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Re: Would you rather
Dim 5 Juil 2020 - 19:52
Frapper Valerian n'avait pas suffit à apaiser la colère de Maes, le voir galérer à reprendre sa respiration non plus. En fait, actuellement, il aurait voulu le faire passer sous les roues d'un camion. Ouais, rien que ça, pour soulager son égo blessé. Malheureusement, il n'aurait pas eu la force d'affronter et le grec et son toutou, surtout pas avec sa douleur crânienne. Maes se laissa tomber lourdement là où il avait reprit connaissance et se concentra à nouveau sur son souffle, histoire de calmer le tiraillement. Pourtant, le calvaire n'était pas terminé s'il prenait en compte le ton du survivant face à lui. Lentement, l'originaire de Dakota leva les yeux vers l'européen et il eut un ricanant puis un rire mauvais. "Parce que tu penses sincèrement ce que tu dis ?" nouveau rire et voilà que l'homme partait en fou rire. "Tu... Ahahaha ! Tu es encore... Ahaha !... Plus con que je le pensais y a trente secondes !" Au bout d'une ou deux minutes à se fiche de la poire du grec, l'architecte reprit sa respiration, se passant la main sur le visage pour essayer d'effacer la douleur de son corps. Tranquillement, il releva les yeux vers Val, souriant en coin. "Je te dois rien. Parce que tu m'as pas sauvé mais assommé, ce qui est sensiblement différent de ta version des faits." fit le brun en venant tranquillement farfouiller dans son sac pour en sortir la maquette en construction d'un bateau. "Et pour être tout à fait honnête, ça me ferait mal au cul de te devoir un service après ça." concluait l'homme en sortant son couteau pour finir de sculpter le bois entre ses doigts.
Pour qui se prenait cet imbécile ? D'ailleurs, l'architecte n'avait pas répondu à sa dernière question et il ne comptait pas vraiment le faire, à dire vrai. Il préférait le laisser patauger dans ses questionnements. Hors de question de dire oui, de se mettre à genoux et "rembourser" pour quelque chose basé sur une belle arnaque. D'où on pouvait considérer qu'il l'avait sortit des emmerdes alors qu'il n'avait pas fait plus d'efforts que ça pour bosser en équipe. Est-ce qu'il savait simplement ce que signifiait travailler en équipe. Pour le coup, l'américain n'en était pas certain. Il imaginait déjà Valerian trahir chaque compagnon d'infortune mais il ne parvenait pas à se convaincre de cette vérité. Il savait que le grec pouvait se montrer le plus loyal possible et c'était bien pour ça que lui, n'avait jamais vraiment eu de mal à lui parler, même s'il était rare qu'ils se posent et discutent comme de vieux amis. Malheureusement pour l'homme, les deux autres survivants tenaient bon et refusaient de quitter les lieux. Pire, l'acolyte de Valerian laissait à son regard le plaisir de traduire tout le déplaisir qu'il avait et Maes vit en cette provocation silencieuse une occasion d'emmerder le monde. "Tu veux pas dire à ton cabot de regarder ailleurs ? Il est gênant à fixer."
Ok, si le gars lui sautait dessus, Maes n'aurait pu rien faire si ce n'était lâcher son couteau pour empêcher un sale geste qui foutrait encore la merde et qui donnerait encore un prétexte à Valerian de lui casser les pieds mais l'architecte comptait sur la maîtrise du bras droit pour retenir sa colère et sa haine. Léger ricanement du brun et ce dernier vint finalement abandonner son travail, rangeant son couteau dans son étui et soupira profondément. "Bon, ok, pourquoi vous cherchez un architecte ? Vous voulez vous lancer dans l'immobilier ? J'vois préviens, ça paye pas beaucoup, en ce moment, ce marché. Les quartiers sont pas ouf et les voisins sont cannibales." qu'il terminait en allongeant les jambes pour les croiser, faisant de même avec ses bras, venant lentement dévisager les deux survivants. C'était quoi ce plan foireux ? Ils avaient besoin de construire un truc ? Ils étaient au courant qu'un architecte c'était juste un type qui dessinait et qui faisait des maquettes ? Franchement, ça sentait à fond le traquenard et il n'était vraiment pas emballé. C'était décidé, Val irait se faire voir si l'explication était trop bancale pour être écoutée. Hors de question de se foutre dans la merde pour de vrai.
Pour qui se prenait cet imbécile ? D'ailleurs, l'architecte n'avait pas répondu à sa dernière question et il ne comptait pas vraiment le faire, à dire vrai. Il préférait le laisser patauger dans ses questionnements. Hors de question de dire oui, de se mettre à genoux et "rembourser" pour quelque chose basé sur une belle arnaque. D'où on pouvait considérer qu'il l'avait sortit des emmerdes alors qu'il n'avait pas fait plus d'efforts que ça pour bosser en équipe. Est-ce qu'il savait simplement ce que signifiait travailler en équipe. Pour le coup, l'américain n'en était pas certain. Il imaginait déjà Valerian trahir chaque compagnon d'infortune mais il ne parvenait pas à se convaincre de cette vérité. Il savait que le grec pouvait se montrer le plus loyal possible et c'était bien pour ça que lui, n'avait jamais vraiment eu de mal à lui parler, même s'il était rare qu'ils se posent et discutent comme de vieux amis. Malheureusement pour l'homme, les deux autres survivants tenaient bon et refusaient de quitter les lieux. Pire, l'acolyte de Valerian laissait à son regard le plaisir de traduire tout le déplaisir qu'il avait et Maes vit en cette provocation silencieuse une occasion d'emmerder le monde. "Tu veux pas dire à ton cabot de regarder ailleurs ? Il est gênant à fixer."
Ok, si le gars lui sautait dessus, Maes n'aurait pu rien faire si ce n'était lâcher son couteau pour empêcher un sale geste qui foutrait encore la merde et qui donnerait encore un prétexte à Valerian de lui casser les pieds mais l'architecte comptait sur la maîtrise du bras droit pour retenir sa colère et sa haine. Léger ricanement du brun et ce dernier vint finalement abandonner son travail, rangeant son couteau dans son étui et soupira profondément. "Bon, ok, pourquoi vous cherchez un architecte ? Vous voulez vous lancer dans l'immobilier ? J'vois préviens, ça paye pas beaucoup, en ce moment, ce marché. Les quartiers sont pas ouf et les voisins sont cannibales." qu'il terminait en allongeant les jambes pour les croiser, faisant de même avec ses bras, venant lentement dévisager les deux survivants. C'était quoi ce plan foireux ? Ils avaient besoin de construire un truc ? Ils étaient au courant qu'un architecte c'était juste un type qui dessinait et qui faisait des maquettes ? Franchement, ça sentait à fond le traquenard et il n'était vraiment pas emballé. C'était décidé, Val irait se faire voir si l'explication était trop bancale pour être écoutée. Hors de question de se foutre dans la merde pour de vrai.
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Re: Would you rather
Mer 12 Aoû 2020 - 17:07
Après avoir accroché ses lunettes à la poche de sa veste, Valérian passa une main dans ses cheveux, puis adressa à Maes un sourire radieux tandis que celui-ci soulignait le culot époustouflant dont il faisait preuve. Culot dont le grec était parfaitement conscient. Mais, eh ! Qui ne tente rien, n’a rien. N’est-ce pas ? Toute sa vie, Valérian avait appliqué ce principe et testé les limites de ses interlocuteurs afin de déterminer ce qu’il pouvait tirer d’eux. Maes était un colérique. Valérian en était très conscient. Ce qui ne l’empêchait pourtant pas de jouer avec ses nerfs. Peut-être agissait-il de la sorte parce qu’il appréciait l’architecte et aimait s’amuser à ses dépens ? Après tout, plus le grec emmerdait quelqu’un et plus il le portait généralement dans son estime.
Impassible, Valérian ne se laissa ainsi pas décontenancer par le rire sarcastique de Maes. Bien au contraire ! La commissure de ses lèvres s’étira davantage et il dit d’un ton aimable. « Ma foi, la connerie ne tue pas. » Il fit mine de réfléchir. « Ou bien est-ce le ridicule ? Je dois dire que l’un comme l’autre ont bien failli te tuer, Maes. » Le grec leva à nouveau le nez vers l’architecte. « Ceci dit, tu as raison : j’ai été con de te venir en aide. » Il aurait mieux fait de rester en dehors de cette affaire. Quitte à ensuite ramasser Maes à la petite cuillère. Les problèmes des autres ne le concernaient pas. Voilà une raclée qui lui servirait de leçon. « La prochaine fois, je me tiendrai à l’écart. Et t’observerai plutôt. Ça devrait être amusant. » ajouta Valérian dont la voix trahissait malgré lui un certain mécontentement. Quel crétin il avait fait ! Il avait bien failli se faire tabasser, ou pire : éventrer, pour des histoires qui ne le concernaient absolument pas !
Se morigénant, Valérian tira de sa poche un paquet de cigarettes, en plaça une entre ses lèvres et l’alluma rapidement. Cette affaire l’avait considérablement contrarié. Les sourcils froncés, il fit cependant de son mieux pour s’exprimer d’un ton détaché après que Maes ait repris la parole. « Rectification : Je t’ai assommé pour te sauver. Ou plutôt : pour me sauver moi, et toi par la même occasion. » Après avoir expiré une bouffée de tabac, Valérian ajouta. « Quant aux dettes, elles font toujours mal au cul. Mais sois rassuré, tu devrais être à nouveau capable de t’asseoir après avoir accepté mon offre. » Petite moue espiègle, nouvelle expiration de fumée grisâtre. Lorsque Maes s’adressa brusquement à lui au sujet de Neil, Valérian papillonna un instant des yeux puis se fendit d’un sourire moqueur. « Tu as entendu la dame, Neil ? Arrête de la reluquer. Tu la fais rougir. »
Peut-être était-ce la nicotine qui faisait déjà son effet, mais Valérian consentit à cet instant à rentrer les griffes et se détendre. Il savait en effet que s’il continuait de se foutre de Maes, il pourrait définitivement faire une croix sur son aide. Ce qui l’aurait en définitive sacrément emmerdé. Le grec fut donc ravi de voir Maes l’interroger au sujet de son offre et s’esclaffa à sa remarque. « Ah, effectivement ! » Il inspira une nouvelle bouffée et s’accroupit pour se mettre au niveau de son interlocuteur. « J’ai une proposition à te faire, l’architecte. Le bâtiment dans lequel je vis en compagnie de mon groupe est sur le point d’être retapé. J’aimerais que tu viennes en superviser les travaux. Et t’assurer qu’on ne fasse pas plus de trous aux murs qu’il n’y en a déjà. » Des rides amusées apparurent au coin de ses yeux. « En échange de quoi, tu sera nourri, blanchi, logé. Le tout par les plus charmantes femmes de Seattle. » Hmpf. Valérian se retint à grand peine de rire à cet instant. « Je peux donc t’assurer que ton cul sera très bien traité au cours de ce service. »
Décidément amusé, le grec expira la fumée de ses poumons puis ajouta. « En plus de quoi, je t’offrirais une clope pour sceller notre accord. Convaincu ? »
ready for the fight
and fate
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Re: Would you rather
Sam 5 Sep 2020 - 7:22
Maes aimait bien que Valérian le charie. Pas parce que c'était une preuve d'une certaine amitié mais parce que ça prouvait qu'ils pouvaient tous les deux être aussi têtue l'un que l'autre. Un sourire apparu au coin des lèvres de l'architecte, trahissant son amusement et surtout son envie de lui en coller une. Oh que oui, frapper à nouveau le grec, c'était un luxe qu'il s'octroierait bien volontiers. Cependant, avec son chien de garde, l'européen ne pouvait pas vraiment être touché et l'état du dakotain prouvait aussi qu'il n'en aurait pas la force. Lorsque le survivant se mit à sa hauteur, l'homme se redressa à son tour et plissa les yeux, dévisageant son camarade survivant. "C'est quoi l'embrouille ? Tu vas pas me faire croire que ce sera si facile, Val. On sait tous les deux que rien ne peut être si simple aujourd'hui." fit-il sur un ton sérieux. Ses charmantes femmes, c'était forcément du flan. Fallait être aussi fêlé que le grec pour le suivre ou vraiment être attardé pour accepter de le faire. D'ailleurs son clébard devait être du deuxième acabit. Lentement, le brun prit la peine de se mettre dans la même position que son interlocuteur, toujours un sourire aux lèvres. "Nourri, logé, blanchit. Ça veut dire que ça va être de gros travaux mais j'y gagne pas grand chose à par le confort d'une couchette, t'es au courant ? Et la vie sauve, ça suffit pas, j'te vois venir." qu'il poursuivait avant de se redresser.
Hors de question d'accepter si vite alors qu'il lui en voulait encore de l'avoir assommé pour sauver son propre cul. Surtout qu'en dehors de ça, il avait pas servit à grand chose dans l'affrontement donc au final, c'était pas une vraie dette. Ceci dit, il fallait avouer que Maes était curieux de savoir à quoi ressemblait l'endroit où vivait Val et quel genre de personne gravitaient autour de lui. Un instant, il se demandait même comment ça se faisait qu'il soit encore vivant. Enfin, puisqu'il était fin stratège, l'architecte ne pouvait que croire que c'était ses belles paroles qui lui avaient sauvé le cul plus d'une fois. Finalement, l'homme se mit debout et haussa les épaules. "Non, ça m'intéresse pas. Le marché est pas vraiment intéressant." concluait finalement l'homme en se baissant pour ramasser son sac. "Puis tu sais, j'suis débordé à rien foutre, mon planning est chargé, en ce moment. Le lot de la survie." qu'il poursuivait en ajustant les bretelles de son bagage. Il savait bien que l'homme pouvait faire mieux que ça, beaucoup mieux pour le convaincre. Était-ce une façon de le provoquer ? Sans doute. Dire que ses sons de pipeaux ne fonctionnaient pas, est-ce que ça pouvait l'agacer ? L'architecte l'espérait. "Au pire, tu contacteras ma secrétaire, elle te donnera un rendez-vous, le 32 février de cette année, pour qu'on renégocie le contrat, les plans, tout le bazar quoi." qu'il s'amusait à lancer alors qu'il commençait à s'éloigner pour rejoindre la sortie.
Aaaah, que c'était agréable d'envoyer quelqu'un se faire foutre si gracieusement. Une dette, non mais vraiment. Pour qui il se prenait, celui-là. Ok, ils pouvaient s'entendre sur pas mal de sujets mais offrir un service dont peu de personnes avaient l'utilité aujourd'hui, contre un coup au crâne, c'était cher payé. Maes s'adossa à une paroi et prit le temps de sortir son paquet de cigarettes, s'offrant le luxe d'en fumer une entièrement, il fallait au moins ça pour soigner son égo blessée par tant d'humiliation. Peut-être qu'il aurait dû en piquer une ou deux au grec, en compensation de la commotion que l'architecte devrait se traîner un moment. La douleur se rappela à lui lorsque le crâne effleura le mur et une grimace naquit sur son visage. Quel enfoiré, il y était pas allé de main morte, ce fils de... Grommelant, Maes mit la cigarette entre ses lèvres et tira de sa poche un paquet d'allumettes pauvres en locataires. Le bâtonnet de bois termina au sol et une première bouffée emplit les poumons du brun qui se sentait mieux désormais. Bon, et alors ? Est-ce que l'européen abandonnait si vite la partie ? Allez, en étant sympa, le dakotain laissait à son ami le temps d'une cigarette pour revenir et tenter une dernière fois de le convaincre. Avec de meilleurs arguments, il l'espérait. "Me déçois pas cette fois" marmonnait-il tandis qu'il prenait une deuxième inspiration.
Hors de question d'accepter si vite alors qu'il lui en voulait encore de l'avoir assommé pour sauver son propre cul. Surtout qu'en dehors de ça, il avait pas servit à grand chose dans l'affrontement donc au final, c'était pas une vraie dette. Ceci dit, il fallait avouer que Maes était curieux de savoir à quoi ressemblait l'endroit où vivait Val et quel genre de personne gravitaient autour de lui. Un instant, il se demandait même comment ça se faisait qu'il soit encore vivant. Enfin, puisqu'il était fin stratège, l'architecte ne pouvait que croire que c'était ses belles paroles qui lui avaient sauvé le cul plus d'une fois. Finalement, l'homme se mit debout et haussa les épaules. "Non, ça m'intéresse pas. Le marché est pas vraiment intéressant." concluait finalement l'homme en se baissant pour ramasser son sac. "Puis tu sais, j'suis débordé à rien foutre, mon planning est chargé, en ce moment. Le lot de la survie." qu'il poursuivait en ajustant les bretelles de son bagage. Il savait bien que l'homme pouvait faire mieux que ça, beaucoup mieux pour le convaincre. Était-ce une façon de le provoquer ? Sans doute. Dire que ses sons de pipeaux ne fonctionnaient pas, est-ce que ça pouvait l'agacer ? L'architecte l'espérait. "Au pire, tu contacteras ma secrétaire, elle te donnera un rendez-vous, le 32 février de cette année, pour qu'on renégocie le contrat, les plans, tout le bazar quoi." qu'il s'amusait à lancer alors qu'il commençait à s'éloigner pour rejoindre la sortie.
Aaaah, que c'était agréable d'envoyer quelqu'un se faire foutre si gracieusement. Une dette, non mais vraiment. Pour qui il se prenait, celui-là. Ok, ils pouvaient s'entendre sur pas mal de sujets mais offrir un service dont peu de personnes avaient l'utilité aujourd'hui, contre un coup au crâne, c'était cher payé. Maes s'adossa à une paroi et prit le temps de sortir son paquet de cigarettes, s'offrant le luxe d'en fumer une entièrement, il fallait au moins ça pour soigner son égo blessée par tant d'humiliation. Peut-être qu'il aurait dû en piquer une ou deux au grec, en compensation de la commotion que l'architecte devrait se traîner un moment. La douleur se rappela à lui lorsque le crâne effleura le mur et une grimace naquit sur son visage. Quel enfoiré, il y était pas allé de main morte, ce fils de... Grommelant, Maes mit la cigarette entre ses lèvres et tira de sa poche un paquet d'allumettes pauvres en locataires. Le bâtonnet de bois termina au sol et une première bouffée emplit les poumons du brun qui se sentait mieux désormais. Bon, et alors ? Est-ce que l'européen abandonnait si vite la partie ? Allez, en étant sympa, le dakotain laissait à son ami le temps d'une cigarette pour revenir et tenter une dernière fois de le convaincre. Avec de meilleurs arguments, il l'espérait. "Me déçois pas cette fois" marmonnait-il tandis qu'il prenait une deuxième inspiration.
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