Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Buzz Detweiler
Jeu 21 Jan 2016 - 21:43
29 ans • Américaine • En école de dessin • CENTURYLINK
« La créativité, c’est l’intelligence qui s’amuse. »
En partant de ce principe-là, le cerveau de Buzz doit vraiment être surpuissant, parce que de la créativité, il n’en manque pas. Il a toujours eu une imagination débordante. Déjà tout gamin, il passait un temps fou à mettre en place des histoires fantastiques avec des amis imaginaires. Il n’avait aucun problème à s’inventer agent secret, pompier, sportif de haut niveau… Des heures durant, il se parlait à lui-même. Ça peut paraître très con maintenant, mais pour lui cela s’appelle avoir eu une enfance. Chose que les mômes d’aujourd’hui n’ont pas la chance d’avoir, vu qu’ils ne savent pas ce qu’est l’imagination.
Bon bien sur, il n’est pas devenu agent secret. Pompier c’était un poil trop dangereux quand même, et sincèrement sauver des chats coincés dans les arbres, ce n’était pas le genre d’activité qui le faisait rêver. Le seul sport dans lequel il n’est pas trop mauvais, c’est le beer-pong…
Jusqu’à présent, Buzz n’a rien accompli de très spectaculaire dans sa vie, mais il en avait bien l’intention. Il a un don entre les mains. Dessinateur hors pair, il souhaitait pouvoir vivre de sa passion. Avant que… Avant que le monde décide de partir en sucette.
Il paraît que le jeune homme est quelqu’un de malin… La clé, c’est qu’il a appris que pour avancer dans la vie, il faut d’abord penser àsoi, avant de se préoccuper des autres. Avoir la parlotte facile, blablater afin d’embobiner les gens, et hop ! Les belles phrases, c’est si facile à dire.
Buzz a également le sens de l’humour et surtout celui de l’autodérision. C’est aussi quelqu’un de très sarcastique, qui ne prend pas de pincettes avec les gens. Et il a une légère tendance à être vulgaire…
Il adore également chanter, même s'il n'a pas une voix magnifique à entendre. Danser et faire l'imbécile ne lui pause pas le moindre souci. Il aime aussi à l'occasion jouer un peu de guitare, qu'il ne maîtrise pas totalement. Il écoute des groupes comme Rage Against the Machine, Nirvana, Oasis...
Quand on part d’en bas, il faut se dire qu’il n’y a pas que les aigles qui arrivent au sommet. Les escargots aussi. Mais ils en bavent… Comme Buzz. Le problème c’est que lorsque nous venons au monde, personne ne nous dit que ça va être facile. Faut juste savoir s’accrocher, et foncer.
Pas mal de personnes diront qu’il est un râleur de première ! Mais il a l’habitude de répondre : je râle pas, je m’exprime, c’est complètement différent. Pour Buzz lorsqu’on a quelque chose à dire, il faut le sortir. Sinon après ça pourrit en dedans, et le résultat donne des idées de merdes. Alors oui, parfois il passe pour un mec qui n'en a rien à foutre… Pour un connard aussi. Mais le regard des gens l’importe peu. Sauf celui de Nara…
Il n’a pas changé depuis le début de l’épidémie. Il a juste l’impression d’être plongé au milieu d’un jeu vidéo. Le but étant de survivre, c’est ce qu’il s’applique à faire. Tout comme il accorde une grande importance à la sécurité de Nara. Descendre des infectés ne lui pose aucun problème. Il prend tous ça avec le sourire, et tente de s’éclater. Foncer dans le tas, sentir l’adrénaline dans son sang, cela lui donne l’impression d’être réellement vivant. Si c’est la fin du monde, autant en profiter et qu’elle soit cool non !
Buzz c’est un type assez grand, enfin dans la moyenne puisqu’il faut un peu plus d’un mètre quatre-vingts. Il est grand et sec. C’est sans doute la meilleure description possible. C’est certain qu’il n'a pas de kilos en trop. Avec un peu de bol ça évitera que les mordeurs aient envie de gouter à ses fesses. Qui sont plutôt pas mal à mater cela dit en passant.
Il n’a pas le physique de Musclor, mais il possède tout de même des pectoraux plutôt bien dessinés, tout comme ses abdos.
Cheveux bruns coupés court parce que longs, après un petit test de quelques mois, il a réalisé que cela ne mettait pas son visage à son avantage. Généralement il se rase assez souvent, cela lui évite d’avoir une allure totalement négligée. Il a des sourcils plutôt épais, et ce qu’on appelle « la ride du lion », au milieu de ces sourcils. Un nez long, et des lèvres fines. Buzz n’est pas un homme très déduisant, mais il a un visage très expressif. Et ça tombe très bien parce qu’il adore faire des grimaces. En fait il n’est pratiquement pas capable d’avoir une expression naturelle sur le visage. Il force toujours les choses avec ironie, humour… Sauf quand il est avec elle…
En signe distinctif, faut pas chercher très loin. Il a un bon paquet de tatouages sur les bras, partant des épaules jusqu’aux doigts. Ils n'ont pas tous de signification. Certains ont été faits juste sur un coup de tête, parce qu’il en avait envie. Des dents un peu jaunies, parce qu’il est fumeur depuis pas mal d’années déjà.
Ce n’est pas le genre d’homme à prendre soin de lui et à s’habilleren costume élégant. Même si le costar cravate lui va à ravir. Il porte d’ordinaire de vieux jeans pour la plupart trouer aux genoux. Des t-shirts avec des slogans chocs et des chemises à carreaux. Il adore aussi porter des bretelles ou une chemise en jeans. Petits trucs qui accentuent le côté artiste.
Aujourd’hui, sa vie tient comme pour pas mal des gens, dans un sac à dos.
Dedans il y a un peu de nourriture, histoire de pouvoir tenir quelques jours. Une bouteille pour l’eau, une lampe frontale qui lui donne un air complètement con lorsqu’il la porte, mais elle est super pratique. Il y a aussi une couverture de survie, un truc en alu qui isole du froid. Quelques affaires de rechanges. Une carte de la ville pliée et repliée sur elle-même. Un Zippo avec un aigle gravé dessus ainsi que cinq ou six paquets de clopes.
Une petite trousse avec des crayons, des fusains et un carnet à dessin qui compte déjà pas mal de gribouillis de son cru.
Dans une petite boîte en métal, planquée bien au fond, il y a une photo de Nara et lui en pleine séance grimaces, une liste de trucs qu’il aurait aimé faire dans ma vie rédigée lorsqu’il ’avait 10 ans, un porte-clés décapsuleur, et surtout un dessin qu’il a fait de Nara en train de dormir. Elle ne l’a jamais vu, et le jeune homme compte bien qu’il en soit ainsi encore longtemps.
Le crayon de bois noircissait peu à peu la page blanche du petit carnet calé sur le haut de sa jambe. Jamais très pratique de dessiner dans les transports en commun… Mais lorsque l’envie et l’inspiration étaient là, Buzz ne les laissait jamais passer. Ça devenait comme plus fort que lui, il fallait qu’il dessine. Une sorte de compulsion. Un besoin pour se sentir bien.
Il n’avait pas beaucoup dormi, rentrant tard ou tôt suivant comment on interprétait cinq heures du matin. La soirée s’était éternisée, mais il n’était pas du genre à dire non à quelques parties de billard, accompagné de bières. Soirée avec quelques connaissances. Oui connaissances parce qu’il n’était pas non plus le genre à avoir des vrais amis. Électron libre, il vivait au jour le jour, ne projetant pas de plans. Vivre au grand air, parcourir le monde, voir ce que la vie lui proposait…
Il vivait ainsi depuis qu’il avait pris son indépendance, quittant le foyer où il avait grandi. Enfant des services sociaux, il n’avait ni père ni mère connu. Très vite il s’était fait à l’idée qu’il n’avait sans doute été que le résultat d’une soirée d’ivresse, qu’un truc non désiré. Pas d’attache, pas de famille, pas vraiment d’ami. Buzz comme il aimait qu’on l’appelle, ne vivait que pour lui.
Son regard passait assez rapidement de la petite fille qui lui servait de modèle à la feuille de papier qu’il griffonnait. Se mordant la lèvre inférieure, il était concentré, complètement absorbé par ce qu’il était en train de réaliser. Il avait développé très tôt un amour et surtout un don pour le dessin. Enfant, cela avait permis à ses éducateurs de l’aider à canaliser son énergie débordante et d’exprimer sa créativité folle. Ce qui ne l’avait pas empêché de refaire la décoration des couloirs à sa façon…
Enfant turbulent, toujours à inventer les pires bêtises possibles… Avec un esprit rebelle, plus il était puni plus il recommençait ! Buzz n’a pas grandi dans un endroit plein d’amour et de tendresse. Prit en grippe par l’un des éducateurs, l’enfant ne se privait pas, allant des punaises sur la chaise, de la peinture dans les chaussures jusqu’aux œufs et farine sur le pare-brise de la voiture. Mais étrangement, il ne dira jamais que son enfance a été pourrie ou qu’il en a souffert. Au contraire, pour lui, il a eu la chance d’avoir une enfance…
Il s’est mis à fumer très tôt, pour se donner un genre. Première cuite à 13 ans, et il n’était âgé que de 14 ans lorsqu’il commença à consommer de la drogue.
Une fois indépendant, il avait passé pas mal de temps à se chercher. La plupart de ses fréquentations étaient des junkies, drogués… Les soirées n’étaient que défonce de neurone, bad-tripe, supplémenté d’alcool fort, de bagarres, et d’orgies.
Jusqu’à cette nuit… Complètement perché, Buzz était venu s’affaler dans un des canapés du squatte où ils avaient tous l’habitude de se retrouver chaque soir. Un joint entre les lèvres, une bouteille de vodka à la main, une fille sur les genoux qui ne désirait que lui. Il avait donné un coup de coude à Sony, l’un de ses amis de l’époque, histoire de lui faire passer le pétard. Fronçant des sourcils, cherchant à connecter quelque peu son cerveau, Buzz avait recommencé son geste, avec un peu plus de force. Sony était alors tombé du canapé. Les autres s’étaient tous mis à rire, mais Buzz lui s’était avancé pour comprendre, poussant la nana sans ménagement. En sentant la peau glacée du type sous ses doigts, une alarme s’était alors allumée dans sa tête. Il était mort !
Ce fut tremblant et en sueur, les pupilles aussi grosses que des têtes d’épingles que Buzz avait répondues aux questions des flics, après avoir signalé la mort de son ami. La descente avait été brutale… Cette nuit-là, il décida qu’il était temps pour lui de trouver un but à sa vie, et d’arrêter d’être con.
Un jour en livrant une pizza chez un client, il avait été transporté par la beauté d’un tableau accroché au mur. La toile était d’un artiste peu connu, Jeff Turner. Buzz trouvait l’œuvre magnifique. Ce jour-là il s’était juré que lui aussi, il vivrait de sa passion. Et qu’il deviendrait célèbre. Mais pour le moment, il jonglait entre les cours qu’il suivait dans une école d’art, et les petits boulots pour la payer, vu qu’il avait merdé pour l’obtention de la bourse d’études.
Un rapide coup d’œil à sa montre, et il envoya un SMS à Fred, une des filles qui vivaient dans sa collocation. Ils étaient à six entassés dans un petit appart’ minable. SMS pour dire à la jolie rousse qu’il était d’accord pour sa proposition le soir même. Pas de petite amie fixe. Que des histoires par-ci par-là. Rien de sérieux, la plupart du temps un soir, une fille. Si jamais la demoiselle espérait plus, ilsavait parfaitement jouer les connards pour qu’elle s’en aille d’elle-même.
Jamais de coup de foudre. Il n’était jamais tombé amoureux.
Excepté de sa liberté.
Son regard sombre croisa celui de l’enfant qu’il dessinait, et il lui sourit avant de faire une grimace. Buzz avait toujours aimé les gamins. Il aimait voir les yeux qui s’écarquillent de joie, de surprise, entendre les rires aux éclats déchirer l’air. En fait, c’était leurs innocences qu’il aimait. Mais cela ne semblait pas plaire à la mère qui lui lança un regard noir. Trop de tatouages… Les cernes, les cheveux mal coiffé ne devaient pas aider non plus. Mais ce genre de regard dédaigneux coulait sur lui comme de l’eau. Pour un peu on pouvait croire que rien ne le touchait jamais. Or c’était complètement faux. Mais pour lui l’indifférence était un « va te faire foutre » en tenue de soirée.
Le monde actuel commençait vraiment à l’emmerder. Buzz avait envie et besoin de changement. Il dévisagea la mère, tout en glissant le dessin réalisé dans les mains de la petite fille, avant de descendre du bus.
Du changement… Il ne se doutait pas ce jour-là qu’en passant les portes du Burke Museum, sa vie allait prendre un tout autre tournant. Jusqu’à présent il avait toujours été jemenfoutiste, aimant se complaire dans cette sorte de rôle d’incompris par la société. Parfois vulgaire, souvent déplacé, il aimait choquer. Et pourtant…
Pourtant ce jour-là, assis sur le sol, le dos calé contre un banc en face des représentations des hommes préhistoriques, se fut lui qui reçut le choc.
Lorsqu’elle avait ouvert la bouche, il n’avait pas levé tout de suite les yeux, ne captant pas qu’elle s’adressait à lui. Mais lorsqu’il daigna enfin la regarder, son cœur fit un bon dans sa poitrine. Il était resté quelques secondes la bouche ouverte comme un poisson haut de son bocal, sans qu’un mot ne puisse sortir. Est-ce que c’était ça un coup de foudre ?
Ce visage aux traits doux et rieur, ces yeux pétillants… En fait, en un regard tous de cette fille lui avaient tapé dans l’œil. Et la surprise fut un peu plus folle encore lorsqu’elle lui donna son nom. Turner… Nara Turner…
Il savait parfaitement qui elle était, et surtout qui était son père. Il s’agissait de son idole ! De l’homme qui avait donné un sens à sa vie.
N’ayant jamais eu de famille, Buzz trouva sans l’avouer, en la personne de Jeff Turner, une sorte de père. Complètement admiratif de son travail, le jeune homme fut au comble du bonheur lorsque Nara le présenta comme un ami. Parce que c’était ce qu’ils étaient devenus au fil du temps. Des amis.
Enfin c’était surtout ce que Buzz souhaitait parce que pour lui, il n’avait jamais été assez bien pour Nara. Son petit colibri, son poussin, sa demi-portion… Il était capable de tout pour elle. Pour ce petit bout de femme qui était apparue pour illuminer sa vie.
Oh il n’avait pas changé en rencontrant Nara, elle avait su l’accepter et le comprendre tel qu’il était.
Confident, grand frère, garde du corps, clown… Mais encore oreiller, chauffeur, agenda… Buzz savait s’inventer bien des rôles pour rester proche et présent pour la jeune femme. Et pourtant…
Pourtant même s’il ne l’avouerait surement jamais, c’était quelque chose de bien plus profond qu’il ressentait lorsqu’il était avec elle. Et encore plus lorsqu’il ne l’était pas. Mais Nara méritait quelqu’un de bien, quelqu’un de droit. Ce qui n’était pas son cas. Il se connaissait. Et ne voulant pas gâcher ce qu’ils partageaient, il s’était fait la promesse de ne jamais céder à son envie de poser ses lèvres sur les siennes ou plus encore. Il se contentait d’être un ami très proche. Heureux de la sentir s’endormir contre lui alors qu’ils regardaient un film, ou bien de lui passer sa veste parce qu’elle avait froid. Il était même capable de la pousser dans les bras d’un autre. Ne se privant pas lui pour passer des nuits sans lendemain avec des tonnes de filles. Histoire de brouiller les pistes.
Voilà… ça c’était sa vie. Sa vie d’avant…
La première fois que Buzz vit de ses yeux un infecté passer l’action, c’était juste en bas de chez Nara. Pour elle c’était nouvel appartement, nouvelle petite vie qui commençait. Ils avaient passé une journée entière un tourne-vise à la main, pour remonter les meubles afin qu’elle puisse être la plus rapidement possible installée. Il était en train de regarder par la fenêtre, cherchant un peu d’inspiration pour un futur dessin. Et c’est là qu’il avait vu ce type, une barre de métal en plus milieu du corps, agresser une femme… Sur le coup, il avait eu un peu de mal à encaisser le truc. Même s’il avait suivi les événements visa internet et que ça faisait quelques jours qu’il en parlait à sa meilleure amie.
En premier lieu quelque peu choqué de l’action qui venait de se dérouler sous ses yeux, son imagination n’avait pas perdu de temps pour se mettre en route, et partir dans des histoires plus farfelues les unes que les autres.
La panique gagnait peu à peu la ville. Alors même si cela ne plaisait pas vraiment, ils se décidèrent à suivre le troupeau. Mettre Nara et son père était devenu la priorité du jeune homme. Hors de question qu’il arrive quoique ce soit à son colibri.
Même s’il tenta de ne rien laisser voir, l’absence de Jeff lorsqu’ils arrivèrent à son apparemment avait créé en lui une sorte de panique. Mais protecteur comme toujours avec Nara, il l’avait rassuré de son mieux, en lui disant que son père devait certainement être déjà en sécurité. Qu’ils le retrouveraient là-bas… Ce n’était pas mentir, il croyait vraiment ce qu’il disait en la regardant dans le fond des yeux pour la persuader de le suivre.
Il la connaissait. Et même si elle avait fait un petit signe de tête, il avait grimacé avant de la prendre par la main. Ne comptant que sur eux-mêmes, ils avaient fait le tour de lieux où pouvaient se trouver Jeff… Mais l’artiste restait introuvable.
Il avait souhaité du changement… Eh bien il arrivait. Mais pas tout à fait de la façon qu’il avait espéré.
Aujourd’hui, Buzz se souvient à la perfection de ce qui s’est passé ensuite. Il avait posé ses mains sur les épaules de Nara, l’avait regardé dans les yeux et lui avait dit, complètement sérieux pour une fois : « -ça va aller ma belle, tant qu’on reste tout les deux, ça va aller. »
Même s’il semble prendre cette fin du monde et les infectés à la légère, riant et s’amusant de tout ça, dans le fond, il ne pense qu’à elle. Qu’à la protéger, la soutenir. Parce qu’il n’y a jamais eu qu’elle dans sa vie. Et que sans elle… Sa vie n’était plus rien.
Century Field…
Il sait qu’il a fait l’erreur de croire qu’il y avait un peu d’espoir. Aller savoir pourquoi il pensait que les militaires allaient pouvoir gérer la situation. Désillusion…
Plus le temps passe, plus il a l’impression de vivre dans une cage et de ne pas y être à sa place. Il semble déranger tant par son apparence physique que par sa façon d’être. S’il avait été seul, il aurait tout fait pour sortir d’ici. Mais il n’y avait Nara. Sa Nara…
Il encaisse comme il le peut, mais ce qui lui fait sans doute le plus mal c'est de voir des enfants au milieu de tout ça. Alors il ne perds jamais une occasion d'en faire sourire ou rire un lorsqu'il le croise.
Aujourd’hui Century Field, ce soi-disant lieu sécurisé vient de tomber…
Aujourd’hui les voilà sur la route, à devoir survivre au milieu de tout ça. Mais il prend ça avec le sourire, histoire que la fin du monde soit sympa ! Histoire surtout de ne pas laisser voir que dans le fond, il est ravagé par ce qu'il vit.
passeport :♦ recensement de l'avatar. - Code:
Votre célébrité : JOSEPH GILGUN ♦ <bott>Votre pseudo : Bruce Detweiler</bott>
♦ recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
♦ Bruce
♦ recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
♦ Detweiler
♦ recensement du métier. - Code:
♦ En école de dessin
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Buzz Detweiler
Jeu 21 Jan 2016 - 21:53
Buuuuuzz !
Bon retour alors et hâte de voir ce personnage enfin dans la place :smile48:
Bon retour alors et hâte de voir ce personnage enfin dans la place :smile48:
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Buzz Detweiler
Jeu 21 Jan 2016 - 22:35
Ce personnage est super cool, et ta fiche est géniale °° Y a une sauterelle qui saute déjà partout là tellement elle est heureuse :p Rebienvenue & bonne marche vers la validation de ton DC !
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Re: Buzz Detweiler
Jeu 21 Jan 2016 - 22:50
Jasper McCarthy a écrit:Ce personnage est super cool, et ta fiche est géniale °° Y a une sauterelle qui saute déjà partout là tellement elle est heureuse :p Rebienvenue & bonne marche vers la validation de ton DC !
- Invité
- Invité
- Casier judiciaire
- Feuille de personnage
Page 1 sur 3 • 1, 2, 3
Page 1 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum