Les animaux parlent : sachons les écouter
Ven 14 Juil 2023 - 16:22
Concentré à la tâche, l'Amérindien à passé toute la mâtiné dans le bâtiment destiné à l'herboristerie. S'il ne se considère pas forcément comme un véritable herboriste, il n'hésite pourtant pas à mettre la main à la pâte. Les plantes l'ont toujours fascinées et il a toujours tout fait pour en apprendre davantage sur ses nombreuses vertus. Connaissances qui s'avèrent particulièrement nécessaire depuis que les morts se sont relevés.
C'est toute la société qui en a pris un coup et les diverses compétences de chacun sont mises à profit au campement afin que tout soit fonctionnel et que personne ne manque de rien. La plupart des survivants apprécient de se sentir utile et c'est le cas de Chogan. Il est convaincu qu'il vaut largement mieux faire parti d'un groupe en ces temps difficiles que de se retrouver dans les rues. La survis n'est déjà pas aisé au campement, il n'ose pas imaginer ce qu'il en est pour ceux qui sont seuls.
La journée tire à sa fin et le travail de l'Amérindien également. Quelques mauvaises herbes en mains, il a quitté son poste de travail et se dirige vers les bâtiments qui abritent les animaux afin de leurs offrir. À l'enclos des chèvres, il tend les feuillages aux bêtes qui s'en empare immédiatement. L'homme en profite pour caresser la petite tête de l'animal, lorsqu'il remarque une personne qu'il ne connaît pas. Un nouveau venu qu'il n'a pas encore eu l'occasion de rencontrer. Il décide donc de se diriger vers lui pour se présenter.
«Bonjour, je m'appelle Chogan.
Vous êtes ici depuis longtemps?»
Demande-t-il avec curiosité. Bien qu'il soit réservé, le quinquagénaire apprécie bien connaître un peu tout le monde. Il sait que ce n'est pas toujours facile de s'intégrer à un groupe et qu'il est important d'accueillir les nouveaux venus. Puis apparemment celui-ci à la tâche de prendre soin des animaux, ce qui leurs fait probablement un point en commun. En effet, Chogan apprécie particulièrement tout ce qui touche de près ou de loin à la faune. Pour lui, le respect des animaux est primordiale et ça lui fait plaisir de constater que c'est également le cas pour bien des membres de leur groupe.
C'est toute la société qui en a pris un coup et les diverses compétences de chacun sont mises à profit au campement afin que tout soit fonctionnel et que personne ne manque de rien. La plupart des survivants apprécient de se sentir utile et c'est le cas de Chogan. Il est convaincu qu'il vaut largement mieux faire parti d'un groupe en ces temps difficiles que de se retrouver dans les rues. La survis n'est déjà pas aisé au campement, il n'ose pas imaginer ce qu'il en est pour ceux qui sont seuls.
La journée tire à sa fin et le travail de l'Amérindien également. Quelques mauvaises herbes en mains, il a quitté son poste de travail et se dirige vers les bâtiments qui abritent les animaux afin de leurs offrir. À l'enclos des chèvres, il tend les feuillages aux bêtes qui s'en empare immédiatement. L'homme en profite pour caresser la petite tête de l'animal, lorsqu'il remarque une personne qu'il ne connaît pas. Un nouveau venu qu'il n'a pas encore eu l'occasion de rencontrer. Il décide donc de se diriger vers lui pour se présenter.
«Bonjour, je m'appelle Chogan.
Vous êtes ici depuis longtemps?»
Demande-t-il avec curiosité. Bien qu'il soit réservé, le quinquagénaire apprécie bien connaître un peu tout le monde. Il sait que ce n'est pas toujours facile de s'intégrer à un groupe et qu'il est important d'accueillir les nouveaux venus. Puis apparemment celui-ci à la tâche de prendre soin des animaux, ce qui leurs fait probablement un point en commun. En effet, Chogan apprécie particulièrement tout ce qui touche de près ou de loin à la faune. Pour lui, le respect des animaux est primordiale et ça lui fait plaisir de constater que c'est également le cas pour bien des membres de leur groupe.
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Re: Les animaux parlent : sachons les écouter
Ven 14 Juil 2023 - 17:32
Tu m'as donné du fil à retordre, que je grogne en posant les mains sur mes hanches après cette lutte effrénée contre Becky la chèvre. Honnêtement en arrivant à The Hallows, j'imaginais pas que je devrais me battre contre des animaux, et en même temps, si c'était pas ça, je vois pas non plus à quoi je m'attendais. J'ai un sourire amusé alors que Rosie, dans le coin, pouffe de rire. Je sens le bouc, et c'est pas qu'une figure de style, très honnêtement.Tu retournes voir Elijah ? Ma fille a un temps avant de secouer la tête, elle préfère rester avec moi visiblement. Je sais pas où est foutu mon gamin mais bon, c'est pas bien grave.
Je hausse les épaules. Le plâtre placé sur la patte de Becky tient bien, c'est une bonne chose. Elle va pouvoir boiter sans davantage d'emmerdes à priori, c'est pas plus mal, le temps que ça se refasse bien. Mais je vais pas la faire crapahuter tout de suite. Je la saisis pour la porter, et si elle me met un coup de tête, je pressens que c'est pas seulement pour contester. Le temps de revenir vers son enclos, Rosie sur mes talons, j'ai un temps quand j'entends une voix et que je saisis la silhouette de l'un des habitants du camp. Bordel, je galère tellement à reconnaitre les visages et les noms.
Au moins, celui-là se présente directement, c'est pas plus mal pour moi.Hm ? Je relâche Becky qui titube avant de se mettre à courir vers ses copines.Lennox, que je me présente, alors que Rosie vient se planquer dans mes jambes rapidement.Tout dépend la question : je suis là depuis ce matin, que j'admets en haussant les épaules. J'ai pas vu le temps passer.Donc on peut dire que ça fait déjà un moment. En revanche, si tu demandes pour le campement, je suis arrivé il y a peu avec le convoi de Gig Harbor, j'attrape la main de Rosie en fronçant les sourcils :Pourquoi ? Y'a une pointe de doute soudainement :J'ai loupé quelque chose ?
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Re: Les animaux parlent : sachons les écouter
Ven 14 Juil 2023 - 18:19
En s'approchant du nouveau venu, Chogan remarque la chèvre qu'il porte sur lui et qui s'enfuit dès qu'elle touche le sol. La scène lui décroche un sourire discret, alors que l'autre se présente à son tour. Puis voilà qu'une enfant, qu'il n'avait pas remarqué, se précipite derrière les jambes de celui qui est très certainement son père. Nouveau sourire de la part de l'Amérindien, beaucoup moins discret cette fois. Il adresse un signe de la tête à la jeune fille, espérant ne pas l'effrayer davantage.
S'il n'a jamais eu lui-même d'enfant, cela ne l'a jamais empêcher de les apprécier. Les souvenirs de ses enseignements auprès d'eux lui reviennent en tête. Il avait beaucoup aimé travailler avec les jeunes et leurs apprendre la survis. Surtout qu'il avait maintenant la certitude que ce dévouement avait été fort utile. Ces jeunes, devenus adultes aujourd'hui, avaient certainement eu plus de chance de survivre à la fin du monde, n'est-ce pas? Du moins, ils avaient eu des outils supplémentaires pour le faire, et cela en partie grâce à lui.
Apparemment Lennox est arrivé avec le convoi de Gig Harbor, ce qui ne surprend pas le quinquagénaire. Normalement les nouveaux arrivés ne passent pas vraiment inaperçus! D'ailleurs, celui-ci s'inquiète à savoir s'il à manquer quelque chose d'important.
«Non, non...pas du tout. On ne c'était pas encore croisé, je voulais juste me présenter. Je suis dans l'coin des plantes médicinales, mais je passe souvent voir les bêtes pour me calmer.»
Il marque une pause avant de jeter un œil en direction de Becky la chèvre, qui ne semble pas du tout calme! Puis il se penche un peu pour s'adresser à la jeune fille, d'un air amusé.
«Ne me dit pas que Becky vous donne encore du fil à retorde? Qu'elle petite vilaine, celle-là! D'ailleurs, tu dois bien avoir un nom toi aussi?»
Se redressant alors, il propose :
«J'ai fini ma journée, j'peux vous donner un coup d'main peut-être?»
Depuis la perte de sa mère, il n'apprécie pas tellement se retrouver seul dans son tipi. Autant en profiter pour s'occuper l'esprit ailleurs! De plus, ça lui donnera l'occasion de connaître un peu plus ce père de famille et sa fille.
S'il n'a jamais eu lui-même d'enfant, cela ne l'a jamais empêcher de les apprécier. Les souvenirs de ses enseignements auprès d'eux lui reviennent en tête. Il avait beaucoup aimé travailler avec les jeunes et leurs apprendre la survis. Surtout qu'il avait maintenant la certitude que ce dévouement avait été fort utile. Ces jeunes, devenus adultes aujourd'hui, avaient certainement eu plus de chance de survivre à la fin du monde, n'est-ce pas? Du moins, ils avaient eu des outils supplémentaires pour le faire, et cela en partie grâce à lui.
Apparemment Lennox est arrivé avec le convoi de Gig Harbor, ce qui ne surprend pas le quinquagénaire. Normalement les nouveaux arrivés ne passent pas vraiment inaperçus! D'ailleurs, celui-ci s'inquiète à savoir s'il à manquer quelque chose d'important.
«Non, non...pas du tout. On ne c'était pas encore croisé, je voulais juste me présenter. Je suis dans l'coin des plantes médicinales, mais je passe souvent voir les bêtes pour me calmer.»
Il marque une pause avant de jeter un œil en direction de Becky la chèvre, qui ne semble pas du tout calme! Puis il se penche un peu pour s'adresser à la jeune fille, d'un air amusé.
«Ne me dit pas que Becky vous donne encore du fil à retorde? Qu'elle petite vilaine, celle-là! D'ailleurs, tu dois bien avoir un nom toi aussi?»
Se redressant alors, il propose :
«J'ai fini ma journée, j'peux vous donner un coup d'main peut-être?»
Depuis la perte de sa mère, il n'apprécie pas tellement se retrouver seul dans son tipi. Autant en profiter pour s'occuper l'esprit ailleurs! De plus, ça lui donnera l'occasion de connaître un peu plus ce père de famille et sa fille.
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Re: Les animaux parlent : sachons les écouter
Ven 14 Juil 2023 - 20:31
Te calmer ? Que je reprends rapidement en fronçant les sourcils. Oui, la proximité avec les animaux a tendance pour beaucoup de gens à apaiser les tensions. J'imagine sans peine que ça peut valoir pour tout le monde, même un homme qui doit frôler la soixantaine plus qu'autre chose. Je soupire alors :Elle s'est cassée la patte visiblement, il fallait lui faire les premiers soins, mais elle n'est pas facile à tenir en place, pas de quoi faire une radio, on s'est débrouillés comme on a pu. J'ai maintenant droit à quelques plaies pour prouver mon implication dans ces soins qui m'ont donné du fil à retordre.
Mais Chogan semble capter finalement la présence de Rosie, et cette dernière se planque un peu plus en le scrutant avec méfiance et timidité. Voilà qui a toujours été son fort, je suis pas sûr qu'elle changera tout de suite. Quand elle prendra progressivement confiance, j'imagine que ça sera différent. Pour l'instant, elle doit apprendre à connaitre les gens pour se prendre ses aises, pour autant je pense pas qu'elle se mettra à articuler dès demain.Elle ne parle pas, que je lui souffle.Elle s'appelle Rosie, que j'ajoute pour la précision, pour qu'il la prenne pas pour une petite mal-élevée.Tu dis bonjour ?
Rosie hoche la tête et du bout de sa main, elle signe quelques mots que Tori lui a appris lors de notre séjour à Telve. Elle tient encore son carnet de notes avec application d'ailleurs, même si elle le connait déjà par coeur. C'est sa manière d'échanger avec le monde et de se faire entendre.Pourquoi pas, Becky m'a occupé toute la journée, rien que lui faire son plâtre sans la blesser davantage m'a pris trois heures, que je réponds à Chogan avec un semblant de sourire :Du coup, j'ai pas eu le temps de faire quoi que ce soit d'autres malheureusement, mais ça, c'est prévisible vu la terreur dont j'ai du m'occuper.Des bras supplémentaires pour finir l'entretien de leur enclot seraient pas de trop à mon avis ! Y'a plus qu'à s'y mettre ?
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Re: Les animaux parlent : sachons les écouter
Lun 31 Juil 2023 - 1:59
Lennox semble surpris de l'effet apaisant que peut avoir les animaux sur Chogan. Il est vrai que les choses ne doivent pas être perçu de la même façon lorsque l'ont travaille avec eux toute la journée. L'amérindien, lui, peux profiter seulement des aspects positifs et thérapeutique qu'offre la présence de ces compagnons à poil. D'ailleurs, il arrive parfois qu'il préfère justement leur compagnie à celle des hommes. Il sourit en songeant à la rude journée qu'a pu avoir l'homme avec cette fichu chèvre rebelle.
«Ce n'est pas moi qui doit courir après eux pour les soigner.»
Rajoute-t-il, d'une voix amusée. Il reprend un air sérieux lorsque l'autre mentionne la blessure que c'est fait la chèvre. Soigner les humains n'est pas toujours chose facile depuis que les hôpitaux n'existent plus, alors pour les animaux...il n'ose même pas imaginer. Pourtant ceux-ci sont plus précieux que jamais, puisqu'ils fournissent différents produits devenus indispensable. C'est aussi la raison pour laquelle chaque travail est important au campement.
Puis remarquant la présence de l'enfant, son père lui explique qu'elle ne parle pas. Il la lui présente et elle salut l'Amérindien d'un geste de la tête de quelques signes.
«Ça me fait plaisir de te rencontrer, Rosie.»
Puis voyant que le nouveau venu accepte son aide, il dépose le sac à dos qu'il traînait sur le sol et retrousse ses manches, prêt à se mettre à la tâche. Le quinquagénaire s'approche des outils pour s’emparer d'une fourche, histoire de pouvoir ramasser les excréments qui traîne dans l'enclot.
«Les animaux sont une passion ou il s'agit juste d'un boulot?»
Demande-t-il avec curiosité. La question est peut-être indiscrète, mais il a envie d'en connaitre plus sur ce père de famille. S'il reste souvent plus discret sur sa propre personne, Chogan aime écouter les autres et a une oreille particulièrement attentive. Ce monde est devenu particulièrement difficile et ils ont tous vécus des traumatismes plus ou moins important. Autant que quelqu'un se porte volontaire pour atténuer ces souffrances, ne serait-ce qu'en se montrant disponible et à l'écoute. Qui sait ce qu'ils ont pu vivre, tous les deux ?
«Ce n'est pas moi qui doit courir après eux pour les soigner.»
Rajoute-t-il, d'une voix amusée. Il reprend un air sérieux lorsque l'autre mentionne la blessure que c'est fait la chèvre. Soigner les humains n'est pas toujours chose facile depuis que les hôpitaux n'existent plus, alors pour les animaux...il n'ose même pas imaginer. Pourtant ceux-ci sont plus précieux que jamais, puisqu'ils fournissent différents produits devenus indispensable. C'est aussi la raison pour laquelle chaque travail est important au campement.
Puis remarquant la présence de l'enfant, son père lui explique qu'elle ne parle pas. Il la lui présente et elle salut l'Amérindien d'un geste de la tête de quelques signes.
«Ça me fait plaisir de te rencontrer, Rosie.»
Puis voyant que le nouveau venu accepte son aide, il dépose le sac à dos qu'il traînait sur le sol et retrousse ses manches, prêt à se mettre à la tâche. Le quinquagénaire s'approche des outils pour s’emparer d'une fourche, histoire de pouvoir ramasser les excréments qui traîne dans l'enclot.
«Les animaux sont une passion ou il s'agit juste d'un boulot?»
Demande-t-il avec curiosité. La question est peut-être indiscrète, mais il a envie d'en connaitre plus sur ce père de famille. S'il reste souvent plus discret sur sa propre personne, Chogan aime écouter les autres et a une oreille particulièrement attentive. Ce monde est devenu particulièrement difficile et ils ont tous vécus des traumatismes plus ou moins important. Autant que quelqu'un se porte volontaire pour atténuer ces souffrances, ne serait-ce qu'en se montrant disponible et à l'écoute. Qui sait ce qu'ils ont pu vivre, tous les deux ?
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Re: Les animaux parlent : sachons les écouter
Mar 1 Aoû 2023 - 20:03
Même malgré ça, c'est parfois plus agréable de bosser avec eux qu'avec des personnes, que je lui souffle en réponse avant de hausser les épaules, un peu par dépit.Au moins, ce qu'ils font, c'est propre à eux, à leur instinct, y'a pas de mensonges, que j'ajoute. Même une biquette qui joue les contrariés parce qu'on essaie de la soigner, elle aura parfois plus de gratitude qu'une personne à qui on sauvera la vie. Et puis, les prédateurs sont ce qu'ils sont, mais ils le font pas par cruauté pure. Ils agissent pour se nourrir, par instinct. On ne demandera pas à un singe d'être un poisson. Chogan se montre disponible pour m'aider, et je me tourne vers Rosie un instant.Tu vas rejoindre Elijah ? Vous commencez à mettre la table et je rentre pour faire à manger, on va s'organiser un peu quoi. Ok ! Elle va pour s'éloigner et se tourne finalement vers nous une dernière fois. Un temps passe avant qu'elle agite ses mains, la langue coincée entre les dents alors qu'elle se concentre pour bien signer. Aurevoir Chogan, tu peux venir manger avec nous aussi, ajoute-t-elle pendant que je lâche un rire surpris. Sur le coup, je trouve ça adorable, mais Rosie a toujours eu un don pour ça. Elle s'esquive rapidement et je me tourne vers l'homme :Elle te dit "aurevoir", et que tu peux venir manger avec nous si tu le souhaites, que je lui traduis. Le langage de Rosie est à moitié japonais, puisqu'elle tient ça de Tori.
Mais ça nous est bien utile, surtout quand on se base sur ça pour échanger. Avec le langage des signes natifs, on peut dire que la gamine est pas totalement paumée, y'a pas mal de trucs qui se recoupent.J'étais soigneur, alors c'est un métier. Et une sorte de passion, parce que mon boulot m'a sauvé la vie, je lui fais signe d'approcher en lui confiant un grand râteau pour aller trier la paille du refuge. Pendant que je m'occupe de remplir leur baignoire d'eau.Tu faisais quoi avant tout ça ? Que je lui demande, par curiosité. Et puis :Tu es avec eux depuis longtemps ? Les Hallows, évidemment.
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