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Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 11:40


Bernadette S. Rogers
35 ANS • AMÉRICAINE • AVOCATE • EMERALD FREEDOM

i've got a war in my mind

Je suis une battante. Je n'ai pas été forgée par la pauvreté ou quelque drame que ce soit mais j'en suis une.
Je suis née avec une cuillère en argent dans la bouche et je suis prête à tout pour la conserver. Le monde a changé mais pas moi. Je suis toujours arriviste et sans limites. Je suis le genre de personne qu'on ne détourne jamais de ses objectifs, cette femme entêtée qui sacrifiera tout et tout le monde pour ce qu'elle désire, que ce soit vital ou futil. 
Je n'ai pas de pitié, je ne suis pas généreuse. Je considère que tout se mérite : les biens, la confiance, l'empathie...

Mais je ne suis pas dupe. Je sais que je ne suis pas le genre de personnage auquel on s'attache, celui qu'on a envie d'approcher, d'aider. Et pourtant j'ai besoin d'aide, encore plus par les temps qui courent. J'ai besoin qu'on me protège, j'ai besoin de compagnie pour me distraire, j'ai besoin qu'on m'admire, qu'on m'adule. J'aime plaire.

Alors je me déguise. Je la joue innocente tu vois, volontaire et pleine de bons sentiments. Ça marche à chaque fois, à croire que j'aurais pu être actrice, j'ai le physique et le talent.
Et puis tu sais ce qu'il y a de bon à porter en masque en permanence ? C'est qu'on repère facilement ceux qui s'en sortent moins bien que nous dans le domaine. Les hypocrites, je les grille facilement pour la plupart. J'ai comme un don pour cerner les gens.
Tiens, je parie que je sais à quoi tu pense maintenant ; t'imagins que je vais te dire qu'au fond j'ai beau me la jouer grande cynique inébranlable, j'ai quand même des sentiments et qu'il m'arrive de m'attacher à certains, qu'alors dans ces moments là je suis loyale, protectrice, douce... 
T'as peut-être raison. Et peut-être pas, on le saura quand j'en aurais fait l'expérience. 
Pour le moment je n'aime personne, personne à part moi.


and blood on my hands

Je suis une jolie brune d'1m70, un peu typée par la présence de quelques hawaïens dans mon arbre généalogique. J'ai toujours été du genre à prendre soin de moi alors j'ai une silhouette fine, élancée. Je suis très loin d'être une montagne de muscle, je suis plutôt une petite bourgeoise entretenue au fitness. Je porte mes cheveux longs, laissés libres la plupart du temps. Pas de tatouages, pas de piercing non plus, je ne suis pas fan de ces trucs. J'ai en revanche la peau marbrée par une longue cicatrice sur le flanc gauche, dommage pour les shooting en maillot de bain.
Durant ma fuite vers Seattle, je transportais quelques provisions dans un sac en toile et un p99 qu'on m'a confisqué à mon arrivée. Je ne suis pas tireur d'élite mais je me défendais quand même avec celui-ci alors j'aimerais bien qu'on me le rende !

a storm is coming

« Comment je m'appelle ? Ça t'intéresse, ça ? Oh d'accord...
...Bernie.
Bien sur que non j'me fous pas de ta gueule !  Version longue c'est Bernadette, et avec les bonus ça donne Bernadette Sovereign Rogers. Mais tu peux m'appeler Bernie. En fait...
»
Je sors de ma poche le zippo que j'ai piqué a cet autre type tout à l'heure. Qu'est-ce que c'était son nom déjà ? Ça me revient pas. Alors je hausse les épaules, après tout j'm'en fous. J'ouvre le paquet de clopes que j'ai posé à côté de moi en arrivant et j'installe le contenu entre mes lèvres, à sa juste place. À l'instant où la flamme vient lécher l'extrémité du papier, je me souviens que je suis pas toute seule. J'hésite; parce que mine de rien, c'est mon dernier paquet.
Enfin bon, je fais mon choix et même si l'envie m'en manque cruellement, je le lui tend. S'il me trouve agréable ça ne pourra que jouer en ma faveur pour la suite. Faut que je plaise si je veux me faire une bonne place dans ce coin. Je pourrais bien passer sous le bureau du boss pour obtenir mes privilèges mais je ne sais pas encore si c'est le genre de la maison alors je vais la jouer fine, sympathiser avec le petit peuple en attendant de trouver comment me rendre indispensable.
Il accepte ma clope et je me force à ne pas lui en vouloir. Après tout, j'ai proposé. Il pose sur moi un regard interrogateur et je comprends qu'il attend la suite. C'est vrai que je fais durer le suspens depuis un petit moment déja. La chute de ma phrase se fait attendre. Mais j'aime ça, me faire désirer. Je laisse la fumée s'échapper lentement d'entre mes lèvres et finalement, je reprends :
« Je préfère vraiment. Tu dois m'appeler Bernie si tu veux pas qu'on parte sur de mauvaises bases. » 
Il me regarde comme un OVNI maintenant et je devine sans peine qu'il se pose un tas de questions a mon sujet. Est-ce que je suis sérieuse ? Est-ce que je vais vraiment me mettre en boule pour un simple prénom ? De quoi est-ce que je serais capable ? 
De tout. Mais seulement si la contrepartie en vaut la peine. Ce soir, je suis simplement d'humeur a plaisanter et je lui ris au nez.
« Je t'ai eu ! T'aurais vu ta tête » 
Il semble se détendre et m'imite finalement. J'aime bien amuser les gens de temps à autre, les hommes surtout.

Finalement, je me réinstalle confortablement. 
« Bon, c'est l'heure d'entendre mes formidables aventures n'est-ce pas ? » 
Il acquiesce, et je note, amusée, qu'il s'est permis de m'appeler poulette, puis je commence.
« Je suis née à Bellevue un 24 Octobre, j'y ai grandi et passé toute ma vie. 
... Hey ! On ne demande pas l'âge d'une dame tu devrais le savoir !
» Je lui cogne gentiment dans l'épaule. 
« Bon alors, tu me laisse continuer ? Bien. Donc je disais que je suis née à Bellevue et que ma famille était pour le moins... Aisée. On a jamais manqué de rien, bien au contraire j'ai été pourrie gâtée ! » 
Il me demande si du coup je suis devenue une petite peste et je pouffe. On le connait bien dans les films pour ados, le prototype de la blondasse qui se la pète, la cheerleader qui sort une fois avec le quarter back, une fois avec un des basketteurs, et une autre fois avec un de ces spécimen du club d'échec parce qu'elle a perdu à un jeu d'alcool à la dernière pool party; celle qui fait rentrer chez elles en pleurant les petites nouvelles trop introverties pour s'imposer. Ce portait c'était le mien, à ceci près que je suis brune.
« - Absolument pas ! J'étais adorable ! Une petite fille bosseuse, polie, gracieuse..
-C'est ça ! » Il rétorque, amusé. 

Gracieuse et polie... Il arrivait que ça me vienne naturellement, ça dépendait de l'entourage. Bosseuse en revanche... C'est seulement lorsque mes parents ont menacé de me couper les vivres si je ne me décidais pas à faire quelque chose de ma vie que j'ai daigné me mettre au boulot. Et j'ai choisi de faire dans l'originalité.
« Dès que j'en ai eu fini avec l'Université, j'ai décidé que je voulais devenir avocate, comme mon père, et mon grand-père. Ça me paraissait évident que mon «destin» était de leur emboiter le pas alors j'ai decroché mon Juris Doctor  et je me suis lancée. Ça a pas été difficile de me trouver un cabinet avec mon nom, mais j'ai toujours fait en sorte de mériter ma place. » 
Je ne mentais pas cette fois-ci. Quitte à lever son cul pour un boulot, autant bien le faire, et puis, avec le temps, j'ai appris à l'aimer ce taf. Je m'y suis épanouie, j'ai trouvé une voie. Ça avait quelque chose d'exaltant toutes ces recherches, ces face à face, le... Suspens. Parce que oui, ce qui me plaisait là dedans, c'était les sensations... est-ce qu'on pourrait dire l'adrénaline ?
Honnêtement, la défense de la veuve et l'orphelin n'a jamais été ma préoccupation première, je n'ai d'ailleurs pas rechigné une seule fois quand mon client s'avérait être le pire des diables, tant que j'étais payée hein... Et puis ça ajoutait un peu de piment à mes affaires, du challenge. 
Mais ça, je m'abstiens de le lui raconter. À la place, je lui joue le cinéma habituel de la passionnée, je raconte comment j'adorais venir au secours des nécessiteux bla bla bla... 
Il a l'air d'y croire. Mais plus important, il est captivé, je le sens suspendu à mes lèvres et ça me ravit. Mon numéro de charme fonctionne à merveille. Je songe même à m'arrêter là. Il me suffit de voir cette lueur s'agiter au fond de ses yeux brillants et la façon dont il s'est penché vers moi pour comprendre que je l'ai déjà à moitié dans la poche.
Pourtant, contre tout attente, il me demande si c'est bien là la vie que j'ai vécue jusqu'ici, ça sonne « trop banal pour une femme comme moi » qu'il me dit. Je dois avouer que ça me surprend. On ne se connait que depuis une heure à tout casser, et il paraît déjà m'avoir cerné un peu mieux que je l'imaginais. Pas si bête le jeune !
Je lève les mains comme si je rendais les armes avant d'avouer :
« Ahah ! Ok, tu m'as eue, j'ai bien eu droit à quelques péripéties supplémentaire ! À vrai dire, le revers de la médaille quand on fait ce boulot, c'est qu'on est pas mal à devoir bosser presque 24h/24 et... Il se trouve que plusieurs cabinets, dont le mien, avaient cette tradition de se retrouver une à deux fois par moi pour décompresser. Et on faisait pas vraiment ça dans la mesure, tu vois. » 
Un bel euphémisme que j'utilise ici. Qu'il s'agisse de réceptions en petit comités ou de soirées privées dans un club, inéluctablement, notre lieu de fête se transformait en temple de la luxure. Alcool, sexe, drogues... Tous nos péchés « mignons » nous étaient accordés à ce moment là. Alors que j'exhale une fois de plus vers le ciel, je me surprends à sourire tandis que je me remémore cette époque si particulière. Certes pas un train de vie qu'on peut conserver très longtemps, mais on en ressort avec des souvenirs... uniques. Mon seul regret est d'avoir du arrêter les folies plus tôt que prévu. 

« Puis il y a eu ce matin, on avait fêté mes 30 ans la veille et vers 5h, j'étais au volant. Complètement déraisonnable vu mon état mais je ne sais plus pourquoi, il fallait que je rentre. Et y'avait cet homme, j'ai aucune idée de ce qu'il faisait a cet endroit là... À cette heure là... Mais il s'est retrouvé sur mon pare-brise. Il n'a pas survécu. Tout est allé vite ensuite je... Me suis retrouvée à l'hopital et on a du m'extraire du verre de l'épaule. Son scooter avait littéralement explosé ma vitre. Comme je connaissais du monde, on a pu «égarer» ma prise de sang mais l'homicide, même involontaire ça... S'efface pas. Alors j'ai pris trois ans. J'étais pas si mal lotie, en tant qu'avocate j'étais isolée. Étrangement, ça plaît pas trop les nanas comme moi en prison. Je ris, jaune. Mais tu sais ce qu'on dit.... «Il suffit d'une fois ». J'ai eu l'immense joie de retomber sur cette fille que j'avais fait envoyer là bas et...
Je soulève lentement mon pull pour dévoiler la longue boursouflure blanche qui zèbre mon flanc.
... Elle m'a laissé un cadeau. Après ça, ça a été encore plus de restrictions, histoire que je ne meure pas derrière les barreaux. »

Je parle, je parle, je lui raconte comment je me suis petit à petit liée d'amitié avec l'une des gardienne, sans pour autant qu'on ait vraiment discuté un jour. Ça s'est fait tout seul, à force de voir nos trognes respectives tous les jours. J'ai fini par sortir de ce trou à rats et une fois dehors, je n'ai plus eu qu'une seule envie, dévorer un bon hamburger, rentrer chez moi et dilapider l'argent que j'avais amassé. « Et c'est ce que j'ai fait, pendant un bon moment. Je me suis pris un congé excessivement long tu vois. J'avais besoin de me détendre après mes péripéties. Trois ans dans un 9m², c'est long. Ça donne pas vraiment envie de retourner s'enfermer dans un bureau.
Du coup j'ai pris du temps pour moi, j'me suis mise à toucher un peu à tout : la peinture, la salsa, je trainais des amies en randonnées et tu devineras jamais ! J'ai même essayé le skate une fois ! Mais une seule ! 
» Et je ris encore une fois. Ça aussi ça a été une période agréable. Plus de boulot, rien que du fun et des apéros dans ma petite maison à Bellevue.
Mais il faut toujours un bon rebondissement dans une histoire. Et celui qui est survenu n'était pas des moindres. Mais je jette un œil à la mondre que je porte au poignet, elle est particulièrement coquette, toute dorée.
Il est tard. Je me lève.
« Bon, j'ai comme l'impression qu'on approche du couvre feu jeune homme. Ce sera tout pour ce soir, hein. J'sais pas pour toi mais j'ai pas très envie de me faire remarquer dès le premier jour alors... Salut ! »

Et puis je le laisse en plan, partant d'un pas traînant, pas réellement enchantée à l'idée d'aller m'entasser avec quelques centaines de gueux dans un gymnase.

on the highway to hell

Le lendemain, je retrouve ma toute nouvelle connaissance. J'ai bien essayé de l'éviter quand je l'ai vu arriver dans le couloir, pas envie de parler, j'suis pas du matin. Mais il m'avait déjà repérée le bougre, alors je lui ai affiché mon sourire de gentille Bernie et après quelques banalités, il a tenu a savoir comment j'avais atterri ici.

« Hm.. Je me racle la gorge, j'ai la bouche encore pâteuse et besoin d'un bon café. Je suis restée bien au chaud chez moi. J'avais réussi à reprendre contact avec la fameuse gardienne de la prison, Maria. Et on a assisté à la catastrophe à travers la télé, comme tout le monde. Je pensais vraiment que ça se tasserait vite, mais pas elle. Du moment où cet endroit à ouvert, elle n'a plus arrêté de m'en parler, elle comptait venir ici dès qu'elle aurait réussi à retrouver un de ses amis. James ? Jake... Oh peu importe. Les autorités de notre côté du pont n'étaient pas aussi bien organisée qu'ici et elle avait peur.
Moi, j'étais pas vraiment partie pour bouger de mon canapé, je l'avoue. Je me voyais pas  en danger, je vivais dans un coin tranquille, j'avais un flingue en cas de pépins. Honnêtement je me croyais à l'abri.
Et puis... Et puis ma voisine, Madison Kayne, a déboulé chez moi un jour. Elle venait de quitter sa maison par la porte de derrière. D'après elle, des cambrioleurs avaient réussi à pénétrer chez elle et elle avait réussi à fuir sans être vue. Je lui ai ouvert et elle a passé la nuit chez moi. J'ai pas pu dormir. Ça m'a perturbé ces histoires de pillards alors... Le lendemain on a fait nos sacs et on a décidé de venir ici. Je me disais que je retrouverais peut-être Maria.
»

Je marque une pause et je soupire longuement. Je prépare le terrain pour la suite, qui se doit d'être dramatique au possible. Je commence avec nos premières heures de voiture, rien de très excitant jusqu'à ce qu'on se retrouve sur le pont. Il était bondé, impossible d'avancer, ni de revenir en arrière, on s'est retrouvées piégées au milieu de tous les autres et le trafic était totalement figé. On a fini par se décider à quitter la voiture pour continuer à pieds.
« On a marché toute la soirée et finalement, on s'est retrouvées de l'autre côté du pont, tout près d'ici. Dans ma tête, on avait déjà réussi, arriver à Seattle c'était comme être déjà dans le camp mais... Prépare-toi Bernie, c'est bientôt l'heure des larmes de crocodiles. Je souffle un bon coup et je reprends d'une voix chevrotante : Mais on... j'ai... j'ai voulu faire une pause alors on s'est arrêtée dans une petite épicerie, elle avait déjà été dévalisée... C'était pas grave on voulait juste... faire une pause. Et pendant que j'étais dans l'arrière salle, en train de fouiller un peu j'ai entendu Mady crier. Alors je suis sortie, et j'ai tiré sur celui qui l'attaquait mais il... il continuait. Je... »
Je continue à feindre le choc et à mentir. La vérité c'est que je suis restée sagement dans mon coin, occupée à me faire oublier. Ce n'est que lorsque que l'homme... du moins ce qu'il en restait en a eu fini avec elle et qu'il s'est aventuré dans la remise que j'ai commencé à vider mon chargeur. Il n'a pas sourcillé pourtant, pas avant que ma dernière balle ne se loge dans son crâne. La mort de ma partenaire ne m'a pas vraiment affectée. Mais je n'ai pas pu rester de marbre devant les cadavres. C'étaient les tout premiers que j'ai jamais vu de près. Et j'en avais encore l'estomac retourné quand j'ai repris la route le lendemain.

J'ai encore bien joué la comédie. Mon interlocuteur à l'air tout bouleversé par ce que je viens de raconter. Comment j'ai essayé sans succès de sauver Mady et avec quelle ferveur je l'ai veillée toute la nuit.
Je jette encore un œil à ma montre et je m'excuse auprès du jeune. C'est mon tour de déjeuner et je ne risque pas de le louper, toute cette parlotte m'a ouvert l'appétit.
Alors que je me dirige vers le réfectoire, mon regard se pose de nouveau sur le cadran, plus précisément sur deux petites lettres gravées dans son contour : M.K.
T'es vraiment incorrigible Bernie.

time to meet the devil

• pseudo › Le kiwi, la panthère et d'autres trucs
• âge › 19

• comment as-tu découvert le forum ? › hmmm... Google il me semble.
• Ton ancien personnage ?  › La gentille Jackpot qui me manque :'(
• et tu le trouves comment ? › Beeuuurk
• présence › Comme d'habitude ♪

• code du règlement › Fear cuts deeper than swords
• crédit › de la bannière et du gif, écrire ici
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 11:42

Oh! Sexksy Bernie 1342238320
Bon bah bon retour à la maison!
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Re: Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 12:02

Owi ! Very Happy
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Re: Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 19:05

Y a pas vraiment de surprises hin ! C'était tout très très bien ! :MisterGreen:



bienvenue à Emerald Freedom

 
Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à survivre au sein de Garfield High School !

  Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.


 


  Pour en apprendre un peu plus sur ton groupe, tu peux :

  • Découvrir la description de Emerald Freedom

  Afin que ton intégration se passe bien :

  • Poste ta fiche de lien pour trouver des copains  ♥️
  • Mais aussi tes annexes
  • Et pour te lancer dans l'aventure viens faire une demande de RP !


  N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons content de t'y accueillir !

  Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD ♥️
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Re: Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 19:13

Ouais elle est top cette fiche ! Et le perso aussi !! Hâte de te voir la jouer !
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Re: Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 19:14

Merci les coupains ! Bernie 1442386177

LE ROUGE VAINCRA ! :smile35:
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Re: Bernie

Dim 1 Nov 2015 - 19:29

Rouh que j'aime cet avatar !

Bienvenue chez toi Bernie 1442386177
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Re: Bernie

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