, au vu des épaulettes. Il l’enfila, et en saisit une autre, plus grande, pour son fils.

Il se saisit d’un pistolet, un P320 Sig-Sauer qui était posé sur une caisse. Il chercha une arme plus lourde, mais elles devaient se trouver dans la tente d’à côté.
Il prit son sac, et sorti de la tente, tout aussi discrètement.
Il donna le révolver à Junior, qui le mit à sa ceinture.
Ils patientèrent un instant, laissant passer l’éclair de lumière de la patrouille. Ils passèrent ensuite la route pour rejoindre la tente de l’armurerie.
Ils avaient tiré le gros lot. Il y avait l’embarra du choix. Ils se décidèrent pour une ARES AS36C AEG, enfin c’est ce qu’il y avait écrit sur la boîte. Il prit deux boîtes de munitions pour ses deux armes, et sortit de la tente. Junior prit un fusil Mk 11 Mod.

William se dirigea vers la sortie. Seul problème auquel il n’avait pas pensé, la porte était gardée par trois soldats armés. Il ne pouvait pas leur tirer dessus, il n’avait pas leur entraînement.
Il s’adossa à une caisse pour réfléchir, lorsqu’il entendit un bruit.
Il se retourna rapidement, effrayé à l’idée qu’un soldat ait pu le trouver.
Il vit un homme, qui semblait avoir une cinquantaine d’années, caché lui aussi près de la porte.

- Vous aussi vous vous tirez ? C’est plus vivable pas vrai ? Moi c’est Denis !

William mit du temps avant de réaliser. L’homme en question était aussi un fuyard, qui n’avait pas prit le temps d’aller s’équiper.
Cet homme allait lui être très utile, car il venait d’avoir une idée. Il regarda Junior, faisant passer un message par le regard.

- Salut, moi c’est William, et  lui Junior. Oui on se tire. Je sais comment franchir la porte, tu peux porter mon sac deux minutes ?

- Bien sûr, tout pour sortir d’ici ! Je te suis gamin !

Un homme naïf en plus.
Parfait.
William lui tendit le sac. Denis le mit sur ses épaules, et attendit les directives de William.
William referma sa parka jusqu’au cou, sorti son revolver de la poche, et la tourna vers Denis.

- Maintenant, tu fermes ta gueule, et tu me laisses parler si tu veux sortir d’ici.

Il prit l’homme par l’épaule, lui colla le revolver sur l’arrière du crâne, et le poussa vers la porte.
- Tu croyais t’enfuir où enculé ? cria-t-il pour attirer l’attention des gardes.
Allez viens par là !


Junior restait sur le côté, toujours caché.
Les soldats le regardèrent médusés. Avec un peu de chances, ils le prendrait pour un général, et ne lui poserait pas de questions.

- Allez à genoux. Montres moi ton sac. Laisse le par terre. Et tu voles de la nourriture aux militaires en plus ? T’es qu’un tas de merde, tu penses qu’à ta gueule c’est ça ? Je vais t’apprendre comment on traite les salauds. Hey vous deux, amenez le voir le général Collins. Je vais inspecter dehors un peu, il devait pas être seul.

Les deux soldats qu’il avait désigné se regardèrent sans comprendre. Il n’existait probablement pas de général Collins. William allait devoir faire avancer le tout.

- Qu’est ce que vous attendez ? Vous voulez que je vous colle un rapport peut-être ? Allez exécution !

Les deux soldats ne se firent pas prier, et prirent l’homme qui avait servit d’appât à William par les épaules, et partirent en direction du camp.

- Je vous accompagne dehors mon lieutenant ? demanda timidement le troisième soldat.

Oh que non ducon, tu n’allais pas m’accompagner. pensa William. Il vit le nom de « Preston » écrit sur son gilet pare-balle.

- Putain mais y’en a pas un pour rattraper l’autre, vociféra William. Écoutes Preston chéri, si tu m’accompagne dehors, qui sera là à surveiller la porte ? Tu réfléchis des fois ou tu te mets juste les doigts dans le cul ? Nan mais j’y crois pas !

Sans attendre la réponse du soldat qui lui faisait de grands yeux écarquillés, il ramassa le sac, le mit sur ses épaules et parti. Le garde n’osa rien faire, et resta là, à le regarder partir. Au dernier moment, William se retourna et donna un violent coup de crosse au visage du soldat, il s’effondra sur le sol, à moitié suffoquant, et pleurant.
William fit signe à Junior de le suivre. Il sorti de sa cachette, et le rejoignit.
Ils bifurquèrent à la première rue qu’il purent trouver, et s’enfuirent le plus loin possible.
Junior le regardait avec un air grave et sévère.

- Quoi ? J'ai tué personne !

17 Janvier 2016

William et son fils avaient passé deux mois seuls dans la nature sans grand problème. Ils avaient vadrouillé à pied à travers la banlieue de Seattle, fouillant les magasins qu’ils trouvaient. Lorsqu’ils avaient assez de nourriture, il s’installaient et restaient jusqu’à ce que le stock disparaisse.

Ce jour là, ils marchaient le long d’une route dans la forêt, lorsqu’il tombèrent sur une église qui portait l’écriteau: « SURVIVANTS, SOYEZ LES BIENVENUS ». Ils s’approchèrent de l’église, sur leurs gardes. Une fois à l’intérieur, ils se retrouvèrent nez à nez avec un pasteur.

- Soyez les bienvenus mes enfants. Le Seigneur vous a conduit jusqu’à moi pour votre survie. Vous pourrez rester ici aussi longtemps que vous le souhaitez. J’ai de la nourriture, de quoi vous laver, et de quoi dormir.

William resta dubitatif devant le pasteur. Il ne croyait pas en Dieu, et ce n’était pas maintenant qu’il allait commencer à y croire. Mais si cet homme avait de quoi manger… Cela lui suffisait. Il regardait Junior, qui semblait déjà avoir adopté l’idée.

15 février 2016

William commençait à en avoir marre. Le prêtre parlait sans cesse de religion, essayant de le pousser à prier son dieu. Junior l’écoutait, mais restait avec William assez souvent.
William regrettait d’avoir été un père assez distant durant son enfance. Il avait fallut la fin du monde pour les rapprocher, depuis la mort de Susan. Il ne savait pas comment être un bon père, mais s’ils étaient encore vivants, et toujours tous les deux, il ne devait pas être catastrophique.
Au cours du dernier mois, un homme et une femme étaient arrivé séparément, cherchant un abri.
L’homme avait une tente et un sac de couchage avec lui, luxe que William n’avait pas pensé à prendre. La femme était très bien équipée, mais était partie au bout de quelques jours.

Un soir, lors d’un ultime sermon du pasteur, William alla se coucher. L’homme et le pasteur le poussaient à bout. Il ne tiendrait pas très longtemps parmi eux, mais dehors était trop dangereux. Il faisait froid, et devrait vivre au jour le jour. Ici, dans l’église, il était tranquille, et son fils était en sécurité.
Il se décida. Il en discuta avec Junior, qui semblait approuver cette idée. Il ne la validait pas spécialement, mais il était d’accord avec son père. Il le regardait toujours sous le jugement.
Son fils avait changé depuis le début de l’épidémie. Il devenait comme son père, froid et distant, et n’hésitait pas à utiliser la violence. Il était plus raisonnable que William.
William saisit son couteau qui était sur sa table de nuit, et se dirigea vers la chambre du pasteur. Il frappa à la porte, et attendit qu’il ouvre.
Il rentra dans la chambre, et entama une discussion.
Au moment où le prêtre eut le dos tourné, William lui asséna un grand coup sur la tête à l’aide de son manche de couteau. Il lui retira sa chemise et sa veste de curé, l’amena jusqu’à l’extérieur, et lui trancha la gorge sous un arbre plus loin.
Il revint vers l’église, bien décidé à tuer le voyageur.
Il se rendit jusqu’à sa chambre, et rentra discrètement. Il dormait à poings fermés.
William prit un oreiller, et l’appliqua sur le visage de l’homme. Il se réveilla brusquement, et commença à se débattre. Il était plus fort que prévu, et il réussit à désarçonner William, l’envoyant au sol. Le voyageur se leva d’un coup, cherchant à comprendre ce qu’il se passait. Il vit William au sol, cherchant son couteau à sa ceinture. L’homme se pencha sur sa table de nuit pour saisir le sien, mais William fut plus rapide. Il lui sauta dessus, et lui donnant un violent coup de talon à l’arrière du crâne. La tête de l’homme continua sa trajectoire jusqu’à se fracasser contre la table de nuit. William saisit l’homme par les cheveux, et recommença la manoeuvre plusieurs fois.
Il ne bougeait plus.

William se releva, et respira un coup. Ils étaient maintenant seuls dans l’église. Il traîna le corps jusqu’à celui du prêtre, et alla chercher une pelle.
Il creuserait un trou demain, les corps n’allaient pas partir après tout.

16 Février 2016

Lorsque William se réveilla au matin, il eut une belle surprise. Un rôdeur tapait à la fenêtre de l’église. Et pas n’importe quel rôdeur: c’était le pasteur qu’il avait tué hier.
On pouvait voir à travers le trou béant de son cou, taillé hier soir.

- Bordel de merde. Donc ce sont des cadavres qui se relève ? Génial.

Junior était déjà sorti s’en occuper. Armé de son couteau pour achever ce rôdeur, d’un coup à la tête. William le regarda faire. Ça avait l’air de fonctionner. Une fois chose faite, il le traîna jusqu’à l’arbre où se trouvait toujours le voyageur. Il s’était réanimé aussi, mais après le prêtre, qui s’était fait un joli repas. Il lui manquait une grande partie de ses membres, et il n’arrivait pas à se lever.
L’histoire fut réglé en un coup de pelle.

- C’était pas prévu que tu le tue je te rappelle. Juste l’assommer et partir. T’es violent et stupide.

William regarda son fils partir à l’intérieur de l’église, pelle sur l’épaule. Il avait peut-être un peu abusé de sa violence. Mais il n’avait pas de comptes à rendre à son fils après tout.
Il n’avait pas essayé de se justifier. Il n’avait pas eu besoin de tuer le prêtre. Mais il en avait eu envie. Junior était plus modéré. Tant pis.

20 Mai 2016

L‘hiver passa sans trop de problème pour William et Junior. Ils trouvaient que de plus en plus de rôdeurs s’approchaient de l’église, mais si il n’était pas dehors, ils passaient leur chemin.
Il avait revêtu l’habit de prêtre, non pas parce qu’il s’était converti, mais cela lui permettait d’amadouer les passants les plus désespérés. Junior jouait le jeu, en vantant son père, racontant qu’il l’avait sauvé de cette fin du monde. À contre coeur parfois, mais il ne se désolidarisait pas. Il lui laissait faire tout le sale boulot cependant. Il n’était plus dans ses combines.
Ils pouvaient les dépouiller sans aucun problème.

Ils n’étaient pas très bon en agriculture, et le champs derrière l’église n’avait pas fourni énormément de légumes. Ils se contentaient de ce qu’ils trouvaient, et cherchaient un autre endroit pour cacher les corps. Il commençaient à y en avoir un peu trop.

Décembre 2016

William s’était décidé à sortir un peu de son église, toujours en costume de pasteur, qui lui allait plutôt bien, pour essayer de trouver de la nourriture pour survivre à l’hiver particulièrement froid. Junior l’avait accompagné. Il voulait se dégourdir les jambes lui aussi.

Il devait avoir l’air d’un idiot, avec une veste de prêtre sous une veste de lieutenant.
Peu importe. Ils se dirigèrent vers un ensemble de maison un peu plus vers la ville. Il ne semblait y avoir personne, et entra dans une maison qui semblait en bon état, portes et fenêtres fermées.
Ils entrèrent dans la maison, revolver au poing, un peu hésitant.
Après une exploration, ils ne trouvèrent personne, et un petit paquet de nourriture en conserves. La cave était remplie de bouteilles de vin. Il prit la caisse ainsi que plusieurs bouteilles et un tire-bouchon.

Février 2017

Ils avaient passé noël et la nouvelle année tranquille dans l’église. Ils avaient rencontré un homme en janvier, qui avait fait une halte une semaine. Il était très équipé, et aussi très musclé. William n’avait pas essayé de lui voler ses affaires, de peur de se faire tuer. L’homme lui avait donné à manger pendant quelques jours, en échange de son accueil. William lui avait laissé croire qu’il était un pasteur.

Avril 2017

William était malade. Quelle idée d’avoir un rhume sévère au mois d’avril. Il n’avait aucun médicament. Ce serait trop con de mourir d’une pneumonie après deux ans de survie.
Il resta couché plusieurs jours, au chaud, transpirant toute l’eau de son corps. Junior restait à son chevet, mais ne pouvait pas faire grand chose, à part tenter de le faire boire, sans attraper cette maladie.
Il fut guérit en un peu plus d’une semaine, ce qu’il ne crut pas possible.

Septembre 2017

Ils devaient quitter le petit confort de l’église. Ils n’avaient plus de nourriture, les rôdeurs affluaient sans cesse. Ils partirent en direction de Seattle, dans l’espoir de trouver un camp de survivants, s’il en existait, qui pourrait l’accueillir. Ils n’étaient pas bon pour survivre seuls à un même endroit, mais pouvaient parfaitement s’arranger de petits vols et coups en traître chez d’autres.

Ils prirent leurs sacs, leurs armes et partirent en direction de Seattle.

Décembre 2017

Ils avaient crapahuté de maison en maison pour parvenir à Seattle, dans le quartier de Columbia City. Il faisait froid, il neigeait assez fort.
Ils avaient rencontré un homme, bien équipé, qui avait parlé d’un groupe énorme de survivants. Ils étaient restés ensemble plusieurs jours, et avaient partagé la même maison, coincés par la neige. Le groupe était géré par des militaires. William et Junior laissèrent l’homme partir sans se retourner. Ils avaient volé deux parkas et des armes dans un camp militaire, tout en laissant un garde avec un nez cassé, ils seraient surement mal reçu par leurs collègues. Et s’ils retombait sur les gardes de l’entrée, qu’il avait insulté sans se retenir… Il valait mieux s’en aller.

12 Janvier 2018

C’était au tour de Junior cette fois. Il était très malade. Il était cloué au lit, et pouvait péniblement se lever pour aller chercher de quoi se nourrir. Ça serait trop con de mourir d’un rhume. William était paniqué. Il n’avait jamais eu à s’occuper de maladie des autres, et ne savait que faire.

15 Janvier 2018

Junior ne pouvait plus se lever. La fièvre le paralysait. Il n’y avait plus qu’à espérer qu’il survive jusqu’à sa guérison. Il n’arrivait pas à manger, et buvait péniblement. William partait en vadrouille dans les environs en espérant trouver de quoi manger.

18 Janvier 2018

Ça y est. Junior était guéri. Il avait perdu huit kilos, et était très faible, mais il était vivant, et la maladie n’était qu’un mauvais souvenir.
Ils allaient devoir partir à la recherche de médicament incessamment sous peu, dès qu’il aurait repris du poil de la bête.

7 février 2018

Ils avaient remonté la ville, le long du Washington Lake, jusqu’à Madison Park. Ils décidèrent de s’installer dans une grande maison, qui semblait en assez bon état, pour y passer l’hiver.
Lorsque toute la neige aura fondu, ils pourraient plus facilement se déplacer dans Seattle. Il faudrait attendre au moins avril pour que les températures deviennent agréables.

20 février 2018

Après des petites excursions pour chercher à manger, les magasins avec de la nourriture et de l’eau se faisaient rares. La neige aidait à avoir un niveau d’eau satisfaisant, mais elle ne tiendrait pas éternellement. Il allait falloir bouger rapidement. Junior était plus en forme, et commençait à apprendre à se battre avec William. Quand on a rien à faire, autant rendre le temps utile. Ça réchauffait.

15 mars 2018

C’était le moment. Le ciel était bleu, toujours froid, mais ils pourraient voir au loin sans problème. Ils firent leurs sacs, et sortirent dans la rue. Ils se dirigèrent vers d’autres quartiers, pas encore, ou moins visités.
Après plusieurs heures de marche, ils arrivèrent enfin devant une épicerie, vitrine intacte, mais grille métallique de protection en mauvais état. Bon signe.
Ils s’installèrent dans une maison un peu retranchée dans une impasse, cachée.
William posa ses affaires, prit un sac vide, et son fusil puis se dirigea vers la boutique, histoire de se faire un petit festin ce soir.

10 avril 2018

Le temps était long. Junior aimait bien ses leçons, et William avait enfin l’impression d’être un bon père. Il avait retrouvé les muscles de l’époque de ses combats quotidiens, Junior, du haut de ses 17 ans, en faisait dix de plus.
Le temps laissait ses marques. Pas pour déplaire à William.
Junior parlait de plus en plus. Posait de plus en plus de questions sur sa mère, sur Susan, qu’il n’avait presque pas connu. Il lui avait montré la photo qu’il avait toujours sur lui depuis la mort de Susan. Il n’avait plus l’impression d’être un père violent, froid et distant. Presque normal.

17 juin 2018

Il fallait encore bouger. Les rôdeurs étaient de plus en plus présents, ce qui n’augurait rien de bon. Ça avait commencé par quelques uns, mais il en arrivait le double chaque jour.

28 Septembre 2018

Junior et lui étaient entrés dans une maison en assez bon état pour passer la nuit. Ils en avaient profité pour apprécier le matelas et les coussins du lit abandonné à l’étage, après avoir barricadé la porte. Un repos réparateur et agréable.
Ils se réveillèrent le matin, au son de mouvements d'une personne dans le salon, au rez-de-chaussée. Rien n’allait.
Il descendit avec Junior, armes aux poings, doucement, pour ne pas se faire repérer. La personne en bas n'était peut-être pas seule. Il avait mit sa veste de prêtre bien en évidence. Ça ferait peut-être hésiter l'agresseur.
Arrivés en bas, ils tombèrent nez-à-nez avec une femme, brune, d'une quarantaine d'année, plus surprise qu'eux de les trouver là.

Survie

La fonction oblige, ses journées sont assez incroyablement banales. Il se lève, va courir un peu dans le camp pour se maintenir en forme. Il enfile son costume de pasteur, et va s’installer à l’église, en attendant que certains viennent le voir. Des fois, ça arrive, il donne un coup de main quand on le lui demande.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : JimmyP
• Âge irl : 21
• Présence : Comme d’hab
• Personnage : Inventé [X] / scénario/prédef [ ]
• Comment avez-vous découvert le forum ? A force ça vient tout seul
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Aucune idée
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X]
• Crédits (avatar et gifs) Langouste

• Code du règlement Selene est trop belle, mais un peu bizarre

fiche (c) langouste.
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 13:00

Allez, pour le principe je mets le petit code de Bienvenue même si l'utilité n'est pas trop au rendez-vous étant donné que ta fiche a l'air terminée :MisterGreen:



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Et donc bienvenue avec ce nouveau compte ! Razz
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 13:03

Ce vava William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith 2736068674 Bon choix !!!
Re bienvenu à toi :MisterGreen:
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 13:05

Allez... admettons
Bon RP avec ce personnage !





What a lovely day.
Maxine E. Reynolds
Maxine E. Reynolds
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 13:22

Re-bienvenue
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 13:35

De la nouvelle recrue, c'est ça qu'on veut !

Re-bienvenue Smile
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

Jeu 15 Nov 2018 - 13:39

Et rebienvenue ! :MisterGreen:
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Re: William Paterson - Promises matter. It's the currency of faith

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