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Re: Trouble
Mar 16 Jan 2018 - 19:32
« Sa fait beaucoup de question alors qu'on est censé être dans une zone dangereuse vous savez. En ce qui concerne les rôdeurs j'ai fait exprès de les ameuter au plus bas de l'île avant de venir par ici, ils mettront un certain temps avant de revenir à leurs anciennes positions et donc risquer de vous découvrir. »
La situation n'était pas la plus favorable. Zelef savait pertinamment qu'il avait attiré les rôdeurs en aval de l'île mais il semblerait que malgré ça les craintes soient encore présentes, normal lorsqu'un inconnu déboule jusqu'à votre repaire sans crier gare...ou presque.
Voyant que cela ne changeais rien il répondit rapidement aux question que l'on lui posa, du moins quelques-unes surveillant de son fusil aux alentours prêt à tirer sur le moindre rôdeur se montrant à proximité.
« Je suis seul, je vire depuis plus d'un an seul quasiment. J'ai vu au loin une faible lueur grâce aux jumelles et je suis donc venue voir de quoi il en retournait...mais est ce qu'on pourrait au moins entre dans une enceinte un minimum sécurisé si vous voulez pas vous faire avoir par ces choses ?! »
Sa s'aggravait de plus en plus. Malgré son stratagème, Zelef se doutait que sa stratégie ne fonctionnerai sans doute pas éternellement. Il avait eut le temps d'étudier les rôdeurs et leur comportement à plusieurs reprise mais autant dire que c'était risqué de continuer de cette manière. Jouant le tout pour le tout et n'ayant rien à perdre il jeta son fusil non loin, de quoi pouvoir l'attraper en sautant comme à l'entraînement et retirant son casque de motard avec visière, le jetant vers le même endroit que le casque avant de se relever et en gardant les mains ganté en l'air.
« Ecoutez moi bien, je répondrai à chacune de vos question si vous le souhaitez mais je me suis pas fait chier à attirer les rôdeurs en bas si c'étais pour ne pas avoir une chance de rencontrer des êtres humains. Alors plutôt que de me faire chier avec votre herse de flic et de votre méfiance qui à l'air à toute épreuve, dégageons d'ici avant que mon plan tombe à l'eau ! »
Zelef lorsque il avait le temps dans une précédente zone sécurisé, avait calculé le temps de réaction des zombies et leurs déplacements sur certains points. Il semblerait qu'il se déplace selon des positions définit pour certain, ce qui signifiait donc que certains reviendrait sans doute si ils ne bougeaient pas. Les survivants avaient intérêt à se bouger pour rentrer à la base en quatrième vitesse avec le commando.
La situation n'était pas la plus favorable. Zelef savait pertinamment qu'il avait attiré les rôdeurs en aval de l'île mais il semblerait que malgré ça les craintes soient encore présentes, normal lorsqu'un inconnu déboule jusqu'à votre repaire sans crier gare...ou presque.
Voyant que cela ne changeais rien il répondit rapidement aux question que l'on lui posa, du moins quelques-unes surveillant de son fusil aux alentours prêt à tirer sur le moindre rôdeur se montrant à proximité.
« Je suis seul, je vire depuis plus d'un an seul quasiment. J'ai vu au loin une faible lueur grâce aux jumelles et je suis donc venue voir de quoi il en retournait...mais est ce qu'on pourrait au moins entre dans une enceinte un minimum sécurisé si vous voulez pas vous faire avoir par ces choses ?! »
Sa s'aggravait de plus en plus. Malgré son stratagème, Zelef se doutait que sa stratégie ne fonctionnerai sans doute pas éternellement. Il avait eut le temps d'étudier les rôdeurs et leur comportement à plusieurs reprise mais autant dire que c'était risqué de continuer de cette manière. Jouant le tout pour le tout et n'ayant rien à perdre il jeta son fusil non loin, de quoi pouvoir l'attraper en sautant comme à l'entraînement et retirant son casque de motard avec visière, le jetant vers le même endroit que le casque avant de se relever et en gardant les mains ganté en l'air.
« Ecoutez moi bien, je répondrai à chacune de vos question si vous le souhaitez mais je me suis pas fait chier à attirer les rôdeurs en bas si c'étais pour ne pas avoir une chance de rencontrer des êtres humains. Alors plutôt que de me faire chier avec votre herse de flic et de votre méfiance qui à l'air à toute épreuve, dégageons d'ici avant que mon plan tombe à l'eau ! »
Zelef lorsque il avait le temps dans une précédente zone sécurisé, avait calculé le temps de réaction des zombies et leurs déplacements sur certains points. Il semblerait qu'il se déplace selon des positions définit pour certain, ce qui signifiait donc que certains reviendrait sans doute si ils ne bougeaient pas. Les survivants avaient intérêt à se bouger pour rentrer à la base en quatrième vitesse avec le commando.
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Re: Trouble
Mar 16 Jan 2018 - 19:53
Elle n’était visiblement pas la seule à être tendue par tout ça. Kendale avait les nerfs à vif, et le ton de sa voix n’augurait rien de bon pour celui qui lui tiendrait tête. L’italienne en était presque au même point, moins nerveuse cependant, parce que moins colérique. Et elle, elle sentait la pression sur ses épaules : celle de prendre impérativement une bonne décision. L’homme tâcha de répondre à ses questions au mieux, mais la méfiance ne baissa pas d’un cran à son égard, et si elle n’eut aucune intuition particulière en le fixant, elle savait qu’elle ne pouvait tout simplement pas perdre de vue l’objectif de protéger son groupe.
Si comme il le disait, des rôdeurs reviendraient dans la zone, et qu’il les avait détourné, il ne fallait pas perdre cette avance sur eux. L’angoisse pesa sur son ventre, mais elle canalisa la pression. Très bien, pressons !
«Heather. » Souffla-t-elle pour avertir la jeune femme de récupérer la herse au plus vite et de laisser sa place de conductrice. Ça n’allait pas lui plaire, mais elle tenait à avoir l’instructrice avec elle dans la benne arrière pour une explication de gravure… « Tu montes avec nous. » Ajouta-t-elle en avisant l’homme d’un regard pressant. Sa main tapota le véhicule : « On va planquer ta moto en attendant de revenir la chercher. »
Ouh, ça n’allait pas lui plaire, elle le savait – qui serait ravi de ça au juste ? – mais avait-il vraiment le choix que de l’écouter ? N’était-ce pas elle qui dirait ce qu’il adviendrait de lui au final ? En les suivant, il ferait sans doute preuve de bonne foi. Ça ne l’enchanterait pas mais qu’importait. Quant à Heather, si elle comptait sur sa présence à ses côtés, c’était parce qu’elle saurait quoi faire le cas échéant. Ses yeux se posèrent sur son mari :
«On retourne à la dernière maison où on était. » Fit-elle à Kendale en lui désignant l’endroit qu’ils avaient squatté avec les Lennon juste avant de trouver la maison de retraite. Ça ferait l’affaire le temps de la discussion. Et si la horde remontait par-là, ils pourraient tout de même retourner vers la maison de retraite pour se mettre à l’abri s’ils ramenaient l’homme avec eux. « Kendale, tu conduis. » Ajouta-t-elle, même si c’était évident.
Son époux n’aurait jamais laissé Heather reprendre le volant après l’épreuve qu’il venait de vivre à l’arrière. Sous la vigilance de ses compagnons, elle s’approcha de l’individu, pour lui proposer son aide pour cacher son véhicule sous le feuillage dense de la zone, derrière du lierre et des herbes sauvages. Ils sauraient le retrouver, il était temps de filer cependant, l’avance que Zelef avait négocié n’était pas extensible :
«Tu as un nom ? » Demanda-t-elle dans la foulée en prêtant l’oreille à son environnement.
La tension restait palpable. Mais elle avait espoir qu’une fois à l’abri derrière quatre murs, ils pourraient poser les choses à plat et discuter plus sereinement.
Si comme il le disait, des rôdeurs reviendraient dans la zone, et qu’il les avait détourné, il ne fallait pas perdre cette avance sur eux. L’angoisse pesa sur son ventre, mais elle canalisa la pression. Très bien, pressons !
«
Ouh, ça n’allait pas lui plaire, elle le savait – qui serait ravi de ça au juste ? – mais avait-il vraiment le choix que de l’écouter ? N’était-ce pas elle qui dirait ce qu’il adviendrait de lui au final ? En les suivant, il ferait sans doute preuve de bonne foi. Ça ne l’enchanterait pas mais qu’importait. Quant à Heather, si elle comptait sur sa présence à ses côtés, c’était parce qu’elle saurait quoi faire le cas échéant. Ses yeux se posèrent sur son mari :
«
Son époux n’aurait jamais laissé Heather reprendre le volant après l’épreuve qu’il venait de vivre à l’arrière. Sous la vigilance de ses compagnons, elle s’approcha de l’individu, pour lui proposer son aide pour cacher son véhicule sous le feuillage dense de la zone, derrière du lierre et des herbes sauvages. Ils sauraient le retrouver, il était temps de filer cependant, l’avance que Zelef avait négocié n’était pas extensible :
«
La tension restait palpable. Mais elle avait espoir qu’une fois à l’abri derrière quatre murs, ils pourraient poser les choses à plat et discuter plus sereinement.
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- Maxine E. Reynolds
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Re: Trouble
Sam 20 Jan 2018 - 20:59
Entre Emerson et sa moitié, l'Italienne avait l'impression d'être entourée des boulets sur le coup. Pas un pour lui dire de poser ce putain de fusil au sol ? Non mais franchement, d'après ce qu'elle pouvait voir dans les rétroviseurs, l'autre idiot sur sa moto le brandissait dans tous les sens. Un coup à provoquer une catastrophe quoi ! Qu'elle se montre, qu'il soit nerveux et hop elle finirait avec une cartouche dans une partie plus ou moins sensible. On peut vraiment douter du bien qu'une arme pointée dans sa direction pouvait faire. Au moins, captain obvious était bien sur les dents. C'était bien plus de la faute de l'Italienne que du touriste cela dit. Peut-être que si elle faisait du café en rentrant, il la pardonnerait. Ouaip, ça avait l'air d'un bon plan de bataille. Adjugé vendu pour le coup du café soluble et des yeux de chaton triste plein de regrets.
Alors que Joe les emmerdes expliquait que tout faisait parti de son plan et qu'il était un type bien, l'Italienne elle respirait lentement. Bien qu'elle soit tendue, elle gardait de son entraînement et de son temps au levant une certaine expérience de ce genre de situation. Son rôle à elle était de faire office de joker si jamais la situation tournait au vinaigre, elle n'avait à se montrer que s'il fallait plomber quelqu'un. "Surtout, rester calme. Même si Joe m'énerve franchement. Quelle tête de con!" Étaient le genre d'idées et réflexions qui tournaient en boucle dans son crâne. Il avait beau dire être seul, l'ancienne militaire ne croyait pas le moindre mot sortant de son claque-merde. À y regarder de plus près, c'était d'ailleurs curieux qu'il soit aussi agaçant à ses yeux. Quelque chose dans sa voix provoquait chez elle une sorte de réflexe défensif. Et puis, vu qu'Emi l'avait accepté elle, il fallait bien qu'une personne ici soit difficile à convaincre. Même Heather n'aurait pas voulu d'elle-même dans une équipe !
Lorsqu'Emerson lui demanda de récupérer la herse, l'ancienne instructrice fit une grimace que la taulière ne pouvait voir à travers son masque improvisé. " Les clefs sont sur le contact. J'ai pas terminé de le payer alors gaf' à la peinture" chuchota t'elle à la blonde. Ouvrant la portière, elle se mit en position de tir à la manière d'un policier classique. Le buste bien droit face à la menace histoire de présenter le plus possible le pare-balles à une éventuelle agression. Elle traversa la route et s'empara de la "fin" de la herse d'une main et gardant de l'autre son arme pointée sur le motard. Qu'il fasse un geste hostile et elle viderait son chargeur complet sur lui. D'un pas lent, stable et assuré elle entreprit de revenir sur ses pas en gardant son attention fixée sur le type qui lui brisait les ovaires menus. La herse repliée, elle sauta dans la benne du pick-up. Assise dos à l'habitacle, elle garda l'inconnu dans sa ligne de mire.
Alors que Joe les emmerdes expliquait que tout faisait parti de son plan et qu'il était un type bien, l'Italienne elle respirait lentement. Bien qu'elle soit tendue, elle gardait de son entraînement et de son temps au levant une certaine expérience de ce genre de situation. Son rôle à elle était de faire office de joker si jamais la situation tournait au vinaigre, elle n'avait à se montrer que s'il fallait plomber quelqu'un. "Surtout, rester calme. Même si Joe m'énerve franchement. Quelle tête de con!" Étaient le genre d'idées et réflexions qui tournaient en boucle dans son crâne. Il avait beau dire être seul, l'ancienne militaire ne croyait pas le moindre mot sortant de son claque-merde. À y regarder de plus près, c'était d'ailleurs curieux qu'il soit aussi agaçant à ses yeux. Quelque chose dans sa voix provoquait chez elle une sorte de réflexe défensif. Et puis, vu qu'Emi l'avait accepté elle, il fallait bien qu'une personne ici soit difficile à convaincre. Même Heather n'aurait pas voulu d'elle-même dans une équipe !
Lorsqu'Emerson lui demanda de récupérer la herse, l'ancienne instructrice fit une grimace que la taulière ne pouvait voir à travers son masque improvisé. " Les clefs sont sur le contact. J'ai pas terminé de le payer alors gaf' à la peinture" chuchota t'elle à la blonde. Ouvrant la portière, elle se mit en position de tir à la manière d'un policier classique. Le buste bien droit face à la menace histoire de présenter le plus possible le pare-balles à une éventuelle agression. Elle traversa la route et s'empara de la "fin" de la herse d'une main et gardant de l'autre son arme pointée sur le motard. Qu'il fasse un geste hostile et elle viderait son chargeur complet sur lui. D'un pas lent, stable et assuré elle entreprit de revenir sur ses pas en gardant son attention fixée sur le type qui lui brisait les ovaires menus. La herse repliée, elle sauta dans la benne du pick-up. Assise dos à l'habitacle, elle garda l'inconnu dans sa ligne de mire.
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Re: Trouble
Dim 4 Fév 2018 - 22:57
Le mec finit par répondre. Néanmoins, il semble préoccupé par la possibilité de voir venir un groupe de rôdeurs, et demande de poursuivre cette discussion dans un endroit moins dangereux. Mon arme toujours pointée vers lui, je jette un coup d’œil à Emerson qui semble être d’accord avec cette proposition. Faisant signe au type de baisser son arme, l’inconnu finit par la laisser glisser par terre, tout comme son casque de motard. Ensuite, Emerson lui explique que nous allons laisser sa bécane ici, tout en prenant soin de la planquer. Nous reviendrons la récupérer plus tard… Mais pour l’instant, nous devons en savoir plus sur lui. Alors qu’Heather récupère la herse, je me charge de ramasser l’arme du type. « Tu le récupéreras après avoir répondu à nos questions. » Ou pas. Et pas la peine de négocier, si ça lui plaît pas, ça m’est égal.
Acquiesçant d’un signe de la tête aux remarques de ma femme, je me dirige vers la voiture. Mon regard est toujours sombre, et je ne quitte pas le gars des yeux alors qu’Emy l’aide à cacher sa moto. Une fois cela fait, mes yeux croisent ceux de l’italienne, alors qu’elle me demande de faire attention à la peinture de sa bagnole. Sérieux ? « Ouais, ouais… J’vais faire attention… » J’dis ça en haussant les épaules, me fichant complètement de ce qu’elle vient de me dire. Elle mériterait que j’explose un ou deux morts sur la route, juste pour que j’me marre un peu…
Bref, je m’installe au volant de la voiture avant de mettre le contact. Jetant un œil dans le rétroviseur pour vérifier que l’instructrice et l’autre gars sont bien installés. Et nous voilà partis jusqu’à notre ancien campement. Concentré sur la route et roulant bien plus prudemment que l’autre folle du volant, je garde un œil sur le rétro, surveillant que tout va bien à l’arrière. Il ne nous faut pas longtemps pour y être. Toujours tendu, je me gare devant la baraque avant de sortir du véhicule. J’aperçois quelques rôdeurs au croisement, un peu plus loin. Mais à part ça, tout à l’air plutôt calme.
« Garde un œil sur lui avec Heather… J’vais vérifier que ça craint pas à l’intérieur. On se rejoint dans le salon. » Je les laisse s’occuper du type avant de prendre la direction de la maison. Une silhouette chancelante, que je n’avais pas remarquée, sort de l’une des allées voisines. Je prends le temps de m’en débarrasser avant d’aller ouvrir la porte d’entrée. Je fais un rapide tour du propriétaire, rien à signaler. L’endroit est complètement vide et calme, comme je l’avais trouvé quelques mois plus tôt. Je retourne au salon, où les autres m’y attendent. « Bon. Maintenant qu’on est au calme. T’vas peut-être pouvoir nous répondre ? Ok. Ça fait un an que tu zones tout seul et tu dis vouloir rejoindre un groupe ? Va falloir que tu nous donnes de bons arguments pour nous convaincre. Ton p’tit numéro, là, ça nous a pas trop plu… » Je garde mes distances, parlant toujours d’un ton quelque peu agressif. J’apprécie pas du tout son foutu plan. Avoir attiré notre attention de la sorte, tout en sachant où se trouve son camp… Ça pourrait être un moyen de faire diversion pour que son groupe s’occupe des autres à la maison de retraite. J’suis pas franchement rassuré. Le fait qu’il connaisse notre position, ça ne nous laisse pas beaucoup d’option…
- Kendale J. Barnett
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Re: Trouble
Mer 14 Fév 2018 - 21:50
Il ne faut pas énormément de temps au groupe pour réagir. Enfin si un peu de temps quand même, néanmoins ils avaient compris que rester sur la route n'était pas la meilleure option possible afin de poser des question. L'homme du groupe se déplaça alors pour récupérer le fusil, lui laissant le casque et lui disant qu'il le récupererai plus tard. Mon cul oui, tu crois sincèrement qu'avec ton ton faussement empli de sympathie tu vas faire gober ça à quelqu'un. Néanmoins je n'ai pas à m'en plaindre, mon plan fonctionnait et les rôdeurs étaient en aval de l'île alors ils mettront du temps à remonter pour ceux qui peuvent seulement. Les demoiselles mettent alors la moto de Zelef à l'abri avant de lui demander bien gentiment à l'aide de fusil, de monter dans le véhicule utilitaire. Une fois à l'arrière en compagnie de la demoiselle aux airs asiatique, l'homme démarra se dirigeant alors vers un endroit plus lointain que là où ils se sont retrouvé. De toute manière sa se voyait qu'il surveillait plus que tout le jeune commando qui ne disait rien depuis maintenant quelques minutes. Une fois arrivé à la maison abandonné, on demanda une nouvelle fois à le surveiller. Sérieusement, il était désarmé face à trois personne armés...si ils étaient à proximité il aurait put être dangereux mais vu l distance les séparants il n'allait pas tenter le diable. Les mains toujours en l'air pour montrer patte blanche, l'homme fouilla la maison avant de faire enfin venir le groupe à l'intérieur.
Une fois dans le salon, Zelef s'asseya sur le fauteuil à portée, toujours menacé par les armes sur ses tempes. Presque aussitôt l'homme semblant diriger le groupe le toisa et lui parla d'un air menaçant. Zelef quant à lui ne réagit même pas avant de finalement répondre à sa micro provocation.
« Ecoute mon grand, c'est pas ta provocation qui me fait peur mais de toute manière, influencé ou non je vous aurais répondu. Oui sa fait un an que je zone dans l'état entier. Je suis militaire et j'ai voyagé avec mes frères d'armes avant de les voir mourir un à un. En ce qui concerne votre groupe et votre repaire je vous ai repéré depuis la bibliothèque de la ville voisine en utilisant des jumelles, il n'y a pas d'arbre bloquant la vue alors c'est simple de voir en insistant un peu. A vrai dire je croyais même être le seul humain dans la région...je ne savais même pas que des groupes s'étaient formé. Et bien que sa ne t'ai pas plus j'ai éloigné ces choses de votre repaire. Je les aie attroupé en aval pour éviter de vous gêner. Et puis vu leur lenteur surtout en montée il mettront pas mal de temps avant de revenir voir pas du tout. Quels sont vos autres questions ? Après tout vous avez l'air de vouloir tout savoir sur le pourquoi du comment je suis encore en vie ou arrivé ici sans encombre. Je tiens aussi à préciser si vous vous le demandez, je ne fais partie d'aucun groupe, vous êtes le premier que je rencontre. »
Zelef n'avait fait que dire la vérité depuis tout à l'heure, il n'avait aucun intérêt à mentir face à eux. Pourquoi le faire si son objectif était de les rejoindre. Néanmoins ils pouvaient se sentir à cran, normal lorsqu'un type débarque, attire les rôdeurs en bas de l'île et débarque ensuite face à eux. Pourtant il leur fallait des réponses et pour le commando il lui en fallait aussi pour savoir si il pouvait rejoindre le groupe...a voir ce qu'il adviendra.
Une fois dans le salon, Zelef s'asseya sur le fauteuil à portée, toujours menacé par les armes sur ses tempes. Presque aussitôt l'homme semblant diriger le groupe le toisa et lui parla d'un air menaçant. Zelef quant à lui ne réagit même pas avant de finalement répondre à sa micro provocation.
« Ecoute mon grand, c'est pas ta provocation qui me fait peur mais de toute manière, influencé ou non je vous aurais répondu. Oui sa fait un an que je zone dans l'état entier. Je suis militaire et j'ai voyagé avec mes frères d'armes avant de les voir mourir un à un. En ce qui concerne votre groupe et votre repaire je vous ai repéré depuis la bibliothèque de la ville voisine en utilisant des jumelles, il n'y a pas d'arbre bloquant la vue alors c'est simple de voir en insistant un peu. A vrai dire je croyais même être le seul humain dans la région...je ne savais même pas que des groupes s'étaient formé. Et bien que sa ne t'ai pas plus j'ai éloigné ces choses de votre repaire. Je les aie attroupé en aval pour éviter de vous gêner. Et puis vu leur lenteur surtout en montée il mettront pas mal de temps avant de revenir voir pas du tout. Quels sont vos autres questions ? Après tout vous avez l'air de vouloir tout savoir sur le pourquoi du comment je suis encore en vie ou arrivé ici sans encombre. Je tiens aussi à préciser si vous vous le demandez, je ne fais partie d'aucun groupe, vous êtes le premier que je rencontre. »
Zelef n'avait fait que dire la vérité depuis tout à l'heure, il n'avait aucun intérêt à mentir face à eux. Pourquoi le faire si son objectif était de les rejoindre. Néanmoins ils pouvaient se sentir à cran, normal lorsqu'un type débarque, attire les rôdeurs en bas de l'île et débarque ensuite face à eux. Pourtant il leur fallait des réponses et pour le commando il lui en fallait aussi pour savoir si il pouvait rejoindre le groupe...a voir ce qu'il adviendra.
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Re: Trouble
Lun 5 Mar 2018 - 12:06
L’endroit n’était pas chauffé, mais c’était supportable encore. Néanmoins, le silence pesant qui régnait dans la maison avait de quoi poser une ambiance pour le moins lourde entre tous les protagonistes. Pinçant les lèvres, elle accompagna ses acolytes jusqu’à l’intérieur, ainsi que l’homme qu’ils avaient rencontré. Ça n’était pas une configuration idéale pour lui, mais au moins comprenait-il qu’il devait impérativement faire preuve de bonne volonté. Il s’expliqua, et malgré la pique à son mari, Emerson l’écouta avec attention.
Un an, quasiment seul. Elle nota ça pour elle-même : qu’il veuille rejoindre un groupe était une bonne chose, même si elle sentait que l’adaptation serait forcément un peu compliquée. Sans l’interrompre, elle le laissa dérouler son but, le plan qu’il avait donné, et le fait qu’il avait trouvé l’endroit en étant perché en hauteur. Ses yeux se posèrent sur Kendale : il faudrait trouver un moyen de palier à ce problème. Pour l’instant, ils n’en parleraient pas, mais ils y réfléchiraient forcément.
«Tu es parti d’où ? » Demanda spontanément la blonde, pour essayer de se figurer son voyage. Elle intimait le reste : par où était-il passé ? Qu’avait-il vu ? « Donc… Quand tu as perdu ton groupe, tu as continué à errer tout seul ? » Tenta-t-elle de résumer en appuyant son regard clair sur lui.
Elle aurait aimé avoir la capacité de lire en chacun, comme dans un livre ouvert. Pouvoir déterminer les défauts, les tares, les travers, d’un seul regard. Son instinct s’était affûté à l’évidence, mais elle n’en était pas au point de cerner d’un coup d’œil.
«Tu n’as vraiment croisé personne depuis ? » Enchaîna Emerson. « Des survivants solitaires peut-être ? » Elle avait besoin d’estimer depuis combien de temps il évoluait en solitaire. Comment est-ce que cette indépendance forcée l’avait marqué ? Heather était un exemple – parfois hostile – des conséquences de cette solitude. April aussi, à sa manière. « Tu as un nom ? » Fit-elle, plus en douceur que jusqu’ici : « Je sais que nous n’avons pas l’air très agréable vu comme ça, mais… Nous avons des gens à protéger, on ne peut pas faire venir n’importe qui. »
Et puisqu’il fallait aussi se montrer un peu engageant :
«Tu connais déjà Heather. Enfin, son nom. Moi, c’est Emerson, et Kendale est mon mari. » Elle désigna chacun d’un signe de la main, invitant par la même ses deux acolytes à se détendre. « Tu as pu manger, boire ? Tu n’es pas blessé ? »
Un an, quasiment seul. Elle nota ça pour elle-même : qu’il veuille rejoindre un groupe était une bonne chose, même si elle sentait que l’adaptation serait forcément un peu compliquée. Sans l’interrompre, elle le laissa dérouler son but, le plan qu’il avait donné, et le fait qu’il avait trouvé l’endroit en étant perché en hauteur. Ses yeux se posèrent sur Kendale : il faudrait trouver un moyen de palier à ce problème. Pour l’instant, ils n’en parleraient pas, mais ils y réfléchiraient forcément.
«
Elle aurait aimé avoir la capacité de lire en chacun, comme dans un livre ouvert. Pouvoir déterminer les défauts, les tares, les travers, d’un seul regard. Son instinct s’était affûté à l’évidence, mais elle n’en était pas au point de cerner d’un coup d’œil.
«
Et puisqu’il fallait aussi se montrer un peu engageant :
«
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- Maxine E. Reynolds
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Re: Trouble
Mar 10 Avr 2018 - 17:52
Alors que Zelef donnait l'impression d'être en état de faiblesse, celui-ci était en réalité avec les cartes en main. Profitant de leur crainte actuelle des infectées qui pourraient revenir, il comptait obtenir des informations qu'il n'avait put obtenir par le passé. Cependant le dernier petit numéro du bonhomme à proximité avec ses airs de vieux fermiers conservateur semblait montrer qu'il serait prêt à en découdre face au militaire...bon ok il ne ne le sais pas forcément mais d'autres pourraient avoir mal pour lui. Enfin ceci n'était pas le sujet de conversation principale.
Finalement c'est après cinq bonnes minutes de silence que celle qui semble la doyenne du trio se mit à parler d'une manière plus douce et largement moins bourrin que l'autre énergumène qui avait l'air toujours à cran. Elle commença alors son interrogatoire afin de savoir d'où il était partie, depuis combien de temps faisait il cavalier seul, si il avait été mordu, si il avait eut de quoi manger ou boire depuis quelques temps, en gros un véritable interrogatoire complet qui pourrait facilement prendre une heure ou deux à tout expliquer simplement. Il se mit alors à réfléchir quelques secondes avant de finalement répondre à ses questions.
« Je suis partie de Fort Lewis, un camp jugé secret jusqu'à l'épidémie qui servait autrefois pour les forces spéciales avant de devenir un camp de réfugié. Suite à des émeutes des survivants et une horde d'infecté...nous avons été contrains de fuir en essayant de sauver le plus de personnes possibles...les retardataires ont malheureusement étaient laissé derrière. »
Il renifla un instant et retint de frapper quelques chose à cause de ces souvenirs revenue à vif dans son esprit.
« A partir de là les survivants se sont eux-même dispersé et nous avons finis moi et mon unité par nous séparer en deux groupes pour sauver d'autres personnes non loin de notre rayon d'action. De mon côté nous étions deux avec des peu de matériel et ma moto puis de l'autre deux de mes camarades dans un humvee remplie de matériel militaire. Moi et mon camarade sommes directement allé dans la direction de Seattle...on nous avait informé d'un campement et nous pensions trouver de quoi refaire le plein de vivre, matériel et essence pour la suite...mais avant même de rentrer...nous savions que le camp était tombé. »
Il reprit sa respiration et toussa légèrement à cause de la poussière environnante avant de recommencer à parler de son parcours.
« Au bout d'un mois sans autre signe de vie nous avons aperçu un duo ou trio de racaille essayer de dépouiller et violer deux jeunes filles...conscient que les lois n'existaient plus nous nous sommes adapté et les avons abbatu. Les deux femmes se sont simplement enfui. C'est deux semaines plus tard que nous avons retrouvé le humvee de mes camarades...en miette et mes frères morts au volant. Nous avons récupéré le matériel transportable pour nous et l'essence avant de vouloir repartir. Mon dernier camarade s'est fait ensuite infecté par une de ces choses planqué sous le véhicule et a fini par se suicider. »
Il se retint une nouvelle fois de frapper quelques chose serrant fermement sa veste de cuir sous sa force à cause de la douleur qui assaillit son coeur. Il reposa sa main sur le canapé et reprit son histoire.
« J'ai ensuite parcouru l'état vers l'ouest dans sa globalité...ou presque sans trouver de nouveau survivant...seulement ces rôdeurs. J'ai de nouveau changé de direction pour aller vers l'est arrivant dans les montagnes où je me suis installé pour un bon mois sans être gêné par ces choses. Mais voyant qu'elle commencèrent à s'adapter j'ai préféré fuir de nouveau pour me laisser des chances de survie. Parcourant encore de la distance tout en étudiant ces choses j'ai fini par arriver non loin de l'île et c'est làa que j'ai vu votre lumière...en somme...sa fait onze mois que je roule seul à la recherche de survivant à aider tout en respect à la mission que je me suis imposé à moi et à mes camarades. »
Le dialogue était long mais au moins elle avait eut droit à l'inventaire complet de son parcours et de ce qu'il avait vécu jusque là dans les moindres détails. Il n'avait pas besoin de mentir...à quoi cela servirait, surtout si on arme pointé sur la tempe me direz vous. Suite à cela, elle se présenta sous le nom de Emerson, suivit de Heater, celle qui d'après la conversation semblait responsable de la herse et enfin le fougeux Kendal qui est en plus le mari de Emerson. Le choc chamboula un peu l'esprit du militaire. Il savait que les opposés s'attiraient mais sa faisait un peu gros pour lui...néanmoins peut-être qu'elle était comme lui et qu'elle jouait un rôle aussi...dans tous les cas la méfiance sera de mise sur l'instant.
"Je tiens aussi à préciser pour me présenter...je suis Zelef Harisson...commando du premier régiment des forces spéciales américaines...enfin...était"
Finalement c'est après cinq bonnes minutes de silence que celle qui semble la doyenne du trio se mit à parler d'une manière plus douce et largement moins bourrin que l'autre énergumène qui avait l'air toujours à cran. Elle commença alors son interrogatoire afin de savoir d'où il était partie, depuis combien de temps faisait il cavalier seul, si il avait été mordu, si il avait eut de quoi manger ou boire depuis quelques temps, en gros un véritable interrogatoire complet qui pourrait facilement prendre une heure ou deux à tout expliquer simplement. Il se mit alors à réfléchir quelques secondes avant de finalement répondre à ses questions.
« Je suis partie de Fort Lewis, un camp jugé secret jusqu'à l'épidémie qui servait autrefois pour les forces spéciales avant de devenir un camp de réfugié. Suite à des émeutes des survivants et une horde d'infecté...nous avons été contrains de fuir en essayant de sauver le plus de personnes possibles...les retardataires ont malheureusement étaient laissé derrière. »
Il renifla un instant et retint de frapper quelques chose à cause de ces souvenirs revenue à vif dans son esprit.
« A partir de là les survivants se sont eux-même dispersé et nous avons finis moi et mon unité par nous séparer en deux groupes pour sauver d'autres personnes non loin de notre rayon d'action. De mon côté nous étions deux avec des peu de matériel et ma moto puis de l'autre deux de mes camarades dans un humvee remplie de matériel militaire. Moi et mon camarade sommes directement allé dans la direction de Seattle...on nous avait informé d'un campement et nous pensions trouver de quoi refaire le plein de vivre, matériel et essence pour la suite...mais avant même de rentrer...nous savions que le camp était tombé. »
Il reprit sa respiration et toussa légèrement à cause de la poussière environnante avant de recommencer à parler de son parcours.
« Au bout d'un mois sans autre signe de vie nous avons aperçu un duo ou trio de racaille essayer de dépouiller et violer deux jeunes filles...conscient que les lois n'existaient plus nous nous sommes adapté et les avons abbatu. Les deux femmes se sont simplement enfui. C'est deux semaines plus tard que nous avons retrouvé le humvee de mes camarades...en miette et mes frères morts au volant. Nous avons récupéré le matériel transportable pour nous et l'essence avant de vouloir repartir. Mon dernier camarade s'est fait ensuite infecté par une de ces choses planqué sous le véhicule et a fini par se suicider. »
Il se retint une nouvelle fois de frapper quelques chose serrant fermement sa veste de cuir sous sa force à cause de la douleur qui assaillit son coeur. Il reposa sa main sur le canapé et reprit son histoire.
« J'ai ensuite parcouru l'état vers l'ouest dans sa globalité...ou presque sans trouver de nouveau survivant...seulement ces rôdeurs. J'ai de nouveau changé de direction pour aller vers l'est arrivant dans les montagnes où je me suis installé pour un bon mois sans être gêné par ces choses. Mais voyant qu'elle commencèrent à s'adapter j'ai préféré fuir de nouveau pour me laisser des chances de survie. Parcourant encore de la distance tout en étudiant ces choses j'ai fini par arriver non loin de l'île et c'est làa que j'ai vu votre lumière...en somme...sa fait onze mois que je roule seul à la recherche de survivant à aider tout en respect à la mission que je me suis imposé à moi et à mes camarades. »
Le dialogue était long mais au moins elle avait eut droit à l'inventaire complet de son parcours et de ce qu'il avait vécu jusque là dans les moindres détails. Il n'avait pas besoin de mentir...à quoi cela servirait, surtout si on arme pointé sur la tempe me direz vous. Suite à cela, elle se présenta sous le nom de Emerson, suivit de Heater, celle qui d'après la conversation semblait responsable de la herse et enfin le fougeux Kendal qui est en plus le mari de Emerson. Le choc chamboula un peu l'esprit du militaire. Il savait que les opposés s'attiraient mais sa faisait un peu gros pour lui...néanmoins peut-être qu'elle était comme lui et qu'elle jouait un rôle aussi...dans tous les cas la méfiance sera de mise sur l'instant.
"Je tiens aussi à préciser pour me présenter...je suis Zelef Harisson...commando du premier régiment des forces spéciales américaines...enfin...était"
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