I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 1:39
Bethany
Prénom(s) : Eve-Madeleine
Âge : Bethany
Date de naissance : 21.02.1990
Lieu de naissance : Seattle
Nationalité : Américaine
Groupe : The Remnants
Ancien métier : Nonne novice
Célébrité : Elizabeth Olsen
Passive
Naïve
Idéaliste
Complexée
Généreuse
Courageuse
Tolérante
Patiente
Je Crois toujours, envers et contre tout. C’est ce qui motive mon inextensible générosité et ma volonté à faire le bien autour de moi, mais certains trouvent alors que je suis idéaliste – voire naïve. Je l’ai peut-être été un peu, mais plus maintenant. Aujourd’hui, j’ai découvert que je savais affronter mes peurs pour aller de l’avant. C’est ma force principale : ne pas rester figée, ne pas me laisser abattre. Je suis prête à braver les obstacles à venir et à attendre que les choses évoluent – je n’ai jamais été avare en patience. C’est grâce à Dieu et je ne crois pas avoir un jour oublié de le remercier.
Mes parents m’ont appris la tolérance : la religion n’est pas faite pour être fermée et exclusive, elle est faite pour s’ouvrir et accueillir tous les enfants du Seigneur ; même ceux qui le rejettent. Mon séjour au couvent a confirmé cette vision des choses : tout le monde peut nous apprendre quelque chose, de l’enfant au vieillard, de l’athée cynique au Pape de l’église catholique. Parfois, ce sera une révélation sur la vie et parfois, ce sera un beau sourire qui magnifiera une journée. Alors je n’ai pas d’apriori sur les gens : je pense que tous sont importants.
La seule arme qui était en ma possession se résume à un cran d’arrêt. Il a été volé à un cadavre par Mary-Ann – une fidèle complice lors de ma survie – et ne me servait qu’en cas d’extrême nécessité. Éviter les morts a toujours été mon mot d’ordre lorsque je vivais comme une vagabonde et maintenant que je suis en sécurité, je pense que je serai plus utile sur le camp qu’en équipe de ravitaillement.
Ma famille était à la fois ordinaire et atypique. Ordinaire car il n’y a pas eu d’accident, de drame hollywoodien, de révélation mystérieuse ou d’initiateur de start-up. Atypique parce que j’ai appris à reconnaître que les foyers fervents et pratiquants n’étaient plus majoritaires aux Etats-Unis, malgré que notre pays soit fondé la chrétienté. Je suis née en février 1990, à ce moment charnière où la guerre froide se terminait enfin. De 1983 à 1997, mes parents Paul et Mary avaient procréé sept fois. Adele était l’aînée. Ensuite, il y a eut Mathew en 1985, Daniel en 1988, moi, Judith en 1993, Mark en 1995 et Isaac en dernier.
L’agent n’était pas vraiment un problème pour mon père qui était enseignant – puis proviseur – dans un collège privé catholique de Seattle. Certains américains payaient chers pour que leurs enfants bénéficient d’une éducation digne de ce nom, dans le respects des valeurs du seigneur et de l’Amérique. Ma mère était femme au foyer, elle consacrait tout son temps et sa patience à ses enfants. Quatrième du lot, je n’étais ni la plus en avant, ni la plus gâtée. A partir d’un moment, c’était parfois Adele qui nous prenait en charge, pour soutenir notre maman qui n’avait plus assez de bras pour ses sept trésors.
Je crois avoir été la plus sage et la plus timide de la bande. On m’entendait peu mais j’écoutais beaucoup. J’aimais le calme serein de la prière, j’aimais l’écho grisant des voix qui s’unissaient dans le chant à l’église, j’aimais faire naître des sourires chez les autres par un don, un geste, une parole. Jusqu’à mes 10 ans, quand je n’étais pas à l’école, j’accompagnais régulièrement ma mère à nôtre paroisse. Elle y était très impliquée et moi, je trainais dans ses jambes. Ensuite, je me suis mis à parfois y venir de moi-même : j’aimais bien cette ambiance, j’ai même intégré les enfants de chœur pour venir chanter tous les dimanches.
Je peux affirmer avoir eu une éducation « équilibrée » dès le collège. Mes parents étaient très croyants mais mon père était aussi un homme de savoir. Il tenait à nous transmettre la sainte parole, mais aussi à ce que nous soyons réfléchis et cultivés. Il nous a notamment appris à relativiser l’interprétation des textes de la Bible avec les enseignements scientifiques du XXIè siècle.
A mon entrée au lycée, Adele et Matthew avaient quitté le foyer, embarqués tous les deux dans des missions humanitaires en Amérique du sud ou en Afrique. On ne les voyait qu’entre deux missions, attachés à aider la construction d’écoles dans des villages défavorisés. Le lycée, c’est aussi la période où j’ai changé ma manière de manger. La cause animale m’importait beaucoup, mes parents ont accepté de m’accompagner dans ma transition progressive, pour devenir totalement végétalienne à mes 18 ans.
Mes résultats scolaires étaient bons, j’ai d’abord fait des études de langues à l'université de Washington. Espagnol et portugais. Je voulais faire comme mes aînés et me préparais à des voyages au Brésil, en Colombie ou au Venezuela. Je n’ai bien entendu pas échappé à la complexité des relations amoureuses. Il m’est arrivé de fréquenté un ou deux garçons de bonne famille, je reconnais même avoir cédé à quelques baisers, mais jamais plus. Je ne voulais pas aller trop vite, j’étais très imprégnée par mon éducation qui voudrait que je me marie avant d’offrir mon corps, j’étais très attachée à mon activité à la paroisse aussi.
Au fil des années d’études, ma foi m’est apparue comme une évidence et j’ai commencé à prendre contacte avec des Sœurs et des communautés religieuses, pour me renseigner sur leurs actions et leur mode de vie. Lorsque j’ai eu ma licence à 21 ans, tout le monde était là pour fêter mes résultats, sauf Daniel. Il s’est senti étouffé par l’éducation familiale qu’il a rejeté en bloc et était parti vivre sa vie sur la côte Est depuis deux ans.
De mon côté… c’était tout l’inverse. J’avais trouvé ma voie : le couvent Lady of the rock. Je me languissais déjà de rejoindre leur mode de vie coupée du monde, fait de prière, de forêt, de rencontres, de paix, d’entraide et de partage. Je suis partie sur l’île de Shaw pour les rejoindre l’été 2011. C’était le début de mon postulat. Mes parents étaient ravis et finançaient mon séjour ; moi je découvrais leurs habitudes : cultiver leur propre nourriture, approfondir leur connaissance du Christ, accueillir des personnes de toute origine et de toute conviction pour quelques jours. L’hospitalité était leur maître mot. Nôtre maître mot.
L’été 2012, je devenais novice. J’adorais ce mode de vie, mes sœurs et surtout ma sœur-marraine étaient ravies de moi. Deux ans plus tard, je prononçais mes premiers vœux temporaires. Pour que ce soit plus simple, j'étais renommé sœur Madeleine. J’étais comblée. Mes parents étaient venus plusieurs fois me voir avec Adele, Matthew, Judith et Isaac. J’ai pu leur faire goûter à mon quotidien, à cette incroyable contemplation permanente. Mark avait, lui, suivi le modèle de Daniel et s’était échappé de la famille après le lycée. Ils n’ont m’a jamais écrit une seule fois. Je ne sais pas ce qu’ils deviennent.
L’été 2015, je venais de renouveler mes vœux temporaires. Et puis tout a commencé…
•• Octobre-novembre 2015 / Shaw Island
Nous n’avons pas la télé au couvent, ni internet. Les nouvelles nous parviennent principalement par les personnes qui font étape chez nous. Ils parlent de violence, l’intoxication alimentaire, de manifestations, d’émeutes. Comme les sœurs, je ne peux rien faire d’autre qu’offrir de mon temps et prier pour toutes ces personnes. Je souhaitais sincèrement que le monde des Hommes aille mieux.
Et puis… alors que le mois passait, les choses vinrent nous atteindre directement. Nous étions sur une petite île dominée par les forêts et les fermes. Nos seules communications avec le continent était le ferry mais ce dernier cessa subitement de venir. L’armée avait momentanément interrompu le trafic pour régulariser la situation à Seattle apparemment. Aussi peu nombreux que nous étions sur l’île – 165 plus les touristes – nous étions alors coupé de l’approvisionnement. C’est tout naturellement que nous avons invité toutes les personnes qui ne désiraient ou qui n’avaient pas de toit, de venir chez nous. Parmi ces pèlerins égarés le temps d’une crise, une femme de 90 ans, malade, qui avait à la base souhaité se recueillir chez nous pour se remettre du décès de son mari.
En novembre, nous n’avions plus aucune nouvelle du continent. La plupart des gens sur l’île, même les fermiers qui avaient leur maison, avaient pris l’habitude de venir aussi au couvent. Avec nos récoltes et les leurs, on parvenait à se nourrir. Des plats frugaux, végétaliens, je n’allais pas m’en pleine. Je priais chaque jour pour que les choses changent, je mourrai d’inquiétude pour ma famille, mais je gardais le sourire pour les autres. L'était de La vieille Margaret avait empiré à cause de l’humidité et des pluies incessantes. Si seulement nous avions eu un hôpital, nous aurions pu la faire prendre en charge. Nathaniel, un agriculteur en possession d’un petit bateau à moteur proposa de faire le trajet jusqu’au continent pour tenter de contacter quelqu’un. Braver le néant. On avait accepté : il partirait demain.
Mais demain, c’était trop tard. Margaret s’était éteinte dans la nuit. Par un procédé malin que nous ne saurions expliquer, elle s’était relevée une heure plus tard et avait mordu au sang quatre sœur et trois personnes avaient d’être neutralisée. Attachée solidement à un banc. Nous nous relayons alors pour prier pour elle sans relâche, terrifiée et fascinée par le démon qui agissait à travers elle. Les paroles du Je vous salue Marie et du Notre Père s’étaient gravées sur ma langue à force de les répéter. Les sœurs les plus confirmées osèrent des litanies latines inspirées de cérémonie d’exorcisme.
Margaret ne fut bientôt plus le seul de nos soucis. Les mordus tombèrent malade, terrassés par une fièvre fulgurante. Je perdis le sommeil à force de m’inquiéter, garder le sourire était devenu difficile. J’avais du mal à savoir quand s’arrêtaient et se commençaient mes prières. Je crois que mon cerveau avait fini par les réciter en boucle…
Nous devions être mi-novembre lors du carnage. Les mordus étaient décédés puis s’étaient tous relevés quelques heures plus tard. Tous. Je les vois encore se jeter sur nos réfugiés, arracher les chairs de leurs dents, dévorer indifféremment adultes et enfants. Ils étaient possédés par une entité digne du Diable en personne qui nous projetait devant la plus grande terreur des non-croyants : la Mort en personne. J’ai eu de la chance d’en réchapper. Beaucoup s’étaient enfuis, j’avais voulu rester jusqu’au bout, je hurlais des paroles saintes, acculées contre un mur, terrorisée. C’est Nathaniel qui m’a trouvé pour me forcer à abandonner cet endroit si important à mes yeux.
Nous avions vite compris que l’île était compromise, alors trois jours après le carnage, nous étions sur le bateau de Nathaniel avec quelques provisions. Il m’avait prêté des vêtements de sa grande fille qui n’était plus chez lui depuis longtemps, c’était plus confortable que ma robe de nonne. Abandonner le symbole de ma foi avait été difficile mais… la force de mon amour pour Dieu ne résidait pas dans mon habit.
Que pouvais-je faire seule ? J’étais comme une fillette apeurée qui avait égaré ses parents. Le moindre bruit me faisait sursauter, je ne prenais aucun risque mais alors, je ne mangeais plus. J’implorais le seigneur de m’entendre et deux jours après, il met sur ma route un groupe de personnes. Des gens débrouillards, armés, qui m’ont proposé de m’accueillir et de m’aider. J’ai accepté bien sûr ! Ils avaient un camp de caravanes dans le Schmitz preserve park.
Puis… j’ai compris que cette hospitalité avait un prix. Ils demandaient les faveurs des femmes et quand ils ne les avaient pas, ils les prenaient. La première fois que l’un d’eux s’était forcé en moi, j’avais cru mourir. La douleur et la violence, physique et psychologique, m’avait déchiré. La deuxième fois aussi, la troisième, la quatrième, la cinquième…
•• Janvier 2017 / Seattle
Plus d’un an était passé. Je m’étais habituée au traitement qu’on m’infligeait. J’avais vu d’autres femmes être jetées, chassées, étranglées. Moi, je baissais les yeux, j’obéissais. Je pense que passé un moment, j’avais appris à me projeter hors de mon corps. Il était souillé, mon esprit s’évadait. Je n’oubliais pas de me réfugier dans la prière : tout ceci était une épreuve, le Seigneur m’accordait d’être encore en vie. Le corps n’était qu’une enveloppe jetable mais mon âme aurait toujours sa place à ses côtés tant que je ne l’abandonnais pas dans mon cœur. Et je ne l’abandonnais pas. Pendant un an, j’avais appris à savourer les rares moments où on m’accordait un geste d’humanité, à profiter des périodes où je n’étais pas abusée, à tisser des liens avec mes compagnes d’infortunes. J’arrivais même à leur sourire parfois, lorsque nous étions à l’abri des hommes. J’avais bien sûr dû revoir mes convictions alimentaires, je n’étais pas en position de faire la difficile…
Un jour, on m’a emmené dans une maison du quartier Alki. Je suppose qu’ils voulaient se débarrasser de moi : la nourriture manquait, ils ont dû faire un choix dans les filles qu’ils voulaient garder. Ils étaient cinq et je crois qu’ils voulaient « marquer le coup ». J’ai été si violemment humiliée que j’ai cru que je ne serai jamais en état de me relever. D’ailleurs, je pense qu’eux aussi l’ont cru, car ils m’ont simplement abandonnée là, sans m’achever ; nue et couverte de bleus. C’est la première fois de ma vie que j’ai douté. Je l’admets devant le Seigneur. Je me suis demandé : s’il avait un plan pour moi, pourquoi doit-il me faire subir toutes ces atrocités ? Je sentais brisée, déshumanisée, salie, faible.
J’ai pleuré, j’ai rampé jusqu’à un lit, j’ai dormi des heures. J’étais glacée en me réveillant. J’ai subtilisé des vêtements dans une armoire et je suis sortie. Mon réflexe ? Aussi bête que ça puisse paraître aujourd’hui, je suis retourné au parc. C’était le seul repère que j’avais et je ne me voyais toujours pas me débrouiller seule. J’avais appris le minimum auprès d’eux – comment tuer les possédés, comment ils se repéraient, comment les tromper – mais ça ne suffisait pas.
Je fus guidée par une fumée noire. Sur place, je constatais que tout avait brûlé. Je ne saurais jamais comment, ni pourquoi, mais les caravanes étaient calcinées et les corps qui ne l’étaient pas totalement rôdaient en grognant. J’ai immédiatement regretté d’avoir douté de Dieu : dans mon malheur, il m’avait sauvée de ce sort. Je n’ai pas eu d’autre choix, je suis partie.
•• Fin mars 2019 / Seattle
Il n’y avait plus que moi et Mary-Ann. Sa sœur était morte quelques mois auparavant, une grippe qui avait mal tourné. Je n’avais jamais retrouvé mes parents, alors j’avais gardé le pli de survivre au jour le jour avec mes deux complices. Nous évitions les ennuis, nous restions discrètes, c’était notre mantra – même si je ne pouvais m’empêcher parfois d’aider des personnes vraiment démunies, j’étais comme ça. Nous étions absente lors l’attaque qui avait traumatisé le No man’s land mais ça nous avait convaincu de partir. Une fois de plus, le Seigneur m’avait épargné un carnage, le signe était clair : aller de l’avant.
•• Juin 2019 / Fort Ward
Passé quelques semaines d’adaptation, j’ai trouvé ma place à Fort Ward. J’ai appris à me faire une idée sur June Phelbs, on m’a révélé certains des « exploits » de cette communauté. Ces massacres sont condamnables mais je crois aussi que Dieu nous met à l’épreuve. Je suis passé par des choses horribles avant d’arriver ici et je crois que ce n’est pas par hasard. Et si les premières heures de cette communauté étaient sombres, j’espère pouvoir l’aider à retrouver la voie de la lumière.
Je garde des séquelles de l’année à Schmitz park, mais je retrouve mes instincts dirigés vers l’entraide désintéressée. Je partage mon temps entre le travail de la terre sous les directives de Valentine – j’ai conservé quelques connaissances de mes années au couvent –, le dispensaire, où j’aide aux tâches qui ne demandent pas de compétences médicales et l’église. Je prie, tous les jours : pour ce camp, pour les gens qui y habitent, pour l’avenir. Je pense pouvoir aider le pasteur William à rétablir des offices réguliers. Nous ne sommes pas de la même confession, mais je pense que dans des temps pareils, l’amour de Dieu se fiche des étiquettes.
• Âge irl : Trop
• Présence : Trop
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]
• Code du règlement :
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? :
La question c'est : pourquoi je suis encore là ?!
• Crédits (avatar et gifs) :
Bazzart
passeport :≡ recensement de l'avatar. - Code:
Elizabeth Olsen • <bott>Eve-Madeleine Bethany</bott>
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• Eve-Madeleine
≡ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
• Bethany
≡ recensement du métier. - Code:
• Nonne (novice)
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Re: I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 2:51
Bonne rédaction !
*Suspicious eyes.*
Je te dis pas de me mp pour des questions et j'exige de voir le code du règlement!
Sinon bah... rebienvenue!
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Re: I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 2:55
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Re: I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 3:01
J'ai pas fini avec toi
- May L. Goldenberg
The Guardians | Medic
Modératrice
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Re: I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 9:21
Je voulais savoir si t'avais conscience que les voies du seigneur sont impénétrables ? Un truc dans le genre je crois, j'ai jamais lu la bible mais bon cékon que je sois plus TR tien xDDD
Sinon re hein pour la dix millièmes fois à peu près
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Re: I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 9:36
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Re: I had a dream that all of time was running dry
Jeu 13 Juin 2019 - 11:42
Nathan E. Fuller a écrit:Je me suis longuement demandé avec qui dire re du coup ... nan je deconne xD
Je voulais savoir si t'avais conscience que les voies du seigneur sont impénétrables ? Un truc dans le genre je crois, j'ai jamais lu la bible mais bon cékon que je sois plus TR tien xDDD
Sinon re hein pour la dix millièmes fois à peu près
Le Christ lui-même faisait l'objet de moqueries et de discredit. Je ne saurais m'offenser car pour moi, il n'est jamais trop tard pour faire la lumière dans son coeur. Le Royaume des cieux sera toujours ouvert à ceux qui s'inquieteront du bien d'autrui et chercheront à devenir meilleurs, même alors qu'ils n'envisagent pas le Seigneur comme une réponse à leur existence
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