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Erik Ziegler

Jeu 7 Jan 2016 - 2:27


Erik Ziegler
39 ans • Américain • Armurier • Faction / Sanctuary Hills

i've got a war in my mind

Erik est un homme comme les autres. Le genre de type tellement banal qu'on ne le voit plus, à force de le voir partout. Très intelligent, peut être trop. Athée, il se moque bien de la spiritualité des autres. Un bon sens de l'humour. Un job pour les factures, quelques rêves brisés, d'autres toujours assez solides pour animer l'envie de voir un lendemain. Une femme, l'incertitude de l'aimer encore, mais rester de peur de réaliser ses rêves.
Seul chez lui, il aime se regarder dans la glace, sa Gibson en main, et voir alors la star du rock qu'il aurait voulu être. Pour l'argent ? Oh non. Il se fout pas mal de l'argent.
Il veut juste faire passer son message. Qu'enfin les autres le remarquent. L'écoutent. Devenir important, assez pour changer le monde. Un idéaliste, ou plutôt surréaliste.
Il est généreux. Du genre à offrir un cadeau hors de prix à ses proches, même s'il n'en a pas les moyens. Honnête, quitte à blesser, sauf avec sa femme, peut être.
Plus jeune, il était la victime des stars du lycée. Les mauvaises blagues, les poings dans la tronche, c'était son quotidien. Jusqu'au jour où il a rendu les coups. Peut être même un peu fort. Depuis, il déteste la violence, et cette rage en lui qui peut se manifester quand on le pousse à bout. Il se forcera à choisir la solution diplomatique pour résoudre les problèmes en premier lieu. Et si cela ne suffit pas.. Boom.

Surnommé Happy depuis bien longtemps, il est cet homme que rien ne semble pouvoir atteindre. Capable de s'émerveiller de petites choses, de garder le sourire dans les pires moments, et même d'y trouver le bon côté. C'est sûrement cet état d'esprit qui lui permet de tenir bon dans sa vie de tout les jours, qu'il considère comme un échec, comme des chaînes qui l'emprisonnent. Il se dit que demain est toujours un autre jour..
Il ne garde pas sa bonne humeur et sa force pour lui seul, non. Happy est souvent celui vers qui les gens se tournent quand ils ont besoin de parler. Car il sait écouter, et trouver les mots pour rendre courage. Car il a la force de porter deux fardeaux. Car il ne laissera jamais quelqu'un dans la détresse.



and blood on my hands

Cheveux châtains mi-longs, barbe datant de plusieurs semaines, il a la tête d'un survivant, comme sortit de " seul au monde ". Sous ses yeux bleus, des cernes, traces de la fatigue. Son corps est celui d'un homme de près de 40 ans comme les autres. Pas gros, pas une montagne de muscle, juste les traces d'une activité physique régulière, sans être poussée. Il porte quelques tatouages, le seul visible étant une chaîne s'enroulant autour de son bras droit, représentant ce qui le lie à la vie qu'il mène et qu'il aimerait changer.

Etant du genre voyageur discret sur de longues distances depuis que le monde s'écroule, il préfère les vêtements utiles, chauds et solides aux derniers cris de la mode. Ainsi il est vêtu d'une tenue camouflage de chasse, et garde toujours des vêtements plus décontractés comme un jeans, un survet', pour rester tranquillement dans une planque.
Il porte un sac militaire, utile pour transporter des gourdes, de la nourriture, des allumettes, une couverture, une lampe torche, une pierre à aiguiser, ses dernières munitions de .45, et tout ce qu'il pourrait trouver d'utile.
Toujours à sa ceinture, un vieux modèle de 1911, qui appartenait à son père. Une arme qu'il n'utilise qu'en cas d'extrême urgence. L'expérience lui a fait comprendre que, même s'il sait  s'en servir, le silence et la durabilité d'une lame est largement préférable aux armes à feu.Il garde donc son fidèle couteau de chasse, longue lame parfaitement aiguisée.

a storm is coming

Erik est né d'un père Allemand, Marco, et d'une mère Américaine, Julia. Il est le deuxième et dernier enfant du couple, sa soeur Anna est de trois ans son aînée. Une famille assez modeste, habitant la petite ville d'Aberdeen, à quelques miles de Seattle. Marco y travaille dans une petite armurerie, vendant surtout du matériel de chasse et de pêche. Julia travaille à mi temps dans l'un des fastfoods du coin. 
Erik grandit donc dans cette petite ville, et se sent rapidement plus intéressé par la musique que par les études, et ce même s'il réussit plutôt facilement sur les bancs de classes. Son attitude rêveuse, ses résultats, et ses origines lui attirent les foudres des autres élèves.  A l'âge de 18 ans, il arrête l'école et entre comme serveur au fastfood où travaille sa mère. Il compte sur ce maigre salaire pour s'investir dans le groupe de rock dans lequel il est guitariste : The Blue Bananas. Le succès ne vient pas, et lassé de servir de la malbouffe à des gosses aussi polis que patients, il change de job et travaille à la caisse, dans un magasin de chaussures. Il continue de tourner dans la région avec son groupe, essayant parfois les bars de Seattle. C'est dans un de ces bars qu'il rencontre Sara, après un bon petit concert. Un an après leur rencontre, âgé de 23 ans, il l'épouse. Au début, tout va bien entre eux, elle croit en ses rêves, en son groupe. Elle voit en lui l'idole qu'il rêvait d'être. Mais quand elle commence à parler d'enfants, le rêve se brise. Il reporte, tout le temps, accusant le manque d'argent, la jeunesse. La vérité est qu'il n'en veut pas. Pas encore, pas maintenant, pas comme ça.. Un soir, à la fin d'un concert dans un bar, un producteur leur propose un bon contrat. Entrée en studio, puis tournée dans l'état, ensuite le nord, et enfin tout le pays ! Quand il annonce la nouvelle à Sara, elle lui répond être enceinte... Le coeur lourd, il quitte son groupe, assumant son rôle de père. Le groupe ne survit pas à ce départ, et se sépare juste avant la tournée. Marco embauche son fils à l'armurerie. Mieux payé, il prépare l'avenir de sa famille. Mais après deux mois, Sara est bien obligée de lui avouer son mensonge.. Elle n'est pas enceinte. Juste jalouse,e t terrifiée à l'idée de perdre son mari, à la faveur d'une jeune et jolie groupie.
Un mensonge qu'il n'arrive pas à lui pardonner. Il est persuadé qu'avec lui comme guitariste, le groupe ne se serait pas arrêté. Il aurait connu le succès.. Mais son rêve est brisé par les mensonges, par le manque de confiance de celle qu'il aimait. 
Chez lui, il s'enferme souvent dans son bureau, seul avec sa guitare. Il compose, il écrit, et partage de moins en moins ses créations avec sa femme, celle qui se définissait comme "Sa plus grande fan".
La routine s'est installée. La semaine, il travaille, le week end, il part à la pêche avec ces gens.. Ceux qu'il appelle amis, mais qui n'ont que peu d'importance dans sa vie. Même la pêche n'a rien d'important. Non, il cherche juste à s'évader. Croire qu'il est encore libre.
La relation avec sa femme n'empire pas, elle commence simplement à disparaître. Le couple ne partage plus grand chose. Pourtant ils se restent fidèles. Elle l'aime sincèrement, et lui, il tient à elle. Il ne veut en aucun cas lui faire de mal. Il attends que les choses passent, s'améliorent..

Il a 30 ans maintenant. Sara est réellement enceinte ! La nouvelle est tombée, et même s'il est un peu méfiant au début, il se laisse envahir par la joie. Ils se retrouvent comme au début, amoureux, soudés, proches. Mais alors qu'il nage en plein bonheur, Erik reçoit un appel, au travail. Il apprend que Sara a eu un accident de voiture, et qu'elle est à l'hôpital. Il se précipite pour la voir, et apprend la terrible nouvelle.. Si elle n'a rien de grave et que ses jours de sont pas en danger, elle a perdu l'enfant qu'elle portait. Ce drame lui brise définitivement le coeur, il ne s'en remettra jamais. Elle lui avoue ne plus vouloir parler d'enfant, et lui.. il est bien de son avis.

Le temps passe, les années se suivent et se ressemblent. La routine s'est de nouveau installée. Erik s'éloigne d'elle, encore. Il est même convaincu de ne plus l'aimer, mais il reste par habitude. Ses rêves lui reviennent. Il rêve de partir, de la quitter, de tout recommencer à zéro, de reformer son groupe, ou en former un nouveau.. Partir à l'aventure, comme s'il avait encore 20 ans. 
Les Blue Bananas se reforment. Pendant deux ans, ils ne font que jouer entre eux, pour le plaisir. Mais Erik veut plus.
Il veut s'accorder une deuxième chance de réaliser son rêve. Il ne dit rien à Sara, mais il enregistre une maquette de son groupe, dans un petit studio de Seattle. La démo en main, il l'envoie tout d'abord à quelques petites maisons de disques, mais les réponses tardives, négatives, ou les contrats trop peu ambitieux n'arrivent pas à satisfaire sa soif de rêve. Erik n'en peut plus. Cette vie qu'il mène, à l'approche de ses 40 ans, il n'en veut plus.. Il décide, avec les membres de son groupe, de tout plaquer.. Femme, boulot, famille, au diable.. Il veut partir en tournée avec eux, avec leurs propres moyens, leurs économies, et s'adresser en personne aux producteurs. De la folie pure, sans doute, mais c'est ce qu'il désire..  .


Un jour, Erik ne va pas au travail. « Malade », soit disant. Il laisse partir Sara, prépare ses valises, laisse un mot d'adieu, aussi simple que court, et s'en va, avec ses propres économies. Sur la route, il s'arrête devant l'armurerie de son père...

... Il claque la porte de sa vieille Ford. Il est de l'autre côté de la rue. Il hésite.. Combien de gens va t il décevoir ? Sara sort de l'armurerie. Elle est sûrement partie prévenir Marco. Il se retourne, pour ne pas se faire repérer. Il regarde les télévisions. Sur l'une d'elle, une vidéo attire son attention. Un mec qui agresse un homme noir.
« Pauvre type.. Quel monde de dingue », soupire t il. Il regarde sa montre, et remarque que sa main tremble. Il feint d'ignorer pourquoi. Sa décision est prise. Il part. Il traverse la rue. Immobile devant la porte, il passe la main dans ses cheveux. Il pousse la porte de sa main, et entre, fixant le sol. Sans relever les yeux, «  Happy » s'adresse à son père. Il sait exactement où il est. A cette heure, il passe toujours un coup de chiffon sur le gros poisson en plastique, au coin du magasin.
« Salut 'pa.. C'est moi. Ecoute je.. », et le voilà interrompu par un « shtt ! Regarde ça », venant du comptoir. Son père est là, casquette vissée sur la tête. Il regarde la télévisions, les informations parlant de tout, de rien, et du match de la veille.
« J'ai vu ça 'pa. Joli match, mh ? Ecoute je.. je dois te... »
« Oui oui je sais, Sara vient de passer. Va te coucher. Et reviens en forme demain. »
Marco n'a pas quitté l'écran des yeux. Pas un seul instant, pour regarder son fils. Oh pourtant, il l'aime. Mais il n'a aucune idée de ce qu'il va faire.
« .. Bye 'pa. Je t'aime tu sais. » Il pousse de nouveau la porte du magasin. « Prends soin de maman. Et de Anna aussi.. »
Marco se retourne, sourcils froncés, il ne comprend pas le sens de la phrase de son fils.
« Qu'est ce qu'il a aujourd'hui? », en regardant la porte se fermer.

Erik démarre sa voiture. Il tente d'appeler ses amis, les membres de son groupe. Sans réponse, sauf pour le bassiste. Il ne viendra pas. Les autres non plus. Il lance son téléphone par la fenêtre, de rage, de solitude. Il roule. Sans savoir où. Sans savoir pourquoi. Sans savoir ce qui bientôt va arriver à ce monde...

Cela fait maintenant deux mois que Happy a quitté sa femme et sa famille, ne laissant qu'un mot derrière lui. Il est seul, avec sa guitare acoustique, passant de bar en bar, dormant de motel en motel, parfois même dans sa vieille mustang. Il a essayé de nombreuses productions.. En vain, jusque là.

13H40, quelque part sur la route, au sud de Portland. Erik s'arrête, pour faire le plein, encore. Manger un bout, boire un café ou deux. Il gare sa voiture, et entre dans la station service. Il commence à lire un journal abandonné sur une table, et son - nouveau - téléphone sonne. Pour une bonne nouvelle ! Sa maquette a impressionné un producteur qui désire le rencontrer en personne. Le rendez vous est pris pour la semaine suivante. Fou de joie, il pense d'abord a appeler son père, puis sa femme.. mais il réalise qu'il les a abandonné. C'est comme s'il était pour la première fois conscient de ses actes. Il est trop tard, de toutes façons.. Ca, Happy en est sûr.

on the highway to hell

Deux semaines plus tard..

Il ignore ce qui arrive à ce monde. Il ne sait pas comment ça a commencé, si c'est une rébellion, une maladie, une invasion.. Tout ce qu'il sait, c'est que depuis quelques temps, c'est vraiment le merdier dehors. Il est là, perdu au milieu de nulle part. Le téléphone en main, il essaye encore et encore de joindre son père. Comme toujours, il tombe sur le répondeur automatique. Et cette fois, il se sent bien obligé de laisser un message.

 

« 'Pa, c'est moi. Ecoute, je vais bien, t'en fais pas. Je suis désolé pour tout ça.. Je.. j'avais besoin de temps. Besoin d'air. Pour réfléchir. Ca ne va plus avec Sara, tu sais.. Je me demande même si ça a été un jour. C'est un peu le bordel partout, 'Pa. Les gens deviennent fous. Et y a cette histoire de maladie.. 'Pa, j'espère que tout va bien. Je vais rentrer. Je rentre, ouais. Fais.. Fais gaffe à toi et à maman, ok ? J'ai presque plus de batterie.. M'appelle pas. Mon dieu j'espère que tu vas bien. Que tout le monde va bien.  Ecoute, sois à la maison demain dans l'apres midi. Je... Je rentre. Je pars de suite. Je serai là, okay ? »

Provisions dans sa mustang, ne se souciant guère plus d'avoir manqué le rendez vous de sa vie, il repart chez lui. Les regrets.. Oh les regrets. Il a abandonné ceux qu'il aimait et qui l'aimaient, pour la folie des grandeurs.. Aura t il les mots pour s'excuser ?


3 jours plus tard..

Alors qu'il est encore à plus de 200 miles de chez lui, sa vieille ford rend l'âme. 
Pas de téléphone, batterie vide.. de toutes façons les lignes sont surchargées. Comme le sont les routes.. Pas le choix, il prend ce qu'il peut porter, de l'eau et de la nourriture, et continue à pied. Il tente de faire du stop. En vain..

40 jours plus tard.

Même Aberdeen est tombée. Il n'y a plus rien ici. Des voitures abandonnées, des maisons vides.
Sur les murs, des avertissements sont peints. « Fuyez.. », « Que dieu nous pardonne », et d'autres messages adressés aux proches des familles. Il y a quelques uns de ces «  monstres », mais isolés pour la plupart.
Erik se faufile, à travers les ruelles, se cachant derrière ce qu'il peut pour ne pas être vu par ces choses. Il ne sait même pas ce qu'il espère trouver ici, à Aberdeen. Au fond de lui, il sait qu'il est revenu pour rien. Que l'espoir est un luxe qu'il ne peut pas payer. 
Il arrive devant la maison familiale. Posté derrière une voiture, il lance un caillou dans une des vitres. Puis un second. Aucune réponse. Il recommence, plus fort, de plus gros cailloux, et brise une fenêtre. Aucune réponse.
Armé d'une grosse clé de 30, il se décide à entrer. La maison est sans dessus dessous. Les meubles ont été retournés, sur le sol, vidés, des portraits arrachés. La télé est brisée. Comme quelques unes des fenêtres. Lentement, il avance, dans le chaos qui remplace la maison de son enfance. Ses mains tremblent. Il sait qu'il peut tomber sur le corps d'un des siens à tout moment, ou même pire encore..

« 'Pa.. ? » Aucune réponse. « M'man ? Anna ? S..Sara.. ?» Aucune réponse. Happy, qui est loin de l'être pourtant, fouille la maison. Pas de traces des siens.. Soudain, il est alerté par un étrange grincement à l'étage. Il monte l'escalier, et ouvre la porte, celle de la chambre de sa soeur. C'est une véritable vision d'horreur qui s'offre à lui. Sa mère et sa soeur, gisant sur le sol, mortes depuis quelques jours déjà, de ce qui semble être une balle dans la tête. Il voit le vieux pistolet de son père, un calibre 45, pas loin des cadavres. Il s'en saisit, et inspecte le chargeur. Il manque deux balles.. L'horreur s'empare de lui, il comprend que son père a exécuté sa propre famille. Il entend de nouveau le grincement, provenant de l'autre chambre.
Il pousse la porte, et y trouve son père se balançant au bout d'une corde, s'agitant dans de petits râles étouffés, mais à l'agressivité palpable. Ses mains se tendent vers son fils, dans l'espoir d'en arracher un morceau de chair, pour y goûter. Erik tombe à genou, devant ce spectacle macabre.

«  Chui désolé 'Pa.. tellement.. désolé.. si seulement j'étais resté.. ».. S'en suit le cri de son arme. Un tir seulement, pour délivrer son père d'une non mort honteuse.

Les larmes sur les joues, l'arme en joue, il évolue dans les rues perdues, oubliées, abandonnées. Il se rend chez lui. Même scénario. Derrière une voiture, pas de rôdeurs en vue. Un caillou, pas de réponse. Deux, pareil. Il entre, la porte est ouverte. La maison a été pillée. Comme pour chez ses parents, tout est au sol, cassé, éparpillé, ou manquant. Il lance un bout d'assiette dans l'un des murs et se planque. Rien. La maison est vide. Il fouille partout, pas de trace de Sara. Jusqu'à trouver son propre mot. Au verso, la réponse de sa femme.

- Mon chéri, je sais que tu reviendra. Je t'attendrai. Prends le temps qu'il te faut. J'ai essayé de t'appeler, mais je n'arrive pas à te joindre. Je suis inquiète pour toi, et.. tu me manque déjà. Je t'aime. Sara. -

Ce qu'il peut rester de larmes en lui jaillit d'une fois. Il s'écroule, à genoux, brisant enfin le silence pour traduire sa peine. Il se justifie de «Je suis désolé » chevrotants, mêlés à d'autres plates excuses plus ou moins identifiables à travers les sanglots. Il réalise qu'il l'aime toujours, et qu'il a peur pour elle.. Peu importe ses rêves maintenant.. Il veut juste la retrouver, la serrer contre lui, la protéger.
Il trouve une seconde lettre, signée de sa femme encore.


- Erik, j'ai peur pour toi.. Ces histoires me font peur, tellement. J'aimerai que tu sois là..
Je suis désolée mais je ne peux plus rester ici. Je dois aller voir mes parents, à Seattle.. J'ignore s'ils vont bien.. Je dois aller voir. Rejoins moi là bas .. si jamais tu lis ceci.. Je t'aime. -

Il laisse un mot, disant qu'il part à sa recherche sur Seattle, et de ne surtout pas bouger si elle revient ici, à Aberdeen, car lui reviendra s'il ne la retrouve pas.
Il se prépare au voyage.. Quand il arrive à l'armurerie, il n'y a plus rien, ou presque. Seuls quelques fusils de chasse, des balles et des cartouches, une ou deux armes de poings, et un couteau de chasse, son futur meilleur ami.. Il y fait aussi et surtout la rencontre de " Sonic! ", cette étrange jeune fille qui a tenté de le tuer. Le sort a voulu qu'ils se rendent aux même endroit, ainsi donc ils décident de faire la route ensemble.

Préférant voyager léger, il ne prend que deux boites de munitions pour son pistolet, des vêtements solides, et se remet en route, vers Seattle, à travers l'enfer..
En sortant, il jette un coup d'oeil au répondeur. Son dernier message résonne dans sa tête, mais il n'a désormais plus de larme pour le traduire..


Combien de temps exactement ?..

La route est longue, très longue. Difficile. Parfois à pied, parfois avec une voiture qui n'est pas vraiment la sienne. Mais il n'est plus seul, maintenant. Et ça le rend plus fort. Ils arrivent devant la panneau de Seattle. Que reste t il encore dans cette ville ? A t il la moindre chance de retrouver sa femme ? Il aura bientôt les réponses à ses questions. Il s'arrête un instant, sur la route, le regard rivé vers les immeubles, géants gris, témoins de la grandeur des hommes et de leur chute.. La main dans sa barbe, qu'il n'a pas rasé depuis le début de son voyage, il laisse échapper un sourire, suivit d'un murmure
. «  Sara, me voilà.. ».

time to meet the devil

• pseudo › sur internet, écrire ici
• âge › écrire ici

• comment as-tu découvert le forum ? › Conseillé par Johnny Halliday lui même, via sa secrétaire.
• Ton ancien personnage ?  › Un sombre inconnu du nom de Erik Ziegler ( Nom de merde ! )
• et tu le trouves comment ? › Manque un peu de fromage.
• présence › Autant que possible Very Happy 

• code du règlement › The strong eat my dog because there is no moar knives to cut the flesh deeper faster stronger harder better on the red edge of ... Ok.
• crédit › de la bannière et du gif, écrire ici
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: Erik Ziegler

Jeu 7 Jan 2016 - 10:42

"Informations: - Barbe de deux mois."
Blblblblblbl Erik Ziegler  1342238320
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Re: Erik Ziegler

Jeu 7 Jan 2016 - 13:02

Bon retour Eriiik :smile12:
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Re: Erik Ziegler

Jeu 7 Jan 2016 - 14:53

Merciiiiii !
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Re: Erik Ziegler

Ven 8 Jan 2016 - 10:05



bienvenue Jedi !

Tu es maintenant validé(e) ! Tu vas pouvoir commencer à combattre le côté obscur de la force !

Si tu as la moindre question supplémentaire, tu peux contacter le staff par MP pour de plus amples informations.


Afin que ton intégration se passe bien :

• Poste ta fiche de liens pour trouver des copains  ♥
• Mais aussi tes annexes
• Et pour te lancer dans l'aventure viens faire une demande de RP !


N'hésite pas non plus à venir faire un petit tour dans le FLOOD et sur la CHATBOX, nous serons content de t'y accueillir !

Le staff au complet te souhaite une excellente apocalypse et un très bon jeu sur TWD ♥
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Re: Erik Ziegler

Ven 8 Jan 2016 - 12:33

Merci Maître Yoda <3 !
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Re: Erik Ziegler

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