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Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 19:41
ÂGE : 64 • NATIONALITÉ : Américaine/Britannique• PROFESSION : Chirugien retraité • GROUPE/FACTION Travelers
Explique ici en 12 LIGNES MINIMUM le caractère de ton personnage.
Bienvenue à vos chers lecteurs. Dans un premier temps, j'aimerais vous remercier sincèrement de lire l'autobiographie de ma vie. J'espère que ces quelques lignes sauront trouver grâce à vos yeux et qui vous feront passer par un amalgame d'émotions. En parlant de sentiments et de psychologies, je pourrais mettre la table en vous confiant quelques qualités et défauts qui ont de moi, de nous tous en fait, des êtres humains dotés de conscience. Si vous me permettez, je débuterais cette description personnelle par les dispositions positives. Les gens me considèrent des plus calmes. Je suis comme un roc au milieu de la tourmente de la vie. Disons qu'être chirurgien demande des nerfs d'aciers et de ne pas flancher à la première brise d'angoisse. Je retiens ce trait de personnalité de mon côté britannique. J'ai un bon sens de l'humour et je suis aussi, comme l'exigent les dignes représentants de Sa Majesté, un pince-sans-rire. Étant un grand esprit, j'adore me renseigner sur une multitude de sujets. Je suis cultivé et j'adore partager mes connaissances. Étant un médecin, à la retraite certes, j'ai pu développer au cours des années de professionnalisme une grande compassion. Un entregent pour les gens en général. J'adore être ponctuel aussi. Toujours à l'heure à mes rendez-vous, pour le thé et les interactions sociales dont je suis friand! Mais ce qui me distingue, me faisant surement passer pour un dinosaure d'un autre âge, c'est mon civisme et mon côté gentleman. La politesse, la courtoisie et les bonnes manières ont encore leurs places dans ce monde où l'individualisme et les coups de couteau dans le dos sont de plus en plus prononcés.
Maintenant l'autre côté de la médaille. Les imperfections que j'essaie de travailler pour les adoucir aux yeux des gens. Le premier, sûrement un héritage de mon père originaire du Texas, est d'être revanchard. Hélas, je sais me montrer direct et je peux démontrer un certain mordant quand je suis personnellement attaquée ou bien les êtres qui me sont chers. Un autre point, qui est malheureusement négatif au stade que je le possède, est la prudence. J'essaie toujours de bien agir, de minimiser les risques et souvent dans le feu de l'action, je suis le dernier à réagir. Heureusement que dans ma profession je n'avais pas ce défaut. Sinon le nombre de patients décédés lors de mes interventions serait astronomique. Je pourrais me qualifier de vieux cheval de laitier. Je m'explique, car je peux sentir vos regards interloqués. Depuis ma retraite, j'ai une routine et je fais les mêmes actions jour après jour aussi fidèlement que possible. Donc c'est ma zone de confort. Si j'en sors, je suis un peu hébété pendant quelques minutes. Ce qui peut être dangereux en situation critique. Je suis un rêveur. Je crois en la bonté humaine et surtout à un monde où tous les gens seront égaux et en paix. Un vrai utopisme quoi! Autre point qu'on me reproche des fois, c'est ma grande disposition à parler. Je sais garder les secrets, mais j'adore émettre mon point de vue sur tous. Comme le disait un de mes amis de l'université, je pourrais réussir à trouver la fin de la célèbre « Pet et répète sont dans un bateau. ». Et mon plus grand défaut, qui est selon moi ma Némésis, est la susceptibilité. Souvent je prends la mouche pour des allusions envers ma personne. Mais surtout sur ma profession bien-aimée. Souvent je vais rétorquer par une langue acérée et des mots tranchants. Mais après un laps de temps assez court, je vais enfin comprendre la blague et je vais m'excuser. Donc je vous avertis, chers lecteurs. Ne m’envoyez pas de commentaires négatifs pour mon livre sinon je vais aller vous voir personnellement pour vous en toucher deux mots..
Bienvenue à vos chers lecteurs. Dans un premier temps, j'aimerais vous remercier sincèrement de lire l'autobiographie de ma vie. J'espère que ces quelques lignes sauront trouver grâce à vos yeux et qui vous feront passer par un amalgame d'émotions. En parlant de sentiments et de psychologies, je pourrais mettre la table en vous confiant quelques qualités et défauts qui ont de moi, de nous tous en fait, des êtres humains dotés de conscience. Si vous me permettez, je débuterais cette description personnelle par les dispositions positives. Les gens me considèrent des plus calmes. Je suis comme un roc au milieu de la tourmente de la vie. Disons qu'être chirurgien demande des nerfs d'aciers et de ne pas flancher à la première brise d'angoisse. Je retiens ce trait de personnalité de mon côté britannique. J'ai un bon sens de l'humour et je suis aussi, comme l'exigent les dignes représentants de Sa Majesté, un pince-sans-rire. Étant un grand esprit, j'adore me renseigner sur une multitude de sujets. Je suis cultivé et j'adore partager mes connaissances. Étant un médecin, à la retraite certes, j'ai pu développer au cours des années de professionnalisme une grande compassion. Un entregent pour les gens en général. J'adore être ponctuel aussi. Toujours à l'heure à mes rendez-vous, pour le thé et les interactions sociales dont je suis friand! Mais ce qui me distingue, me faisant surement passer pour un dinosaure d'un autre âge, c'est mon civisme et mon côté gentleman. La politesse, la courtoisie et les bonnes manières ont encore leurs places dans ce monde où l'individualisme et les coups de couteau dans le dos sont de plus en plus prononcés.
Maintenant l'autre côté de la médaille. Les imperfections que j'essaie de travailler pour les adoucir aux yeux des gens. Le premier, sûrement un héritage de mon père originaire du Texas, est d'être revanchard. Hélas, je sais me montrer direct et je peux démontrer un certain mordant quand je suis personnellement attaquée ou bien les êtres qui me sont chers. Un autre point, qui est malheureusement négatif au stade que je le possède, est la prudence. J'essaie toujours de bien agir, de minimiser les risques et souvent dans le feu de l'action, je suis le dernier à réagir. Heureusement que dans ma profession je n'avais pas ce défaut. Sinon le nombre de patients décédés lors de mes interventions serait astronomique. Je pourrais me qualifier de vieux cheval de laitier. Je m'explique, car je peux sentir vos regards interloqués. Depuis ma retraite, j'ai une routine et je fais les mêmes actions jour après jour aussi fidèlement que possible. Donc c'est ma zone de confort. Si j'en sors, je suis un peu hébété pendant quelques minutes. Ce qui peut être dangereux en situation critique. Je suis un rêveur. Je crois en la bonté humaine et surtout à un monde où tous les gens seront égaux et en paix. Un vrai utopisme quoi! Autre point qu'on me reproche des fois, c'est ma grande disposition à parler. Je sais garder les secrets, mais j'adore émettre mon point de vue sur tous. Comme le disait un de mes amis de l'université, je pourrais réussir à trouver la fin de la célèbre « Pet et répète sont dans un bateau. ». Et mon plus grand défaut, qui est selon moi ma Némésis, est la susceptibilité. Souvent je prends la mouche pour des allusions envers ma personne. Mais surtout sur ma profession bien-aimée. Souvent je vais rétorquer par une langue acérée et des mots tranchants. Mais après un laps de temps assez court, je vais enfin comprendre la blague et je vais m'excuser. Donc je vous avertis, chers lecteurs. Ne m’envoyez pas de commentaires négatifs pour mon livre sinon je vais aller vous voir personnellement pour vous en toucher deux mots..
Bon pour le point de physique. Je n'aime pas trop me décrire, car j'ai l'impression de me valoriser au maximum. Mais pour les besoins de ce bouquin, je vais me plier à cet exercice. Donc, commençons par mon visage. Comme le dirait ma sainte mère, j'ai une véritable tignasse châtain qui orne mon crâne. Un peu plus et les lions seront jaloux de ma pilosité. Mais à l'automne de ma vie, un des signes de vieillissement à décider de s'infiltrer dans mes cheveux, rendant le tout un peu trop grisonnant à mon gout. Depuis que je suis sur ma propriété en montagne, j'ai décidé de me laisser pousser la moustache et une barbichette. Elle est à ma grande honte assortie à ma chevelure, mais le tout adoucit mon visage angulaire et un poil sévère. Et bien sûr cela augmente considérable mon charme britannique agrémenter d'une pincée de fourgues texane. J'ai un front assez décalé, laissant présager à une certaine faculté à raisonner selon les croyances populaires. Mon visage est parcouru par quelques rides que l'âge de la raison a laissées sur ma peau tanné par les travaux au plein air. Mais ce qui attire souvent les regards sur ma personne ce sont mes yeux. Eh oui des iris bleutés, un brin délavés, respirant l'intelligence et la perspicacité. Autres parties de mon anatomie que je suis très fiers ce sont mes mains. Des mains de chirurgien. Habiles, adroites et dotées d'une dextérité très prononcée. Je pourrais même me vanter que j'ai un doigté précis et délicat et pas juste pour les besoins de la médecine. Mais passons ces détails d'un jardin secret qui seront surement dévoilés un peu plus loin. Patience, mes chers lecteurs. Pour la physionomie globale de mon corps, disons que ma taille avoisine les un mètre soixante-dix-huit. Pour mon poids, je suis encore un peu en chaire, le poids que me rend la balance est d'environs dans les quatre-vingts kilogrammes. Mais je tiens à spécifier que mon existence sur la terre m'a permis de gagner un peu plus de muscle et de perdre mon ventre de sédentaire.
Pour mon style vestimentaire, disons que dernièrement j'affectionne les bottes de travail qui maintien la cheville solidement. Les jeans, solides et durables et bien entendus des chemises de coton pour laisser échapper la transpiration. Une veste de cuir, un peu du style des aviateurs de la Grande Guerre, me tient au chaud durant mes travaux à l'extérieur. Bien entendu, j'ai encore des vestiges de mon passé jet set et urbain. Des complets de marque, des pantalons, des Rolex et des symboles de bons goûts que j'ai remisés pour profiter d'une vie simple et loin du brouhaha de la ville. Vieille habitude que j'ai depuis mon année dans les volontaires de Médecin sans frontière, mon sac de médecine m'accompagne toujours. Vous savez le sac de bandoulières de couleur jungle avec la croix rouge dessus ? J'ai un vieux fusil de chasse à deux canons pour m'assurer une certaine protection. Vous savez, en montagne on sait, jamais sur quel prédateur, humain ou animal, ne pourrait venir me chercher des noises. Les services d'urgence prennent une éternité à me rejoindre dans mon petit coin de paradis sur terre. Bien sûr un petit souvenir de ma famille britannique. Un cadeau de mon grand-père pour mes exploits en escrime. Une canne-épée que je garde précieusement à porter de main lors de mes escapades sur les sentiers pédestres. Une touche d'élégance anglaise dans ce monde typiquement américain en quelque sorte.
Pour mon style vestimentaire, disons que dernièrement j'affectionne les bottes de travail qui maintien la cheville solidement. Les jeans, solides et durables et bien entendus des chemises de coton pour laisser échapper la transpiration. Une veste de cuir, un peu du style des aviateurs de la Grande Guerre, me tient au chaud durant mes travaux à l'extérieur. Bien entendu, j'ai encore des vestiges de mon passé jet set et urbain. Des complets de marque, des pantalons, des Rolex et des symboles de bons goûts que j'ai remisés pour profiter d'une vie simple et loin du brouhaha de la ville. Vieille habitude que j'ai depuis mon année dans les volontaires de Médecin sans frontière, mon sac de médecine m'accompagne toujours. Vous savez le sac de bandoulières de couleur jungle avec la croix rouge dessus ? J'ai un vieux fusil de chasse à deux canons pour m'assurer une certaine protection. Vous savez, en montagne on sait, jamais sur quel prédateur, humain ou animal, ne pourrait venir me chercher des noises. Les services d'urgence prennent une éternité à me rejoindre dans mon petit coin de paradis sur terre. Bien sûr un petit souvenir de ma famille britannique. Un cadeau de mon grand-père pour mes exploits en escrime. Une canne-épée que je garde précieusement à porter de main lors de mes escapades sur les sentiers pédestres. Une touche d'élégance anglaise dans ce monde typiquement américain en quelque sorte.
Maintenant mes lecteurs, nous pouvons plonger dans le vif du sujet. Comme toute bonne histoire à un commencement, je vais la débuter comme de raison sur les origines de ma naissance. Ma mère était une fille unique d'une famille assez fortunée de Radley, en Angleterre. En septembre 1951 Margaret, le prénom de ma sainte mère, fut acceptée à l'université du Texas pour finaliser ses deux dernières années en littérature américaine. Elle avait un esprit d'aventure assez prononcé et une envie de croquer, littéralement, dans la culture de nos anciennes colonies. Elle rencontra un joueur de football, un certain Andrew Wakeman. Comme de raison elle succomba aux charmes de cet américain doté d'une musculation assez impressionnante et au cerveau qui pouvait passer au travers du chas d'une aiguille. Mon paternel détrompa la vieille croyance qu'au Texas il n'y a que des taureaux et des pédés. Il démontra la subtilité du rodéo à Margaret et je me suis faufilé à la tête des 250 millions autres spermatozoïdes pour naître au mois d'octobre 1952. Comme ma naissance fut en sol américain, j'ai eu le droit d'avoir la citoyenneté. Mon père, bon joueur et comprenant qu'il devait assumer ses actes, maria Margaret à Las Vegas. J'ai vécu mes premiers mois comme un Américain avant de retourner vers le pays qui m'a regardé grandir et instruit. Comme de raison, le mariage de raison fut vite volatilisé dans les aventures et la tromperie.
Les parents de ma mère furent disons, froissés. En plus de revenir sans diplôme, elle avait apporter un bâtard yankee dans ses bagages. Mais au lieu de faire un drame, ils firent comme tous bons britanniques qui se respectent. Mes grands-parents ont pris soin de ma mère et de moi et j'ai eu une enfance des plus heureuses. Au grand plaisir de ma famille, je n'avais pas hérité des capacités mentales de mon père biologique. Plutôt de l'esprit cultivé et l'intelligence des Butler. Oui je vous entends penser, je suis un Wakeman. Sur mon acte de naissance, ce fut de la seule chose que mon géniteur m'a léguée. Mais je dois faire mauvaise fortune bon cœur. Le nom de famille de ce salaud me fait penser que je dois être un modèle de civisme et de galanterie envers les dames et non un chauvin comme lui. Mais passons outre ce sinistre individu. Voyez-vous, j'adore apprendre tous et n'importe quoi. Une véritable éponge en quelque sorte. Donc, mon cursus académique fut des plus brillants je peux vous en passer un papier. Pour suivre les traces de mon grand-père, un médecin de famille, je m'inscris à l'université d'Oxford en médecine. J'adorais chaque cours ainsi que les séances un peu plus pratique avec le corps étudiants si vous me suivez bien. Mais tout fut conclu dans la bonne entente et surtout dans un respect mutuel des plus profonds. Je devrais arrêter ces jeux de mots à double sens. Bref, soyons concis et non circoncis. Je ne trouvai jamais la perle rare qui me fit transformer les jambes en cotons et faire naître une envolée de papillons au creux de l'estomac. Pour mon bien-être physique, je m'inscris aux sports nobles de l'université que sont le cricket, le golf et l'escrime. J'y fis bonne figure, étant même dans l'équipe universitaire d'escrime et remportant plusieurs championnats. Mais même si les études étaient passionnantes et les activités parallèles encore plus, mon esprit aventurier et altruisme voguait vers d'autres cieux. Il y avait un conflit sanglant, une guerre ou mon second pays avait mis les pieds et que maintenant c'était un bourbier rempli de sang et de tripes. Le Vietnam. Ce fut après l'année universitaire de 1974. Jeune et libertin dans tous les sens du terme, je me décida pour être volontaire pour la Croix-Rouge. Aider les pauvres gens pris entre les deux feux de deux pays luttant pour des idéologies si différentes. Moi ce qui m'intéressait surtout, c'était l'individu. Vous vous souvenez, je suis un rêveur. Mais ma famille me força à rester et me voilà de retour sur les bancs d'études.
En 1982 j’ai finalisé mon cursus académique pour devenir médecin et ensuite chirurgie généraliste. Donc je pouvais pratiquer où je voulais, mais j’ai jeté mon dévolu pour Londres. Pour quelle raison vous devez me demander. C’est très simple. Étant un peu blasé de la campagne anglaise, écoutant mon côté américain, j’ai décidé d’accepter la proposition de m'installer en ville. j’ai pu travailler pendant les trente-deux années suivantes dans un centre hospitalier de Londres. Pour passer mes vacances, j'allais vers mon pays d'adoption. Pour être plus précis dans les montagnes près de Seattle. Étant de double nationalité, j'ai pu acquérir une ferme montagnard pour mon côté pionniers. Au nord-est de Seattle pour être précis. Donc en quelques sortes j'ai été fermier à demi-temps, apprenant avec mes deux employés qui vivaient là pour faire fonctionner le tout durant mes vacances et mes mois à mes frais. Durant ce laps de temps, j’ai adoré et détesté travailler dans cet hôpital. La vie urbaine, pour un Britannique, est motivante à souhait. J’avais accès à des gyms, des bars et des théâtres. Mon côté social et mondain était rempli juste à la gueule. Mon tac, mon civisme et ma profession m’ouvraient les portes de plusieurs endroits. Mais aussi je continuai de m’entraîner pour garder une certaine forme. Un club d’escrime me compta parmi ses membres ainsi qu’un club de golf privé. J’ai connue des maîtresses, des femmes charmantes aux sourires rayonnants. Mais encore une fois aucune ne sut capturer mon cœur.
À croire que j'étais destiné à finir comme un vieux garçon. Ma mère mourut, me légua une petite fortune que j'investis dans la bourse. Disons qu'avec mes avoirs, mes actions et mon salaire de médecin, j'étais assez à l'aise côté financier. Mon travail me combla littéralement. Il me montra le meilleur et le pire côté de l'être humain. Mais aussi les stupidités qui me font encore rigoler lors des soirées au coin du feu avec un bourdon à la main. Pour satisfaire votre curiosité, je pourrais vous faire part d'une anecdote pour chaque fait énuméré ci-dessus. Je devrais écrire un autre livre si je voudrais relater tout ce qui s'est passé pendant ces 32 ans. Le meilleur de l'humain fut de voir des gens offrir leur sang spontanément quand l'hôpital avait eu une pénurie à cause d'un terrible accident de circulation. Voir ces dizaines de personnes se proposer m'a donné foi à l'humanité. Le pire fut les blessures résultant de violences gratuites. Les fusillades, les règlements de compte à l'arme blanche et j'en passe. Pour la stupidité, vous serez surpris de voir les nombres d'objets que les gens s'insèrent dans le rectum et que ça coince là. La plus mémorable insertion d'un corps étranger dans l'anus fut le manche d'une pelle. Mais la raison donnée m'avait fait perdre mon flegme légendaire et crouler de rire les larmes aux yeux. L'homme avait escaladé une échelle pour fouiller dans le grenier de sa maison. Mais ce qui est comique fut que l'individu était flambant nu et qu'il était tombé assis sur la pelle. Donc vous imaginer le fou rire et les mois suivants à se remémorer cette chute douloureuse et mémorable durant les pauses.
Donc nous voici en 2014 mine de rien. J'ai décidé de prendre ma retraite pour me permettre de me concentrer sur l'écriture de ce bouquin. Voulant trouver le calme et la quiétude nécessaire pour faire surir de mes souvenirs les meilleurs passages de ma vie, j'ai voulue naturellement trouver un lieu éloigné de tout. Donc j'ai décidé de laisser mon Angleterre chéri pour le ranch en montagne au États-unis. Vous vous souvenez de mon achat il y a quelques années? Mes vacances à apprendre le métier d'agriculteur durant les 30 dernières années? Je rêvais de trouver cette âme de pionnier. Sentir les durs labeurs de la ferme, avoir des animaux et récolter les fruits de mes labeurs. J'en ai bavé mes chers lecteurs, mais j'ai tenu tête et je peux me féliciter que je peux me débrouiller assez honorablement de toutes les tâches. J'adore m'occuper de mes animaux, voir mes plantes me donner des légumes et j'ai même réussi à faire mon propre thé. Mais heureusement que ces nombreuses années à apprendre mon servis.
Je m'excuse pour le temps que j'ai pris à revenir vers ma machine à écrire. Disons que le monde est en train de basculer vers une anarchie digne de Néron et des plus grands tyrans. Mais je dois commencer au tout début de cette catastrophe. Ça faisait maintenant une année que je suis bien installé sur ma ferme en montagne. Aucun courant électrique traditionnelle, ce besoin est pallié par des panneaux solaires. Aucune nouvelle réelle du monde extérieur à part quand je me déplace au village proche pour me ravitailler ou bien que Roger vient travailler avec moi. Pour les urgences j'ai bien entendu ma radio à ondes courtes. Durant le mois d'octobre 2015, il y a eu des nouvelles alarmantes, que mon esprit analytique a placées dans les absurdités d'un monde mené par l'internet, de cannibalisme. Des gens qui attaquent des personnes dans des accès de rage incontrôlable. Dans le pire des cas, je croyais que c'était la rage ou bien une drogue hallucinogène. Durant ma dernière année aux urgences à Londres, j'avais vu un patient dominer par une drogue qui prénommait « Sel de bain ». Psychotique et régression à l'état animal ou bestial furent notés au dossier de cet individu. J'étais bienheureux de ne plus être en service dans le système de santé et surtout d'être sur ma montagne bien tranquille. Les autorités balançaient des avertissements sur les ondes des radios amateurs, priant la population paniquée de se retrancher chez elle. Roger m'a aidé à finaliser mes récoltes pour l'automne et préparer les lieux pour l'hiver en approche. La situation était loin de s'être adoucie. C'est un doux euphémisme, je parlerai plus d'une apocalypse à l'échelle nationale. Les uns après les autres, les postes de radios amateurs furent balayés des ondes. Juste l'éternel message en boucle du gouvernement. Je ne pouvais que remercier la providence de m'être préparé pour l'hiver.
Début décembre, Roger est arrivé en panique. Il tapait frénétiquement à ma porte. Une morsure évidente au bras. Il était poursuivi par un être en décomposition assez avancée. Agrippant ma canne-épée dans le porte-parapluie près de la porte d'entrée, j'ai dû déployer mes compétences au maniement de l'épée. Naturellement je perforai l'estomac de la chose. Un coup magistral, mortel. Sauf pour l'infecté. Je ne pus que me soustraire à la dernière seconde des claquements de ses dents cariées et de son haleine infecte. Une véritable décharge de bactéries et d'infections à ciel ouvert. Paniquer, je repris l'assaut pour essayer de me défendre contre cet être qui défiait la logique même de la vie. Je feinti cette fois ma lame vers son orbite. Globe oculaire, matières grises et crâne furent perforés joyeusement. Je m'excuse de ce mot, cher lecteur, mais réussir à survivre me rend euphorique. Donc l'être porteur de l'étrange maladie tomba au sol et par le fait même mon petit déjeuner le rejoignit. Roger réclama alors des soins et je lui prodiguai immédiatement. C'est un peu dommage, mais j'ai dû tuer mon employé quelques heures plus tard, lui aussi doté d'une faim cannibale virulente.
Le 10 janvier 2016 : Une communication de mon poste de radio me réveilla brutalement. Je m’étais assoupi dans la salle où se trouvait le poste de radio. Je ne sais pas si je vous l’annonce, mais le plus grand centre d’accueil de survivants de Seattle est tombé. Mon interlocuteur annonça le fait sur toutes les fréquences. Demandant aux gens d’éviter le secteur. Un peu plus tard dans la nuit j’ai pu voir les feux de position d’un hélicoptère de l’armée passé au-dessus de ma ferme. Une explosion m'a fait penser à un tremblement de terre. Mais j'ai déduit à l'écrasement de l'hélicoptère. J’ai donc bu une bonne rasade de bourbon, comprenant que la ville devait être tombée aux mains des infectés. Vous comprenez maintenant pourquoi j’évite d’aller faire du lèche-vitrine à Seattle, cher lecteur. Depuis février je m’occupe de ma peau et de mes animaux. Des fois je vais un appel à tous à la radio, mais je ne reçois que des parasites. En parlant de parasite, des fois j’ai de la visite d’un ou deux randonneurs cannibales. Maintenant j’ai en permanence le vieux couteau de chasse de Roger à ma ceinture. Même si je dois marcher un peu plus loin sur ma terre, ma fidèle canne m'accompagne. Donc je dois jouer à l’exécuteur et me débarrasser de ces empêcheurs de tourner en rond.
Printemps 2016 : Mes panneaux solaires ont rendu l'âme hier. Maintenant je n'ai plus aucun moyen de communication et comme de raison l'électricité n'est qu'un vague souvenir. Je dois aussi penser à sacrifier quelques arpents de mes champs. Je suis rendu seul pour faire tout le travail. Il me reste que quelques animaux, la majorité a profité d'un manque d'attention de ma part pour prendre la poudre d'escampette. Moi qui voulais être un pionnier, me voilà servi cher lecteur.
Été 2016 : Voilà cher lecteur il me reste que mon véhicule personnel remplis d'essence. Mon fidèle tracteur ne peut malheureusement pas rouler sur avec de la rouille et des vapeurs d'essence. Je devrais moissonner mes récoltes comme mes ancêtres. À savoir à la main. La chaleur a fait que mes visiteurs nauséabonds ont augmenté légèrement. Mais je crois que les hauteurs sont un avantage pour ma survie. J'aimerais bien avoir un être pensant avec moi pour discuter. Car les animaux ne sont guère loquaces. Heureusement que mes bibliothèques dans mon salon sont très garnies. Mon esprit se nourrit de l'histoire, de la médecine et de n'importe quel sujet. Les gens s'envolent, mais les écrits restent.
Août 2016: Je crois que ce sera ma dernière entrée dans ce journal, cher lecteur. Onze infectés sont arrivés ce matin envahir ma propriété. J'ai pu en tuer un, mais me voilà réfugié dans ma maison barricader avec des meubles. Plusieurs tapent avec rage à ma porte, mais je n'ai pas l'envie d'aller ouvrir. Je sais que c'est mal poli, mais je n'ai pas envie de me faire déguster à l'instant. Voyez-vous, c'est mon côté Britannique. Même si la mort est devant nous, nous avons tendance à être pince-sans-rire et d'avoir un flegme et un panache que peu de gens peuvent avoir. Je vais essayer de les contourner pour au moins en abattre quelques-uns au tir. À la longue j'ai eu quelques moments pour pratiquer ma visée sur cibles mouvantes depuis octobre. Mais que diable se passe-t-il ? Il semble d'un homme crie de rage à l'extérieur. Je vais aller voir. Si je ne reviens pas, j'ai apprécié vous écrire ces quelques lignes. Bonté divine c'est un massacre à l'extérieur.
Début décembre, Roger est arrivé en panique. Il tapait frénétiquement à ma porte. Une morsure évidente au bras. Il était poursuivi par un être en décomposition assez avancée. Agrippant ma canne-épée dans le porte-parapluie près de la porte d'entrée, j'ai dû déployer mes compétences au maniement de l'épée. Naturellement je perforai l'estomac de la chose. Un coup magistral, mortel. Sauf pour l'infecté. Je ne pus que me soustraire à la dernière seconde des claquements de ses dents cariées et de son haleine infecte. Une véritable décharge de bactéries et d'infections à ciel ouvert. Paniquer, je repris l'assaut pour essayer de me défendre contre cet être qui défiait la logique même de la vie. Je feinti cette fois ma lame vers son orbite. Globe oculaire, matières grises et crâne furent perforés joyeusement. Je m'excuse de ce mot, cher lecteur, mais réussir à survivre me rend euphorique. Donc l'être porteur de l'étrange maladie tomba au sol et par le fait même mon petit déjeuner le rejoignit. Roger réclama alors des soins et je lui prodiguai immédiatement. C'est un peu dommage, mais j'ai dû tuer mon employé quelques heures plus tard, lui aussi doté d'une faim cannibale virulente.
Le 10 janvier 2016 : Une communication de mon poste de radio me réveilla brutalement. Je m’étais assoupi dans la salle où se trouvait le poste de radio. Je ne sais pas si je vous l’annonce, mais le plus grand centre d’accueil de survivants de Seattle est tombé. Mon interlocuteur annonça le fait sur toutes les fréquences. Demandant aux gens d’éviter le secteur. Un peu plus tard dans la nuit j’ai pu voir les feux de position d’un hélicoptère de l’armée passé au-dessus de ma ferme. Une explosion m'a fait penser à un tremblement de terre. Mais j'ai déduit à l'écrasement de l'hélicoptère. J’ai donc bu une bonne rasade de bourbon, comprenant que la ville devait être tombée aux mains des infectés. Vous comprenez maintenant pourquoi j’évite d’aller faire du lèche-vitrine à Seattle, cher lecteur. Depuis février je m’occupe de ma peau et de mes animaux. Des fois je vais un appel à tous à la radio, mais je ne reçois que des parasites. En parlant de parasite, des fois j’ai de la visite d’un ou deux randonneurs cannibales. Maintenant j’ai en permanence le vieux couteau de chasse de Roger à ma ceinture. Même si je dois marcher un peu plus loin sur ma terre, ma fidèle canne m'accompagne. Donc je dois jouer à l’exécuteur et me débarrasser de ces empêcheurs de tourner en rond.
Printemps 2016 : Mes panneaux solaires ont rendu l'âme hier. Maintenant je n'ai plus aucun moyen de communication et comme de raison l'électricité n'est qu'un vague souvenir. Je dois aussi penser à sacrifier quelques arpents de mes champs. Je suis rendu seul pour faire tout le travail. Il me reste que quelques animaux, la majorité a profité d'un manque d'attention de ma part pour prendre la poudre d'escampette. Moi qui voulais être un pionnier, me voilà servi cher lecteur.
Été 2016 : Voilà cher lecteur il me reste que mon véhicule personnel remplis d'essence. Mon fidèle tracteur ne peut malheureusement pas rouler sur avec de la rouille et des vapeurs d'essence. Je devrais moissonner mes récoltes comme mes ancêtres. À savoir à la main. La chaleur a fait que mes visiteurs nauséabonds ont augmenté légèrement. Mais je crois que les hauteurs sont un avantage pour ma survie. J'aimerais bien avoir un être pensant avec moi pour discuter. Car les animaux ne sont guère loquaces. Heureusement que mes bibliothèques dans mon salon sont très garnies. Mon esprit se nourrit de l'histoire, de la médecine et de n'importe quel sujet. Les gens s'envolent, mais les écrits restent.
Août 2016: Je crois que ce sera ma dernière entrée dans ce journal, cher lecteur. Onze infectés sont arrivés ce matin envahir ma propriété. J'ai pu en tuer un, mais me voilà réfugié dans ma maison barricader avec des meubles. Plusieurs tapent avec rage à ma porte, mais je n'ai pas l'envie d'aller ouvrir. Je sais que c'est mal poli, mais je n'ai pas envie de me faire déguster à l'instant. Voyez-vous, c'est mon côté Britannique. Même si la mort est devant nous, nous avons tendance à être pince-sans-rire et d'avoir un flegme et un panache que peu de gens peuvent avoir. Je vais essayer de les contourner pour au moins en abattre quelques-uns au tir. À la longue j'ai eu quelques moments pour pratiquer ma visée sur cibles mouvantes depuis octobre. Mais que diable se passe-t-il ? Il semble d'un homme crie de rage à l'extérieur. Je vais aller voir. Si je ne reviens pas, j'ai apprécié vous écrire ces quelques lignes. Bonté divine c'est un massacre à l'extérieur.
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Re: Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 19:48
Bienvenue parmis nous
Bon courage pour la suite de ta fiche o/
Bon courage pour la suite de ta fiche o/
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Re: Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 19:51
Bienvenue par ici Alair et bonne rédaction de fiche !
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Re: Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 19:58
Bienvenue sur le forum, et bon courage pour ta rédaction
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Re: Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 20:04
Bienvenue et bon courage pour la construction de ta fiche
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Re: Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 20:33
Te voilà fraîchement inscrit sur The Walking Dead RPG ! Après avoir lu consciencieusement le règlement du forum, voilà quelques petites choses à retenir pour tes débuts parmi nous :
1 – Le délai pour finir ta fiche est de 10 jours . Un délai supplémentaire peut être accordé par un Administrateur.
2 – Si tu as oublié de le faire avant de t'inscrire, jette un petit coup d’œil aux bottins des noms, des prénoms, des métiers et des avatars.
3 – Lors du choix de ton avatar, il est important de bien respecter ces deux points du règlement : Les images choisies doivent être cohérentes avec le contexte, et l'âge de ton personnage avec l'aspect physique de ta célébrité.
4 – Afin d'éviter les RP répétitifs d'intégration dans un camp, nous te conseillons d'intégrer ton personnage à un groupe dès son histoire ! Si tu choisis d'intégrer le groupe des solitaires, il te faudra conserver ce statut durant 1 mois minimum avant de pouvoir t'installer dans l'un des groupes sédentaires.
5 – Si ton histoire comporte des personnages que tu souhaiterais proposer en Scénario, sache qu'il faudra également patienter 1 mois et être actif en zone RP.
6 – Une fois ta fiche terminée, signale le dans ce sujet AVERTIR ▬ FICHE TERMINÉE.
Bonne rédaction !
Bonne rédaction !
Bienvenue Alair ^^ Si tu as des questions n'hésite pas !
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Re: Alair Wakeman, médecin perdu dans la tourmente
Dim 16 Oct 2016 - 21:09
Bienvenue !
Bon courage pour la suite de ta fiche o/
Bon courage pour la suite de ta fiche o/
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