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Ray Richard Conway
Lun 26 Déc 2016 - 14:37
35 ans ≡ américaine ≡ palefrenier≡ evergreen ridge
i've got a war in my mind
Richard est un homme indépendant qui ne demande rien à personne. Il a beau être dans un groupe, il est d’une indépendance farouche. Il ne supporte pas l’idée de la perdre. Malgré cela, Ray est un gars sociable qui apprécie de causer avec les autres. Il peut vous faire parler et parlera volontiers avec vous. Mais il restera réservé sur son passé, refusant tout simplement d’en parler, déviant la conversation sur un autre sujet l’air de rien. C’est un gars instable de par son passé, sa vie n’a jamais été d’une stabilité exemplaire et même s’il paraît souriant, il peut par période, douter de tout et être instable. Ce n’est pas forcément une valeur sûre. C’est un gars pourtant qui a énormément de sang-froid, qui ne va pas pleurer ou crier pour rien. Il se contrôle énormément. Il a énormément de résilience et a fait le deuil de sa vie d’avant. C’est un gars débrouillard qui écoute son instinct et se croit capable de survivre. Il écoute difficilement les autres, même s’il ne le montre pas. Il est intransigeant et difficile qu’il fasse des compromis. Ce gros défaut lui a coûté bien cher, mais d’une certaine manière, il assume. Un poil égoïste, il pense à sa survie en priorité. Il ne vous abandonnera pas lâchement car il a un minimum d’humanité. C’est un gars orgueilleux, parfois trop, mais cela fait partie de lui. Il peut vous ignorer, voire vous « oublier » si son orgueil a été trop piqué. Obstiné, on lui a souvent dit qu’il était plus têtu qu’une mule. Pour lui c’est un compliment, car selon lui, ce sont les têtus qui survivent, pas les gens qui fléchissent à la moindre parole.
Ray est le genre de gars qu’on trouve grand et massif. Du haut de son un mètre quatre-vingt-cinq, il ne laisse pas indifférent. L’homme porte toujours une barbe de quelques jours qu’il tente de ne pas laisser trop pousser. Il a toujours eu les épaules particulièrement carrées, même s’il faut avouer qu’il fait de l’entraînement physique pour garder une certaine masse corporelle. Les mains calleuses et usées par son travail manuel, elles paraissent rêches, mais elles sont douces quand il manipule les gens. Il sait contrôler la force qu’il dégage. C’est un homme qui porte toujours un t-shirt quelconque, un blouson de cuir chaud et un pantalon en jeans. Il a aussi des bottes de motard qu’il a piqué autrefois sur un corps, mais il ne l’a jamais dit. Il a quelques mèches sauvages qui lui tombent parfois sur le front, mais il ne semble pas décidé à les couper. Richard n’a pas d’arme, sauf un pied de biche qu’il balade avec lui. Il s’en sert rarement, mais il sait qu’il ne doit pas se balader sans défense. Il a des cicatrices dans le dos, sur les cuisses, vestiges des coups qu’il prenait gamin. Il fait toujours en sorte de les cacher à la vue des autres.
the last of us
Richard était l’unique enfant de madame Conway. Une famille très simple, une famille qui ne demandait rien à personne. Ils vivaient à Sacramento, là où était né le petit. Richard ne se rendait pas compte de la tension entre ses parents et puis à ses dix ans, son père partit. Il se souvenait encore aujourd’hui, le regard doux de son père, sa main sur sa tête en lui disant que tout irait bien. Ray ne vit pas sa mère pleurer, elle resta fière et droite dans ses bottes. Elle travaillait durement pour joindre les deux bouts. Richard devait se débrouiller seul avec des plats faits la veille avec sa mère. Et puis deux ans plus tard, un homme arriva. Il paraissait doux, tendre, mais c’était tout faux. Richard l’avait bien senti et il ne se détrompa pas. Quelques mois plus tard, les coups tombèrent, d’abord sur sa mère, accusée de tous les maux. Un jour, à l’âge de treize ans, Ray se mit entre sa mère et son beau-père. Il encaissa les coups, il encaissa si bien qu’il en prit plus que sa mère et fut incapable de se lever durant trois jours. Sa mère écrivit une excuse minable et le garçon retourna à l’école. Il ne dit rien à personne, trop fier. Il avait honte d’un autre côté, honte de se faire battre, honte que sa mère ne fuit pas. Jamais ni sa mère ni lui, ne dirent à son père ce qui se passait.
Le jeune homme passait quelques week-ends chez lui et son beau-père faisait toujours en sorte de ne pas le frapper avant qu’il n’y aille. Alors Ray ne disait rien. Il voulait sauve sa mère. Son père tenait un ranch en dehors de la ville, à des kilomètres, dans la campagne. Il élevait des vaches et montait à cheval. Ray adorait aller là-bas, profiter de l’air frais, monter à cheval. Les chevaux étaient simples, ne le frappaient pas. Retourner en ville le rendait malade. Le week-end de sa mère avait été infect à chaque fois. Son beau-père finit au chômage, dans l’alcoolisme. Ray continuait de s’interposer, sans jamais rendre un coup. Il en récolta des fractures, des blessures. Sa mère faisait toujours en sorte de lui donner les premiers soins grâce à des conseils d’une amie infirmière, ensuite ils se rendaient à l’hôpital. A un moment donné, le père de Richard se rendit compte de quelque chose, mais impossible de lui faire cracher la vérité. Un jour il débarqua chez son ex-femme et la regarda droit dans les yeux.
« Richard a fini le lycée dans quelques mois, je le prends chez moi. » Sa mère aurait pu lutter, mais elle accepta, pour sauver son fils. Le lycée terminé, Richard vécut chez son père, se formant avec le palefrenier de son père pour apprendre le métier. Il rendait visite à sa mère le week-end, la suppliait de quitter cet homme violent, mais rien n’y faisait. Alors qu’il avait vingt-un ans, un jour son père le retint. « Fils, tu ne peux sauver le monde. Si Dieu le veut, elle sera sauvée. » Son père était un homme croyant, pas Ray, mais il décida que son père avait raison. Le sujet des coups devint un sujet tabou entre sa mère et Richard, ils ne se virent plus jamais chez celle-ci, mais chaque samedi, dans un petit café de Sacramento.
A vingt-deux ans, Richard déménagea dans la région de Seattle, se fit embaucher dans un ranch bien équipé et commença à travailler. Sa vie était bien, tellement bien qu’à vingt-cinq ans il rencontra une femme et en tomba fou amoureux, ensemble, ils eurent une petite fille qu’ils nommèrent Barbara. Ils restèrent presque trois ans ensemble. C’était une femme simple, mais terriblement jalouse. Lassé par son attitude, Richard la quitta du jour au lendemain. Bien entendu, elle ne le prit absolument pas bien, mais avec le temps et grâce au père de Ray, ils réussirent à trouver un accord pour que Richard continue à voir sa fille. Tout semblait bon, parfait. Les années glissèrent ainsi sur un Ray secret qui bossait, mais ne s’attachait à plus aucune femme. Son passé d’adolescent battu avait laissé des marques, des cicatrices. La seule « femme » de sa vie, était sa fille. L’homme faisait tout pour elle et quand son ex-femme eut l’idée de se remettre avec un gars, Ray ne manqua pas de la prévenir, s’il constatait la moindre violence, il serait sans pitié. Son ex-femme était au courant de sa vie, de son passé.
Richard était tout de même lassé de la vie à trente ans, commençant à boire lors de ses jours de congé, devenant usé par la vie. Il aurait pu vieillir ainsi, devenir ce genre d’homme qui haïssait. Mais l’épidémie en 2015 chamboula son univers….
Jour 1
« Vous avez entendu ? Paraît qu’il y a une intoxication par des stupéfiants qui rend les gens fous. » Un collègue trop bavard. Ray nettoyait le box d’un cheval, posa sa fourche et se redressa. « Il ne faut pas écouter tout ce qu’on dit, tu sais. » Non il n’y croyait pas. De toute manière, les gens de Seattle étaient un peu fous pour ce gars venu de Sacramento. Il n’avait pas quitté le coin pour toujours rester en contact avec sa fille, Barbara.
Jour 4
Ray fumait tranquillement avec sa bière devant l’ordinateur quand soudainement, il entendit la sonnerie du réseau social qui signalait l’arrivée d’un message. L’homme ouvrit la fenêtre de conversation et lut le message, ainsi que le lien envoyé. Il l’ouvrit le lien et lut l’article qui parlait de comportement étrange, de l’hôpital. Richard empoigna son portable et composa le numéro de son ex-femme. Il était tard, mais il savait qu’elle répondrait.
« Ray ?
- Barbara dort ?
- Oui bien sûr, tout va bien ? »
Il ne dit rien, parcourant la page internet du regard. Son ex-femme s’était habituée à son humeur étrange certains soirs. Elle croyait que c’était comme avant, quand il faisait des cauchemars sur son adolescence. L’homme resta silencieux quelques secondes. « Dis-lui que je l’aime. » Et il raccrocha. Quelque chose d’étrange se passait et même si quelques jours auparavant son collègue en riait, là il était particulièrement inquiet.
Jour 5
La journée avait été étrange, avec une annonce des autorités qui confirmait la présence d’un nouveau virus. Il était tard le soir, Richard venait de rentrer chez lui quand son téléphone sonna et il répondit dès qu’il vit le prénom de son ex-femme au téléphone. « Ani ?
- Andrew était à l’hôpital. »
Silence, tous deux ne parlaient pas, soudain inquiets. « Il n’est pas rentré Ray. » Ray vérifia l’heure, soudain inquiet pour sa fille. Andrew non, selon lui c’était un sombre conard, voilà tout. « Je viens demain matin dès la première heure. J’appelle le ranch. » Il raccrocha et composa le numéro du ranch, son patron lui apprit qu’il comptait fermer aux visiteurs et que si Richard pouvait venir le soir, ce serait bien, sinon tant pis. Son patron parla « d’une saloperie de virus de cette ville de merde ». Ray ne fit qu’approuver l’avis de celui-ci.
Jour 6
Richard arrivait devant la maison et toqua à la porte. Il avait pu observer les policiers de la ville, visiblement tendus, comme d’habitude selon lui. Son ex-femme ouvrit la porte, visiblement tendu, le regard cerné. Elle ne dit rien, mais une petite voix accueillit Richard. « Papa ! » Aussitôt le petit corps se blottit contre lui. Il regarda Anita. « J’ai pris des affaires.
- Andrew n’est toujours pas revenu. Ray… J’ai peur. »
Silence entre les deux adultes qui entrèrent dans la maison. Les jours suivants furent pénibles, Richard se rendait au travail, mais son patron était tendu, de nombreux employés étaient absents pour raison inexpliquée. Le dixième jour, Ray et Anita firent l’amour dans la chambre de son ex-femme. L’homme ne s’endormit pas, regardant sur son téléphone la panique gagner Seattle.
Jour 12
« Maman… Tout va bien ?
- Oui oui… Tu sais comment ils sont ici ! Rien de bien grave. Et à Seattle ? Passe-moi ma petite Bab’. »
La voix de sa mère était âgée, cinq ans auparavant, son mari, le beau-père violent de Ray, était mort d’un cancer généralisé. Comme quoi, selon Richard, Dieu avait entendu ses prières. L’homme passa le combiné à sa fille qui babilla avec sa grand-mère. Ce jour-là, il tenta d’atteindre son père, mais celui-ci ne répondit pas. Ray fit promettre à sa mère de rester chez elle, de ne pas bouger, qu’il viendrait avec Anita et Barbara. Son ex-femme était particulièrement nerveuse, faisant des réserves, craignant le pire.
27 octobre 2015
« On quitte la ville. » La voix de Ray était ferme. Ce conard d’Andrew n’était pas revenu. Anita ne lutta pas, ils firent leurs affaires et quittèrent la ville pour se rendre à Sacramento. Richard n’avertit pas son travail, de toute manière, son collègue ne répondait plus depuis quelques jours, ni son patron. Ils quittèrent une ville une panique et Ray se dit que quelque chose clochait vraiment. « Cela ne va plus Richard. » Murmura cette nuit-là Anita.
Novembre 2015
Sa mère était heureuse de les avoir avec eux et Richard se rendit compte que la situation empirait, beaucoup plus que prévu en réalité. Les villes devenaient folles, le monde devenait fou. Un jour en mi-novembre, sa mère décida de sortir malgré ce qui se passait. Elle revint dans un état lamentable, le regard fou, le bras mordu. « Anita, monte avec Barbara. » Ordonna l’homme qui fit allonger sa mère qui ne cessait de répéter que cela allait. Mais cela n’alla pas, en quelques jours sa santé dépérit et un soir, elle mourut. Elle avait refusé de se rendre à l’hôpital, de toute manière les services étaient surchargés. Ray la couvrit d’un drap blanc et la mit dans une pièce. Chose étrange, quelque temps après, lui, Anita et sa fille entendirent un bruit étrange provenant de cette pièce. « Maman ? » Richard s’approcha de la porte, il ouvrit et resta sans voix en voyant sa mère, debout. Celle-ci se tourna vers lui et grogna. Quelque chose n’allait pas hurlait une voix dans sa tête. Sa mère s’approchait de lui, étrange. « RICHARD ! » La voix de sa femme résonna, elle le poussa de sa mère et hurla alors que sa mère referma les mâchoires sur son ex-femme, sur son épaule. Ray s’entendit hurler, sépara les deux femmes. Il envoya sa mère, une femme faible à la base, contre un mur.
Elle ne réagit pas, se redressa et revint vers eux. Richard attrapa un objet et la frappa, encore et encore alors qu’il entendait les pleures de sa fille derrière lui qui tentait de rassurer sa mère. Ray venait d’écraser le crâne de sa mère qui ne bougeait plus. Il tomba à genoux à côté du cadavre, en état de choc.
Quelques jours plus tard Anita mourut, eut le même comportement étrange que la mère de Ray. Celui-ci l’abandonna dans la pièce, prenant sa fille qui hurlait et ils retournèrent à Seattle, la ville plus folle que jamais. Richard se devait de rester cohérent pour sa fille, sinon il aurait perdu la tête. Après tout, il avait tué sa mère et abandonné Anita.
Décembre 2015
Un Noël horrible dans une maison abandonnée. Barbara était inconsolable alors que Richard ne comprenait rien. Les gens étaient fous, se mordaient, se mangeaient. Personne ne contrôlait plus rien. C’était incompréhensible. Barbara tomba malade et à son tour, mourut. Son père eut beau lui parler, mais quand elle marcha vers lui, menaçante, il dut la tuer. L’homme en devint malade durant des jours, ne comprenant rien. Son monde s’effondrait.
Janvier 2016
Il changea de logement, s’établit dans le nord de Seattle, mais dut partir quelques jours quand des gens étranges envahirent l’immeuble. Il s’isola dans l’agglomération de Seattle, retourna au ranch de son patron, vide. Il ne trouva qu’un cheval en mauvaise santé que personne n’avait abattu. Il retrouva des corps de chevaux dévorés, des gens étranges qu’il dut tuer. Des gens qui tentaient de le mordre, il ne comprenait rien. Mais ce que Richard savait, c’était qu’il ne devait pas se faire mordre. Il tentait de garder pied, mais ce n’était pas facile. Il faisait des cauchemars, mangeait très peu. Il rencontra un homme lorsqu’il allait couper du bois, il accepta qu’il le rejoigne dans le ranch.
Février 2016
L’homme se suicida, lasse de cette vie, ayant tout perdu. Richard refusa de le tuer, mais le tua quand il se remit à marcher, menaçant. Il abattit aussi le cheval malade du ranch et quitta les lieux.
Avril 2016
Il revint dans le nord de Seattle, passa par la maison de son ex-femme, emporta quelques souvenirs. Il se promit de ne faire qu’un mois dans la ville, mais ne put se résoudre à quitter Seattle qui résonnait des souvenirs de sa fille.
Eté 2016
Il quitta définitivement la ville avec quelques affaires et se rendit le long des routes. Après bien des semaines, des aventures, de la fuite, il arriva à la station de ski d’Evergeen Ridge. L’homme était sorti de sa voiture, faible, il marchait lentement quand une voix l’interpella. « Arrête-toi ou je te tue. » Ray leva un regard fatigué sur un homme armé aux traits usés, mais l’air féroce. Le palefrenier se stoppa et ne bougea plus, levant lentement les mains en l’air. L’homme armé ne le lâchait pas du regard. « Fouille-le. Vérifie chaque coin de peau. T’es mordu ? » Mordu ? Richard cligna des yeux alors qu’un autre homme s’approcha de lui et commença à le fouiller, l’air tendu. « Non, pas mordu. » Sa voix était rauque tellement il ne parlait plus. Il ferma un instant les yeux, les rouvrit et regarda l’homme armé qui semblait prêt à lui faire sauter la tête. « T’es seul ? » Ray hocha lentement la tête. Il sentait les mains de l’autre sur lui, il s’écarta. « Retire ta veste. » Si faible, peu soucieux de se défendre, l’homme retira sa veste. Il obéit à chaque ordre, avec lenteur. C’était presque un miracle qu’il soit encore en vie. Visiblement, il venait de tomber sur un camp et on ne le laisserait pas entrer ainsi. Les hommes semblaient prêts à tout. Finalement, ils le conduisirent au campement après maintes fouilles et questions.
Depuis, Richard vit avec le groupe. Débrouillard et volontaire, il aide les autres. Armé d’un pied de biche, il s’est résilié à ce mode de vie depuis longtemps. Il est celui qui aide le plus souvent à éliminer ceux qui se font mordre. Il semble se détacher de cela même si c’est dur. La mort de sa fille, de son ex-femme et de sa mère le hante, mais il vit avec.
time to meet the devil
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Re: Ray Richard Conway
Lun 26 Déc 2016 - 14:48
Bienvenue ici ! \o
Je sais pas si ça m’est déjà arrivé, enfin, on va essayer de ramasser tous les morceaux et de recommencer à zéro, ça va pas être facile mais on est tous ensemble maintenant et je me sens bien.
- Yulia Iojov
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Re: Ray Richard Conway
Lun 26 Déc 2016 - 14:56
Bienvenue sur WD beau gosse, bon choix de grossir les rangs d'Evergreen
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Re: Ray Richard Conway
Lun 26 Déc 2016 - 15:55
Jolie plume et personnage qui semble intéressant ^o^
Bienvenue à toi et bonne rédaction !
Bienvenue à toi et bonne rédaction !
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Re: Ray Richard Conway
Lun 26 Déc 2016 - 15:56
Je dis un merci général pour les bienvenues o/ merci Sarah pour le compliment sur la plume ^^
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