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Emerson Ryann Barnett.

Mar 1 Déc 2015 - 20:38


Emerson Ryann Barnetttell me more about you

prénom(s) : Emerson, Ryann
nom : Barnett, nom de jeune fille, Mackenzie
date de naissance : 6 septembre 1980
âge : 40 ans

ville de naissance : Seattle, Washington, USA
métier : Chirurgienne, pédiatre
groupe : New Eden

avatar : Yvonne Strahovski

what i am

qualites
Douce
Protectrice
Diplomate
Prevenante
Aimable
defaults
Naïve
Secrète
Mélancolique
Inquiète
Sensible
Physique & Equipement :
Emerson a toujours été une femme simple, bien qu'élégante. Son style vestimentaire se résume souvent à ce qu'elle peut trouver et qui lui aille le matin, et parfois moins que ça. Quand elle exerçait, elle faisait un effort de présentation tout en gardant un certain confort dans ce qu'elle pouvait porter. Pas bien grande, elle fait dans le mètre soixante avec une taille assez fine qui a tendance à l'élance. De longs cheveux naturellement blonds, des yeux d'un bleus frôlant le turquoise, physiquement, Emerson n'est pas à plaindre et son mari a toujours été le premier à en profiter. Elle a toujours eu une certaine tenue, venant d'une bonne famille un peu vieux jeu, ainsi que du coup une certaine retenue dans sa posture. Ce côté bourgeois est contrebalancée par la douceur naturelle de ses traits et de son sourire communicatif. Et mise à part ça, elle n'a aucun signe distinctif, Emy n'ayant jamais été une grande aventurière.

Psychologie

Emerson, que l’on surnomme souvent affectueusement « Emy », est une femme à la patience et à la douceur extraordinaire. On peut facilement lui reconnaitre ce côté maternel inné, cet instinct marqué qui transpire par tous les pores de sa peau. Inconsciemment, elle a besoin de soulager les autres, de leur faciliter le quotidien, de se plier en quatre et de se saigner les veines pour faire en sorte que tout aille pour le mieux. Ces petites touches d’attentions sont devenues, de ce fait, chose courante auprès d'elle. Les patients les plus dans le besoin ont droit à leur café le matin, les enfants à des histoires amusantes avant le coucher, et les personnes passant sous ses soins à ce qu’elle se réchauffe les mains avant de les toucher. Humaine, donc, c’est le mot pour la qualifier complètement. Elle n’a peut-être pas l’assurance d’une guerrière ou la force de tous ces hommes qui la protègent du monde extérieur, mais elle est cette discrétion indispensable qui facilite la vie pour satisfaire tout le monde.

Serviable donc, et indulgente, elle a le contact facile avec les enfants, sans doute parce qu’elle est mère. Mais dans tout ça, on peut lui reprocher de couver un peu trop son monde, d’être sûrement trop passionnée dans ce qu’elle entreprend et de pouvoir manquer d’objectivité par moment. Emy va au bout des choses, et elle n’entend pas laisser des détails en arrière. C’est cette passion qui lui permet de se mettre sur ses pieds le matin et de s’animer : Elle se connait un aspect morne, une tendance qui l’oblige à l’inertie. Triste, donc, comme la lueur dans ses yeux quand on s'oblige à la regarder directement... Mais une tristesse qui l'oblige à s’organiser des emplois du temps chronométré ne pas songer à ce qui l'inquiète. Parce qu’Emy est une personne naturellement anxieuse, soucieuse, capable de se monter la tête pour vraiment pas grand-chose. C’est sans doute parce qu’elle manque de confiance en elle et qu’elle se sent comme vide à l’intérieur sans sa famille.

Quand on creuse un peu plus, quand on la fréquente, on se rend compte qu’il y a des cicatrices et des fantômes qui ne disparaissent pas. Et des douleurs qui se séparent de leur plaie pour imprégner l’être durablement. Elle n’en parlera pas d’elle-même, et toutes ces choses peuvent se comprendre assez facilement. Même avant la fin, elle n’était pas du genre loquace sur ce qu’elle pouvait éprouver... C’est juste parfois trop gros pour être caché dans un placard quelconque, et il y a des boulets qu’on se baladera pour un long moment… Emy a appris à souffrir en silence et à reconstruire son petit monde sur les ravages de l’ancien. Mais désormais, c’est la peur qui teinte sa toile et son sourire qui sert de devanture.




Story of survival

Pre-apocalypse

« Je ne sais pas du tout par quoi commencer.
- Tu pourrais me parler de ton enfance.
- Bien sûr. Mh…
- Tu as des frères ? Des sœurs ?
- Deux frères.
- Comment s’appellent-ils ?
- Georges et Connor. Georges est l’ainé, Connor le second. Je suis la dernière de la famille.
- Tu as peut-être une photo d’eux ?
- J’en avais une, oui… Mais j'ai laissé mes affaires... Enfin... Je peux te dire que je n’ai jamais été très proche de Georges. On a presque dix ans d’écart lui et moi, on a jamais trouvé de quoi se… Rapprocher vraiment. Il a juste toujours été au-dessus de moi, au-dessus de tout, intouchable presque. Il ne s’occupait de moi que parce qu’il n’avait pas le choix. Avec Connor, c’était différent. Dès qu’il m’a vue, et il me l’a dit, il a tout de suite pensé que j’étais une petite merveille. On jouait tout le temps tous les deux, j’étais toujours dans ses baskets à ne pas vouloir le quitter. Mes amis étaient les siens, il me protégeait à l’école, m’aidait à m’intégrer. Bref, c’était Connor…
- Et tes parents ?
- Béatrice et Paul. Mon père était médecin, un homme bon vivant et très doux. Il m’aimait, énormément je pense. Mais je n’ai jamais vraiment pu être totalement sa petite fille, tu vois ?
- Non…
- En fait… Je crois que c’est surtout parce que Béatrice ne m’a jamais aimé… Avec elle, j’ai toujours été l’intrus à table ou durant les repas de famille, celle qu’on ne présentait pas, et elle faisait à chaque fois tout pour que je ne sois pas trop avec mon père, pour pas qu’il puisse s’attacher à moi… Du coup, durant toute ma vie, mon enfance comme mon adolescence, j’ai encore l’impression d’une lutte constante contre elle. A armes inégales, tout du long, comme si elle avait un tank et moi une lance taillée dans le bois… Ça fait des années que je ne l’ai pas vu, pourtant, et même là encore elle me laisse cette impression de toute puissance…
- Combien de temps que tu ne l’as pas vu ?
- Près de quinze ans… Elle doit probablement être morte. Je ne sais pas… »

Alexander joue avec la tranche de son verre, regardant de ses petits yeux la blonde en face de lui qui semble un peu dans la lune. Il lui fait un sourire, tandis qu’elle passe une main dans ses longs cheveux vénitiens, reposant ses yeux azurs sur lui :

« Tu as fait quoi, après ?
- Mh… J’ai grandi, j’ai eu mon diplôme, puis j’ai commencé mes études de médecine parce que je voulais être comme mon père. Je ne sais pas si c’était vraiment par passion, j’aime mon métier, hein… Mais j’ai commencé ça parce que j’avais vraiment besoin de pouvoir parler avec lui sans que Béatrice soit au milieu et qu’elle cherche à nous séparer. Je ne voulais pas qu’elle nous comprenne, pour une fois, je voulais avoir un truc avec lui, et seulement avec lui. Elle m’en a voulu énormément, tu sais ?
- Sans doute.
- Mais ça valait totalement le coup. Je suis partie loin de la maison et je rentrais tous les week end. Et durant ces week end, je pouvais travailler et réviser mes cours durant des heures entières avec mon père. On se mettait parfois dans le jardin et on disait des mots très compliqués et on riait parce qu’il se rendait compte qu’il n’arrivait même plus à les orthographier. C’était de très bons moments. Je rentrais la semaine et je continuais à me plonger dans mes cours. La première année, tout me réussissait. La deuxième également. J'ai réussi à aller jusqu'à mon internat comme ça... Et puis, il y a eu lui.;;
- Un petit ami ?
- Un petit ami. Je venais tout juste de débuter, tu imagines ? Et c'était tout ce qu'il ne fallait pas faire. C'était un de mes patients, en fait. Un pompier. Il était beau, mais extrêmement pénible, et plus personne ne voulait le gérer tellement il faisait n'importe quoi. Et puis... »

Alexander reste accrocher à ses paroles, curieux d’en savoir plus.

« Et puis ?
- Il m'a promis, à moi, de se tenir tranquille si j'acceptais de boire un verre avec lui.
- Ethiquement, c'est...
- Totalement incorrect et déplacé, et je n'aurais jamais du accepter. Je lui ai dit pourtant que je ne pouvais pas, mais il a suffit d'un sourire et j'ai dit « oui ». Je me suis faite avoir comme une bleue et j'ai risqué gros pour ses beaux yeux.
- Il avait vraiment de très beaux yeux alors. »

Emy affiche un grand sourire, tendre et doux, et une petite lueur malicieuse passe dans son regard :

« Tu n'imagines même pas.
- Et alors ?
- C'est mon époux aujourd'hui. C'était ? Je ne sais même plus ce que je dois dire. »

Alexander esquisse un sourire avant de reprendre :

« T'en fais pas. Et ensuite ?
- Nous sommes sortis ensemble, un moment. Les fins de mois n'étaient pas toujours simples compte tenu de mes études, mais nous nous en sommes sortis. Mon frère était là pour nous aider, mon père aussi, ils adoraient Kendale pour tout dire. Il était gentil, et doux avec moi, et il m'épanouissait… Il a fini par me demander en mariage. Le premier jour du reste de notre vie. Ça a été magnifique, et je pensais que je ne pourrais jamais vivre un plus beau jour avec lui. Puis je suis tombée enceinte...
- Kaycee ?
- Kaycee. La plus jolie fille sur terre, et la plus forte aussi. C'était soudain, mais c'était vraiment bien. Mon père était heureux de devenir grand père, je veux dire. Georges n'avait pas le temps pour ça et Connor... Il n'avait pas la tête à se poser. Alors j'étais la première dans la famille. Mais un peu après la naissance de notre fille, mon père est tombé très malade et il est mort d’une crise cardiaque quelques temps après. C'était soudain ça aussi, donc Beatrice a hérité de tout, et on a tous découvert le pot aux roses. Du moins, je l’ai découvert.
- De quoi ?
- Que je n’étais pas sa fille « légitime » de Beatrice. On pouvait tous s’en douter, mais du coup ça n’avait jamais été dit dans la famille. J’étais arrivée à mes trois ans dans ma « maison » quand ma mère n’avait plus les moyens de m’entretenir, parce qu’elle croulait sous les dettes… Elle m’a confiée à mon père et il a décidé de me prendre à charge. Et Beatrice n’a eu qu’à se taire et à serrer les dents. J’ai compris pourquoi je lui étais insupportable à ce moment-là… Mais je venais de perdre mon père, j'avais une petite fille et un foyer, et Béatrice décida que je n'étais plus la bienvenue, ni moi, ni ma famille.
- Et alors ?
- C'était une période confuse pour tout le monde. Connor a promis de m’aider. Avec le travail de Kendale, puis le mien, nous avions peu de temps pour Kaycee. Mais quand j'ai commencé à me faire un nom, puis à terminer mon internat ça a été plus confortable. Et je ne voulais pas que mon travail m'empêche de connaître ma fille. C'était vraiment dur de tout concilier en fin de compte. Et puis, Connor est mort…
- Mort ?
- C’était un frère extraordinaire, tu sais ? Vraiment… Si je ne l’avais pas eu avec moi, durant presque mes trente premières années de vie, ça aurait été l’enfer. Il a toujours pris ma défense, pour tout, parce qu’il était comme ça. Fallait toujours qu’il se donne à fond dans tout. C’était un fou, furieux parfois… Il s’est planté en moto sur l’autoroute et il est mort. Ça a fait un grand vide dans ma vie, et je me suis un peu éloignée de mon mari. Il a compris, mais c'était compliqué de tenir et de savoir que Connor ne passerait plus la porte de la maison les week end pour le barbecue traditionnel... Il m'a fallu du temps. Puis quand ça n'a plus été moi, c'était Kendale. Depuis que son meilleur ami est mort lors d'une intervention, l'ambiance a la maison s'est refroidie. C'était notre cocon, notre havre de paix avant. Et maintenant... J'ai parfois l'impression de vivre avec un loup, qui s'en veut constamment à lui-même et qui refuse de me parler. Et Kaycee au milieu qui ne s'arrête pas de grandir et qui devient une femme, et qui a son caractère. Les deux ne font que se disputer. Et moi, j'ai l'impression d'être dépassée, et je n'arrive pas à ne pas m'en faire pour l'avenir...

Je ne pensais pas que ça pourrait vraiment être plus inquiétant.
»

Post-apocalypse

« Pour tout te dire, je ne sais pas vraiment à quel moment tout ça a dégénéré... C'est confus. Les informations se sont mises à dire des atrocités, et j'ai arrêté d'écouter de mon côté. Et puis... Tout est devenu de plus en plus bizarre. Si on est coincé ici, c'est sans doute parce que je n'ai pas assez pris en compte tout ça, c'est parce que j'ai mal assuré mon rôle et maintenant je suis loin de mon mari et de ma fille et je ne peux même plus leur parler...
- Arrête, ce n'est pas de ta faute Emy. Tu pouvais pas savoir...
- Non je ne pouvais pas mais... J'aurais voulu que l'évacuation des malades se passe bien mieux et qu'on ne se retrouve pas piégé ici à ne pas pouvoir rejoindre les camps de réfugiés et qu'on ne se retrouve pas aux prises avec une petite unité minuscule de militaires qui n'ont jamais commandé... Et... »

La frustration prend le pas sur l'intonation de sa voix, et Alexander passe une main rassurante dans son dos pour l'apaiser :

« Tu pouvais vraiment pas savoir. Là, on est coincé tous ensemble ici, à l'hopital, et ça pourrait être pire. Au moins, on est pas dehors.
- Tu as raison... On y est pas. On comprend même pas ce qu'il se passe dehors... »

Non, personne ne comprend. Pas dans l'enceinte de l'hopital qu'ils ont verrouillé, pas dans l'étage où ils se trouvent avec des patients encore troublés par tous les événements et des restrictions d'un autre monde. Tous se trouvent désormais dans un monde fermé où il n'existe plus qu'un couloir et quelques pièces, et où le personnel soignant drastiquement réduit est au service d'une équipe à l'arme au poing n'en sachant pas plus. Les liaisons réduites avec l'extérieur,  des expéditions dangereuses dans un monde nouveau... Et une incompréhension encore vive entre ces murs.

« Tu ferais bien d'aller te reposer, tu as l'air épuisée.
- Ils m'ont dit qu'ils tenteraient de joindre le lycée, je veux pas rater mon mari s'ils y arrivent et...
- Emy... Ils te le passeront pas, même s'ils pouvaient vraiment l'avoir. »

La blonde pousse un long soupir. Le jeune interne à ses côtés secoue la tête.

« Je sais... »

time to met the devil

• Pseudo (sur internet) : Langouste
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• Personnage : Inventé [X] / scénario/prédef [ ]
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• Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum Oui [ ] / Non [X]
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• Code du règlement blabla

fiche (c) langouste.





What a lovely day.
Maxine E. Reynolds
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Re: Emerson Ryann Barnett.

Mar 1 Déc 2015 - 21:01



bienvenue, survivant solitaire

Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à survivre par tes propres moyens !

Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.


Afin que ton intégration se passe bien :

• Poste ta fiche de liens pour trouver des copains  ♥️
• Mais aussi tes annexes
• Et pour te lancer dans l'aventure viens faire une demande de RP !


N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons content de t'y accueillir !

Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD ♥️


Razz
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Re: Emerson Ryann Barnett.

Mar 1 Déc 2015 - 21:08

Merci bien mon brave, vous êtes fort sympathique !





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Re: Emerson Ryann Barnett.

Ven 4 Déc 2015 - 12:37

Mamaaaaaan *coeur* *coeur* Very Happy
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Re: Emerson Ryann Barnett.

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