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Re: hello devil
Mar 2 Aoû 2016 - 19:55
À peine avais-je eu le regard tourné pour parler à notre muette de service qu’Abi avait eu la merveilleuse idée de me flanquer un coup dans les bijoux de famille pour tenter de fuir l'appartement en gueulant. Inconsciente. Elle espérait obtenir quoi à part des représailles bien sanglantes ? Vouloir fuir un mec armé en lui frappant simplement les couilles… c'est simplement du suicide. Tant pis pour toi Blondie, tu l'auras voulu.
Grimaçant de douleur tout en trébuchant sur la table basse, je fus contraint de laisser quelques maigres mètres d'avance à mes deux cibles… Rien de bien problématique pour moi. Piquant un sprint à travers l'appartement, je finis par rattraper la blonde en lui saisissant subitement les cheveux pour la tirer en arrière afin de la faire tomber. Sa tête heurta violemment le sol et la gonzesse sembla sonnée… Parfait. Rapidement je jetai un coup d'oeil à l'extérieur afin de repérer Claire qui avait prit une légère avance. Affaiblie par l'accident qu'elle avait subi, elle boitait quelque peu et sa course était ralentie. Me mettant à courir vers elle, je finis par la percuter violemment en lui flanquant un puissant coup d'épaule qui la fit chuter brutalement en avant. Sans tarder, je saisis sa jambe pour la traîner sur le bitume jusqu'à l'appartement avant d'en faire de même avec Abi, toujours couchée au sol, saignant de la tête suite à sa chute sur le carrelage.
Après avoir prit soin de fermer à clé la porte de l'appartement et de fourrer la clé dans ma poche, je me rapprochai de la blonde encore au sol pour lui flanquer un violent coup de pied. Je pris aussi soin de dépouiller Claire de son arme, un simple couteau dont elle n'avait même pas eu la jugeote de se servir, puis le ramassai à l'écart, plus loin dans l'appartement, avec celle d’Abi.
Soupirant d'agacement en récupérant ma cigarette que je terminai rapidement avant de jeter le mégot au sol, je marquai un temps d'arrêt en fixant les deux filles, un sourire malsain au visage. D'un geste de la main, je leur ordonnai froidement : « Allez fini de déconner. À genoux. » Oui, “à genoux”. Je voulais les voir faibles face à moi, soumises, impuissantes. Je voulais qu'elles voient ce que l'ont paie lorsque l'on ne joue pas à mon jeu. Elles vont payer. Et en particulier elle, Abi. Cette petite garce va se souvenir de moi. Tout en me promenant tranquillement dans l'appartement, je m’emparai à nouveau de ma batte cloutée, restée sur la table basse. Tout en sifflotant, je pris le temps d'admirer un beau gramophone, sans doute objet de collection, qui trônait sur un meuble de l'appartement. Amusé par l'outil et curieux de savoir quel était le contenu de son disque, je fis tourner calmement la manivelle pour finir par poser l'aiguille sur le disque… Immédiatement, la Septième Symphonie de Beethoven se fit entendre et un large sourire se dessina sur mon visage. M’adressant d'un air angoissant aux deux filles à genoux, je désignai le gramophone du doigt. « Du grand art ! Vous aimez Beethoven ? » Esquissant de larges gestes des mains en imitant un chef d'orchestre, je recommençai à me promener dans l'appartement, batte à la main. « Personnellement, j’l’écoute jamais, j'ai jamais trop été branché musique classique. Mais ce morceau… faut avouer que c'est puissant quand même ! » Un petit objet attira mon attention, oublié sur un autre meuble… Un pièce de monnaie. Une simple pièce de monnaie légèrement rouillée laissée là par les anciens propriétaires de l'endroit. J’esquissai un sourire en coin lorsque une idée me traversa l'esprit.
Immanquablement, j'allais en tuer une. Je l'aurais fait, qu'importe si Abi avait jouer la conne ou non, mais ainsi, elles verront à quoi ressemblent mes représailles. Cependant, tuer les deux serait bien trop peu… amusant. Savoir celle qui restera en vie souffrante d'avoir été la triste spectatrice du spectacle macabre qui allait suivre était une idée bien trop plaisante pour que je me permette de massacrer chacune de ses deux gonzesses… Laissons parler le hasard. Quelle torture que de vivre avec l'idée que “Ça aurait pu être moi” n'est ce pas ? « J'avoue que j'ai du mal à décider laquelle de vous deux je vais tuer... Parce que oui, je vais tuer l'une d'entre vous deux. Vous croyez quand même pas que j'allais vous laisser repartir sans vous faire comprendre quel genre de “businessman” je suis, hein ? Faut bien un exemple... » Pile : Claire. Face : Abi. Présentant fièrement la pièce de monnaie à mes deux victimes, je les désignai du doigt chacune tour à tour. « Pile… Face. » Un sourire sadique au lèvres, je plaçai la pièce sur mon pouce, prêt à la faire sauter.
Un petit mouvement.
La pièce vole.
Elle retombe.
Le résultat est là, sur le dos de ma main. Je sais désormais qui va mourir. Je souris d'un air cruel et ne prononce pas un mot. Je ne dirais pas le résultat. Laissons durer le suspense, pas vrai ?
Lentement je retire la batte de mon épaule et la laisse pendre, menaçante, sous le nez de mes deux potentielles victimes. Je fixe maintenant Abi, fourrant ma pièce dans ma poche. Je la fixe avec insistance. Je penche légèrement ma batte de son côté, caressant presque sa joue pâle. Lentement, je finis par lever ma batte, prêt à frapper. Je fixe Abi. Je m'apprête à faire tomber mon arme sur son pauvre petit crâne déjà esquinté par sa chute. C'est elle qui le mériterait le plus, pour ce qu'elle a fait. Je devrais la massacrer, dans la douleur, comme je l'avais fait en Février avec ce pauvre David. Je vais lui exploser le crâne, lentement, brutalement, jusqu'à ce que même sa putain de mère ne puisse même plus la reconnaître.
Non.
Pile.
Subitement, ma batte retombe, manquant de toucher la tête de la blonde, et vient violemment percuter la tête de Claire, à sa droite. Les clous accrochant son visage déchirent une partie de sa peau, et du sang se retrouvent déjà projeté dans la pièce. Elle tente de hurler de douleur, gémit bruyamment en tentant de se redresser, étalée sur le sol. Je la regarde souffrir. Je ricane. D'une voix forte, un large sourire au lèvres, je m'adresse à Abi, contrainte d'observer ce spectacle insupportable. « REGARDE LA BIEN OU CE SERA TON TOUR APRÈS. » Claire s'appuie avec difficulté sur le sol de ses deux mains. Elle gémit. Du sang coule sur le carrelage. Un deuxième coup brutal en crochet, je la frappe en plein visage. Je sens sa mâchoire exploser sous le coup et son visage se retrouve encore plus mutilé, les clous ne cessant de se planter dans sa tête. Je m'adresse toujours à Abi, d'une voix toujours forte, d'un air fou. « Tu disais que t'avais appris à aimer ça hein ? ET ÇA T'ADORES ?! » Un autre coup, le crâne semble se rompre. Cette pauvre fille d'à peine dix neuf ans semble donner son dernier souffle… dans un gargouillis immonde et sanglant. Un autre coup. Sa boîte crânienne s'enfonce. Un autre. Encore plus. Encore un autre. Elle explose. Il ne reste désormais plus rien de la tête de la pauvre Claire, autre qu'un amas de chair, de cervelle et d'os dégoulinant de sang encore chaud. Encore quelques coups, je m’acharne sur ce corps massacré, laissant du sang gicler sur mon visage et mes vêtements. Je me redresse enfin, ricanant, essoufflé, ma batte couverte de morceaux de tête et de sang. Je tourne à nouveau la tête vers Abi, elle aussi tachée du sang de celle avec qui elle faisait équipe. C'que c'est beau, Beethoven.
Il était hors de question que je l'épargne du marché que je lui avais ordonné. Il était hors de question qu'elle ne souffre pas plus longtemps encore. Je voulais désormais qu'elle vive avec cette image en tête, celle de la défaite, celle de cette femme massacrée qu'elle avait en vain tenté de sauver. Celle de la crainte. Celle de l'horreur.
D'une voix calme et cynique, je m'adressai à elle, sans doute tétanisée, à moins qu'elle ne me surprenne. « Pile. » Après un bref rire, je secouai légèrement ma batte pour la faire égoutter un peu plus vite, puis repris la parole. « Je vais donc répéter ma demande : des vivres et deux armes à feu. Dans cinq jours. » Je la pointai du bout de ma batte ensanglanté, manquant presque de toucher son visage. Le sourire aux lèvres, je terminai. « Ne me déçois pas… ou... tu sais. » Un rapide coup d'oeil vers le cadavre. Nouveau rire sadique. Ravi de faire affaire avec vous, belle blonde.
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Re: hello devil
Lun 8 Aoû 2016 - 17:52
Ses genoux touchèrent le sol dans un bruit sourd. Lourdement, encore sonnée de sa chute et rendue à l'évidence, elle s'exécuta. La tête baissée, elle fixait ses mains posées sur ses cuisses. Elle ne voulait plus le regarder, comme si ne plus le voir permettrait d'arrêter tout ça. Mais la voix de Jonah continua de résonner dans l'appartement. Chaque fois qu'il prononçait un mot, elle sentait comme son âme se fissurer. Il n'y avait plus de colère. Juste l'échec. Juste la fin. Elle n'osait pas non plus regarder l'inconnue qu'elle avait embarquée ici malgré elle. Elle se sentait coupable de lui faire vivre ça. De lui imposer la vue de sa mort. Parce qu'elle savait que ce serait elle qu'il tuerait. Du moins elle l'espérait.
Elle l'entendit lancer la pièce et elle ferma les yeux. Il se jouait d'elle. Elle se disait que cette histoire de hasard n'était là que pour lui donner de l'espoir. Un faux espoir. Qu'il la tuerait elle. Puisque c'était elle la fautive. C'était elle qui l'avait cogné, qui lui avait répondu, qui avait refusé, qui avait menti. Tout partait d'elle. Elle n'avait qu'à faire semblant d'accepter sa demande et repartir pour ne plus jamais le recroiser. Après tout, c'était grand Seattle. Il lui suffisait d'éviter le nord de la ville. Mais non. Elle avait tenté quelque chose de stupide. Elle s'était cru plus forte, plus maline.
Elle ouvrit les yeux quand elle l'entendit bouger. La batte s'approcha de son visage, les clous frôlant la peau. Elle ne respirait plus, le souffle coupé par la peur. Son cœur s'emballait et elle sentait ses mains devenir moites. Elle voulait pleurer. Elle suffoquait. Mais tétanisée par la peur, elle ne bougeait plus. Pétrifiée. Statufiée. Et puis le premier coup. Abigail sursauta, poussant un léger cri de surprise. L'horreur venait de commencer. Le sang gicla sur sa joue, sur ses cheveux. Et elle ferma de nouveau les yeux. Mais les cris de Jonah la terrifièrent et, soumise, elle regardait le spectacle macabre.
L'odeur du sang chaud, les gémissements, le bruits des coups, le sourire satisfait et sadique de Jonah, les morceaux de chaire qui s'accrochaient aux clous... Elle sentait son cœur se soulevait. Ses larmes coulaient sans qu'elle ne s'en rende réellement compte. Et puis, le dernier coup. Des gouttes de sang vinrent s'éclater sur les lèvres sèches de la jeune femme. Elle tremblait. Elle voulait fuir et en même temps son corps semblait s'être ancré dans le sol. Ici, elle savait ce qu'elle venait de laisser. Même sa vie ça aurait été plus clément de la part du jeune homme.
Il vint se placer face à elle. Abi baissa de nouveau les yeux alors qu'il pointait sa batte vers son visage. Cette fois, ce fut trop. Elle n'écoutait même plus Jonah. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'à quelques centimètres d'elle, le sang et la chaire de la jeune fille pendaient et gouttaient. Alors, dans un sursaut, elle rendit le bref repas qu'elle avait pris quelques heures plus tôt sur la chaussure de son agresseur. Elle posa ses deux mains sur le sol, courbée, elle eut un nouveau élan de dégoût, touchant légèrement la seconde chaussure du blond.
A l'état de culpabilité et de soumission se rajoutait ainsi la honte. Elle était vaincue. Totalement. Essoufflée, elle essuya ses lèvres avec le dos de sa main et serra les dents en se redressant. Elle ne le regardait toujours pas, les yeux toujours noyés par les larmes. « Laisse moi partir, maintenant. » supplia-t-elle d'une voix faible. Oui, elle le suppliait. Oui, elle voulait la paix. Elle voulait partir. Elle pouvait lui donner ce qu'il voulait, là, tout de suite, pourvu qu'il la laisse partir ensuite.
Elle l'entendit lancer la pièce et elle ferma les yeux. Il se jouait d'elle. Elle se disait que cette histoire de hasard n'était là que pour lui donner de l'espoir. Un faux espoir. Qu'il la tuerait elle. Puisque c'était elle la fautive. C'était elle qui l'avait cogné, qui lui avait répondu, qui avait refusé, qui avait menti. Tout partait d'elle. Elle n'avait qu'à faire semblant d'accepter sa demande et repartir pour ne plus jamais le recroiser. Après tout, c'était grand Seattle. Il lui suffisait d'éviter le nord de la ville. Mais non. Elle avait tenté quelque chose de stupide. Elle s'était cru plus forte, plus maline.
Elle ouvrit les yeux quand elle l'entendit bouger. La batte s'approcha de son visage, les clous frôlant la peau. Elle ne respirait plus, le souffle coupé par la peur. Son cœur s'emballait et elle sentait ses mains devenir moites. Elle voulait pleurer. Elle suffoquait. Mais tétanisée par la peur, elle ne bougeait plus. Pétrifiée. Statufiée. Et puis le premier coup. Abigail sursauta, poussant un léger cri de surprise. L'horreur venait de commencer. Le sang gicla sur sa joue, sur ses cheveux. Et elle ferma de nouveau les yeux. Mais les cris de Jonah la terrifièrent et, soumise, elle regardait le spectacle macabre.
L'odeur du sang chaud, les gémissements, le bruits des coups, le sourire satisfait et sadique de Jonah, les morceaux de chaire qui s'accrochaient aux clous... Elle sentait son cœur se soulevait. Ses larmes coulaient sans qu'elle ne s'en rende réellement compte. Et puis, le dernier coup. Des gouttes de sang vinrent s'éclater sur les lèvres sèches de la jeune femme. Elle tremblait. Elle voulait fuir et en même temps son corps semblait s'être ancré dans le sol. Ici, elle savait ce qu'elle venait de laisser. Même sa vie ça aurait été plus clément de la part du jeune homme.
Il vint se placer face à elle. Abi baissa de nouveau les yeux alors qu'il pointait sa batte vers son visage. Cette fois, ce fut trop. Elle n'écoutait même plus Jonah. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'à quelques centimètres d'elle, le sang et la chaire de la jeune fille pendaient et gouttaient. Alors, dans un sursaut, elle rendit le bref repas qu'elle avait pris quelques heures plus tôt sur la chaussure de son agresseur. Elle posa ses deux mains sur le sol, courbée, elle eut un nouveau élan de dégoût, touchant légèrement la seconde chaussure du blond.
A l'état de culpabilité et de soumission se rajoutait ainsi la honte. Elle était vaincue. Totalement. Essoufflée, elle essuya ses lèvres avec le dos de sa main et serra les dents en se redressant. Elle ne le regardait toujours pas, les yeux toujours noyés par les larmes. « Laisse moi partir, maintenant. » supplia-t-elle d'une voix faible. Oui, elle le suppliait. Oui, elle voulait la paix. Elle voulait partir. Elle pouvait lui donner ce qu'il voulait, là, tout de suite, pourvu qu'il la laisse partir ensuite.
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Re: hello devil
Ven 23 Sep 2016 - 23:40
Le pathétique poussé à son paroxysme. La Connerie dégueule son déjeuner sur ma chaussures. Mais merde, j’avais pris soin de pas mettre de sang dessus bordel ! C’est bien la peine de se faire chier à faire un travail soigné. Grimaçant de dégoût en lâchant un râle dédaigneux, je recule brusquement mon pied pour ne pas le laisser tremper dans le rejet gastrique de la blonde avant de lui repousser respectueusement la tête vers l’arrière du bout de ma batte encore ensanglantée, veillant tout de même à ne pas lui enfoncer de clou dans le crâne - j’ai encore sans doute trop de bonté.
Comme si je me trouvais dans une situation tout à fait normale, je secouai mon pied au dessus du sol pour s'égoutter un minimum, l’air écoeuré. « Tu fais chier putain, elles ont coûté cher ! » Sans une once de respect, je viens m’essuyer le pied sur le corps sans vie de la gamine que je viens de massacrer, toujours grimaçant d’agacement et de dégoût. « Pas foutue de contenir son p’tit dej, bordel.. » marmonnai-je à moi même en parlant de la blonde qui pleurait toujours, à genoux au sol.
Je terminai de nettoyer ma chaussure avec un vieux bout de tissu que je venais de trouver dans le sac à dos de Claire et le jetai cruellement sur le corps comme s’il ne s’agissait de rien.
Puis vint enfin le merveilleux temps des supplices. Tellement jouissif. Cet abattement, cette tête baissée, ces larmes et cette parole… vide. Pleine de peur et de faiblesse. La défaite se faisait ressentir dans sa voix et mon sourire s'écarquilla à nouveau, sadique. Lentement, je m’approchai à nouveau de cette pauvre petite chose qui n’osait même pas me regarder. Ni même m’écouter sans doute. Cette pauvre petite chose dont je venais de détruire le mental… Doucement, je me penchai vers elle et, de ma main libre, passai une main sous son menton pour la forcer à me regarder droit dans les yeux. Une des pires tortures possibles sans doute, aussi minime puisse-t-elle paraître. A nouveau je lui adressai un large et cruel sourire. « T’as tout compris. Je veux que tu me supplies… Et que tu te rappelles toujours que t’as supplié à genoux le type que tu détesteras le plus au monde jusqu’à la fin de tes jours. » Après un rire sadique, je récuperai tranquillement les quelques maigres affaires qui trainaient dans le sac de la gamine morte et les fourrai dans mon propre sac.
Sifflotant les dernières notes de la Septième Symphonie, je me dirigeai tranquillement vers la sortie, abandonnant Abi à son sort. Qu’elle ne vienne pas se plaindre : je lui laissai au moins ses affaires. C’est vrai, il faut bien qu’elle soit équipée pour me ramener ce que je veux, logique. « J’espère que t’as bien tout retenu de ce que je t’ai demandé. » L’observant, à genoux, dos à moi, je souris à nouveau. Je l’ai littéralement détruite. Ca me plait. « Ce fut un très agréable entretien, Blondie. Fais gaffe, les voraces vont pas tarder. Et je veux te revoir vivante avec ce que je t’ai demandé… Et puis au cas où tu voudrais te la jouer suicidaire, sache que je m’en balance. Tu marqueras personne. Alors quitte à faire un truc… fais le pour servir à quelque chose. » Je franchis alors la porte de l’appartement, souriant en coin, et ajoutai d'une voix forte une dernière petite phrase à l’adresse de la pauvre blonde. « Et fais gaffe, t’as le rimmel qui va couler. » Un rire mesquin, et je me casse d’ici. J’ai fais du bon travail.
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