Bartosz Kowalski
Jeu 13 Juil 2023 - 21:06
JARED PADALECKI ≡ LIBRE
Bartosz a été militaire dès son plus jeune âge. L'historique familiale est laissé libre, père, mère, frères ou sœurs.
Ni marié, ni enfant, il aura pu avoir des aventures par-ci par là malgré le fait qu'il soit un homme plutôt timide et reservé. Il est très fidèle à sa patrie, aux principes de son pays et de celui de l'armée. Il aura eu une aventure d'un soir avec Leokadia Sikowitz, devenant par la suite sa plus proche et fidèle amie.
Il rejoindra en même temps que Leo, le GROM et partira pour les Etats-Unis en juillet 2015.
Pour plus d'informations, voici les passages en commun avec l'histoire de Leokadia.
- Post apo:
- Elle se sera cependant rapprochée de Bartosz, un membre de son régiment avec qui, un soir ils se sont retrouvés. Ne voulant prendre aucun risque, pour éviter de se faire renvoyer, ou pire, peut-être et à cause des interdictions du régiment, ils décideront de rester amis. Meilleurs amis car ils auront au-delà de ça, développer une réelle relation de confiance et se connaissent mieux l’un que l’autre. Ils se complètent totalement. Ce sera grâce à lui, et à son père que Leo réussira à refaire confiance, à se livrer à d’autres personnes. Ils seront ses piliers, tout comme Irena. Des personnes qui lui permettront de tenir dans les moments les plus difficiles. Aussi, Léo et Bartosz partiront tous les deux, plus d’autres militaires pour l’Oregon à la base de l’US Army & Air Force Exchange à Klamath Falls en juillet 2015.
Ils n’auront pas le temps de terminer, ni même de réellement commencer leur entraînement avant octobre 2015, mois fatidique où l'épidémie débutera.
Envoyé à la base de l’US Army & Air Force Exchange à Klamath Falls en juillet 2015 pour suivre le programme d'entrainement en même temps que quelques membres de son équipe polonaise.
Il restera avec Léo et quelques membres de son groupe jusqu'à mi 2018 ou il décidera de rester défendre un groupe attaqué près de Portland. Il se retrouvera seul avec ce groupe jusqu'à son retour vers Seattle milieu de l'année 2022. Cette partie de l'histoire est donc totalement libre.
Pour plus d'informations, voici les passages en communs avec l'histoire de Leokadia.
- 2015:
- Octobre 2015.
L'entraînement a commencé depuis un mois déjà. C’est bien plus difficile que ce je pensais, mais je ne renoncerais pas. Pas après m’être battue pour réussir à rentrer dans le groupe. Pas après tout ce que j’ai subi, sacrifié, donné. Ma famille doit être fière de moi, continuer de l’être en tout cas. Bartosz aussi. Alors forcément, quand les nouvelles arrivent sur un nouveau virus qui aurait fait son apparition, l'entraînement est annulé et on nous demande de nous tenir prêt pour éventuellement intervenir. Si au départ, on nous laisse de côté, vu notre provenance, on nous demande finalement de rejoindre certaines équipes pour accroître la sécurité de la base. Je n’ai pas réussi à joindre ma famille, Bartosz non plus d’ailleurs, ni aucun autre membre de notre unité et je dois dire que cela m’inquiète sincèrement. Les nouvelles que nous recevons ne sont pas bonnes et si nous ne sommes pas forcément tout de suite mis au courant de tout, il ne faut pas avoir fait de longues études pour comprendre que la plupart du pays est dans un état de chaos généralisé.
Décembre 2015.
Des civils ont déjà été récupérés dans les villes et villages alentour. Nous ne sommes toujours pas autorisés à sortir notre unité et moi, devons maintenir la sécurité à la base, éviter que ce qu’ils appellent les rôdeurs ne rentrent dans l’enceinte. Nous en avons aperçu quelques-uns lors de missions extérieures pour nettoyer la zone, mais nous avons surtout entendu des rumeurs, des récits de survivants sur ces morts qui reviennent à la vie. Je n’ai toujours pas eu de nouvelles de ma famille, mais crains le pire évidemment. Je ne suis pas bête et si le chaos s’est généralisé dans tout le pays en si peu de temps, je ne donne pas cher de l’Europe ou le reste du monde. Il m’arrive parfois de regretter d’être venue ici, mais Bartosz me remonte le moral. Je crois qu’on s’est rapproché lui et moi car les lois ne semblent plus être réellement en vigueur. Surtout pour nous, l’unité des Polak comme ils nous appellent. Des unités sont envoyées chaque jour un peu plus loin pour tenter de récupérer des vivres et des survivants. Nous restons ensemble, évitons de faire des vagues, nous le savons, ils n’hésiteront pas à nous sacrifier si besoin, alors nous essayons de nous rendre le plus utile possible.
Fin décembre, Bartosz et moi sommes autorisés à sortir pour effectuer une des fameuses rondes pour faire reculer les quelques rôdeurs qui sont arrivés jusqu’à la base. Nous avons demandé à sortir exceptionnellement avec eux pour pouvoir savoir à quoi nous avons à faire. Les rumeurs grossissent dans l’enceinte du fort et je me pose beaucoup trop de questions quand je vois l’état des survivants qui nous rejoignent.
L’ambiance est tendue parmi notre groupe. Je suis surtout pour ma part très curieuse d’enfin voir de mes propres yeux ces fameux morts qui reviennent à la vie. Le silence est de mise alors que nous sommes en plein milieu de la journée. C’est terriblement déstabilisant de n’entendre que nos pas sur le sol alors qu’on avance tous groupés. Et puis, enfin, le premier que je croise. Je lève mon fusil, fait un signe discret à Bartosz. Je regarde au travers de ma lunette et je reste pantoise. Seigneur … Mais qu’est-ce que c’est que cette chose ? L’un des soldats américains avec nous m’avertit. Tu peux te rapprocher, mais fais attention, des fois ils sont plus vifs que ce que l’on pense. On se rapproche avec mon ami et je dois dire que j’observe ce fameux vorace pendant de longues minutes. Co to kurwa jest ? Qu'est-ce que c'est que ce truc putain ? En fait, je crois bien que je n’ai pas de mots pour décrire ce que je ressens. Et je continue de me rapprocher mais c’est une mauvaise idée car mon partenaire finit par m’avertir qu’il y en a d’autres, une dizaine, arrivent sur nous et ils sont bien plus vifs que celui que j’observe. Les premiers tirs se font entendre et les rôdeurs commencent à se ruer sur nous. Je finis également par tirer et, rapidement, nous arrivons à nous en défaire. Le souci, c’est qu’un des soldats a été mordu.
Une fois que la zone est sécurisée, je décide d’aller voir de plus près les corps définitivement éteint de ces choses. Nigdy nie widziałem czegoś tak brudnego. To jest ... Je n'ai jamais vu un truc aussi sale. C’est … Encore une fois je n’ai pas de mots. De retour à la base nous racontons ce que nous avons vu à nos amis. On se pose forcément beaucoup de questions. Comment est-ce que c’est arrivé ? On a des hypothèses évidemment, mais on n'en saura jamais vraiment plus, certaines seront juste plus vraisemblables au fil du temps. On a juste imaginé de multiples scénarios. Virus créé en laboratoire, invention qui a mal tournée, mère nature qui a décidé de reprendre ses droits, Dieu qui punit l’humanité. Surtout que de retour à la base, le soldat mordu a dû être éliminé, par sécurité. Personnellement, ça m’a aussi ramené à la réalité sur les possibilités que ma famille soit encore vivante. Si ce virus se transmet aussi facilement, je crains le pire pour eux. Ça m’a aussi mis un coup au moral en comprenant la situation dans laquelle on se retrouve. To gówno. C’est la merde.
- 2016:
- Mars 2016.
Nous sommes enfin autorisés à accompagner les unités qui sortent, forcément, les différentes expéditions on fait de lourdes pertes et les vivres deviennent plus rares à trouver. Les expéditions sont plus longues entre chaque ravitaillement. Pour la première fois, enfin, nous allons pouvoir sortir et nous rendre vraiment utile.
Wyglądasz na spokojnego Leo. Nie boisz się, że zjedzą ci mózg, powinieneś już taki mieć.
T'as l'air sereine Leo. Tu ne crains pas de te faire manger le cerveau toi, faudrait déjà en avoir un pour ça.
Więc na twoim miejscu chroniłbym to, co służy za twoje jaja.
Du coup à ta place, je protégerais ce qui te sers de couilles.
Un regard entendu et un sourire en coin pour Piotr, le gros con de l’unité. C’est un homme dur et indélicat, mais un élément particulièrement efficace et loyal. Les premières sorties sont facilement gérables, les environs sont bien débarrassés depuis déjà six mois, mais plus on avance, et plus les zones regorgent de ces fameux rôdeurs, et pas que. Nous avons mis en place un système de rotation des zones à déblayer afin de ne pas trop s’éloigner de la base, mais de pouvoir tout de même augmenter notre rayon d’action au fur et à mesure. Des groupes de survivants nous prennent parfois comme cible, mais la plupart sont bien moins équipés que nous. A force de persuasion, nous les faisons rentrer à la base avec nous, ou les pillons. Voilà à quoi, au bout de plus de six mois, nous sommes réduits de faire. Je n’ai pas osé dire quelque chose, mais, malheureusement, plutôt eux que moi. C’est envers mon unité et elle seule que je suis loyale. Nous continuons comme ça, enchaînant les expéditions, revenant à la base régulièrement, tentant d’aller de plus en plus loin au fur et à mesure que les plus grandes villes se vident. Il y a plus vraiment de lois qui existent à par celle instaurée de la base, et Bartozs et moi, on s'est rapprochés. C’est bien le seul truc de positif qui a pu ressortir de toute cette situation chaotique.
- 2017:
- Juin 2017.
Wstawaj Leoś! Udało im się wejść! To jest wszędzie !
Lèves toi Leo ! Ils ont réussi à rentrer, il y en a partout !
Le réveil est brutal, je ne suis pas sûr de comprendre. La base est en pleine ébullition. Les rôdeurs, ils sont rentrés ! Je m’équipe aussi rapidement que possible. Mais comment ? On n'aura jamais vraiment le fin mot de l’histoire. Tout ce qu’on a appris plus tard c’est que les rôdeurs tout autour du camp ont trouvé une brèche et sont rentrés. Économie de munition, idée à la con, laissant les voraces s’agglutiner autour de la base. Ça devait forcément arriver. Alors on se presse tous, on élimine ceux qu’on peut mais ils sont beaucoup trop nombreux. On se réfugie dans un coin sur, au bout d’un moment on se rend compte qu’on a plus vraiment le choix. On prend de quoi tenir dehors, la base est compromise. On n'est pas beaucoup à réussir à se sauver. Piotr insiste pour rester en arrière, pour nous couvrir et piéger la base pour en emporter un maximum. Pour nous couvrir du mieux qu’il pourra mais c’est hors de question. Sauf que ce n’est pas négociable pour lui quand il me lâche son fameux regard et me promet que tout ira bien. Je sais bien que même lui n’y croit pas, mais on le sait, dans une missi
on, on n'est jamais à l’abri de pertes. Je me revois juste poser un dernier regard sur lui avant qu’on ne s’échappe par des tunnels prévus à cet effet en cas d’attaque interne. On est plus qu’une dizaine, deux membres de l’équipe des Polak, d’autres militaires et quelques civils chanceux. Pour le reste, on les a tous laissés derrière. Je crois qu’il m’arrive encore parfois de revoir cette scène dans mon esprit dans mon sommeil, persuadée qu’un jour, je retrouverais Piotr passé les portes du fort. Mais je ne me fais pas de fausses idées, s’il s’en est sorti comme il me l’a promis, il est sûrement mort autrement.
Mi 2017 – Fin 2017.
L’idée première de notre groupe est de descendre vers San Diego, rejoindre une base navale, mais les routes sont devenues clairement impraticables, et nous sommes à pied, avec des civils pas entraînés. Bartosz est confiant mais moi beaucoup moins. Nous n’avons pas assez de vivre, et le froid commence à se faire clairement ressentir, la majorité des nôtres ne tiendra pas le coup et il ne faut pas avoir des années d’études pour le comprendre. C’est vers Redding que nous croisons un groupe qui nous indique que San Fransico est un nid à rôdeurs et que les militaires de San Diego n’ont pas donné de signes de vie depuis bien longtemps. Ils montent plus au nord, vers Portland et nous proposent de les rejoindre. Ils ont l’habitude de survivre, ont fait de meilleures prévisions que nous mais sont bien moins armés. Nous décidons donc de les suivre.
- 2018:
Jusque mi 2018.
Nous sommes sur les routes depuis plus de six mois. Nous avons un groupe homogène, nos compétences se complètent et avons globalement une bonne entente. Bartosz et moi nous sommes plus proches que jamais. Il s’est entiché d’un jeune garçon orphelin, Isaac, qu’il considère comme le fils qu’il n’a jamais eu. Nous avons déjà parlé de ça, lui et moi et c’est un sujet de discorde récurrent car je ne comprends pas comment on pourrait avoir envie d’un enfant dans un monde comme celui-là, alors que lui se demande pourquoi continuer de se battre si ce n’est pour eux. La perte de nos familles respectives et de nos amis l’a affecté plus que moi je crois et je ne sais pas comment faire pour l’aider à aller mieux. J’en suis d’ailleurs frustré car c’est une mission que je n’arriverais pas à mener jusqu’au bout. Mais je crois qu’il m’aime aussi pour ça, le fait d’être restée fidèle à moi-même.
Nous continuons donc de nous diriger vers Portland, troquant nos compétences contre des vivres avec les groupes ou survivants que nous rencontrons. Parfois nous restons quelques jours, parfois plus, en fonction de l’aide demandée. La fin rude de l’hiver à rendu Isaac malade et sans les soins nécessaires, ni les médicaments, le petit finira par mourir au printemps 2018 laissant Bartosz dans une tristesse inconsolable, mais moi aussi j’ai été touchée plus que je ne l’aurais cru. Le petit laissera un vide dans mon cœur, mais pas autant que dans celui de mon compagnon.
En juillet 2018 nous finissons par arriver peu avant Portland. Nous trouvons un petit groupe qui semble s’être fait attaquer par des barbares. Les blessés sont nombreux, la plupart ne passeront pas les jours qui suivent. Le groupe nous raconte qu’ils sont tombés sur des sadiques, qui pillent, violent et torturent. Ils ont gardé les femmes, tués sans sommation les enfants des manières les plus horribles qu’il soit. Bartosz rentre dans une colère sombre quand il apprend pour les enfants. Certaines personnes restées en retrait du groupe que nous venons de rejoindre veulent essayer d’aller récupérer les femmes, venger les enfants et Bartosz veut les aider. Pour ma part c’est hors de question et bien trop dangereux surtout aux vues des capacités du groupe de barbares.
“ Tu ne te rends pas compte du danger ! Tu es fou ! Ces gens ne sont pas des nôtres, pourquoi voudrais-tu te sacrifier pour eux ? Et moi alors ? Tu me laisses ? Nous avons une mission, amener les nôtres dans un endroit où on pourra rester et continuer de vivre, ensemble. Ce n’est pas de sauver tous ceux que l’on croise et qui ont besoin de notre aide “
“ Quand est-ce que tu as autant changé Leo ? Quand est-ce que ta vie a commencé à compter plus que celles de ceux que nous avons juré de protéger en nous engageant ? Tu es militaire Sikowitz, ton devoir est de protéger ceux qui ne peuvent pas le faire eux-mêmes “
“ Mais pas au dépend de ceux qui m’accompagnent depuis si longtemps. Ceux qui sont avec nous, depuis le début. Je n’irais pas me battre pour des inconnus à peine rencontrés. Je protégerais les miens avant tout “
Je le revois simplement me donner ses plaques, le regard triste et déçu.
Jeśli nasza miłość jest tak prawdziwa, jak mówisz, spotkamy się ponownie.
Si notre amour est aussi vrai que tu le dis, nous nous retrouverons.
Et je crois bien que je n’ai même pas pleurer ce jour-là, juste réunis les miens, la dizaine de personnes que nous avons réussi à rester depuis plus de deux ans. Nous préparions nos affaires, nous partons à l'aube. J’ai parlé avec des survivants rencontrés de l’autre groupe, il y a un groupe qui accueille des survivants près d’Okanogan, une réserve indienne. Voilà notre destination. Mais je ne me rendais pas compte que ce serait un endroit aussi loin et compliqué à atteindre.
Ancienne compagne/meilleure amie/coéquipière Bref Bartozs est celui en qui elle avait toute confiance. Autrefois amant sans lendemain, l’épidémie et les déboires vécus à deux les ont rapprochés, plus qu’ils n’auraient bien voulu l’admettre. Ils se sont aimés, sincèrement, s’aiment d’ailleurs probablement toujours, mais une décision aura fait qu’ils se sont quittés et ne se sont plus revus depuis. Libre à eux maintenant, de continuer leur histoire ou d’en écrire une nouvelle, chacun de leur côté. |
Bonne connaissance amicale Camilla et Bartosz se sont rencontrés dans les environs de Gig Harbor début d'année 2023. Les qualités du militaire lui auront tout de suite plus bien que son côté têtu et buté auront réussis plus d'une fois à l’énerver. Ils ont passé un peu de temps ensemble et ont appris à se connaître. Le dynamisme et la ténacité de la jeune femme ont fait qu'il a tout de suite apprécié leurs moments ensemble, même si le coté colérique de la jeune femme aura eu tendance à le faire souffler et plus d'une fois. |
Possible amitié et bonne entente. Rencontré courant de l’année 2023, Connor a proposé à Bartozs de rejoindre le camp des Expendables en tant que membre rattaché. Il aidera la faction et ses membres dans les divers travaux et missions de ceux-ci. Fidele et loyale, mais aussi doué dans les travaux manuels et les combats de par son passé militaire, le polonais ce sera rapidement rapproché de Connor avec qui il s’entendra très bien partageant les mêmes idées et aura su se rendre rapidement utile à la petite communauté. |
Liés par une dette. Bartozs aura rencontré Regina vers la fin de l’année 2022. Ils se seront rencontrés près de Seattle ou, par un heureux hasard, il l’aura aidé à se dépêtrer d’une mauvaise situation. Il lui sauvera la vie et la jeune femme se sentira redevable envers lui. Elle lui fera alors savoir qu’il pourra venir lui demander un service, ou quoi que ce soit qui pourra l’aider en cas de besoin afin de s’acquitter de sa dette. Les deux s’entendent bien et s'apprécient. |
Avant toute chose, merci à toi d'avoir pris le temps de lire ce scénario !
Saches aussi que je suis ouverte à toutes propositions et que l’histoire de ce personnage, bien que pas mal aiguillée durant les premières années de l’épidémie, reste bien évidemment assez libre, surtout si tu as d’excellentes idées, ce dont je ne doute pas.
Je suis évidemment disponible pour la moindre question le concernant, et sache aussi que le FC choisi est une première proposition (oui moi je l’adore mais je ne suis pas objective) et que nous pourrons discuter d’éventuels autres FC (Charlie Vickers, Tom Ellis, Jack Reynor si ça peut t’aiguiller …)
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