Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:36

Georgia Hayestell me more about you

prénom(s) : Georgia "Gia (Beatrice "Bea") nom : Hayes date de naissance : 09 Août 1990 âge : 31 ans (âge estimé entre 25 et 30) ville de naissance : Londres métier : Restauratrice d'oeuvres d'arts et peintre groupe : New Eden avatar :Adelaide Kane

what i am

qualites Passionnée Déterminée Créative Compatissante Combative defaults Distraite Impulsive Critique Susceptible Hésitante

Equipement : Rien à part les vêtements qu'on lui a donné depuis son réveil. Les vêtements qu'elle avait sur elle ont été découpés lors de son arrivée à l'hôpital pour pouvoir la soigner.     Details physiques : Petite brunette d'1m63, au visage souriant et expressif et aux grands yeux bruns chocolat, Georgia est jolie et bien proportionnée. Assez peu portée sur la coquetterie, elle ne se maquille que rarement et se contente généralement d'une paire de jeans et de t-shirts, ne s'embarrassant pas de fioritures et de longues heures à se pomponner. Cette simplicité ajoute à son capital séduction, certains hommes, dont son futur mari, appréciant ce charme naturel et sans artifices.

Psychologie

 
• Passionnée : D'une nature entière, Gia donne sans conditions ni demi-mesures. Elle se donne toujours à fond et attend la même chose des autres. Elle aime ou n'aime pas, mais les choses ont pour elle tendance à être soit blanc, soit noir. Son avis et ses opinions sont tranchées, et il est très rare qu'elle change d'avis. Cela n'est toutefois pas impossible, elle l'a vécu avec Sam.
• Déterminée : Lorsqu'elle a décidé quelque chose, Gia le fait et va jusqu'au bout. Sa détermination frôle bien souvent l'entêtement, mais Georgia n'est pas femme à se dérober face à ses responsabilités ou aux conséquences de ses actes. Elle assume toujours ce qu'elle fait, dit et pense.
• Créative : Depuis qu'elle est toute petite, Gia montre une sensibilité artistique et une créativité qui se retrouve dans sa vie quotidienne. Enfant, elle pouvait inventer des histoires où la princesse des papillons était conviée au bal des fées et en grandissant, sa fibre artistique s'est élargie, devenant plus assumée. Là où les autres adolescents de son âge parlaient maquillage et shopping pour la prochaine fête tant attendue, elle préférait traîner dans les musées, dessiner ou peindre, et s'essayer à la poterie ou la sculpture. Son côté entier intervient par ici également, Gia voulant tout tester des différentes techniques et approches artistiques au lieu de se contenter d'une seule. Son sens de l'observation et sa sensibilité complètent cet engouement pour les arts en général.
• Compatissante : Sans être naïve, Gia peut assez vite se laisser attendrir par les malheurs d'autrui, et y réfléchira longuement pour tenter de les aider à résoudre leurs soucis. S'entend par là qu'elle leur propose plusieurs solutions, pas qu'elle résout leurs problèmes à leur place.
• Combative : Gia n'est pas du genre à baisser les bras devant l'adversité, quels que soient les obstacles. Il y a bien évidemment, comme tout le monde, des baisses de moral, des moments où la jeune femme doute, mais toujours elle se relèvera et affrontera les difficultés, jusqu'à les vaincre.
• Distraite : On dit souvent des artistes qu'ils sont tête en l'air ou rêveurs. Dans le cas de Gia, c'est assez vrai et facile à constater. Lorsqu'elle est partie à peindre, dessiner ou simplement observer une oeuvre, elle perd toute notion du temps et se montre, dans ces cas-là, toujours surprise de voir que des heures se sont déjà écoulées, qu'elle a sauté un ou plusieurs repas ou manqué un rendez-vous. Ses proches en ont rapidement pris leur parti, et lui servent très souvent d'horloge ou d'agenda.
• Impulsive : Son côté combatif couplé à sa tendance passionnée font de Gia une personne plutôt impulsive et parfois prompte à juger une personne ou une situation. Les disputes peuvent rapidement devenir explosives, avec jet d'assiettes ou de ce qui lui tombe sous la main.
• Critique : Sa fibre artistique et son sens de l'observation ont aiguisé son esprit et son sens critique. Celui-ci ressort parfois au quotidien, et Gia peut se montrer un peu abrupte, voire blessante, sans chercher à l'être.
• Susceptible : Assez susceptible, Georgia n'aime pas admettre qu'elle a tort ou s'entendre dire qu'elle s'est trompée. Elle n'est cependant absolument pas rancunière, et ses bouderies ne durent jamais bien longtemps.
• Hésitante : Ce trait est surtout apparu depuis le début de l'épidémie, et s'est énormément accentué depuis son réveil. Ces six dernières années, Gia a, comme tout le monde, bien vite compris que chaque action, chacune des décisions prises, peut désormais avoir des conséquences terribles et funestes. Sa tendance à l'impulsivité peut maintenant coûter la vie, ce qui rend la jeune femme plus indécise sur les choix à faire. Le fait de se réveiller sans se souvenir qui elle était a accentué cet état de fait, et la jeune femme se sent partagée entre reconnaissance pour avoir été sauvée et crainte pour son avenir en entendant le discours qui lui est tenu.

Story of survival

Pre-apocalypse

• 1990 à 2005/Londres-New-York : Née à Londres douze minutes après son frère jumeau, Gavin, Georgia et son frère comblent la petite famille de bonheur. Ils seront les seuls enfants du couple, choyés et élevés selon des valeurs essentielles par la majorité des gens. Encouragés dans leurs individualités, les deux enfants grandissent en étant proches l'un de l'autre mais aussi de leurs parents, se complétant dans leur différence. Rapidement, la famille Davies quitte l'Angleterre pour les Etats-Unis et s'installent dans la banlieue new-yorkaise pour des raisons professionnelles. Ce changement intervient relativement tôt dans la vie des jumeaux, qui âgés de sept ans, voient tout d'abord ce changement comme un drame. Quitter leur maison, leur école et les amis qu'ils se sont faits leur apparaît presque comme une fin du monde. Pour autant, ce changement est révélateur pour les deux enfants, qui voient leurs passions se révéler pleinement dans ce nouvel environnement. Georgia est impressionnée et conquise par le nombre de musées et de galeries d'arts, Gavin s'épanouit en s'entourant d'un nombre impressionnant d'amis.  
Ils se complètent aussi dans leur scolarité, et se montrent bons élèves dans l'ensemble. Georgia est davantage attirée par les courts d'arts plastiques, de musique et de littérature, Gavin excellent en sport, en histoire et en algèbre. Ils font leurs devoirs ensemble, s'entraidant mutuellement sur les lacunes de l'autre, et sont plus proches que jamais.
Les années défilent, plus rapide pour le couple Davies que pour leurs enfants. Les premiers ont l'impression que le temps passe trop vite, et commencent à évoquer des souvenirs de première fois. La première dent, le premier mot, le premier pas... Ils en parlent de façon attendrie, un peu nostalgique, en précisant presque à chaque fois [/i]"J'ai l'impression que c'était hier..."[/i].
Les jumeaux eux, à maintenant quinze ans, ont des envies d'indépendance, veulent grandir plus vite. Ils ne font pas partie de ces jeunes qui se rebellent, entrent dans une provocation gratuite contre les parents ou font le mur et désobéissent à tout va, mais argumentent davantage lorsqu'ils demandent quelque chose, déterminés à faire entendre leur point de vue. Quelques tensions bien naturelles, somme toute, entre deux générations et qui se reproduisent à l'infini.

• 2008/New-York : Le temps des premiers adieux. Gavin et Georgia ont maintenant dix-huit ans et le temps est venu d'entrer à l'université. Outre le fait qu'ils quittent papa et maman pour la première fois, ils doivent aussi composer avec une autre séparation : la leur. Georgia part en Californie pour étudier les Beaux-Arts, Gavin, lui, a obtenu une bourse sportive pour intégrer l'équipe de Base-ball des Florida Gators, tout en étudiant l'économie.
La séparation est un déchirement et des flots de larmes se mêlent aux embrassades et aux promesses sans fin de s'appeler, de se programmer des visios et de se voir le plus régulièrement possible. Mais la vie est ainsi faite, les enfants grandissent pour quitter le nid et voler de leurs propres ailes.
Rapidement, de nouvelles rencontres ont lieux, des amitiés se créent et la séparation se fait moins douloureuse. Georgia devient bien vite très proche de sa camarade de chambre, Isabel, et les deux amies sont rapidement inséparables. Gia jongle entre ses cours et des moments de détente entre amis, entre faire un peu de tourisme et préparer son avenir professionnel. Los Angeles n'a rien à envier à New-York au niveau de l'art, des musées et des galeries à visiter, et la jeune artiste réfléchit à ses options.

• 2012 à 2015/Los Angeles : Le tourbillon de la vie étudiante passe à une vitesse folle, et Georgia se retrouve diplômée et jeune adulte sans vraiment s'en être rendue compte. Remarquée dans le domaine artistique, son talent lui a permis de décrocher un emploi avant même la fin de ses études, et elle démarre sa vie professionnelle le sourire aux lèvres, dès que le précieux document arrive entre ses mains. Engagée en qualité de restauratrice au National Gallery of Art à Washington, son travail consiste à rendre leur éclat d'antan à de vieux tableaux poussiéreux et parfois tombés dans l'oubli. Ce travail lui permet de voir de près de grands tableaux de maîtres, et lui laisse de surcroît assez de temps libre pour peindre elle-même.
Si la vie de Gia semble se faire sur la côte Est, elle n'en oublie pas pour autant ses parents et son frère, avec qui elle reste en contact régulier et voit le plus souvent possible.
La jeune femme a l'occasion de voyager un an plus tard, quand son amie Isabel, avec qui elle a gardé le contact, la nomme demoiselle d'honneur à son mariage. A cette occasion, Georgia découvre le Wyoming et Chad, le fiancé de son amie. Elle fait également la connaissance du meilleur ami et témoin du futur marié, Samuel Hayes. Dire que cette première rencontre ne s'est pas bien passée est un euphémisme, les deux jeunes gens se rejouant un remake d'orgueils et préjugés. Lui la prend pour une citadine pompeuse et sans cervelle, elle le prend pour un connard macho et arrogant.
Heureusement pour eux deux, ils n'ont à se supporter que quelques jours, juste le temps du mariage, avant de reprendre leurs vies respectives.
Le destin en décide pourtant autrement et à cause d'une grève des aéroports, ils se retrouvent coincés ensemble, obligés de partager une voiture pour économiser les frais et rejoindre l'état voisin du Montana.
Ce trajet, qui s'annonce explosif, se passe finalement bien et permet de dénouer tensions et mauvais jugements. Si Sam a effectivement un côté macho autoritaire assez prononcé, Gia se rend vite compte qu'il a également beaucoup d'esprit et d'humour. Lui de son côté, se rend compte aussi que Georgia n'a rien d'une bimbo superficielle, et les deux se quittent au terme de ce voyage impromptu plutôt bons amis.
Deux jours après être rentrée, Gia a la surprise de recevoir un appel de Sam, juste pour prendre de ses nouvelles. Un échange téléphonique régulier s'installe entre eux, et soudainement, la jeune femme a la surprise de découvrir Samuel sur le pas de sa porte un soir, déterminé à l'emmener dîner. Le jeune couple jongle avec leurs emplois du temps respectifs et la distance pour se voir, et ce n'est pas toujours évident. Leur relation tient bon malgré tout et Sam prend Gia par surprise en la demandant en mariage, au terme d'une soirée romantique. Alors que des milliers de questions se bousculent dans sa tête, que Georgia se demande s'ils ne brûlent pas les étapes, elle s'entend accepter dès qu'elle ouvre la bouche. Leur liaison est passionnée, et les deux jeunes gens restent persuadés qu'ils peuvent résoudre toutes les difficultés.
Elles sont nombreuses, et bon nombre de discussions se terminent en dispute, puis en réconciliations sur l'oreiller. Gia n'est pas certaine de s'habituer à la rudesse du Montana, mais est prête à cette concession. Bien qu'elle adore son travail, elle aime plus que tout peindre, et se dit que même moins prestigieux, elle pourra toujours travailler dans un autre musée. Pouvoir réunir tous leurs proches sur une même date s'avère un défi plus complexe que prévu, mais ils parviennent finalement à le résoudre. Le mariage est finalement célébré en Juin 2015, et le temps de régler leurs obligations professionnelles respectives, Samuel et Georgia Hayes s'envolent vers Priest Lake dans l'Idaho pour leur lune de miel fin Septembre.

Post-apocalypse

• 2015-2016/Priest Lake, Idaho : Petite localité d'Idaho, Priest Lake se situe à quelques kilomètres au Nord de Coeur d'Alene, offrant un cadre idyllique en pleine nature. C'est là qu'Isabel et Chad eux-mêmes ont passés leur propre lune de miel, recommandant l'endroit à leurs amis. Dans une cabane en bord de lac, au milieu des bois, Sam et Gia vivent une déconnexion totale avec le monde extérieur. L'endroit leur offre un véritable cocon pour se découvrir, se promettre de s'aimer à l'infini et se sentir seuls au monde. La lune de miel parfaite, en tout cas, à leurs yeux.
La jeune femme, qui a vécu quelques brèves relations avant Sam, a l'impression de redevenir adolescente, de découvrir son premier amour, et est sur son petit nuage. Ils passent leurs journées ensemble, Sam initie Gia à la pêche et aux promenades en barque, Georgia montre à Sam la beauté de toute ce qui les entoure, si on prend le temps de s'arrêter et d'observer. Durant les trois semaines qui passent, ils ne croisent un couple de randonneurs qu'une fois, seul rappel à la réalité qu'ils ne sont pas seuls sur Terre. Après une dernière semaine passée en tête à tête à ne penser qu'à eux et à leur avenir, Sam et Gia s'apprêtent à replier bagages pour retourner à la civilisation, lorsqu'ils recroisent le couple de randonneurs. En réalité, ils ne recroisent que la femme, couverte de sang et tenant un discours incohérent. Pensant à une mauvaise chute ou un accident quelconque, Sam essaie sans succès de savoir où se trouve le compagnon de la femme, mais son hystérie les pousse à l'emmener avec eux en ville pour trouver des secours. Lorsqu'ils arrivent à Priest River, petite ville à proximité, ils ont peine à croire ce qu'ils voient. Des voitures au milieu de la route, parfois les portes laissées ouvertes, des commerces ou des habitations laissées à l'abandon, la ville leur semble désertée. Elle ne l'est pourtant pas, et le trio croise la route du shérif ainsi que de quelques autres personnes, les braquant avec des armes. Paniqués par le traitement qu'on leur réserve et ne comprenant rien, ils expliquent tant bien que mal qui ils sont et d'où ils viennent, et doivent assurer à plusieurs reprises qu'ils ne sont pas blessés. La randonneuse elle, peine à expliquer ce qui s'est passé, et se voit obligée de répondre par l'affirmative à la dernière question. La plus importante. Oui, son mari, après être tombé dans un ravin et avoir réussi à remonter avec son aide, l'a attaqué et mordu violemment à l'épaule. Les réactions de peur évidente du petit groupe face à cette nouvelle laissent Sam et Gia perplexes. Pour eux, cette femme a seulement besoin de soins et puisque personne ne semble enclin à l'aider, Gia se dévoue, malgré les récriminations et les mises en garde.
Le shérif leur explique ce qui se passe, mais le jeune couple peine à croire à la véracité de tels propos. Le monde ne peut plonger dans le chaos en si peu de temps, les morts ne peuvent se relever, c'est tout bonnement impossible. Et pourtant, la simple morsure à l'épaule de la randonneuse s'infecte rapidement, provoquant fièvre et délire avant d'entraîner la mort brutale de la concernée en à peine deux jours. Sam et Gia sont scandalisés lorsque le groupe mené par le shérif évoque différents moyens de se débarrasser du corps.
Et pourtant, lorsqu'ils la voient se relever de leurs propres yeux, ils ne peuvent plus nier ce qu'on leur dit. Impossible de continuer à croire à un délire collectif, même si c'est difficile à admettre. Le fait que le shérif vide un chargeur entier sur la randonneuse avant de la voir s'immobiliser pour de bon est un choc immense, mais personne n'a le temps de se poser pour y réfléchir. Il faut s'organiser au plus vite, pour la survie de chacun.
Sam et Gia ont appris à connaître leurs compagnons d'infortune. Le shérif, meneur du groupe, s'appelle Wallace. Le groupe compte également Clyde, qui avec son passif de contrebandier alcoolique n'était pas dans les petits papiers du shérif, mais qui a su se rendre indispensable avec ses compétences de braconnier. Tout le monde a contribué à fortifier une partie de la petite ville et des alentours et ils se retrouvent dans une relative sécurité. Ce n'est qu'une fois sûrs que leur survie était établie que le couple se permit de pleurer ses disparus. Les premières semaines, Gia avait en effet tenté sans relâche de joindre ses proches. Ses parents, Gavin, Isabel et Chad...Impossible de savoir s'ils avaient pu se mettre à l'abri, s'ils allaient bien, et lorsque les communications se retrouvèrent coupées, Gia a connu un moment de désespoir. Elle a pu compter sur le soutien de Sam, qui partageait sa tourmente sans toutefois l'extérioriser.


• 2017-2019/Priest River : Aussi étonnant que cela puisse paraître, la vie a repris son cours. Sam a appris à se servir d'une arme, à chasser, et patrouille régulièrement. Il y a moins de Rôdeurs, mais plus d'animaux, ce qui, avec quelques précautions, s'avère très positif pour la survie du groupe. Gia de son côté, apprend à gérer un potager auprès de Gladys, la femme de Clyde, qui pratiquait déjà cette activité depuis des années et apprend à la jeune femme le travail de la terre. Ensemencer, entretenir, récolter, Gia finit par y trouver un vrai plaisir. La jeune femme découvre également comment soigner des blessures mineures ou moyennes et à fabriquer des bandages à partir de vieux vêtements auprès d'Edna, une vieille femme au moral d'acier que rien ne semble étonner ou ébranler. Chacun a son propre espace dans la zone délimitée, et ce maintien de l'intimité, nécessaire pour tous, amène une heureuse nouvelle. Leonard et Norma, un couple d'une quarantaine d'années, sont devenus parents d'une petite fille au printemps 2017. L'accouchement a été long, éprouvant pour les nerfs de chacun, stressant au vu du peu de matériel médical disponible. Pourtant, Norma et la petite Faith se portent bien et survivent grâce aux bons soins de chacun. L'année suivante, un mariage est même organisé, prouvant que la vie, l'espoir et le bonheur restaient possible. Malgré tous les êtres aimés et perdus, malgré l'espoir brisé de les revoir un jour, l'amour reste présent, solidifie les liens et apaise les cœurs. Amber et Joshua, qui étaient des étrangers l'un pour l'autre au début de l'épidémie, ont su se trouver et ont fait le choix de s'unir devant le reste de la communauté. Même si ce fut un simulacre de mariage sans prêtre pour bénir l'union, sans maire pour le consigner dans le registre, tout le monde se donna à fond pour que cette fête soit réussie. Et à la toute fin de l'année 2018, une seconde grossesse fut annoncée. Le bébé naquit en bonne santé et Amber survécut à cet accouchement, faisant presque oublier la réalité du reste du monde. Ici à l'abri, la vie a retrouvé ses droits, et même si ce n'était pas la vie qu'ils avaient choisi, celle qu'ils avaient pu espérer avoir, elle était douce et agréable. Les Rôdeurs ne représentaient plus une réelle menace, semblant avoir déserté les lieux, les animaux sauvages étaient maintenus à l'écart des habitations grâces à des palissades érigées et petit à petit, en œuvrant un peu chaque jour, le groupe parvint à créer un endroit confortable, chaleureux et sûr.
A vivre ainsi en autarcie, ils en oubliaient presque l'extérieur et la vie d'avant. En tout cas, ils n'en parlaient que très rarement entre eux, et le seul décès du groupe depuis des années fut celui de la vieille Edna, de mort naturelle. Un malaise s'insinua dans la communauté lorsque Wallace lui transperça le crâne avant de l'enterrer, rappelant brutalement à certains que les choses n'étaient plus vraiment comme avant, même si la douceur de vivre ambiante l'avait fait oublier. Norma annonça sa seconde grossesse à l'automne 2019, chassant la morosité de ceux qui peinaient à oublier l'outrage perpétré à l'égard de la vieille Edna, et certains commencèrent à discuter ouvertement d'avenir et de choix à faire pour les générations futures. En effet, Amber et Joshua évoquent depuis un moment la possibilité de gagner Coeur d'Alene, la seule grande ville alentours. Il y a bien d'autres localités autour de Priest River, mais la plupart sont à peine plus grandes et selon les estimations d'Amber, sûrement désertes. Vivre au milieu de nulle part était bien au départ, mais pour eux qui ont maintenant un enfant à élever, ils avaient envie d'autre chose. Josh était inquiet à l'idée que son fils tombe malade, et tous sont conscients qu'ils ne sont capables de soigner que de la bobologie, mais qu'ils seront impuissants face à une maladie infantile ou une blessure grave. Seuls au départ, ils s'entêtent pourtant à parler aux autres du fait de trouver d'autres survivants en ville, peut-être même un médecin et davantage de médicaments ou de matériel médical. A force d'en parler, Amber et Josh finirent par convaincre l'autre famille du groupe, Leonard et Norma. Cette dernière se sentait beaucoup plus fatiguée que lors de sa première grossesse, et craignait que quelque chose se passe mal. Gladys, la femme du braconnier Clyde, souffrait de plus en plus de ses articulations, et peinait parfois à se déplacer ou à effectuer des gestes simples. Deux ou trois autres se rallièrent également à l'idée de partir, et bientôt, le groupe se scinda en deux clans. Chacun est libre de ses choix, pour autant, ceux qui souhaitent rester sont inquiets de laisser leurs amis partir, surtout avec de jeunes enfants et une femme enceinte, et tentent tout ce qu'ils peuvent pour les retenir. Finalement, le groupe est unanime sur une seule chose : rester ensemble. C'est ensemble qu'ils ont survécu, ensemble qu'ils sont plus forts et complémentaires. Tout le monde reste ou tout le monde part. Ils ont de quoi emporter des provisions, ils ont des voitures et du carburant inutilisé depuis des années, et peuvent rallier Coeur d'Alene sans trop de risques. Mais pas sans risques. La végétation a sûrement envahi les routes, ils seront à nouveau susceptibles de croiser des Rôdeurs, et rien ne dit qu'en arrivant sur place, ils trouvent ce qu'ils espèrent.
Pour certains, ce départ est un véritable crève-cœur. Tout ce temps passé à construire, améliorer leurs conditions de vie et offrir un cadre sécurisé et sécurisant se révèle presque réduit à néant. Certains sentent qu'ils n'auront pas l'énergie de tout recommencer, et savent que la promesse de trouver un abri déjà prêt et des survivants les accueillants à bras ouverts est un souhait, pas une certitude. Ils partent malgré tout, espérant prendre la bonne décision. On sait ce qu'on quitte, on ne sait jamais ce qu'on trouve.


• 2019-2020/Coeur d'Alene : La plupart des souhaits de chacun s'est réalisé. Ils ont atteint la grande ville sans réelles encombres, ont trouvé d'autres poches de survivants et un nouveau refuge. Avec deux médecins et du matériel en bon état, un vrai luxe. Norma a mis au monde une deuxième petite fille, et d'autres familles avec des enfants en bas âge sont également présents. De nouvelles amitiés se créent, chacun prend peu à peu ses marques dans une nouvelle organisation, un nouveau contexte.
Mais la grande ville abrite davantage de Rôdeurs, et moins d'animaux sauvages, même s'ils ont envahi les villes en même temps que la végétation. Ajoutons à cela davantage de survivants à nourrir, et notre petit groupe connaît ses premiers rationnements en nourriture, mais également en eau. Et dans les grandes villes, il y a davantage de survivants, aussi. Mais tous ne sont pas tous réunis au sein d'un même groupe, ne forment pas une belle et grande famille qui se serre les coudes pour s'entraider. Tous ne s'entendent pas, sans qu'on sache réellement pourquoi. Sam doute qu'ils le sachent eux-mêmes. A les écouter parler, tous veulent pourtant la même chose, poursuivent le même but. Survivre, trouver de quoi se nourrir et de l'eau potable, se soigner quand ils ont besoin. Alors, pourquoi ne pas tous s'unir ? Cette question reste malheureusement sans réponse.
Certaines poches de survivants ont choisi la voie de la facilité. Ils laissent les autres travailler, s'échiner à chasser ou à produire, et se contentent de venir se servir comme ils veulent, quand ils veulent. La première confrontation de Sam et Gia contre un groupe de pillards se fait dans une violence extrême. Wallace et son âme de shérif y laisse la vie, ainsi que cinq autres personnes, dont Clyde, juste pour l'exemple. Sam et Josh, qui tentent de calmer les esprits, sont roués de coup devant le reste du groupe, impuissant.
Cet épisode n'est malheureusement que le début, les pillards revenant parfois plusieurs fois dans la même semaine, ne laissant aucun répit. Au cours de ces maraudes, des femmes se font violer, parfois enlever, et Sam enrage. Est-ce que tout ça en valait le coup ? Est-ce que les avantages obtenus ici valent les risques encourus, cette épée de Damoclès permanente sur la tête de chacun ? Gia lui promet d'être prudente à l'intérieur du camp, et ne sort plus de celui-ci. Sam plaide leur cause, tente de convaincre que tous ensemble, ils peuvent renverser la situation, mais c'est peine perdue. Les gens ont trop peur pour bouger, préfèrent se dire que c'est un moindre mal. Après tout, ces pillards pourraient tous les massacrer, détruire absolument tout et tout le monde, et ne le font pas.
Face à ces réponses, Sam est écœuré et convainc Georgia sans difficultés de partir. Il l'annonce aux survivants de Priest River, mais seul le fils de Wallace, Rodney, accepte de les suivre. Ils récupèrent donc leurs affaires et réclament un peu de nourriture et d'eau pour le voyage.
Une fois sortis de la ville, ils roulent un peu hasard, cherchant désormais à éviter les grandes agglomérations. L'ambiance est loin d'être joyeuse au sein du trio, amers d'avoir laissés leurs amis derrière eux, en deuil pour les proches perdus. Est envisagé un bref moment un retour à Priest River, mais tous trois tombent rapidement d'accord que cela n'aurait plus aucun sens sans les autres.

• 2020/Sur les routes : Ils ont passé la frontière entre l'Idaho et Washington. Ils avancent lentement, font un large détour pour éviter Spokane, et la voiture s'arrête en panne sèche à l'écart de tout, forçant notre trio à ne prendre que le strict nécessaire et à laisser le reste. L'automne se termine et les oblige à trouver un abri rapidement pour l'hiver. Traumatisés par ce qu'ils ont vécu en ville et trop peu nombreux ou armés pour se mettre en tête de fouiller une ville, Sam, Gia et Rodney choisissent de s'établir dans la forêt, autour de Cheney. Sam est inquiet de se savoir encore si proche de Spokane, mais ils n'ont guère le choix. Ils se construisent rapidement un abri de fortune, mais ils ont peu de moyens et doivent se contenter de ramasser du bois au sol. L'abri leur offre juste de quoi se tenir chaud la nuit, et encore. Très vite, le froid et la faim viennent s'ajouter à l'amertume et au pessimisme du trio, qui ne voit que peu d'options pour la suite. Prendre le risque d'intégrer une nouvelle communauté et accepter la violence qui peut en découler, ou s'établir seuls après avoir cherché un endroit sûr. Une chose est certaine : ils doivent se décider vite, car ils n'ont aucune chance de survivre à l'hiver de cette façon. Sam argumente pour éviter Spokane et les villes grandes ou moyennes, mais n'a aucune difficulté à les convaincre du danger qu'elles représentent.
Avec la plus grande prudence et à pied, le trio avance en direction de Sprague et s'installent dans un bâtiment qui ne semble pas sur le point de s'effondrer, après avoir exploré rapidement la zone.  Leurs maigres rations sont vite épuisées, et la nourriture trouvée sur place, périmée depuis longtemps. Bien que sans armes ou matériel nécessaire, ils s'essaient à la chasse sur les animaux qui foisonnent dans les environs. Rod sait fabriquer et poser des collets, ce qui leur permet de tenir avec un minimum de nourriture. Leur reste un accès à l'eau potable, qui ne remplit pas les estomacs mais permet au corps de continuer de fonctionner. En fouillant la ville plus avant, Rod met au jour une poche de Rôdeurs qui étaient enfermés dans l'église. Apathiques depuis des années, la présence du trio, qui leur a ouvert la porte qui plus est, les remet en action. Aucun d'eux ne s'y attendait vraiment, et Rod réagit un quart de seconde trop tard pour s'éloigner de la porte qu'il vient d'ouvrir. Mordu à la main, il sait ce qui l'attend mais a beau supplier Sam et Gia, aucun des deux ne peut se résoudre à l'abattre ainsi. Face au déferlement soudain des Rôdeurs, le trio est contraint de fuir et trouvent un refuge provisoire dans une station-service. Fouillant les lieux, Sam trouve des armes de fortune pour chacun d'eux. Un démonte-pneus pour Rod, une grosse clé à molette pour lui et le manche d'un balai brisé pour Gia. La percée qu'ils tentent est éprouvante, violente et désespérée, mais en se séparant les uns des autres, ils réussissent à éclater la poche. Chacun se retrouve avec une dizaine de Rôdeurs à gérer tout au plus, et Sam vient rapidement prêter main forte à sa femme pour se débarrasser des derniers Rôdeurs l'ayant suivie. Gia retrouve Rodney le lendemain, pendu à un arbre. Se reprochant son manque de courage ou de pitié, Sam décroche son ami et le couple l'enterre le plus dignement possible. Désormais à deux, Sam et Gia restent à Sprague, tentant de recréer le havre qu'ils ont connu à Priest River.  Le cœur n'y est pas toujours, la chance non plus. Ils manquent de tout : de bras, de matériel médical, de matériaux et d'outils. Ils persistent malgré tout, travaillent d'arrache-pied pour recréer quelque chose de similaire à ce qu'ils ont connus, et se donnent à fond dans la plantation et production de légumes en prévision de l'hiver à venir. Ils ne sont que deux à nourrir et en faisant attention, pensent pouvoir manger tous les jours. Le couple a vu faire Rodney dans la fabrication et la pose de petits pièges, et parviennent à capturer de petits animaux, tels des écureuils ou des lapins, pour diversifier les apports nutritionnels.
Sam arrive même à dénicher quelques crayons et feuilles de papier pour Gia, qui prend plaisir à se remettre au dessin. Le fait d'être seuls et relativement à l'abri leur donne l'impression d'être de retour à Priest Lake, et les deux tourtereaux vivent une seconde lune de miel malgré la réalité.

• 2021/Vers la mer : L'hiver a été pénible, malgré leurs prévisions. Les récoltes, trop jeunes, on a peine suffi et le couple voit le printemps arriver avec grand bonheur et réel soulagement. Ils espèrent trouver davantage d'animaux, plus de nourriture. Gia se sent affaiblie, malade, et Sam s'inquiète. Pris dans un dilemme, le jeune homme se demande si rester seuls et isolés est une bonne idée. Prendre le risque de revenir dans une communauté plus grande et revivre le joug d'un groupe de Pillards ne l'enchante pas, mais si Gia a besoin de soins, c'est dans un tel groupe qu'elle les obtiendra.
Lorsque la jeune femme comprend de quoi elle souffre et l'annonce à son mari, ils sont partagés entre joie et inquiétude. Car Gia n'est pas malade, elle est simplement enceinte. Conscient qu'il doit prendre une décision pour l'avenir de sa famille, Sam a une idée un peu folle. Celle de réussir à gagner la côte et de trouver un bateau. Au large, ils seront certains d'éviter les Rôdeurs, de voir arriver de possibles Pillards et en restant à quelques mètres de la terre ferme, pourront faire des allées et venues pour prendre ce dont ils besoin. Gia reste dubitative d'abord, puis se laisse gagner par l'enthousiasme de son époux. Ils seront seuls, avec leur enfant, resteront à proximité de Seattle, ville suffisamment grande pour y trouver tout ce qui leur faudra au fil des ans, et les jeunes gens reprennent la route avec cette idée en tête. Excellent compromis entre rester seuls et vivre entourés. S'ils trouvent d'autres survivants accueillants, qui sait, ils pourraient même les rejoindre un jour, après s'être assurés qu'aucun Pillard ne viendrait menacer leur quiétude.
Cependant, ils connaissent assez mal la région, qui est de plus, une vraie fourmilière en termes d'animaux, de Rôdeurs et de possibles Pillards à éviter. Prenant soin d'éviter les villes, se frayer un chemin en pleine nature n'est pas chose aisée. Sam, qui a gardé l'énorme clé à molette trouvée à Sprague, la garde à la main en permanence, prêt à réagir au moindre danger. Ils avancent lentement, se perdent parfois, font des détours inutiles et tournent en rond. Les semaines passent, le ventre de Gia s'arrondit doucement et elle fatigue plus vite. Devant parfois faire demi-tour pour emprunter un autre chemin, plus praticable ou moins dangereux, ils rejoignent une petite bourgade du nom de Beatrice, épuisés et affamés. Alors qu'ils ont en tête d'explorer l'endroit pour savoir si y faire une halte est une bonne idée, le plancher cède sous les pieds de Gia, qui chute de l'étage d'une maison. Paniqué, Sam s'épuise à la récupérer et à la mettre en relative sécurité. Inconsciente, Gia reste sourde à ses appels et tentatives pour lui faire reprendre connaissance. Fou d'inquiétude et ne sachant pas si sa femme et son enfant vont bien, Sam sait qu'il doit trouver du secours rapidement. Parcourant la petite localité en hurlant à l'aide, il n'attire même pas de Rôdeurs, signe que l'endroit est désert. Il perd de précieuses minutes à tergiverser, répugnant à la laisser seule mais parfaitement conscient qu'il n'arrivera pas à l'emmener. Trouvant une vieille carte, Sam s'aperçoit qu'il n'est qu'à quelques kilomètres seulement de Kennewick. Là-bas, il y trouvera certainement des survivants, se damnera à les convaincre de l'aider à sauver Gia.
Après avoir installé sa femme du mieux qu'il pouvait, l'avoir supplié de tenir bon, Sam détale à toute allure, apeuré mais déterminé.

Lorsque Gia s'éveille, elle est dans un hôpital, avec un poignet fracturé et une sévère commotion cérébrale. Son bébé va bien mais après seulement quelques mots avec le médecin, force est de constater que sa commotion a très certainement entraîné une amnésie. Incapable de donner son nom ou la moindre information utile, la jeune femme est baptisée Beatrice par ses sauveteurs, car c'est l'endroit où ils l'ont trouvée. Le médecin la garde à l'hôpital, aussi bien à cause de sa blessure à la tête et de sa préoccupante amnésie que pour surveiller sa grossesse qui semble très avancée.

Survie

Toujours hospitalisée, Beatrice trouve les journées longues et frustrantes. Elle a du mal à s'habituer à ce prénom, elle sait qu'il n'est pas le sien. Malgré les propos du médecin sur l'amnésie, elle s'efforce de se souvenir, et s'énerve de ne pas y arriver. Elle se rappelle d'un tas de choses : comment se laver ou s'habiller, reconnaît les aliments ou les objets, sait qu'on va à l'école lorsqu'on est enfant et qu'un adulte travaille. Elle sait que l'extérieur est dangereux, même si ce danger lui semble diffus. Elle sent, au fond d'elle-même, que ce bébé à naître est désiré, aimé, qu'il a un père, mais ne peut lui attribuer ni nom, ni visage. Concentrée sur son passé, elle n'a écouté que d'une oreille distraite lorsqu'on lui a annoncé qu'elle resterait ici, même après sa sortie de l'hôpital. Qu'on la formerait, l'aiderait à trouver du travail et qu'elle serait parfaitement intégrée à la communauté de New Eden. Cela ne lui pose pas de problème, dans l'immédiat, elle voudrait surtout se souvenir de qui elle était. Recommencer une vie entière sans souvenirs de ce qu'elle a vécu l'effraie, elle ne se sent pas prête pour ça.

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : Boooh • Âge irl : 32 • Présence : Régulière • Personnage : Inventé [x] / scénario/prédef [ ] • Comment avez-vous découvert le forum ? par hasard • Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? Tout !! • Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [x] / Non [] • Crédits (avatar et gifs) tumblr, pinterest, google images • Code du règlement code validé par Mei-Line

fiche (c) langouste.

Re: Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:40

Bienvenue officiellement Beatrice !

Light this world

ANAPHORE

Re: Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:43

Merci Neela

J'ai une question : j'aurai le droit de passer papoter sur Discord en soirée ou tu veux pas ?

Re: Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:45

Mdr bien sûr que tu peux venir je regarderais juste pas ton avatar !

Light this world

ANAPHORE

Re: Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:47

Entendu, merci

Re: Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:51

Bienvenue sur le forum !!!



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !

N'hésite pas si tu as des questions !

Re: Georgia Hayes (Beatrice)

Mer 13 Oct 2021 - 15:52

Bienvenue sur le forum !
Amuse toi bien !

Re: Georgia Hayes (Beatrice)