I Finally See The Dawn Arriving
Lun 15 Juil 2019 - 22:30
Il fallait que j’apprenne à tenir une arme correctement, c’était le débat du moment à en croire certaine personne qui gravité autour de moi. Je n’avais pas assez de réflexes en matière de défense, mais en même temps, j’avais vachement mieux à penser. Cette histoire ne me plaisait pas vraiment, mais je n’avais pas tant de choix que ça. Je soupirais alors que j’avais appris qu’on avait organisé pour moi un cours de défense avec un type. Je ne savais même pas comment il s’appelait, je ne l’avais jamais croisé du moins, je ne l’avais jamais remarqué. Je sentais que ça allait être fun cette histoire…
Bon, même si le cours se passait en extérieur, il était hors de question que Rich vienne avec moi, je n’allais pas laisser un chien sur un champ de bataille surtout avec ses pattes microscopiques, c’était un coup à ce qu’il se fasse marcher dessus. L’idée m’arracha un sourire l’espace d’un instant, mais je savais que ce n’était pas très gentil. C’était mon chien quand même, si je ne l’aimais pas, qui le ferait ? L’idée était quand même super comique, alors je gardais un sourire sur le visage pendant un instant avant de me préparer à sortir, il faisait chaud dehors alors je n’allais pas beaucoup m’habiller, si c’était une erreur stratégique et bien tant pis.
Juste un débardeur que j’avais rentré dans mon short avec une ceinture pour bien le tenir en place. J’avais pris des chaussures de marche qui m’avait été fournie plutôt dans l’année et une casquette pour me protéger du soleil tout en coinçant mes cheveux à l’intérieur. J’avais également pris une paire de gants pour me protéger les mains. C’était mon outil de travail et je voulais être capable de continuer mes recherches ensuite. De toute façon, je n’avais pas d’arme alors je risquais de rejoindre le camp d’entrainement avec un objet pointu ou une arme à feu. Un jour, j’aurais peut-être un truc, mais ce n’est pas pour tout de suite, avec un couteau, je serais capable de me planter une main et avec une arme à feu à me tirer dans le pied. Bref, du boulot pour les médecins alors qu’ils n’en ont pas besoin.
Je fis une rapide caresse à l’animal qui habiterait seul la maison pendant mon absence avant de me rendre à bon pas dans la partie entrainement du camp. Je cherchais un dénommé Denis, Denis Preacher. On m’avait dit qu’il était Marshall avant l’épidémie, enfin des informations qui ne m’avaient pas spécialement éclairé sur sa personne. Je n’étais pas heureuse d’être ici, mais une chose qu’on ne pouvait pas m’enlever c’était ma ponctualité. J’étais arrivé avec quelques minutes d’avance si j’en croyais ma montre et je savais que c’était le cas, puisque s’il y avait un truc que je ne supportais pas, c’était bien d’être en retard. Il y avait déjà un homme grand à l’air un peu sombre, du moins, il avait le visage assez carré à mon gout, est-ce que c’était lui, je crois que oui, mais rien de vraiment certain. J’ai toujours du mal avec les non-scientifiques, je ne suis pas physionomiste.
- Bonjour. Ma voix était neutre, je ne suis pas de ses filles qui parlent de façon enjouée. C’est bien toi Denis ? Je t’importune parce qu’il parait que mon éducation martiale est un vrai problème aux yeux des supérieurs. Enfin, je suppose que tu en as entendu parler.
S’il était là, c’était presque parce que June en avait donnée l’ordre, enfin, je ne crois pas que ce soit monté aussi haut, mais j’aimais bien l’idée. Après entre la vérité et la fiction, il y a souvent une grosse marche.
- Je n’ai pas spécialement envie d’être ici alors si on peut y passer deux heures et qu’on en reste là c’est tout aussi bien.
Ce n’était pas contre lui, c’était juste que ça me faisait chier. Je lui annonçais directement la couleur, y avait pas à tortiller du cul, plus vite on finissait mieux ça serait.
Bon, même si le cours se passait en extérieur, il était hors de question que Rich vienne avec moi, je n’allais pas laisser un chien sur un champ de bataille surtout avec ses pattes microscopiques, c’était un coup à ce qu’il se fasse marcher dessus. L’idée m’arracha un sourire l’espace d’un instant, mais je savais que ce n’était pas très gentil. C’était mon chien quand même, si je ne l’aimais pas, qui le ferait ? L’idée était quand même super comique, alors je gardais un sourire sur le visage pendant un instant avant de me préparer à sortir, il faisait chaud dehors alors je n’allais pas beaucoup m’habiller, si c’était une erreur stratégique et bien tant pis.
Juste un débardeur que j’avais rentré dans mon short avec une ceinture pour bien le tenir en place. J’avais pris des chaussures de marche qui m’avait été fournie plutôt dans l’année et une casquette pour me protéger du soleil tout en coinçant mes cheveux à l’intérieur. J’avais également pris une paire de gants pour me protéger les mains. C’était mon outil de travail et je voulais être capable de continuer mes recherches ensuite. De toute façon, je n’avais pas d’arme alors je risquais de rejoindre le camp d’entrainement avec un objet pointu ou une arme à feu. Un jour, j’aurais peut-être un truc, mais ce n’est pas pour tout de suite, avec un couteau, je serais capable de me planter une main et avec une arme à feu à me tirer dans le pied. Bref, du boulot pour les médecins alors qu’ils n’en ont pas besoin.
Je fis une rapide caresse à l’animal qui habiterait seul la maison pendant mon absence avant de me rendre à bon pas dans la partie entrainement du camp. Je cherchais un dénommé Denis, Denis Preacher. On m’avait dit qu’il était Marshall avant l’épidémie, enfin des informations qui ne m’avaient pas spécialement éclairé sur sa personne. Je n’étais pas heureuse d’être ici, mais une chose qu’on ne pouvait pas m’enlever c’était ma ponctualité. J’étais arrivé avec quelques minutes d’avance si j’en croyais ma montre et je savais que c’était le cas, puisque s’il y avait un truc que je ne supportais pas, c’était bien d’être en retard. Il y avait déjà un homme grand à l’air un peu sombre, du moins, il avait le visage assez carré à mon gout, est-ce que c’était lui, je crois que oui, mais rien de vraiment certain. J’ai toujours du mal avec les non-scientifiques, je ne suis pas physionomiste.
- Bonjour. Ma voix était neutre, je ne suis pas de ses filles qui parlent de façon enjouée. C’est bien toi Denis ? Je t’importune parce qu’il parait que mon éducation martiale est un vrai problème aux yeux des supérieurs. Enfin, je suppose que tu en as entendu parler.
S’il était là, c’était presque parce que June en avait donnée l’ordre, enfin, je ne crois pas que ce soit monté aussi haut, mais j’aimais bien l’idée. Après entre la vérité et la fiction, il y a souvent une grosse marche.
- Je n’ai pas spécialement envie d’être ici alors si on peut y passer deux heures et qu’on en reste là c’est tout aussi bien.
Ce n’était pas contre lui, c’était juste que ça me faisait chier. Je lui annonçais directement la couleur, y avait pas à tortiller du cul, plus vite on finissait mieux ça serait.
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