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Calypso J. Taylor
Jeu 2 Fév 2017 - 21:58
26 ans ≡ AMERICAINE ≡ EDITRICE ≡ EMERALD FREEDOM
i've got a war in my mind
1m71, une taille plus que convenable pour une femme. Ni trop petite, ni trop grande. Elle est plutôt mince mais à des formes là où il faut. Depuis l'épidémie, Caly essaie de s'entretenir en développant ses muscles pour avoir de la force. Ella va souvent faire des exercices dans la salle prévu à cet effet. Elle courre assez vite mais n'est pas non plus une athlète, elle se débrouille. On pourrait douter de sa force vu sa corpulence mais ne vous y trompez pas, elle sait frapper là où il le faut quand il le faut.
D'un point de vue vestimentaire, Caly s'habillait de façon classe pour travailler et cool/chic quand il s'agissait de sortir ou trainer. Depuis l'épidémie elle porte des pantalons serrés qui lui permettent d'être à l'aise avec des bottes à lacets qu'elle a dégoté dans une boutique de chaussures complètement dépouillée. Des pulls larges, en laine ou autre pour le haut, elle fait avec ce qu'elle trouve et ce qu'on veut bien lui donner.
Ses cheveux sont souvent tressés en une natte revenue sur le côté ou un chignon bien haut au-dessus de sa tête. Elle n'accorde pas trop d'importance à l'esthétisme depuis l'épidémie, pas vraiment l'occupation première de se maquiller. Mais avant elle était coquette sans pour autant être superficielle.
Caly se trimbale depuis le premier jour des émeutes avec un poignard, une lame bien aiguisée qu'Hélios s'est procuré à leur arrivée au stade. Sinon quand elle se déplace elle emmène une espèce de hâche qu'elle manie avec pas mal d'aisance. Elle ne possède pas encore d'arme à feu, elle est entrain d'apprendre à tirer. On devrait bientôt lui en procurer une.
the last of us
J'ai eu une enfance plus qu'agréable. Un père et une mère qui s'aiment et qui aiment leurs enfants plus que n'importe qui au monde. Une grande maison sur la côte de Seattle, des moyens financiers bien plus que suffisants en vue du statut d'avocat de mon père et de romancière de ma mère. Une petite soeur craquante et fourbe qui nous fait rire lors des repas et des vacances au bout du monde tous les quatre. Un beau tableau, une belle et heureuse famille qui ne vit pas dans le besoin.
Mes notes ont toujours été à la hauteur de mes capacités, je n'ai jamais redoublées et ai toujours été à la tête de mes promos. Je ne fournissais pas forcément plus d'efforts que les autres. Mes parents pensaient que j’étais une genre de surdouée ou en tous les cas beaucoup plus intelligente que la moyenne. J’avais des facilités, c’est certain, mais être assidue, attentive voilà ce qui me permettait d'avancer plus vite que les autres. C’est qui ce m'a permis d’écouler mes années étudiantes d’une traite en finissant par mon master d’édition comme je l’avais toujours souhaité. Je profitais de la vie, je dévorais le moindre bouquin qui me passait entre les mains et j’aimais de façon inconditionnelle les personnes qui m’étaient chères.
Après l'obtention de mon diplôme, j'ai été embauchée dans la boite qui m'avait accueillie pour mon stage de dernière année. Un an après avoir décroché ce job, lors d’une soirée dans un bar avec mes collègues, je l’ai rencontré. Beau, brun, mystérieux. Je ressens encore l’effet de son regard sur mon corps et des picotements qui ont parcouru mes avants bras comme pour dire « c’est lui. » Je n’avais jamais rencontré quelqu’un comme lui, un homme qui m’impressionnait autant. Il a été le premier, dans tous les sens du terme. On a beaucoup discuter ce premier soir, de tout et de rien. Je n’avais pas l’air trop impressionnée, je ne voulais pas lui montrer l’effet qu’il produisait sur moi alors que nous nous connaissions que depuis quelques heures. Seulement à l’intérieur c’était tout autre chose. J’avais chaud, je sentais ma gorge qui s’asséchait à chaque fois qu’il me regardait de cette façon qui peut vous pénétrer en une fraction de seconde. Quelques mois après notre rencontre, Hélios et moi avons décidé d’emménager ensemble.
Jour 4, (12/10/15)
T'as vu sur Facebook le lien que Wayne a partagé ? Je suis sur le canapé, un livre ouvert à la page 452 près de moi. La tablette dans les mains je regarde Hélios qui range des papiers. Il lève à peine la tête et me fait non de la tête. Je me redresse et m'avance vers lui pour lui montrer l'article. Des attaques bizarres qui seraient peut être en lien avec celle qui a eu lieu dans un lycée quelques jours plus tôt. Regarde, ça fait un peu flipper quand même. Je lui tends la tablette et pose mes mains sur le bureau en attendant qu'il lise la page en question. Je penche la tête sur le côté comme pour analyser les expressions de son visage. Après avoir terminé sa lecture il me redonne l'appareil et hausse les épaules. Ouais. J'sais pas c'est bizarre. Faut pas croire tout ce qu'on raconte. Tu le sais aussi bien que moi. Je lève les yeux au ciel, je ne suis pas du genre à croire toutes les conneries que peuvent nous sortir les médias, mais là j'ai du mal à ignorer l'information.
Fin Octobre au 15 Novembre 2015
Nous sommes barricadés chez nous depuis plusieurs semaines. Hélios est parti dès le début faire des provisions pour que l'on puisse tenir en m'interdisant de venir avec lui. Tout part dans tous les sens, Seattle n'est plus la ville que l'on a connu. Les médias répètent sans cesse la même chose, internet ne fonctionne plus et les lignes téléphoniques sont saturées. J'ai franchement peur, j'essaie de ne pas trop le montrer à Hélios qui tente de me rassurer à chaque fois que mon visage prend un air terrifié. Je me demande comment on a pu en arriver là, comment toute cette merde a pu s'installer sans qu'on ne la contrôle. Peut être est ce une revanche de la nature pour tout ce qu'on lui a fait endurer. Caly, t'inquiète pas. On va s'en sortir, je te le promets. Ses mains tiennent mon visage et ses pouces caressent mes joues pour me rassurer. Je le récompense d'un léger sourire qui en dit long sur mon ressenti. Oui, on survivra à ça.
Du 16 novembre 2015 au 10 janvier 2016
Nous n'avions plus vraiment de nourriture mis à part des lentilles et des petits poids en conserve. Nous n'avons plus le choix, on doit rejoindre CenturyLink Field qui apparemment est en sécurité. Les forces de l'ordre protègent le périmètre et de la nourriture nous sera donnée à notre arrivée, nous voilà parti pour l'aventure. Celle qui va tout changer. Nous trouvons une place pour nous deux, on s'installe comme on peut en se disant que tout ira pour le mieux dans quelques jours. Je n'ai toujours aucune nouvelle de ma famille depuis plusieurs jours, du moins pas depuis que le réseau téléphonique a été coupé. Les jours, puis les mois s'écoulent sans que rien ne s'arrange. Tout s'empire, tout devient noir. Les gens autour de nous prennent peur et je ne peux pas m'empêcher de tenir la main d'Hélios quand je sens la panique m'envahir.
Fin décembre arrive et je m'aperçois que je n'ai pas mes règles, et que j'ai plus d'un mois de retard. J'ai pris un peu de poids et les matins ne sont pas toujours des plus agréables. Dans la panique des évènements de ces derniers mois, je n'ai pas pensé à mes problèmes féminins et ce que l'absence de ces derniers pouvait engendrer. Par miracle je trouve un test de grossesse et me rend compte qu'il est positif. C'est comme un coup de massue, le mauvais truc au mauvais moment. Je ne peux tout bonnement pas donner naissance à un enfant dans ce chaos. Je ne trouve même pas la force de le dire à Hélios, par sur le moment du moins de peur de l'inquiéter encore plus qu'il ne l'est déjà.
Il fait si froid et rien ne s'arrange, tout part en vrille. Mon monde s'effondre encore plus à chaque fois que je pense au petit être qui grandit dans mon ventre. Comment lui dire, comment faire face à tout ça en étant une femme enceinte ? Quand je sens l'angoisse m'envahir, je m'imagine près du feu une tasse de chocolat chaud entre les mains. Mes yeux rivés vers un manuscrit qui n'a jamais été aussi bon. Je ferme les yeux et sens encore la chaleur des flammes sur mon visage. J'ouvre les yeux, il fait encore plus froid.
On fait des échanges, on monnaie avec les réfugiés pour pouvoir manger un peu plus que ce qu'on nous donne. J'ai l'impression de sentir mauvais, de ne ressembler à rien et d'être aussi grosse qu'une baleine échouée sur la plage. Hélios ne remarque rien, il est remarquable et masque sa peur pour ne pas m'inquiéter. Il a réussit à trouver des couteaux, un poignard bien aiguisé pour moi et un couteau plus grand pour lui. Je l'ai d'abord refusé et puis ses arguments m'ont fait changer d'avis.
Le 10 Janvier 2016
Je somnole sur notre lit pas confortable, je ne me sens pas très en forme ce jour là. Je suis fatiguée, je simule un manque de fatigue quelconque mais je sais. Je sais que c'est notre petit être qui m'affaiblit. Hélios aiguise nos couteaux. J'entends le bruit des lames, et sa concentration, sa conviction de bien faire les choses plane dans l'air. Je redresse la tête et le regarde faire. Il s'arrête et nos regards se croisent, se fixent l'un dans l'autre. Un léger sourire se forme sur mes lèvres alors qu'elles s'entrouvrent pour laisser échapper un Je t'aime. Ca peut paraitre niais, pas approprié mais notre couple prime, c'est ce que nous avons de plus cher au milieu de tout ça. Il s'apprête à me répondre quand des cris, des pas précipités se font entendre à l'entrée du camp. On se redresse tous les deux, il me tend mon poignard. Caly, quoique se soit, tue si c'est nécessaire. Je déglutis, les larmes me montent mais je les ravale aussitôt pour lui adresser un signe de tête entendu.
A peine cinq minutes après que les cris ont retenti, le stade est envahi par des êtres morts vivants, répugnants qui font peur. La panique, c'est ce qui envahit votre corps la première fois que vous en voyez un au loin. La peur qui s'accentue, les larmes qui roulent sur les joues car tu t'imagines entrain de te faire bouffer un bras ou une jambe par une gamine morte âgée à peinede 10 ans. Bébé, cache toi. Reste là, je vais aller aider pour les repousser. Je secoue la tête, le visage inondé de larmes. Caly, écoute moi. Ca va aller, je pars juste quelques minutes et après on s'arrache d'ici. Fais deux sac à dos avec le strict minimum et le temps que tu les finisses je serai de retour. Je secoue toujours la tête limite prise de sanglots, ses mains viennent entourer mon visage terrifié. Fais ce que je te dis, fais moi confiance. J'acquiesce en silence. Il m'embrasse furtivement et me tourne le dos pour partir. Hélios ! Je suis enceinte ! Je viens de le crier, il se retourne les yeux grands ouverts. C'est la fin, c'est la merde. Il se retrouve devant moi, m'embrasse une nouvelle fois. Tout ira bien, même à trois on y arrivera. Dernier sourire, dernier contact.
Je prépare les affaires en deux minutes. Nous n'avons tellement rien de précieux avec nous, un pantalon chacun, deux pulls, une lampe torche chacun avec des piles en plus, deux bouteilles d'eau, des barres céréales et dans mon sac une photo de ma famille. Les bruits se rapprochent, je tremble et attends encore un peu mon sac à dos sur les épaules et celui d'Hélios à mes pieds. Quelque chose me dit que je dois bouger, maintenant. Mais il n'est pas revenu, trop de temps s'est écoulé. Je tiens mon poignard dans ma main droite avec fermeté et ravale mes larmes tandis que les muscles de ma mâchoire se tendent. Lentement mais sûrement je sors la tête de ma cachette et m'élance entre les personnes qui courent dans tous les sens. Je regarde autour de moi et enjambe des corps qui gisent sur le sol sans vie. Hélios n'est pas là. J'entends sa voix dans ma tête qui m'ordonne de courir, de me sauver.
Une heure après l'invasion des infectés, je me retrouve à l'extérieur du stade qui tombe en ruine. Quelques personnes sont avec moi, on ne se regarde même pas. Je cours dans les ruines en dehors du barrage. Je ne suivrai personne, je ne m'éloignerai pas d'ici tant que je ne l'aurais pas retrouvé. Je m'élance dans une rue adjacente, il n'y a aucun morts vivants puisqu'ils sont tous occupés à notre ancien camp. Une main sur mon ventre j'entre dans un bâtiment abandonné. Je ne sais pas comment j'ai fait pour sortir vivante. Je m'adosse au mur et m'écroule sur le sol en sanglotant en silence. J'ai mal, tellement mal juste là où se trouve mon petit être. Je me remémore ma chute en essayant d'échapper à l'un d'entre eux, du coup de couteau que j'enfonce dans son crâne sans savoir quoi faire. Je sens la bile qui me monte et vomis sur le sol dégueulasse.
Le 11 Janvier 2016
Des bruits, des pas. Une personne ou deux. Je me redresse et sors trop rapidement de mon sommeil. Le jour se lève, les crampes au ventre reviennent instantanément. Je me redresse lentement pour ne faire aucun bruit et tends l'oreille. Je reconnais leur façon de couiner, ils sont dans la pièce d'à côté. Je ne réfléchis pas je cours dans la pièce vide et sors par une porte de service. La rue est calme, je ne devrai pas y retourner mais c'est plus fort que moi je dois le retrouver. Mon poignard est tendu au niveau de ma tête prête à attaquer. J'arrive rapidement vers le stade mais reste en retrait pour avoir une vision assez large. Ils sont encore là, ils cernent notre ancien refuge.
Je marche dans les ruelles après avoir décidé de m'éloigner un peu pour ne pas servir de viande fraiche. Je n'ai plus de force, je me sens démunie de toutes mes capacités physiques. Je vomis entre deux pas et mes mains ne cessent d'appuyer sur mon ventre qui me fait souffrir. Je me réfugie dans une maison abandonnée qui ne semble pas renfermer âme qui vive. Je grignote quelques céréales qui restait dans une boite abandonné sur la table et me pose ensuite sur le canapé. Assise face au mur, je fixe un point imaginaire quand je sens un liquide chaud couler entre mes cuisses. Je baisse la tête, déboutonne et passe une main pour saisir quelques gouttes. Mes mains sont rouges tout comme mes cuisses. Pleine de sang, j'ai tout perdu.
Du 12 Janvier 2016 au 09 Février 2017
Je me réveille à cause du vent et du froid qui passe par le bas de la porte d'entrée. Sale, répugnante et puante voilà telle que je suis à cette instant précis. Je dois y retourner, le retrouver, ne pas rester seule. Mon cerveau marche au ralenti et ne semble pas vouloir analyser toute ma situation. Je m'en tiens aux gestes primaires telle une bête lors de la chasse. Marcher, écouter, scruter. Marcher, écouter, scruter. Marcher, écouter, scruter. Marcher, écouter, scruter. Des voix basses viennent de ma droite. Je m'arrête si brutalement que s'il y avait eu une personne derrière moi elle m'aurait percutée. Je tends l'oreille et perçois trois voix. Je me décide à les suivre, sans aucune arrière pensée juste parce que c'est ce qui me semble être le plus judicieux. J'avance lentement, 10-15 mètres derrière eux. Je marche sur du verre et le bruit résonne tout autour de moi. Je m'immobilise comme mes pairs devant moi et croise le regarde de l'un d'entre eux. Je ferme les yeux un quart de seconde et quand je les rouvre un mec me menace avec son couteau.
Je me retrouve dans un lycée, un lieu de vie ou tout un tas de gens se sont barricadés. J'ai gagné mon ticket d'entrée après avoir expliqué aux trois gars qui j'étais, d'où je venais et ce que je voulais. Ils ont sans doute du prendre peur en voyant mon allure, mes cheveux et ma gueule sale. Une dégénérée ou autre. Celui qui a pointé son arme sur moi, Trey, a sauvé ma peau. Il a un peu défendu mon cas auprès de ses deux acolytes même si d'un premier abord il avait voulu me tuer.
Je suis restée plusieurs jours voir des mois avant de redevenir naturelle, à aller vers les gens. Je n'ai été d'aucune utilité lors du conflit du mois de février et encore moins lors des sorties pour trouver des vivres. Je restais dans le petit espace que l'on m'avait attribué, ne quittait mon lit que pour manger, me laver et aller aux toilettes. Plus gout à rien, plus de personnes à aimer ou sur lesquelles s'appuyer.
C'est au mois d'avril que je me suis enfin réveillée, que j'ai pris conscience qu'il fallait que je me bouge. L'envie de sortir, d'aider pour survivre et ne plus me laisser abattre. Je l'ai fait pour Hélios et notre petit être. Je me suis familiarisée avec quelques personnes, me suis entrainée avec Trey à me défendre et ai participé vers Juin à des excursions avec les autres. Une bonne éclaireuse, c'est ce qu'on dit de moi. Je me débrouille assez bien avec les lames, quelles qu'elles soient. A chaque fois que je donne un coup de couteau je pense à lui.
Je crois que la mort ne me veut pas, du moins pas pour l'instant. En Aout, le lycée a subit l'attaque des animaux du zoo de Seattle. On les avait oubliés ceux là, nous n'aurions pas dû. Je n'ai heureusement pas assisté à ça étant en mission avec Trey dans les bas fonds de la ville. Nous somme revenus après l'attaque, constatant les dégâts et surtout les pertes humaines engendrées à cause des animaux. Les rôdeurs ne sont pas nos seuls ennemis, je ne dois jamais l'oublier, jamais.
Les mois se cumulent, se succèdent de manière assez lente. J'apprécie les moments où nous pouvons sortir d'entre les murs, les entrainements me défoulent et me permettent de lutter pour ma survie dans ce monde qui part en vrille.
time to meet the devil
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♦ Taylor
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Re: Calypso J. Taylor
Jeu 2 Fév 2017 - 21:59
Bienvenue !
Bonne chance pour la rédaction ! :3
(avatar + prénom= <3)
Bonne chance pour la rédaction ! :3
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Re: Calypso J. Taylor
Jeu 2 Fév 2017 - 22:10
Très joli tout ça ! Bienvenue parmi nous et bonne rédaction !
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Re: Calypso J. Taylor
Jeu 2 Fév 2017 - 23:43
Bienvenue et bonne rédaction ! J'aime beaucoup ton prénom
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