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3 participants

Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 5:35


Lara Anderson tell me more about you

prénom(s) : Lara Madeline
nom : Tate Anderson
date de naissance : 1973-07-31
âge : 47 ans

ville de naissance : Brisbane, Australie
métier : Propriétaire d'une agence de mannequinat
groupe : The Haven

avatar : Gillian Anderson

what i am

qualites
Franche
Protectrice
Charmeuse
Combative
Futée
Maternelle
defaults
Carriériste
Dure
Impulsive
Vaniteuse
Rancunière
Opiniâtre
Equipement :
Lara a peu de possessions de nos jours, contrairement au monde d’avant. Quelques vêtements de rechange pour les temps plus froids ou plus doux, un sac à dos sombre pour porter ses maigres vivres et un pied de biche qu’elle a embarqué en 2015 en allant chercher Zelda et qui est toujours en sa possession depuis. Lara a également trouvé un pistolet 9mm durant les aléas de la première année de sa survie, n’ayant appris à s’en servir que quelques années plus tard. Cette arme, elle pensait l’utiliser de façon dissuasive au départ, mais s’est bien vite rendu compte qu’il s’agissait d’un moyen de défense fort utile, malgré la difficulté de trouver des munitions parfois. La blonde possède également une machette depuis les premières années de la pandémie, trouvée dans un chalet près des lignes canadiennes.  Elle ne se départit jamais d’un médaillon doré pendant au bout d’une longue chaine. Lorsqu’on ouvre celui-ci, on peut y découvrir une photo de sa fille unique.
   
Details physiques :
Ce n’est pas grâce à sa stature que Lara est devenue mannequin, mais bien grâce à son joli minois. De grands yeux aux teintes d'un bleu glacial lui confèrent un regard perçant, pénétrant même. Malgré l’âge, celui-ci n’a d’ailleurs toujours pas perdu de sa vitalité. Si aujourd’hui l’on peut apercevoir quelques rides ici et là sur sa peau, Lara a toujours un beau teint dont l’uniformité n’est brisée que par un grain de beauté unique au-dessus de sa lèvre supérieure. Son nez est quelque peu courbé ce qui lui confère un charme différent de cette mode promouvant les petites trompettes retroussées. La quarantenaire s’est amaigrie avec les années, mais doit faire aux alentours de 54kg. Elle blaguait souvent avec son mari qu’avec l’âge elle rétrécirait comme les mamies finissaient toutes par le faire, mais elle se tient encore bien droite du haut de son 1m60. Une posture parfaite de par son métier passé et de par l’entrainement quotidien auquel Lara se pli - lorsque cela est possible - pour ne pas perdre la forme vue les années qui défilent. Malgré la dureté du monde actuelle, la mère de famille semble un peu plus jeune qu’elle ne l’est réellement cependant, plus vive en fait. C'est sans aucun doute dû à ce besoin d'être toujours en alerte, d'avoir les sens aiguisés et à la certaine forme physique requise pour son mode de vie nomade. Lara est une belle femme qui n’a pas peur d’user de ses charmes, qui même aujourd’hui porte des vêtements plus recherchés, plus flatteurs pour sa silhouette, qui se maquille ou se coiffe impeccablement. Petites vanités qu’elle s’offre lorsque cela est possible.

Psychologie

Lara a toujours fait preuve d’une grande franchise, du plus loin qu’elle puisse se souvenir. Sa grande sincérité lui a parfois attiré les foudres des autres, mais la blonde n’a jamais pu faire autrement que d’être directe, sincère envers le monde. Même si ce trait peut parfois être désarmant pour ses interlocuteurs. Cette honnêteté se trouve être cependant assez dure par moment. Lara ne prend pas de gants blancs pour s’exprimer et peut même se montrer impitoyable dans ses propos, ceux-ci étant parfois trop sévères ou trop rudes envers les autres, ne supportant pas la faiblesse qu’elle juge chez les autres.

C’est une femme qui a toujours été très protectrice de ses avoirs et envers ses proches. Elle s’interposera immanquablement afin de servir de bouclier, même physiquement. L’ancienne mannequin n’a jamais aimé que l’on s’en prenne aux autres devant elle et n’a jamais eu peur de prendre la défense des gens qu’elle aime. C’est un trait de caractère qui est sans doute bien exacerbé par son côté maternelle. Lara aime prendre soin de ceux qui l’entoure et leur prodigue tout son amour que ce soit par de petits ou de grands gestes. Elle s’inquiète pour ses ami(e)s et leurs familles, est toujours prête à leur donner un coup de main pour s’assurer que personne ne manque de rien.

C’est en quelque sorte un combat constant avec son côté carriériste. Même si Lara adorait sa famille, sa vie avec eux et les moments d’accalmies tous ensemble, la quarantenaire elle a toujours cherché à se démarquer professionnellement parlant avant tout. Cherchant constamment un fragile équilibre dont la balance penchait plus souvent vers sa carrière, la blonde se félicite tout de même d’avoir su jongler entre son entreprise et les siens sans que l’un ou l’autre en souffre trop. Difficile de résister de toute façon à l’appel du travail quand celui-ci nourrit l’un de vos plus vilains défauts. L’ancienne mannequin essaie tant bien que mal de le cacher, mais elle est très vaniteuse. Elle adore qu’on la complimente que ce soit sur son esprit ou sa beauté. Ces belles paroles à son égard sont toujours une musique bien enivrante à ses oreilles. Paroles qu’elle sait fondées la plupart du temps de toute façon, car il lui serait bien plus difficile de charmer les gens si celles-ci étaient fausses, n’est-ce pas ? Lara aime particulièrement utiliser ses charmes trouvant cela distrayant et terriblement grisant comme petit jeu. La belle blonde a toujours été fidèle envers son mari, mais l’appel du flirt a toujours été plus fort que le reste.

L’ancienne mannequin ne se laisse pas facilement abattre non plus. Elle n’a jamais eu peur de la compétition, ne baisse pas les bras facilement et préfère l’offensive à la défensive. La mère de famille n’a jamais eu peur de lutter pour obtenir ce qu’elle voulait, ni avant ni même aujourd’hui. C’est une femme futée qui a beaucoup d’esprit. Après tout, l’intelligence n’est pas entièrement reliée aux connaissances. Il s’agit de quelque chose de bien plus complexe. Ainsi, même si Lara n’a pas fait d’études professionnelles poussées, elle n’en est pas moins brillante et vive d’esprit. Cela ne l’empêche pourtant pas de faire preuve d’une grande impulsivité, préférant agir que réfléchir. Les émotions sont parfois plus fortes que tout. On ne peut pas toujours résister à l’impulsion du moment, on ne peut pas toujours rationaliser et le cœur prend alors le dessus, on réfléchit après, parfois on regrette même.

Lara est foncièrement rancunière et a toujours eu du mal à pardonner, à passer à autre chose. Quand on l’a blessé ou quand on s’en est pris à quelqu’un qu’elle affectionne, elle nourrit une grande rancune avec celui ou celle qui lui a causé du tort.  La quarantenaire est très obstinée, voire opiniâtre par moment. Très tenace dans ses idées, dans ses résolutions mêmes, elle ne change pas d’idée facilement et cela peut parfois frôler l’aveuglement volontaire par moment.





Story of survival




Lara Tate est née en 1973 dans la ville de Brisbane en Australie. Elle garde de doux souvenirs de son enfance qui fut des plus heureuses. Cadette de la famille, la petite Australienne avait 3 frères plus âgés qu’elle. Inutile de dire qu’elle a été chouchoutée étant la petite dernière et la seule fille de surcroît. La petite blonde n’a jamais eu un goût prononcé pour les études, ayant néanmoins des notes pas trop médiocres lorsqu’elle se donnait la peine. C’est lors d’une sortie avec sa mère au centre-ville qu’un photographe la remarquera et prendra quelques clichés avant d’approcher la jeune adolescente et sa mère. Commencera alors une carrière dans le mannequinat pour la jeune Lara, après beaucoup de discussions houleuses avec ses parents qui ne voyaient pas cela de façon positive. Elle réussira quand même à les convaincre et ils seront néanmoins fiers de l’implication et du professionnalisme de leur fille malgré un si jeune âge.

Cet emploi à l’extérieur des heures scolaires lui rapportera une certaine popularité, tant professionnelle que personnelle. Lara aura plus d’amis et plus de petits amis au cours du Lycée, mais il y aura également plus de jaloux qui s’en prendront à elle. La jeune mannequin ne se laissera pas pour autant intimider ou marcher sur les pieds.

Une fois adulte, elle se lance corps et âme dans sa carrière, sachant pertinemment que les années sont comptées et qu’elle n’a pas suffisamment grandi pour avoir tous les boulots qui l’intéressent dans le milieu. Elle trouve que le traitement réservé aux jeunes mannequins n’est pas idéal, voire carrément nocif avec certaines agences. Après quelques histoires sans lendemain, sa tante lui propose de rencontrer un bon ami de son fils - le cousin de la blonde. Contre toute attente Lara accepte, se disant que cela pourrait être distrayant de voir quel genre d’homme pourrait bien lui présenter sa famille. Il s'agira d'Eddie Anderson, un jeune homme aux allures timides et bien ennuyantes. Cela n’impressionne pas la jeune femme qui ne souhaite pas trop le revoir, mais sa tante se débrouillera pour l’inviter à quelques autres reprises, puis… Une fois qu’Eddie prendra finalement confiance, Lara le trouvera tout à fait charmant, c'est un petit rigolo en fait.

Un an plus tard, en 1996 Lara devient officiellement Mme Anderson et ils fileront le parfait bonheur. Ralentissant quelque peu les différents contrats de mannequinat malgré son amour du travail, la jeune australienne espère pouvoir fonder une famille, ayant toujours eu très envie d’être mère. Elle se dit qu’elle pourra rafler quelques contrats de maternité de toute façon et pourra rapidement retourner au travail après l’accouchement.

Les années passeront et le couple sera incapable de concevoir, ce qui poussera une fois de plus Lara à se concentrer davantage sur sa carrière, ayant même de nouvelles ambitions. Ne délaissant pas pour autant sa vie de couple avec Eddie, la blonde décidera en fait de lancer sa propre agence de mannequinat avec pour but d’offrir un meilleur traitement et plus de respect aux jeunes mannequins. Elle souhaite devenir leur mentore en quelque sorte, leur offrir les conseils et astuces dont elle n’avait pas pu bénéficier lors de ses débuts. Lara lance donc son business en 2003 lors de ses 30 ans et sa boite fait rapidement carton. Le contraire aurait été étonnant vu la reconnaissance qu’avait Lara dans le milieu, étant bien reconnue. La compagnie d’Eddie avait énormément de succès également et il était désormais cadre, sa femme étant très fière de lui d’avoir tant travaillé pour le devenir. Le bonheur semblait toujours au beau fixe pour le couple Anderson.

En 2003 son mari souhaite déménager dans sa ville natale, car son père est très malade. Lara et Eddie emménageront donc à Glendstone, une petite ville fort charmante à plusieurs heures de Brisbane. Cela n’empêchera toutefois pas la businesswoman de gérer son entreprise à distance et de faire plusieurs voyages d’affaires pour s'y rendre.

Un petit miracle pointe enfin le bout de son nez en 2005 et finalement le couple Anderson accueille leur premier enfant. La petite Zelda, nommée en l’hommage d’une grande tante de Lara. Ce fut le coup de foudre dès que l’Australienne apprit la bonne nouvelle. Un rêve qui se réalisait enfin ! Cela ne ralentit pas le moins de monde son rythme de travail effréné, ayant toujours vécu avant tout pour sa carrière, mais désormais il faudra jongler avec son deuxième amour : sa fille à naitre. Chose qu’elle réussira très bien à accomplir contre toute attente. L’ancienne mannequin s’en félicitera des années plus tard d’ailleurs, fière d’avoir pu offrir un foyer aimant et stable à sa fille. Celle-ci recevra d’ailleurs une éducation stricte, mais permissive à la fois. Ses parents souhaitant la laisser faire ses propres expériences et erreurs, tout en guidant leur progéniture pour lui assurer le meilleur avenir possible.

Lara a le cœur brisé lorsqu’elle voit sa fille rentrer à la maison après l’école en larme. Celle-ci est victime d’intimidation et cela rend sa mère complètement dingue de ne rien pouvoir faire pour l’aider. Heureusement, il ne s’agit de rien de grave, sinon la mère de famille n’aurait pas hésité à aller dire le fond de sa pensée aux autres mères des enfants cruels ni même au directeur de l’école de sa fille. La famille Anderson se rapproche également rapidement d’une autre famille au cours des années scolaires de Zelda. En effet, celle-ci a une meilleure amie qui se trouve être l’enfant d’un des collègues de travail d’Eddie, vivant dans la même ville que la famille Anderson. Il n’est donc pas rare que les deux familles passent du temps ensemble.

En 2015 même, les deux pères sont mutés à Seattle pour y débuter une nouvelle branche de la compagnie d’informatique pour laquelle ils travaillent tous les deux. Si au départ Lara n’a pas envie de suivre son mari, déchirée entre son travail et sa famille, elle trouve rapidement un compromis. Depuis quelques années déjà, la quarantenaire a engagé du personnel et une assistance pour l’aider à gérer sa compagnie. Il est temps d’avoir l’ambition de passer outre-Pacifique. C’est donc avec ses propres objectifs professionnels en tête que la mère de famille accepte de suivre son époux dans l’état de Washington. D’abord inquiète pour sa fille, de l’arracher à sa vie en Australie, lorsqu’elle apprend que la famille de sa meilleure amie suive également leur patriarche à Seattle, Lara est bien rassurée pour Zelda.

Ils immigrent donc tous en aout 2015 dans la ville de Seattle. Les premiers mois sont bien occupés entre l’installation, la reprise de l’école et la planification professionnelle des deux parents. L’Australienne travaille dur pour lancer son affaire aux États-Unis, mais elle planifie plutôt d’ouvrir un nouveau bureau à L.A., ville qu’elle considère plus prometteuse et plus glamour. Puis, son mari pourra toujours trouver un emploi de choix dans de grandes compagnies là-bas comme Apple ou Microsoft. Il est cadre après tout et à beaucoup d'expérience ! Le seul hic, c’est Zelda… Sa mère ne souhaite pas la brusquer ou la blesser en déménageant à nouveau la famille. Il faudra trouver les bons mots pour apporter la chose.

En octobre 2015, Lara dépose sa fille à l’école pour le grand départ en classe verte. La maman a bien du mal à dire au revoir à sa fille de 10 ans et lui offre un câlin plein d’amour avant de devoir se résigner à lui dire au revoir pour les prochaines semaines. Zelda va bien s’amuser et ce sera une belle expérience pour elle, se répète Lara, malgré son cœur de maman inquiet. Eddie lui en profitera pour repartir au chevet de sa mère malade. L’occasion parfaite pour la quarantenaire d’encore plus de concentrer sur ses projets d’importation de son entreprise.



Octobre et Novembre 2015  - Seattle

Quelques jours ont suffi pour que le monde s’écroule, pour que le sien se transforme en cauchemar sans fin. Si au départ Lara ne porte pas tellement attention aux nouvelles rapportées dans les médias, c’est uniquement parce qu’elle a vite appris à les éviter depuis son arrivée aux États-Unis. Si partout ailleurs les nouvelles du soir se concentrent sur l’aspect sensationnaliste et dramatique des événements locaux ou mondiaux, les Américains sont à un niveau bien supérieur.

Ce n’est donc que lorsque la mère de famille a assisté elle-même à une agression sanglante, qu’elle a finalement compris que les choses étaient sérieuses. Bien trop sérieuses. On entend toutes les différentes sirènes en continu dans la ville, la police, les ambulanciers et les pompiers sont plus que jamais sollicités par toutes ces agressions, par ces morts, par ceux qui semblent être pris de folie cannibalistique. Des infectés d’un virus inconnu, tenteront certain.

Lara ne pense même pas à sa propre sécurité sur le coup, non, toutes ses pensées sont plutôt tournées vers sa fille partie en classe verte au beau milieu de la nature. Sa chair est rongée par l’inquiétude et elle tente par tous les moyens de joindre les moniteurs et les professeurs responsables. L’Australienne ne réussit à avoir la ligne qu’un ou deux fois, mais le réseau est tellement mauvais qu’elle n’arrive pas a échanger une seule parole avec la responsable à l’autre bout du fil. Son cœur de mère ne supporte pas la situation et Lara tente à plusieurs reprises de joindre quelqu’un de nouveau, n’importe qui ayant sa fille à charge. Sans succès.

Les policiers sont trop rapidement remplacés par les soldats. La violence ne diminue pas, bien au contraire. Infecté, non infecté, le monde est devenu fou. Impossible de joindre Eddie, impossible de savoir si Zelda est saine et sauve, il est dangereux de sortir de chez elle, la quarantenaire ne sait trop que faire pour la première fois de sa vie. La seule chose qui la fait tenir bon est ce désir de retrouver sa fille de 10 ans, cet espoir que son mari soit en sécurité. Lara brave le dehors pour récupérer le plus de vivres possible dans le chaos ambiant. Les pénuries se font rapidement sentir, puis les réseaux électriques commencent à défaillirent, c’est le début de la fin et il est hors de question que la blonde abandonne son enfant à ce monde devenu sauvage.

À la fin novembre, Lara refuse de rejoindre l’un des camps de réfugiés et choisit plutôt de fuir la ville à bord de sa berline. Direction : Colville Indian Reservation.


Décembre 2015 - Maple Falls

Il est presque comique aujourd’hui de réaliser à quel point les films hollywoodiens pouvaient être révélateurs de la nature humaine. Si l’on trouvait que ceux-ci étaient exagérés, voire débiles et peu crédibles, c’est en temps de crise que l’on peut en fait se dire que les réalisateurs n’avaient pas exagérer les choses. Bouchons, bagarres, pillages, accidents, hordes, meurtre de sang-froid. L’être humain était une bête retenue par quelques lois écrites sur du papier éphémère. La débilité de certains frôlait l’insanité des autres. La panique abrutissante décidait du sort de beaucoup, la témérité de celui de plusieurs et au final une poignée s’en sortait en faisant preuve de prudence.

Lara s’en sort, mais à quel prix ? Voiture endommagée, estafilade profonde au bras et à des kilomètres de son objectif. Les détours se sont enchainés, la mère a dû reculer plus qu’avancer pour éviter ceux qui rôdent, ceux qui pillent, ceux qui tuent. C’est en décembre qu’elle arrive finalement à Maple Falls pour se rendre compte trop tard qu’aucun chemin ne lui permet de contourner cette chaine de montagnes bordant le Canada. Le pays des voisins ne l’attire guère et la quarantenaire n’y voit en aucun cas un raccourci. Il faut faire demi-tour, mais la berline a trop souffert de la dernière attaque. Les vivres manquent et les dernières compresses pour désinfecter son bras ont été utilisées.

À pied, elle finira par être poursuivie par des rôdeurs et tuera pour la première fois de sa vie, mais malheureusement pas la dernière. Cela deviendra plus facile au fil des années, mais ici, en 2015 à Mapple Falls, Lara s’en trouve profondément marquée. C’est une famille qui la mettra à l’abri, avant que l’irréparable ne se produise. Pour la première fois depuis octobre, l’Australienne fond en larme la nuit venue, complètement abattue par ce monde pourri.


Printemps 2016 - Rockport

Les chutes de neige et l’entretien désormais inexistant des routes ont coincé Lara à Maple Falls durant tout l’hiver 2016. La cohabitation avec la petite famille qui l’a sauvé des griffes des rôdeurs quelques mois auparavant n’est pas des plus difficile, mais reste néanmoins douloureuse pour la quarantenaire, chaque fois que celle-ci pose les yeux sur les deux jeunes enfants du couple.  En explorant les environs pour trouver des vivres et des ressources utiles, Lara met la main sur une machette qui ne quittera plus sa personne. Il n’est pas facile d’apprendre à survivre, mais c’est pourtant ce qu’ils réussissent à faire. Malgré la tranquillité relative de la petite ville, outre les rôdeurs à éliminer régulièrement, l’Australienne décide cependant de partir dès que le temps est plus favorable. Il faut qu’elle retrouve sa fille, il le faut ! Lara dit au revoir à ces gens généreux qui l’ont accueilli pour l’hiver et fera son bout de chemin jusqu’à Rockport au printemps 2016. Après ce long mois de marche, elle est épuisée et est contrainte de se poser un certain temps pour se reposer. Il faut également refaire le plein de provisions, car si elle a pu trouver divers cours d’eau dans lesquels s’abreuver, la nourriture lui a cruellement manqué durant les longues semaines passées.  

La chance lui sourit néanmoins et la blonde met la main sur une nouvelle voiture fonctionnelle, oubliée au fond d’un garage délaissé. Avec ce bolide, elle pourra traverser la route montagneuse et atteindre plus rapidement la réserve où - elle l’espère - se trouve encore Zelda. La vie ne compte cependant pas lui faire un cadeau et c’est un glissement de terrain rendant la route impraticable à hauteur de la Ruby Mountain qui la force à faire demi-tour une fois de plus. Aucun autre chemin n’est plus direct et la mère de famille ne retient aucun juron, en inventant très certainement entre quelques larmes, au volant de son véhicule.


Été 2017 - Skykomish

Les hordes de rôdeurs décident des endroits de passage désormais. Il faut ajouter à ça que la mère de famille essaie d’éviter les grands rassemblements de personnes - étant sans doute trop méfiante -  et il devient difficile d’emprunter telle ou telle route. La menace de pillards est toujours omniprésente dans son esprit, novembre 2015 lui laissant toujours un goût amer en bouche, la cicatrice à son bras pouvant témoigner de l’attaque subit.

Ce qui pouvait prendre quelques heures dans le monde d’avant, prend désormais des jours, des semaines, voire des mois si l'on a aucun moyen de se déplacer facilement. Il y a tellement d'obstacles a éviter et il faut constament ne pas se précitpiter. C’est insoutenable. Frustrant. Injuste ! Ce n’est pas comme si l’on peut s’arrêter quelque part pour prendre un petit quelque chose à grignoter ou pour remplir la voiture d’essence. Tout est un défi, tout prend du temps et l’on doit s’arrêter souvent pour remplir ses poches, pour réussir à survivre. Quelques jours, quelques semaines pour se remettre sur pieds et Lara repart toujours ensuite. Une année est passée déjà depuis Rockport… Une année de plus sans sa famille, sans même savoir s’ils étaient toujours en vie. Il le fallait.

La mère de famille s’obstine à ne pas demander d’aide aux survivants qu’il lui arrive de croiser, s’entête à réussir seule à retrouver sa fille, à trouver de la nourriture, des vêtements, de l’essence. L’hiver arrive toujours pour la paralyser dans ses déplacements et après quelques sorties de route, la blonde a dû se résigner. Une petite pause à Skykomish s’impose donc à elle pour trouver de nouvelles ressources. C’est là qu’elle trouve un pistolet 9mm et se l’approprie pour se défendre. Elle a bon espoir qu’il sera dissuasif sans qu’elle ait à tirer, mais sait qu’elle devra s’y résoudre tôt ou tard.


Hiver 2018 - Winthrop

Un autre hiver qui laisse un goût acide dans la bouche de l’Australienne. Celle-ci doit une fois de plus se plier à mère Nature, car entre les plaques de glace et les quelques centimètres de neige glissants, impossible d’aller bien loin avec la voiture. La distance est trop énorme aussi pour y aller à pied et ce n’est pas des plus sécuritaire par-dessus tout ça. D’ailleurs, son véhicule commence à éprouver certaines difficultés mécaniques. Lara n’y connait rien du tout en la matière et a beau essayer d’ouvrir le capot de temps à autre, elle n’a aucune idée de par où commencer.

De bons samaritains lui offrent finalement un coup de main, alors qu’ils tombent les uns sur les autres par hasard dans un petit magasin. Lara est extrêmement méfiante, mais il s’agit de bonnes personnes au final. Baissant enfin sa garde, la quarantenaire restera quelques jours avec eux, le temps qu’ils puissent réparer sommairement son véhicule. En échange, elle participera à quelques sorties pour trouver eau et nourriture. Ils devront partir à la hâte un matin glacial, car certaines des personnes de ce tout petit groupe auront repéré l’arriver de criminels aux abords de la petite ville. De nos jours, ce mot ne veut plus rien dire, mais on lui expliquera rapidement qu’il s’agit d’un groupe d’esclavagistes et de pillards. Ni d’un ni de deux, ils devront partir chacun de leur côté pour fuir cette menace avant d’être repérés. Lara décidant de remonter vers le nord pour ne pas trop s'éloigner de son objectif, les bons samaritains eux allant plutôt à ouest pour se rapprocher d'une grande ville.

La blonde va se réfugier le reste de l’hiver à Winthrop, réussissant à s'y rendre malgré les conditions routières défavorables hivernales. Elle n’en bougera pas jusqu’à ce que la météo soit plus clémente. Seul point positif dans cette fuite effrénée ? Les pillards ne semblent pas avoir suivi sa trace. Elle a néanmoins une petite pensée pour ceux qui l’on aider, espérant qu’eux ne se sont pas fait attraper.


Printemps 2018 - Colville Indian Reservation

Elle y est enfin, ENFIN ! Son véhicule a tenu la route par miracle et Lara est finalement arrivée à destination. Dès qu’elle referme la porte conductrice derrière elle, Lara n’a qu’une envie, c’est de se mettre à courir en criant le nom de sa fille, en espérant la voir sortir de ces bois, saine et sauve. La scène est touchante, mais tout simplement impossible. Il faut bien sûr ne pas se précipiter, prendre son temps et user de prudence. Qui sait ce qui se cache ici ?

Lara met plusieurs mois à complètement fouiller le territoire de la réserve. C’est immense, la végétation a fortement repris ses droits, mais la mère de famille refuse de quitter le territoire sans être persuadée hors de tout doute que sa fille ne s’y trouve pas. Une obstination qui frôle presque la folie, muée par la désespération d’un parent ignorant le sort de son enfant.

L’Australienne croise d’innombrables rôdeurs durant ses recherches, devant parfois rebrousser chemin pour s’abriter. La chance lui a souri dès le départ et la blonde a pu mettre la main sur un plan de la réserve. Ainsi, chaque zone fouillée a pu être raturée.

Plus personne ici autre que les morts qui se sont ranimés et ceux qu’elle a débarrassés de la surface de la Terre. Lara aura du mal à l’accepter et restera un long moment supplémentaire sur place, vivant dans sa voiture, pleurant à chaude larme en réalisant que Zelda n’est pas ici… Au bout d’un mois supplémentaire, l’Australienne se rend à l’évidence et décide enfin de bouger. Peut-être que sa fille a réussi à rentrer à Seattle ? Peut-être que depuis toutes ces années, elle l’attend et se demande si sa mère est toujours en vie ?! Pas de chance, le véhicule ne démarre plus… La suite de son périple se fait donc à pied et c’est aux aborde de la Colombia River, vers Seatons Grove qu’elle découvre l’une des pires choses de sa vie.

Mary n’a pas survécu.

Mary marche toujours.

Lara a du mal à s’y résoudre et elle connait les dangers d’approcher les rôdeurs… mais Mary, pauvre Mary. La vue brouillée par les larmes, Lara éliminera le cadavre animé de la petite fille, ayant l’impression qu’elle venait de tuer son propre enfant. Inconsolable, elle lui creusera une tombe néanmoins, avant de repartir et de prier tout ce qui existe pour que Zelda n’ait pas subi le même sort. Cette épreuve la marque profondément et ne la quittera plus jamais du reste de sa vie.


Été 2019 - Wenatchee

Lara finit par faire confiance à des gens qu'elle croise sur la route. Les années d’isolement et de méfiance commencent à avoir raison d’elle. Ils semblent honnêtes et bien vite il se trouve que la mère de famille ne se trompe pas à leur sujet. Il est plus facile de survivre à plusieurs et si Lara avait refusé depuis le début, désormais sans véhicule, il lui semble plus futé de suivre ces gens. Ils survivent ensemble quelques mois, faisant lentement mais surement chemin vers le sud-ouest, ce qui arrange la quarantenaire qui souhaite revenir sur Seattle.

La vérité par contre en fait, c’est que Lara est marquée par le meurtre de Mary et n’arrive plus à se retrouver seule sans se repasser la scène en boucle et en boucle en tête. La blonde ne veut pas s’avouer non plus qu’elle a peur de retourner à Seattle, peur de ne pas y retrouver Zelda, peur de la retrouver, mais dans l’état de Mary.

Leur petit groupe finit en rejoindre un plus grand, mieux installé aussi dans un collège de Wenatchee. Si d’ordinaire Lara serait restée que quelques jours, voire quelques semaines seulement, elle décide d’y trainer, de repousser son départ. Les semaines se transforment finalement en mois et la maman se rapproche des gens, puis de certains jeunes. Ce sont sans doute les premiers instants de paix – relative- pour Lara depuis 2015. Du courant, de l’eau, des vivres, des gens, de la sécurité… L’espace d’un instant, l’Australienne se permet réellement d’en profiter.


Décembre 2019 - Yakima

Est-ce que quelqu’un l’a vue approcher cette horde ? Peut-être, mais on n’a pas jugé bon de les avertir. Ils sont attaqués par les rôdeurs et leur nombre effarant, difficile de savoir qui s’en est sortie et qui a péri sous les mâchoires de ces morts toujours parmi les vivants. Difficile de se suivre entre survivants même et c’est comme ça que Lara à perdu la trace de ceux qu’elle considérait désormais comme des amis. Dans sa fuite, elle s’est retrouvée seule avec deux autres personnes et c’est en souhaitant mettre beaucoup de distance entre la horde et leur petit trio, qu’ils aboutirent à Yakima. Impossible de savoir comment les autres s'en étaient sortis et la horde était toujours dans les parages. Il fallait se faire une raison, le collège était tombé et il valait mieux éviter la zone.

Il s’agit d’un autre coup difficile pour l’Australienne qui pensait enfin pouvoir se poser, s’organiser, mettre de l’ordre dans son esprit. La fuite a été difficile, puisque Lara s’est grièvement blessée à la jambe. Une mauvaise chute sur la glace, aussi idiot que cela pouvait être.

Il lui faudra un long moment pour se remettre et elle sera forcée de passer l’hiver à Yakima, mangeant maigrement pour survivre, mais n’ayant pas la force de faire plus de recherches. Vivant dans un squat sale et mal isolé, elle dira aux deux autres adolescents de ne pas l’attendre, alors qu’eux s’impatientent de retourner voir ce qu’il se trame au collège. La mère de famille les mettra en garde, aura même tenter de les en dissuader, mais il vaut mieux les laisser aller et ne pas servir de boulet à leurs chevilles.


Printemps 2020 - Buckley

Plus ou moins remis, c'est plus fort qu'elle : il faut qu'elle tente de rentrer à Seattle, elle ne peut pas baisser les bras comme ça. Seule, Lara ne fait que penser à sa fille, espérer qu’elle soit saine et sauve, se dire qu’elles se sont peut-être manquées de peu et qu’elle est revenue à la maison. Peut-être que quelqu’un saura lui dire que sa petite tête blonde à trainer dans le coin ? Sur le chemin même en allant vers Seattle, peut-être qu’elle avait trouvé refuge avec un groupe ! Tant qu’elle ne trouverait pas son corps, animé ou inanimé, Lara ne pouvait pas se dire que c’était terminé. Le cœur d’une mère ne pouvait pas abandonner.

Les véhicules fonctionnels sont rares, donc elle part à pied et fera une pause à Buckley avec d'autres nomades. Là-bas, il y a plusieurs conflits et Lara fera de son mieux pour s’en tenir loin. La seule raison pourquoi elle restera avec eux un certain temps, c’est pour reposer sa jambe, mais aussi pour profiter du bâtiment commun qu'elle trouve plus sécuritaire.  Elle n'est que de passage uniquement de toute façon et s'isole un peu des autres. Zelda lui manque, mais aussi les jeunes de Wenatchee.


Hiver 2021 - Tacoma

Son périple est très difficile vu les chutes de neige, Lara manque rapidement de nourriture et se blesse à nouveau en tentant d'échapper à des rôdeurs. Cette fois, la quarantenaire croit qu'elle va mourir. Mal en point, trop maigre par le manque de nourriture et ayant beaucoup de difficulté à se mouvoir, elle pense que si ce n’est pas les rôdeurs qui la tueront, ce sera la faim ou le froid.

L’Australienne s'en sort finalement, grâce à des âmes charitables qui lui donneront quelques vivres en la découvrant. Elle entendra parler de New Eden et aura très très peur qu'ils aient mis la main sur sa fille, si elle est toujours en vie. Les images de Mary la hanteront avec force chaque nuit, ne l’aidant toujours pas à se reposer depuis qu’elle avait dû l’enterrer, plusieurs mois plus tôt. Il faudra qu’elle reprenne la route au printemps. Elle remercie ses sauveurs et accepte leur abri, tandis qu'eux s'en vont finalement plus au sud, à Olympia. La méfiance a certainement ses avantages, mais il reste de bonnes personnes dans ce monde.


Été 2021 - Tacoma

À bout de force et d’espoir, Lara n’a pas pu reprendre la route comme espéré. Toujours à Tacoma, elle désespère de plus en plus, ayant du mal à trouver de la nourriture et étant diablement amaigrie depuis l’hiver.  Sa blessure n’est toujours pas bien guérie et nécessiterait certainement des soins plus poussés, mais elle ne sait pas où en trouver et ne peut pas s’éloigner énormément de son abri sans être épuisée. Ça semble être le début de la fin pour elle et Lara est en colère. En colère de ne pas avoir su protéger sa fille, en colère de mourir ainsi et sans pouvoir faire quoi que ce soit de plus.

Les miracles semblent toutefois exister et celui-ci a pris la forme de trois jeunes adultes aux bons cœurs. Les dénommés Olivia, Rafaël et Abigaïl ont découvert la quarantenaire dans un sale état. Par bonté ou allez savoir par quelle motivation, ils lui ont proposés de les rejoindre, de l’aider à se remettre sur pied si elle s’impliquait dans leur groupe en échange. Un groupe plus grand, mieux organisé et promettant une vie meilleure à Lara. Ils allaient même parfois sur Seattle, ce qui lui permettrait d’aller y faire des rondes de temps à autre pour retrouver Zelda. Du moins, voici ce qu’a retenu la blonde de leur discours dans son état.

Y a-t-il une arnaque à tout ça ? Lara ne saurait le dire, mais elle accepte volontiers de les suivre, si ça veut dire survivre et avoir la chance de retrouver sa fille.



Lara s’implique là où il le faut dans le camp. Pas du genre à s’opposer à la hiérarchie et l’autorité en place, elle n’a pourtant pas peur de dire ce qu’elle pense sans mâcher ses mots. Elle a beaucoup d’expérience en survie de par son cheminement assez taxant des cinq dernières années. Elle ne parle pas beaucoup de sa fille et tente de faire ses recherches seule, sans l’aide des autres. The Haven est ni plus ni moins qu’une seconde chance, un second souffle pour elle. Pas question de mal faire les choses. Il y fait bon vivre et la blonde caresse le rêve de pouvoir y amener Zelda si elle la retrouve un jour.


time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : /
• Âge irl : secret d'état
• Présence : weekend
• Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef []
• Comment avez-vous découvert le forum ? c'est ma résidence secondaire
• Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Toujours ces voix dans ma tête
• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [x]
• Crédits (avatar et gifs) Tumblr, pinterest

• Code du règlement Celui qui s'est assis dessus avait le nom Mort  :103:

fiche (c) langouste.



Wandering and surviving
in this monstruous world by myself

Rebekah Ben Ami
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Re: Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 10:20

Rebienvenue !!


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Jacob E. Ross
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Re: Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 11:37

Amuse toi bien avec Lara !
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Re: Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 11:50

Mama Bear 1442386177 Mama Bear 1442386177 Mama Bear 1442386177
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Re: Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 13:00

re bienvenue a toi!!!!
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Re: Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 14:47

Ouiiiiiii !!! :smile34: :smile34:

Bienvenue ma p'tite môman !! Trop hâte de te voir la jouer !! Mama Bear 1342238320 Mama Bear 1342238320 Mama Bear 1342238320
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Re: Mama Bear

Sam 3 Juil 2021 - 15:29

Une fiche au poil !
Bon jeu avec Lara et à très vite inRP drama



Bienvenue à The Haven


Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à survivre au fort de Nisqually.

Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.


Pour en apprendre un peu plus sur ton groupe, tu peux :

Découvrir la présentation de The Haven
Découvrir la partie vie de groupe

Afin que ton intégration se passe bien :

• Pense à passer par ici pour demander les caractéristiques de ton personnage.
• Poste ta fiche de lien pour trouver des copains
• Mais aussi tes annexes
• Et pour te lancer dans l'aventure viens faire une demande de RP !
• N'oublie pas non plus de recenser ton/tes PNJ.

N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons contents de t'y accueillir !

Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD





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Re: Mama Bear

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