Don't touch, or die !
Ven 13 Mai 2016 - 0:13
Don’t touch, or die ! × ft. Alistair x Kerwan
Plus les jours passaient, et plus la nourriture devenait une denrée de plus en plus recherché. Le souci étant, Kerwan devait s’aventurer dans davantage d’endroits situés en plein Seattle, ou dans les alentours. Néanmoins, il arrivait à survivre avec un petit paquet de bonbons, de gâteaux et autres petites choses sucrées. Sauf que là, c’était la crise pour vraiment tout le monde, et il n’avait plus rien dans son sac. C’était la merde, comme il disait si bien. Il dût donc reprendre son pick-up noir, après avoir pris soin de remettre suffisamment d’essence à l’intérieur. Il commença à rouler sur les routes de la grande ville, son moteur brisant le silence de mort qui régnait dans les alentours. Aussi, une bonne partie d’infectés venaient lui faire un petit coucou. Ceux-ci lâchaient des sons incompréhensibles, comme des sortes de gémissements. En plus de leur tenue qui n’était point très gracieuse et de leur bave qui coulait le long de leur menton avant de pendouiller en l’air et de se balancer au fil de la marche; cela ne donnai point très envie au grand brun de s’arrêter pour prendre l’un de ses nombreux rôdeurs en auto-stop. A force de suivre les panneaux encore plantés au sol et surtout lisibles, Kerwan finit par se retrouver au nord de Seattle, au niveau des centre commerciaux. C’était une aubaine pour lui, et il espérait fortement pouvoir trouver de quoi s’alimenter pour les prochains jours, voire les prochaines semaines qui allaient arriver. L’espoir était très présent en lui, car il avait prévu de fouiller de fond en comble le bâtiment, mais en faisant toujours des allers et retours après avoir fouillé chaque petit magasin à l’intérieur du centre commercial, afin de vérifier qu’il n’y ait aucun souci avec son pick-up et surtout pour décharger ses futures trouvailles ; en espérant qu’elles soient plus ou moins nombreuses. Une fois arrivé devant le centre commercial, il ne prit pas la peine de se garer trop loin. A peine arrive, Kerwan fut déjà accueilli par de nombreux rôdeurs, et pour les remercier de cet accueil plutôt morbide, il fit le ménage en supprimant tous les infectés s’interposant sur son passage. Il perdit déjà un peu de son temps avec tous ces infectés. Enfin une fois le ménage terminé, Kerwan prit soin de bien fermer à clef son véhicule, comme lors de toute sortie qui allait durer Durant un certain nombre de temps. Il voulait rester prévoyant et même s’il imaginait mal quelqu’un arriver là, le risqué était quand même très mince. - Quand faut y aller, faut y aller. Kerwan s’arma de son sac à dos, après avoir vérifié qu’il possédait encore suffisamment de cartouches pour son fusil à pompe. Il gardait, comme à son habitude, sa hache dans le creux de sa main droite puis parti en direction du centre commercial, un pas rapide et déterminé. Il passa sans encombre les portes vues qu’elles étaient grandes ouvertes, puis regarda autour de lui. Le centre commercial était gigantesque, et Kerwan espérait vraiment pouvoir trouver de quoi se nourrir, s’hydrater voire se vêtir. Alors qu’il s’apprêtait à faire un pas, il entendit plusieurs grognements et gémissements venant tous d’un même endroit, et décida d’abord de partir à l’opposé pour commencer ses fouilles. |
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Re: Don't touch, or die !
Sam 14 Mai 2016 - 3:29
Un centre commercial mon gars, c'était une putain de mauvaise idée. J'le savais bien, ces endroits où il y a trop de trucs, ça attire trop de monde.. Et ça en a attiré un sacré paquet, j'te l'dis. Mais bon tu m'connais mon gars, quand on m'parle de gros butin, j'ai les yeux qui brillent. J'peux pas m'en passer. J'peux même pas imaginer qu'un pareil tas de connerie puisse rester à l'air libre, à attendre bien sagement qu'un enfoiré se décide à se l'approprier. Cet enfoiré, ce sera moi, et j'm'en fous d'savoir que j'vais devoir trancher du lard. J'trancherai, j'le jure sur la première robe de toutes celles que j'ai culbuté.
J'suis donc parti avec cette mauvaise idée en tête. Aller piller au centre commercial de North Seattle. Mon idée ? Bah des fringues, encore. Et pour une donzelle qui plus est. Ouais, encore. C'est souvent la même histoire que j'te raconte. Sauf que là, tu vois, on parle d'une donzelle à laquelle j'tiens. J'te parle pas d'sentiment, pas la peine de sortir les violons. C'juste qu'elle a ce que les autres n'ont jamais eu.. Cette folie qui m'attire, qui me retient, qui m'fait sourire et qui m'dit que c'est bien, d'être un putain de vaurien. J'me dis que ça vaut la peine de m'foutre dans une merde noire pour ses jolis yeux.
Sale temps pour les pirates.. Mais j'ai gardé ma veste. J'la dégage que s'il fait 40°. J'ai pris un grand sac, mon sabre d'abordage et mon Taurus. Et j'suis parti. C'était pas la porte à côté c'truc. J'ai dû marcher un bon moment, et j'vais t'avouer mon gars, marcher aussi longtemps ça commence à m'gaver. J'vais piquer une bagnole et lui foutre un pavillon noir, un d'ces quatre. Ca flotte moins bien qu'un brick ces conneries, mais au moins j'aurai plus mal à mes putains de pieds.
Quand j'suis arrivé dans ce gros bordel, ben c'était effectivement... le gros bordel. Des cadavres ambulants un peu partout, assez pour que même moi j'me dise..
" Allez vous faire foutre, j'passe par derrière les gars. "
Me faufiler à travers les ombres, j'ai appris à l'faire. J'ai pas envie de finir en faux-filet pour ces saloperies, mon gars. J'me suis arrangé pour être aussi silencieux et rapide qu'un pet d'noble dans la soie. L'accès à certaines boutiques m'est impossible dans ces conditions, mais j'm'en fiche royalement, j'trouverai assez de conneries à dentelle pour la demoiselle dans c'que j'peux atteindre.
Et c'était pas la moitié d'une promesse mon gars. J'ai rempli la moitié du sac de p'tites robes noires qui étaient hors de prix autrefois. Mon oeil d'Irlandais a bien détaillé la belle et choisit des trucs parfaitement à sa taille.. et la même chose à des tailles différentes au cas où j'me serai gouré.. Haha ! Pendant le shopping, deux connasses dégringolées sont venues m'emmerder, j'leur ai collé l'acier dans l'crâne, ça les a bien calmés.. Puis après ça, j'ai entendu c'qui ressemblait à un putain de bruit de moteur.
Et c'est pour ça que j'me retrouve là, à espionner. Et j'avais foutrement bien raison mon gars, car y a un con qui entre comme si c'était un putain de moulin ici. Je plisse les yeux et j'le regarde. Il est bien équipé.. Un calibre 12 et une hache. Une putain de hache ? Non mais sérieusement, il va faire quoi, s'mettre à gueuler un hymne pour Odin ? J'me dis que l'suivre, c'est plutôt le bon plan, histoire de lui tomber dessus quand il ne s'y attendra pas. Du coup, j'continue de jouer les fantômes dans les ombres.
Il change de direction quand ça grogne, c'est parfait, il me tourne le dos maintenant. Mon plan, c'est lui coller le Taurus dans la nuque et armer l'chien pour qu'il comprenne le message. J'suis sûr qu'un grand garçon comme lui reconnaît le clic d'un flingue assez facilement. J'ai pas envie de l'abattre, mais tu sais mon gars, ces connards armés, ça n'lâche pas le butin aussi facilement. Va falloir le persuader.. Va falloir présenter les gros arguments.
Dès qu'il entre dans l'une des boutiques, je le suis. Quelques secondes plus tard, histoire de m'assurer de ne pas être dans son champs de vision. A moitié accroupi, toujours silencieux, j'entre à mon tour.. et lui présente la mort par derrière, me redressant d'un geste sublime, théâtral, dommage qu'il ne puisse pas le voir.. Et comme promis, clic.
" Salut mec. T'as pas intérêt à bouger. Si t'as pas pigé, le clic que tu viens d'entendre, c'est mon putain de Taurus, ça crache du .44, et c'est pointé droit sur ta nuque.
Je retrousse doucement mes lèvres, en un putain de rictus chaotique mauvais qui prouve à quel point j'prends mon pied à piller les autres.. J'ai la trouille au ventre mon gars, putain, mais je ne tremble pas. Je n'tremble plus depuis un bail maintenant.. L'métier qui rentre, crois moi.
.. C'est vraiment pas ton jour de chance, tu t'pointes ici pile au moment où j'décide de venir faire un tour. J'étais là avant, c'qui fait que tout ça ici, c'est à moi. T'sais quoi, j'vais être sympa. Y en a largement assez pour nous deux. Sauf que tu vas devoir payer les droits d'entrée. J'veux tes armes. Tu vas lentement les déposer au sol, donner de grands coups de pieds dedans, puis tu vas te retourner avec tes mains derrière la tête. J'te déconseille de jouer au con mec.. J'ai pas envie de te buter, j'l'aurai déjà fait sinon. Mais j'hésiterai pas à le faire.
Le rictus sur ma gueule devient de plus en plus machiavélique. J'ai l'impression de le tenir entre mes mains, et ça, c'est jouissif. Il peut tout aussi bien se retourner et m'en coller une dans la gueule, ça tombe je n'aurai pas le temps de le voir venir. Mais j'tente ma chance. J'y vais jusqu'au bout !
C'était toi j'suppose, la bagnole ? T'es venu seul ?
Ouais, j'te parlais justement d'me faire une caisse, mon gars. J'vais t'avouer que l'idée me traverse bien l'esprit ! Bref.. Il doit faire son choix maintenant. M'obéir ou se rebeller. Est ce que ça va se terminer calmement, ou dans le sang ? J'ai l'art de chercher la merde, ouais. J'l'ai toujours fait, j'l'ai toujours assumé. C'pas maintenant que je vais me calmer, mon gars..
J'suis donc parti avec cette mauvaise idée en tête. Aller piller au centre commercial de North Seattle. Mon idée ? Bah des fringues, encore. Et pour une donzelle qui plus est. Ouais, encore. C'est souvent la même histoire que j'te raconte. Sauf que là, tu vois, on parle d'une donzelle à laquelle j'tiens. J'te parle pas d'sentiment, pas la peine de sortir les violons. C'juste qu'elle a ce que les autres n'ont jamais eu.. Cette folie qui m'attire, qui me retient, qui m'fait sourire et qui m'dit que c'est bien, d'être un putain de vaurien. J'me dis que ça vaut la peine de m'foutre dans une merde noire pour ses jolis yeux.
Sale temps pour les pirates.. Mais j'ai gardé ma veste. J'la dégage que s'il fait 40°. J'ai pris un grand sac, mon sabre d'abordage et mon Taurus. Et j'suis parti. C'était pas la porte à côté c'truc. J'ai dû marcher un bon moment, et j'vais t'avouer mon gars, marcher aussi longtemps ça commence à m'gaver. J'vais piquer une bagnole et lui foutre un pavillon noir, un d'ces quatre. Ca flotte moins bien qu'un brick ces conneries, mais au moins j'aurai plus mal à mes putains de pieds.
Quand j'suis arrivé dans ce gros bordel, ben c'était effectivement... le gros bordel. Des cadavres ambulants un peu partout, assez pour que même moi j'me dise..
" Allez vous faire foutre, j'passe par derrière les gars. "
Me faufiler à travers les ombres, j'ai appris à l'faire. J'ai pas envie de finir en faux-filet pour ces saloperies, mon gars. J'me suis arrangé pour être aussi silencieux et rapide qu'un pet d'noble dans la soie. L'accès à certaines boutiques m'est impossible dans ces conditions, mais j'm'en fiche royalement, j'trouverai assez de conneries à dentelle pour la demoiselle dans c'que j'peux atteindre.
Et c'était pas la moitié d'une promesse mon gars. J'ai rempli la moitié du sac de p'tites robes noires qui étaient hors de prix autrefois. Mon oeil d'Irlandais a bien détaillé la belle et choisit des trucs parfaitement à sa taille.. et la même chose à des tailles différentes au cas où j'me serai gouré.. Haha ! Pendant le shopping, deux connasses dégringolées sont venues m'emmerder, j'leur ai collé l'acier dans l'crâne, ça les a bien calmés.. Puis après ça, j'ai entendu c'qui ressemblait à un putain de bruit de moteur.
Et c'est pour ça que j'me retrouve là, à espionner. Et j'avais foutrement bien raison mon gars, car y a un con qui entre comme si c'était un putain de moulin ici. Je plisse les yeux et j'le regarde. Il est bien équipé.. Un calibre 12 et une hache. Une putain de hache ? Non mais sérieusement, il va faire quoi, s'mettre à gueuler un hymne pour Odin ? J'me dis que l'suivre, c'est plutôt le bon plan, histoire de lui tomber dessus quand il ne s'y attendra pas. Du coup, j'continue de jouer les fantômes dans les ombres.
Il change de direction quand ça grogne, c'est parfait, il me tourne le dos maintenant. Mon plan, c'est lui coller le Taurus dans la nuque et armer l'chien pour qu'il comprenne le message. J'suis sûr qu'un grand garçon comme lui reconnaît le clic d'un flingue assez facilement. J'ai pas envie de l'abattre, mais tu sais mon gars, ces connards armés, ça n'lâche pas le butin aussi facilement. Va falloir le persuader.. Va falloir présenter les gros arguments.
Dès qu'il entre dans l'une des boutiques, je le suis. Quelques secondes plus tard, histoire de m'assurer de ne pas être dans son champs de vision. A moitié accroupi, toujours silencieux, j'entre à mon tour.. et lui présente la mort par derrière, me redressant d'un geste sublime, théâtral, dommage qu'il ne puisse pas le voir.. Et comme promis, clic.
" Salut mec. T'as pas intérêt à bouger. Si t'as pas pigé, le clic que tu viens d'entendre, c'est mon putain de Taurus, ça crache du .44, et c'est pointé droit sur ta nuque.
Je retrousse doucement mes lèvres, en un putain de rictus chaotique mauvais qui prouve à quel point j'prends mon pied à piller les autres.. J'ai la trouille au ventre mon gars, putain, mais je ne tremble pas. Je n'tremble plus depuis un bail maintenant.. L'métier qui rentre, crois moi.
.. C'est vraiment pas ton jour de chance, tu t'pointes ici pile au moment où j'décide de venir faire un tour. J'étais là avant, c'qui fait que tout ça ici, c'est à moi. T'sais quoi, j'vais être sympa. Y en a largement assez pour nous deux. Sauf que tu vas devoir payer les droits d'entrée. J'veux tes armes. Tu vas lentement les déposer au sol, donner de grands coups de pieds dedans, puis tu vas te retourner avec tes mains derrière la tête. J'te déconseille de jouer au con mec.. J'ai pas envie de te buter, j'l'aurai déjà fait sinon. Mais j'hésiterai pas à le faire.
Le rictus sur ma gueule devient de plus en plus machiavélique. J'ai l'impression de le tenir entre mes mains, et ça, c'est jouissif. Il peut tout aussi bien se retourner et m'en coller une dans la gueule, ça tombe je n'aurai pas le temps de le voir venir. Mais j'tente ma chance. J'y vais jusqu'au bout !
C'était toi j'suppose, la bagnole ? T'es venu seul ?
Ouais, j'te parlais justement d'me faire une caisse, mon gars. J'vais t'avouer que l'idée me traverse bien l'esprit ! Bref.. Il doit faire son choix maintenant. M'obéir ou se rebeller. Est ce que ça va se terminer calmement, ou dans le sang ? J'ai l'art de chercher la merde, ouais. J'l'ai toujours fait, j'l'ai toujours assumé. C'pas maintenant que je vais me calmer, mon gars..
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Re: Don't touch, or die !
Lun 16 Mai 2016 - 14:19
Don’t touch, or die ! × ft. Alistair x Kerwan
A peine eut-il le temps de pénétrer dans le premier petit magasin qui se présentait, que Kerwan entendit un petit cliquetis qui l'alerta alors. Il ne bougea plus d'un poil, et une voix s'éleva dans les airs. C'était une voix masculine, qui était en train de menacer Kerwan. Il fit alors de grands yeux, resserrant davantage sa hache entre ses doigts. Il ne savait trop comment réagir face à cette situation, car c'était la première fois qu'une telle chose se présentait face à lui. Mais Kerwan n'avait pas peur, loin de là. Il se demanda si, réellement, l'inconnu avait pointé son arme au niveau de la nuque de Kerwan. Cela pouvait être comme dans les films d'actions, ou le bluff était bien utile pour impressionner, voire pour faire peur et ainsi contrôler qui que ce soit par le simple système de la terreur. Face au grand brun se trouvait l'obscurité, et il ne savait pas ce qu'il pouvait y avoir en face. Il n'avait pas eu le temps de prendre sa lampe frontale qui était encore bien rangée dans son sac qu'il portait actuellement sur son dos. Mais il ne pouvait pas bouger, car l'option de recevoir une balle dans la nuque voire dans la tête n'était à laisser de côté. L'inconnu ordonna au grand brun de déposer ses armes au sol et de les lui envoyer en les faisant glisser au sol. Alors là, Kerwan se serait cru dans un film policier, ou les enquêteurs ordonnaient aux criminels de baisser les armes et de les faire glisser jusqu'à eux. Sauf que là, les rôles étaient inversés. Le criminel devenait policier, et le policier le criminel. Malheureusement pour Kerwan, il aurait préféré ne pas tomber dans un merdier pareil, et il allait devoir faire comprendre à cet individu qu'il n'allait pas se laisser faire. C'est alors qu'un rire envahit le petit magasin, et ce rire émanait de Kerwan. Toujours dos à cet inconnu, il se mis à rire de façon quelque peu nerveuse. Finalement, il décida de se tourner afin de faire face à l'autre homme. - En tout cas, j'apprécie ton amabilité à me saluer, alors que tu me menaces. C'est plutôt pas mal, je l'avoue. Mais j'ai pas le temps de m'occuper des gamins comme toi. Il ne savait pas si cet homme était plus jeune ou plus âgé que lui, et il s'en foutait. Il venait de trouver une sorte de partenaire de jeu, et il allait s'amuser avec lui, enfin surtout verbalement. Il avait envie de le taquiner encore un peu et, afin "d'obéir", le jeune homme posa seulement sa hache au sol, la gardant juste à côté de lui. Il se redressa puis adressa un petit sourire à l'inconnu qu'il n'arrivait pas à voir, à cause de la lumière qui faisait le contrejour. - Je ne vais pas te mâcher le travail non plus, si ? Puis je n'ai jamais été très doué au foot. Ah ! Tu parles de mon magnifique pick-up dehors ? Héhéhé, il est beau mon bébé, hein ! Malheureusement je ne fais plus de covoiturage. Va falloir trouver quelqu'un d'autre ! Le grand brun se mis à rire de nouveau. Il n'allait pas se transformer en petit poisson qui nageait droit jusqu'au filet du pêcheur. Non. Il comptait trouver un moyen pour contourner cet énorme filet. En effet, l'autre homme lui empêchait de sortir du bâtiment, et malheureusement il n'y avait que cette porte de sortie. L'idée de courir jusqu'à la sortie de secours vint lui marquer l'esprit, mais il allait très certainement mourir à peine aurait-il voulu s'enfuir. Kerwan restait donc face à face avec l'inconnu, attendant de voir sa réaction. Peut-être allait-il sans doute être amusée ou encore agacé, et Kerwan allait essayer de s'amuser autant qu'il pouvait avec lui, pour sauver sa peau. |
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Re: Don't touch, or die !
Mar 31 Mai 2016 - 22:34
Oh là mon gars, celui là il a des couilles ! Et je sens que ça va me plaire. Il se retourne et me fait face. Il n'en a p'tête strictement rien à carrer de la mort. P'tête même qu'il venait la chercher, ici, dans ce foutu centre commercial. Bref, il se met à baver sur sa caisse. Et moi j'm'en fiche, j'veux juste de quoi m'éviter d'rentrer à pieds. Alors j'le regarde me regarder, j'l'écoute me provoquer, j'le laisse me piquer et je hausse un sourcil. J'me met à rire avec lui, on est là comme deux cons, à se marrer avant de déclencher une putain de tempête.
Car ouais mon gars, c'est bien une putain de tempête que j'ai envie de libérer là. Au diable les flingues, les lames et toutes ces conneries, place à une bonne vieille bagarre à l'ancienne. Les poings, y a que ça de vrai. Sentir le contact de son adversaire, juger sa force jusqu'à en avoir mal, jusqu'à goûter son propre sang. Ca fait longtemps que j'ai pas collé quelques droites. Le dernier, c'était ce taré dans l'hôtel. Et avant ça, c'était même avant ces conneries. Avant qu'le monde dise merde aux gens. C'était dans un bar, j'avais palpé le cul d'une gonzesse qui m'faisait les yeux doux, et son mec n'a pas apprécié la concurrence. Résultat ? J'l'ai allongé au sol, puis j'ai allongé sa copine dans mon pieu, pendant trois soirs, avant d'l'envoyer chier loin d'chez moi. Haha.. c'te conne.
Alors, face à ce mec qui s'montre bien plus combatif que je n'osais l'espérer, j'laisse tomber mon flingue, et je dégaine ma lame.
" Hey du con, t'sais quoi.. t'as des couilles et j'respecte ça. J'te l'ai dit, j'ai pas envie d'te refroidir, tu mérites sûrement pas de crever ici comme une merde. Mais j'peux pas te laisser partir comme ça, c'est contraire à mes convictions, c'est pas naturel dans c'putain de monde de merde. J'vais v'nir te prendre tes trucs mecs, et j'vais l'faire par la seule force d'mes poings.
Je balance mon sabre d'abordage dans un coin, près d'mon flingue. Me voilà désarmé face à lui. C'est con, mais un mâle se doit de montrer qui a la plus grosse, et là c'est moi, car lui a encore un flingue.
J'te préviens.. j'cogne sec et j'encaisse lourd. Mais si tu m'allonges, tu gagne mon putain de sac. Allez viens.. FRAPPE MOI ! HAHAHA !
Les yeux grands ouvert, je ris à gorge déployée. C'est sûr, on est comme deux cons à faire du bruit, mais la porte est fermée. Au pire, on sera dans la merde pour ressortir.. c'est pas bien grave ça. Ca vaut bien une bonne bagarre. J'fais craquer mes poings, et j'attends qu'il balance son jouet, et réponde à mon invitation. Mhhh.. Baston.
Car ouais mon gars, c'est bien une putain de tempête que j'ai envie de libérer là. Au diable les flingues, les lames et toutes ces conneries, place à une bonne vieille bagarre à l'ancienne. Les poings, y a que ça de vrai. Sentir le contact de son adversaire, juger sa force jusqu'à en avoir mal, jusqu'à goûter son propre sang. Ca fait longtemps que j'ai pas collé quelques droites. Le dernier, c'était ce taré dans l'hôtel. Et avant ça, c'était même avant ces conneries. Avant qu'le monde dise merde aux gens. C'était dans un bar, j'avais palpé le cul d'une gonzesse qui m'faisait les yeux doux, et son mec n'a pas apprécié la concurrence. Résultat ? J'l'ai allongé au sol, puis j'ai allongé sa copine dans mon pieu, pendant trois soirs, avant d'l'envoyer chier loin d'chez moi. Haha.. c'te conne.
Alors, face à ce mec qui s'montre bien plus combatif que je n'osais l'espérer, j'laisse tomber mon flingue, et je dégaine ma lame.
" Hey du con, t'sais quoi.. t'as des couilles et j'respecte ça. J'te l'ai dit, j'ai pas envie d'te refroidir, tu mérites sûrement pas de crever ici comme une merde. Mais j'peux pas te laisser partir comme ça, c'est contraire à mes convictions, c'est pas naturel dans c'putain de monde de merde. J'vais v'nir te prendre tes trucs mecs, et j'vais l'faire par la seule force d'mes poings.
Je balance mon sabre d'abordage dans un coin, près d'mon flingue. Me voilà désarmé face à lui. C'est con, mais un mâle se doit de montrer qui a la plus grosse, et là c'est moi, car lui a encore un flingue.
J'te préviens.. j'cogne sec et j'encaisse lourd. Mais si tu m'allonges, tu gagne mon putain de sac. Allez viens.. FRAPPE MOI ! HAHAHA !
Les yeux grands ouvert, je ris à gorge déployée. C'est sûr, on est comme deux cons à faire du bruit, mais la porte est fermée. Au pire, on sera dans la merde pour ressortir.. c'est pas bien grave ça. Ca vaut bien une bonne bagarre. J'fais craquer mes poings, et j'attends qu'il balance son jouet, et réponde à mon invitation. Mhhh.. Baston.
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Re: Don't touch, or die !
Mer 1 Juin 2016 - 11:36
Don’t touch, or die ! × ft. Alistair x Kerwan
Comme il l'avait prévu et surtout espéré, cet inconnu menaçant le grand brun se prêtait plutôt bien au jeu. Il allait même jusqu'à rire avec lui, à la grande surprise de Kerwan. L'autre avait un rire quelque peu menaçant voire fou. Puis, l'autre fit de même, posant son fusil au sol et montrant alors sa belle lame. Kerwan fit grands yeux, étonné qu'il fasse de même. Il se mettait aussi à nu, et plus rapidement que Kerwan vu qu'il avait encore son fusil à pompe, toujours posé sur son épaule. C'est alors qu'il écouta l'inconnu, encore plus surpris qu'il lui jette presque des fleurs. Au moins, il avait pu voir que le grand brun ne se dégonflait pas. Enfin avant, il l'avait fait plus d'une fois car il se retrouvait face à trois-quatre gros gaillards avec multiples artilleries lourdes. Face à ça, il n'avait pu que fuir, vu que ces types lui auraient tranché la gorge juste pour obtenir sa hache. Nous étions revenu à une certaine époque primitive; avec la loi du plus fort. Et plus d'une fois Kerwan s'était retrouvé dans une position de faiblesse, à sa grande déception. M'enfin. Il était toujours vivant à l'heure actuelle, et c'était ce qui comptait pour lui. Il décida alors qu'il allait devoir montrer qu'il avait bien des couilles entre les jambes, et que ce n'était pas seulement de la gonflette. - Oh, c'est bien gentil ce que tu me dis là. D'avoir un semblant de pitié. Mais personne n'oblige personne à être ou ne pas être con. Ce monde est parti en couille, mais c'est pas en voulant faire sa loi, en montrant qu'on a des couilles plus grosses que les autre qu'on va dominer le monde, n'est-ce pas ? Puis bon, je crois que j'ai pas vraiment le choix. Il lui fit un petit clin d’œil avant de sourire à nouveau. L'autre homme semblait très sérieux, et allait vraiment vouloir se battre pour les misères qu'avaient Kerwan. Tant pis, que bien lui fasse. Néanmoins, Kerwan avait rarement eut recours à ses poings, vu qu'il était plutôt un gamin à ne pas chercher les histoires. Lui pourtant aimait la violence, mais c'était uniquement dans les jeux. Il savait parfaitement faire combattre ses personnes, mais lui ne savait pas se battre. Au premier coup, il avait quand même cette petite appréhension du premier coup qu'allait porter son adversaire. N'ayant d'autre choix que d'accepter la requête de ce type, Kerwan déposa son arme sur le sol, non loin de sa hache. Il aurait pu en finir directement avec cet inconnu, en tirant un bon coup dans son crâne, mais ne le fit pas. Pour une fois, Kerwan n'allait pas se conduire comme un putain de lâche. Enfin, il déposa son sac à côté de ses autres affaires. - Hm, si tu le dis. Le grand brun s'approcha alors de l'inconnu. Il avait déjà préparé ses poings, et attendait le grand brun. Kerwan dût aller s'approcher d'un pas sûr, d'un pas sans crainte, d'un pas certain. Arrivé à quelques mètres, il put presque sentir l'haleine de cet autre type. L'un des deux allait devoir ouvrir le bal, et Kerwan allait être le premier. Il serra alors ses phalanges qui devinrent des poings et porta un premier coup au visage de son adversaire. Le coup était ni trop faible, ni trop violent; il allait devoir doser sa force afin de ne pas s'épuiser rapidement. Il allait devoir jouer au bluff, comme au poker. Il allait devoir lui montrer qu'il possédait un bon jeu, un très bon jeu. - Tu préfères la boxe française, américaine ou thaïlandaise ? |
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