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JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Dim 17 Jan 2016 - 20:45
50 ANS • AMERICAIN • SERGENT MAJOR DE L'US ARMY • THE TRAVELERS
Le Stiglitz est un animal redoutable. Bien que forcé de vivre en meute, et contraint à la solidarité dans la première partie de sa vie, c'est avant tout un être téméraire capable de briser tous les principes de la déontologie pour avoir la chance de sauver son cul. Son caractère méfiant fait de lui une proie difficile qui ruse et dupe ceux qui se présente comme étant ses prédateurs. Le Stiglitz est fier, il a beau être peu bavard, il n'en est pas moins dangereux. Ses répliques, rares mais sanglantes, prononcées avec une assurance déconcertante, un sarcasme ravageur, et une froideur glaciale, tuent aussi efficacement que les balles qui s'échappent du canon de son arme. Le Stiglitz a des yeux de lynx, et le flair du meilleur des chiens de chasse. Il observe, il flaire, il sent arriver les choses et se pare au mieux pour qu'elles aient le moins d'impact possible sur lui et les gens qu'il a décidé de prendre sous son aile. Parce que, oui, bien que le Stiglitz ne connaisse pas l'altruisme, il est doté de la notion d'empathie, et même s'il pense avant tout à lui, il lui arrive d'être saisi d'une lueur de compassion qui le pousse à protéger et aider l'un de ses congénères. Et s'il y a bien une qualité que l'on ne peut retirer au Stiglitz, c'est sa loyauté. S'il décide de vous venir en aide, à moins que vous ne lui fassiez regretter son geste d'une quelconque façon, il ne vous lâchera pas tant que vous ne serez pas remis sur pied. C'est pas un salaud, le Stiglitz. Il a juste la facheuse tendance de montrer ses défauts avant que l'on ait pu se rendre compte de ses qualités. Et puis, le Stiglitz est humain. Il a des sentiments, des émotions, qu'il n'extériorise pas assez pour que sa santé mentale soit au mieux. Alors parfois, le Stiglitz a des mauvaises périodes. Personne cependant ne l'a encore vu pleurer. Lui arrive-t-il de verser une larme ? Possiblement. Rappelons-le, le Stiglitz est fier, son masque est des plus tenaces et sa carapace des plus épaisses, mais si vous parveniez à la fissurer, vous pourriez avoir de drôles de surprises..
On dépeint le sergent major Stiglitz comme un homme de taille et de corpulence moyennes. Sa carrière dans l'armée de terre américaine lui a taillé une musculature fine, a fait de lui un homme robuste, et a dessiné sur son corps de multiples cicatrices. On lit toute la force de son caractère dans le bleu de son regard, souvent surligné par l'expression sévère de ses sourcils froncés. Ses cheveux bruns en bataille commencent doucement à grisonner sur ses tempes, et la barbe se fait progressivement une place la peau abîmée de son visage. Question vêtements, ses exigences n'ont rien de raffiné. Il portait la plupart du temps un pantalon militaire ou un jean, accompagnés de tee-shirts unis ou de chemises à carreaux et surmontés d'un blouson quelconque. Mais aujourd'hui, c'est le 95ème jour qu'il porte la même tenue militaire, et cela fait 95 jours qu'il n'a déchaussé de ses fidèles Rangers. Question équipement, James ne quitte jamais son couteau à viande et son Glock surmonté de son silencieux. Il ne se sépare jamais non plus de son fusil d'assaut, un M16A4, arme standard de l'US Army. Ses réserves de munitions sont toutefois maigres, le contraignant à n'utiliser ses armes à feux qu'en cas d'extrême nécessité et préférant donc utiliser sa lame à steak fétiche. Il se déplace en chevauchant un VTT noir qu'il a récupéré dans une rue alors que celle-ci se transformait en champ de bataille contre les morts vivants.
James Fernando Stiglitz est né le 20 octobre 1965 à Jacksonville, en Floride, d’un père peu recommandable et adultère et d’une mère trop bête pour s’en rendre compte. Ses parents se séparent deux ans après sa naissance, et condamnent James à passer sa jeunesse, bourlingué entre la Floride et la Caroline du Nord, où son père farcit si bien une autre dinde blonde que bientôt deux petits dindonneaux naîtront de leur union. Malgré le manque d’attention de ses parents et l’instabilité de sa situation, James n’ira pas jusqu’à dire qu’il aura eu une enfance malheureuse. Même s’il n’obtenait pas tout ce qu’il voulait, il avait quelque chose dans l’assiette à chaque repas, et toujours un toit au-dessus de la tête.
Sa mère se suicide pendant l’été précédant l’entrée de James au lycée, le laissant seul et contraint d'abandonner tout ce qui pouvait le retenir à Jacksonville. Il aménage donc chez son père, étudie au Broughton High School de Raleigh, travaille à mi-temps dans une quincaillerie miteuse, et supporte tous les soirs les caprices de sa belle-mère et de ses deux jeunes demi-frères, jurant qu’à sa majorité, il se tirera de ce trou, et n’y remettra jamais les pieds.
En juin 1983, James termine le lycée, et s’engage immédiatement dans l’armée de terre, qu’il rejoint le jour de ses 18 ans, au moins d’octobre de la même année. Lors de ses permissions, il ne rend pas visite à son père, qu’il prétend mort quand on lui demande des comptes, et préfère atterrir là où il n’a jamais mis les pieds. Sans attache, il est indépendant. Il vit ainsi jusqu'en 1989. Cette année là, il a un peu plus de vingt quatre ans, et il rencontre une jeune femme, étudiante en journalisme, alors qu'il fait halte à San Francisco. Elle tombe amoureuse, il laisse des affaires chez elle et lui rend visite dès qu'il le peut.
En décembre 1990, il est envoyé au Koweit, et c'est un homme différent qui en reviendra, quelques mois plus tard. Encore plus discret, plus autoritaire, et inquiet. Mais elle l'aime quand même, si bien qu'ils se marient, en 1993, et qu'elle met au monde leur premier enfant, une fille, trois ans plus tard.
En 1998, son unité est envoyée au Kosovo, et sa femme, en tant que journaliste spécialisée dans les conflits mondiaux, a été envoyée par CNN, elle-aussi, dans cette région du monde, pendant que leur petite fille âgée de deux ans à peine, vit chez la soeur de cette dernière, à Seattle. Malheureusement, cette petite ne reverra jamais sa maman, victime d'une balle perdue, elle meurt des suites de ses blessures à l'hôpital de Pristina. Tout le monde aux Etats-Unis est au courant, mais James.. Il ne l'apprendra qu'à son retour à Seattle, chez sa belle-sœur. Vous imaginez la bonne surprise.
La petite continue de grandir chez sa tante, et James continue de vivre et de faire la guerre partout sur la planète, et de revenir voir sa fille dès que l'occasion se présente. Il l'aime plus que tout sur ce monde, et ne pas être auprès d'elle autant qu'ils le voudraient tous les deux est une véritable épreuve à vivre chaque jour.
Les années passent. L'enfant grandit, et l'homme mûrit et gravit les échelons. James parvient à se remarier, à donner un fils à une femme, puis à divorcer. A l'été 2015, sa fille a dix neuf ans, et étudie à l'université de Seattle. Lui, est caserné à Boise, dans l'Idaho.
Sa mère se suicide pendant l’été précédant l’entrée de James au lycée, le laissant seul et contraint d'abandonner tout ce qui pouvait le retenir à Jacksonville. Il aménage donc chez son père, étudie au Broughton High School de Raleigh, travaille à mi-temps dans une quincaillerie miteuse, et supporte tous les soirs les caprices de sa belle-mère et de ses deux jeunes demi-frères, jurant qu’à sa majorité, il se tirera de ce trou, et n’y remettra jamais les pieds.
En juin 1983, James termine le lycée, et s’engage immédiatement dans l’armée de terre, qu’il rejoint le jour de ses 18 ans, au moins d’octobre de la même année. Lors de ses permissions, il ne rend pas visite à son père, qu’il prétend mort quand on lui demande des comptes, et préfère atterrir là où il n’a jamais mis les pieds. Sans attache, il est indépendant. Il vit ainsi jusqu'en 1989. Cette année là, il a un peu plus de vingt quatre ans, et il rencontre une jeune femme, étudiante en journalisme, alors qu'il fait halte à San Francisco. Elle tombe amoureuse, il laisse des affaires chez elle et lui rend visite dès qu'il le peut.
En décembre 1990, il est envoyé au Koweit, et c'est un homme différent qui en reviendra, quelques mois plus tard. Encore plus discret, plus autoritaire, et inquiet. Mais elle l'aime quand même, si bien qu'ils se marient, en 1993, et qu'elle met au monde leur premier enfant, une fille, trois ans plus tard.
En 1998, son unité est envoyée au Kosovo, et sa femme, en tant que journaliste spécialisée dans les conflits mondiaux, a été envoyée par CNN, elle-aussi, dans cette région du monde, pendant que leur petite fille âgée de deux ans à peine, vit chez la soeur de cette dernière, à Seattle. Malheureusement, cette petite ne reverra jamais sa maman, victime d'une balle perdue, elle meurt des suites de ses blessures à l'hôpital de Pristina. Tout le monde aux Etats-Unis est au courant, mais James.. Il ne l'apprendra qu'à son retour à Seattle, chez sa belle-sœur. Vous imaginez la bonne surprise.
La petite continue de grandir chez sa tante, et James continue de vivre et de faire la guerre partout sur la planète, et de revenir voir sa fille dès que l'occasion se présente. Il l'aime plus que tout sur ce monde, et ne pas être auprès d'elle autant qu'ils le voudraient tous les deux est une véritable épreuve à vivre chaque jour.
Les années passent. L'enfant grandit, et l'homme mûrit et gravit les échelons. James parvient à se remarier, à donner un fils à une femme, puis à divorcer. A l'été 2015, sa fille a dix neuf ans, et étudie à l'université de Seattle. Lui, est caserné à Boise, dans l'Idaho.
Octobre arrive, avec tout le merdier qui annonce la fin du monde tel qu'on le connait aujourd'hui. De par son statut de militaire, James en sait légèrement plus que le commun des mortels, mais les officiers en savent encore plus, et il a la frustrante certitude que l'on cache au monde des choses graves, et que le pire reste malheureusement à venir. Au milieu du mois, les événements semblent s'intensifier dans l'Etat de Washington. Etant encore à Boise, seulement peu d'informations lui reviennent aux oreilles, mais elles ont l'air suffisamment alarmantes pour que James téléphone très régulièrement à sa fille pour lui donner consignes, conseils et réconfort.
Au fil des jours, la situation s'aggrave mais ne se précise pas, les divers corps militaires américains sont alertés et sont appelés à rester muets quant à l'évolution des enquêtes. James, de son grade de sous-officiers, est loin d'être au courant de tout, mais il en sait assez pour être sévèrement tourmenté et angoissé pour la sécurité de sa fille à Seattle. La fréquence de ses appels redouble, mais la charge de travail pour les militaires s'intensifiant de jour en jour, la durée de ses coups de fils, elle, diminue grandement.
A la mi-octobre, tout dégénère. Le public commence à découvrir ce qu'il se passe, et les cas d'infection se multiplient aussi exponentiellement que la présence des forces de l'ordre en ville. Boise ne fait pas exception à la règle. Les réseaux sont saturés, il devient de plus en plus difficile d'avoir sa fille au téléphone, et James a de plus en plus de mal à garder son calme. Il supporte de moins en moins bien l'idée d'être là, dans une plus petite ville où la menace, même si elle est présence, est toutefois moindre, nourri et logé dans la caserne, alors que sa fille est livrée à elle-même dans l'un des plus grands foyers de l'épidémie.
Un beau jour du mois de novembre, alors qu'il partait en mission d'assainissement dans les rues de Boise, il fut pris d'un coup de folie. Il n'en pouvait plus. Il ne pouvait plus supporter l'absence de sa fille, et la savoir en danger était devenu insurmontable. Et puis, il y avait ce vélo, sur le macadam.. Ses mâchoires se crispèrent un instant, puis il releva les yeux vers ses camarades.
"Thompson, O'Keefe !" lança-t-il à l'intention des deux soldats qui l'accompagnait. Ils se retournèrent tous les deux, et c'est alors qu'il désigna du bout de l'index un grand immeuble. Les deux militaires hochèrent la tête, et arme en joue, s'aventurèrent dans le bâtiment, s'attendant à ce que leur supérieur les suive.
Il n'en fut rien.
Quand ils sortirent de l'immeuble, après avoir massacré quelques zombies, le sergent major ne les attendait pas à l'extérieur. Et le VTT noir, n'était plus là, sur le macadam. Stiglitz venait d'entamer le long périple de 910 kilomètres, qui le séparait du fruit de ses entrailles.
Deux mois et demi plus tard, à la fin du mois de janvier 2016, les nombres aux panneaux indiquant Seattle ne contiennent plus que deux petits chiffres. C'est un James Stiglitz affamé, assoiffé, et exténué qui arpentent les routes de l'état de Washington, à cheval sur ce même VTT volé dans l'Idaho. La dureté du voyage a laissé des traces sur son visage. Son arcade sourcilière est entaillée, ses lèvres sont gercées, de nombreuses coupures tailladent ses bras et l'on ne compte même plus les hématomes qui colorent son corps tout entier. Son chemin aurait du prendre moins de temps, mais il a rencontré énormément d'obstacles. Des pillards qui ont tenté de le tuer. Des femmes qui jouaient de leurs charmes en vue de le dépouiller. Des jours sans pain. Des matins sans eaux. Des nuits sans feu. Les conditions de son voyage étaient des plus déplorables, mais il n'y avait pas de montagnes assez hautes, de vallées assez profondes, de fleuves assez larges, pour faire renoncer un père. Au début du mois de février, James arrivera à Seattle. Il n'aura alors qu'une seule idée en tête : retrouver sa fille.
Au fil des jours, la situation s'aggrave mais ne se précise pas, les divers corps militaires américains sont alertés et sont appelés à rester muets quant à l'évolution des enquêtes. James, de son grade de sous-officiers, est loin d'être au courant de tout, mais il en sait assez pour être sévèrement tourmenté et angoissé pour la sécurité de sa fille à Seattle. La fréquence de ses appels redouble, mais la charge de travail pour les militaires s'intensifiant de jour en jour, la durée de ses coups de fils, elle, diminue grandement.
A la mi-octobre, tout dégénère. Le public commence à découvrir ce qu'il se passe, et les cas d'infection se multiplient aussi exponentiellement que la présence des forces de l'ordre en ville. Boise ne fait pas exception à la règle. Les réseaux sont saturés, il devient de plus en plus difficile d'avoir sa fille au téléphone, et James a de plus en plus de mal à garder son calme. Il supporte de moins en moins bien l'idée d'être là, dans une plus petite ville où la menace, même si elle est présence, est toutefois moindre, nourri et logé dans la caserne, alors que sa fille est livrée à elle-même dans l'un des plus grands foyers de l'épidémie.
Un beau jour du mois de novembre, alors qu'il partait en mission d'assainissement dans les rues de Boise, il fut pris d'un coup de folie. Il n'en pouvait plus. Il ne pouvait plus supporter l'absence de sa fille, et la savoir en danger était devenu insurmontable. Et puis, il y avait ce vélo, sur le macadam.. Ses mâchoires se crispèrent un instant, puis il releva les yeux vers ses camarades.
"Thompson, O'Keefe !" lança-t-il à l'intention des deux soldats qui l'accompagnait. Ils se retournèrent tous les deux, et c'est alors qu'il désigna du bout de l'index un grand immeuble. Les deux militaires hochèrent la tête, et arme en joue, s'aventurèrent dans le bâtiment, s'attendant à ce que leur supérieur les suive.
Il n'en fut rien.
Quand ils sortirent de l'immeuble, après avoir massacré quelques zombies, le sergent major ne les attendait pas à l'extérieur. Et le VTT noir, n'était plus là, sur le macadam. Stiglitz venait d'entamer le long périple de 910 kilomètres, qui le séparait du fruit de ses entrailles.
Deux mois et demi plus tard, à la fin du mois de janvier 2016, les nombres aux panneaux indiquant Seattle ne contiennent plus que deux petits chiffres. C'est un James Stiglitz affamé, assoiffé, et exténué qui arpentent les routes de l'état de Washington, à cheval sur ce même VTT volé dans l'Idaho. La dureté du voyage a laissé des traces sur son visage. Son arcade sourcilière est entaillée, ses lèvres sont gercées, de nombreuses coupures tailladent ses bras et l'on ne compte même plus les hématomes qui colorent son corps tout entier. Son chemin aurait du prendre moins de temps, mais il a rencontré énormément d'obstacles. Des pillards qui ont tenté de le tuer. Des femmes qui jouaient de leurs charmes en vue de le dépouiller. Des jours sans pain. Des matins sans eaux. Des nuits sans feu. Les conditions de son voyage étaient des plus déplorables, mais il n'y avait pas de montagnes assez hautes, de vallées assez profondes, de fleuves assez larges, pour faire renoncer un père. Au début du mois de février, James arrivera à Seattle. Il n'aura alors qu'une seule idée en tête : retrouver sa fille.
passeport :♦ recensement de l'avatar. - Code:
Sean Penn ♦ <bott>James F. Stiglitz</bott>
♦ recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
♦ James
♦ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
♦ Stiglitz
♦ recensement du métier. - Code:
♦ sergent major dans l'us army
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Re: JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Dim 17 Jan 2016 - 20:55
Bienvenue parmis nous
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Re: JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Dim 17 Jan 2016 - 21:06
Grah Sean Penn Je plussoie à 200% !
Bienvenue et bon courage pour ta fiche **
Bienvenue et bon courage pour ta fiche **
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Re: JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Dim 17 Jan 2016 - 21:19
Il a l'air d'en envoyer ce perso ! Impatiente de voir la suite colonel !
Bienvenue & bonne rédaction !
Bienvenue & bonne rédaction !
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Re: JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Dim 17 Jan 2016 - 21:20
CE CHOIX D'AVATAR ! J'adore ! Bienvenue !
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Re: JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Dim 17 Jan 2016 - 21:51
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Bonne rédaction !
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Re: JFS > you can run on for a long time, sooner or later god's gonna cut you down
Jeu 21 Jan 2016 - 11:12
MOH Sean Penn **
Bienvenue !!!
Bienvenue !!!
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