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We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Jeu 3 Mar 2016 - 15:24


Wesley  Perkins
34 ans• Américain • DJ • TRAVELERS

i've got a war in my mind

Par où commencer...  S’il fallait me donner un trait de caractère, ce serait celui d’être un hyper actif : je saute et cours dans tous les sens, quitte parfois à me viander sauvagement. Je suis comme ça depuis tout petit, j'aime le goût du risque.
Franc. Oui, je crois que je me définirais comme ça. Je déteste par dessus tout les commérages et les hypocrites. Plus généralement je dirais que ce sont toutes les personnes fausses qui disent du mal des autres dans leur dos qui m'énerve. Quand on à un problème avec quelqu'un, on vient le lui dire, on ne tourne pas autour du pot. Je sais que moi par exemple, je déballe facilement mes émotions, j'extériorise tout et quand j'ai un problème, j'en parle avec ma femme (je suis un grand sensible dans l'âme).
Outre passant le fait que je suis quelqu'un de très rancunier et que je ne supporte pas les critiques (j'aime savoir ce que pense les gens mais c'est pas pour autant que je l'encaisse bien), je reste quand même très généreux et conciliant. Des fois, c'est vrai, ça m'emmerde carrément d'aider certaines personnes, mais si je ne le fais pas je me sens encore plus mal, alors je le fais, point barre.
Un des autres points qui me caractérise bien, c'est le fait d'être quelqu'un de très lunatique. Je ne suis parfois pas très attentif à ce qui se passe autour de moi et je loupe par conséquent des éléments. Et quand je dis éléments, je ne parle pas que d'objets : oui, il m'arrive que l'on me parle de choses et d'autres, des trucs importants même, et que je n'y prête pas attention. Ce n'est pas de mauvaise volonté, c'est juste que j'ai l'esprit ailleurs. Rêveur, et optimiste. J'entends par là que je ne suis pas du genre à imaginer le pire tout le temps. Certes, il m'est arrivé des trucs horribles, vraiment horribles. Pourtant je garde la foi, la foi dans l'humanité.
Je rigole souvent dessus d'ailleurs. Je sais que j'arrive à faire rire les gens facilement, c'est presque une seconde nature chez moi. Seulement voilà, je parle trop. Je suis trop bavard, et des coups, je m'en suis pris pour l'avoir ouvert.
Le dernier point sur lequel je ne m'attarderais pas trop, c'est le fait que je suis têtu. C'est très dur pour les autres de me faire changer d'avis, ça arrive, mais c'est compliqué. Je n'aime pas que l'on m'impose certaines chose sous la pression, du coup je gueule, et je me prends un pain. Faut vraiment que je fasse gaffe à ce que je dis à l'avenir, je vais finir par avoir une commotion cérébrale avec toutes ces taloches.

and blood on my hands

Wesley est un homme assez petit (1m69), relativement maigre mais avec quand même pas mal de force dans les bras (pour frapper du rôdeurs, c’est mieux). Lorsqu’il en a la possibilité, Wesley aime aussi entretenir sa coiffure et à rester rasé. On n’est pas des sauvages quand même.
Le jeune américain natif de l’Ohio est aussi doué de ses pieds et de ses mains : depuis l'arrivée de Joe et de sa compagnie, Wesley a apprit à se déplacer furtivement entre les zombies et dans les bâtiments, sa petite corpulence l'y aidant sûrement pour beaucoup. Pour ce qui est de l’aisance avec les armes, c’est une toute autre chose. Oui, parce qu’à moins d’avoir une cible immobile et proche, (très proche) Wesley à beaucoup de mal à tirer avec justesse.
Au niveau de son équipement enfin, Wesley est habillé de manière très légère (t-shirt et jean pour le coup) pour permettre une meilleure mobilité. Une hachette dans la main, un revolver dans la poche ainsi qu’un sac à dos rempli de quelques vivres viennent parfaire à son guide du bon petit voyageur.

a storm is coming

Alors que la foule continue son tumultueux et incessant va et vient de bras levé, je décide de les saluer une dernière fois, pour finalement céder ma place à un autre Dj. Je descends donc en coulisse pour récupérer mon chèque, remercie les ingénieurs son du formidable boulot qu’ils font et enfin part pour chez moi. Voilà 10 ans que je fais ce métier de Dj, à la fois stimulant mais épuisant. Pourtant rien ne me destiner à rester derrière les platines : diplômé d’une école de commerce, je devais prendre la suite de mon père, âgé de 63 ans aujourd’hui, qui était à la tête d’une très grosse entreprise commercial. Jusqu’à mes 20 ans, c’est d’ailleurs lui qui supervisa mes études, me conditionnant à la vie d’entreprise, à rédiger des discours galvanisants, à tenir tête aux fournisseurs, enfin vous voyez le topo. Pendant 3 ans j’ai donc dirigé ce foutoir indescriptible, entre les actionnaires jamais satisfait, les employés jamais satisfait, les fournisseurs et leur prix variant du double au triple en une nuit… J’ai vite craqué. Je savais bien que la gestion d’une entreprise était dur, mais en pratique, c’était la folie. Je n’ai jamais eu la dureté de caractère pour ce métier. On a beau s’y préparer, c’est vrai, mais la réalité et bien une tout autre chose. J’ai donc démissionné, au très grand regret de mon père du poste de PDG pour chercher autre chose.
J’ai vraiment eu du mal à trouver quelque chose qui puisse à terme devenir mon métier (je n’avais plus trop l’envie de travailler en entreprise et souhaitais du renouveau). Depuis tout petit, les choix existentiels de ma vie étaient faits par mon père. Alors pour savoir ce que j’aimais vraiment, ce fut compliqué. Il y avait pourtant bien une chose que j’appréciais, et cette chose, c’était la musique. Ma défunte mère (morte en couche), était pianiste. C’est ainsi, en sa mémoire sans doute, que mon père fit m’initié au piano lors de ma 7ème année. C’était sûrement une des seuls choses que mon père m’obligea à apprendre dans laquelle je m’épanouissais vraiment. Et l’idée de devenir musicien commença à me trotter dans la tête. Je n’avais pourtant jamais imaginé en faire mon métier auparavant. C’est vrai que bien que j’eu attaqué très tôt je n’étais pas forcément très bon pianiste. Cependant, et grâce à mon meilleur ami d’enfance, Tommy, j’ai découvert les plaisirs du mixage. A 24 ans, nous avons finalement décidé de lancer une carrière en duo sous le nom des « Red Scorpions ». Pas franchement un succès. On est resté quand même ensemble 5 ans. Après ça, j’ai décidé de me séparer de lui, en toute amitié bien sûr. On était, pas à mon sens, sur le même élan musical. Depuis lors, j’alterne les concerts et les boites de nuits de la ville de Seattle et de ses alentours.
Côté vie privée, voilà deux ans que je vis avec ma compagne, Emily, avec qui je viens tout juste d’avoir un enfant. Nous nous sommes rencontrés alors que nous étions voisins : je gardais son chat lorsqu’elle retournait voir ses parents au Canada. Maintenant nous vivons sous le même toit, et c’est un gosse et non plus un chat qui nous unis.
Paul. Voilà comment nous l'avons nommé. Mais pourquoi ce prénom ? La raison est bête mais symbolique : le soir ou nous avons essayé de concevoir, je me souviens que mon portable avait sonné pile en plein milieu de nos ébats sexuels. Let it be. C'était ma sonnerie de l'époque. Et devinez de qui était cette chanson ? Oui oui, c'est pour ça qu'on à choisit ce prénom. Voilà l'anecdote me semblait sympa à préciser. Non ? Tant pis.
Ce gosse on l'a chérit tant qu'on a pu et je crois qu'on c'est bien démerdé. Il avait non seulement des parents aimants, mais en plus des tonnes et des tonnes de cadeaux. Tout le monde lui a donné et en quantité. Cet enfant, il a aussi permit de renouer quelques peu les liens avec mon père. Grand papa venait souvent à la maison voir son petit Paul : jamais je ne l'avait vu aussi heureux qu'auprès de ce petit. Avec moi, c'était différent. Il avait énormément d'attente, devait s'occuper de mon éducation... Là il avait juste à ce soucier de le bichonner.
Quelques mois plus tard pourtant mon père décéda. Pas sur le plan physiologique mais sur le plan psychologique. Il venait d'avoir un AVC, à seulement 55 ans. On a hérité de sa fortune, bien que je m'en moquais. La mort de mon père m'avait bouleversé, c'était la première fois que je perdais réellement quelqu'un d'aussi proche. Et ce ne fut pas la dernière.


on the highway to hell

Parfois, je viens à me demander comment toute notre société a pu basculer en si peu de temps dans le chaos.  Au départ, forcément, on a écouté avec passion la propagande. On a fait mine que rien n’avait changé. J’ai continué à aller dans des concerts et dans des boites de nuits pour faire oublier la peur des gens. Les faires chanter, danser, aimer. Voilà à quoi je m’attelais. Mais au fil du temps qui passait, les gens venaient de moins en moins. Ils restaient planqués chez eux. C’est ce que j’ai décidé de faire finalement moi aussi lorsqu’un incident éclata en plein milieu d’un concert : un malade mental s’était mis à ouvrir le feu sur un homme qu’il se défendait d’avoir vu mordre quelqu’un. C’était la première fois que je voyais quelqu’un mourir devant mes yeux. J’en était complètement retourné. C’est vrai qu’avec internet j’avais vu des horreurs. Mais les voir de ses propres yeux, c’est autre chose. On a donc décidé de partir s’installé dans une résidence secondaire de mon père, à environ 50 km de la ville. Déjà à ce moment-là, la civilisation partait bien en vrille. Emeutes, pillages… Tout ce genre de truc éclipsé par les médias bien sûr. J’avais décidé d’acheter au black une arme à feu pour défendre mon fils et ma femme. Bien que détestant les armes à feu, je ne pouvais pas faire autrement tant le climat était tendu : combien de fois j’avais été agressé dans la rue et combien de fois m’avait-on volé mes affaires ? Je ne pourrais le dire.

A la campagne, les choses furent différentes et calme. En tout cas pendant un temps. En effet, on y avait énormément de vivres et de ressources dans la maison donc on n’a pas vraiment eu le souci de partir en chercher et de s’aventurer dans les villes avoisinantes. De ce fait, on était quasiment coupé du monde : le téléphone ne marchait pas, les médias ne diffusant plus que les mêmes messages en blocs… On ne savait pas ce qu’il se passait ailleurs et si la situation s’améliorait. Je me doutais déjà que non, puisque j’avais pu observer des rôdeurs non loin de chez nous grâce à une longue vue installé sur le toit attaqué des passants. J’aurai pu les aidés, j’avais une arme, mais j’étais tétanisé parce que je voyais et j’avais bien trop peur de me faire bouffer. On a donc décidé de tout barricadé. Fenêtre, porte. Seul une entrée par le sous-sol donnait accès vers le monde extérieur. En pleine nuit de janvier, alors que nous connaissions une semaine relativement calme en termes de zombies ou de coup de feu, des cris survint devant chez nous : des militaires se faisaient attaquer. Ils entrèrent en trombe, armes à la main pour nous ordonnés de les aidés. Le climat fut très tendu. Un d’eux, vraisemblablement blessé, tomba dans les pommes : Il venait tout juste de se faire mordre me dit-on. Un autre homme, leur chef sûrement, m’ordonna d’aller chercher la plus grosse lame que je puisse trouver. Je n’avais pas compris l’intérêt au départ, mais quand je vis ce qu’il fit avec, cela me resta graver en tête : il lui trancha le bras. Ni plus, ni moins. Le sang giclait partout dans la pièce alors que dehors des zombies approchaient. Comme ils avaient enfoncé la porte, il fallut les tués nous même avant d’installés un abri de fortune assez costaud. Ce fut la première fois que je me frottais à des rôdeurs, ce fut compliqué bien entendu, mais les militaires étant proches de moi, je me sentis presque en sécurité. Pendant une bonne demi-heure nous avons, avec Michael et Spencer (pour les nommés), tenus la porte alors que Emily et Joe, le chef, s’occupait de l’état de santé du malheureux amputé. Les zombies semblant avoir disparus, nous avons pu prendre le temps de cloisonné convenablement ce qui était une porte. Les militaires nous s’expliquèrent leur histoire : ils étaient en charge d’un camp de civils qui avaient été attaqué dans la nuit d’avant par les rôdeurs. Nombreux furent ceux qui périrent lors de cette attaque : la compagnie fut obligée de quitter les lieux sur les chapeaux de roues s’il elle ne voulait pas dépérir avec les autres. Matthews, le blessé, dépérit finalement de sa blessure. Les gars nous expliquèrent bons nombres de choses sur la survie et sur les zombies, comme le fait de devoir systématiquement détruire les cerveaux des rôdeurs, mais aussi des humains décédés, mordu ou non.

Joe et ses hommes restèrent avec nous pendant quelques temps. Au cours de nos discussion, ils nous racontèrent en détails leur dernière vision d'horreur, la prise du stade par les morts vivants, les gens qui se faisaient bouffer, leur impuissance... Ces visions étaient pour eux insupportables. Vraiment insupportable. Michael et Spencer ne purent l'encaisser. Un soir les trois partirent dans les bois, mais seul Joe en revint. Il nous expliqua qu'ils souhaitaient mourir, ils n'avaient plus de volonté. ils n'avaient même pas 20 ans. Le sergent comprenait la décision de ses hommes : même lui qui avait participé à la guerre en Afghanistan n'avait jamais vu pareil scène d'horreur. Joe passait beaucoup de temps auprès de Paul. Il restait au près de lui des heures et pleurait souvent en sa présence. Moi et Emily avons décidé donc décidé de le laisser seul avec lui, comme pour servir de thérapie. Je me disais qu'il devait avoir eu un gosse, et qu'il lui rappelait le sien.  Je n'eu jamais le temps de lui demander.
Une nuit comme toutes les autres alors que moi et Emily dormions, nous entendîmes tout à coup un tir. Très proche. Je me suis levé comme j'ai pu pour inspecter la maison, des pillards pensais-je. Puis j'ai vu dans le noir Joe, dans la chambre de notre fils. L'arme à la main. Il pleurait. J'avais à ce moment là un très mauvais pressentiment. Il s'avança vers moi, en me suppliant de ne pas rentrer, pour finalement s'arrêter devant la porte et en pointant son revolver sur sa tempe. il me dit ainsi, les larmes aux yeux : "N'entrez pas. Ne vous infligez pas cette peine. Je suis vraiment désolé, mais comme mes hommes je peux vous jurer qu'il aura plus sa place là haut qu'ici ." Sur ces derniers mots, Joe ferma la porte puis une seconde détonation retenti.
Voilà, c'est enfin écrit. Je redoutais ce moment, ressasser le passé, ce rappeler de ça. Ce moment exact. Ce fut très dur. Vraiment. Vous vous imaginez bien, Emily et moi fûmes anéanti.  Je ne sais pas comment on a trouvé la force de survivre à ça, mais on est finalement parti le lendemain matin en emportant seulement quelques vivres. On ne pouvait plus rester dans cette maison. Nous n'avons jamais osé ouvrir cette porte. Pourquoi avait-il utilisé un putain de flingue pour descendre mon gosse, MERDE ?
Bref. Aujourd'hui tout cela est du passé. Quand je vois le monde désormais comme le voyais les autres, à survivre le jour, voir l'horreur de certaines choses... Je peux comprendre pourquoi ils ont souhaité se tuer. Cependant je ne pardonnerai jamais ce qu'à fait Joe, et bien que je ne soit pas croyant, je lui souhaite de ne jamais atteindre le paradis.
Aujourd'hui nous survivons au jour le jour, cherchant désespérément d'autres survivants. La vie continue malheureusement et je me battrais jusqu'au bout pour protéger ma femme. Des enfants, on en aura d'autres (je sais que c'est horrible de dire ça, mais c'est le cas) et j'ai fois de pouvoir un jour leur proposer un monde ou voir le jour. Même dans la plus sombre des nuits, une lumière subsiste.

time to meet the devil

• pseudo › Guillaume
• âge › 19 ans

• comment as-tu découvert le forum ? › grâce à Google bien sûr !
• Ton ancien personnage ?  › Pour tous ceux qui ont connu l'épreuve du reboot
• et tu le trouves comment ? › clair et précis
• présence › Plusieurs fois par semaine

• code du règlement › Ok Jay
• crédit › de la bannière et du gif, https://i.imgur.com/cFmnM.gif
passeport :

fiche (c) elephant song.
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Jeu 3 Mar 2016 - 15:27



bienvenue sur le forum !

Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :

1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours. Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.

2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.

3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.

4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire !  Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.

5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.

6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.

Bonne rédaction !


Si tu as des questions, n'hésite pas !
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Jeu 3 Mar 2016 - 16:47

Hellcome
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Jeu 3 Mar 2016 - 19:31

Bienvenue parmi nous amuse toi bien.
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Jeu 3 Mar 2016 - 19:44

Moriarty :smile14: Bienvenue toi !
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Ven 4 Mar 2016 - 7:42

Bienvenue ! o/
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

Ven 4 Mar 2016 - 22:50

Merci pour l'accueil tout le monde !
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Re: We all have two lives, the second begins when we realize we only have one.

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