Feel the magic !

Sam 31 Oct 2015 - 22:20


ZIGGY HARING
32 ans • Américaine • Propriétaire d'un magasin de magie • Travelers

i've got a war in my mind

Ziggy n’est pas quelqu’un de gênant. Il est passe partout. Mais à côté de ça, son esprit toujours en ébullition ne peut s’empêcher de faire de lui un être dynamique. En bref, il semble monté sur pile. Il semblait prédisposé à être un garçon original ; depuis l’enfance, Ziggy avait ce côté tête dans la lune qu’il a conservé encore aujourd’hui. Ses parents étaient surprit par l’acquisition rapides de compétences comme l’apprentissage de la parole, qui entraina bien vite un maniement des mots qui était étonnant de la part d’un enfant de son âge. Ziggy est un bon orateur, il sait joué de son charisme et arrive à faire passer les messages qu’il faut. C’est quelque chose d’assez contradictoire avec son aversion pour l’école. Bien qu’il soit un grand lecteur, l’école l’ennuyait. Il ne semblait pas destiné à faire de grandes études. On pourrait donc croire que son but était d’aller vers quelque chose de plus manuel, mais ce n’était pas vraiment le cas. Ziggy est quelqu’un de maladroit, même s’il croit le contraire. Ce qui amène à une certaine mauvaise foi dont il peut parfois faire preuve.

Cependant, Ziggy est quelqu’un d’assez sociable et ouvert pour être bien entouré, ce qui lui permet d’être bien entouré. Mais même si Ziggy apprécie d’être au centre de l’attention et aime être en contact avec d’autres personnes, c’est un jeune homme qui a besoin de canaliser son énergie dans des instants de calme, sans quoi il risquerait de se perdre derrière sa propre personnalité. Il n’est pas dérangé, juste original. Il a une bonne humeur qui cache parfois un humour noir et une certaine ironie dans ses propos et dans ses actes. Ziggy sait que le monde n’est pas acquit, que les gens qui viennent acheter dans son magasin ne sont que des âmes de plus qu’il croisera dans sa vie, dont il ne connaît pas l’issu. Détestant se projeter dans l’avenir, Ziggy n’a pas vu son monde s’écrouler à la venue de l’Apocalypse.

Sa seule déception fût bien entendu la perte de son magasin de magie, qui était pour lui son gagne pain, quelque chose pour lequel il avait travaillé dur. C'est aussi le petit côté égocentrique de Ziggy. Ce dernier est assez centré sur ses biens, ses propres intérêts et son confort, ce qui ne fait pas pour autant quelqu'un d'égoïste ! Il est tout à fait compréhensible qu'il ait réagit ainsi : Il était jeune propriétaire et rêvait déjà de devenir l’un de ses vieux marchands de face et attrapes qu’on pouvait voir dans les films des années 80, ce genre de personnes que les jeunes adorent. Mais tout s’est effondré avec la venue de cette terrible épidémie. Malgré l’incompréhension générale, c’est surtout la rapidité d’agir qui s’est emparée de Ziggy, qui s’est empressé de fuir les lieux, armé comme il pouvait, comme tout le monde. C’est ainsi qu’on peut confondre un esprit malade d’un esprit créatif, puisque le passionné de magie s’est empressé d’imaginer les plus farfelues des stratégies pour se protéger de ces goules infectes.



and blood on my hands

Ziggy est un garçon élancé et sec, aux cheveux fous châtains et aux yeux d’une couleur incertaine, penchant entre le vert et le marron/orangé. Le physique ? Il y tenait particulièrement, sachant que cela jouait d’autant plus pour les affaires. Il avait un certain goût pour des chemises et des costumes de choix, qu’il récupérait dans des lieux improbables, des boutiques fréquentées par les jeunes en quête de la matérialité d’une autre époque. En se préparant à entrer dans une nouvelle ère, celle de la survie forcée, Ziggy s’est armé en conséquence, c’est-à-dire comme il pouvait : Il a récupéré le fusil sous le comptoir de son commerce, ainsi qu’un couteau assez grossier qui lui servait à ouvrir les colis qu’il recevait au magasin. Quelque chose d’assez rudimentaire qu’il pouvait emporter dans un sac à dos rempli du stricte nécessaire, sans oublier un ou deux livres, de la poésie d’Edgar Allan Poe et le périple du français Charles Duchaussois, des livres qui donnent l’espoir d’un retour à la normale.

a storm is coming

Renton, à quelques miles de Seattle. De très jeunes parents angoissaient à l’idée de mettre au monde cet enfant. Un enfant qui n’était pas prévu. Le début des années 80 ne voulait pas forcément dire une grande ouverture d’esprit quant à la mise en cloque d’une jeune lycéenne d’à peine dix-huit ans. C’était d’un œil sévère que les parents de la jeune fille attendaient à la sortie de la salle d’accouchement. À l’intérieur, un jeune homme angoissé d’une vingtaine d’année, tenant la main de sa petite amie qui se retenait de hurler de douleur. Drôle de façon de venir au monde, n’est-ce pas ? À la sortie de leur enfant, les parents de Ziggy qui étaient encore eux-mêmes des enfants ne savaient pas comment réagir. Ils voulaient garder cet enfant. La jeune fille était heureuse d’être tombée enceinte de son petit ami, qui ne s’était pas enfuit lorsqu’il avait apprit la nouvelle. Cela faisait des mois que la jeune maman vivait chez les parents de son amant, enceinte jusqu’à l’os, angoissée à l’idée de faire face à la réaction de ses parents. Elle avait peur qu’ils exigent le placement de l’enfant auprès des services sociaux. Elle n’avait pas envie de l’abandonner même si très franchement, elle ne savait pas quoi en faire.

Lorsqu’ils rentrèrent de l’hôpital, la vie de ces jeunes parents était désormais tracée. Il fallait qu’ils se débrouillent pour élever cet enfant qui n’avait rien demandé à personne. C’est ce qu’ils firent. Les parents Haring n’avaient plus le droit de voir leur petit-fils, leur fille très rancunière, prête à leur montrer de quoi elle était capable. Au début, la cohabitation se passait très bien. Ziggy était élevé chez ses grands-parents paternels, qui acceptaient beaucoup mieux la situation et qui avaient aménagé leur maison pour y accueillir leur nouvelle famille. Mais comme cela arrive souvent, la roue tourne. Le père de Ziggy avait peut-être vu trop gros. Il voulait aller à la fac, et savait que ça n’était pas tout à fait trop tard pour lui. Seule sa petite amie lui bloquait le chemin vers la réussite. Lorsque Ziggy avait trois ans, il se retrouva à la rue avec sa mère qui dû trouver refuge dans un foyer pour jeunes mères. Elle avait beaucoup trop de fierté pour retourner chez ses parents. Elle accumula les petits boulots pour réussir après un an à obtenir un appartement, rudimentaire mais assez grand pour deux, dans la proche banlieue de Seattle.

Ziggy était un enfant curieux et agité, à faire tourner en bourrique sa mère qui l’adorait malgré tout et essayait de lui apprendre tout ce qu’elle pouvait. Lorsqu’il entra à l’école, il dû apprendre à être autonome, parce que sa mère travaillait beaucoup. Très rêveur, il se faisait souvent reprendre par ses professeurs qui le pensait trop agité pour rester concentrer suffisamment longtemps en classe. On lui supposa une hyperactivité, mais il n’en était rien. Cet enfant retrouvait tout son calme devant les livres. La bibliothèque lui permettait de toucher du doigt une culture que sans ça, sa mère n’aurait pas pu lui apporter. Serveuse dans un dinner à la sortie d’une autoroute, elle s’était très vite entichée d’un homme beaucoup plus âgé, professeur des écoles dans la ville voisine.

Cet homme n’a jamais considéré Ziggy comme son fils. Il était le fils de la fille qu’il aimait. Cependant, il savait que sa mère l’élevait seule et avait du mal à joindre les deux bouts. Aussi s’était-il prit d’affection pour cette pauvre famille morcelée. Le vrai père ? Peu importe. De toutes façons, la mère de Ziggy n’avait plus de nouvelles de lui depuis qu’il était entré à la fac. Ca n’était pas grave, Ziggy se rappelait de cet homme qui lui avait apprit à faire du vélo, mais n’avait jamais demandé à sa mère pourquoi est-ce qu’ils avaient dû partir de là bas, pourquoi est-ce qu’il ne le voyait plus. En grandissant, Ziggy s’est avéré être un jeune adolescent plutôt inventif, surtout quand il s’agissait de sortir des sentiers de l’école pour aller trainer avec ses amis, ou rester chez lui à lire, pour essayer d’impressionner les filles. L’école ? Il n’aimait pas beaucoup ça. Ziggy avait l’esprit beaucoup trop éparpillé pour se concentrer sur les études. Le lycée était comparable à une prison lorsqu’il y mit les pieds. Il pratiquait déjà la magie et arrivait à gagner de l’argent de poche en faisant des anniversaires d’enfant où il présentait ses tours. Il n’aurait jamais pensé qu’une passion anodine comme celle-ci l’amènerait un jour à ouvrir un commerce dans un petit quartier au Sud de Seattle.

Quand il arrêta ses études, Ziggy continua de proposer ses services de magicien pour les anniversaires et autres demande personnalisées, avant qu’on lui demande bénévolement cette fois-ci, de venir faire de la magie au Seattle’s Children Hospital. Il avait à peine dix-huit ans, et c’est là qu’il a rencontré la première personne a lui avoir ouvert les yeux sur le monde qui l’entourait. L’Hôpital des Enfants accueillait des jeunes de l’enfance à la majorité, voir même un peu plus. Cette fille était récidiviste d’un cancer rare qui lui avait déjà coûté ses yeux. Il s’était senti un peu bête lorsqu’elle avait assisté au spectacle qu’il avait donné pour les enfants du centre ce jour là. Ziggy lui avait alors demandé ses mains pour qu’elle comprenne le déroulé de son tour de magie. Il se lia d’amitié, voir même un peu plus avec cette jeune fille qu’il considérait comme la plus jolie fille qu’il n’avait jamais vu. Pourtant, elle ressortait tout juste d’un traitement contre ses tumeurs qui lui seraient un jour fatales, et ne ressemblait pas à une fille en parfaite santé. Mais peu importait à Ziggy qui se rendait compte, pour la première fois de sa vie que son apparence n’avait que peu d’importance pour cette personne et donc pourquoi pas, pour le monde.

Cette expérience s’est conclue par un deuil à l’âge avancé de vingt ans, et une toute autre vision de la vie. En économisant et en travaillant d’arrache-pied, enchaînant les petits boulots comme sa mère l’avait fait avant lui, c’est à l’âge de vingt-neuf ans que Ziggy réussit à obtenir un prêt pour le rachat de l’ancienne boutique de farce et attrape. Sobrement baptisée « Magic does exist », la boutique de Ziggy ne payait pas de mine, mais elle offrait un revenu régulier grâce aux commandes sur Internet et un gage de qualité. Une vie qui n’était pas comparable à ce style qu’il essayait de se donner, mais elle lui permettait de vivre correctement. Installé seul, il s’était rapidement fait des amis, sortait beaucoup et profitait d’une vie assez légère : Elle offrait à Ziggy la possibilité d’être cet électron libre qu’il avait été destiné à être. Seulement, l’Apocalypse planait au dessus de leur tête. Est-ce que c’était à cause de cette dégradation de la planète qui avait causé cela ou la surconsommation de masse qui avait développé cet espèce de virus étrange ? Personne ne peut avoir de réponse là-dessus, pas même Ziggy et ses idées perpétuelles et loufoques.

on the highway to hell

Ziggy tenait son magasin, comme à son habitude. Les clients étaient peu nombreux mais les commandes sur le net affluaient. Ainsi, il passait le plus clair de son temps dans l’arrière boutique sur l’ordinateur ou à naviguer entre les cartons de la remise pour préparer les commandes qui affluaient du monde entier. Vive le e-commerce. Ziggy avait mit la radio sur le vieux post qu’il avait encore de son adolescence, et avait poussé le bouton du volume vers le haut pour entendre les infos. Les journalistes parlaient d’un étrange virus, quelque chose d’assez violent et soudain, du moins assez pour faire paniquer les auditeurs. Les appels fusaient dans les studios de la radio locale, des gens posaient toutes sortes de questions où faisaient l’apologie d’une Apocalypse qui arriverait d’ici quelques temps. Ziggy ne voulait pas croire à tout cela. Il pratiquait lui-même la magie et se reposait sur la science, quelque chose de bien palpable, de concret. Néanmoins, ce virus était bien réel, et il ne pouvait pas le nier. Ziggy se rendit bien vite compte que quelque chose clochait. Lui qui d’ordinaire recevait quelques clients d’une façon assez aléatoire dans la journée, même de simples passants curieux à la vue de la devanture de la boutique, il se rendit compte qu’il n’y avait pas foule.

Bientôt, il s’aperçut du vacarme au dehors, et ferma rapidement sa boutique pour se réfugier, comme tout le monde, au calme chez lui. Dans l’appartement qui se tenait au dessus de son magasin, Ziggy se sentait en sécurité pour le moment, mais il savait que la situation n’était pas saine, ça ne pouvait pas être quelque chose d’anodin. Les gens commençaient à monter en pression, mais étonnement, Ziggy n’avait pas peur que sa boutique ne se fasse braquer, comme c’était le cas d’autres commerces dans le quartier, et pour cause : À l’intérieur, il n’y avait que des costumes, des articles de magie et des accessoires divers. Rien de bien utile à un instinct de survie grandissant dans la ville. Le jeune magicien s’interrogeait : Que fallait-il faire dans ce cas-ci ? Personne n’était programmé pour savoir comment agir en cas de mise à feu et à sang de sa ville. Est-ce qu’il fallait partir ? Les autorités n’aidaient pas vraiment à se décider au premier abord. Ce n’est qu’à l’instauration des troupes au sol que la vérité avait éclaté aux yeux de tous : La ville, et peut-être même le reste du monde était touché par un mal inconnu qui glaçait le sang de toute personne saine d’esprit. Ziggy tua un homme. Il jura qu’il ne l’avait pas fait exprès, il l’avait juré à voix haute en s’adressant à on-ne-sait-qui, probablement à cette fille qu’il avait aimé bien des années auparavant. Elle n’était plus là pour assister à cela. Ziggy rassemblait ses affaires.

Acte surréaliste, il était en train de remplir ses poches des billets qu’il y avait dans la caisse de son magasin. C’est là qu’il s’aperçut que la porte était ouverte. Quelqu’un était entré, une de ces personnes atteintes par cet étrange virus. Il s’était jeté sur lui et avait essayé de le mordre, mais Ziggy avait lancé une insulte dans la panique et avait asséné un gros coup de fusil dans la tête de cet espèce de loque humaine. Il fallut plusieurs coups pour qu’il reste inanimé sur le sol. Ziggy s’était recroquevillé contre le comptoir de sa boutique, son fusil couvert de sang tout contre lui. Les cartouches étaient rangées dans une boîte sous le dit comptoir, ce qu’il trouve stupide une fois remit de ses émotions. Ce fusil, il l’avait trouvé dans le comptoir, lorsqu’il avait racheté le magasin. Apparemment, l’ancien propriétaire craignait de se faire braquer ou de vivre une situation très similaire. Alors, Ziggy a vomit par-dessus la crédence. Il venait de tuer un homme parce qu’il n’avait pas eu le choix, parce que cette personne s’était comportée comme une bête et avait tenté de lui arracher un morceau de chair ; c’est là qu’il se rendit compte : Ces personnes allaient vouloir le dévorer s’il ne se défendait pas.

Ziggy le savait désormais, il ne pouvait pas rester ici. Les autorités avaient parlé de refuges dans la ville, mais notre magicien était resté terré trop longtemps dans son appartement pour tenter de les rejoindre.  De toutes façons, il ne voulait pas les rejoindre. Il ne savait pas dans quelle aventure il risquait de s’engouffrer s’il risquait de suivre l’armée. Ziggy n’était pas vraiment contre les militaires, mais il n’appréciait pas de se faire dicter sa conduite par ces hommes armés et persuadés de pouvoir faire face à ces créatures : Personne n’était capable de gérer ce qui était en train d’arriver, il y croyait dur comme fer. C’était pour cela qu’au petit matin, il avait terminé de préparé ses affaires et avait franchit la porte de sa boutique pour ne plus jamais y mettre les pieds. Il ne savait pas encore où il allait ni ce qu’il allait faire, mais Ziggy voulait simplement survivre. Il s’était fait une raison : S’il devait de nouveau tuer l’une de ces créatures, il le ferait.

time to meet the devil

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• comment as-tu découvert le forum ? › C'est une longue histoire :3
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fiche (c) elephant song.
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Re: Feel the magic !

Sam 31 Oct 2015 - 22:37

Owi owi ! <3
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Re: Feel the magic !

Sam 31 Oct 2015 - 22:46

Feel the magic !  2754525228
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Re: Feel the magic !

Sam 31 Oct 2015 - 22:55

J'adore ton avatar xD
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Re: Feel the magic !

Sam 31 Oct 2015 - 23:04

Héhé merci Very Happy :smile35:
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Re: Feel the magic !

Sam 31 Oct 2015 - 23:11

Palme d'or pour les meilleurs images et avatars, voilà :smile6: Feel the magic !  4160752524
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Re: Feel the magic !

Dim 1 Nov 2015 - 12:27

Merciiiii ! C'est le nouveau "Abel" beaucoup plus rigolo :3 :smile6:
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Re: Feel the magic !

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