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Cassette #16
Mer 13 Sep 2023 - 23:11
Optimiste Réaliste Bienveillant S’adapte rapidement Résilient Bavard Individualiste Impulsif Manque de tact Réfractaire à l’autorité | First and foremost, un baladeur / magnétophone cassettes à piles, enceinte intégrée et prise casque Piles x2 Balisong (couteau papillon) Corde 15ft Svelte, les cheveux mi-longs, les yeux cernés et la pilosité peu développée, Zeke n'impressionne pas par son physique. À bien des égards, il ne semble pas être le profil-type d'un survivant à l'apocalypse. Il est loin d'être imposant, ce que quelques survivants au cours de son périple ont considéré comme une faiblesse. C'est cependant ailleurs que se situent ses forces. Son regard perçant ne manque rien. Ses mains aux longs doigts fins sont habiles, et lui permettent de manipuler son balisong avec aisance. Sa démarche est féline et sûre. Dans des situations dangereuses, Zeke n'est pas un combattant, mais un analyste et un stratège, se positionnant avec aisance où son avantage sera le plus grand, et frappant avec précision sans jamais manquer sa chance. Quant à ses vêtements, il en change régulièrement, quand les siens sont irrécupérables, mais a une préférence pour un jean et une veste en cuir. |
Une chose n’a cependant pas changé malgré ces nouveaux paramètres : lorsqu’il le peut, il aidera quiconque le demande. Il ne heurtera jamais personne à dessein, et ce même pour subvenir à ses propres besoins s’ils empiètent sur ceux des autres. Il doit toujours y avoir une autre solution.
Il avait déjà du mal avant la chute à tisser des liens forts, et cet état de fait n’a été qu’exarcerbé par le nouveau monde. Quand les vivants, déjà éphémères, ont la fâcheuse tendance d’être tués subitement et par n'importe qui ou quoi, il lui est difficile de se risquer à un attachement.
Je ne pus retenir un sourire en coin. C’était typique de Daniel, et ses manigances. Pas nécessairement le cadeau commun, ça, c’était finalement un coup plutôt classique, mais la raison pour laquelle il m’invitait. Je n’étais pas dupe, il voulait jouer les entremetteurs.
Carline était une de ses amies, que j’avais eu l’occasion de croiser à quelques reprises quand elle venait lui rendre visite dans notre colocation. Et bien que le courant soit bien passé ces fois-là, et que Carline ne m’ait pas déplu, Daniel, qui voulait se mêler de tout, s’était investi d’une mission consistant à ce que l’on puisse se voir dans un cadre différent que celui de la petite maison dans laquelle nous habitions à cinq, tous provenant de la même école de comédie, et qui ne laissait pas beaucoup de place à l’intimité.
Avec un soupir amusé, je répondis, écrasai ma cigarette et fis volte-face, poussant la lourde porte du studio, rangeant mon téléphone dans ma poche. Je devais exhaler un certain désespoir pour que Daniel s’attèle à me trouver une vie sentimentale. Qu’à cela ne tienne, j'allais suivre ses lubies et voir par moi-même où elles m’emmèneraient. J’appréciais ma solitude, mais un peu d’action ne me ferait pas de mal.
Je repris place sur le tabouret au centre de la salle, et mon regard se fixa à nouveau d’abord sur le micro devant moi, que j’ajustai une énième fois, puis sur la tablette, et le texte que je lisais à voix haute et enregistrais pour le livre audio sur lequel je travaillais déjà depuis deux mois. J’en repris l’histoire, automatiquement, laissant à mon esprit le loisir de chercher comment me présenter sous une bonne lumière ce soir.
Je fis rapidement le constat que je n'avais pas vraiment d'événement particulier à conter. Né d’une famille aimante, suivi par une petite sœur sans histoires, mon enfance était banale, et mon adolescence sans vague. Après des études sans distinction, que je ne suivais qu'avec peu d'intérêt, je partais vivre à Los Angeles avec la bénédiction de mes parents, aussitôt l’âge requis atteint pour intégrer une école de comédie avec un cursus se focalisant sur la voix off, je rencontrais Daniel et les autres occupants de la maison dans laquelle nous vivions, picolions, et refaisions le monde depuis la première année d’école. Une fois l'école terminée, je trouvais presqu'immédiatement du travail auprès d'un studio qui me confia un livre audio sans prétention. Et c’était tout. C’était peu, mais ça devrait être suffisant, car à vingt-quatre ans, toute ma vie était encore devant moi.
Dix-neuf heures cinquante finirent par sonner sur mon téléphone, et je rangeai mécaniquement le matériel et sauvegardai mes enregistrements, sentant progressivement l’excitation de la soirée à venir prendre le pas sur la banalité et la mélancolie de mes pensées. Une fois toutes mes affaires rangées, mes yeux firent le tour du studio insonorisé dans lequel j’avais passé les quatre dernières heures à la recherche d’un éventuel papier, stylo ou accessoire oublié. Rien. Je sortis mon téléphone. Vingt heures. Pas de message. Pas de réseau non plus, dans cette pièce. Je pris le chemin de la sortie, éteins les lumières, et, un sourire aux lèvres actionnai la poignée du studio. Et le chaos des sirènes, des cris et des râles me frappa.
Heureusement, je suis tombé sur un groupe d’une quinzaine de personnes qui m’ont accueilli à bras ouverts. Pas improbable que ma réserve de piles ait fait pencher la balance en ma faveur, mais j’ai besoin d’un abri et de nourriture, ils ont besoin de lampes qui fonctionnent, tout le monde s’y retrouve. Aussitôt que le temps redevient doux, je repartirai. Et je sais, c’est ce que j’ai dit la dernière fois, avant de finir par passer deux ans à Brookings. Mais ce coup-ci, je m’y tiens, je suis trop près du but pour m’arrêter plus que nécessaire.
Ah et puisqu’on parle du but, un détour va être nécessaire. Les éclaireurs du camp m’ont déconseillé d’aller à Portland. Il y aurait un groupe de dégénérés qui butent ou capturent tout ce qui bouge dans leurs entourages. Je pense que ma meilleure chance de les éviter est de les contourner par l’est. Pas d’arbre à proprement parler pour me couvrir, et peu de flotte, mais peu de route aussi, ce qui diminue mes chances de les croiser. Hank m’a fait un itinéraire qui devrait me faire arriver à destination sans trop de mal. On verra. Probablement à mon prochain chapitre. [CLAC]
[CLIC] Je viens de réécouter le chapitre précédent, bah des idées comme ça j’en ai eu, mais celle-là était particulièrement débile. D’une, les arbres, quand il y en a, sont rabougris ou au bord de la mort. En soi c’est pas ce qu’il y a de plus grave, mais la branche sur laquelle j’ai dormi cette nuit s’est cassée sous mon poids, et je me suis tordu le poignet en tombant. Je pense que c’est seulement tordu. [GROGNEMENT] Je peux encore le bouger.
De deux, ça fait quelques jours que je vois un nuage de poussière au nord-ouest. Je ne sais pas ce que c’est, mais je dois être plus près de Portland que ce que je pensais, et ça me rend nerveux. Si un de ces tarés passe par ici pour je-ne-sais-quelle-goddamn-raison, j’aurais nulle part où me planquer.
Mais histoire de ne pas voir le mal partout, d’ici deux jours je devrais arriver à Condon [RIRE CONTRIT] j’ai passé les deux dernières heures à me marrer. Pardon, c’est les nerfs, il vaut mieux que j’arrête là. [CLAC]
[CLIC] À mon grand damn, je ne suis jamais arrivé à Condon. Mais il y a une bonne raison à ça ! Si, si, promis ! J’ai poursuivi mon périple, en évitant la route et en gardant le nuage de poussière à mon nord-ouest. Ce n’est qu’au bout d’une journée et demie que je me suis rendu compte que ça clochait quelque part, et que le soleil ne se couchait pas où il le devait… J’ai doucement tourné vers l’est au lieu d’aller au nord. La poussière ne venait pas de Portland. Elle se déplace doucement vers l’est. Je pense que c’est une horde de morts.
Donc trois bonnes choses. D’abord, si j’avais suivi mon compas, j’aurais pu finir par croiser leur chemin. De deux, mon poignet n’est définitivement pas cassé, et se remet de jours en jours. Troisièmement, j’ai pu attendre le passage de la horde et me ravitailler dans un patelin qui s’appelle [GLOUSSEMENT] Hardman [RIRE À PEINE RETENU] à côté de Condon. Hardman. [TOUX] [CLAC]
[CLIC] [SOUPIR] J’ai perdu mon couteau dans le crâne de mort. Mon couteau, et hélas, toutes mes cassettes. Du coup, celle-ci n’est plus la… Seizième ? Euh… [CLAC] [CLIC] Ouais, seizième, mais la première. Donc c’est un peu bizarre de le faire au quatrième chapitre, mais il est à nouveau temps de me présenter. Je suis Zeke Dunlop, originaire de Seattle. Quand la chute est arrivée, j’étais à Los Angeles, où sortant d’une école d’acteur spécialisé dans la voix, je venais de booker mon premier livre audio. Que je n’ai donc jamais pu finir. Rien ne m’avait préparé au monde qui suivrait. Mais j’ai eu de la chance. D’abord parce que j’ai pu survivre en m’accolant à des groupes de fortune, et parce que je n’ai pas pu créer de lien précieux qui auraient sans doute été brisés depuis.
À l’exception bien sûr de ma famille, restée à Seattle. Mon père, ma mère et ma petite sœur. Ils me manquent, et j’espère les revoir un jour. J’ai essayé à plusieurs reprises de me faire une vie avec d’autres survivants, et j’ai bien failli y parvenir par trois fois, mais une vie, ça paraît tellement long dans ce monde… Les morts ou les vivants, il y en a toujours pour briser toutes les fondations déjà si difficiles à poser.
Quand vient le temps de bouger, je suis la côte, vers Seattle. Sans me poser de question et sans regarder derrière moi. J’ai ce curieux avantage de ne pas m’embarrasser de regrets et de chagrins. Les gens que je côtoie me trouvent parfois bizarre. Ils me disent que je ris quand je devrais pleurer, et que je suis froid quand je devrais être empathique. J’imagine que tout le monde réagit différemment à la fin du monde.
Pour résumer un tant soit peu les quinze dernières cassettes... Sortir de Los Angeles n'a pas été aisé. J'ai passé la première nuit suivant la chute dans un studio insonorisé et me suis évertué les jours suivants à sortir de Los Angeles tout en rassemblant des ressources et en évitant les morts. Je ne dis pas qu'ils ne sont pas dangereux, loin de là, mais il y a quelque chose de comique à voir les morts de LA, cheveux roses, bleus, multicolores, talons aiguilles, maquillés, ou parfois même déguisés en super-héros de comics, se ramasser en se lançant à ma poursuite. Bien sûr, ce n'était qu'une partie d'entre eux, mais ces rares occurrences me donnaient un deuxième souffle, me sortaient de mon état de frayeur et de détresse. J'ai découvert très vite qu'ils étaient maladroits, ce qui m'a permis d'échapper à beaucoup de situations en grimpant. Sur des voitures, escaliers, tout ce qui passait. C'est à ce moment-là que j'ai eu l'idée de ne passer mes nuits qu'en hauteur.
ce n'est qu'une fois sorti de la ville que j'ai croisé les premiers vivants. Deux familles, amies avant la chute. C'est en croisant leur regard pour la première fois que je me suis rendu compte que le plus grand danger dans le nouveau monde ne seraient pas les morts. Pire qu'une personne ayant tout perdu, une personne s'accrochant corps et âmes au peu qu'il lui reste est une personne capable des pires atrocités.
Mais je ne dois pas être menaçant, car ils ont fini par me recueillir. J'ai passé avec eux deux ans, peut-être plus, je ne suis plus sûr. Au fur et à mesure des années, le groupe s'est agrandi, nous apportant des nouvelles des alentours. D'après les nouveaux arrivants, l'armée avait fini par arriver à Los Angeles, et avaient pris le contrôle de la population. Pour leur bien. Les faisant travailler pour le bien commun, enrôlant les hommes d'abord, puis les femmes capables de combattre, dans l'idée de reconquérir le cœur de la ville. Je ne leur jette pas la pierre, mais être sous le contrôle d'un corps armé n'est pas fait pour tout le monde. Certainement pas pour moi.
Parmi notre groupe, certains ont décidé de rejoindre ces campements au bord de la ville, tandis que d'autres nous ont rejoint en les fuyant. C'est là que j'ai rencontré Hugh, un homme âgé qui n'avait rien emmené d'autre avec lui qu'un sac, plus une pochette qu'un sac, en bandoulière, rempli de cassettes audio, et son lecteur-magnétophone à piles à la ceinture, casque perpétuellement autour du cou. Ah, quand je pense que je me suis moqué de lui à l'époque... C'est sur son cadavre que j'ai récupéré tout ça, après qu'un groupe affamé ne nous trouve, et décide de nous prendre tous nos biens. Je crois bien que c'est la première fois que j'ai pleuré après la chute. Pas parce que beaucoup d'entre nous sont morts ce jour-là. Pas entièrement. Parce que pendant que les balles volaient, et que les morts sont arrivés pour finir le travail, j'étais caché, impuissant.
Le lendemain, je suis reparti vers le nord. Je n'avais plus de raison de rester. Deux fois de plus en Californie, et une fois dans l'Oregon, j'ai passé des années avec des groupes de survivants. J'y ai même trouvé l'amour, une fois. Mais à chaque fois... [SILENCE]
Retour à aujourd’hui, j’ai passé les cinq derniers jours avec un groupe qui allait aussi au nord. Une fille, son grand-père, et un mec qui était avec eux depuis la chute. Ils ne m’ont pas fait confiance immédiatement, mais je les ai eus à l’usure. Graham, le vieux, était le plus dur à convaincre. Apparemment, ils se sont fait dépouiller deux fois uniquement l’année précédente.
La nuit dernière, le camp a été envahi par une flopée de morts. La queue de cortège de la horde ? C’est mon avis, ils étaient trop nombreux pour que ce soit juste les habitants des environs attirés par nos ronflements. J’en ai abattu une bonne quinzaine avant que mon couteau se coince dans le crâne de l’un d’entre eux. J’ai attrapé mes affaires et j’ai détalé, en essayant d’en attirer le plus possible derrière moi pour laisser une chance de s’échapper aux autres, mais j’ai passé une bonne partie de la nuit à trotter vers le sud en conséquence.
Maintenant, je suis de nouveau seul, avec peu d’eau, peu de nourriture et un ouvre-boîte émoussé en guise de couteau. Et mes cassettes, j’ai perdu mes cassettes. [CLAC]
[CLIC] Bonne nouvelle, j’ai trouvé un balisong sur la cheville d’une jambe laissée derrière par son propriétaire, qui devait être sur le chemin de la horde. Et j’ai déjà réussi à me couper avec. Voilà. [CLAC]
[CLIC] Deux semaines se sont écoulées depuis le dernier chapitre, je vais les résumer très vite. J’ai croisé le chemin d’un groupe de sédentaires. Et ils avaient des cassettes. J’y suis resté un moment pour reprendre mes forces, et ils m’ont donné des nouvelles du monde. D’après eux, les morts évoluent avec le temps. Et écoutez ça, il y en a qui grimpent. Moi qui passe la majorité de mes nuits dans des arbres en pensant être à l’abri, j’ai éclaté de rire. Je suis définitivement veinard.
Une fièvre a commencé à frapper leur campement, et j’ai préféré tirer ma révérence, reposé et avec des cassettes, trois à écouter, deux à écraser. Et me voici, deux jours plus tard, sur le point de passer la frontière entre l’Oregon et Washington. [SOUPIR] Prêt ? [SILENCE] Tadaa ! On se sent bien chez soi. [CLAC]
[CLIC] J’aurais dû m’en douter étant donné le nombre croissant de vivants rencontrés à l’approche de Washington, mais depuis que j’ai passé la frontière en direction de Seattle, je ne cesse de trouver des traces de bivouacs récents, ou des campements de plus ou moins grande envergure. Comme on dit, quand il y a de la vie, il y a de l’espoir, avec un peu de chance… Beaucoup de chance, ma famille fait partie des survivants.
J’ai évité de m’approcher des survivants, en revanche. Le problème de ce type de proximité entre différents campements, c'est que ça a tendance à créer des tensions, et je ne voudrais pas me retrouver dans une situation dangereuse si près du but. D’un autre côté, mes ressources s’amenuisent, et je pense que je vais devoir revoir mes précautions à la baisse.
Je suis tombé il y a deux jours sur ce qui a l’air d’être un camp entouré d’un mur de débris métalliques. J’ai beau ne pas avoir vu le film, c’est typiquement ce que j’imagine être une ville à la Mad Max. Beggars can’t be choosers, though. J’ai passé les deux derniers jours à tenter de les observer, savoir dans quoi je mets les pieds avant de faire quoi que ce soit, mais j’ai bien peur de ne pas avoir été aussi discret que je le souhaitais. De deux choses l’une, soit ils ne sont pas assez en garde pour remarquer ma présence, soit ils m’ont bel et bien vu et n’ont pas daigné me poursuivre. L’un dans l’autre, il va me falloir prendre une décision demain. [CLAC]
Il passe généralement le reste de son temps à la recherche d’informations ou de ressources pour la suite de son aventure. Chaque camp étant différent, il ignore ce que Junk Town demandera de lui, et même s’ils voudront de lui, mais il espère s’y reposer et se renseigner sur les événements arrivés depuis la chute avant d’entreprendre la recherche de sa famille.
La méthode inclusive vous permet de commencer le jeu directement avec le |
J'ai pris pas mal de liberté avec la fiche classique, en espérant que cela ne posera pas de problème.
- Invité
- Invité
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Re: Cassette #16
Mer 13 Sep 2023 - 23:19
Salut Zeke ! Et bienvenue sur le forum !
Aucun souci pour les libertés prisent sur la fiche tant qu'on parvient bien à situer ton personnage et à comprendre son parcours !
En revanche, nous autorisons un écart d'âge de 7 ans (jusqu'à 10 ans si le physique du FC s'y prête) entre l'avatar choisi et le personnage. Malheureusement, Bowie est mort à 69 ans, et on ne peut pas lui retirer soudainement 33 ans
Si tu as besoin d'aide pour trouver un autre FC, n'hésite pas à nous faire signe, on a quelques sites à te fournir pour ça, ou des chercheurs de trésors sur le forum qui seraient ravis de te prêter main forte !
A très vite !
Aucun souci pour les libertés prisent sur la fiche tant qu'on parvient bien à situer ton personnage et à comprendre son parcours !
En revanche, nous autorisons un écart d'âge de 7 ans (jusqu'à 10 ans si le physique du FC s'y prête) entre l'avatar choisi et le personnage. Malheureusement, Bowie est mort à 69 ans, et on ne peut pas lui retirer soudainement 33 ans
Si tu as besoin d'aide pour trouver un autre FC, n'hésite pas à nous faire signe, on a quelques sites à te fournir pour ça, ou des chercheurs de trésors sur le forum qui seraient ravis de te prêter main forte !
A très vite !
Light this world
ANAPHORE
- Neela J. Yeo-Jeong
- Administratrice
She-Hulk | Neenja
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Re: Cassette #16
Mer 13 Sep 2023 - 23:22
Oh, mea culpa, je comprenais ça avec l'âge de la photo, pas de la personne elle-même. J'y réfléchis, et je modifie ça quand je trouve.
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
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Re: Cassette #16
Mer 13 Sep 2023 - 23:24
Aucun souci Bon courage et comme dit, si besoin d'aide, on est là !
Tiens, tu as même droit à la fiche de bienvenue pour la peine
bienvenue sur le forum !
Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un membre du staff sur demande.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux différents bottins du forum.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des Travelers , il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Tiens, tu as même droit à la fiche de bienvenue pour la peine
Te voilà fraîchement inscrit(e) sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
Bonne rédaction !
Light this world
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- Neela J. Yeo-Jeong
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- Nihima Sihasappa
The Hallows | Conseil
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