The Vault
Lun 24 Juin 2024 - 20:12
Beacon Hill · Seattle, WA 98144.
Par le peuple, pour le peuple.
Un credo simple, et qui parle au plus grand nombre, voilà qui a de quoi plaire. Sur le papier, le concept est clair : tout le monde est accepté, tant que l'on ne cause aucun trouble à l'ordre des choses. Et ce dernier est minime, pour ne pas dire foncièrement limité. La règle est simple :
L'ordre des choses est donc pour le moins original. Localisé dans ce qui fut jadis l'une des stations de métro les plus prisées de Seattle, le refuge prend vie littéralement sous terre. Il a fallu du temps et de la patience pour nettoyer celle-ci, quoi qu'il ne soit pas totalement certain que des rôdeurs ne se baladent pas encore sur les rails reliant la station Beacon Hill au reste de la ville. Mais si l'on devait nettoyer tout le réseau souterrain de l'Etat de Washington, on ne s'en sortirait certainement plus.
L'entrée du territoire est accessible via une
Après tout, il n'existe pas de réel chef des lieux :
L'auberge Railroad tient son nom de sa localisation : littéralement située à même les rails, les coins dortoirs se trouvent dans deux trains qui ont déraillé partiellement de leurs voies respectives il y a fort longtemps, aux prémisses de l'apocalypse. Parfois envahis par de la végétation résiliente, pas toujours préservés de l'humidité ambiante du fait que les souterrains n'ont pas été entretenus pendant des années, l'intérieur des wagons offre malgré tout un confort relatif : les sièges et banquettes sont aujourd'hui réutilisés en guise de paillasses, tandis qu'ici et là sont dispatchées de nombreuses chandelles réchauffant les visiteurs de passage. Aux barres, servant d'accroches pour les passagers à l'époque où les trains fonctionnaient, sont désormais suspendues des toiles ou des rideaux récupérés afin d'offrir de l'intimité aux différents invités y passant la nuit. Beaucoup de matériel de récupération est stocké à même les wagons, et lorsqu'il n'est pas possible d'utiliser les sièges en guise de couchette, ce sont des matelas et sacs de couchages qui sont posés à même le sol et font l'affaire. En outre, sur les quais se trouve le coin restauration et bar de l'endroit, improvisé là encore avec de l'équipement stocké dans la station de train, éclairé principalement par des lampes à huile qui prodiguent une ambiance tamisée. Les tables sont surtout des barils de bois retournés et quelque peu bancals, tandis que c'est une ancienne console de vente de tickets qui sert aujourd'hui de comptoir pour encaisser les consommations des visiteurs. C'est aussi sur les quais qu'on peut échanger le plus d'informations, et négocier avec la tenancière quelques nuitées supplémentaires moyennant de précieux renseignements qui valent la peine d'être partagés. En revanche, si vous n'avez rien à offrir, ni services, ni biens, ni infos capitales, déguerpissez rapidement : aucune gratuité n'est acceptée ici. |
L'armurerie de l'endroit tient son nom autant de son tenancier que de son fonctionnement. Ici, si les ventes d'armes sont gérées d'une main de maître par le commerçant à la tête du business, qui impose ses prix et n'est pas du genre à accepter les négociations, il y a aussi une question de temps à prendre en compte. Parce que le temps, c'est de l'argent : non seulement il coûte cher, mais surtout quand on veut mener à bien un deal, on évite d'en perdre à bavasser inutilement. L'armurerie n'est pas spécialement ouverte tous les jours ou à point d'heure - parfois, l'échoppe n'est même pas accessible, car le marchand d'armes est justement en quête de matos à refourguer, récupéré évidemment à l'extérieur des lieux. Quant au commerce en lui-même, c'est tout simplement un coin de la station qui est réquisitionné pour établir le comptoir, qui se compose principalement d'un bureau récupéré à même le métro, et de vitrines ramenées depuis le centre-ville de Seattle, dans lesquelles sont exposées les produits à vendre. Parfois, ceux-ci sont tout bonnement étalés par terre, ou accrochés à même des clous enfoncés dans les murs, afin d'appâter les clients, et montrer les produits disponibles à la vente, quand bien même la manipulation des armes par les acheteurs potentiels est strictement interdite. Ici, on achète ce que l'on voit, et aucun remboursement n'est envisageable si la qualité, après utilisation, déçoit. Le stand est accolé à une ancienne remise de Beacon Hill dans laquelle sont disposés les stocks d'armes, et qui est constamment fermée à clés ; en outre, la porte du local est enchaînée et cadenassée sitôt que le vendeur d'armes doit s'absenter, que ce soit pour aller pisser deux minutes ou pour se barrer pendant plusieurs jours. Un drapeau des USA a par ailleurs été suspendu aux néons HS qui sont situés au plafond juste au-dessus du commerce, afin que l'armurerie soit facilement repérable par les clients, autrement que par les barils à feu qui éclairent la zone: c'est du pur made in America que l'on propose, ici. |
L'Institut de Beacon Hill est bien le seul endroit qui propose des soins par des survivants à l'expertise avérée. N'est pas docteur qui veut, après tout, et ce ne sont pas des survivants lambdas qui se chargent d'offrir leurs services, mais bien des guérisseurs compétents, dont la réputation n'est plus à prouver. Tout comme l'auberge, c'est dans un wagon que la clinique s'est établie, qui a été nettoyé minutieusement, et presque vidé de fond en comble. La plupart des sièges et banquettes du train ont été déposés, et remplacés, comme toujours, par du matériel de récupération qui donne le change face à n'importe quel autre établissement prodiguant des soins dans le monde d'aujourd'hui. Aux vitres du métro, afin de se plonger dans une ambiance hospitalière concrète, ont été fixées des radios, qui n'appartiennent à personne de particulier : du moins personne de vivant à l'heure actuelle, supposément. La zone est principalement éclairée aux chandelles, disposées dans tous les recoins du wagon, et éteintes sitôt que la personne en charge des soins du jour quitte les lieux. Et malgré l'éclairage restreint, il ne sera pas difficile de remarquer ici et là des traces de sang teintant malgré tout le sol et parfois les parois du wagon, mais c'est ce qui montre qu'il y a bien des patients qui sont traités ici-bas. A la tête du métro, l'on trouve la cabine du conducteur, qui est rendu accessible seulement aux gérants de la clinique. Bloquée par des planches et grilles minutieusement enchaînées, c'est dans ce coin que sont entreposées les stocks de médicaments, bandages et outillages réservés spécifiquement à l'Institut. Ainsi, si les docteurs du coin ne sont pas toujours présents, puisque leur emploi du temps chargé les pousse souvent à offrir leurs services à d'autres endroits de l'Etat, au moins n'ont-ils pas à s'inquiéter de devoir se pointer avec leur propre matériel à chaque fois : tout est disponible sur place, pour peu qu'ils s'assurent que rien n'ait disparu en leur absence, bien sûr. |
L'enseigne rayonne et détonne de la plupart des autres lieux de la station. Son titre annonce la couleur, alors que c'est un commerce unique qui est proposé sous terre, à l'abri des affres que peut causer le monde extérieur. Ici, pour tous les clients qui osent franchir l'entrée du salon de la brune, il est question de se retrouver, ou de se renouveler. Le salon d'esthétique renoue avec un passé jamais totalement oublié, permettant à tous les voyageurs qui le désirent de se redécouvrir. Si l'on pensait la beauté secondaire dans un monde post-apocalyptique, la tenancière des lieux nous fait comprendre qu'elle reste toujours aussi importante pour bon nombre de survivants. En outre, la brune s'est battue bec et ongles pour ouvrir son propre stand au sein du Vault. Quoi que personne ne le confirmera jamais, il se murmure que la spécialiste en soins de beauté aurait assuré le licenciement définitif du précédent propriétaire de l'endroit, redécorant les locaux à sa guise, pour mieux convenir autant à ses besoins qu'à ceux de ses clients. Et il n'y a pas à dire : Diamond City vaut tout l'or du monde pour tous ceux qui passent par-là, c'est un véritable diamant. Attention, néanmoins, à ne pas agacer la propriétaire des lieux : l'esthéticienne serait bien capable de vous arranger le portrait si vous oseriez la mépriser, la doubler, ou l'arnaquer. Elle est la maîtresse du salon, et elle attend le respect qui va avec, ainsi que la considération qui lui est due pour ses talents inégalés. |
Aucun puit n'existe miraculeusement, cela étant, l'on a accès à l'eau directement depuis les descentes pluviales garnissant la station de métro, ainsi que depuis certaines zones fuyardes, dans des
Les toilettes de la station Beacon Hill sont par ailleurs réutilisées notamment pour les besoins du Railroad. Les
En ce qui concerne la
Il n'existe pas réellement de sécurité avérée. Aucun poste de garde n'est mis en place, il n'y a pas non plus de pièges instaurés pour lutter contre d'éventuelles attaques menées par les survivants de l'extérieur. C'est bête à dire, mais si l'on met en place un lieu qui soit fait par le peuple, et pour le peuple, alors il faut bien miser sur la confiance : et se dire que l'ordre établi sera suffisamment ferme, la zone suffisamment neutre pour décourager qui que ce soit de nuire à l'abri. En même temps, pour une fois que l'on propose un endroit sûr, où vos crimes ne risquent pas d'être jugés et punis ici-bas, autant en profiter, n'est-ce pas ?
Cela étant, c'est donc toujours sur un concept de
Par acquis de conscience, évidemment, outre leurs propres business qu'ils se chargent de surveiller et de garder avec avidité, les différents marchands du
Défenses
Confort
Les différents tenanciers ne sont pas forcés de s'apprécier , à vrai dire, certains ne s'entendent même pas. Pourtant, ils peuvent se haïr, ils sont tenus de respecter la règle d'or du
Si chaque commerçant dirige ses affaires à sa façon et accepte les paiements qui l'arrange, une
Allant de pair avec la mise en place encore discrète de ce système, le bouche à oreille est apprécié comme un moyen de paiement complémentaire, le fonctionnement du
Missions de récupération. L'on ne va pas se mentir, si les marchés de De fait, afin de pérenniser son offre de vente, les tenanciers proposent aux Postes à pourvoir. En outre, plus la clientèle s'agrandira, plus il y aura de la place pour accueillir de nouveaux commerçants. Pour l'heure, le lieu propose les postes suivants : • Médic secondaire pour The Institute. • Intermittent du spectacle pour agrémenter l'auberge d'un coin détente (chanteur/musicien - encore faudra t-il trouver un instrument à jouer). •• Candidature spontanée acceptée. Motivés pour proposer un type de service particulier ? N'hésitez pas à postuler directement en faisant part de vos envies et suggestions, le A ce jour, les services proposés sont donc les suivants : • Aubergerie, tenue par • Restauration pour l'auberge gérée par • Armurerie (ventes d'armes et équipements de protection), tenue par • Clinique médicale, tenue par •• Autres services ou amélioration des offres existantes à prévoir en fonction de l'accroissement du marché dans le temps. |
Brut de décoffrage, trop penchée dans la confrontation et souvent mêlée à des opérations douteuses en dehors du |
La cadette des marchands, qui n'est pas tant là pour encaisser les profits que pour trouver sa place dans un monde cruel, où tous ceux qu'elle a connu un jour l'ont salement abandonnée. Portant le patronyme de l'aubergiste, la relation qui la lie à Hoani est assez ambiguë : elles ne forment pas une vraie famille, mais il y a une entente tacite entre elles malgré tout. D'apparence douce et serviable, Mia est une précieuse gardienne des secrets du - ft. Sophie Thatcher. |
Desmond est un ancien soudeur industriel au tempérament d’ours mal-léché. Ça n’a pas changé au cours des 7 dernières années et plus souvent qu’autrement, il communique par grognement. Il est à - ft. Edwin Scheibner. |
Dina est une ancienne détenue de la prison de Gig Harbor. L’une des rares rescapées à dire vrai et la vie ne lui a jamais fait de cadeau. Elle a vécu en SDF toute sa vie et ne s’est réellement posée que lorsqu’elle a découvert - ft. Lera Abova. |
Tyler a toujours eu du style, pourquoi faire autrement depuis l'apocalypse ? C’est bien ce qu’il s’est dit. Il a toujours su tirer son épingle du jeu et aurait pu vendre un congélateur à un esquimo… s’il avait seulement déjà rencontré un esquimo. Depuis les 7 dernières années, Tyler - ancienne star montante du Rap - a su rouler sa bosse en trouvant et vendant des objets de luxe ; et depuis qu’il a découvert - ft. Brian Tyree Henry. |
Ancien ingénieur, Sturges a toujours su s’occuper les mains en bricolant. Impossible de ne pas bidouiller quelque chose du moment qu’il ouvre les yeux le matin, jusqu’à ce qu’il les ferme en se couchant le soir. Toujours inspiré et plein d’entrain, Sturges réfléchit constamment à comment améliorer son quotidien et celui des autres, encore plus depuis la chute du monde moderne. Il invente pleins de petits gadgets parfois farfelus, parfois vraiment pratiques. Il offre aussi ses services pour créer de nouvelles pièces pour divers objets ou machines, lorsque l’on n’arrive pas à trouver celles d'origine. Son échoppe est un vrai bordel, mais lui s’y retrouve ! Il adore vous casser les oreilles avec ses idées ou ses projets, mais plus que tout, apportez lui un défi et vous aurez sans doute quelques rabais. - ft. Philip Anthony-Rodriguez. |
Cette femme est une brute. Elle casse des dents, insulte votre mère, met un bandage sur vos plaies sans ménagement, mais pourtant on sait l'apprécier. Pepper ne passe pas par quatre chemins pour dire ce qu’elle pense, que ça plaise ou non. Elle n'est pas douce non plus dans les soins qu’elle offre aux survivants, mais personne ne va faire la fine bouche de nos jours, n’est-ce pas ? D'innombrables rumeurs se chuchotent quant à la perte de son œil gauche. Elle-même se plaît à changer de version régulièrement. c’est que ça lui fait une sacrée répute et elle aime ça, Pepper. On la trouve souvent une flasque d’alcool quelconque en main, ne tentez pas de la lui retirer et de lui reprocher de boire au boulot. Gare à vous ! - ft. Naomi Grossman. |
Timide et discrète, la petite Cricket - comme on l’appelle - est toujours à la recherche d’insectes. En chasse la majorité du temps, elle a tout de même un touuuut petit étal rempli à craquer de vivariums et de bocaux plein d’insectes en tout genre. C’est que c’est son petit business en fait. Des protéines faciles ! Elle n’a pas une présence très imposante la petite Deb, mais sa passion pour l’entomologie lui donne un peu plus de prestance, lorsqu’on veut bien écouter Cricket en parler. Elle vend ses “amis” pour la compagnie ou pour se nourrir. Criquets, sauterelles, araignées, chenilles, larves, vous trouverez de tout à son étal. - ft. Maya Delmont. |
L'armurier du |
La renommée de la doctoresse du coin n'est plus à refaire, elle la précède largement, autant pour la qualité de ses soins que pour sa capacité à s'imposer partout où elle passe. Prompte à la répartie, évidemment pas effrayée par la vue du sang qu'elle peut faire couler à tout moment, mieux vaut ne pas se frotter à la médic des lieux. Quand on vient dans sa clinique, on se tait et on obéit religieusement à la dame, afin de bénéficier de ses traitements. Faith sauve des vies à tout instant, après tout, et pour cela, il vaut mieux l'avoir avec soi que contre soi. Par ailleurs, la brune étant occupée par d'autres affaires pressantes, sa présence au |
Les talents culinaires du brun ne sont pas à prouver. A vrai dire, ancien boulanger de profession, c'est bien le seul qui soit capable de réellement cuisiner quelque chose qui ait de la saveur et fasse saliver les clients de l'auberge. Et s'il est moins en contact direct avec le public, il n'empêche qu'Evan n'est pas quelqu'un à qui il faut chercher des noises. D'un caractère protecteur et loyal, il n'aura aucun problème à se charger des clients récalcitrants de l'endroit, et personne n'est autorisé à critiquer sa manière de gérer les cuisines. Tout comme Faith toutefois, le brun vient de loin, sa présence est donc réduite à seulement une fois par semaine au |
La réputation de la brune n'est plus à prouver au |
You're gonna miss me so bad
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