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Flann Sinato présentation
Mer 27 Jan 2016 - 16:53
25 ans • Américaine • Libraire • The travelers
Je n'ai jamais été une personne que l'on remarque, car je sais rester dans mon coin a condition que j'y arrive. Bien entendu, je suis informée que dans le monde actuel, cela m'est utile surtout lorsque je ne veux pas me faire remarquer par les malades. Je sais bien que cela est bien plus compliqué, mais je suis convaincue qu'un jour quelqu'un parviendra à trouver une solution à tout cela alors je devais tout faire pour tenir jusque-là. Je ne suis pas vraiment du genre violent, préfèrent la douceur dans mes actes et mes paroles. Pourtant, lorsque je me retrouve en danger, je n'ai pas le choix et là je fais ce qui doit être fait tout simplement. Il ne faut pas réfléchir lorsque cela se passe sinon, le temps de réaction est trop important. Je sais ce que j'avance, vous pouvez me croire. Bien que je préfère faire face à tout cela seule ou au sein d'un tout petit groupe, je n'hésite pas une seconde pour porter secours aux personnes qui se retrouvent en danger et sur ma route. Je ne suis pas du genre farouche puisque je suis assez amicale avec les gens pourtant, lorsqu'on se moque de ma personne, je suis rancunière et dans ce cas de figure, il est fort possible que si vous vous retrouvez en danger devant mes yeux, je vous laisse tout simplement vous débrouiller tout seul et là rien ne garantit votre survie. Je ne sais pas mentir, je suis du genre à dire les choses telles quelles sont vraiment, mais je prends tout de même soin à trouver les bons mots bien que cela ne soit pas tous les jours faciles. Si je tiens à garder la distance avec les gens, c'est que, lorsque je perds une personne, même si je la connais depuis deux jours, je me replie totalement sur moi-même. Je ne suis pas bien, mais je reste tout de même prête à tout pour rester vivante. Il faut savoir que, lorsque j'avais cinq ans, je me suis brûlé la main assez gravement en l'approchant de la cheminée alors que celle-ci était allumée. Depuis, j'ai horreur de l'aspect de mon membre et j'en suis assez complexée. À mon avis, il est important d'installer une routine durant la journée et si un détail vient compliquer les choses, j'agis en conséquence jusqu'à retrouver un rythme normal.
J'ai les cheveux châtains roux de longueur moyenne que je prends soin d'attacher avant chacune de mes sorties. Il ne faudrait pas qu'ils deviennent une accroche facile pour les Malades. J'ai un visage assez rond et enfantin malgré mon âge. Mes yeux, couleurs noisette, ont perdu un peu de leurs luminosités, mais ils montrent clairement que je n'ai pas perdu confiance dans le fait qu'une guérison soit possible. Ma peau est assez terne sans doute par manque de vitamine, mais je n'ai pas le loisir de trouver des fruits ou des légumes tous les jours alors je fais avec puisque de toute manière je ne peux pas faire autrement. Ma main droite est recouverte de brûlures qui ne m'empêchent pas de me servir de mon membre. Je suis de taille moyenne et de corpulence assez maigre puisque je ne mange pas de façon extra-ordinaires. Je me contente du minimum pour ne pas gâcher les rations que j'ai en ma possession.
Pour faire en sorte de rester discrète, je porte des vêtements clairs la journée et sombres lorsque je dois à tout prix sortir une fois la nuit tombée. J'ai donc deux tenues dans mon sac à dos. Pour ce qui est des outils de survie, j'ai un sac de couchage que j'ai trouvé dans la rue, deux petites bouteilles d'eau et deux armes. La première est un simple couteau de chasse, un couteau que j'ai trouvé sur ma route. Avant, j'avais un Tanto, une arme Japonaise, mais je n'ai pas eus d'autre choix que de le laisser derrière moi au moment où j'ai dû fuir la librairie. J'étais fascinée par tout ce qui venait de là-bas et c'est la seule arme blanche que j'ai pu me payer avant tout cela. La seconde est un revolver. Je ne sais pas de quelle marque il s'agit puisque je l'ai trouvé sur un malade que j'ai dû tuer pour éviter qu'il ne me transforme ou me dévore complétement. Il avait aussi une boîte vide de munitions que je garde avec moi pour ne pas me tromper si je parviens à mettre la main sur des balles.
Pour faire en sorte de rester discrète, je porte des vêtements clairs la journée et sombres lorsque je dois à tout prix sortir une fois la nuit tombée. J'ai donc deux tenues dans mon sac à dos. Pour ce qui est des outils de survie, j'ai un sac de couchage que j'ai trouvé dans la rue, deux petites bouteilles d'eau et deux armes. La première est un simple couteau de chasse, un couteau que j'ai trouvé sur ma route. Avant, j'avais un Tanto, une arme Japonaise, mais je n'ai pas eus d'autre choix que de le laisser derrière moi au moment où j'ai dû fuir la librairie. J'étais fascinée par tout ce qui venait de là-bas et c'est la seule arme blanche que j'ai pu me payer avant tout cela. La seconde est un revolver. Je ne sais pas de quelle marque il s'agit puisque je l'ai trouvé sur un malade que j'ai dû tuer pour éviter qu'il ne me transforme ou me dévore complétement. Il avait aussi une boîte vide de munitions que je garde avec moi pour ne pas me tromper si je parviens à mettre la main sur des balles.
Autant commencer par le tout début puisque vous vous intéressez à ma petite personne. Je suis née dans la ville de Preston, il a de cela vingt-cinq ans maintenant. Mes parents étaient mariés depuis trois ans lorsque je suis arrivée parmi eux. Ils avaient failli avoir un enfant avant moi, mais ma mère a fait une fausse couche alors qu'elle allait entrer dans sa quatrième semaine de grossesse. Cela s'était passé deux mois après leur mariage et ce fut pour cette raison qu'ils avaient attendu pour faire une seconde tentative. Mes parents avaient tous les deux trente ans à l'époque de ma naissance et travaillaient également tous les deux. Ma mère était secrétaire dans une petite boîte d'immobilier et mon père travaillait comme homme à tout faire dans un hôtel. Bien qu'aucun exerçait un métier passionnant, j'étais fière d'être leur petite fille.
Depuis toute petite, j'étais assez discrète, mais je n'avais aucun mal à me faire des amis sur qui je pouvais compter en cas de besoin. Je passais surtout mon temps avec Aori, une petite fille venue du Japon. Lorsqu'elle est arrivée en ville, elle ne parlait pas un mot dans notre langue. Bien que je ne la comprisse pas au début, j'aimais être avec elle et cela me donnais envie de connaître son univers alors je me suis mise à lire tous les livres que je trouvais et qui parlaient du Japon. Enfin, je regardais surtout les images, car à cinq ans, je ne savais pas encore lire.
Cette année-là, j'allais vivre un incident qui allait changer mon physique et ma façon de me regarder. En effet, alors que j'attendais le père Noël, je me suis approchée de la cheminée allumée pour voir s'il descendait, mais au lieu de ça, je me suis gravement brûlée la main. J'ai passé ce Noël dans une chambre d'hôpital décorée de manière douteuse. Les enfants de mon âge faisaient que regarder ma main, mais Aori, elle, ne le faisait pas et je lui en étais reconnaissante, sans réellement le savoir puisque j'étais bien trop petite pour identifier ce sentiment.
Ce fut durant l'année suivante que les jumeaux arrivèrent dans la maison. Mes parents les avaient adoptés tous les deux, car ma mère ne parvenait pas à retomber enceinte. Je ne savais pas pourquoi, mais s'était ainsi. Ils avaient deux ans de moins que moi, mais je m'entendais vraiment bien avec eux. Bien qu'ils n'aient pas le même sang que le mien, je les présentaient sans la moindre hésitation comme mon frère et ma soeur tout de suite après leurs arrivées à la maison.
Lorsque je suis rentrée dans la classe où j'allais enfin apprendre à lire, je me suis sentie bien grande et fière de moi bien que l'apprentissage ne fût pas simple. J'eus en effet un petit souci de compréhension dans ce que je lisais et cela me mettait beaucoup de bâton dans les roues. Il fallut deux ans pour que cela ne soit plus qu'un mauvais souvenir. Je devins par la suite une assez bonne élève et je savais que, lorsque je serai plus grande, je voulais travailler autour des livres. J'avais envisagé d'écrire pendant un moment, mais je n'étais pas du tout faite pour cela alors je me suis rabattu sur le fait de garder les livres, de conseiller les gens sur ce qui était agréable ou non. Enfin, ce fut ainsi que j'eus l'idée de devenir libraire.
Les années passèrent et je finis par savoir, qu'une fois de plus, j'étais différentes des autres filles de mon âge. Je n'étais pas attirée par les garçons, mais par les filles d'ailleurs Aori aussi et ce fut ma première petite amie. Au début, nous nous cachions, mais nous avons appris à nous accepter comme nous étions et lorsque nous avions fêtées notre dix-huitième anniversaire, nous avons tout dit à nos parents. Les miens ont plutôt bien pris la chose et j'en étais rassurée. Pour Aori, cela fut une toute autre histoire. Des disputes éclataient sans arrêt au début puis se fut le silence dés qu'elle entrait dans une pièce. Elle détestait cette ambiance et franchement je pouvais la comprendre. Un jours, l'ambiance était tellement pesante que Aori décida de partir. Elle fut accueillit par sa tante qui, elle, n'avait pas le moindre soucis avec l'orientation sexuelle de la jeune fille.
Lorsque nous avons atteints nos dix-neuf ans, nous avons eus l'idée ouvrir une petite librairie dans le centre de la ville. Au début, ce fut un peu difficile, mais nous eûmes rapidement de bons clients et de fil en aiguille une assez grande clientèle. Au bout de quelques mois, nous avions assez d'argent de côté pour pouvoir louer l'appartement se trouvant au dessus de la librairie. Cela était vraiment plus pratique pour nous.
Aori et moi aimions beaucoup ce que nous faisions et pour moi cela était parfait, car les journée se ressemblait et j'aimais bien le côté routinier de la chose. Aori, elle, aimait bouger alors elle allait voir toute les personnes qui pouvaient nous aider à étoffer nos étagères.
Ce petit rythme dura pendant prêt de trois ans, mais je voyais bien qu'il manquait quelque chose dans la vie de Aori, ses parents, alors je la poussais à aller les voir. Elle était bornée et ne voulait pas aller voir ceux qui ne l'acceptait pas comme elle était. Elle en pleurait souvent. Pourtant, elle fini par me dire qu'elle avait besoin d'une journée pour elle. Au début, je ne savais pas trop ce qu'elle comptait faire, mais le soir lorsque je suis rentrée et que j'ai vu ses parents dans notre salon, j'ai tout de suite compris. Elle avait été les voir et à première vu elle avait réussi à renouer contact avec eux. Cela était une bonne chose, mais les repas imprévu avec eux au moins deux fois par semaine me dérangeais un peu. Nous nous sommes même disputer à se sujet et pendant une année complète, nous avons décidé de faire une pause. Je ne parvenais pas à oublier Aori alors je suis allée la voir alors qu'un an et demi avait passé depuis que nous avions choisi de faire la pause. Nous avons recommencer à nous voir, mais Aori ne travaillait plus avec moi. Elle avait suivi sa propre voix pendant tout ce temps.
Ayant choisi de faire les choses comme si nous sortions pour la première fois ensemble, nous avions chacune notre chez nous. Se fut huit mois plus tard que nous nous installions de nouveau dans l'appartement de la librairie. Cette fois tout ce passa bien. Moi je travaillais toujours à la librairie et Aori faisait ce qui lui plaisait. Le fonctionnement était parfait puisqu'il nous ouvrait de nouvelle conversation. Nous nous racontions tout ce qui s'était passé durant notre journée et cela pouvait durer des heures. La dernière année avant que les Malades ne se montrent, j'eus l'idée, un peu folle, d'ouvrir une autre librairie dans une autre ville puisque la mienne marchait vraiment bien et que nous avions économisées assez pour nous le permettre, mais cela ne se fit jamais.
Depuis toute petite, j'étais assez discrète, mais je n'avais aucun mal à me faire des amis sur qui je pouvais compter en cas de besoin. Je passais surtout mon temps avec Aori, une petite fille venue du Japon. Lorsqu'elle est arrivée en ville, elle ne parlait pas un mot dans notre langue. Bien que je ne la comprisse pas au début, j'aimais être avec elle et cela me donnais envie de connaître son univers alors je me suis mise à lire tous les livres que je trouvais et qui parlaient du Japon. Enfin, je regardais surtout les images, car à cinq ans, je ne savais pas encore lire.
Cette année-là, j'allais vivre un incident qui allait changer mon physique et ma façon de me regarder. En effet, alors que j'attendais le père Noël, je me suis approchée de la cheminée allumée pour voir s'il descendait, mais au lieu de ça, je me suis gravement brûlée la main. J'ai passé ce Noël dans une chambre d'hôpital décorée de manière douteuse. Les enfants de mon âge faisaient que regarder ma main, mais Aori, elle, ne le faisait pas et je lui en étais reconnaissante, sans réellement le savoir puisque j'étais bien trop petite pour identifier ce sentiment.
Ce fut durant l'année suivante que les jumeaux arrivèrent dans la maison. Mes parents les avaient adoptés tous les deux, car ma mère ne parvenait pas à retomber enceinte. Je ne savais pas pourquoi, mais s'était ainsi. Ils avaient deux ans de moins que moi, mais je m'entendais vraiment bien avec eux. Bien qu'ils n'aient pas le même sang que le mien, je les présentaient sans la moindre hésitation comme mon frère et ma soeur tout de suite après leurs arrivées à la maison.
Lorsque je suis rentrée dans la classe où j'allais enfin apprendre à lire, je me suis sentie bien grande et fière de moi bien que l'apprentissage ne fût pas simple. J'eus en effet un petit souci de compréhension dans ce que je lisais et cela me mettait beaucoup de bâton dans les roues. Il fallut deux ans pour que cela ne soit plus qu'un mauvais souvenir. Je devins par la suite une assez bonne élève et je savais que, lorsque je serai plus grande, je voulais travailler autour des livres. J'avais envisagé d'écrire pendant un moment, mais je n'étais pas du tout faite pour cela alors je me suis rabattu sur le fait de garder les livres, de conseiller les gens sur ce qui était agréable ou non. Enfin, ce fut ainsi que j'eus l'idée de devenir libraire.
Les années passèrent et je finis par savoir, qu'une fois de plus, j'étais différentes des autres filles de mon âge. Je n'étais pas attirée par les garçons, mais par les filles d'ailleurs Aori aussi et ce fut ma première petite amie. Au début, nous nous cachions, mais nous avons appris à nous accepter comme nous étions et lorsque nous avions fêtées notre dix-huitième anniversaire, nous avons tout dit à nos parents. Les miens ont plutôt bien pris la chose et j'en étais rassurée. Pour Aori, cela fut une toute autre histoire. Des disputes éclataient sans arrêt au début puis se fut le silence dés qu'elle entrait dans une pièce. Elle détestait cette ambiance et franchement je pouvais la comprendre. Un jours, l'ambiance était tellement pesante que Aori décida de partir. Elle fut accueillit par sa tante qui, elle, n'avait pas le moindre soucis avec l'orientation sexuelle de la jeune fille.
Lorsque nous avons atteints nos dix-neuf ans, nous avons eus l'idée ouvrir une petite librairie dans le centre de la ville. Au début, ce fut un peu difficile, mais nous eûmes rapidement de bons clients et de fil en aiguille une assez grande clientèle. Au bout de quelques mois, nous avions assez d'argent de côté pour pouvoir louer l'appartement se trouvant au dessus de la librairie. Cela était vraiment plus pratique pour nous.
Aori et moi aimions beaucoup ce que nous faisions et pour moi cela était parfait, car les journée se ressemblait et j'aimais bien le côté routinier de la chose. Aori, elle, aimait bouger alors elle allait voir toute les personnes qui pouvaient nous aider à étoffer nos étagères.
Ce petit rythme dura pendant prêt de trois ans, mais je voyais bien qu'il manquait quelque chose dans la vie de Aori, ses parents, alors je la poussais à aller les voir. Elle était bornée et ne voulait pas aller voir ceux qui ne l'acceptait pas comme elle était. Elle en pleurait souvent. Pourtant, elle fini par me dire qu'elle avait besoin d'une journée pour elle. Au début, je ne savais pas trop ce qu'elle comptait faire, mais le soir lorsque je suis rentrée et que j'ai vu ses parents dans notre salon, j'ai tout de suite compris. Elle avait été les voir et à première vu elle avait réussi à renouer contact avec eux. Cela était une bonne chose, mais les repas imprévu avec eux au moins deux fois par semaine me dérangeais un peu. Nous nous sommes même disputer à se sujet et pendant une année complète, nous avons décidé de faire une pause. Je ne parvenais pas à oublier Aori alors je suis allée la voir alors qu'un an et demi avait passé depuis que nous avions choisi de faire la pause. Nous avons recommencer à nous voir, mais Aori ne travaillait plus avec moi. Elle avait suivi sa propre voix pendant tout ce temps.
Ayant choisi de faire les choses comme si nous sortions pour la première fois ensemble, nous avions chacune notre chez nous. Se fut huit mois plus tard que nous nous installions de nouveau dans l'appartement de la librairie. Cette fois tout ce passa bien. Moi je travaillais toujours à la librairie et Aori faisait ce qui lui plaisait. Le fonctionnement était parfait puisqu'il nous ouvrait de nouvelle conversation. Nous nous racontions tout ce qui s'était passé durant notre journée et cela pouvait durer des heures. La dernière année avant que les Malades ne se montrent, j'eus l'idée, un peu folle, d'ouvrir une autre librairie dans une autre ville puisque la mienne marchait vraiment bien et que nous avions économisées assez pour nous le permettre, mais cela ne se fit jamais.
Lorsque l'homme se retrouve face à quelque chose qui lui échappe totalement, il passe par une multitude de sentiments qui s'emparent de son âme et c'est exactement ce qui s'est produit avec moi. Lorsque toute cette histoire avait débuté, je fus dans une incompréhension qui grandissait de plus en plus au fur et à mesure que les journalistes parlaient.
Les reportages étaient sombres et montrait une violence hors du commun. Je ne savais pas ce qui passait par la tête des gens. Ils se battaient entre eux sans vraiment de raison. Des vols avaient lieu dans tout le pays sans que les raisons soient dévoilées au public. Le pire était le fait que les forces militaires étaient envoyées dans tout le pays pour remettre de l'ordre. Cette nouvelle fit naitre un tout nouveau sentiment en moi, la peur. Mon petit frère était entré dans l'armée il a deux ans de cela et je savais que cela le concernait. Je n'avais aucun doute là-dessus. Je ne savais pas ce que je devais faire et Aori me conseilla de l'appeler. Je ne savais pas trop ce que je devais lui dire, mais je devais le faire, elle avait raison. Je m'emparais donc mon téléphone portable pour le joindre. Je crus que s'était trop tard lorsque j'entendis la voix de sa petite amie. Si j'en croyais la tonalité de sa voix, elle pleurait et je la comprenais surtout que j'étais sur le point de faire la même chose de mon côté.
Lorsque j'eus enfin mon petit frère au bout du fil, je ne parvins pas à retenir mes larmes. Pourtant, je faisais tout pour ne pas qu'il s'en aperçoive. Je ne savais pas ce qui convenait de dire alors je me contentais de lui dire de rester prudent et de revenir le plus rapidement possible. Je savais que quelque chose était en train de se passer. Je ne savais pas trop ce que s'était juste que cela était dangereux, mais je ne savais pas encore à quel point. Pendant plusieurs jours, les nouvelles étaient toujours les mêmes bien que la violence soit de plus en plus brutale et gratuite. Un message fini par être diffusé et il demandait à chacun de rester le plus possible à l'intérieur et que des centres allaient ouvrir pour accueillir tous ceux qui le souhaitaient. Je ne savais pas si cela était une bonne idée, mais Aori voulait si rendre. Nous en discutions entre deux appels téléphonique au membre de nos familles pour être sûr qu'ils allaient rester à l'intérieur comme les consignes le demandaient. Je n'étais pas d'accord pour y aller, car j'avais peur que la violence soit présente à l'intérieur des structures. Aori fini par se ranger de mon côté et nous savions que si nous devions quitter les lieux, nous resterions entre nous et nos familles. Cela constituait un petit groupe de huit individus. Nous aurions dû être neuf, mais mon frère ne pouvant pas être des nôtres puisqu'il se trouvait sur le terrain sans que nous ne sachions où.
Ce fut seulement quelques jours plus tard que je découvris de quoi il retournait réellement. J'étais sortie pour aller faire un tour tout en ayant la peur au ventre. J'avais mon Tonta avec moi et je n'en étais pas du tout mécontente. Je voulais, tout simplement, marcher le long de la rue pour prendre l'air. Aori dormait, à mes yeux, paisiblement et je ne voulais pas la réveiller. J'étais arrivée au niveau de la boulangerie qui se trouvait trois bâtiments plus loin lorsque je sentais une odeur répugnante. Je ne savais pas trop ce que cela pouvait être. Avec prudence, je m'avançais en suivant mon odorat. Je finis par tomber sur deux personnes dont un enfant en train de dévorer la boulangère. Le premier la mordait à l'épaule et l'autre à l'endroit où se trouvait son coeur. J'avais peur et je me suis mise à crier, chose que je n'aurais sans doute pas dû faire. Les deux cannibales relevèrent la tête et me regardèrent. Cela semblait irréel et pourtant cela était vrai. La peur était de plus en plus grande. Je ne savais pas quoi faire d'autre que de me mettre à courir, mais mes jambes refusaient de bouger. J'allais me faire manger moi aussi lorsque j'entendis deux coups de feux. Je ne savais pas d'où cela venait ni qui était venu à mon aide. J'avais du mal à respirer tandis que mon regard était posé les trous se trouvant dans la tête des deux Malades qui avaient eu envies de faire de moi leur repas. J'allais repartir lorsque je vis la Boulangère se relever. Elle ne pouvait pas être vivante, pas après ce que les deux individus lui avaient fait. Je commençais à me demander si elle n'était pas morte. Pourtant, elle se trouvait bien debout. Je ne comprenais plus rien.
J'étais vraiment perdue dans toute cette histoire et je ne savais plus ce qui était vrai ou non. J'avalais ma salive avec difficulté tandis que la boulangère s'avançait vers moi tout en poussant des grognements terrifiants. Elle avait un regard qui me fit comprendre qu'elle était en train d'approcher pour me manger comme l'avait fait les deux corps étendus à côté de moi. Je m'emparais de mon Tanto dans l'idée de m'en servir pour me défendre contre la Boulangère. Elle était tellement prête que je n'hésitais pas pour enfoncer mon arme dans son corps, mais il ne se passait rien. Elle continuait à vouloir me manger. Elle ne semblait pas vouloir se stopper. Je retirais ma lame pour la rentrer de nouveau et je recommençais trois fois de suite avant que mon regard se pose sur la tête de l'un des deux corps qui avaient été tués il y a peu. Je me suis demandée pourquoi la personne m'ayant portée secours avait visée la tête. Je revins assez vite à la réalité et enfonça mon Tanto tout droit dans l'oeil de la Boulangère qui tomba sur le sol en me faisant chuter à mon tour.
Lorsque je fus rentrée, j'étais recouverte de sang de la tête aux pieds. Je ne me sentais pas bien et je me rendis tout droit aux toilettes pour vomir. J'avais besoin de pas mal de temps pour parvenir à tout raconter à Aori. Je ne savais pas trop si ce que j'avais vu étais vrai, mais je savais que si cela l'était vraiment, il fallait viser la tête, toujours viser la tête si on voulait rester debout. Je ne savais pas si c'était des morts qui nous attaquaient, mais pour moi s'était juste des malade qui voulaient nous manger. Avec le temps, je parvins à convaincre Aori qu'il fallait que l'on regroupe tout le monde dans la librairie qui était assez grand pour tous nous accueillir. Nous nous rendîmes, pour commencer, jusqu'au domicile des parents de Aori et de sa tante pour les conduire à l'aide de notre voiture jusqu'à la boutique. J'aurais aimé aller chercher mes parents le même jours, mais des Malades se mirent à sauter sur tout ce qui bougeait. J'attendis deux jours pour pouvoir aller chercher mes parents et ma petite soeur.
Lorsque nous sommes descendus de la voiture, l'un d'entre eux allait s'en prendre à ma petite soeur et mon père s'interposa sans vraiment savoir ce qui allait se passer. Il se fit mordre au niveau de la nuque et personne ne pus lui porter secours. Je parvins à faire entrer ma mère et ma petite soeur dans la boutique. Nous étions maintenant plus que sept. Le groupe se réduisait déjà alors que nous venions, tout juste, de nous regrouper. Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais bien que la peur soit toujours en moi, je ressentais surtout de la crainte. Je craignais de perdre tout le monde et je ne voulais pas que cela se produise. Nous sortions de temps en temps pour trouver de quoi manger et boire, car nous n'avions pas beaucoup à l'appartement. Ces sorties me permirent d'apprendre à me servir correctement de mon Tanto. Le pire fut le jour où je fus obliger de tuer mon père qui, après sa morsure avait tout simplement disparu. Je savais maintenant qu'il était devenu un Malades. C'était comme cela que nous appelions les choses dangereuses qui se baladaient dans la ville. Ce moment était un choc surtout que je ne pus en parler à ma mère, mais Aori était avec moi à ce moment-là et elle fut d'un grand soutien.
Nous avions réussi à tenir un mois et demi dans la librairie, mais un jour les Malades sont entrés. J'étais terrifiée par tout cela. La panique était telle que nous nous sommes tous séparé dans toute la ville. J'avais laissé mon Tanto à l'intérieur tellement j'étais partie vite. Il était tout simplement impossible pour moi d'y retourner pour le récupérer. J'ai cherché des membres du groupe pendant les deux semaines suivantes, mais je n'ai trouvée que ma petite soeur. Elle m'informa que notre mère et la tante de Aori n'était pas parvenues à sortir de la librairie. Cela fut un nouveau coup dur pour moi, mais je devais rester forte pour ma petite soeur. Je devais rester avec elle et tenter de la protéger, mais cela ne fut pas simple. Durant les recherches, je trouvais un couteau de chasse assez solide et cela allait remplacer mon Tanto. Nous restions encore quelques jours en ville puis nous prîmes la route pour nous rendre à Seattle. Nous en avions parlé plus d'une fois et je savais que je retrouverais Aori là-bas. Nous n'avions plus la voiture alors nous avancions en marchant et cela pris pas mal de temps.
Le soir, nous devions dormir au bord de la route, mais je préférais dormir dans des habitations, mais lorsque les choix ne sont pas nombreux, on est bien obligé de faire avec, n'est ce pas? La route était surpeuplée de Malades et il fallait souvent que nous restions planquées plusieurs jours. Un matin, ma soeur était allé nous chercher de l'eau, mais elle n'est jamais revenue. Je suis sûr de l'avoir entendu hurler, mais j'eus beau la chercher, je ne la trouvais pas et cela me désola. Après sa disparition, je suis restée une semaine complète dans une cabane en bois. Il y avait un Malade à l'intérieur, mais je suis parvenue à le tuer et ce fut de cette manière que je trouvais le révolver et la boite vide qui, à la base, devait contenir les munitions. Je l'emmena avec moi dans l'espoir d'en trouver une autre sur ma route. Ce fut à ce moment, que je me suis convaincue de manière totale que des gens trouveraient un moyen de régler la situation bien que je ne pouvais pas savoir quand exactement et que je finirais par retrouver Aori, dans la ville de Seattle. Trois mois étaient passés depuis que tout avait commencé et je venais tout juste de débarquer en ville. Je ne savais pas ce qui allait m'attendre à l'intérieur, mais je devais y rester et mettre tout en oeuvre pour retrouver Aori.
Les reportages étaient sombres et montrait une violence hors du commun. Je ne savais pas ce qui passait par la tête des gens. Ils se battaient entre eux sans vraiment de raison. Des vols avaient lieu dans tout le pays sans que les raisons soient dévoilées au public. Le pire était le fait que les forces militaires étaient envoyées dans tout le pays pour remettre de l'ordre. Cette nouvelle fit naitre un tout nouveau sentiment en moi, la peur. Mon petit frère était entré dans l'armée il a deux ans de cela et je savais que cela le concernait. Je n'avais aucun doute là-dessus. Je ne savais pas ce que je devais faire et Aori me conseilla de l'appeler. Je ne savais pas trop ce que je devais lui dire, mais je devais le faire, elle avait raison. Je m'emparais donc mon téléphone portable pour le joindre. Je crus que s'était trop tard lorsque j'entendis la voix de sa petite amie. Si j'en croyais la tonalité de sa voix, elle pleurait et je la comprenais surtout que j'étais sur le point de faire la même chose de mon côté.
Lorsque j'eus enfin mon petit frère au bout du fil, je ne parvins pas à retenir mes larmes. Pourtant, je faisais tout pour ne pas qu'il s'en aperçoive. Je ne savais pas ce qui convenait de dire alors je me contentais de lui dire de rester prudent et de revenir le plus rapidement possible. Je savais que quelque chose était en train de se passer. Je ne savais pas trop ce que s'était juste que cela était dangereux, mais je ne savais pas encore à quel point. Pendant plusieurs jours, les nouvelles étaient toujours les mêmes bien que la violence soit de plus en plus brutale et gratuite. Un message fini par être diffusé et il demandait à chacun de rester le plus possible à l'intérieur et que des centres allaient ouvrir pour accueillir tous ceux qui le souhaitaient. Je ne savais pas si cela était une bonne idée, mais Aori voulait si rendre. Nous en discutions entre deux appels téléphonique au membre de nos familles pour être sûr qu'ils allaient rester à l'intérieur comme les consignes le demandaient. Je n'étais pas d'accord pour y aller, car j'avais peur que la violence soit présente à l'intérieur des structures. Aori fini par se ranger de mon côté et nous savions que si nous devions quitter les lieux, nous resterions entre nous et nos familles. Cela constituait un petit groupe de huit individus. Nous aurions dû être neuf, mais mon frère ne pouvant pas être des nôtres puisqu'il se trouvait sur le terrain sans que nous ne sachions où.
Ce fut seulement quelques jours plus tard que je découvris de quoi il retournait réellement. J'étais sortie pour aller faire un tour tout en ayant la peur au ventre. J'avais mon Tonta avec moi et je n'en étais pas du tout mécontente. Je voulais, tout simplement, marcher le long de la rue pour prendre l'air. Aori dormait, à mes yeux, paisiblement et je ne voulais pas la réveiller. J'étais arrivée au niveau de la boulangerie qui se trouvait trois bâtiments plus loin lorsque je sentais une odeur répugnante. Je ne savais pas trop ce que cela pouvait être. Avec prudence, je m'avançais en suivant mon odorat. Je finis par tomber sur deux personnes dont un enfant en train de dévorer la boulangère. Le premier la mordait à l'épaule et l'autre à l'endroit où se trouvait son coeur. J'avais peur et je me suis mise à crier, chose que je n'aurais sans doute pas dû faire. Les deux cannibales relevèrent la tête et me regardèrent. Cela semblait irréel et pourtant cela était vrai. La peur était de plus en plus grande. Je ne savais pas quoi faire d'autre que de me mettre à courir, mais mes jambes refusaient de bouger. J'allais me faire manger moi aussi lorsque j'entendis deux coups de feux. Je ne savais pas d'où cela venait ni qui était venu à mon aide. J'avais du mal à respirer tandis que mon regard était posé les trous se trouvant dans la tête des deux Malades qui avaient eu envies de faire de moi leur repas. J'allais repartir lorsque je vis la Boulangère se relever. Elle ne pouvait pas être vivante, pas après ce que les deux individus lui avaient fait. Je commençais à me demander si elle n'était pas morte. Pourtant, elle se trouvait bien debout. Je ne comprenais plus rien.
J'étais vraiment perdue dans toute cette histoire et je ne savais plus ce qui était vrai ou non. J'avalais ma salive avec difficulté tandis que la boulangère s'avançait vers moi tout en poussant des grognements terrifiants. Elle avait un regard qui me fit comprendre qu'elle était en train d'approcher pour me manger comme l'avait fait les deux corps étendus à côté de moi. Je m'emparais de mon Tanto dans l'idée de m'en servir pour me défendre contre la Boulangère. Elle était tellement prête que je n'hésitais pas pour enfoncer mon arme dans son corps, mais il ne se passait rien. Elle continuait à vouloir me manger. Elle ne semblait pas vouloir se stopper. Je retirais ma lame pour la rentrer de nouveau et je recommençais trois fois de suite avant que mon regard se pose sur la tête de l'un des deux corps qui avaient été tués il y a peu. Je me suis demandée pourquoi la personne m'ayant portée secours avait visée la tête. Je revins assez vite à la réalité et enfonça mon Tanto tout droit dans l'oeil de la Boulangère qui tomba sur le sol en me faisant chuter à mon tour.
Lorsque je fus rentrée, j'étais recouverte de sang de la tête aux pieds. Je ne me sentais pas bien et je me rendis tout droit aux toilettes pour vomir. J'avais besoin de pas mal de temps pour parvenir à tout raconter à Aori. Je ne savais pas trop si ce que j'avais vu étais vrai, mais je savais que si cela l'était vraiment, il fallait viser la tête, toujours viser la tête si on voulait rester debout. Je ne savais pas si c'était des morts qui nous attaquaient, mais pour moi s'était juste des malade qui voulaient nous manger. Avec le temps, je parvins à convaincre Aori qu'il fallait que l'on regroupe tout le monde dans la librairie qui était assez grand pour tous nous accueillir. Nous nous rendîmes, pour commencer, jusqu'au domicile des parents de Aori et de sa tante pour les conduire à l'aide de notre voiture jusqu'à la boutique. J'aurais aimé aller chercher mes parents le même jours, mais des Malades se mirent à sauter sur tout ce qui bougeait. J'attendis deux jours pour pouvoir aller chercher mes parents et ma petite soeur.
Lorsque nous sommes descendus de la voiture, l'un d'entre eux allait s'en prendre à ma petite soeur et mon père s'interposa sans vraiment savoir ce qui allait se passer. Il se fit mordre au niveau de la nuque et personne ne pus lui porter secours. Je parvins à faire entrer ma mère et ma petite soeur dans la boutique. Nous étions maintenant plus que sept. Le groupe se réduisait déjà alors que nous venions, tout juste, de nous regrouper. Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais bien que la peur soit toujours en moi, je ressentais surtout de la crainte. Je craignais de perdre tout le monde et je ne voulais pas que cela se produise. Nous sortions de temps en temps pour trouver de quoi manger et boire, car nous n'avions pas beaucoup à l'appartement. Ces sorties me permirent d'apprendre à me servir correctement de mon Tanto. Le pire fut le jour où je fus obliger de tuer mon père qui, après sa morsure avait tout simplement disparu. Je savais maintenant qu'il était devenu un Malades. C'était comme cela que nous appelions les choses dangereuses qui se baladaient dans la ville. Ce moment était un choc surtout que je ne pus en parler à ma mère, mais Aori était avec moi à ce moment-là et elle fut d'un grand soutien.
Nous avions réussi à tenir un mois et demi dans la librairie, mais un jour les Malades sont entrés. J'étais terrifiée par tout cela. La panique était telle que nous nous sommes tous séparé dans toute la ville. J'avais laissé mon Tanto à l'intérieur tellement j'étais partie vite. Il était tout simplement impossible pour moi d'y retourner pour le récupérer. J'ai cherché des membres du groupe pendant les deux semaines suivantes, mais je n'ai trouvée que ma petite soeur. Elle m'informa que notre mère et la tante de Aori n'était pas parvenues à sortir de la librairie. Cela fut un nouveau coup dur pour moi, mais je devais rester forte pour ma petite soeur. Je devais rester avec elle et tenter de la protéger, mais cela ne fut pas simple. Durant les recherches, je trouvais un couteau de chasse assez solide et cela allait remplacer mon Tanto. Nous restions encore quelques jours en ville puis nous prîmes la route pour nous rendre à Seattle. Nous en avions parlé plus d'une fois et je savais que je retrouverais Aori là-bas. Nous n'avions plus la voiture alors nous avancions en marchant et cela pris pas mal de temps.
Le soir, nous devions dormir au bord de la route, mais je préférais dormir dans des habitations, mais lorsque les choix ne sont pas nombreux, on est bien obligé de faire avec, n'est ce pas? La route était surpeuplée de Malades et il fallait souvent que nous restions planquées plusieurs jours. Un matin, ma soeur était allé nous chercher de l'eau, mais elle n'est jamais revenue. Je suis sûr de l'avoir entendu hurler, mais j'eus beau la chercher, je ne la trouvais pas et cela me désola. Après sa disparition, je suis restée une semaine complète dans une cabane en bois. Il y avait un Malade à l'intérieur, mais je suis parvenue à le tuer et ce fut de cette manière que je trouvais le révolver et la boite vide qui, à la base, devait contenir les munitions. Je l'emmena avec moi dans l'espoir d'en trouver une autre sur ma route. Ce fut à ce moment, que je me suis convaincue de manière totale que des gens trouveraient un moyen de régler la situation bien que je ne pouvais pas savoir quand exactement et que je finirais par retrouver Aori, dans la ville de Seattle. Trois mois étaient passés depuis que tout avait commencé et je venais tout juste de débarquer en ville. Je ne savais pas ce qui allait m'attendre à l'intérieur, mais je devais y rester et mettre tout en oeuvre pour retrouver Aori.
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Lily Collins ♦ <bott>Flann Sinato</bott>
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Re: Flann Sinato présentation
Mer 27 Jan 2016 - 17:30
Collins c'est cool J'ai vu un de ses films il n'y a pas si longtemps d'ailleurs. Bienvenue ici et surtout, bonne rédaction !
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Re: Flann Sinato présentation
Mer 27 Jan 2016 - 18:04
Merci à vous. Je trouve que Lily colle bien avec mon personnage alors je n'ai pas hésité une seconde ^^
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