Mr Crowley, Did You Talk To The Dead?
Mer 25 Nov 2015 - 17:42
36 ANS ☩ Américaine ☩ Urgentiste ☩ Fiancé avec Thalia
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Re: Mr Crowley, Did You Talk To The Dead?
Lun 1 Fév 2016 - 1:06
61 ans ☩ Patron d'un bar ☩ Jim Bever ☩ #ffcc00
Il a un caractère très entier, il est bien trop tard pour lui faire mettre de l’eau dans son vin, il ne changera plus. Il s’est adapté à l’apocalypse, tout en restant fidèle à lui-même. Il s’est toujours donné à 100% dans tout ce qu’il entreprenait. Alors, il en a fait de même pour ma survie contre les rôdeurs. Lorsqu'on se fixe un objectif il faut l'atteindre c'est toujours une règle qu’il a respectée en affaire. Il ne supporte pas les personnes qui n'arrivent pas à accomplir ce qu’il leur demande, mais il ne supporte pas non plus lorsqu’ il échoue. Ce qu’il reproche aux autres, il se le reproche aussi et souvent dix fois plus. Je trouve ça normal. Je faisais tout pour y arriver, mais sans mentir, juste en jouant cartes sur table. Les faux-semblants ce n’est pas son truc, mais il les comprend très bien. Comme le dit l'expression, ce n'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace. Il fait toujours attention à tout ce qu'il y a autour de lui, il faut savoir regarder, observer et déduire. C'est très important si on veut arriver à survivre, il l'a remarqué grâce à son expérience. Il reste fidèle à ses principes de vie, mais aussi à tous ses proches. Ils sont nombreux, il ferait tout pour venir en aide aux quelques amis qu'il a, il a déjà mouillé le maillot pour eux et il trouve ça totalement normal.
Bon, il a aussi un grand nombre chacun à ces mauvais côtés et il a tendance à penser qu’il en a beaucoup. Déjà, il aime se renfermer sur lui-même de bien des façons. Il n’est pas du genre à s’ouvrir aux autres pour parler de ses états d’âme et il n’aime pas non plus la proximité des autres, il préfère s’enfermer dans sa bulle. Il est toujours en train de se poser plein de questions et a imaginé tous les scénarios possibles et imaginables lorsqu’il a un truc à faire. Il part toujours du principe que c'est le pire qui va arriver. Il irait presque jusqu'à dire que c'est une forme de paranoïa et qu’il a développé parce qu’il sait qu’il n'a pas la force de lutter contre le monde. Il a aussi une grosse addiction à l’alcool qui est devenu un fardeau, il l'a développé pour clamer un peu sa nervosité, mais finalement cela en a créé lorsqu' il n’a pas sa dose, c'est une foutue chaine sans fin. Après, il a une façon de penser et dire les choses qui ne plaisent. Il dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, mais jamais avec les bons mots. La ponctuation ? Ne connait pas un bon "balls" bien placé la remplacera. Il a appris les gros mots aussi vite qu'à dire Papa et Maman. Comme si cela ne suffisait pas, il tient tête à ses interlocuteurs, il pense avoir raison et il est prêt à tout pour avoir le dernier mot.
Bon, il a aussi un grand nombre chacun à ces mauvais côtés et il a tendance à penser qu’il en a beaucoup. Déjà, il aime se renfermer sur lui-même de bien des façons. Il n’est pas du genre à s’ouvrir aux autres pour parler de ses états d’âme et il n’aime pas non plus la proximité des autres, il préfère s’enfermer dans sa bulle. Il est toujours en train de se poser plein de questions et a imaginé tous les scénarios possibles et imaginables lorsqu’il a un truc à faire. Il part toujours du principe que c'est le pire qui va arriver. Il irait presque jusqu'à dire que c'est une forme de paranoïa et qu’il a développé parce qu’il sait qu’il n'a pas la force de lutter contre le monde. Il a aussi une grosse addiction à l’alcool qui est devenu un fardeau, il l'a développé pour clamer un peu sa nervosité, mais finalement cela en a créé lorsqu' il n’a pas sa dose, c'est une foutue chaine sans fin. Après, il a une façon de penser et dire les choses qui ne plaisent. Il dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, mais jamais avec les bons mots. La ponctuation ? Ne connait pas un bon "balls" bien placé la remplacera. Il a appris les gros mots aussi vite qu'à dire Papa et Maman. Comme si cela ne suffisait pas, il tient tête à ses interlocuteurs, il pense avoir raison et il est prêt à tout pour avoir le dernier mot.
Nans est né dans une famille assez pauvre au milieu des années cinquante, le 24 décembre 1955 pour être plus précis, il est le second enfant et le premier fils d’une grande famille de cinq enfants. Son enfance était des plus heureuse malgré le manque d’argent, il a commencé à travailler très jeune dans le garage automobile où était déjà son père, pour augmenter les revenues de la maison et permettre à tout le monde de vivre un peu mieux. Sa mère n’a jamais trouvé le temps de travailler puisqu’elle devait s’occuper de la maison et que de toute façon à cette époque-là, une femme qui travaille était bien trop mal perçue.
C’est à l’âge de seize ans qu’il rencontra pour la première fois celle qui deviendrait la femme de sa vie. Il s’agissait de la fille du directeur de l’école qu’il fréquentait. Il avait l’impression de ne pas la mériter, elle était issue d’une bonne famille et avait beaucoup d’argent. Nans enviait clairement son train de vie, mais il n’aurait jamais avoué ce genre de chose. Il se demandera toujours comment il a pu la charmer avec le peu de temps dont il avait à disposition. Lorsqu’il n’était pas à l’école ou dans son petit boulot de serveur, il aidait son père qui réparait des voitures en dehors de son travail pour arrondir les fins de mois. Autant dire qu’il n’avait absolument pas le temps de vivre son adolescence.
À peine majeur, il quitta le cocon familial pour la grande ville. Dans ses bagages on y trouvait le strict nécessaire et Judy qui avaient décidé de le suivre jusqu’au bout du monde. Ils s’arrêteront à Bellevue ce qui était déjà à plusieurs dizaines de kilomètres de chez eux. Leur idylle ne faisait que commencer. Nans travaillait dans pub en tant que barman et Judy faisait du ménage chez des particuliers, c’était loin de la vie qu’ils avaient rêvée, mais ils étaient ensemble alors c’était le principal. Finalement, Judy finie par tomber enceinte et donna un fils à Nans qui n’avait alors qu’il n’avait que 24 ans.
Il n’avait jamais voulu d’enfant de peur que ce dernier vive la même enfance que lui, mais il aimait profondément son fils. Il se félicita d’avoir plus d’argent que son père, surtout quand il devient le patron du bar où il travaillait. C’était un peu son rêve américain, Judy abandonna son travail pour aider Nans avec son bar et ils finirent par déménager dans l’appartement situé au-dessus. Ian n’avait alors qu’une dizaine d’années à l’époque. Ensuite, les années ont passés, la routine s’est installée. L’argent était en train de rentrer et le couple a décidé d’investir dans une maison de vacance en dehors de la ville pour profiter de la nature quand il avait le temps de souffler. Nans s’est essayé à la chasse et il a adoré ça.
C’est à presque dix-huit ans que son fils quitte le cocon familial pour se rapprocher de son école et entamer sa première année d’étude avant d’attendre le cursus tant attendu. Le bar Lennon semble un peu plus vide maintenant que le fils unique est parti de la maison. Pour combler le vide, Nans décide de s’offrir un chien, un jeune rottweiler lui tape dans l’œil alors qu’il se rend à la fourrière pour adopter un animal. Il décida de l’appeler Rumsteak, personne n’eut le droit de dire quoi que ce soit sur la question et l’animal devient alors le petit chouchou de la maison pour le plus grand bonheur de Ian lorsqu’il venait rendre visite à ses parents.
Huit ans plus tard, Ian entre en premières années d’internat, il fait la fierté de ses deux parents. Pour le féliciter Nans lui offre les clés de sa voiture qu’il aimait tant alors qu’il expliquait que la sienne était tombée en panne il y a de ça quelque temps et qu’il n’avait pas eu l’occasion de l’emmener au garage. La voiture en question était une Chevrolet chevelle bleue de 1971, il s’agissait de sa plus grande fierté. Le présent était lourd de symbolique et son fils finit par l’accepter après de longues minutes d’hésitation.
En 2009, le chien finit par mourir de vieillesse pour le plus grand malheur du vieux couple. Nans avait passé de bons moments avec l’animal, mais il avait aussi décidé que c’était le dernier qui serait présent dans la maison. Il n’en voulait plus, il avait déjà trop donné. Il arrivait à jouer sur la corde de la tristesse pour convaincre son fils de l’accompagner et visiblement c’était la meilleure chose qu’il avait faite ce jour-là. Ils étaient tous deux partis avec les amis de Nans et leurs fils. Il n’aurait jamais cru que ce jour-là un ours noir s’en prendrait à son père et qu’il lui sauverait la vie en arrêtant l’hémorragie et en appliquant les premiers soins. L’un comme l’autre n'en ont jamais reparlé de ce qui s’est passé ce jour-là. Lorsque son père est enfin sorti du coma, il l’a pris dans ses bras et il n’y a rien eu d’autre.
La vie a repris son cours doucement. Nans était un peu diminué que ce soit à cause de l’âge qui augmenter doucement plus son corps qui avait du mal à se remettre de ses blessures. Il préférait ne rien dire à qui que ce soit et continua de faire tout ce qu’il pouvait sans doute légèrement au ralenti, mais il n’allait pas se plaindre à qui que ce soit.
Jusqu’à la fin, il a travaillé dans son pub, de toute façon, il ne s’imaginait pas en partir aussi facilement, c’est même là-bas qu’il s’est réfugié avec l’épidémie. Il a survécu seul avec sa femme sans avoir de nouvelle de son fils, mais il ne se faisait pas trop d’espoir à ce sujet. Les mois ont passés et un soir de janvier, il a dû planter une lame dans la tempe de sa femme. Elle s’était fait mordre par un rodeur alors qu’ils étaient sortis en expédition. Il a longtemps pensé à se tirer une balle dans la tête parce que plus rien ne le retenait à la vie. C’est même pour ça qu’il a toujours une balle dans poche, mais avant de passer l’arme à gauche, il voulait retrouver le cadavre de son fils pour le tuer. Il ne voulait pas que son sang reste transformé en malade pour l’éternité.
Alors, il a survécu seul dehors jusqu'à fin mai. Jusqu’à ce que ce fils qu’il croyait mort vienne le chercher. Il a eu du mal à y croire, mais il n’y avait pas de doute. Il l’a docilement suivie jusqu’au lycée. Depuis il essaye de s’y faire une place, il ne le dira pas, mais il est content d'avoir retrouvé sa famille, il compte également Thalia et sa fille, parce que la famille ne s'arrête pas au sang.
C’est à l’âge de seize ans qu’il rencontra pour la première fois celle qui deviendrait la femme de sa vie. Il s’agissait de la fille du directeur de l’école qu’il fréquentait. Il avait l’impression de ne pas la mériter, elle était issue d’une bonne famille et avait beaucoup d’argent. Nans enviait clairement son train de vie, mais il n’aurait jamais avoué ce genre de chose. Il se demandera toujours comment il a pu la charmer avec le peu de temps dont il avait à disposition. Lorsqu’il n’était pas à l’école ou dans son petit boulot de serveur, il aidait son père qui réparait des voitures en dehors de son travail pour arrondir les fins de mois. Autant dire qu’il n’avait absolument pas le temps de vivre son adolescence.
À peine majeur, il quitta le cocon familial pour la grande ville. Dans ses bagages on y trouvait le strict nécessaire et Judy qui avaient décidé de le suivre jusqu’au bout du monde. Ils s’arrêteront à Bellevue ce qui était déjà à plusieurs dizaines de kilomètres de chez eux. Leur idylle ne faisait que commencer. Nans travaillait dans pub en tant que barman et Judy faisait du ménage chez des particuliers, c’était loin de la vie qu’ils avaient rêvée, mais ils étaient ensemble alors c’était le principal. Finalement, Judy finie par tomber enceinte et donna un fils à Nans qui n’avait alors qu’il n’avait que 24 ans.
Il n’avait jamais voulu d’enfant de peur que ce dernier vive la même enfance que lui, mais il aimait profondément son fils. Il se félicita d’avoir plus d’argent que son père, surtout quand il devient le patron du bar où il travaillait. C’était un peu son rêve américain, Judy abandonna son travail pour aider Nans avec son bar et ils finirent par déménager dans l’appartement situé au-dessus. Ian n’avait alors qu’une dizaine d’années à l’époque. Ensuite, les années ont passés, la routine s’est installée. L’argent était en train de rentrer et le couple a décidé d’investir dans une maison de vacance en dehors de la ville pour profiter de la nature quand il avait le temps de souffler. Nans s’est essayé à la chasse et il a adoré ça.
C’est à presque dix-huit ans que son fils quitte le cocon familial pour se rapprocher de son école et entamer sa première année d’étude avant d’attendre le cursus tant attendu. Le bar Lennon semble un peu plus vide maintenant que le fils unique est parti de la maison. Pour combler le vide, Nans décide de s’offrir un chien, un jeune rottweiler lui tape dans l’œil alors qu’il se rend à la fourrière pour adopter un animal. Il décida de l’appeler Rumsteak, personne n’eut le droit de dire quoi que ce soit sur la question et l’animal devient alors le petit chouchou de la maison pour le plus grand bonheur de Ian lorsqu’il venait rendre visite à ses parents.
Huit ans plus tard, Ian entre en premières années d’internat, il fait la fierté de ses deux parents. Pour le féliciter Nans lui offre les clés de sa voiture qu’il aimait tant alors qu’il expliquait que la sienne était tombée en panne il y a de ça quelque temps et qu’il n’avait pas eu l’occasion de l’emmener au garage. La voiture en question était une Chevrolet chevelle bleue de 1971, il s’agissait de sa plus grande fierté. Le présent était lourd de symbolique et son fils finit par l’accepter après de longues minutes d’hésitation.
En 2009, le chien finit par mourir de vieillesse pour le plus grand malheur du vieux couple. Nans avait passé de bons moments avec l’animal, mais il avait aussi décidé que c’était le dernier qui serait présent dans la maison. Il n’en voulait plus, il avait déjà trop donné. Il arrivait à jouer sur la corde de la tristesse pour convaincre son fils de l’accompagner et visiblement c’était la meilleure chose qu’il avait faite ce jour-là. Ils étaient tous deux partis avec les amis de Nans et leurs fils. Il n’aurait jamais cru que ce jour-là un ours noir s’en prendrait à son père et qu’il lui sauverait la vie en arrêtant l’hémorragie et en appliquant les premiers soins. L’un comme l’autre n'en ont jamais reparlé de ce qui s’est passé ce jour-là. Lorsque son père est enfin sorti du coma, il l’a pris dans ses bras et il n’y a rien eu d’autre.
La vie a repris son cours doucement. Nans était un peu diminué que ce soit à cause de l’âge qui augmenter doucement plus son corps qui avait du mal à se remettre de ses blessures. Il préférait ne rien dire à qui que ce soit et continua de faire tout ce qu’il pouvait sans doute légèrement au ralenti, mais il n’allait pas se plaindre à qui que ce soit.
Jusqu’à la fin, il a travaillé dans son pub, de toute façon, il ne s’imaginait pas en partir aussi facilement, c’est même là-bas qu’il s’est réfugié avec l’épidémie. Il a survécu seul avec sa femme sans avoir de nouvelle de son fils, mais il ne se faisait pas trop d’espoir à ce sujet. Les mois ont passés et un soir de janvier, il a dû planter une lame dans la tempe de sa femme. Elle s’était fait mordre par un rodeur alors qu’ils étaient sortis en expédition. Il a longtemps pensé à se tirer une balle dans la tête parce que plus rien ne le retenait à la vie. C’est même pour ça qu’il a toujours une balle dans poche, mais avant de passer l’arme à gauche, il voulait retrouver le cadavre de son fils pour le tuer. Il ne voulait pas que son sang reste transformé en malade pour l’éternité.
Alors, il a survécu seul dehors jusqu'à fin mai. Jusqu’à ce que ce fils qu’il croyait mort vienne le chercher. Il a eu du mal à y croire, mais il n’y avait pas de doute. Il l’a docilement suivie jusqu’au lycée. Depuis il essaye de s’y faire une place, il ne le dira pas, mais il est content d'avoir retrouvé sa famille, il compte également Thalia et sa fille, parce que la famille ne s'arrête pas au sang.
☩ Ian F. Lennon (Son fils, l'aime sans lui montrer pour autant)
☩Jared I. Lennon (Son petit-fils, l'adore et passe de temps à autres du temps avec lui.)
☩Thalia M. Caldwell (Sa fille adoptive, l'apprécie autant que Ian.)
☩Wade Lockhart (Premier contact avec le camp, apprécie grandement sa présence et son humour.)
☩Eli Delgado (Un gamin plein d'espoir, il est content de voir que certain son encore en vie. Le trouve bien plus dégourdi que son fils.)
☩Rosaleen A. Glanmor (Ancienne conquête de Ian, ne l'apprécie pas trop. Elle est trop ramolli à son gout.)
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Re: Mr Crowley, Did You Talk To The Dead?
Jeu 27 Oct 2016 - 14:00
61 ans ☩ Patron d'un bar ☩ Jim Bever ☩ #ffcc00
Il a un caractère très entier, il est bien trop tard pour lui faire mettre de l’eau dans son vin, il ne changera plus. Il s’est adapté à l’apocalypse, tout en restant fidèle à lui-même. Il s’est toujours donné à 100% dans tout ce qu’il entreprenait. Alors, il en a fait de même pour ma survie contre les rôdeurs. Lorsqu'on se fixe un objectif il faut l'atteindre c'est toujours une règle qu’il a respectée en affaire. Il ne supporte pas les personnes qui n'arrivent pas à accomplir ce qu’il leur demande, mais il ne supporte pas non plus lorsqu’ il échoue. Ce qu’il reproche aux autres, il se le reproche aussi et souvent dix fois plus. Je trouve ça normal. Je faisais tout pour y arriver, mais sans mentir, juste en jouant cartes sur table. Les faux-semblants ce n’est pas son truc, mais il les comprend très bien. Comme le dit l'expression, ce n'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace. Il fait toujours attention à tout ce qu'il y a autour de lui, il faut savoir regarder, observer et déduire. C'est très important si on veut arriver à survivre, il l'a remarqué grâce à son expérience. Il reste fidèle à ses principes de vie, mais aussi à tous ses proches. Ils sont nombreux, il ferait tout pour venir en aide aux quelques amis qu'il a, il a déjà mouillé le maillot pour eux et il trouve ça totalement normal.
Bon, il a aussi un grand nombre chacun à ces mauvais côtés et il a tendance à penser qu’il en a beaucoup. Déjà, il aime se renfermer sur lui-même de bien des façons. Il n’est pas du genre à s’ouvrir aux autres pour parler de ses états d’âme et il n’aime pas non plus la proximité des autres, il préfère s’enfermer dans sa bulle. Il est toujours en train de se poser plein de questions et a imaginé tous les scénarios possibles et imaginables lorsqu’il a un truc à faire. Il part toujours du principe que c'est le pire qui va arriver. Il irait presque jusqu'à dire que c'est une forme de paranoïa et qu’il a développé parce qu’il sait qu’il n'a pas la force de lutter contre le monde. Il a aussi une grosse addiction à l’alcool qui est devenu un fardeau, il l'a développé pour clamer un peu sa nervosité, mais finalement cela en a créé lorsqu' il n’a pas sa dose, c'est une foutue chaine sans fin. Après, il a une façon de penser et dire les choses qui ne plaisent. Il dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, mais jamais avec les bons mots. La ponctuation ? Ne connait pas un bon "balls" bien placé la remplacera. Il a appris les gros mots aussi vite qu'à dire Papa et Maman. Comme si cela ne suffisait pas, il tient tête à ses interlocuteurs, il pense avoir raison et il est prêt à tout pour avoir le dernier mot.
Bon, il a aussi un grand nombre chacun à ces mauvais côtés et il a tendance à penser qu’il en a beaucoup. Déjà, il aime se renfermer sur lui-même de bien des façons. Il n’est pas du genre à s’ouvrir aux autres pour parler de ses états d’âme et il n’aime pas non plus la proximité des autres, il préfère s’enfermer dans sa bulle. Il est toujours en train de se poser plein de questions et a imaginé tous les scénarios possibles et imaginables lorsqu’il a un truc à faire. Il part toujours du principe que c'est le pire qui va arriver. Il irait presque jusqu'à dire que c'est une forme de paranoïa et qu’il a développé parce qu’il sait qu’il n'a pas la force de lutter contre le monde. Il a aussi une grosse addiction à l’alcool qui est devenu un fardeau, il l'a développé pour clamer un peu sa nervosité, mais finalement cela en a créé lorsqu' il n’a pas sa dose, c'est une foutue chaine sans fin. Après, il a une façon de penser et dire les choses qui ne plaisent. Il dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, mais jamais avec les bons mots. La ponctuation ? Ne connait pas un bon "balls" bien placé la remplacera. Il a appris les gros mots aussi vite qu'à dire Papa et Maman. Comme si cela ne suffisait pas, il tient tête à ses interlocuteurs, il pense avoir raison et il est prêt à tout pour avoir le dernier mot.
Nans est né dans une famille assez pauvre au milieu des années cinquante, le 24 décembre 1955 pour être plus précis, il est le second enfant et le premier fils d’une grande famille de cinq enfants. Son enfance était des plus heureuse malgré le manque d’argent, il a commencé à travailler très jeune dans le garage automobile où était déjà son père, pour augmenter les revenues de la maison et permettre à tout le monde de vivre un peu mieux. Sa mère n’a jamais trouvé le temps de travailler puisqu’elle devait s’occuper de la maison et que de toute façon à cette époque-là, une femme qui travaille était bien trop mal perçue.
C’est à l’âge de seize ans qu’il rencontra pour la première fois celle qui deviendrait la femme de sa vie. Il s’agissait de la fille du directeur de l’école qu’il fréquentait. Il avait l’impression de ne pas la mériter, elle était issue d’une bonne famille et avait beaucoup d’argent. Nans enviait clairement son train de vie, mais il n’aurait jamais avoué ce genre de chose. Il se demandera toujours comment il a pu la charmer avec le peu de temps dont il avait à disposition. Lorsqu’il n’était pas à l’école ou dans son petit boulot de serveur, il aidait son père qui réparait des voitures en dehors de son travail pour arrondir les fins de mois. Autant dire qu’il n’avait absolument pas le temps de vivre son adolescence.
À peine majeur, il quitta le cocon familial pour la grande ville. Dans ses bagages on y trouvait le strict nécessaire et Judy qui avaient décidé de le suivre jusqu’au bout du monde. Ils s’arrêteront à Bellevue ce qui était déjà à plusieurs dizaines de kilomètres de chez eux. Leur idylle ne faisait que commencer. Nans travaillait dans pub en tant que barman et Judy faisait du ménage chez des particuliers, c’était loin de la vie qu’ils avaient rêvée, mais ils étaient ensemble alors c’était le principal. Finalement, Judy finie par tomber enceinte et donna un fils à Nans qui n’avait alors qu’il n’avait que 24 ans.
Il n’avait jamais voulu d’enfant de peur que ce dernier vive la même enfance que lui, mais il aimait profondément son fils. Il se félicita d’avoir plus d’argent que son père, surtout quand il devient le patron du bar où il travaillait. C’était un peu son rêve américain, Judy abandonna son travail pour aider Nans avec son bar et ils finirent par déménager dans l’appartement situé au-dessus. Ian n’avait alors qu’une dizaine d’années à l’époque. Ensuite, les années ont passés, la routine s’est installée. L’argent était en train de rentrer et le couple a décidé d’investir dans une maison de vacance en dehors de la ville pour profiter de la nature quand il avait le temps de souffler. Nans s’est essayé à la chasse et il a adoré ça.
C’est à presque dix-huit ans que son fils quitte le cocon familial pour se rapprocher de son école et entamer sa première année d’étude avant d’attendre le cursus tant attendu. Le bar Lennon semble un peu plus vide maintenant que le fils unique est parti de la maison. Pour combler le vide, Nans décide de s’offrir un chien, un jeune rottweiler lui tape dans l’œil alors qu’il se rend à la fourrière pour adopter un animal. Il décida de l’appeler Rumsteak, personne n’eut le droit de dire quoi que ce soit sur la question et l’animal devient alors le petit chouchou de la maison pour le plus grand bonheur de Ian lorsqu’il venait rendre visite à ses parents.
Huit ans plus tard, Ian entre en premières années d’internat, il fait la fierté de ses deux parents. Pour le féliciter Nans lui offre les clés de sa voiture qu’il aimait tant alors qu’il expliquait que la sienne était tombée en panne il y a de ça quelque temps et qu’il n’avait pas eu l’occasion de l’emmener au garage. La voiture en question était une Chevrolet chevelle bleue de 1971, il s’agissait de sa plus grande fierté. Le présent était lourd de symbolique et son fils finit par l’accepter après de longues minutes d’hésitation.
En 2009, le chien finit par mourir de vieillesse pour le plus grand malheur du vieux couple. Nans avait passé de bons moments avec l’animal, mais il avait aussi décidé que c’était le dernier qui serait présent dans la maison. Il n’en voulait plus, il avait déjà trop donné. Il arrivait à jouer sur la corde de la tristesse pour convaincre son fils de l’accompagner et visiblement c’était la meilleure chose qu’il avait faite ce jour-là. Ils étaient tous deux partis avec les amis de Nans et leurs fils. Il n’aurait jamais cru que ce jour-là un ours noir s’en prendrait à son père et qu’il lui sauverait la vie en arrêtant l’hémorragie et en appliquant les premiers soins. L’un comme l’autre n'en ont jamais reparlé de ce qui s’est passé ce jour-là. Lorsque son père est enfin sorti du coma, il l’a pris dans ses bras et il n’y a rien eu d’autre.
La vie a repris son cours doucement. Nans était un peu diminué que ce soit à cause de l’âge qui augmenter doucement plus son corps qui avait du mal à se remettre de ses blessures. Il préférait ne rien dire à qui que ce soit et continua de faire tout ce qu’il pouvait sans doute légèrement au ralenti, mais il n’allait pas se plaindre à qui que ce soit.
Jusqu’à la fin, il a travaillé dans son pub, de toute façon, il ne s’imaginait pas en partir aussi facilement, c’est même là-bas qu’il s’est réfugié avec l’épidémie. Il a survécu seul avec sa femme sans avoir de nouvelle de son fils, mais il ne se faisait pas trop d’espoir à ce sujet. Les mois ont passés et un soir de janvier, il a dû planter une lame dans la tempe de sa femme. Elle s’était fait mordre par un rodeur alors qu’ils étaient sortis en expédition. Il a longtemps pensé à se tirer une balle dans la tête parce que plus rien ne le retenait à la vie. C’est même pour ça qu’il a toujours une balle dans poche, mais avant de passer l’arme à gauche, il voulait retrouver le cadavre de son fils pour le tuer. Il ne voulait pas que son sang reste transformé en malade pour l’éternité.
Alors, il a survécu seul dehors jusqu'à fin mai. Jusqu’à ce que ce fils qu’il croyait mort vienne le chercher. Il a eu du mal à y croire, mais il n’y avait pas de doute. Il l’a docilement suivie jusqu’au lycée. Depuis il essaye de s’y faire une place, il ne le dira pas, mais il est content d'avoir retrouvé sa famille, il compte également Thalia et sa fille, parce que la famille ne s'arrête pas au sang.
C’est à l’âge de seize ans qu’il rencontra pour la première fois celle qui deviendrait la femme de sa vie. Il s’agissait de la fille du directeur de l’école qu’il fréquentait. Il avait l’impression de ne pas la mériter, elle était issue d’une bonne famille et avait beaucoup d’argent. Nans enviait clairement son train de vie, mais il n’aurait jamais avoué ce genre de chose. Il se demandera toujours comment il a pu la charmer avec le peu de temps dont il avait à disposition. Lorsqu’il n’était pas à l’école ou dans son petit boulot de serveur, il aidait son père qui réparait des voitures en dehors de son travail pour arrondir les fins de mois. Autant dire qu’il n’avait absolument pas le temps de vivre son adolescence.
À peine majeur, il quitta le cocon familial pour la grande ville. Dans ses bagages on y trouvait le strict nécessaire et Judy qui avaient décidé de le suivre jusqu’au bout du monde. Ils s’arrêteront à Bellevue ce qui était déjà à plusieurs dizaines de kilomètres de chez eux. Leur idylle ne faisait que commencer. Nans travaillait dans pub en tant que barman et Judy faisait du ménage chez des particuliers, c’était loin de la vie qu’ils avaient rêvée, mais ils étaient ensemble alors c’était le principal. Finalement, Judy finie par tomber enceinte et donna un fils à Nans qui n’avait alors qu’il n’avait que 24 ans.
Il n’avait jamais voulu d’enfant de peur que ce dernier vive la même enfance que lui, mais il aimait profondément son fils. Il se félicita d’avoir plus d’argent que son père, surtout quand il devient le patron du bar où il travaillait. C’était un peu son rêve américain, Judy abandonna son travail pour aider Nans avec son bar et ils finirent par déménager dans l’appartement situé au-dessus. Ian n’avait alors qu’une dizaine d’années à l’époque. Ensuite, les années ont passés, la routine s’est installée. L’argent était en train de rentrer et le couple a décidé d’investir dans une maison de vacance en dehors de la ville pour profiter de la nature quand il avait le temps de souffler. Nans s’est essayé à la chasse et il a adoré ça.
C’est à presque dix-huit ans que son fils quitte le cocon familial pour se rapprocher de son école et entamer sa première année d’étude avant d’attendre le cursus tant attendu. Le bar Lennon semble un peu plus vide maintenant que le fils unique est parti de la maison. Pour combler le vide, Nans décide de s’offrir un chien, un jeune rottweiler lui tape dans l’œil alors qu’il se rend à la fourrière pour adopter un animal. Il décida de l’appeler Rumsteak, personne n’eut le droit de dire quoi que ce soit sur la question et l’animal devient alors le petit chouchou de la maison pour le plus grand bonheur de Ian lorsqu’il venait rendre visite à ses parents.
Huit ans plus tard, Ian entre en premières années d’internat, il fait la fierté de ses deux parents. Pour le féliciter Nans lui offre les clés de sa voiture qu’il aimait tant alors qu’il expliquait que la sienne était tombée en panne il y a de ça quelque temps et qu’il n’avait pas eu l’occasion de l’emmener au garage. La voiture en question était une Chevrolet chevelle bleue de 1971, il s’agissait de sa plus grande fierté. Le présent était lourd de symbolique et son fils finit par l’accepter après de longues minutes d’hésitation.
En 2009, le chien finit par mourir de vieillesse pour le plus grand malheur du vieux couple. Nans avait passé de bons moments avec l’animal, mais il avait aussi décidé que c’était le dernier qui serait présent dans la maison. Il n’en voulait plus, il avait déjà trop donné. Il arrivait à jouer sur la corde de la tristesse pour convaincre son fils de l’accompagner et visiblement c’était la meilleure chose qu’il avait faite ce jour-là. Ils étaient tous deux partis avec les amis de Nans et leurs fils. Il n’aurait jamais cru que ce jour-là un ours noir s’en prendrait à son père et qu’il lui sauverait la vie en arrêtant l’hémorragie et en appliquant les premiers soins. L’un comme l’autre n'en ont jamais reparlé de ce qui s’est passé ce jour-là. Lorsque son père est enfin sorti du coma, il l’a pris dans ses bras et il n’y a rien eu d’autre.
La vie a repris son cours doucement. Nans était un peu diminué que ce soit à cause de l’âge qui augmenter doucement plus son corps qui avait du mal à se remettre de ses blessures. Il préférait ne rien dire à qui que ce soit et continua de faire tout ce qu’il pouvait sans doute légèrement au ralenti, mais il n’allait pas se plaindre à qui que ce soit.
Jusqu’à la fin, il a travaillé dans son pub, de toute façon, il ne s’imaginait pas en partir aussi facilement, c’est même là-bas qu’il s’est réfugié avec l’épidémie. Il a survécu seul avec sa femme sans avoir de nouvelle de son fils, mais il ne se faisait pas trop d’espoir à ce sujet. Les mois ont passés et un soir de janvier, il a dû planter une lame dans la tempe de sa femme. Elle s’était fait mordre par un rodeur alors qu’ils étaient sortis en expédition. Il a longtemps pensé à se tirer une balle dans la tête parce que plus rien ne le retenait à la vie. C’est même pour ça qu’il a toujours une balle dans poche, mais avant de passer l’arme à gauche, il voulait retrouver le cadavre de son fils pour le tuer. Il ne voulait pas que son sang reste transformé en malade pour l’éternité.
Alors, il a survécu seul dehors jusqu'à fin mai. Jusqu’à ce que ce fils qu’il croyait mort vienne le chercher. Il a eu du mal à y croire, mais il n’y avait pas de doute. Il l’a docilement suivie jusqu’au lycée. Depuis il essaye de s’y faire une place, il ne le dira pas, mais il est content d'avoir retrouvé sa famille, il compte également Thalia et sa fille, parce que la famille ne s'arrête pas au sang.
☩ Ian F. Lennon (Son fils, l'aime sans lui montrer pour autant)
☩Jared I. Lennon (Son petit-fils, l'adore et passe de temps à autres du temps avec lui.)
☩Thalia M. Caldwell (Sa fille adoptive, l'apprécie autant que Ian.)
☩Wade Lockhart (Premier contact avec le camp, apprécie grandement sa présence et son humour.)
☩Eli Delgado (Un gamin plein d'espoir, il est content de voir que certain son encore en vie. Le trouve bien plus dégourdi que son fils.)
☩Rosaleen A. Glanmor (Ancienne conquête de Ian, ne l'apprécie pas trop. Elle est trop ramolli à son gout.)
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