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Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 13:56

Lexie Sway

tell me more about you

prénom(s) : Lexie
nom : Sway
date de naissance : 18 juillet 1993
âge : 28 ans

ville de naissance : Seattle
métier : Détective Privée
groupe : Gentle Bastards

avatar : Stella Maevei


what i am
qualites
Intelligente
Observatrice
Agile
Rusée
Tenace

defaults
Manipulatrice
Egoiste
Opportuniste
Matérialiste
Immature
Equipement :
Une arme de poing (Springfield 1911 - A1) qu'elle à réussi à récupérer sur un corps encore chaud. Elle essaie cependant de l'utiliser le moins possible.

Un couteau de chasse, classique mais beaucoup plus efficace quand elle doit se faufiler et jouer les vipères.
     
Details physiques :
Je suis une petite brune, 1m53 et les cheveux longs et marrons. On m’a toujours dit que ma petite taille m’empêcherait d’accomplir de grandes choses, et je suis assez fière de montrer à tous ces petits cons à quel point ils ont pu tous se tromper, enfin s’ils n’étaient pas tous morts ou presque. Je ne peux pas dire que ma petite taille ait toujours été un défaut justement, surtout quand il permet de se faufiler plus facilement et de se faire plus discrète quand il le faut et ça me rappelle bien les missions tordues dans lesquelles m’envoyait le vieux Franck.

On me décrit généralement comme une belle femme, bien faite et qui prend soin d’elle, enfin quand je le pouvais encore et pourtant je vous promets que je fais ce que je peux dans ce monde de fous, avec un corps assez sportif, vu les endroits parfois louches dans lesquelles il fallait que je me planque c’était parfois mieux. J’aime être belle c’est un fait, et je dois bien avouer que j’en ai pas mal joué pour arriver à mes fins et cela même quand j’avais encore de l’argent. J’ai des yeux marrons qui vont parfaitement bien en adéquation avec mes cheveux et je sais utiliser ma petite bouille pour amadouer les plus durs. Mon sourire ressemble à s’y méprendre à celui de la petite fille bien sage, mais il ne faut pas tomber dans le piège, je n’ai rien d’une charmante fille.

Je n’ai jamais fait ni tatouage ni piercing, je considère que mon corps est parfait tel qu’il est, au naturel et surtout à l’époque, ça faisait fille de mauvais genre, j’ai quand même eu à un moment donné une image parfaite et impeccable à tenir.

Niveau style vestimentaire, disons que j’ai toujours gardé en moi ce coté à vouloir être bien habillée, je porte souvent des vêtements en cuirs, assez sombre même si à l’époque, j’avais tellement de fringues qu’il m’était impossible de tout porter. Je fais très attention à mon image, même si cela devient de plus en plus difficile de trouver des choses potables à porter. Vous ne me verrez jamais sans que je me sois un minimum préparé avant, pour moi l’image que l’on voit de moi est capitale. J’ai aussi un petit faible pour tout ce qui est bracelets, dès que j’en trouve un, je le porte, autant vous dire que ça m’en fait une belle collection.


évolution psychologique
 En fait, je crois bien qu’il y a deux parties de moi qu’il faudrait que je décrive. Celle de mes jours riches et heureux, quand j’étais encore cette incroyable Lexie, adorée de toutes et de tous pour son coté peste et mondaine bien assumé. Faire du mal aux autres, clairement ça ne me gênait pas outre mesure, de toute manière j’ai toujours pensé que ma fortune me permettait de faire à peu près tout ce que je voulais. Oui, on peut le dire aussi, j’étais méchante, surtout avec ceux qui ne faisait pas partie du monde dans lequel j’avais grandis, c’est-à-dire la belle jeunesse dorée de Seattle, et oui, ça existe. Mon confort valait plus que tout à mes yeux et croyez-moi, même après tant d’année, je tuerais pour une veste de grand couturier ou un sac des dernières collections, ça été surement ça le plus compliquée pour moi, me rendre compte que personnes ne cèderait plus à mes caprices, enfin, pas tout de suite du moins.

Et puis il y a eu la moi d’après. D’après la chute de mon empire, quand j’ai fini ruinée à vagabonder avec ce vieux Franck. Lui il m’a appris à me débrouiller, à utiliser un peu mieux mon cerveau que pour faire du mal aux autres. Il m’a aussi appris en quoi ça pouvait nous sauver la vie de savoir utiliser les gens et pas forcement qu’en les manipulant, même si je dois avouer que j’ai du mal avec ce concept, mais surtout, de rester fidèle à moi-même et de ne jamais abandonner. Je me rappelle qu’il m’avait dit un jour que j’aurais surement des choix à faire dans ma vie et que je ne devrais rien regretter, faire mes choix, les assumer et surtout faire tout ce qui était en mon possible pour obtenir ce que je voulais. Il avait finalement bien raison ce vieux fou.

Ensuite il y a eu la période d’après comme je l’appelle toujours. Là je me suis rendu compte que je pouvais aussi faire preuve d’une incroyable débrouillardise et d’une adaptation assez remarquable. Je suis aussi une opportuniste, je ne vous le cache pas mais j’ai fait des choix et par conséquent les ait assumés, d’utiliser les gens pour arriver à mes fins et surtout pour obtenir ce dont moi j’avais besoin ou envie. J’ai toujours cette petite phrase de Franck dans ma tête, mon leitmotiv en soit. Fait ce qu’il faut et fait le bien. Je ne suis pas une fille gentille sur qui on peut compter, surtout si ça ne me rapporte rien et je ne résiste jamais à lancer des piques. Mon petit côté peste princesse qui ne m’a jamais vraiment quitté. Je juge beaucoup les gens, surtout sur leur apparence et je reste bien souvent accrochée à ma première impression, ou je vous apprécie, ou pas. Et dans le deuxième cas, il ne vaut mieux pas rester dans les parages ou je risque de faire de votre vie un enfer. Et croyez-moi en plus, je vais adorer ça.




Story of survival
Pre-apocalypse
Seattle ça vaut franchement le détour quand on est née comme moi dans une bonne famille des quartiers huppés de la ville. Pas de quoi être fière c’est vrai parce que je n’ai pas fait grand-chose à part gagner à la loterie des supers familles friquées à la naissance. D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours été chouchoutée, je ne manque de rien, c’est même le contraire, j’ai absolument tout ce que je veux et encore plus. C’est possible ça ? Ouai, carrément. Alors forcément, vous devinez bien que je suis le stéréotype de la petite peste qui se croit au-dessus de tout et de tout le monde sous le prétexte d’avoir reçu une bonne éducation et de porter du Louis Vuitton. Et même si ce n’est pas mes parents que je rends complétement cinglés, parce qu’eux ils n’étaient pas trop présents, beaucoup de boulot vous pensez bien, ce sont les innombrables nourrices qui se prenne tout en pleine face. Je pense même d’ailleurs que certaines sont partis en dépression par ma faute. Et puis bien sûr, il y a aussi tout ceux que je m’amuse à martyriser dans les couloirs des écoles surcotés de Seattle que je fréquente. Vous voyez les clichés de la connasse de service dans les teen série qui se passent au lycée ? Bah ça, c’est moi. Enfin, ça c’était avant.

Mais ça c’est la belle histoire jusqu’au début de ma vie d’adulte, forcément, le retour de Karma il est à prévoir et je ne vais pas vous mentir, je l’ai clairement senti passé. Adieu belles voitures, beaux sacs à main, adieu les centaines de paires inutilisées de chaussures et la garde-robe digne d’une diva et j’en passe. Adieu les soirées mondaines avec la perle des pire hypocrites friqués de cette foutue jeunesse dorée de cette belle ville de Seattle à laquelle j’avais appartenu. Adieu tout ça et putain, merci papa pour le cadeau empoisonné que tu me fais. Si je ne pars pas en taule pour fraude avec toi c’est juste parce que t’as été assez malin pour ne rien me dire ou moi trop égoïste pour te demander ce que tu faisais tant que ça me rapportait une paire de Louboutin. Maman elle, pas bête, quand elle a vu que ça commençait à sentir mauvais, elle a pris la poudre d’escampette avec ce qu’elle avait été assez maline pour mettre de côté en oubliant bien évidemment de me prendre dans ses bagages. Elle n’en avait clairement rien à foutre de ma gueule, mais en même temps, à part m’avoir servie de génitrice, elle n’avait pas été très utile la greluche. C’est comme ça en fin de compte que je me retrouve à devoir dormir dans un appartement pourri dans les quartiers les plus pauvres de la ville et on a franchement connu pire mais moi je ne suis pas habituée à tout ça. Je n’ai jamais travaillé de ma vie, et même si je suis loin d’être bête, j’ai un loyer et des factures à payer. Je suis obligée de vendre ce qu’il me reste de belles affaires pour pouvoir bouffer et je peux vous dire que mon égo surdimensionné il en a pris un sacré coup. Je ne vous cache pas que j’ai pensé à mettre fin à mes jours, plus d’une fois, mais bien évidemment, je n’en ai jamais eu le courage.

Et puis c’est la qu’un soir par hasard dans les couloirs je rencontre ce vieux rabat-joie de voisin alors que je suis complétement ivre et défoncée. Le vieux Franck. De ce que j’ai compris par la suite, s’il m’a aidé ce soir là c’est parce que je ressemble comme deux gouttes d’eau à sa fille qu’il a perdu de vue depuis des années. Je ne lui ai rien demandé, mais je ne me l’explique pas, je me sens redevable et accepte l’offre qu’il me fait de venir boire le café le matin dans son vieux restaurant paumé habituel. Au début, je me dis que ce n’est rien qu’un vieux con et puis on finit par discuter. Ne me demandez pas pourquoi, juste parce que finalement il y a que lui qui s’intéresse à moi, je veux dire, là moi actuelle, pas celle qui est fuie comme la peste par la jeunesse encore dorée de ma vie d’avant. Franck c’est un putain de vieux con – et en plus c’est lui qui m’a appris à parler comme ça – un ancien flic à la retraite qui s’est reconvertis en détective privée parce qu’il ne sait pas quoi faire de ses journées et que « On ne demande pas à un loup de devenir un vieux chien apprivoisé » Il est pas méchant, c’est même tout le contraire, mais il faut se lever tôt pour lui arracher un sourire ou un compliment. Moi je tourne en rond dans cet appartement pourris et on ne peut pas dire que les vols auxquelles je m’adonne – car bien évidemment impossible de garder un boulot plus de deux jours, soit parce que j’étais ridiculement mauvaise, soit parce que mon nom bien sur évoquait le grand fraudeur qui avait volé des milliers de personnes innocentes – ne me ramène pas suffisamment de quoi vivre correctement, même si je commence sérieusement à prendre la main. Un soir le vieux Franck me propose de venir avec lui sur l’une de ces enquêtes et là je peux vous dire que je n’ai jamais plus quitté cette vieille Pontiac dans laquelle on passe des heures à prendre en filature la plupart du temps des maris infidèles – et je peux vous dire que ça rapporte pas mal les maris infidèles – Il m’apprend à observer, à analyser et aussi à parler comme un vieux blasé. Il me force à prendre des cours de combats juste au cas où et à me servir d’une arme, ce jour-là c’est l’instructeur que j’ai failli tuer et sans que je m’en rende compte je suis finalement devenue son apprentie. En fait, il m’apprend tout simplement à me débrouiller par moi-même et je ne crois pas que quelqu’un n’ait jamais fait autant pour moi, de toute ma vie. Il m’apprend aussi à faire confiance, principalement à moi-même mais parfois aussi à des gens bien, comme lui, et surtout je me rappelle qu’il m’ait un jour dit « Fait ce qu’il faut pour arriver à tes fins et surtout, fait le bien » Ça pourrait sembler totalement fou de croiser notre duo, incompatible de base, mais il m’amène une figure paternel que je n’ai jamais connu et moi, un peu de sa fille perdue.

La vie reprend un peu de son sens, même si j’ai littéralement encore envie de tuer pour renfiler une belle robe de couturier et aller dans une de ces fêtes mondaines qui me manque tant. Il y des choses qui ne changeront jamais et mon amour pour ce genre de vie en fait partie. Enfin bref, disons que je suis plus autant à plaindre qu’avant et je ne remercierais jamais assez le vieux Franck pour m’avoir apporté ça, un peu, je dis bien un peu d’humilité. Ce jour là il décide de m’envoyer pour la première fois « en solo » sur une enquête. Un gros coup qui peut me rapporter gros qu’il me certifie mais je sens bien qu’il y a autre chose, il veut plus me voir jusqu’à la fin de mon enquête. Ça il ne me le dira pas, mais son cancer en phase terminal fait qu’il n’aura pas la chance de connaitre la pandémie. Une chance, oui c’est clair.

Post-apocalypse
Premier choix : Fuir.

Octobre 2015 - Seattle
Les nouvelles ne sont pas bonnes. Je n’ai pas réussi à contacter Franck depuis des jours, je suis inquiète, il n’est pas chez lui et je dois avouer que je ne sais pas trop quoi faire. On commence à en savoir plus et je crois que ça part vite en grand capharnaüm. Je reste un moment seul chez le vieux, j’essaie au maximum de chopper les infos que je peux mais je n’en sais pas plus. Au bout de quelques jours je passe au café ou on avait l’habitude de trainer avec Franck et je retrouve avec surprise un groupe d’habitués qui s’est regroupés pour essayer de comprendre et surtout de pas tomber dans la panique générale. On n’est pas nombreux, tout juste une dizaine et on essaie de se soutenir, mais rapidement, on comprend que ça devient trop risqué de rester en ville on décide de se carapater et vite fait. J’pense que c’est la meilleure décision à prendre la tout de suite. Sac à dos et de quoi tenter de survivre quelques jours, on prend la route. Je ne sais pas trop quoi penser de tout ça, on verra bien si ça finit par se tasser.

Deuxième choix : Abandonner.

Hiver 2015-2016 – Quelque part près de Longview
On a réussi à trouver une ferme, ou une grange je ne sais plus trop. Je crois qu’on est pas mal installés en tout cas pour le moment ça ne semble pas et si horrible que ça. Ce n’est pas le premier mort qui traine des pieds que je croise mais en tout cas c’est le premier que je décapite. Une hache, simple et efficace, il ne s’est jamais re-relevé en tout cas. Je me rappelle aussi que je ne me suis pas sentie super bien après ça, mais ça deviendrait finalement vite une habitude.

Eté 2016 – Quelque part près de Longview
Avec le groupe on a tenu l’hiver et c’est con mais on est content. Par contre on comprend aussi que vu le nombre de pourris qui commencent à rappliquer sévère, il n’y a pas eu il y avoir des masses de survivants dans les grandes villes. Au début ça va, mais on se fait attaquer de plus en plus souvent, on a plus trop de munitions et on n’a pas vraiment préparé des défenses. Je prends mon sac, je fais un signe au petit Santiago de se taire. Il fait nuit et je me tire, toute seule. J’ai pris dans les petites réserves qu’il restait de quoi manger et me défendre et je plis bagage sans me retourner. Je ne me sens pas l’âme d’une héro qui reste et qui défend l’opprimé. Je me dis que j’ai plus de chance de survivre toute seule qu’avec un poids sur mon dos. C’est dégueulasse je sais, mais plutôt moi qu’eux.

Troisième choix : Profiter.

Hiver 2016-2017 – Dans les alentours de Mossyrock
Je suis toute seule, j’ai faim, j’ai froid. Je ne suis pas la mieux placée pour survivre. Je repense souvent aux conseils du vieux Franck, mais clairement ce n’est pas ça qui va me sauver la vie. Faut que je trouve une solution et rapidement sinon je vais finir en glaçon, ce n’est pas bon pour le teint et franchement, c’est naze comme mort. Une chance, je tombe sur un groupe de nomades. Ils m’accueillent et je profite de tout ce qu’ils peuvent m’apporter. Nourriture et chaleur surtout. Je n’en fais pas des masses pour les aider, je sens bien que ça les irrite un peu, mais je suis comme ça. T’façon ils n’ont pas le cœur à me jeter, ils sont trop faibles d’esprit. On se fait attaquer par un groupe de connards au début du printemps 2017 et j’en profite pour changer de camp. Ça va, j’ai encore un peu de charme et malice dans mon chapeau. Ce n’est pas très clean mais je ne veux pas crever là avec cette bande de fleurs fragiles.

Quatrième choix : Manipuler, jouer, tricher et perdre.

2017 à 2019 – Dans les alentours de Cliffdell
Deux ans que je traine avec cette bande de bras cassés et si au début c’était surtout sur les routes qu’on vagabondait, très vite, on décide de se trouver un endroit ou se poser. Pour leur prouver ma bonne fois, je casse pas mal de gueule et de bras, mais j’ai toujours réussi à ne pas ôter la vie des vivants qui ont le malheur de nous rencontrer. Je suis bien décidée à jouer selon leurs règles tant que ça me rapporte ce dont j’ai besoin et franchement au début je n’ai clairement pas eu à me plaindre. Je dois aussi leur montrer que je sais me battre, et je prends pas mal de dérouillées, mais c’est les règles.

Les ressources se font de plus en plus rares et les voyageurs aussi alors il faut utiliser d’autres ruses pour continuer de se nourrir. On trouve finalement une grande maison abandonnée et on décide de s’y installer. Rachel la boss, elle n’est pas commode et si quand je les ai rejoints, on a surtout bien profité des plaisirs que notre nouvelle vie pouvait nous fournir, on s’est vite mis à travailler sur une autre ligne de conduite. On a perdu quelques membres au cours des deux années de survie, certains de maladie, d'autre d'accidents. En vrai ça ne me touche pas tant que ça, j’ai du mal à m’attacher à cette famille même si elle m’apporte le confort dont j’ai actuellement besoin.

On n’est pas loin d’un endroit où il y a pas mal de voyageur qui se retrouvent et qui trocs leurs marchandises ou leur savoir-faire. Rachel décide de mettre en place des convois réguliers pour tenter de continuer à récupérer ce qu’on peut pour vivre. J’ai dû faire mes preuves et ait montré assez de malice pour qu’elle me nomme cheffe des convois avec son mec Standard. Il est vraiment pas mal ce type, et surtout, il à la dalle et il à pas l’air de comprendre ce que la monogamie veut dire. Forcément, vous imaginez bien que je ne vais pas résister.

Alors que pour moi ça se passe plutôt bien, j’ai une bonne place dans le groupe, j’ai des fans et je fais un peu ce que je veux, il y en a un qui se méfie un peu trop de moi. Je n’ai jamais réussi à gagner sa confiance et quand il nous surprend avec Standard il nous balance à la cheffe. Elle n’est pas contente, et décide de montrer l’exemple avec moi. Elle me fait tabasser et me laisse pour morte dans une partie de la forêt pas trop loin, se disant que les rôdeurs allaient me faire ma fête. Je me retrouve alors allongée la, dans le froid, j’ai mal partout et j’ai plus aucune force en moi. Pour moi c’est sur je vais y rester. Je me surprends à penser à mon vieux Franck. Je me dis que je vais aller le rejoindre et qu’il va m’engueuler d’avoir échoué.

Cinquième choix : Revivre et aimer

Début 2019 – Dans les alentours de Seattle
C’est Elise qui me trouve, à moitié morte. Je ne sais pas ce qu’il lui est passé par la tête, mais elle sans elle, je serais morte seule dans ces bois.

Avril 2019 – Dans les alentours de Seattle
Je me remets tout juste de mes blessures. Sans Elise je sais que j’aurais fini par me vider de toute vie dans cette marre de boue. Je lui dois tout, mais surtout, je lui dois la vie. Je lui promets en échange de tout faire pour lui rendre ce qu’elle m’a donné et je sais que ça la fait toujours rire. Elle me prend rarement au sérieux, elle sait très bien que je ne suis pas le genre de fille à s’intéresser à quelqu’un d’autre, encore moins à m’en occuper. Elle est tout le contraire de moi. Elle est gentille, douce et bienveillante, moi je suis une peste manipulatrice et matérialiste.

On a une petite planque pas loin de Seattle, on est que toute les deux et franchement c’est surement la meilleure partie de ma seconde vie pourrie. On vie de ce qu’on peut échanger. Elle, elle vend ses talents de chasseuse et croyez-le, ça m’a toujours impressionnée et moi j’essaie de vendre mes services à qui ai besoin de quelqu’un qui se faufile et qui sait se faire discrète. Ouai, c’est une vie de misère mais ça me rappelle tellement le bon vieux temps avec ce vieux con de Franck que je crois que m’en fiche tant que je suis avec elle et qu’elle est avec moi. J’ai l’impression de pas lui être vraiment utile, même si elle me certifie que sans moi, elle n’aurait pas la force de continuer. J’essaie de sourire et de la croire mais on sait toutes les deux que c’est tout l’inverse. Et là je découvre ce que c’est que d’aimer. Sincèrement et honnêtement. C’est la première fois que je n’ai pas envie de profiter et de manipuler. C’est son naturel et sa manière aussi naïve de voir le monde qui me plaisent.

Sixième choix : Pleurer et Recommencer

Septembre 2020 – Dans les alentours de Seattle
Les orages qui font rage dans la région sont d’une violence inattendue et en plus de devoir tout faire pour ne pas finir par se noyer et perdre toutes nos affaires. Je dois laisser Elise pour la nuit, on m'a demandé des informations sur une personnes disparue, et j'ai une piste, et la nuit est plus utile pour se faufiler. Le soucis, c'est que quand je reviens, je la retrouve, sans vie. Elle a été battue à mort, de ce que j'en déduis, surement agressée sexuellement aussi, mais je n'ai aucunes certitudes. Tout ce que je sais c'est que je vais retrouver ceux qui lui ont fait ça et je vais les tuer. Aussi simple que ça.

La mort d’Elise me fout un coup au moral. Je ne ressens plus que le vide et l’envie d’en terminer avec toute cette vie de merde. Je suis défaitiste et je me laisse mourir à petit feu. Seulement, j’ai cette putain de promesse en tête, de continuer, d’avancer coute que coute et de tout faire pour retrouver ce que j’avais déjà perdu plusieurs fois, ma vie d’avant et surtout, de retrouver ceux qui ont fait ça à mon Élise.Elle me fait chier parce qu’en plus elle me rappelle mon vieux Franck « Fait ce que tu as à faire et surtout, fais le bien. Fais tes choix et assumes les jusqu’au bout » J’ai fait le choix de promettre quelque chose à mon amie et je tiendrais parole.

Je me retrouve alors une force de vie que je ne pensais plus ressentir. Je réussis à continuer d’avancer, seule mais toujours en vie.

Février 2021 – NML
Ça fait quelques fois que je croise un gars dénommé Bill. Je ne sais pas ce qu’il veut exactement, mais en accomplissant certaines choses pour lui, il finit par me proposer de rejoindre son groupe. Un groupe qui, si j’ai bien suivi ce permet de vivre bien. Ça fait déjà six moi que je traine d’abri de fortune en abri de fortune alors, après tout pourquoi pas ? Je pourrais au moins avoir un toit sur la tête et si en plus, je peux profiter d’un nouveau confort de vie, je serais bête de refuser. Alors j’accepte et j’atterris chez les Gentle Bastard, ça parait être des gens assez fous, et je dois l’avouer, je crois que l’idée me plait de plus en plus.

Groupe de référence

time to meet the devil
• Pseudo (sur internet) : Abby
• Âge IRL : Pas besoin de savoir.
• Personnage : Inventé [X] / scénario/prédef [ ]

• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Oui [ ] / Non [ ]
• Voulez-vous bénéficier de la méthode inclusive ? Oui [ ] / Non [ ]

La méthode inclusive vous permet de commencer le jeu directement avec le Maitre du Jeu. En optant pour cette prise en charge, vous terminez votre fiche directement avec un animateur pour qu'il puisse vous intégrer à une intrigue en cours de jeu.

• Code du règlement Hop !

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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 14:02

La plus belle est là drama


On my skin
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Jacob E. Ross
Jacob E. Ross
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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 14:03

Bienvenue a toi ma Lexiiiiiiee!!

J’espère que tu vas te plaire parmi les fous parmi nous!! Bon courage pour ta fiche et a tres vite en rp!!!

:smile10:
:p:
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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 14:13

Rebienvenue ! Lexie Sway - Poor little bitchy princess 1342238320
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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 14:13

urgh


Une fois de plus un combat. Le seul que je connaitrais jamais.
Vivre, et mourir en ce jour.

awards:
Hope Kanigan
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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 15:38

C'est elle, la future peste/chieuse des GB? drama :111:
Rebienvenue et bon courage pour ta fiche :smile16:
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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

Jeu 25 Fév 2021 - 15:50

Re-bienvenue ! hellmo



Semper Fidelis



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I will trust in my God and in the UNITED STATES OF AMERICA

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Re: Lexie Sway - Poor little bitchy princess

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