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I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 1:31

AkikoRose
Watson

WHO AM I
- Informations personnage -
Nom : Watson
Prénom(s) : Akiko, Rose
Âge : 30 ans
Date de naissance : 09 septembre 1989
Lieu de naissance : Los Angeles
Nationalité : Américano-japonaise
Groupe : The Haven
Ancien métier : Vétérinaire
Célébrité : Tao Okamoto
- Défauts -
Introvertie
Secrète
Obstinée
Cynique
Emotive
- Qualités -
Indépendante
Dévouée
Réfléchie
Amicale
Dynamique

WHAT'S IN MY HEAD

- Psychologie du personnage -

Akiko a reçu une éducation ancrée dans la tradition japonaise, ce qui a donc en grande partie modelé son caractère. Peu démonstrative, on lui a appris à garder une certaine réserve polie, surtout vis-à-vis de ses propres sentiments. En d'autres termes, elle n'est pas du genre à partager ses problèmes, considérant qu'elle n'a pas à embêter les autres avec ça. De nature introvertie, elle gardera la plupart des choses pour elle-même, et il n'est pas évident de la faire parler à cœur ouvert. Pour cette raison, on peut également affirmer qu'elle est plutôt secrète, n'acceptant pas de se livrer facilement. Paradoxalement, elle est loin d'être insensible, contrairement à ce que son masque de réserve pourrait faire penser à certains. Elle est même relativement émotive, défaut qu'elle a appris à cacher. En bien ou en mal, elle est souvent impactée par les événements au plus profond d'elle-même. Un certain nombre d'événements tragiques depuis le début de l'apocalypse ont ainsi laissé leur marque en elle. Elle a également tendance à faire preuve de cynisme et à jouer d'un humour un brin caustique. Pour finir, Akiko sait généralement ce qu'elle veut et quels objectifs elle doit se fixer. Une fois qu'elle en a défini un, elle fait preuve d'une obstination pratiquement à toute épreuve, étant prête à se donner tous les moyens pour y parvenir.

D'un autre côté, la jeune femme est une personne sur qui on peut compter. Dévouée, elle est prête à se mettre en quatre pour rendre service ou se montrer utile, qu'il s'agisse de la vie du camp ou bien de quelqu'un à aider. Bien qu'ayant ce côté réservé, elle se montre aussi amicale et se liant facilement avec les gens. De manière générale, elle est de compagnie agréable et s'entoure d'un cercle de proches sans trop de difficultés. Certains diraient qu'elle a ce côté un peu discret et fragile au premier abord que l'on peut souvent attribuer aux Japonais éduqués traditionnellement, mais il ne faut pas se fier aux apparences. Un peu à la manière d'un chat, elle est indépendante et capable de se débrouiller seule sans aucun mal. Dotée d'un esprit d'initiative, il n'est pas rare de la voir agir comme un électron libre. Réfléchie, elle n'est pas du genre à foncer dans le tas sur un coup de sang, préférant soigneusement penser son action avant d'agir. Enfin, elle fait preuve d'un grand dynamisme, préférant de loin s'acharner au travail que de rester oisive, ce qui est plutôt un bon point dans le monde actuel.


WHAT AM I MADE OF

- Physique / équipement -

Akiko n'est pas particulièrement grande, ni particulièrement imposante. Toisant un mètre soixante quatre, elle est fine avec une musculature sèche et déliée, plutôt discrète. Elle a de longs cheveux noirs qu'elle prend soin d'attacher avant toute sortie, sachant le danger que cela peut représenter si un rôdeur parvient à s'en saisir. Ses yeux sont sombres, presque noirs, mais néanmoins expressifs. La survie a laissé diverses cicatrices sur son corps, mais heureusement pour elle rien de trop voyant.

La jeune femme possède plusieurs armes récupérées notamment lorsqu'elle survivait en camp militaire au début de l'apocalypse. Elle possède ainsi un Beretta, un fusil de précision et un couteau de combat qui lui ont été donnés à la fin de son entraînement. Lorsqu'elle sort du camp, elle prévoit toujours un sac à dos de randonnée avec le nécessaire de survie pour elle et Amarok : trousse de secours, couverture, rations, eau, galettes d'avoine, pince, lampe torche, corde, pied de biche, munitions. Elle a également les sacoches de selle de son cheval qui peuvent lui servir à transporter du matériel si nécessaire.


HEAR MY STORY


Akiko est née le 9 septembre 1989 à Los Angeles. Elle est la dernière née d'une famille comptant déjà trois enfants : deux filles et un garçon. Côté paternel, sa famille s'est installée aux États-Unis dans les années 1920, peu avant la Seconde Guerre Mondiale, et a donc eu à subir les persécutions à l'encontre des Japonais américains durant cette période. Son père, Akira Sawada, chef cuisinier dans un restaurant japonais réputé de Los Angeles, était parti faire sa formation au Japon dans sa jeunesse. C'est là qu'il a rencontré sa femme, qu'il a ensuite ramenée avec lui aux États-Unis.
Dernière de la fratrie, Akiko a grandi bien entourée de ses deux sœurs Mitsuko et Yumiko et de son frère Hiro. Chaque membre de la fratrie possédait par ailleurs un deuxième prénom américain, en hommage au pays qui les avait vus naître. Éduquée surtout par sa mère dans les traditions japonaises, elle en a acquis ce savoir-vivre à la japonaise très différente de ce que l'on peut rencontrer dans les pays occidentaux. Elle est également bilingue anglais et japonais, comme toute sa famille. Durant sa vie, elle a été amenée à voyager au Japon à de nombreuses reprises, ne serait-ce que pour rendre visite à sa famille maternelle.
Ses parents se sont montrés exigeants sur ses résultats scolaires durant toute sa jeunesse, ce qui lui a permis d'acquérir le goût de l'effort. Loin d'être une fainéante, Akiko a toujours voulu se montrer digne des attentes que l'on plaçait en elle, même si cela signifiait parfois faire l'impasse sur des sorties entre amies pour rester à étudier.

En grandissant, Akiko a peu à peu construit un goût pour la littérature, les voyages, la nature, qui l'ont peu à peu aiguillée vers son futur métier. S'étant lancée dans la photo d'animaux et de paysages par loisir dès le lycée, elle a poursuivi dans cet intérêt sous un angle différent en projetant de devenir vétérinaire. Les efforts que ce projet induisaient ne l'effrayaient pas le moins du monde, et elle se mit à travailler d'arrache-pied, surtout une fois parvenue à l'université. À la même époque, sa sœur Mitsuko est partie s'installer au Japon pour y vivre et travailler dans le tourisme, un secteur plus que florissant. Cela donna à toute la famille diverses occasions d'aller lui rendre visite.
Durant ses études, Akiko a fait la rencontre d'un jeune homme prénommé Chris lors d'une soirée réunissant plusieurs cercles d'amis. Ils ont rapidement sympathisé et ont gardé le contact, malgré le fait que celui-ci soit militaire et ne passe à Los Angeles que de temps à autres pour rendre visite à des amis ou de la famille. De fil en aiguille, ils finirent par sortir ensemble, à distance dans un premier temps puis de manière plus définitive lorsque la jeune femme termina avec brio ses études et partir s'installer avec lui à Seattle.

Là-bas, elle s'associa avec une vétérinaire bientôt à la retraite qui cherchait quelqu'un qui pourrait reprendre son cabinet par la suite. L'installation dans cette nouvelle vie lui convint parfaitement, et elle trouva rapidement ses marques. L'ambiance au travail était agréable, son métier lui convenait, et sa relation avec Chris se passait on ne peut mieux. En 2014, le couple passa une nouvelle étape en se mariant, et Akiko prit ainsi le nom de famille de son mari : Watson. Cela lui valut nombre de plaisanteries bon enfant au travail, puisque ses collègues se mirent à l'appeler Docteur Watson.

En dépit de l'éloignement géographique, elle resta très proche de sa famille et leur rendait visite dès que possible. Elle en profita également pour emmener Chris plusieurs fois au Japon faire la connaissance de sa sœur et de sa famille maternelle. Le principal inconvénient du métier de son mari étant l'absence fréquente doublée de risques pour sa vie, Akiko dut trouver des moyens de meubler son temps libre durant son absence. Poursuivre son travail de photographe amateur était une bonne option qu'elle privilégia, en plus de son intérêt pour la littérature. Elle fit également du bénévolat auprès des sans-abris et des animaux abandonnés. Dans le domaine de la photo, elle eut même l'initiative de tirer des portraits de ses patients ou de ceux auprès de qui elle était amenée à intervenir dans le cadre de son bénévolat. Cela lui permit ponctuellement de récolter des fonds pour les organisations auprès desquelles elle était engagée.

Le couple était en train de monter des projets d'avenir lorsque tout bascula. Fin 2015, Chris fut sans doute au courant plus vite que la moyenne de la population que quelque chose n'allait pas. Si rien ne leur fut clairement dit avant l'annonce officielle, les ordres que les militaires recevaient indiquaient clairement que quelque chose de grave se préparait. Cela leur permit au moins de se préparer en avance, de faire quelques réserves et de contacter leurs proches. Pour autant, ils ne furent pas à l'abri lorsque l'impensable se produisit.


Octobre 2015 : Lorsque l'évacuation fut mise en place suite à la divulgation de l'épidémie, Chris prit les choses en main pour rapatrier Akiko avec lui dans le camp militaire auquel il était rattaché, hors de Seattle. Il préférait largement s'éloigner de la ville où se déroulaient des combats avec les infectés, contrairement aux gros camps de réfugiés qui se trouvaient en son centre. La jeune femme ne prit que le strict nécessaire pour survivre, sachant qu'ils étaient pris en charge au camp. Il s'agissait d'une structure temporaire à plusieurs kilomètres de la banlieue de Seattle, où étaient gérés notamment les véhicules de l'armée. Prenant place dans des bâtiments solides et un périmètre clôturé, les lieux étaient relativement sûrs. Le fait de voir son mari partir fréquemment sur des opérations aussi dangereuses mit cependant les nerfs d'Akiko à rude épreuve. De même, elle perdit rapidement le contact avec sa famille, ce qui la plongea dans un état d'angoisse qu'elle intériorisa si bien que seul son époux savait ce qui pouvait la travailler.

Fin 2015 – novembre 2016 : Le camp militaire survécut et s'organisa seul autour de la hiérarchie de l'armée une fois que l'épidémie eut gagné et que toute forme d'autorité se fut écroulée. La vie au sein du camp ne fut pas forcément trop dure, puisqu'ils possédaient pas mal de ressources, d'armement et de réserves, et que les hommes et femmes présents étaient pour la plupart très compétents sur le terrain pour effectuer des opérations de ravitaillement. Dans un premier temps, Akiko avait formé le projet de se rendre au Japon pour fuir l'épidémie, avec tous les avantages que pouvait présenter une île. Très rapidement, elle avait dû abandonner cette idée, tout comme l'espoir de pouvoir à nouveau contacter ses proches. Si cela la mina sérieusement pendant plusieurs semaines, elle finit par se ressaisir pour se rendre utile et survivre au sein du groupe. Sur l'insistance de Chris qui voulait qu'elle soit capable de se débrouiller seule, la jeune femme suivit une intense formation quotidienne au tir à l'arme à feu, au maniement des armes blanches et au self-defense.
Si les débuts furent très éprouvants pour elle, elle s'avéra rapidement être douée avec une arme à feu à la main. Elle apprit même le maniement du fusil de précision, pour lequel il était nécessaire d'allier précision, patience et discrétion, des qualités qu'elle possédait largement. Une fois formée, elle participa à de plus en plus d'opérations sur le terrain en compagnie des militaires. A cette occasion, elle fit pour la première fois la rencontre de rôdeurs en chair (putride) et en os (visibles). En effet, lors de son évacuation vers le camp militaire, Chris avait pris le soin d'éviter toute confrontation avec les créatures. De fait, la jeune femme ne les avait donc vus que dans les médias. Si cette première rencontre fut marquante et choquante, elle eut la chance d'être bien entourée. Ses équipiers purent lui expliquer comment se défaire des monstres par elle-même, et cela l'aida à reprendre le contrôle et à apprendre à les combattre. Elle y repensa toutefois longuement après coup, choquée de ce qu'étaient devenus ces êtres humains infectés. Elle pensa également à sa famille, espérant qu'ils n'avaient pas subi le même sort. A force de considération, elle rapprocha ces créatures de certains démons de la culture japonaise, sachant qu'il était donc important de ne plus les considérer comme des humains. Ce fut sans doute incongru, mais elle ne pouvait pas se considérer malheureuse durant cette période, certes éprouvante, mais teintée de franche camaraderie.
Cela ne dura cependant pas éternellement. En novembre 2016, le groupe fut attaqué par une horde de rôdeurs vraisemblablement attirée par des bruits inhabituels. La pression du nombre suffit à faire finalement céder les grillages de sécurité, et une brèche à l'intérieur laissa se déverser le flot de morts-vivants. Chris fut mordu et tué en permettant à sa femme de fuir, laissant une image terrible gravée à jamais dans son esprit.

Novembre 2016 – Janvier 2017 : A la suite de la chute du camp militaire, Akiko s'est retrouvée seule sur les routes. Sans aucun doute, cette période d'errance a été à la fois la plus dure et la plus instructive pour elle. Dans un premier temps, la perte de son mari l'a laissée paralysée de douleur, prostrée dans une maison vide qu'elle avait pu rejoindre. Lorsqu'elle commença à approcher de la fin des rations qu'elle avait pu emporter dans sa fuite, elle a dû se débrouiller seule, surmonter sa peine et apprendre à survivre hors d'un environnement sécurisé. Son avantage était d'être armée, et cela lui permit notamment de se sortir de quelques mauvaises rencontres. Sans nul doute, son aptitude au tir et ses leçons soutenues de self defense lui ont permis de tenir seule dehors durant les pires mois de l'année. Cela a été pour elle l'occasion d'apprendre à perfectionner ses techniques d'affrontement des rôdeurs, à dissimuler ses traces, à rester discrète, à sécuriser un logement, à trouver de la nourriture, de l'eau et de l'équipement... Bref, elle apprit sans doute plus encore sur la survie en l'espace de trois mois à la dure que protégée dans un camp. Connaissant le danger que présentaient les zones densément peuplées de rôdeurs, Akiko fit le choix de s'éloigner de Seattle pour trouver refuge plus près des anciens parcs naturels. Ce fut ce qui lui permit de trouver un nouveau toit de manière durable.

Janvier 2017 – Septembre 2018 : Akiko tomba en plein hiver sur deux cavaliers qui avaient des problèmes avec une de leurs montures, qui boitait bas. Sachant que cela pouvait être dangereux pour un cheval voire le condamner, ils ne baissèrent leur garde et que quand elle leur proposa d'examiner l'animal, annonçant qu'elle était vétérinaire. Cet examen acheva de faire disparaître leur méfiance, et ils lui proposèrent de les rejoindre dans leur ancien ranch. Elle accepta, et se retrouva bientôt logée au sein d'un groupe de survivants occupant un ancien ranch d'élevage et touristique. Si la majorité du groupe était composé des propriétaires et de leurs employés, il y avait aussi les familles de ceux-ci et quelques arrivants comme Akiko. En tant que vétérinaire, elle tombait à point pour se rendre utile, puisque les bêtes étaient au centre de la survie du groupe, qu'il s'agisse des bovins ou des chevaux. Elle survécut durant deux ans avec eux, retrouvant la sérénité qu'elle avait pu éprouver au sein de son ancien groupe, s'attachant aux autres et se trouvant une vraie place. Les chevaux étant le seul moyen de locomotion du groupe, ou presque, savoir monter était essentiel. Akiko reçut donc des cours durant de longs mois avec des instructeurs, jusqu'à ce qu'elle sache suffisamment bien monter à cheval. Malheureusement, les rôdeurs furent une fois de plus à l'origine de la chute de ce groupe. Lorsque le ranch fut envahi, Akiko fit de son mieux pour sauver le plus de vies possibles et pour abattre les mordeurs. Elle finit cependant par être séparée d'autres survivants et n'eut pas d'autre choix que de fuir à cheval avec sa monture habituelle, un étalon appaloosa nommé Amarok, qu'elle a gardé depuis.

Octobre 2018 : Après environ un mois d'errance, Akiko finit par tomber de manière impromptue sur un autre ranch habité par des survivants. Elle arriva dans un contexte trouble, le groupe du ranch étant sous l'oppression d'une coalition de deux autres. La jeune femme aurait eu toutes les raisons du monde de passer son chemin, mais elle avait eu de bref contacts avec plusieurs survivants du groupe du ranch qui lui semblaient être des braves gens. Malgré ses réserves, elle finit par les rejoindre en espérant pouvoir se rendre utile. Néanmoins, sachant parfaitement les dangers qui planaient sur eux, elle se tenait prête à prendre la fuite si vraiment la situation empirait.

Novembre 2018 : Les choses se dénouèrent finalement, puisque le groupe parvint à se libérer du joug de ses oppresseurs grâce à une alliance avec le groupe des Messiah, en faisant parler les armes. Y voyant une occasion de faire ses preuves et de prouver sa loyauté, Akiko a pris part aux événements en n'hésitant pas à faire parler la poudre de manière appropriée. Ses talents à l'arme à feu s'avérèrent pour le moins utiles. Lorsque la décision fut prise de quitter le ranch pour se rendre dans un fort-musée, la jeune femme suivit le mouvement, peu désireuse de quitter des gens à qui elle s'était attachée et d'affronter la saison froide seule dehors. Même en étant débrouillarde, ce n'était pas la meilleure chose à faire lorsque l'on a deux doigts de bon sens.

Décembre 2018 – été 2019 : Akiko passa de longs mois à prendre ses marques et à trouver sa place au sein du groupe. Elle n'eut guère de mal à s'intégrer et à nouer des liens avec les autres membres du groupe, ne ménageant jamais ses efforts pour le bien commun. Elle veille notamment au bien-être des animaux, et surtout des chevaux, ce qui est apprécié d'Isaac. Elle prit l'habitude de partir seule à cheval, parfois pendant plusieurs jours, afin de ramener des ressources au groupe ou simplement de faire de la reconnaissance. Bien que fonctionnant très bien en électron libre, elle apprécie le travail d'équipe et ne rechigne jamais à faire sa part. Ces mois lui permirent ainsi de se roder, de nouer des liens et de prendre ses habitudes au sein du groupe.

Fin novembre 2019 : Lorsque l'attaque du convoi de troc survint, Akiko était partie de son côté à cheval depuis quelques jours pour trouver des ressources particulières pour les montures du groupe. Elle n'a ainsi appris ce qui s'était passé qu'à son retour, ce qui la mortifia profondément. Elle s'en voulut être partie sans le savoir au mauvais moment, sachant qu'elle aurait pu se montrer utile pour les siens. Cela modifia quelque peu son approche de ses patrouilles montées habituelles. Désormais, elle prête beaucoup plus attention aux traces d'une éventuelle menace et n'hésite pas à abattre ce qui pourrait être un danger pour le groupe, ce qui désigne au premier plan les rôdeurs errants. Même si, il faut l'avouer, les résidus des Scarecrows restent en bonne place dans sa liste.



Akiko a très bien pris ses marques au sein des Haven. Elle considère de plus en plus ces gens comme une nouvelle famille, et se montre en conséquence prête à tout pour apporter son aide et pour les protéger. Elle voit les relations au troc comme une chance de construire à nouveau quelque chose de plus grand et de plus durable. La déconvenue rencontrée avec les Scarecrows fin novembre 2019 l'a cependant fait réfléchir aux nombreux risques et convoitises que cela comporte, et elle comprend les hésitations qu'il peut y avoir à poursuivre dans cette direction.

De par son éducation traditionnelle japonaise et le fait d'avoir côtoyé les militaires, la jeune femme a un énorme respect pour l'autorité et la hiérarchie. Elle entend cependant que sa loyauté est assujettie à une certaine forme d'honneur, de bon sens et de notion du bien commun. Si elle n'a aucune fibre rebelle, et qu'elle se montre prompte à obéir aux ordre, elle ne suivra toutefois jamais quelqu'un qu'elle considère prendre les mauvaises décisions ou agir d'une mauvais façon.

Au sein du groupe, elle met ses capacités à contribution au premier plan pour les soins apportés aux animaux, ce qui est toujours sa priorité au sein d'une journée et la première chose qu'elle fait. Elle s'occupe notamment toujours elle-même d'Amarok, avec qui elle a un lien de confiance et d'affection privilégié. Elle fait également partie de ceux qui s'occupent du ravitaillement, et contribue aussi à la surveillance et aux tours de garde. Lorsqu'elle part en expédition à cheval, elle vise toujours à veiller à la sécurité du groupe ou à ramener des vivres ou du matériel utile pour tous.


Time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Big Bad Wolf
• Âge irl : 28 ans
• Présence : Quotidienne
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ]
• Code du règlement : Validé Markus

• Comment avez-vous découvert le forum ? :
Ca date d'il y a 6 ans, alors...
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Il ne faut jamais savoir s'arrêter !
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 2:04

Re-Bienvenue avec ce nouveau personnage :smile42:
Et bon courage pour la rédaction ta fiche!
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 2:26

Bienvenue o/
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 7:07

Bon bah yo hein xD
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 8:36

re-re-re-re...-re-bienvenue avec ce perso =P Superbe vava !
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 8:52

Rebienvenue oui!


Inachevés
La médiocrité commence là où les passions meurent. C'est bête mais j'ai besoin de cette merde pour sentir battre mon cœur. J'ai tellement misé sur mes faiblesses et mes failles, j'mérite une médaille au final j'ai fait qu'briller par mes absences.
Levi M. Amsalem
Levi M. Amsalem
The Guardians | Leader
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

Mer 11 Déc 2019 - 9:10

Rien que l'avatar je suis amoureux Razz

Pas besoin de te remettre le topo hein, tu sais tout !
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Re: I'm not lost, I'm exploring - Akiko R. Watson

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