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• Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 14:01


ELIJAH KENWAY
47 ans • AMÉRICAINE • PROFESSEUR D'UNIVERSITÉ • THE TRAVELERS

i've got a war in my mind

On ne peut pas dire que je suis un orateur né même si on le suppose aisément lorsque l’on m’entend m’exprimer avec cette éloquence qui m’est propre. Pourtant, silencieux et observateur de naissance, j’ai appris à développer cette capacité avec le temps. J’ai appris mais aussi réussi à manier la langue de Shakespeare presque aussi bien que lui. Devenant ainsi ce professeur qui captive chacun de ces étudiants avides de connaissances mais aussi de fêtes bien trop arrosées dont les lendemains douloureux ont raison de leur concentration. Pourtant, je réussis tout de même à les captiver. Mais est-ce dû uniquement à mon don d’éloquence ? ! Les chuchotements sur mon passage contredisent ma pensée, me décrivant comme un homme charismatique qui en impose par sa seule présence dans une pièce. Tout cela mélangé avec une dose d’humour et de charme, et voici l’homme que je suis la plupart du temps.

Mais ne vous méprenez pas sur l’homme vêtu d’un costume trois-pièces que l’on peut croiser au détour d’un couloir et qui joue d’humour avec un collègue qui aurait passé une mauvaise journée ou encore sur celui qui répond toujours présent pour ses élèves en difficultés, sûrement dû à son côté protecteur. Je ne suis pas entièrement ce professeur apprécié de ses élèves…

On dit que la vie fait de nous ce que nous sommes. Peut-être que c’est vrai tout fin de compte. Parce que c’est ce chemin semé d’embûche que j’ai parcouru qui m’a rendu si réservé, si méfiant à l’égard de toute personne qui ose s’approcher trop près de ma personne. C’est ce passé tumultueux qui a construit en moi cette part d’obscurité qui en effraie plus d’un et qui met mal à l’aise dans bien des circonstances. Une façade si ancrée en moi qu’elle est la continuité de mon être, me rendant énigmatique et devenant un mystère à résoudre pour toutes les femmes que j’ai pu rencontrer. Je dois bien l’avouer, je ne suis pas d’une grande aide en ce qui concerne la résolution de ce mystère. D’une certaine façon, ce regard sombre qui n’est que le reflet d’une part de mon âme, est devenu avec le temps, mon allié. Mon armure.

Peut-être est-ce dû à l’ambiguïté, à cet aspect sombre de ma personnalité, que l’un de mes professeurs a douté de mon avenir au sein de la criminologie, m’imaginant sans grande difficulté devenir un tueur en série… Et vous savez quoi ? ! J’assume complètement l’homme que je suis.
Après tout, je ne suis que le résultat de la vie qui, lorsqu’elle m’a tracée ma destinée, ne s’est pas souciée des conséquences que cela pouvait provoquer sur ma personnalité.

Mais je vous rassure sur le fait que je ne suis pas un sociopathe pour autant.

Je sais aussi me montrer calme, charmant, posé et sociable de temps en temps. Même si quelques fois, j’ai quelques difficultés à contrôler mon impulsivité car même si j’accuse assez facilement les coups, il n’en reste pas moins que lorsque la coupe est pleine, elle déborde et alors, la définition d’impulsivité prend tout son sens. Mon intelligence et mon bon sens disparaissent soudainement et je ne réfléchis plus. Je deviens imprudent, ne me souciant plus des conséquences que mes actes pourraient avoir. Un trait de caractère qui m’a valu un bras cassé lorsque j’ai eu douze ans et une semaine d’hospitalisation lorsque j’en ai eu 16. Sans compter les hématomes et cicatrices qui sont là pour témoigner de ma force de caractère et aussi de ma stupidité à certains moments.

Mais n’ayez crainte… Enfin… C’est à voir…



and blood on my hands

Au vu de mes 1m85, on peut me décrire comme un homme grand et au corps laissant deviner mes nombreuses activités sportives en dehors de ma salle de cours. Mon regard est aussi sombre que l’ébène, s’unissant à ma courte chevelure qui ne me donne pas trop de travail au réveil. Même si j’aime être rasé de près, il m’arrive d’être gagné par la feignardise et de laisser une barbe naissante recouvrir ma mâchoire, ce qui contraste élégamment avec mes habituels costumes trois-pièces ou ma chemise sous un cardigan. Le cliché du professeur pour ainsi dire mais j’arborais ce genre de tenue vestimentaire bien avant l’offre d’emploi qui m’a conduit à l’université de Seattle.

A ce jour, j'ai une entaille au torse dû à une rencontre malencontreuse avec un individu apeuré au détour d'une ruelle sombre. Cette dernière a laissé une vilaine cicatrice, souvenir intemporelle de mes débuts dans cette apocalypse. Et ce n'est pas un couteau de combat et un 9mm pratiquement vide qui aurait pu l'aider à reprendre ses esprits...

Je passe mon temps dans les rues de Seattle, équipé de mon sac à dos où séjourne couverture, équipement de premier secours et quelques barres céréales qui cohabitent avec le restant d'une bouteille d'eau... Je suis bien loin du grand standing de mon loft à Manhattan ou encore celui de Seattle mais je n'ai nul d'autre choix que de devoir m'adapter...


a storm is coming

Étais-je devenu un assassin de sang-froid ? ! Qui étais-je réellement avant tout cela ? ! Des questions qui peuvent paraître bien existentielles au vu de la tournure du monde à ce jour.
Pourtant, appuyé tout contre le mur de cette vieille bicoque en ruine à l’angle d’une rue, dont j’avais depuis, oublié le nom, je finissais par me poser ce genre de question sur l’homme que j’étais devenu avec le temps et celui que j’étais avant…

- « Shakespeare a dit un jour : Les hommes qui parlent le moins sont les plus vaillants. Alors je vous prierai, Monsieur Thomas, de vous taire durant mon cours. Merci. »

L’assemblée se mit à rire alors que j’affichais un sourire amusé de mon côté tout en m’avançant en direction des premières tables de l’amphithéâtre qui était devenu, avec le temps, mon antre. Ma Scène. Mon empire. Entre ces quatre murs, j’avais l’attention de chacun de mes étudiants qui, avide de connaissance, buvaient chacunes de mes paroles avec intérêt.
J’aimais transmettre mon savoir et ma passion dans l’espoir de nourrir des vocations prochaines, comme la vie avait su le faire avec moi par le passé.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu un intérêt certain pour l’esprit criminel, n’hésitant pas à écrire à la prison de la ville pour en savoir plus sur ces hommes et ces femmes qui avaient su ôter la vie d’un autre être sans la moindre once de culpabilité et tout cela pour nourrir leur soif d’abomination.
Alors c’est tout naturellement que je me suis dirigé vers la criminologie dès ma première année en faculté. Je me souviens encore des paroles de mon professeur lors de la remise des diplômes : « Soit tu seras un brillant criminologue, soit tu deviendras un captivant tueur en série. ».
Je suis finalement devenu un brillant criminologue, choisissant plutôt la voie de la justice plutôt que de celle du crime, en devenant un consultant pour la police de la ville de New York lorsque je n’intervenais pas dans les prisons de l’État.

Mais la vie n’a pas été toujours aussi clémente avec mon jeune frère de quatre ans mon cadet et moi-même…

Je peux encore sentir l’odeur de brûlé qui émanait de notre maison de banlieue lorsque je rentrais de l’école à vélo, me hâtant pour retrouver mon père afin que l’on parte en camping aux Montagnes Catskill au nord de New York, pour le week-end. Finalement, nous ne sommes jamais partis camper ce fameux week-end de mai.
Il m’arrive encore de me réveiller en sursaut la nuit en entendant les sirènes hurlantes des pompiers passant dans la rue le soir. Je me souviens encore du nom de cet officier qui m’a retenu par la taille alors que j’accourrai en direction de la maison en cendre où avaient péri mes deux parents. L’officier Gordon. Comme dans la célèbre bande dessinée : Batman. Sauf que je n’étais pas Bruce Wayne et que je me retrouvais dorénavant seul avec mon jeune frère contre cette vie qui semblait vouloir, nous laisser aucun répit alors que le soir même, on s’endormait dans les draps froids d’un orphelinat.

Ce ne fut qu’au bout de trois longues et éprouvantes années, que Ryan et moi-même trouvâmes une famille. La promesse d’une vie nouvelle et heureuse. Mais c’était sans compter les dérives de mon jeune frère qui trouva bien vite le réconfort nécessaire dans les rails de coke qu’il alignait avec sa carte de métro, dans des fêtes excessives dans lesquelles il passait ses nuits. Combien de fois ai-je dû aller le récupérer, allongé dans l’herbe en plein milieu de la nuit, trop stone pour pouvoir retrouver le chemin du retour, afin que nos parents adoptifs n’apprennent rien des déboires du plus jeune et qu’ils ne nous renvoient pas à  l’orphelinat ? ! Je ne saurai le dire à ce jour.
Il m’inquiétait et m’agacer tout à la fois et pourtant, je répondais toujours présent tout en tentant de lui faire comprendre que la route qu’il menait était semée d’embûche et qu’il risquait d’y perdre la vie.
Mais Ryan était ainsi. Fière et sûr de lui, rien ne pouvait l’arrêter. Même pas moi.

Ce ne fut qu’après de longues tentatives pour le remettre dans le droit chemin, que je baissa les bras et décidai de prendre du recul avec ce dernier. Je fis alors mes cartons et quitta la résidence familiale pour rejoindre le campus de mon université où je me concentra uniquement sur mes études alors que Ryan continuait sa descente aux enfers…

Je n’ai repris contact avec lui qu’au bout de dix longues années, alors que j’avais réussi à me faire un nom au sein de ma profession et que je vivais convenablement dans un modeste appartement au centre de Brooklyn. Je l’ai retrouvé allongé dans un lit d’hôpital, après qu’une balle est traversée son thorax en brisant une côte au passage. Quelques centimètres plus haut et ça n’aurait pas été dans la chambre 506, que j’aurai retrouvé mon frère. Ce ne fut qu’après une longue insistance, que Ryan se décida à me conter toute l’histoire. Sa descente aux enfers avait continué même après mon départ, accumulant les dettes auprès des pires salopards de la ville et l’un d’eux avait décidé de lui rafraîchir la mémoire sur la somme qu’il devait lui rendre dans les plus brefs délais. Il m’apprit aussi qu’il n’avait plus de nouvelles de nos parents adoptifs, qui s’étaient décidés à lui faire quitter la résidence familiale en toute hâte. Une fois encore, on se retrouvait uniquement tous les deux.

Les heures qui suivirent furent sûrement les plus longues de ma vie… De par mon métier et des nombreuses libérations que j’avais réussi à obtenir pour des délinquants de secondes zones lors de mes passages dans les prisons d’État, j’étais finalement parvenu à me faire une liste de contact utile. Il m’avait fallu plusieurs coups de téléphone pour obtenir ce que je souhaitais. Chacun d’entre eux me devait un service et il était temps pour eux de rembourser cette dette. La vie de mon frère était en jeu et j’étais prêt à tout pour le sauver. Même de jouer ma carrière pour cela.
Armé d’un 9mm que j’ai réussi à obtenir dans une rue sombre d’Harlem, je rejoignis le petit groupe dont certains étaient des membres peu influent de gang new-yorkais et on fit irruption dans la boutique du bookmaker qui se retrouva avec le canon de cinq armes pointaient en sa direction. Ce jour-là, je pouvais ressentir l’adrénaline coulait dans mes veines alors que pourtant, mon cœur battait tellement fort que je crus qu’il allait exploser. Je le menaça de mon ton calme et posé avant de lui tendre une mallette pleine d’argent fraîchement sortit de la banque. Un premier paiement qui permettait de laisser Ryan en paix durant quelque temps. Je lui conseilla fortement d’oublier le nom de Kenway dans les plus brefs délais s’il voulait recevoir le second paiement dans les prochaines semaines. Sur ces belles paroles, on quitta tous la modeste boutique et partit chacun de notre côté.

Je retourna auprès de mon jeune frère, qui dormait à poing fermé à mon arrivé et en profita pour accepter l’offre d’emploi au sein de l’université de Seattle où je partis dès la sortie de Ryan de l’hôpital. Je nourrissais l’espoir d’une vie meilleure pour tous les deux même si mon jeune frère n’eut jamais arrêté de fréquenter ses vieux démons malgré sa nouvelle vie au sein d’un restaurant étoilé dans lequel il travaillait pour payer ses dettes.

Pour ma part, je m’épanouissais au sein de ma profession tout en faisant table rase du passé.

Voilà qui j’étais. Un homme simple menant la vie dont il avait toujours rêvé à quelques exceptions près et cela jusqu’à ce fameux jour où…


on the highway to hell


Cette affaire de cannibalisme dans le Texas attira rapidement mon attention, malheureusement, je me retrouvais cloîtrer dans mon bureau pour préparer un séminaire sur les envers du viol et leurs conséquences, au sein de l’université où j’enseignais.
Les jours se mirent à défiler, écoutant toujours d’une oreille attentive l’évolution de la situation à travers le monde, mais ce fut sur le web que mon avidité d’en savoir plus sur ce phénomène, fut comblée. Je faisais dorénavant partie de ces personnes qui étaient passionnées par le phénomène de ces morts qui se relèvent. C’est toujours l’état dans lequel les plus curieux se trouvent avant de se rendre pleinement compte de la gravité du phénomène, comme ce fut mon cas lorsque le Président des États-Unis se mit à faire un communiqué aux infos télévisé. Si vraiment la situation était sous contrôle, pourquoi les forces de l’ordre patrouillaient toujours autant ? ! Pourquoi au bout de quelques jours, la présence militaire fut renforcée ? ! Pourquoi la loi martiale fut déclarée ? !
Malgré cela, je tentais tant bien que mal de continuer à assurer mes cours à l’université mais les étudiants devenaient une denrée rare, tentant tant bien que mal, de fuir la ville lorsqu’ils ne restaient pas cloîtrer chez eux comme ce fut finalement mon cas.
Mais là où je pris pleinement conscience du danger qui régnait au sein de la ville mais aussi du pays, ce fut lorsque Ryan me demanda de venir au plus vite chez un ami non loin de la mairie.
Je me suis alors saisi de ma veste de costume et je me rua au plus vite jusqu’à l’adresse que m’avait communiquée mon jeune frère. Je frappa avec frénésie à la porte qui s’ouvrit à la volée sur Ryan, le regard terrifié comme s’il avait vu un fantôme mais ce fut à mon tour d’être dans le même état que ce dernier lorsque je le vis une arme à la main, en sang de surplus et avec le corps sans vie de son dénommé ami, à première vue.

Après une longue gorgée d’eau, il se décida à m’expliquer qu’il devait rendre visite à ce dénommé Danny pour qu’il lui rende sa moto, prêtée plusieurs jours auparavant afin de leur permettre à tous les deux, de partir de cette ville qui prenait des airs d’apocalypse à venir. Mais lorsqu’il est arrivé, Danny était loin d’être dans son état normal, se ruant sur lui sans raison et n’hésitant pas à le mordre au bras. Pour se défendre, Ryan usa de son arme qu’il gardait toujours sur lui du au fait qu’on le voulait mort dans plus d’une ville à ce jour et au vu des circonstances de ces derniers jours. Il a tiré plusieurs fois m’a-t-il dit avant de viser la tête et ce ne fut qu’à ce moment-là qu’il tomba au sol, véritablement mort. Il avait finalement décidé de m’appeler à l’aide, sachant pertinemment que j’accouerai. Je me saisis alors de son arme que rangea à l’arrière de mon pantalon de costume et entraîna Ryan avec moi jusqu’à mon appartement.

Je le soigna avec mes brèves connaissances en médecine mais rien n’y faisait, plus les heures défilaient et plus ce virus le gagnait. Le teint pâle, les yeux rougis, le corps brûlant, la Mort tentait de l’attirer dans ses bras alors qu’il tentait de se battre avec frénésie contre ce mal qui l’accablait. Impuissant, je pillais les pharmacies pour tenter de sauver le dernier membre de ma famille, mon petit frère que j’ai toujours tenté de protéger contre les dangers de la vie. Mais rien n’y faisait et le virus eut raison de lui, l’entraînant dans les profondeurs de la mort avant de… Le ramener à la vie. Son regard sans éclat me hante encore à ce jour tel le refrain d’une mauvaise chanson. Je le vois encore se lever du canapé tout en grognant alors qu’il ne désire qu’une chose : plantaient ses canines dans ma chair.

Je me souviens encore d’avoir levé mon arme en sa direction, tremblant telle une feuille au gré du vent et de finalement faire feu dans son épaule pour le ralentir mais rien n’y fit. Il se rua vers moi alors que continuait de tirer pour finalement me souvenir des paroles de Ryan. La tête. Je ferma les yeux et tira une fois, puis une seconde fois et plus rien… Lorsque je rouvris les yeux, il était étalé au sol, sans âme qui vive.

Mes jambes me firent faux bond et je tomba au sol sous le coup de l’émotion, saisissant le t-shirt de mon frère entre mes mains alors que je laissais les larmes coulaient sur mes joues, mon front posé tout contre son corps sans vie, étalé au sol. N’avais-je donc pas assez souffert ? ! On me retirer maintenant mon petit frère ? ! Je resta ainsi plusieurs heures avant de me saisir d’un sac à dos et d’enfouir une petite couverture, un couteau de combat que m’avait offert mon père adoptif pour mes dix-huit ans en espérant que j’entre dans l’armée américaine tout comme lui, une bouteille d’eau pleine, quelques barres de céréales qui traînaient au fond d’un placard et l’arme qui avait tué mon frère.

Après un dernier regard pour ce dernier que je recouvris de la couverture de mon lit, je quitta mon modeste appartement pour tenter de trouver d’autres survivants à cette fin du monde.

La seule rencontre que je fis me coûta une belle cicatrice à la poitrine qui mit des jours à cicatriser convenablement. C’est donc à pied et en jonglant d’abris en abris, récupérant tout ce qui pouvait m’être utile, que je tentais de survivre dans ce monde… s’il l’on peut encore l’appeler ainsi…

Jamais à ce jour, je n’aurais pensé devoir me battre pour ma survie.
Jamais à ce jour, je n’aurais pensé devoir devenir ce tueur en série qu’avait sous-entendu mon professeur par le passé.
Jamais à ce jour, je n’aurais pensé devoir tuer des morts revenus à la vie dans le seul but de décimer le restant de la population.

Et pourtant…

Je m’appelle Elijah Kenway et je me bats pour survivre !



time to meet the devil

• pseudo ›Manh'25
• âge › 23 ans.

• comment as-tu découvert le forum ? › Grâce à Julianne Lyndley
• Ton ancien personnage ?  › Pour tous ceux qui ont connu l'épreuve du reboot
• et tu le trouves comment ? › Pour le moment, j'aime bien.
• présence › Une fois par semaine environ.

• code du règlement › Check CarmenDoza
• crédit › de la bannière et du gif, Tumblr - Mikaiah
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: • Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 14:21

Un ami à Juliane • Elijah Kenway •  1342238320 ça promet Wink

Bienvenue parmis nous en tout cas, j'aime beaucoup ton avatar. Il est seksy.
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Re: • Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 14:24

Bienvenue ! :MisterGreen:
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Re: • Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 14:26

Un coupain de Juliane ? Cool ! *câline* Bienvenue ! :smile14:
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Re: • Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 14:46

Bienvenue camarade professeur :103:

Bonne rédaction de fiche !
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Re: • Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 14:55

Bienvenue !
Bon courage pour la suite de ta fiche. • Elijah Kenway •  2736068674
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Re: • Elijah Kenway •

Lun 25 Jan 2016 - 16:09

Bienvenue à toi ! • Elijah Kenway •  1342238320
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Re: • Elijah Kenway •

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