Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 6:21

Wayne Miles GRAYSONtell me more about you

prénom(s) : Wayne Miles nom : Grayson date de naissance : 11 Septembre 1975 âge : 47 ans ville de naissance : Colombus, Ohio métier : Entrepreneur-Électricien groupe : The Remnants avatar : Gerard Butler

what i am

qualites Terre-à-terre Travaillant Confiance en soi Fiable Leadership defaults Paternaliste Mansplainer Rancunier Méfiant Têtu

Equipement : - Crowbar       Details physiques : Avec des cheveux d’un brun clair, presque blonds selon la lumière du jour, Wayne se démarque peu du caucasien moyen. Des yeux bleus fatigués mais brillants d’intelligence cernent son visage qui commence à sentir les marques du temps, posé sur une large carrure encore relativement athlétique grâce à un passé actif, son service militaire et le football dans sa jeunesse. On remarquera de lui d’épaisses, puissantes mains calleuses, habituées à travailler physiquement.

Psychologie

Wayne est l’américain moyen.

Quoi ce n’est pas assez ? *soupir*

Plus sérieusement, Wayne est ce qu’on pourrait décrire comme une force tranquille. Il est d’un naturel calme et posé, et a depuis sa jeunesse appris à mettre les rennes à ses émotions extérieures et approcher rationnellement les situations quotidiennes. Oh certes, les rôdeurs n’avaient rien du rationnel à première approche, et Grayson eut sa dose sa panique comme tous les autres. Mais sept ans plus tard, il a réussi à plus ou moins accepter cette réalité, à l’inclure dans le background de sa vie à présent.

Pour y arriver, il a toujours mis beaucoup d’emphase sur le travail et l’accomplissement de ses taches. La besogne occupe et apaise l’esprit, et il a depuis longtemps appris que le meilleur moyen de calmer ses émotions est de les mettre à l’ouvrage. Même la colère, la rancœur peut servir à quelque chose. Ça ne l’empêche pas d’en être prisonnier parfois : comme beaucoup, tous les sacrifices endurés dans sa vie, avant et pendant l’apocalypse l’ont rendu méfiant, peu porté à faire rapidement confiance. Acquérir son estime est un exercice de temps et d’habitude.

Wayne a vécu sa dose d’expériences dans sa vie. Il a rencontré une grande quantité de gens, fait beaucoup, vu encore plus. Le bon comme le mauvais. Alors sans se prononcer sur ce qu’il vaut dans la balance de l’existence, il a une idée relative de ce qu’il est, de ce dont il est capable. Quand il se prononce sur un projet, une idée ou encore une problématique, c’est avec la confiance qu’il est capable de mener à bien ce qu’il entreprend avec un niveau raisonnable de chances de succès.

Ça peut jouer contre lui. Comme la plupart des gens qui vieillissent, il se retrouve entouré de jeunes éberlués, talentueux mais qui n’ont pas son vécu. Wayne a bon cœur, mais ça lui donne tendance à vouloir surprotéger les autres, à les tenir loin des expériences dont ils ont pourtant besoin. À ne pas leur donner leur chance, comme s’il oubliait parfois qu’il a été à leur place jadis.

Les plus fâcheuses victimes sont les femmes qui doivent subir son « mansplaning » involontaire. Un homme typique du domaine de la construction, Wayne a tendance à sous-estimer les capacités de la gente féminine, à considérer qu’elles appartiennent à des domaines moins physiques ou simplement à assumer qu’elles seront peu adeptes de sujets typiquement masculins, par exemple les voitures ou la chasse. Par conséquent, il a cette habitude à parfois expliquer ce qui n’a pas besoin  de l’être. Wayne a depuis l’apocalypse dû apprendre à contrôler ses préjugés et de par ses expériences reconnait désormais la valeur des femmes sur tous les sujets, mais le mansplaining continue malheureusement.

De par son métier, Wayne est naturellement indépendant, porter à concevoir et mener des projets. Son littéral gagne-pain qui fut mené par les deadlines, les échéances et les promesses basées sur sa réputation ont fait de sa fiabilité et sa capacité à mener une équipe sont des thèmes centraux de sa personnalité. Il est le genre de personne qui ne promet que ce qu’il croit possible, et par la suite met tout en œuvre pour accomplir son but. Ayant travaillé sur des projets d’envergure, il a depuis longtemps reconnu la valeur absolue du travail d’équipe et l’encourage fermement.

L’expérience ce n’est pas toujours positif, par contre. Wayne a bien du mal à changer d’avis et a parfois des comportements un peu « boomer » en mettant de côté les avis qu’il juge trop incompatibles avec sa vision des choses. Il aura tendance à argumenter son désaccord sans répit, avec peu d’égard aux esprits qu’il peut froisser par ses commentaires. Et gare à ceux qu’il aime pas ou qui l’ont fait **** dans le passé : Wayne est pas du genre à oublier, et quand c’est le temps de renvoyer l’ascenseur, il n'hésite pas et il coupe la corde pour s’assurer que l’impact soit bien marqué. À ce moment-là, votre opinion peut tout aussi bien être un trio big mac qu’il n’y poserait même pas une dent. Il a pas toujours été si radical sur la chose, mais les horreurs répétés de la vie après l’apocalypse, les trahisons, les mensonges, les morts utiles ou inutiles ont intensifié sa rancune.

Il y a plus chez Wayne. Il est d’un naturel bon-enfant et positif, un gars de mots encourageants. Il est un ami loyal doté d’une bonne oreille pour écouter. L’entrepreneur est perspicace, agile mentalement et porté à la franchise et l’honnêteté.

Mais il a aussi ses démons. La mort de sa fille d’un cancer avant l’apocalypse est toujours resté un sujet difficile qui le fragilise dans ses relations avec les autres, une sensation exacerbée par toutes les pertes subies depuis la fin du monde moderne. Wayne a peur de trop s’investir et de souffrir. Autrefois la bouteille fut une solution pour oublier ; maintenant c’est en écoutant les autres compter leurs propres histoires pour relativiser sa propre vie. À maux égaux, on se console.

Story of survival

Pre-apocalypse

Né en Ohio le 11 Septembre 1975 (ce qui deviendra bien malheureux après 2001), Wayne est un exemple typique de l’enfant issu d’une famille américaine blanche de classe moyenne. Son père est charpentier en construction et sa mère enseignante de langue anglaise in High School. Ils vont à l’église presque tous les dimanches même s’ils sont peu religieux, car c’est ce que les gens font. Papa vote républicain et Maman vote démocrate, leur mariage est stable et plein d’amour. L’automne est la saison de la chasse, Thanksgiving est aussi sacré que le barbecue du Superbowl.

Wayne est un enfant actif, enjoué et sans histoire. Le paternel, Lionel l’encourage tôt à jouer au football, une activité qui le suivra tout au long de sa jeunesse. Il éprouve beaucoup d’admiration pour son oncle militaire, Owen, et est fasciné par les uniformes, les médailles qui ornent son bureau à chaque fois qu’il est en visite chez eux.

Le week-end, Wayne accompagne presque tout le temps son père sur ses chantiers, apprend à manier le marteau avant de pouvoir piloter un vélo. Sa mère lui apprend des poèmes d’auteurs (américains), l’encourage à lire. Sans être un élève modèle, il a une relative facilité académique et montre un certain talent dans les mathématiques et la physique.

À l'école secondaire, Wayne éprouve beaucoup d’intérêt pour les laboratoires de physique centré sur l’électricité, un domaine qu’il explorait déjà en surface avec son père depuis un certain temps. Il est fasciné par cette énergie souvent invisible mais toujours active, capable de réaliser ce qui semble parfois impossible.

Tout n’est pas parfaitement rose. La santé de sa mère décline à partir de ses 15 ans. Elle est éventuellement diagnostiquée d’un cancer du pancréas. Une affliction agressive qui n’offrait à ce moment que peu de traitement. Elle décède peu avant ses 16 ans, le laissant lui et son père brisé, foudroyés par l’avancée si rapide de la maladie. Lionel noie sa peine temporairement dans l’alcool, et Wayne fait l’école buissonnière de plus en plus souvent et rate fréquemment ses entraînements de sport.

C’est en réalisant que les notes de son fils dégringolent, en plus de risquer une éjection de l’équipe de football locale - que Lionel se ressaisit - avec l’aide d’oncle Owen - s’admet que ce n’est pas l’héritage que sa femme aurait voulu pour Wayne. Père et fils se rapprochent, se consolent dans le fait qu’Amanda leur a laissé l’un à l’autre.

Lionel, peu éduqué mais ayant reconnu la valeur des études via sa femme encourage Wayne à viser haut, mais ses revenus modestes et la perte de ceux d’Amanda rendent peu encourageants l’idée d’une éducation universitaire sans s’accompagner de dettes significatives.

Conséquemment, à sa graduation de l’High School en 1993 à 18 ans, Wayne décide de s’enrôler dans l’US Army, pas juste pour la subvention universitaire mais aussi parce que son oncle restait pour lui une figure modèle pour qui le service militaire avait été central. Évidemment, il déchante rapidement comme la plupart des gosses aux yeux étoilés qui comprenne trop tard que ce n’est pas une promenade de plaisance. Mais Wayne aime la discipline, l’esprit de corps et ça paie les études. Après son entrainement initial à Fort Benning en Georgia, il entreprend des études universitaires à l’American Military University.

En 1994, il fait la rencontre de Charlotte Cheatham, une étudiante en infirmerie aux yeux pétillants et à l’humour facile. Elle devient très rapidement la flamme de son existence. En 1995, ils sont mariés. En 1996, ils célèbrent la naissance d’Amy Amanda Grayson, une adorable petite fille.

En 1997, Wayne complète un baccalauréat en Ingénierie électrique et atteint le rang de Second Lieutenant. En 1998, il est déployé lors de la guerre du Kosovo dans un rôle de soutien pour la maintenance des besoins électriques d’installations militaires pour les Nations Unies. S’il ne voit aucune « action » directement, le bombardement répété de villages organisé depuis des bâtiments où il travaille émèche considérablement la confiance de Grayson envers l’Armée. Dès son retour, il compte les jours pour une retraite honorable, qu’il accomplit en 2001 au rang de Premier Lieutenant, mais continue à vivre à West Virginia, d’où vient Charlotte.

Jusqu’à 2004, Wayne travaille comme ingénieur électrique pour diverses compagnies de construction résidentielle et industrielle afin de se bâtir un capital dans le but d’ouvrir sa propre entreprise qui verra le jour en 2005, Grayson Works. D’abord modeste, l’expérience de Wayne et son talent entrepreneurial en font rapidement une compagnie plutôt fructueuse et à bonne réputation, spécialisée dans la construction commerciale et résidentielle. Grayson est un patron apprécié et efficace, et l’équipe s’agrandit. En 2007, elle est suffisamment grande pour mener ses propres projets et participer à la conception et élaboration de bâtiments sous plusieurs angles – Construction, électrique et tuyauterie. Wayne a beaucoup d’intérêt envers les sources d’électricité alternatives telles que l’éolienne et les panneaux solaires. En 2010, les activités de Grayson Works s’étendent aux installations gouvernementales un peu partout au nord-est des États-Unis. Les affaires sont florissantes et Wayne est confortable financièrement.

Mais en 2012, Amy qui a maintenant 16 ans s’écroule durant un bal étudiant. Le diagnostic médical s’impose rapidement : elle a le même type de cancer pancréatique que la mère de Wayne jadis, qui sera décelé comme une prédisposition héréditaire. Cette fois, il est censé y avoir de l’espoir. La technologie a évolué, la science a progressé. Et la chimiothérapie règne.

Mais avec ses conséquences. Wayne voit progressivement sa fille perdre ses cheveux, devenir maigre et squelettique, faible et aussi blanche que le papier des factures qui s’accumulaient. Et malgré cela, la maladie progressait. Grayson et Charlotte mettent leur vie de côté pour être avec leur fille le plus possible, la soutenir, l’encourager, la stimuler.

Malgré tout cela, malgré la technologie, la science et la chimie… Amy décède en 2014. Un Wayne aigri et brisé enterre sa propre fille. Comme son paternel, il sombre dans une consommation grandissante d’alcool. Son mariage en souffre de plus en plus, et la tension s’installe entre lui et Charlotte. Grayson est grugé par l’impression qu’il a tué sa propre fille par sa prédisposition héréditaire, et sa femme croit avoir failli à son rôle de mère. Tout deux se plongent dans leurs métiers respectifs à mesure qu’ils s’éloignent l’un de l’autre de plus en plus.

En Octobre 2015, Wayne quitte la maison, une simple note sur le comptoir laissée pour informer qu’il serait absent quelques jours pour participer à une conférence à Seattle. Le thème était « L’Électricité de demain ».

Et c’est là que le reste de sa vie débuta.

Post-apocalypse

14 Octobre 2015 : Wayne est dans le lobby du Homewood Suites, un Hotel Hilton du centre-ville. Les taxis ne fonctionnement plus. Des militaires sillonnent les rues. On entend des gens crier dans les rues presque constamment. Ça fait déjà plusieurs jours depuis la fin abrupte de la conférence, quand le conférencier s’était fait attaquer en pleine présentation par un type agressif. Wayne ne l’avait jamais revu. Depuis les nouvelles étaient rares, et inexplicables. Heureusement, le bar de l’hôtel était bien stocké. Pas moyen de rejoindre Charlotte sur le cellulaire. Rien ne fonctionne, à part le goût brûlant du Whiskey, peut-être.

18 Octobre 2015 : La loi martiale, c’est beaucoup moins amusant quand on est un civil, songeait Wayne. La plupart des employés avaient fuit l’hôtel. Grayson et d’autres participants de la conférence avaient barricadé les portes de l’entrée de l’hôtel. Et celle de la salle du congrès, ou quelque chose ou quelqu’un semblait constamment grogner. Pas de nouvelle d’Charlotte, ce qui aurait été normal si ce n’était que de cette cauchemardesque situation. La radio, la télévision ne dit rien de rassurant.

27 Octobre 2015 : Ils réussissent à traverser le portique de l’hôtel. Ils sont malades, pas comme Amy l’était, mais ont l’air tout aussi prêt de la mort, ou plus en fait. Et ils ont faim. Certains restent, essaient de les raisonner. Mais Wayne court. Il avait repéré une sortie d’urgence quelques jours avant, quand la nourriture commençait à manquer dans l’hôtel.

Automne 2015 : Il commence à faire froid, et les radiateurs dans le camp de réfugié sont insuffisants. Tout est insuffisant : nourriture, personnel militaire… Alcool. Wayne aide de son mieux les autorités militaires, mais il n’est pas un homme de terrain, juste un intellectuel à la retraite. Et que peuvent espérer les soldats d’un type qui boit tout ce qu’il voit ?

Hiver 2015 : Les générateurs meurent en même temps que l’espoir. Grayson connait l’électricité mais il ne peut pas l’inventer à partir de rien. Une nuit comme une autre, il est réveillé par des hurlements. Le camp est submergé. Des infectés. Un déchire la paroi de sa tente, essaie de le mordre comme le pouvait avec ses deux bras brisés. Wayne lui donne des coups de lampe Coleman. Il arrête éventuellement de bouger, mais il a deux trois douze copains. Time to run.

Coleman fut son plus fiable allié dans les jours qui suivirent, donnant à  Wayne chaleur et lumière, mais aussi une information vitale lorsqu’elle rendit enfin « lampe » un fatidique après-midi, s’enfonçant en se brisant dans le crâne d’un adolescent alors qu’il essayait de collecter des barre de chocolat dans une distributrice. L’infecté s’était soudainement immobilisé quand rien d’autre ne semblait faire le travail.

Merci, Coleman.

Printemps 2016 : L’union fait la force. Wayne avait rejoint un petit groupe de survivants lambda et ils s’éloignaient progressivement hors de la zone urbaine de Seattle, comme le permettaient leurs stocks de vivre toujours fragiles. Mais plus ils s’éloignaient, plus l’alcool devenait difficile à trouver. Sevrage forcé, avec tous ses agréments et désagréments. Réfléchir à survivre remplace le liquide qui lui permettait de ne pas penser à Amy. Wayne se focalise pour retrouver Charlotte, mais ce sera un long périple.

Hiver 2016 : Son premier groupe avait péri. Son deuxième groupe avait péri. Mais Wayne était encore là. Pourquoi, comment, c’était une question de destin et de chance, si on croyait à ce genre de choses. Il avait appris, c’est certain. Comment les infectés fonctionnaient, comment ils se déplaçaient. Wayne s’était réfugié dans une maison en banlieue. Attendait et espérait encore ça allait s’arranger, sans être certain de ce que ça voulait dire. Il se gardait occupé à rafistoler un petit générateur, pour demeurer confortable. Il avait même trouvé une voiture qui fonctionnait. Le plan était de rejoindre sa maison de West Virginia, trouver Charlotte, et espérer que les choses allaient mieux là-bas.

Printemps 2017 : Mais les choses n'allaient pas mieux du tout. Enfin, c'est ce qu'il suppose, puisqu'il ne se rendra jamais à destination. C'est dans l'Idaho, à Soda Springs, que Wayne n'a pas le choix de s'arrêter. Un groupe de pillard le remarque rapidement - et le cible, puisqu'il voyage seul. Piégé dans une station-service, il est tout de même capable de faire diversion et de fuir en laissant ses affaires sur place. Il se blesse pourtant en prenant la fuite, laissant sa cheville en piteux état. se cache dans les grottes de Formation Springs pour se remettre sur pied, avant de retrouver la « civilisation » après quelques jours. Il n'est pourtant pas au bout de ses peines, puisque Wayne se bute ensuite à une horde particulièrement immense. Son plan est donc définitivement à l'eau, et il n'a pas la moindre piste par rapport à Charlotte. Brisé, il est forcé de rebrousser chemin pour éviter cette horde qui semble trop énorme pour pouvoir la contourner. Et il ne peut que retourner vers ce qu'il connaît. Direction Tacoma.

Printemps + 7 2018 : Les jours passés à être rongés par la culpabilité deviennent une année. Et Tacoma ne va pas mieux. Going north.

Printemps + 20 2018 : Silverdale ? Silvershit, oui. Mais l’essence a manqué, et à moins de créer une auto électrique sans outils et sans pièces, ce sera le coin de Wayne pour le moment. Il a trouvé un semi-remorque avec une couchette. Pas mal.

Septembre 2018 : Maintenant à Poulsbo. La CB qu’il a rafistolé crache des messages. Une horde, un poste d’observation… Une base, une communauté. Wayne ne comprend pas tout, mais il en sait assez pour savoir que c’est probablement sa seule chance de salut. Adieu semi-remorque, il lui manquera. Nope.

Fort Ward. Il est juste un autre réfugié. Mais Wayne offre humblement ses services. C’est tout ce qu’il sait faire. Pour ne pas trop penser. Pour ne pas trop souffrir. Ils ont leurs méthodes, comme NATO avaient ses méthodes au Kosovo. Mais les standards de Grayson ont pris un coup. Il espère pouvoir en prendre un aussi, mais pour l’instant il doit prouver qu’il est un Remnant. Et… Il croit pouvoir. Ils ont des ressources. Du matériel. Des gens. Un réseau désuet, mais qui a du potentiel.

Janvier 2019 : Dernier hiver dans cette merde. Wayne se le promet. Réunir les plus qualifiés, et ébaucher des devis pour un projet qui n’aurait rien à envier à tout ce qu’il avait accompli avec Grayson Works jadis. Remettre en place le réseau électrique. Donner espoir à ces gens, à sa propre personne. Le mal se mettait en sourdine si on l’inondait d’espoir, alors c’est ce qu’il ferait.

Avril 2019 : On imagine souvent que la fin d’un projet, c’est juste de flip une switch. Mais en réalité… Bah c’est plusieurs switchs. Mais le résultat est apparemment le même. Follow the white light. Littéralement. Ça réchauffe le cœur de Wayne, qui pour la première fois en plusieurs mois, sent son cœur se réchauffer. Il a accompli quelque chose. Quelque chose qui ne le rend pas misérable. Il n’a pas faim, n’a pas froid. Il a mal, mais même le mal est doux-amer.

Juillet 2019 : Wayne travaille sur l’approvisionnement électrique nécessaire aux machines chargées de synthétiser la première mouture d’un vaccin censé les aider.

Mars 2020 : Wayne aide à fabriquer le support électrique nécessaire à la création d’une tour radio plus puissante pour des motifs qui l’échappent. Il ne pose pas vraiment de question. Mais c’était un beau défi.

Mars 2021 : Wayne assiste dans la création de ressources électriques pour supporter l’amélioration des productions agroalimentaires. More food is always better.

Janvier 2021 : Wayne participe à l’élaboration des systèmes qui promettent la fabrication en masse d’un vaccin sensé être plus efficaces. Il reçoit le vaccin.

Mars 2022 à Mai 2022 : Wayne participe à la construction et l’électrification de la base de Kitsap.

Juin 2022 : Wayne travaille sans relâche pour endiguer les dégâts causés par une puissante tempête qui ravage les installations de Fort Ward. Il est cependant évident que les réparations seront trop lentes pour éviter des conséquences catastrophiques du côté médical et agro-alimentaire. Grayson ne peut rien y changer.

Survie

Les journées de Wayne sont chargées. Du matin à tard l’après-midi, son temps est partagée entre la maintenance de diverses installations sur le territoire de Bainbridge Island, mais aussi au travail sur de futures installations. Wayne supervise plusieurs employés dans diverses disciplines reliées à la logistique matérielle de la communauté. De temps à autre, il sort du territoire pour participer à des excursions de récupération de technologie ou de pièces, quand ses connaissances sont nécessaires. À tout heure du jour ou de la nuit, il est sur appel par radio pour tout problème structurel et électrique. Dans son temps libre, Wayne travaille sur l’élaboration de nouvelle pièces et inventions, et effectue l’entretien de l’approvisionnement électrique, notamment par le nettoyage des panneaux solaires, la réparation des éoliennes, etc.

time to meet the devil

• Pseudo (sur internet) : Pouette • Âge irl : 30 • Présence : Comme un saumon qui frétille • Personnage : Inventé [X] / scénario/prédef [ ] • Comment avez-vous découvert le forum ? Sous le bureau d’un staffeux • Qu'est-ce qui vous a convaincu de vous inscrire ? AL-CO-HOL • Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X] • Crédits (avatar et gifs) GFR • Code du règlement Okay Andie

fiche (c) langouste.

Re: Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 9:47

HaaaaAAAaaaaaAAAAaaan !!! \o/

Bon retour à la maison !!

Hop-là, la petite fiche qui fait bien :



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si tu comptes jouer un Remnants et que ton personnage est intégré au camp avant juillet 2019 dans son histoire, il se peut que celui-ci ait été vacciné contre le virus qui transforme en rôdeur. Pour savoir si c'est le cas, rendez-vous ici.

6 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

7 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.



Bonne rédaction !

Re: Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 9:51

who's on first ?

ANAPHORE

Re: Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 9:53

Ooh bon retour par ici !
Classe ce choix de fc ! **

ready for the fight

and fate

Awards:

Re: Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 11:51

Re-Welcome parmi nous !

Courage pour la fiche !

Re: Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 12:28

Re: Wayne M. Grayson

Mar 27 Sep 2022 - 14:40

Rebienvenuueee

Freedom

IN MY HEAD

A SOUL ON FIRE AND A WILL TO LIVE

Re: Wayne M. Grayson