Bienvenue a toi!! et je rejoins les autres: le FC de fou

Hâte d'en savoir plus sur ton perso!!!

Cavill, il aime dessiner...

Non promis je reste calme.
Bienvenue à toi ici

Bon je lui ai donné quelques passions que j'ai en vrai, même si le dessin c'est plus un métier à présent tout en restant une passion. Mais merci les gens.

Suite de la partie Post-apo et dernier chapitre.

Chapitre 6 : L'enfer du paradis (12/06/2022 à maintenant)

Mais tout voyage en solitaire à une fin, qu’elle soit tragique ou bien à l’inverse fortunée. Car le jeune homme pas si jeune que ça en s’avançant dans la nature vint à tomber sur quelque chose d’inhabituel. Comme chaque matin qui se présente aux yeux de John. Ce dernier doit se lever et commencer faire des vérifications tout autour de lui. Après tout on ne sait jamais si un de ces idiots a pu passer ses défenses. En l’occurrence son petit campement est plus que mobile, il ne reste jamais vraiment fixe, bien qu’il demeure toujours dans la même zone. Sortant sa tente stratosphère, en somme un hamac qu’il fixe entre deux arbres. Il place cela plus haut qu’il ne le doit. Un moyen pour rendre plus complexe le fait de se faire attraper proche du sol. S’aidant de sa corde qu’il installe tant pour monter et descendre de son lit que pour aider à mettre une sécurité de plus. Il se doit aussi de relever la moustiquaire, il n’est pas vraiment craintif de ses bêtes ou de leurs piqures, mais malgré les nombreux vaccins qu’il a pu recevoir de l’armée, il préfère éviter de se choper une maladie de la part de ces sales bêtes. Une fois le pied à terre, il commence déjà à tout ranger, il descend ses deux sacs. Dans l’un celui qu’il met sur le dos, il met un maximum de chose, tandis que dans l’autre il ne met que les choses les moins importantes. Même si en réalité rien n’est pas important quand on vit avec son mode de vie.  



Saisissant une branche assez longue qui traine par là et sa hachette. Il taille ce dernier pour pouvoir y fixer son embout de harpon. Là il se déchausse et se plonge dans la rivière. Il attend bien une vingtaine de minutes en étant fixe les bras au-dessus de la tête. Avant de finalement porter un coup dans l’eau et d’en ressortir presque fièrement son déjeuner. Il répète cela plusieurs fois jusqu’à obtenir au moins cinq poissons. De quoi tenir une journée sans devoir piocher dans ses réserves de conserves. Car quand bien même cela est chiant à transporter, c’est pour le cas où il tombe malade ou autre et qu’il ne puisse plus se déplacer.  



Sur le feu de camp il en profite pour faire cuire les poissons en les écaillant après cuisson. Au feu de bois, les écailler avant revient à les faire brûler. Mais pendant que cela cuit, il en profite aussi pour s’en aller user de son filtreur d’eau pour se remplir gourde et gorge. Buvant jusqu’à ce que la soif ne se fasse plus sentir, il range rapidement son bien par la suite. Par chance le temps n’est pas nuageux et il a pu profiter de quelques heures dans la matinée pour recharger à l’aide de son kit de rechargement solaire ses batteries et piles. Rangeant le tout bien soigneusement. Il mange puis éteint le feu. Par la suite il vérifie l’état de son arme, nettoie sa hachette et son harpon avant de ranger le tout dans son sac et de porter le fusil à son épaule. Gants aux mains, rangers aux pieds. Il se met enfin en route après un entretien de ses biens et de son corps. Il aurait pu faire sa lessive aussi, mais il l’avait déjà fait la vieille.  



Dans la forêt il se montre prudent. Il évite de marche sur des branches ou même de laisser la moindre trace comme son entrainement lui a appris. Il n'en croise pas grand monde dans la forêt et évite de tirer à tout va au moindre bruit. Il peut aisément saisir quelques oiseaux pour se nourrir à l’aide de son fusil, mais les munitions étant rares et les occasions de fabriquer des cartouches encore plus. Il préfère s’abstenir. Il faut dire que ce n’est pas tout le monde qui possède une presse ou d’autres outils permettant la confection de balles à partir de douilles et puis il est question de poudre aussi. Mais là c’est un peu plus simple, vu qu’à l’état naturel on peut aisément en concevoir.  



En avançant un peu il finit par tomber sur une route et par une flagrant manque de chance sur cette dernière se trouve une petite troupe d’inconnus. Ces derniers il en a croisé quelques-uns sur un délai d’un mois à peine. Les maintenant en joue avec son arme, il vérifie leurs armes et leurs allures. Un simple groupe à peine armé qui ne fait que passer. Bien sûr, c’est sans compter sur une voiture qui passe par là. Se ruant sur le bord de la route, pour éviter la voiture. Le groupe ne s’attend pas à ce que cette dernière vienne s’arrêter à leur niveau. Nerveux, le seul homme du groupe vient à pointer une arme en direction de la voiture. De ce que comprends John, le petit groupe ne connait pas les gens dans la voiture ou bien alors ils ne semblent pas en bon terme. Quoi qu’il en soit, un coup de feu est tiré et l’homme qui pointait son arme vient à s’effondrer au sol. Aussi comme par réflexe plutôt que par altruisme pur, John ouvre le feu à son tour à la différence qu’il dispose d’un silencieux. Peu audible, surtout sur de longues distances. De la voiture quatre sont sortis et quatre n’y rentreront plus. Aussi John attendait au moins cinq minutes décide de s’en aller à la rencontrer du groupe. Leur laissant les biens des bandits ou du moins des agresseurs. Il prenait quelques balles juste de quoi rembourser ses dépenses. Et il vient même à leur laisser deux poissons du matin qu’il avait pu prendre. En se disant qu’il n’aurait qu’à sauter le repas du soir. Mais il constate aussi la mort de l’homme. Et demande aux trois femmes si elle souhaite qu’il s’en occupe. Le remerciant pour son aide, même si elle ne comprenne pas tout, elle refuse son offre. Aussi l’homme s’en va et retourne dans les ténèbres de sa forêt à la recherche d’idiots ou de rampants à tuer. Il ne manquera pas toutefois au soir même durant ses rares moments de repos, de prendre son carnet pour y ajouter le visage de l’homme qui a été abattu et même celui d’une des femmes à côté de quoi se dresseront deux des cinq poissons. Un moyen comme un autre de garder en mémoire cet instant.  



Mais avançant d’autant plus dans une autre direction que celle du groupe qu’il avait pu croiser et auquel il n’avait adressé aucun mot. Il se rend compte que quelque chose cloche. On l’observe ! Et ce n’est un animal parmi tant d’autres comme on peut en trouver dans la forêt. Ce n’est pas non plus un de ces idiots qui s’amusent à errer dans la forêt en attendant de trouver sa fin en tombant sur John. C’est un humain voir plusieurs. C’est presque comme un sixième sens qu’il a développé à force d’observation dans la nature. Se retranchant dans un petit fourré, il ne parvient pas à déceler d’où cela peut provenir. Mais une goutte de sueur ne manque pas de parcourir son front et sa joue.

Dans un élan sûr, il décide de se reculer de quelques mètres pour regagner la route qu’il vient à peine de quitter. Là en passant de l’autre côté, il espère pouvoir percevoir ce qui l’observe. Mais tout ne se passe comme il l’a prévu, car une fois sur la route, c’est l’autre côté une question qui vient à le viser. Tout comme son propre côté d’où il vient. Pris en étau, l’homme est cerné par pas moins d’une dizaine d’assaillants, bien sûr il pourrait en abattre quelques-uns, mais les chances de vaincre dans cette position-là ne sont pas assurées et elles sont même faibles. Une voix se fait alors entendre et elle ne lui demande immédiatement de poser les armes. Aussi étrange que cela puisse paraitre, mais cela se justifie aussi de par la suprématie déjà assuré par les assaillants de John. Demandant d’abord son nom, l’homme ne répond rien. S’il était déjà assez peu bavard dans l’ancien temps, John l’est encore moins depuis la perte de sa famille ou même du reste de son équipe. L’homme enchaine alors et commence à déballer comme tout un speech. John se dit alors que foutu pour foutu, il peut essayer sa chance en l’écoutant, mais toujours sans piper le moindre mot. Baissant son arme et déposant l’ensemble de son arsenal au sol. Les hommes sortent alors des buissons et de derrière les arbres pour encercler de manière presque intime l’homme. Là, les hommes parlent entre eux, mais pour John c’est presque comme s’il ne les entend pas. Son esprit et comme brouillé par ce qu’il se passe par son échec et la pression monte en lui. Comme s’il sait qu’il doit agir. Se disant qu’il ne compte pas mourir dans cette forêt non loin de Seattle, pas comme ça et pas ici dans ce lieu qui ne lui inspire rien.  

Mais une voix vient à le sortir de ses songes, rapidement on lui demande de bien vouloir suivre la troupe alors que l’on a pu le dépouiller de ses armes ou de ses sacs. La marche n’est pas bien longue, mais elle fait s’aventurer le groupe dans les tréfonds de la ville jusqu’à finalement rejoindre comme un avant-poste. Là encore il se retrouve presque comme un prisonnier sans qu’aucun lien ne soit là. D’autres sont avec lui, on les informe alors qu’ils vont se rendre ailleurs en vue de passer certains tests. Mais il n’entend toujours, son esprit est comme brouillé. Il se contente de suivre le mouvement. Des gens en chemin tentent bien de lui parler mais rien n’y fait. Il n’est pas du genre à déballer sa vie comme eux. Il n’est pas vraiment apte même à parler, bien sûr il sait prononcer des mots, mais s’exprimer veut dire tout autre chose.  

Après quelques heures si ce n’est jour en comptant les nombreuses haltes. Le groupe parvient à l’Est de l’Etat dans une zone qui semble proche de tout et loin de tout à la fois. Sans nul doute, lors de sa fuite d’il y a plusieurs années en hélicoptère il a pu survoler la zone de manière lointaine. Walla Walla, un nom à coucher dehors, mais qu’importe ce n’est pas au nom mais à ses gens que John va se fier pour se forger un avis en ce qui concerne ce lieu. Sur place il voit que la tempête qu’il a dû subir à aussi frapper ici et les flaques d’eaux sont aussi nombreuses que les dégâts visibles. Il se dit alors que si le groupe chercher des bâtisseurs, il n’est pas près de les aider, car ce que l’on appelait le BTP dans l’ancien temps et une science qu’il ne connait un minimum que pour mieux la détruire. Avec par exemple comme savoir, celui de savoir où mettre les charges pour détruire aisément un énorme bâtiment avec peu de moyens.  

Mais le groupe continue d’avancer non sans subir certains regards. Il faut dire que John cache sa masse musculaire de part de nombreuses salissures présentes sur lui. Mêlant quelque peu sang de rôdeur, sang animal et boue. Il ne risque pas encore de franchir les portes qui se présentes peu à peu à sa vision.  

Là on le sépare des femmes et il a même droit à une douche. Non sans que cela soit surveillé, une méthode comme une autre pour fouiller comme il faut John, se dit-il. Puis on lui fournit quelques vêtements, et on lui demande alors de nombreuses choses et on lui soumet des évaluations. Les tests sont pour révéler autant son intelligence que sa psyché. Puis on le laisse rentrer dans la ville toujours sous la surveillance, d’hommes. Il semble qu’il ait pu passer le premier test, même si ne voyait pas la difficulté de ces derniers au vu du fait que ces derniers correspondent aisément à ceux qu’il a pu passer en s’engageant chez les marines. Quelques jours après qu’il a pu se faire à ce nouveau lieu. Un homme vient le voir et c’est alors qu’un choix lui est proposé, celui de son nouveau métier, de sa nouvelle fonction qu’il doit remplir au sein de cette communauté. C’est là que son esprit comme à dissiper un peu le brouillage incompréhensif qu’il subissait. Si jusqu’à présent il a pu répondre aux questions de manières brèves et méfiantes. Il semble s’ouvrir un peu plus en formulant des phrases. Son désir est clair, il souhaite avoir la chance de pouvoir retourner à l’extérieur dans les forêts et autre. On lui propose alors son ancien métier, celui de soldat, qu’il accepte sans hésiter. Ce choix vient même à lui faire retrouver ses affaires. Sans nul doute cela avait-il été préparé pour le convaincre en cas d’un premier refus. Car Dieu sait à quel point les gens sont attachés à leurs biens et John l’est particulièrement avec son carnet tout autant que ses armes qui sont l’un des derniers souvenirs de son passé.  

Le voici garde, mais on ne fait pas non plus totalement confiance malgré la réussite de ses tests. Aussi on le met avec d’autres, des vétérans chez New Eden.  Plusieurs missions se profilent comme la patrouille sur les murs où dans les rues, mais rien qui ne semble le rapprocher de la forêt. Puis il est appelé à se rendre à Providence. Pour une histoire de procès qui semble lui échapper totalement. Il se contente de simplement obéir aux ordres. Il n’est pas directement sur place, mais plus là en guise de renfort des renforts. Puis de retour à Walla Walla, c’est au tour des femmes de faire de poser problèmes. Organisant des manifestations pacifiques. John est là sur son mur en observant le tout de bien loin. Et il ne comprend pas le rôle si peu important donné aux femmes. Chaque bras doit se montrer utile à ses yeux. Il n’a pas son avis là-dessus, mais le chef en place semble leur accorder ce qu’elle demande. Augmenter l’importance de ces dernières dans la communauté, même si au final cela revient surtout à fournir de la main d’œuvre supplémentaire. Tant que ces dernières ne viennent pas l’embêter. Car il vient d’apprendre qu’au bout de deux ans, les célibataires masculins qui ne cherchent pas de femmes se retrouvent avec une diminution de salaire. Mais qu’importe se dit-il, tant qu’il peut manger à sa faim.

Enfin en Septembre, John se voit chanceux de ne pas avoir été affecté en poste au barrage. Car l’un d’eux subit une attaque dont la violence et pour lui remémorer ses souvenirs d’Afghanistan ou d’Irak.  

Mais qu’importe, il compte bien profiter de sa situation pour avoir de quoi manger sans effort et pouvoir explorer la forêt comme il e faisait de son ancien temps. Mais il donnerait tout pour pouvoir piloter à nouveau un hélicoptère.  

Bonjour pour signaler que j'ai fait les modifications en essayant de préciser un peu plus.

J'ai fait en sorte que John et son unité partent depuis l'Idaho du Nord et non plus de Caroline du Sud. Après quoi j'ai précisé pour le passeport en disant que c'est le droit du sang.
Sinon pour le bâtiment j'ai précisé que c'est le DEQ de Twins Falls. Donc en soit le bâtiment le plus important pour la gestion de la ville sans qu'il soit secret d'où le fait que les manifestants vont vers lui pour se plaindre de l'état.

J'espère que ce sera bon.