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Scott Grant, young zombie hunter.
Sam 19 Mar 2016 - 3:02
19 ans et demi • Américain • Étudiant en police • Emerald Freedom
Explique ici en 12 LIGNES MINIMUM le caractère de ton personnage.
Bon et bien, puisque nous y sommes. Je suis un jeune garçon de 19 ans et demi bien banale. J'ai quelques traits de caractères différents les uns des autres. Par où commencer... ah oui, voilà. Je ne suis pas très patient. Tout ce qui n'est pas vite fait et bien fait me tombe royalement sur le système. Pour ainsi dire, je peux me montrer très impulsif dans mes paroles et dans mes gestes lorsqu'une situation me déplaît bien que ce ne soit pas voulu. J'ai également cette drôle d'impression de devoir tout faire maintenant. Je m'expose souvent au danger et mes amis appelaient ça de la témérité. Mais ce n'est pas de ma faute ! J'aime l'aventure, j'aime tout ce qui peut mettre du piquant dans ma vie.. jusqu'à ce fameux jour ou tout a basculé. J'ai rapidement changé d'optique.. bref, ne dérivons pas du sujet. Je sais également me montrer désobéissant envers les cadres supérieurs. Non pas que je sois totalement en désaccord avec la loi, mais j'aime affirmer mon point de vue et être bien entendu. Ho.. et si je vous parlais d'un dernier défaut ? Je ne suis pas toujours honnête pour dire vrai. Je suis intègre dans ce que j'entreprends, mais si j'ai à mentir pour me sauver la peau je le ferai sans hésiter.
Maintenant, assez parlé de mes défauts. Je ne suis pas qu'une mauvaise personne. Si je pouvais m'attribuer le mérite du mec le plus courageux je me l'accorderais. Il faut tout un courage pour survivre dans un monde apocalyptique à l'âge de 19 ans. Je ne peux pas vous mentir. J'ai peur. Très peur. Néanmoins, cette peur ne me bloque pas. Je sais me montrer travaillant, audacieux et amical envers mes camarades. Qualités qui me sont très utiles pour savoir vivre en groupe et me faire des amis. Lorsqu'il y a des conflits, je sais m'y intégrer de manière posée et diplomate pour tenter d'y mettre fin. Pourquoi les humains devraient-ils s'entre-tuer alors qu'ils ont une menace bien plus grande à éliminer ? Les morts-vivants n'ont pas de sentiment eux. Nous, nous en avons toujours.. alors nous devons nous unir ensemble afin de préserver ce reste d'humanité.
Bon et bien, puisque nous y sommes. Je suis un jeune garçon de 19 ans et demi bien banale. J'ai quelques traits de caractères différents les uns des autres. Par où commencer... ah oui, voilà. Je ne suis pas très patient. Tout ce qui n'est pas vite fait et bien fait me tombe royalement sur le système. Pour ainsi dire, je peux me montrer très impulsif dans mes paroles et dans mes gestes lorsqu'une situation me déplaît bien que ce ne soit pas voulu. J'ai également cette drôle d'impression de devoir tout faire maintenant. Je m'expose souvent au danger et mes amis appelaient ça de la témérité. Mais ce n'est pas de ma faute ! J'aime l'aventure, j'aime tout ce qui peut mettre du piquant dans ma vie.. jusqu'à ce fameux jour ou tout a basculé. J'ai rapidement changé d'optique.. bref, ne dérivons pas du sujet. Je sais également me montrer désobéissant envers les cadres supérieurs. Non pas que je sois totalement en désaccord avec la loi, mais j'aime affirmer mon point de vue et être bien entendu. Ho.. et si je vous parlais d'un dernier défaut ? Je ne suis pas toujours honnête pour dire vrai. Je suis intègre dans ce que j'entreprends, mais si j'ai à mentir pour me sauver la peau je le ferai sans hésiter.
Maintenant, assez parlé de mes défauts. Je ne suis pas qu'une mauvaise personne. Si je pouvais m'attribuer le mérite du mec le plus courageux je me l'accorderais. Il faut tout un courage pour survivre dans un monde apocalyptique à l'âge de 19 ans. Je ne peux pas vous mentir. J'ai peur. Très peur. Néanmoins, cette peur ne me bloque pas. Je sais me montrer travaillant, audacieux et amical envers mes camarades. Qualités qui me sont très utiles pour savoir vivre en groupe et me faire des amis. Lorsqu'il y a des conflits, je sais m'y intégrer de manière posée et diplomate pour tenter d'y mettre fin. Pourquoi les humains devraient-ils s'entre-tuer alors qu'ils ont une menace bien plus grande à éliminer ? Les morts-vivants n'ont pas de sentiment eux. Nous, nous en avons toujours.. alors nous devons nous unir ensemble afin de préserver ce reste d'humanité.
Je suis un jeune homme bien bâti. Je suis grand et je dispose d'un corps taillé pour le combat. Bon, peut-être pas à ce point quand même... mais je m'entraînais au gym avant l'apocalypse ce qui doit faire de moi un bon élèment en matière de cardio. Je fais environ 1m80 mais je ne pourrais pas vous donner mon poids affirmatif.. imaginez-vous simplement un adolescent qui s'entraîne à toutes les semaines pour maintenir un poids santé. Avant l'apocalypse, j'ai eu le temps de prendre quelques-uns de mes vêtements dont je porte encore maintenant. Je suis vêtu de jeans et d'un t-shirt de la marque vans ainsi que de souliers vans d'une couleur rouge vin. Vous voyez un peu mon style ? Bien simple mais bien joli. J'ai les cheveux bruns châtains et bouclés. Ils sont rasés sur les côtés. Je possède également de beaux yeux verts foncés. En ma possession, j'ai deux armes blanches. D'abord, j'ai un couteau assez gros et assez solide qui me permet de pouvoir transpercer le crâne d'un zombie. Ensuite, je suis muni d'un marteau bien normal et très solide.
ton histoire, avant l'épidémie, en 30 LIGNES MINIMUM
J'étais un étudiant à la fac comme tous les autres. Mon père avait beaucoup d'argent. Quand je parle de beaucoup d'argent, je veux dire par là qu'il avait hérité de son père, décédé il y avait de cela plusieurs années. Il était séparé de ma mère à qui je ne parlais plus depuis mes quatre ans. Rares ont été les fois ou mon père a accepté d'aborder le sujet de ma mère. James, mon père, ne passait pas son temps avec moi. Je pense que c'était par culpabilité d'avoir laisser ma mère partir, ou bien par simple désintérêt. Peu importe. C'était ses différentes petites amies qu'il changeait à toutes les années, qui s'occupaient de moi à partir de mon enfance jusqu'au milieu de mon adolescence. J'avais bien des amis fort heureusement. J'étais assez populaire auprès des jeunes du primaire ce qui me permettait de retrouver un semblant d'amour auprès de mes amis. Ce fut la même chose à l'école au lycée et à la fac. J'étais tout un joueur de rugby ! Ça je peux vous le dire. Je ne me souviens même plus des points que j'ai marqué tellement que j'en ai marqué. Mes entraînements étaient aussi quelque chose de très important. À tous les matins, avant d'aller en classe, je m'entraînais minimum une heure. Le soir, en revenant des classe, si je n'avais pas d'entraînement de rugby, je m'entraînais à la musculation. Le jeune homme parfait quoi. Bon, j'exagère.
Je vivais tout près de Seattle dans une grande maison à trois étages. Mon père était policier enquêteur et il souhaitait tellement que je suive ses traces... mais moi, je n'en avais pas du tout envie. Je voulais faire le tour du monde ! Traverser tous les états et me rendre jusqu'au Canada. Mes ambitions se limitaient au plaisir et à la joie de vivre. Je fêtais avec mes amis à tous les week-end. Alcool, fille, musique étaient au rendez-vous. Cependant, hors de question que je touche à la drogue. Je n'en avais jamais consommé et je n'en consommerai jamais.
Je ne peux pas dire que j'étais le plus doué dans mon domaine scolaire. J'avais les notes de passage seulement et ça me suffisait. Je n'appréciais pas le programme dans lequel j'étais inscris ; technique policière. Ce cours ne m'était pas destiné. Je n'avais peut-être tout simplement pas encore atteint la maturité nécessaire pour envisager quoi que ce soit de concret avec mon avenir car comme je vous l'ai dis, tout ce qui comptait pour moi était le plaisir et la découverte du monde.
J'avais déja fait quelques voyages ici et là avec mon cousin Frank âgé de deux ans de plus que moi. Nous avions voyagé au Texas, en Californie, à New-York.. rien de très palpitant. Moi, je voulais une vraie aventure ! Je voulais découvrir le globe terrestre en entier.
Pendant mes classes, j'apprenais à tirer avec un pistolet, à maîtriser les criminels, à effectuer des dépistages d'alcool. Tout me semblait hyper ennuyant. Jamais je n'aurais pensé que mes techniques m'auraient réellement été utiles, puisque je songeais à quitter mon programme pour faire mes valises et visiter le monde.
J'avais une petite amie. Enfin, c'est vite dit. Nous étions en fréquentations et chacun de notre côté, nous pouvions allé voir qui nous voulions tant qu'il n'y avait rien de sérieux entre nous. Je l'aimais bien cette fille. Elle se nommait Marina Kent. Une jolie rouquine aux yeux bleus. Mon père l'appréciait tellement.. c'était peut-être pour ça que je ne voulais pas former un couple avec elle dans l'immédiat ? Je n'appréciais pas réellement mon paternel. Son argent et ses cadeaux avaient toujours été présents pour moi, mais sa présence à lui et son amour à lui ne s'étaient que très rarement manifestés.
Mon père avait rencontré une nouvelle conjointe. Oui, encore une autre. Elle se nommait Nancy Jackson. Jolie, mince, blonde. Une fille idéale. Je n'osais cependant pas établir de lien concret avec elle, car je ne savais jamais quand mon père s'en lasserait pour se trouver une nouvelle copine et encore une autre. Néanmoins, elle passa deux ans aux côtés de mon père.. jusqu'à ce que..
Ma vie a basculée. Comme la vôtre.
J'étais un étudiant à la fac comme tous les autres. Mon père avait beaucoup d'argent. Quand je parle de beaucoup d'argent, je veux dire par là qu'il avait hérité de son père, décédé il y avait de cela plusieurs années. Il était séparé de ma mère à qui je ne parlais plus depuis mes quatre ans. Rares ont été les fois ou mon père a accepté d'aborder le sujet de ma mère. James, mon père, ne passait pas son temps avec moi. Je pense que c'était par culpabilité d'avoir laisser ma mère partir, ou bien par simple désintérêt. Peu importe. C'était ses différentes petites amies qu'il changeait à toutes les années, qui s'occupaient de moi à partir de mon enfance jusqu'au milieu de mon adolescence. J'avais bien des amis fort heureusement. J'étais assez populaire auprès des jeunes du primaire ce qui me permettait de retrouver un semblant d'amour auprès de mes amis. Ce fut la même chose à l'école au lycée et à la fac. J'étais tout un joueur de rugby ! Ça je peux vous le dire. Je ne me souviens même plus des points que j'ai marqué tellement que j'en ai marqué. Mes entraînements étaient aussi quelque chose de très important. À tous les matins, avant d'aller en classe, je m'entraînais minimum une heure. Le soir, en revenant des classe, si je n'avais pas d'entraînement de rugby, je m'entraînais à la musculation. Le jeune homme parfait quoi. Bon, j'exagère.
Je vivais tout près de Seattle dans une grande maison à trois étages. Mon père était policier enquêteur et il souhaitait tellement que je suive ses traces... mais moi, je n'en avais pas du tout envie. Je voulais faire le tour du monde ! Traverser tous les états et me rendre jusqu'au Canada. Mes ambitions se limitaient au plaisir et à la joie de vivre. Je fêtais avec mes amis à tous les week-end. Alcool, fille, musique étaient au rendez-vous. Cependant, hors de question que je touche à la drogue. Je n'en avais jamais consommé et je n'en consommerai jamais.
Je ne peux pas dire que j'étais le plus doué dans mon domaine scolaire. J'avais les notes de passage seulement et ça me suffisait. Je n'appréciais pas le programme dans lequel j'étais inscris ; technique policière. Ce cours ne m'était pas destiné. Je n'avais peut-être tout simplement pas encore atteint la maturité nécessaire pour envisager quoi que ce soit de concret avec mon avenir car comme je vous l'ai dis, tout ce qui comptait pour moi était le plaisir et la découverte du monde.
J'avais déja fait quelques voyages ici et là avec mon cousin Frank âgé de deux ans de plus que moi. Nous avions voyagé au Texas, en Californie, à New-York.. rien de très palpitant. Moi, je voulais une vraie aventure ! Je voulais découvrir le globe terrestre en entier.
Pendant mes classes, j'apprenais à tirer avec un pistolet, à maîtriser les criminels, à effectuer des dépistages d'alcool. Tout me semblait hyper ennuyant. Jamais je n'aurais pensé que mes techniques m'auraient réellement été utiles, puisque je songeais à quitter mon programme pour faire mes valises et visiter le monde.
J'avais une petite amie. Enfin, c'est vite dit. Nous étions en fréquentations et chacun de notre côté, nous pouvions allé voir qui nous voulions tant qu'il n'y avait rien de sérieux entre nous. Je l'aimais bien cette fille. Elle se nommait Marina Kent. Une jolie rouquine aux yeux bleus. Mon père l'appréciait tellement.. c'était peut-être pour ça que je ne voulais pas former un couple avec elle dans l'immédiat ? Je n'appréciais pas réellement mon paternel. Son argent et ses cadeaux avaient toujours été présents pour moi, mais sa présence à lui et son amour à lui ne s'étaient que très rarement manifestés.
Mon père avait rencontré une nouvelle conjointe. Oui, encore une autre. Elle se nommait Nancy Jackson. Jolie, mince, blonde. Une fille idéale. Je n'osais cependant pas établir de lien concret avec elle, car je ne savais jamais quand mon père s'en lasserait pour se trouver une nouvelle copine et encore une autre. Néanmoins, elle passa deux ans aux côtés de mon père.. jusqu'à ce que..
Ma vie a basculée. Comme la vôtre.
ton histoire depuis le tout début de l'épidémie 10 LIGNES MINIMUM
Le jour 1-2-3 : Je me rendais en classe comme à tous les matins. Tout semblait normal. Bon, il y avait quelques cas de grippes aux nouvelles qui se multipliaient, mais rien de bien alarmant pour l'instant. Les médecins semblaient trouver des remèdes contre ce virus. semblaient. Rien d'anormal ne s'était passé lors de cette journée, ou du moins.. dans mon coin de ville.
Quelques jours après : les autorités effectuaient une patrouille régulière à tous les jours dans nos quartiers. Ça devenait de plus en plus alarmant. Mon père était souvent de sortie pour dialoguer avec les forces supérieures, c'était son boulot après tout. Moi, puisque je n'avais pas suivis entièrement mon cours, je n'étais pas appelé à quitter le domicile. Les choses allaient sans doute s'arranger.
Encore plusieurs jours après : les autorités se multipliaient. Aux nouvelles, il y avait des reportages qui parlaient principalement de « morts-vivants ». Les tombaient malades d'une grippe et en mourrait après plusieurs symptômes. Ils revenaient à la vie et s'attaquaient aux autres. C'était la panique. Mais encore une fois, les autorités semblaient contrôler les rues et les cas de 'zombification'. La fac m'était également inaccessible puisqu'elle avait fermée ses portes le temps que l'épidémie se calme et de même, les gens ne devaient pas quitter leur domicile afin de se protéger. Ordre des militants.
Là c'en était trop. Des morts atroces. Des hurlements dans toute la ville. Même les autorités semblaient accablées par tous ces cas qui devenaient de plus en plus fréquents. Ils semblaient avoir perdu le dessus sur le virus. Plusieurs gens mourraient et revenaient à la vie. Bientôt, les soit-dit morts-vivants étaient plus nombreux que les humains. J'avais peur, je ne comprenais pas ce qui se passait. Mais dans la maison avec mon père et ma belle-mère je me sentais quand même plus à l'aise. Nous avions une grande maison bien solide, et nos portes étaient barrées. Mon père s'était résigné de ses fonctions, préférant rester chez lui et subvenir au besoin de sa conjointe et de son fils. C'était la première fois que je le voyais s'en faire pour moi. Les autorités avaient demandés à la population de ne plus quitter leur domicile il y avait de cela une longue période et plus de nouvelle. Malgré ces alertes, ma belle-mère voulait à tout prix aller chercher sa mère qui habitait à deux coins de rues de chez moi. Mon père avait beau la résonner, rien ne fonctionnait. Elle voulait y aller. Finalement, il avait conclut qu'il faudrait y aller tous ensemble. Je n'étais pas de cet avis. Mettre les pieds dehors avec tous ces.. zombies qui arpentaient les rues ? Non merci. Les militaires ne donnaient presque plus de signe de vie ce qui rendait la situation particulièrement délicate. Avaient-ils perdus le combat ?
Ensemble, mon père, Nancy et moi quittions notre maison armés de simples couteaux de cuisines. Aucune bravoure. Aucun courage. Juste de la folie. C'était de se jeter directement dans la gueule du loup. Après une courte marche sur le boulevard Ouest, nous arrivions enfin devant la maison de la mère de Nancy. Celle-ci accourra à l'intérieur rapidement, nous laissant dehors mon père et moi pendant plusieurs minutes. Puis, un moment de silence et un cri. Nancy ressortit de la maison l'épaule déchiquetée par ce qui ressemblait à une morsure. À sa suite déambulait un homme de race noire plutôt que sa mère, qui se dirigeait vers nous en poussant des grognements. La mère de Nancy avait du se faire déchiqueter elle aussi, car elle ne sortit pas de la maison. Épaulant Nancy, mon père rebroussa chemin et je les suivit rapidement, regardant quelques fois en arrière pour m'assurer que nous avions de l'avance sur le mort-vivant. Après cet incident, nous ne quittèrent pas la maison. Mon père adossa quelques meubles contre les portes et avec les provisions qu'il nous restait, nous tentions de tenir le coup. Mais la peur me nouait le ventre. Où étaient tous mes amis ? Ma copine ? Que leur était-il arrivé ? S'étaient-ils 'zombifiés' eux aussi ? La société semblait avoir perdu tout sens. Avec Nancy qui était blessée et mon père qui tentait de rejoindre les forces de l'armée en vain. Tout allait pour le pire. Nous n'avions plus aucun contact avec la société. Nous nous étions isolés, préférant se protéger entre-nous.
Le fameux jour. : Je m'étais réveillé pour me rendre dans la salle à manger pour y retrouver mon père et Nancy. Cela faisait maintenant .. ah je ne comptais même plus le temps passé dans ma maison tant les journées étaient longues. Sans parler de l'état de santé de Nancy qui semblait se détériorer. Mon père refusait d'admettre qu'elle était atteinte de la grippe, mais les preuves étaient pourtant évidentes. Elle s'était fait mordre ! Mais bon, elle était toujours humaine et d'ici peu, nous serions sauvés et elle serait remise sur pieds. C'est ce que j'espérais. Quel piètre espoir.
J'entendais alors de drôles de grognements provenant du deuxième étage. L'endroit où dormait mon père et sa petite amie Nancy. Je sentais que quelque chose n'allait pas. Pas du tout. J'avais quitté le seuil de ma chambre en enfilant rapidement des boxers, un jeans et un t-shirt ainsi que mes basket, puis je m'étais dirigé vers la chambre de mon père là d'où provenaient les drôles de grognements. Au début je croyais qu'il s'agissait d'un animal mais je reconnu les râlements qu'avaient fait l'homme noir l'autre jour. Celui qui avait mordu Nancy... quelle fut ma surprise. Mais bordel ! Je leur avais dit ! Nancy a été contaminée par le virus !
La petite amie de mon père se tenait au dessus de lui et lui mangeait cruellement le ventre. Je ne savais pas comment réagir. Bien que mon père n'occupait pas une place importante dans mon coeur, il s'agissait tout de même de mon père. J'étais tétanisé par la peur. Une folle à lier mangeait avec appétit les organes internes de mon père ! Aucune réaction parvint à se libérer de moi. J'étais figé sur place, les yeux grands ouverts.
J'avais réussi à me libérer de ma paralysie lorsque la morte-vivante s'était dirigée vers moi d'une démarche brisée, en poussant des grondements rauques. Le sang dégoulinait de sa bouche et ses mains étaient rouges pourpres. J'avais envie de pleurer, de hurler, de frapper quelque chose. Mais, je ne pouvais surtout pas rester là. La chose qui s'était emparée du corps de Nancy semblait déterminée à me faire subir le même sort qu'à mon père. Mon père.. mon père.. non, ho.. papa...
J'avais alors l'idée de m'enfuir. Mais, comment m'enfuir alors qu'elle.. ou du moins, ce qui restait d'elle voulait me bouffer ? Quel génie me direz-vous. Je quitta tout simplement la pièce en refermant la porte derrière moi. J'entendis ensuite des coups résonner contre la porte de bois et des hurlements encore plus sauvages. Juste avant de partir, j'avais réussi à attraper quelques vêtements que j'emballèrent dans mon sac-à-dos scolaire. J'y rajoutais ensuite deux-trois bouteilles d'eau et quatre boîtes de conserves par simple précaution. Je ne pouvais plus rester là. Plus jamais je ne voudrais revoir cette maison, ni cette scène horrifiante ; la mort de mon père, s'étant fait dévorer vivant par sa petite amie.
En quittant ma maison, je regardais bien autour de moi. Tout semblait calme et désert. J'avais peut-être l'intention de quitter mais pour aller où ? Il semblait ne plus rester personne. Personne d'humain et de bien vivant en tous les cas. Mise à part cette fois où nous avions été chercher en vain la mère de Nancy, je n'avais pas quitté ma maison. Les quartiers étaient laissés à l'abandon. Ça faisait peine à voir. Les voitures étaient éparpillées sur la route et des chaussures, des vêtements et des sac-à-dos traînaient un peu partout. C'était le déchéance de la société. La fin de l'humanité. Je tremblais de tous mes membres plus j'avançais dans cette ville chaotique.
Les rues étaient bombées de cadavres, de véhicules appartenant à l'armée laissés à l'abandon. C'était le chaos. Le sol était par endroit taché de sang et des cadavres traînaient entre les vestiges. Alors que je voulais reprendre ma route, une femme d'environ quarante ans se présenta devant moi.
- J'mappelle Shayla. Tu t'diriges au camp des réfugiés toi aussi ?
J'étais sous le choc. Un camp de réfugié ? Il restait réellement d'autres survivants ? Et bien.. je n'avais nulle part où aller. Aussi bien suivre cette dame, elle semblait en savoir davantage sur ces soit-dit rescapés. Donc, je lui avais répondu de façon polie. Il était préférable de m'en faire une alliée.
- Oui m'dame.. je vous laisse m'y mener, merci.
Sur notre route, nous n'avons croisé que deux seuls morts vivants. Je n'en ai tué aucun. Shayla les avait tués avec la barre de fer qu'elle tenait fermement entre ses mains.
- On doit viser la tête. J'ai vu des gens tirer dans le coeur de ces monstres-là, et ça ne leur faisait rien. On doit viser la tête.
Viser la tête. Viser la tête. Je me répétais ça sans arrêt comme si je pouvais l'oublier. J'étais tellement effrayé que je ne pouvais qu'hocher la tête pour lui répondre.
Lorsque nous arrivions près d'une école, à son devant se tenaient plusieurs militaires armés. Aucun zombie en vue. Que des humains.
Un homme nous accueilli et s'assura que nous n'étions pas mordu avant de nous faire intégrer la petite communauté. L'école était protégée par des structures fabriquées de main forte, et à son intérieur il y avait plusieurs gens. De tous les âges. Je me sentais à la fois soulagé d'avoir trouvé cet endroit, mais.. je me sentais également triste de ne pas pouvoir la partager avec mon père et.. ce monstre de Nancy. Malgré les protections, j'avais toujours peur. Shayla restait à mes côtés.
Quelque temps après : Les choses n'ont pas restées longtemps ainsi. Le général n'était pas très sympathique. Et ses méthodes laissaient à désirer. Mais moi, un jeune homme de 19, qu'avais-je de spécial pour le lui dire ? Rien du tout. Alors, je me contentais de faire comme bien des civils et je gardais le silence. Après tout, ils assuraient notre protection contre les morts-vivants qui s'étaient sans doute multipliés. Au bout d'un temps, un groupe de civils a renversé le pouvoir du dirigeant pour remettre de l'ordre et de la sérénité au sein de la petite communauté. Je préférais me tenir loin de ces histoires, étant loyal à celui qui remporterait le combat. Je n'étais pas faible, j'étais seulement jeune et encore peiné par tous ces événements. Shayla était la seule personne avec qui je passais le plus clair de mon temps. Mais, comme on dit.. les bonnes personnes partent en premier. Dans ce combat contre les militaires et les civils, Shayla avait perdue la vie en recevant une balle en plein poitrail. Un homme avait du l'abattre d'une balle dans le crâne pour l'empêcher de revenir du royaume des morts. Certes j'étais triste mais je commençais à me résoudre à perdre les gens que je côtoyais. D'abord ma mère, mon père, Nancy et Shayla. D'ailleurs, je me demande si ma mère est aussi témoin de ces atroces événements. Bon, après tout.. cela fait quinze ans que je ne pense plus à elle. Pourquoi le faire maintenant ?
Depuis ce temps, je fais de mon mieux pour survivre dans ce monde apocalyptique en aidant ma communauté. Maintenant, j'assiste aux missions de ravitaillement et je monte la garde avec un partenaire. Je joue un rôle assez important pour la sécurité, comme tous les civils d'ailleurs. J'ai prêté serment aux nouveaux dirigeants et je compte bien me battre pour préserver ma survie. Je deviendrai fort.. quoique pour le moment, je suis encore ancré sur l'incompréhension des événements.
Le jour 1-2-3 : Je me rendais en classe comme à tous les matins. Tout semblait normal. Bon, il y avait quelques cas de grippes aux nouvelles qui se multipliaient, mais rien de bien alarmant pour l'instant. Les médecins semblaient trouver des remèdes contre ce virus. semblaient. Rien d'anormal ne s'était passé lors de cette journée, ou du moins.. dans mon coin de ville.
Quelques jours après : les autorités effectuaient une patrouille régulière à tous les jours dans nos quartiers. Ça devenait de plus en plus alarmant. Mon père était souvent de sortie pour dialoguer avec les forces supérieures, c'était son boulot après tout. Moi, puisque je n'avais pas suivis entièrement mon cours, je n'étais pas appelé à quitter le domicile. Les choses allaient sans doute s'arranger.
Encore plusieurs jours après : les autorités se multipliaient. Aux nouvelles, il y avait des reportages qui parlaient principalement de « morts-vivants ». Les tombaient malades d'une grippe et en mourrait après plusieurs symptômes. Ils revenaient à la vie et s'attaquaient aux autres. C'était la panique. Mais encore une fois, les autorités semblaient contrôler les rues et les cas de 'zombification'. La fac m'était également inaccessible puisqu'elle avait fermée ses portes le temps que l'épidémie se calme et de même, les gens ne devaient pas quitter leur domicile afin de se protéger. Ordre des militants.
Là c'en était trop. Des morts atroces. Des hurlements dans toute la ville. Même les autorités semblaient accablées par tous ces cas qui devenaient de plus en plus fréquents. Ils semblaient avoir perdu le dessus sur le virus. Plusieurs gens mourraient et revenaient à la vie. Bientôt, les soit-dit morts-vivants étaient plus nombreux que les humains. J'avais peur, je ne comprenais pas ce qui se passait. Mais dans la maison avec mon père et ma belle-mère je me sentais quand même plus à l'aise. Nous avions une grande maison bien solide, et nos portes étaient barrées. Mon père s'était résigné de ses fonctions, préférant rester chez lui et subvenir au besoin de sa conjointe et de son fils. C'était la première fois que je le voyais s'en faire pour moi. Les autorités avaient demandés à la population de ne plus quitter leur domicile il y avait de cela une longue période et plus de nouvelle. Malgré ces alertes, ma belle-mère voulait à tout prix aller chercher sa mère qui habitait à deux coins de rues de chez moi. Mon père avait beau la résonner, rien ne fonctionnait. Elle voulait y aller. Finalement, il avait conclut qu'il faudrait y aller tous ensemble. Je n'étais pas de cet avis. Mettre les pieds dehors avec tous ces.. zombies qui arpentaient les rues ? Non merci. Les militaires ne donnaient presque plus de signe de vie ce qui rendait la situation particulièrement délicate. Avaient-ils perdus le combat ?
Ensemble, mon père, Nancy et moi quittions notre maison armés de simples couteaux de cuisines. Aucune bravoure. Aucun courage. Juste de la folie. C'était de se jeter directement dans la gueule du loup. Après une courte marche sur le boulevard Ouest, nous arrivions enfin devant la maison de la mère de Nancy. Celle-ci accourra à l'intérieur rapidement, nous laissant dehors mon père et moi pendant plusieurs minutes. Puis, un moment de silence et un cri. Nancy ressortit de la maison l'épaule déchiquetée par ce qui ressemblait à une morsure. À sa suite déambulait un homme de race noire plutôt que sa mère, qui se dirigeait vers nous en poussant des grognements. La mère de Nancy avait du se faire déchiqueter elle aussi, car elle ne sortit pas de la maison. Épaulant Nancy, mon père rebroussa chemin et je les suivit rapidement, regardant quelques fois en arrière pour m'assurer que nous avions de l'avance sur le mort-vivant. Après cet incident, nous ne quittèrent pas la maison. Mon père adossa quelques meubles contre les portes et avec les provisions qu'il nous restait, nous tentions de tenir le coup. Mais la peur me nouait le ventre. Où étaient tous mes amis ? Ma copine ? Que leur était-il arrivé ? S'étaient-ils 'zombifiés' eux aussi ? La société semblait avoir perdu tout sens. Avec Nancy qui était blessée et mon père qui tentait de rejoindre les forces de l'armée en vain. Tout allait pour le pire. Nous n'avions plus aucun contact avec la société. Nous nous étions isolés, préférant se protéger entre-nous.
Le fameux jour. : Je m'étais réveillé pour me rendre dans la salle à manger pour y retrouver mon père et Nancy. Cela faisait maintenant .. ah je ne comptais même plus le temps passé dans ma maison tant les journées étaient longues. Sans parler de l'état de santé de Nancy qui semblait se détériorer. Mon père refusait d'admettre qu'elle était atteinte de la grippe, mais les preuves étaient pourtant évidentes. Elle s'était fait mordre ! Mais bon, elle était toujours humaine et d'ici peu, nous serions sauvés et elle serait remise sur pieds. C'est ce que j'espérais. Quel piètre espoir.
J'entendais alors de drôles de grognements provenant du deuxième étage. L'endroit où dormait mon père et sa petite amie Nancy. Je sentais que quelque chose n'allait pas. Pas du tout. J'avais quitté le seuil de ma chambre en enfilant rapidement des boxers, un jeans et un t-shirt ainsi que mes basket, puis je m'étais dirigé vers la chambre de mon père là d'où provenaient les drôles de grognements. Au début je croyais qu'il s'agissait d'un animal mais je reconnu les râlements qu'avaient fait l'homme noir l'autre jour. Celui qui avait mordu Nancy... quelle fut ma surprise. Mais bordel ! Je leur avais dit ! Nancy a été contaminée par le virus !
La petite amie de mon père se tenait au dessus de lui et lui mangeait cruellement le ventre. Je ne savais pas comment réagir. Bien que mon père n'occupait pas une place importante dans mon coeur, il s'agissait tout de même de mon père. J'étais tétanisé par la peur. Une folle à lier mangeait avec appétit les organes internes de mon père ! Aucune réaction parvint à se libérer de moi. J'étais figé sur place, les yeux grands ouverts.
J'avais réussi à me libérer de ma paralysie lorsque la morte-vivante s'était dirigée vers moi d'une démarche brisée, en poussant des grondements rauques. Le sang dégoulinait de sa bouche et ses mains étaient rouges pourpres. J'avais envie de pleurer, de hurler, de frapper quelque chose. Mais, je ne pouvais surtout pas rester là. La chose qui s'était emparée du corps de Nancy semblait déterminée à me faire subir le même sort qu'à mon père. Mon père.. mon père.. non, ho.. papa...
J'avais alors l'idée de m'enfuir. Mais, comment m'enfuir alors qu'elle.. ou du moins, ce qui restait d'elle voulait me bouffer ? Quel génie me direz-vous. Je quitta tout simplement la pièce en refermant la porte derrière moi. J'entendis ensuite des coups résonner contre la porte de bois et des hurlements encore plus sauvages. Juste avant de partir, j'avais réussi à attraper quelques vêtements que j'emballèrent dans mon sac-à-dos scolaire. J'y rajoutais ensuite deux-trois bouteilles d'eau et quatre boîtes de conserves par simple précaution. Je ne pouvais plus rester là. Plus jamais je ne voudrais revoir cette maison, ni cette scène horrifiante ; la mort de mon père, s'étant fait dévorer vivant par sa petite amie.
En quittant ma maison, je regardais bien autour de moi. Tout semblait calme et désert. J'avais peut-être l'intention de quitter mais pour aller où ? Il semblait ne plus rester personne. Personne d'humain et de bien vivant en tous les cas. Mise à part cette fois où nous avions été chercher en vain la mère de Nancy, je n'avais pas quitté ma maison. Les quartiers étaient laissés à l'abandon. Ça faisait peine à voir. Les voitures étaient éparpillées sur la route et des chaussures, des vêtements et des sac-à-dos traînaient un peu partout. C'était le déchéance de la société. La fin de l'humanité. Je tremblais de tous mes membres plus j'avançais dans cette ville chaotique.
Les rues étaient bombées de cadavres, de véhicules appartenant à l'armée laissés à l'abandon. C'était le chaos. Le sol était par endroit taché de sang et des cadavres traînaient entre les vestiges. Alors que je voulais reprendre ma route, une femme d'environ quarante ans se présenta devant moi.
- J'mappelle Shayla. Tu t'diriges au camp des réfugiés toi aussi ?
J'étais sous le choc. Un camp de réfugié ? Il restait réellement d'autres survivants ? Et bien.. je n'avais nulle part où aller. Aussi bien suivre cette dame, elle semblait en savoir davantage sur ces soit-dit rescapés. Donc, je lui avais répondu de façon polie. Il était préférable de m'en faire une alliée.
- Oui m'dame.. je vous laisse m'y mener, merci.
Sur notre route, nous n'avons croisé que deux seuls morts vivants. Je n'en ai tué aucun. Shayla les avait tués avec la barre de fer qu'elle tenait fermement entre ses mains.
- On doit viser la tête. J'ai vu des gens tirer dans le coeur de ces monstres-là, et ça ne leur faisait rien. On doit viser la tête.
Viser la tête. Viser la tête. Je me répétais ça sans arrêt comme si je pouvais l'oublier. J'étais tellement effrayé que je ne pouvais qu'hocher la tête pour lui répondre.
Lorsque nous arrivions près d'une école, à son devant se tenaient plusieurs militaires armés. Aucun zombie en vue. Que des humains.
Un homme nous accueilli et s'assura que nous n'étions pas mordu avant de nous faire intégrer la petite communauté. L'école était protégée par des structures fabriquées de main forte, et à son intérieur il y avait plusieurs gens. De tous les âges. Je me sentais à la fois soulagé d'avoir trouvé cet endroit, mais.. je me sentais également triste de ne pas pouvoir la partager avec mon père et.. ce monstre de Nancy. Malgré les protections, j'avais toujours peur. Shayla restait à mes côtés.
Quelque temps après : Les choses n'ont pas restées longtemps ainsi. Le général n'était pas très sympathique. Et ses méthodes laissaient à désirer. Mais moi, un jeune homme de 19, qu'avais-je de spécial pour le lui dire ? Rien du tout. Alors, je me contentais de faire comme bien des civils et je gardais le silence. Après tout, ils assuraient notre protection contre les morts-vivants qui s'étaient sans doute multipliés. Au bout d'un temps, un groupe de civils a renversé le pouvoir du dirigeant pour remettre de l'ordre et de la sérénité au sein de la petite communauté. Je préférais me tenir loin de ces histoires, étant loyal à celui qui remporterait le combat. Je n'étais pas faible, j'étais seulement jeune et encore peiné par tous ces événements. Shayla était la seule personne avec qui je passais le plus clair de mon temps. Mais, comme on dit.. les bonnes personnes partent en premier. Dans ce combat contre les militaires et les civils, Shayla avait perdue la vie en recevant une balle en plein poitrail. Un homme avait du l'abattre d'une balle dans le crâne pour l'empêcher de revenir du royaume des morts. Certes j'étais triste mais je commençais à me résoudre à perdre les gens que je côtoyais. D'abord ma mère, mon père, Nancy et Shayla. D'ailleurs, je me demande si ma mère est aussi témoin de ces atroces événements. Bon, après tout.. cela fait quinze ans que je ne pense plus à elle. Pourquoi le faire maintenant ?
Depuis ce temps, je fais de mon mieux pour survivre dans ce monde apocalyptique en aidant ma communauté. Maintenant, j'assiste aux missions de ravitaillement et je monte la garde avec un partenaire. Je joue un rôle assez important pour la sécurité, comme tous les civils d'ailleurs. J'ai prêté serment aux nouveaux dirigeants et je compte bien me battre pour préserver ma survie. Je deviendrai fort.. quoique pour le moment, je suis encore ancré sur l'incompréhension des événements.
passeport :recensement de l'avatar. - Code:
Votre célébrité Xavier Dolan <bott></bott>
recensement du prénom. (prénom utilisé uniquement)- Code:
Scott
recensement du nom. (nom utilisé uniquement)- Code:
Grant
recensement du métier. - Code:
Étudiant
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Re: Scott Grant, young zombie hunter.
Sam 19 Mar 2016 - 3:13
( Je suis vraiment désolé de poster, mais je suis nouveau et je veux de l'aide.. je ne comprends pas du tout du tout le passe-port... Je dois y mette quels codes ? J'ai passé quatre heures à essayer de comprendre mais je n'y arrive pas.. J'ai seulement trouvé ma célébrité qui est Xavier Dolan.. si un modérateur pouvait arranger le reste ça serait super sympa vraiment.. encore désolé de poster je sais que je ne peux pas, mais je suis très incertain.. )
[EDIT]
Réglé par Obi !
[EDIT]
Réglé par Obi !
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Re: Scott Grant, young zombie hunter.
Sam 19 Mar 2016 - 3:45
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
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Salut et bienvenue Scott !
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Re: Scott Grant, young zombie hunter.
Sam 19 Mar 2016 - 4:58
Merciiiiiiii !
J'espère avoir la chance de RP avec toi
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Re: Scott Grant, young zombie hunter.
Sam 19 Mar 2016 - 5:18
Donc, rebonsoir Scott !
Tout d'abord, as tu changé la couleur du titre de ton sujet ? Si oui, pourrais tu la remettre par défaut ? Il est très difficile de lire ce qui est écrit .
Donc, pour ta fiche, dans l'ensemble c'est plutôt pas mal, même si j'ai eu quelques difficultés à tout comprendre, espèce de québecquois !
J'ai quand même relevés quelques points à modifier pour que ça soit bon.
-Commençons par le caractère de ton personnage. Pourrais tu approfondir un peu plus le trait " amical " ? Il est supposé mais mais réellement abordé. Le reste, ça va.
Au niveau de l'histoire, avant l'apocalypse.
-C'est pas mal, mais j'aimerai avoir plus de détails sur son enfance. Comment a t il vécu la séparation ? Avait il déjà des difficultés avec son père, ou était ce mieux avant ? Comment s'est passé le reste de son enfance, jusqu'à l'adolescence ?
-Tu dis que son père a beaucoup d'argent. Beaucoup dans quelle optique ? Tu entends par là suffisamment pour être à l'aise financièrement, donc simplement vivre sans trop compter, ou avoir un bon gros paquet de dollars qui dorment sur un compte ? Inspecteur c'est pas trop mal en terme de salaire mais c'est pas non plus ce qu'on peut appeler rouler sur l'or. D'où lui vient le reste de l'argent ? Coup de chance aux jeux ? Héritage ?
Et finalement ton post apo, là où il y a le plus de travail.
Dans l'ensemble pas mal, encore une fois. Tu es sur le bon chemin.. Mais pas encore au bout du tunnel :p !
-Je vais te demander d'en ajouter un peu plus. Que se passe t il au début pour lui ? Comment réagit il devant ces étranges histoires ?
-Donne nous plus de détails sur les dates, ou du moins les périodes ( par exemple, jour X ). Quand sort il de chez lui pour voir ces scènes d'apocalypse ? Voici un lien vers la chronologie pour t'y aider.
-Vu le métier de son père, sa place est dehors, là où ça barde. Les autorités ont besoin de tout le monde qualifié pour lutter contre l'épidémie. Les policiers, militaires, médecins en service sont réquisitionné pour servir. A moins qu'il n'agisse en déserteur, son père ne peut pas rester aussi présent que tu le sous entends quand tu parles en plus d'assurer le ravitaillement .
-Aussi, pourquoi et comment la petite amie de son père se transforme t elle aussi soudainement ? Qu'a t il bien pu lui arriver pour qu'elle devienne un zombie et se mette à dévorer le père ? Voici un lien vers l'annexe rôdeur, pour mieux t'aider à les comprendre !
-Tu dis que ton personnage embarque quelques vêtements et des vivres dans un sac. Avec un zombie aux trousses ? Difficile ! Explique nous comment il a réussi à se sortir de la situation pour pouvoir prendre le temps de préparer sa fuite.
-Décris nous un peu plus ce moment où il se retrouve face aux militaire. Ton personnage était il au courant de l'existence des camps de réfugiés ? Comment a t il réagi quand il l'ont emmené ? Quelles étaient les détails de cette rencontre ?
-Aussi, parle nous un peu plus de sa vie à Emerald Freedom. Tu peux te créer des pnj avec qui interagir, et pourquoi pas en faire mourir lors de la rébellion, pour rajouter du contenu et de la profondeur à ton histoire !
Voilà !
Si tu as des questions, n'hésite pas !
Préviens nous Ici lorsque tu auras terminé !
Tout d'abord, as tu changé la couleur du titre de ton sujet ? Si oui, pourrais tu la remettre par défaut ? Il est très difficile de lire ce qui est écrit .
Donc, pour ta fiche, dans l'ensemble c'est plutôt pas mal, même si j'ai eu quelques difficultés à tout comprendre, espèce de québecquois !
J'ai quand même relevés quelques points à modifier pour que ça soit bon.
-Commençons par le caractère de ton personnage. Pourrais tu approfondir un peu plus le trait " amical " ? Il est supposé mais mais réellement abordé. Le reste, ça va.
Au niveau de l'histoire, avant l'apocalypse.
-C'est pas mal, mais j'aimerai avoir plus de détails sur son enfance. Comment a t il vécu la séparation ? Avait il déjà des difficultés avec son père, ou était ce mieux avant ? Comment s'est passé le reste de son enfance, jusqu'à l'adolescence ?
-Tu dis que son père a beaucoup d'argent. Beaucoup dans quelle optique ? Tu entends par là suffisamment pour être à l'aise financièrement, donc simplement vivre sans trop compter, ou avoir un bon gros paquet de dollars qui dorment sur un compte ? Inspecteur c'est pas trop mal en terme de salaire mais c'est pas non plus ce qu'on peut appeler rouler sur l'or. D'où lui vient le reste de l'argent ? Coup de chance aux jeux ? Héritage ?
Et finalement ton post apo, là où il y a le plus de travail.
Dans l'ensemble pas mal, encore une fois. Tu es sur le bon chemin.. Mais pas encore au bout du tunnel :p !
-Je vais te demander d'en ajouter un peu plus. Que se passe t il au début pour lui ? Comment réagit il devant ces étranges histoires ?
-Donne nous plus de détails sur les dates, ou du moins les périodes ( par exemple, jour X ). Quand sort il de chez lui pour voir ces scènes d'apocalypse ? Voici un lien vers la chronologie pour t'y aider.
-Vu le métier de son père, sa place est dehors, là où ça barde. Les autorités ont besoin de tout le monde qualifié pour lutter contre l'épidémie. Les policiers, militaires, médecins en service sont réquisitionné pour servir. A moins qu'il n'agisse en déserteur, son père ne peut pas rester aussi présent que tu le sous entends quand tu parles en plus d'assurer le ravitaillement .
-Aussi, pourquoi et comment la petite amie de son père se transforme t elle aussi soudainement ? Qu'a t il bien pu lui arriver pour qu'elle devienne un zombie et se mette à dévorer le père ? Voici un lien vers l'annexe rôdeur, pour mieux t'aider à les comprendre !
-Tu dis que ton personnage embarque quelques vêtements et des vivres dans un sac. Avec un zombie aux trousses ? Difficile ! Explique nous comment il a réussi à se sortir de la situation pour pouvoir prendre le temps de préparer sa fuite.
-Décris nous un peu plus ce moment où il se retrouve face aux militaire. Ton personnage était il au courant de l'existence des camps de réfugiés ? Comment a t il réagi quand il l'ont emmené ? Quelles étaient les détails de cette rencontre ?
-Aussi, parle nous un peu plus de sa vie à Emerald Freedom. Tu peux te créer des pnj avec qui interagir, et pourquoi pas en faire mourir lors de la rébellion, pour rajouter du contenu et de la profondeur à ton histoire !
Voilà !
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Re: Scott Grant, young zombie hunter.
Sam 19 Mar 2016 - 6:43
C'est réglé ! J'ai tout changé, je suis prêt être validé si tout est ok !
Mais moi, l'histoire me plaît bien maintenant
Merci des conseils :p
Mais moi, l'histoire me plaît bien maintenant
Merci des conseils :p
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