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Jolene Reed - Survivre avant tout
Mar 6 Avr 2021 - 23:57
what i am
Amicale Raisonnable Volontaire Extravertie Créative Mélancolique Manipulatrice Désespérée Égoïste Lunatique | Jolene n'est pas vraiment une survivante très organisée. Elle traine avec elle le même sac en bandoulière depuis des années, sac qui par conséquent est troué par endroits. Dans celui-ci on peut retrouver une bouteille d'eau qui a vécu de meilleurs jours, un gros sweat et quelques bricoles sans importance. Lorsqu'elle en a la chance, elle y glisse aussi le peu de nourriture qu'elle possède. Pour ses vêtements, elle se limite à des t-shirts colorés, des pantalons la plupart du temps troués et des baskets. Si elle a froid ou chaud, elle essaie de trouver ce qui est utile autour d'elle. Le seul truc intéressant que Jolene transporte est sa pelle... qui pourrait faire beaucoup de choses sauf qu'elle n'en a aucune idée. [La pelle a été trouvée déjà montée et Jolene n'a jamais essayé de la démonter et n'essaiera pas, elle s'en sert uniquement comme arme contre les morts parce que c'est une pelle qui a l'air dure, légère et qui ne va pas casser selon elle.] Une jeune femme assez jolie, c'est ce qu'elle est. Jolene le sait et quand elle en ressent le besoin elle n'hésite pas à en jouer. Elle mesure un mètre soixante-six et pèse cinquante neuf kilos. Son visage est principalement défini par ses pommettes saillantes, ses yeux bleus clairs et ses lèvres généreuses. Celui-ci est entouré de longs cheveux bruns ondulés qui lui arrivent sous les omoplates. Le reste de son corps est assez harmonieux, elle a une taille fine qui met en valeur ses hanches et une poitrine qui ne semble pas disproportionnée. Sa peau n'est pas sujette aux imperfections, toutefois, on peut voir une longue cicatrice à l'arrière de son bras gauche. Ce n'est pas sa seule marque puisqu'elle a avait été opérée de l’appendicite avant l'apocalypse, bien entendu, celle-ci est moins remarquable. Pour son style vestimentaire, elle est assez banale. Elle s'habille comme une adolescente avec des pantalons troués et des t-shirts un peu larges, colorés ou à motif. Au besoin elle enfilera un sweat pour se couvrir. Jolene peut tout de même être féminine si on lui laisse l'opportunité de s'habiller en conséquence, mais elle favorisera des affaires pratiques pour fuir et laisser les autres derrières. |
Psychologie
En effet, si les bonnes circonstances sont réunies, ce sera une personne particulièrement extravertie qui n'hésitera pas à parler aux autres et à se montrer des plus amicale avec eux. Ce n'est clairement pas une mauvaise personne, si on lui demande d'aider, elle sera plus que volontaire et fera toujours de son mieux même si la tâche semble compliquée. Qui plus est, c'est une jeune qui exprimera dès que possible sa créativité si on lui en laisse l'opportunité. Avec le temps et l'apocalypse, Jolene a aussi appris à être raisonnable et à mesurer ses actions sachant qu'un excès insensé peut rapidement mener à la catastrophe.
Toutefois, ce n'est pas tout ce que lui a enseigné la fin du monde. Jolene est devenue une personne particulièrement mélancolique et lunatique qui se laisse bercée dans des humeurs tristes et changeantes. Elle y trouve une forme de réconfort, de protection contre le monde extérieur. C'est lorsqu'elle se retrouve au pied du mur que les pires traits de son caractères ressortent, on peut alors découvrir une fille désespérée qui sera prête à tout pour survivre. À partir de là, ce sera une personne égoïste qui fera toujours passer les autres après elle et surtout, extrêmement manipulatrice. Si une quelconque action, quelle qu'elle soit peut lui apporter une protection, un bénéfice, elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour la mettre en place. Mensonges, déceptions, tromperies, ce ne sont que des mots qui lui serviront de tremplin.
Au final, le nouveau monde l'a beaucoup changée. Elle a toujours cherché à se rebeller, peut-être pour essayer de comprendre qui elle était, mais c'est la dur réalité du monde qui l'a vraiment forgée.
Story of survival
Pre-apocalypse
On ne peut pas dire que j'étais malheureuse, j'avais tout ce que je pouvais vouloir malgré les déplacements constants de mon père. Sauf que je me rappelle juste d'un profond sentiment d'agacement. J'en avais marre de devoir être comme Avery et Hanna, basiquement, sans défaut. On m'avait tracé un destin avec de bonnes notes, des activités extra-scolaires, une vie sociale bien rangée. Je crois que c'est lorsque je suis arrivée à la fin du collège que tout a basculé. À cet instant, j'ai décidé que je ne voulais pas être une copie de mes sœurs, je ne révisais plus, je passais mon temps à me cacher dans la salle du club d'art et le reste du temps, je traînais avec des gens plus âgés. Pour faire quoi ? Des conneries.
J'ai expérimenté avec le cannabis, l'alcool, surtout lors de fêtes organisées par les plus âgés. Puis à force de passer du temps avec des gens peu fréquentables, j'ai commencé à taguer des objets de propriétés publiques, voler des objets sans intérêts dans des magasins, en bref, de la petite délinquance. Étrangement ça me faisait du bien, de faire de la merde. De casser cette image de petite fille parfaite qu'on voulait absolument me coller au dos. Très vite, j'ai été considérée comme populaire malgré mon jeune âge et cela m'a juste poussé à continuer dans la dérive de mes comportements.
Bien sûr, je me suis fais chopée plusieurs fois, mais je jouais sur ma bouille innocente et l'argent de mes parents pour m'en sortir, après tout, c'est pas comme si ça allait leur manquer, non ? Ma mère a bien essayé de me recadrer plusieurs fois, en m'expliquant que c'était mal, en me punissant ou en me menaçant, mais elle s'est vite rendu compte que ça ne marchait pas. Finalement, d'un accord commun, mes parents m'ont averti que si mon comportement ne changeait pas, ils m'enverraient en pension ou bien, que l'on déménagerait.
On va dire que je ne les ai pas vraiment pris au sérieux. Du coup, j'ai été surprise quand début juin 2015, ils nous ont annoncés que pour les études d'Avery, on devait déménager à Seattle. Au final, quand on a atterri là-bas, mon père m'a dit qu'à la rentrée j'irais dans un lycée privé et après quelques recherches, je me suis rendue compte que c'était une espèce d'institution de rééducation pour les adolescents difficiles. C'est cette découverte qui m'a poussée à être encore plus insupportable tout l'été. J'étais déterminée à leur pourrir la vie comme il voulait détruire la mienne.
Le premier mois de cours était une torture, j'essayais de sécher les classes au maximum, mais je me faisais fliquer en permanence. Je n'avais aucune envie de m'améliorer, juste d'exploser, de tout renverser sur mon passage. Si seulement j'avais su que tout allait être renversé, mais pas par ma faute.
Post-apocalypse
Comme d'habitude, j'essayais d'éviter mes cours, en vagabondant dehors. Il y avait pas forcément grand chose à faire, je découvrais la ville, je me fréquentais des gens qui eux-même traînaient dans les rues. Alors je me baladais dans un quartier peu recommandable, j'ai entendu des cris, des appels à l'aide, de la panique. Je suis pas une personne insensible... Je sais que si on me trouvait ici j'en prendrais pour mon grade, mais j'ai quand même appelé le 911 pour prévenir d'une agression et je me suis cassée le plus vite possible. Je n'avais aucune idée de ce qu'il s'était passé et je ne comptais pas revenir dans cette zone de sitôt.
13 OCTOBRE 2015 - Seattle :
Mes amis restés à Baltimore faisaient circuler des vidéos bizarres et violentes sur les réseaux et en plus, mes parents décidaient de m'empêcher de sortir. Ce qui m'énervait encore plus c'est que mes soeurs avaient le droit d'aller dehors, mais moi non. Pourquoi ? Parce qu'ils avaient peur que j'alimente les "troubles temporaires" dont les autorités parlaient. Peut-être qu'ils avaient raison, mais je les détestais.
15 OCTOBRE 2015 - Seattle :
Désormais, mes parents ont décidé qu'on allait tous rester à l'intérieur sauf pour les sorties indispensables. Comme si c'était déjà pas assez d'être coincée là, je me retrouvais à supporter ma famille en permanence, leurs remarques, leurs jugements. Bon, je vais pas dire que j'étais pas inquiète face à ce qu'il se disait et ce que je pouvais voir à la télé ou sur les réseaux, mais ça allait finir par passer et pendant ce temps-là, j'étais coincée ici.
24 OCTOBRE 2015 - Seattle :
Plus d'une semaine coincée avec mes parents, de quoi péter un câble. Après... La situation dehors faisait vraiment peur, j'étais sortie en douce quelques fois, mais j'étais pas allée loin. C'était le chaos, des cris, de la pagaille, des pillages. La nuit c'était encore pire. J'aimais bien jouer à la conne en m'aventurant dehors, mais en réalité, je revenais rapidement me cacher à la maison. Mes parents et Avery étaient de plus en plus tendus, Hanna se faisait discrète et moi, je tournais en rond. Ils ont fini par nous dire de prendre quelques affaires en nous disant qu'on allait fuir vers le Canada le temps que tout se calme. J'avoue qu'à l'époque je leur ai pas vraiment demandé pourquoi ils voulaient partir là-bas... Par la suite, ils nous ont expliqué que les régions rurales y étaient peu peuplées et qu'ils pensaient que c'était le meilleur moyen de pas s'attirer d'ennuis.
AUTOMNE 2015 - Trajet vers le Canada :
On a été dans les embouteillages plusieurs fois, ça finissait par se débloquer un peu, mais la plupart du temps, mon père décidait de forcer au milieu des voitures présentes, couper sur des trottoirs, je l'avais jamais vu comme ça. On croisait régulièrement des gens en panique, qui s'attaquaient les uns et les autres. Je savais que ça arrivait, mais je ne l'avais pas encore vu. À un moment, on a dû abandonner la voiture parce qu'on était bloqué, plusieurs personnes couraient vers nous. Ma mère nous a hurlé dessus de sortir et de courir. Bien sur, je ne voulais pas laisser mes affaires derrière moi, mais mon père a fini par me soulever du sol et m'emporter de force. Après ça, on est passé de zones isolées en zone isolées à pied en essayant d'éviter les gens. Quand on est arrivés à la frontière, personne ne la surveillait.
ÉTÉ 2016 - Ferme reculée :
Depuis quelques mois on s'est installés dans une ferme un peu à l'écart de Vancouver, j'ai bien fini par voir des infectés de près. J'ai même dû en tuer deux. À vrai dire, le reste du temps c'est Papa, Maman ou Avery qui sortent pour aller vers les villes ou les autres maisons. Ils ont fait un espèce de périmètre autour de la maison que je n'ai pas le droit de dépasser. J'en peux plus d'être loin de tout, ça fait longtemps que mon téléphone marche plus, j'ai rien à faire à part dessiner. Tout m'emmerde. Après... Je leurs dirais pas, mais les morts me foutent la trouille, j'ai vraiment peur de me faire mordre. Et puis dans le fond je suis contente de revoir mes parents lorsqu'ils rentrent avec un peu de provisions et en vie. Un jour, Avery a même ramené une chèvre, vivante ! C'était trop bien on pouvait boire du lait, mais elle a fini par se faire bouffer par un rôdeur perdu. J'ai essayé de sortir plusieurs fois, d'ailleurs je me suis fendu tout l'arrière du bras gauche sur une fenêtre cassée, j'ai perdu du sang partout. Bon ça m'a pas trop servi de leçon vu que j'ai pas arrêté de sortir et de ramener des infectés près de la ferme.
FÉVRIER 2017 - Communauté près de Vancouver :
On a rejoint un groupe d'une centaine de personnes, on mange un peu mieux, tout le monde peut dormir sans avoir à surveiller l'extérieur. Il y a d'autres gens aussi ! Globalement, c'est des survivants qui se sont réunis dans un quartier qui était en pas trop mauvais état. Ils y ont installé un grand jardin pour y faire pousser un peu de nourriture, on croise même quelques animaux, je crois qu'il y a des habitants qui étaient jamais vraiment partis d'ici, d'ailleurs, j'étais un peu surprise que personne n'est essayé de manger les chats ! Après c'est peut-être qu'ils ont réussi à trouver pas mal de nourriture, je crois qu'il y avait un entrepôt alimentaire pas loin. Enfin, tout le monde fait ce qu'il a à faire, je crois pas vraiment qu'il y est de dirigeant. Mes parents ont cherché à se rendre utiles, on m'a forcé à faire du jardinage, mais bon je dis rien parce que ça me permet de parler à d'autres personnes ! En plus, j'arrive à monter des mini-fêtes avec quelques ados, bon c'est pas aussi bien qu'avant, mais c'est pas si mal.
AOÛT 2017 - Communauté près de Vancouver :
Je crois que je comprends ce que c'est que la vraie horreur maintenant. La lueur de folie dans le regard des gens, la peur la plus noire. Je ne veux plus jamais vivre ça. C'était au petit matin, j'étais partie pour rejoindre les jardins quand ça a commencé. La sirène d'alerte a été déclenchée et des cris ont commencé à émerger du silence, ça venait de l'autre bout du camp. Il y avait des morts partout, certains bougeaient, d'autres venaient d'expirer pour la dernière fois. Je me rappellerai toujours d'un enfant, il était super jeune. Il m'a regardé alors qu'il se faisait bouffer avec ses yeux pleins de larmes et de détresse en me suppliant de le tuer. J'ai vomi dans ma bouche, je m'en rappelle tout autant que du gosse. Je me suis enfuie, comme une lâche. Je sais pas si ma famille allait bien et j'avais plus peur pour ma vie. J'ai couru sans m'arrêter, j'ai marché sans m'arrêter, j'ai fini par croiser quelques survivants et me rattacher à eux pour survivre.
SEPTEMBRE 2017 - Les impitoyables :
J'ai erré avec quelques personnes en entant pour me faire aider. J'arrête pas de repenser à l'invasion, la veille on avait fait péter quelques pétards par loin du camp... Est-ce que c'est ma faute ? J'ai rencontré un gars qui se fait appeler Warren, il a un peu plus de la vingtaine. Il m'a proposé de lui servir de copine et de s'occuper de boulot ingrats dans son groupe en échange de nourriture et de sa protection. J'ai accepté. Je ferais tout pour vivre, je survivrais à n'importe quel prix. Ils se font appeler les impitoyables... Je sais qu'ils tuent des survivants et qu'ils pillent des malheureux, mais tant que je remplis mon rôle, je sais que tout ira bien pour moi. On a pas mal tourné en rond dans le sud du Canada et le nord de l'état de Washington.
PRINTEMPS 2018 - Les impitoyables :
On passe vraiment notre temps à voyager, à traquer des survivants en fait. Dans le fond, j'espère que je tomberais sur quelqu'un de ma famille, mais j'ose pas en parler, je sais pas comment ils le prendraient. Avec Warren, tout se passe bien, enfin aussi bien que possible. On a des relations sexuelles, parfois on parle, même si la majorité du temps, il me demande de le laisser tranquille et d'aller m'occuper des tâches que personne ne veut, comme nettoyer les armes, le matériel pour se déplacer, ou les toilettes quand on s'arrête assez longtemps. C'est pas le grand luxe, mais au moins il me protège et j'ai à manger. La dernière fois y a l'autre connard de Johnson qui a voulu se servir de moi comme appât à mort, j'ai commencé à paniquer à l'idée, mais heureusement Warren l'en a empêcher. Au moins, il ne m'arrivera rien tant qu'il sera en vie ! Au final, c'est Johnson qui s'est fait bouffer. Je me demande si Warren l'a pas fait exprès...
AUTOMNE 2019 - Alentours de Bellingham :
Apparemment, il y aura pas mal de survivants vers Seattle. Je sais pas trop comment ils ont eu cette information, mais ils ont décidé que s'y rendre était une bonne idée parce qu'il y aurait plein de personnes à voler. On avait même des motos pour s'y rendre plus rapidement ! Sauf qu'un peu avant Bellingham on s'est fait arrêter par un groupe de pillards qui était visiblement plus impitoyables que mes camarades de routes. Très vite, Warren s'est pris une balle entre les deux yeux, c'est là que j'ai compris que c'était vraiment la merde. C'était la deuxième fois, la deuxième fois où j'ai couru sans m'arrêter, j'ai marché sans m'arrêter, sauf que cette fois-ci personne ne m'attendait. J'étais seule. J'avais profité du chaos pour fuir et préserver ma vie, mais à quel prix. Celui de la solitude et de la détresse.
HIVER 2019/2020 - Bellingham :
Je survis comme je peux, je croise que des morts. Il faut absolument que je trouve de quoi me défendre. J'en ai marre de courir tout le temps. J'ai fini par aller fouiller des magasins de randonnées, ce genre de truc. J'ai trouvé un mec mort qui s'était fait écrasé le crâne sous une étagère, je pensais qu'il y avait rien d'intéressant, mais en fait, sous le rayon j'ai trouvé une pelle qui était légère et super dure. C'était pile ce qu'il me falait pour me battre !
FIN DE L'ÉTÉ 2020 - Seattle :
J'ai marché tout droit vers le sud. Je crois que j'ai pas arrêté de me perdre, j'ai essayé de suivre la route, mais je devais faire des détours tout le temps. Je suis retombée sur une maison dans laquelle on s'était caché au départ avec ma famille... L'époque où on pensait que tout irait mieux et que je me comportais comme une merdeuse. Putain, si j'avais été eux, je me serais abandonnée derrière. Je crois que je commence à perdre la tête. Je pense toujours au passé, je regrette tellement de choses. La vie n'a pas de sens, mais je ne veux pas mourir. J'ai faim, j'ai perdu du poids, j'ai mal aux pieds tout le temps. Il y a bien de la vie à Seattle, mais surtout pleins de personnes malades. Je veux pas m'approcher de ça moi... mais j'en peux plus. En plus, il n'arrête pas de pleuvoir et j'ai plus rien à manger.
DÉBUT OCTOBRE 2020 - Seattle :
Je crois que ça fait deux jours que j'ai rien mangé ou bu... J'ai vu des personnes au loin, j'ai couru vers elle dans l'espoir qu'elles m'aident. Après, j'ai un trou de mémoire. Quand je suis revenue à moi, ils m'ont parlé d'un endroit sûr, d'un campement, ils avaient même des photos... DES PHOTOS ! J'ai cru que j'hallucinais. Je ne sais pas qui ils étaient, ce qu'ils voulaient, mais je survivrais, à tout prix. Je devais les suivre.
DÉCEMBRE 2020 - Fort Ward :
J'ai du mal à m'habituer à ce semblant de civilisation. J'aurais aimé que mes parents et mes soeurs voient cet endroit. Je fais tout pour me rendre utile, je communique avec les autres, mais pour l'instant, j'ai du mal à trouver ma place. Je crois que je vis trop dans le passé... dans la peur d'y replonger. La guerre contre New Eden dont tout le monde parle m'effraie. Je veux juste être du côté des vainqueurs.
Survie
time to met the devil
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Re: Jolene Reed - Survivre avant tout
Mar 6 Avr 2021 - 23:59
Elle est enfin là.
Rebienvenue dans le coin avec cette jolie bouille, j'te promets qu'on va prendre soin de toi comme il le faut !
On va monter un groupe de jeunes de la foooooolie !
Vivement que K & Z rentrent !
(Et on espère que tu prendras bien soin de Max pour nous)...
Rebienvenue dans le coin avec cette jolie bouille, j'te promets qu'on va prendre soin de toi comme il le faut !
On va monter un groupe de jeunes de la foooooolie !
Vivement que K & Z rentrent !
(Et on espère que tu prendras bien soin de Max pour nous)...
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- Jacob E. Ross
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Re: Jolene Reed - Survivre avant tout
Mer 7 Avr 2021 - 2:10
Ouiiii une copine !!
K a déjà tout dit ahah
R'bienvenuuue !! \o/
K a déjà tout dit ahah
R'bienvenuuue !! \o/
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Re: Jolene Reed - Survivre avant tout
Mer 7 Avr 2021 - 9:33
*Commence à agrandir le repaire de Z & K pour accueillir leur nouvelle copine à la maison*
Re-bienvenue !!!
Re-bienvenue !!!
I Am The Messiah & A Sexy Boy, Not Your Boy Toy
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- Clayton Buchanan
The Guardians
Christ Cosmique
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