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La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Dim 26 Avr 2020 - 19:40
La fin de journée arrivait et j’avais finit toutes mes tâches du jour. Il faut dire qu’il y a pas mal de choses à faire en ce moment et avec les journées qui commençaient enfin à se rallonger peut-être qu’on pourrait être bon d’ici cet été. Les nouveaux bâtiments sortent doucement mais sûrement de terre et on pourra bientôt recueillir de nouvelles personnes. Enfin pas que ça me touche particulièrement, mais Cora semblait prendre ça au sérieux donc autant l’aider du mieux que je pouvais.
J’avais enfin un moment pour moi, Ashton étant encore introuvable, il réussissait de mieux en mieux à m’échapper afin de tirer au flan, quand je lui mettrais la main dessus je m’assurerais qu’il ait assez de boulot pour les dix prochaines années à venir. Enfin, j’attrape ma hache et mon couteau et sort du fort afin de prendre la direction de la forêt pour m’isoler un peu. Prendre du temps pour moi et relâcher la pression, il faut dire que les gens dans le coin sont bavards et je dois m’efforcer toute la journée à ne pas être désagréable toute la journée. Si le matin je peux mettre ça sur le fait que je ne suis pas un matinal, l’après-midi je n’ai aucune excuse.
Tout ça pour dire que me voilà à mon petit havre de paix, un bout de forêt qui avait été dégagé pour récupérer quelques arbres pour els constructions des bâtiments, quelques branches et morceau de bois étant encore au sol étant la preuve du déblaiement. Il y avait un arbre qui portait les cicatrices de mes entrainements passé, je passe alors une main dessus. Avant de reprendre quelques coups rapides, quelques enchaînements que j’avais appris lors de ma formation, je savais très bien que c’était plus spectaculaire que vraiment utile, mais c’était les seuls que je connaissais.
Enfin, je ne sais pas pourquoi mais j’ai la désagréable sensation d’être observé. Plantant ma hache dans l’arbre en face de moi dans un mouvement bien violent, je finis par me retourner, observer un peu les alentours et voir une ombre non loin. Une silhouette féminine maintenant que j’y prête plus d’attention :
- Je peux savoir ce que tu fais ici la curieuse ?
Super en entrée en matière Elrik, franchement pour te faire des potes y’a pas mieux.
J’avais enfin un moment pour moi, Ashton étant encore introuvable, il réussissait de mieux en mieux à m’échapper afin de tirer au flan, quand je lui mettrais la main dessus je m’assurerais qu’il ait assez de boulot pour les dix prochaines années à venir. Enfin, j’attrape ma hache et mon couteau et sort du fort afin de prendre la direction de la forêt pour m’isoler un peu. Prendre du temps pour moi et relâcher la pression, il faut dire que les gens dans le coin sont bavards et je dois m’efforcer toute la journée à ne pas être désagréable toute la journée. Si le matin je peux mettre ça sur le fait que je ne suis pas un matinal, l’après-midi je n’ai aucune excuse.
Tout ça pour dire que me voilà à mon petit havre de paix, un bout de forêt qui avait été dégagé pour récupérer quelques arbres pour els constructions des bâtiments, quelques branches et morceau de bois étant encore au sol étant la preuve du déblaiement. Il y avait un arbre qui portait les cicatrices de mes entrainements passé, je passe alors une main dessus. Avant de reprendre quelques coups rapides, quelques enchaînements que j’avais appris lors de ma formation, je savais très bien que c’était plus spectaculaire que vraiment utile, mais c’était les seuls que je connaissais.
Enfin, je ne sais pas pourquoi mais j’ai la désagréable sensation d’être observé. Plantant ma hache dans l’arbre en face de moi dans un mouvement bien violent, je finis par me retourner, observer un peu les alentours et voir une ombre non loin. Une silhouette féminine maintenant que j’y prête plus d’attention :
- Je peux savoir ce que tu fais ici la curieuse ?
Super en entrée en matière Elrik, franchement pour te faire des potes y’a pas mieux.
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Re: La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Mar 5 Mai 2020 - 17:32
Main sur les genoux, le corps légèrement penché en avant, Joséphine reprenait doucement son souffle, le visage rosi, le front et les cheveux mouillés par l’effort. La respiration encore un peu courte, elle se redressa, prenant une longue inspiration en humant l’air autour d’elle, un léger sourire, discret, sur les traits fins de son visage. Voilà quelques jours qu’elle avait terminé sa période de probation au sein de The Haven, quelques jours donc qu’elle profitait du fait que Gemma soit à l’école pour sortir du camp et s’autoriser quelques kilomètres de course autour du camp. Depuis qu’elle avait intégré le camp, Jo avait délaissé un peu malgré elle son entraînement physique, qui avait pourtant toujours fait partie de son équilibre de vie. Alors lorsque l’opportunité s’était présentée de reprendre, elle ne s’était pas posé beaucoup de questions, et là, en tête à tête avec la forêt, tout semblait étonnement plus simple. Et cette idée lui plaisait bien.
Levant le nez quelques secondes pour se repérer, la brune finit par reprendre sagement le chemin de The Haven, se raccrochant à l’idée que quoi qu’il arrive désormais, elle pouvait désormais compter sur ces petites sorties quotidiennes qu’elle s’autorisait. Pour elle, qui avait toujours ressenti le besoin de bouger, et qui supportait mal le manque de liberté, elle avait trouvé là un bon compromis. Ses pas la guidaient donc vers le camp, quand un bruit sourd se fit entendre, une première fois, la poussant à s’arrêter pour tendre l’oreille, alors que les bruits se répétaient. Joey fronça légèrement les sourcils, les yeux plissés, alors qu’elle se concentrait pour essayer de deviner ce que pouvaient être ces sons, qui se répétaient, mais pourtant pas à intervalles réguliers. Finalement, elle haussa les épaules en se disant que ça n’avait que très peu d’importance, et plus par réflexe que par peur réelle, elle posa les doigts sur ce couteau volé deux ans plus tôt, et qui la quittait rarement.
Indifférente aux bruits qui se poursuivaient, Joséphine reprit donc la route, profitant pleinement de cette petite sortie, bien qu’elle se rendit vite compte que plus elle se rapprochait de The Haven, plus les bruits devenaient distincts, et forts. Elle ne tarda pas à débouler sur cette petite clairière repérée des jours plus tôt, lors de sa première sortie, où le groupe était venu puiser les matériaux nécessaires aux constructions du camp en abattant quelques arbres. Sauf qu’à la différence de l’aller, une silhouette masculine se trouvait désormais dans les lieux, massacrant un arbre de ses moulinés de bras et de sa hache…et qui la remarqua rapidement. Plissant les yeux, elle reconnut l’un des habitants du camp. La pompier ne fut guère impressionnée par son lancer, et cette façon de se faire interpeller ne manqua pas de lui faire froncer les sourcils. Aussi, elle se dirigea dans sa direction, non sans répondre d’un ton similaire au sien : « -C’est moi que tu traites de curieuse ? » demanda-t-elle donc d’un ton abrupt, continuant à marcher vers lui. Comme si elle pouvait être intéressée par ce que ce bonhomme faisait en pleine forêt, tout seul.
Ce survivant, elle l’avait déjà croisé au camp à plusieurs reprises depuis son arrivée, même si pour l’heure, Joey butait complètement sur son prénom. Elle le détailla sans se gêner, avant de porter son regard noisette sur le tronc d’arbre, et la hache plantée dedans…l’origine des fameux bruits. Elle s’attarda quelques instants sur les larges encoches sur l’écorce et le bois, avant de regarder de nouveau le survivant face à elle. « -Je suis sortie courir. » expliqua-t-elle, au cas où sa tenue ou même ses joues roses ne soient pas assez équivoques. Son regard se porta une nouvelle fois sur la hache dans le bois, si bien que Jo ne lui demanda pas en retour ce que lui faisait là, puisque la scène en disait suffisamment long. « -Jolie hache. » commenta-t-elle malgré tout, elle qui avait gardé la sienne, de la caserne, depuis le début de tout ce merdier. De son ancienne vie, elle ne gardait que des tas de souvenirs, des connaissances et compétences qui lui avaient beaucoup servi, cette arme, et son éternelle veste, qu’elle ne quittait que très rarement, à l’instar de ces grigris porte-bonheur avec lesquels on se croit protégés.
Levant le nez quelques secondes pour se repérer, la brune finit par reprendre sagement le chemin de The Haven, se raccrochant à l’idée que quoi qu’il arrive désormais, elle pouvait désormais compter sur ces petites sorties quotidiennes qu’elle s’autorisait. Pour elle, qui avait toujours ressenti le besoin de bouger, et qui supportait mal le manque de liberté, elle avait trouvé là un bon compromis. Ses pas la guidaient donc vers le camp, quand un bruit sourd se fit entendre, une première fois, la poussant à s’arrêter pour tendre l’oreille, alors que les bruits se répétaient. Joey fronça légèrement les sourcils, les yeux plissés, alors qu’elle se concentrait pour essayer de deviner ce que pouvaient être ces sons, qui se répétaient, mais pourtant pas à intervalles réguliers. Finalement, elle haussa les épaules en se disant que ça n’avait que très peu d’importance, et plus par réflexe que par peur réelle, elle posa les doigts sur ce couteau volé deux ans plus tôt, et qui la quittait rarement.
Indifférente aux bruits qui se poursuivaient, Joséphine reprit donc la route, profitant pleinement de cette petite sortie, bien qu’elle se rendit vite compte que plus elle se rapprochait de The Haven, plus les bruits devenaient distincts, et forts. Elle ne tarda pas à débouler sur cette petite clairière repérée des jours plus tôt, lors de sa première sortie, où le groupe était venu puiser les matériaux nécessaires aux constructions du camp en abattant quelques arbres. Sauf qu’à la différence de l’aller, une silhouette masculine se trouvait désormais dans les lieux, massacrant un arbre de ses moulinés de bras et de sa hache…et qui la remarqua rapidement. Plissant les yeux, elle reconnut l’un des habitants du camp. La pompier ne fut guère impressionnée par son lancer, et cette façon de se faire interpeller ne manqua pas de lui faire froncer les sourcils. Aussi, elle se dirigea dans sa direction, non sans répondre d’un ton similaire au sien : « -C’est moi que tu traites de curieuse ? » demanda-t-elle donc d’un ton abrupt, continuant à marcher vers lui. Comme si elle pouvait être intéressée par ce que ce bonhomme faisait en pleine forêt, tout seul.
Ce survivant, elle l’avait déjà croisé au camp à plusieurs reprises depuis son arrivée, même si pour l’heure, Joey butait complètement sur son prénom. Elle le détailla sans se gêner, avant de porter son regard noisette sur le tronc d’arbre, et la hache plantée dedans…l’origine des fameux bruits. Elle s’attarda quelques instants sur les larges encoches sur l’écorce et le bois, avant de regarder de nouveau le survivant face à elle. « -Je suis sortie courir. » expliqua-t-elle, au cas où sa tenue ou même ses joues roses ne soient pas assez équivoques. Son regard se porta une nouvelle fois sur la hache dans le bois, si bien que Jo ne lui demanda pas en retour ce que lui faisait là, puisque la scène en disait suffisamment long. « -Jolie hache. » commenta-t-elle malgré tout, elle qui avait gardé la sienne, de la caserne, depuis le début de tout ce merdier. De son ancienne vie, elle ne gardait que des tas de souvenirs, des connaissances et compétences qui lui avaient beaucoup servi, cette arme, et son éternelle veste, qu’elle ne quittait que très rarement, à l’instar de ces grigris porte-bonheur avec lesquels on se croit protégés.
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Re: La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Mar 5 Mai 2020 - 19:02
Aujourd’hui j’avais besoin de me dépenser plus que d’habitude, certainement que je ne me suis pas assez investit aujourd’hui ou que les tâches furent plus simples qu’à l’accoutumé, faut dire que ça traîne un peu cette histoire d’écurie ainsi que les travaux la concernant. Me voilà donc sur ce pan de forêt que j’avais légèrement aménagé afin d’avoir une barre de traction naturelle, un banc ainsi que qu’un petit parcours d’obstacle et de quoi faire un peu de grimpette pour les plus courageux. Utilisant mon arbre mannequin afin de faire quelques moulinets de hache, j’ai la désagréable sensation d’être regardé depuis un bout de temps.
Plantant sans ménagement ma hache dans l’arbre en face de moi, je me retourne afin de scruter les alentours pour vérifier que mon instinct était juste et il ne me faut pas longtemps pour reconnaître une ombre féminine qui s’approchait de moi, je l’interpelle alors afin de lui faire comprendre que je l’avais vu et il ne faut pas longtemps pour que cette dernière réponde avec autant de vigueur que grincheuse, regardant de manière exagéré autour de la petite brune avec ma main en visière mon regard revint sur elle :
- A moins que je me mette à parler aux arbres, je ne vois pas à qui d’autre je pourrais parler miss.
Alors qu’elle semblait me détaillé de haut en bas, je me retourne afin poser ma main sur la hache que j’avais planté dans le pauvre arbre n’ayant rien demandé. Elle me précise alors qu’elle était sortie courir, j’hausse les épaules en guise de réponse, qu’est ce que ça pouvait bien me faire ? Elle pourrait être sortie pour faire du yoga à dos de poney boiteux que ça me ferait la même chose, quoique j’aurais plus ri dans la deuxième situation. Arrachant la hache au bois dans laquelle je venais de le planter avec vigueur, elle fit un compliment sur mon arme. Je jette alors la hache afin de la récupérer du côté tranchant en faisant bien attention à ne pas me couper et lui tend alors le manche :
- Tu veux l’essayer ?
Je crois qu’elle est une nouvelle dans le camp, donc autant la tester un peu et dans le pire des cas j’avais toujours mon couteau sur moi.
Plantant sans ménagement ma hache dans l’arbre en face de moi, je me retourne afin de scruter les alentours pour vérifier que mon instinct était juste et il ne me faut pas longtemps pour reconnaître une ombre féminine qui s’approchait de moi, je l’interpelle alors afin de lui faire comprendre que je l’avais vu et il ne faut pas longtemps pour que cette dernière réponde avec autant de vigueur que grincheuse, regardant de manière exagéré autour de la petite brune avec ma main en visière mon regard revint sur elle :
- A moins que je me mette à parler aux arbres, je ne vois pas à qui d’autre je pourrais parler miss.
Alors qu’elle semblait me détaillé de haut en bas, je me retourne afin poser ma main sur la hache que j’avais planté dans le pauvre arbre n’ayant rien demandé. Elle me précise alors qu’elle était sortie courir, j’hausse les épaules en guise de réponse, qu’est ce que ça pouvait bien me faire ? Elle pourrait être sortie pour faire du yoga à dos de poney boiteux que ça me ferait la même chose, quoique j’aurais plus ri dans la deuxième situation. Arrachant la hache au bois dans laquelle je venais de le planter avec vigueur, elle fit un compliment sur mon arme. Je jette alors la hache afin de la récupérer du côté tranchant en faisant bien attention à ne pas me couper et lui tend alors le manche :
- Tu veux l’essayer ?
Je crois qu’elle est une nouvelle dans le camp, donc autant la tester un peu et dans le pire des cas j’avais toujours mon couteau sur moi.
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Re: La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Mar 5 Mai 2020 - 20:44
Les mains sur les hanches, elle l’observa feindre de regarder autour de lui avec attention à la recherche de quelqu’un qui n’existait pas, puisque tous deux savaient parfaitement que c’était à elle qu’il venait de s’adresser. Une chance pour elle, il semblait que la pompier soit tombée sur un comique. Joséphine ne se cacha pas pour faire une moue lorsqu’il l’appela « miss »…sérieusement ? Qui parlait encore comme ça, de nos jours ? Sans rien ajouter, elle l’observa retirer d’un geste sûr et précis la hache de l’arbre dans lequel elle avait été plantée par ses soins, alors qu’il haussait les épaules quand elle expliquait le pourquoi de sa présence dans le coin. Il semblait s’en foutre royalement, mais dans ce cas-là…pourquoi avoir pris la peine de poser la question ? Elle-même se serait bien passée d’avoir à fournir la moindre explication à un illustre inconnu. Son sourcil se haussa, mais elle ne fit aucun commentaire à cet étrange personnage, un poil sauvage à son goût, alors qu’il revenait vers elle, l’arme à bout de bras. Aurait-elle dû avoir peur ? Jo était un peu trop téméraire pour se poser la question. De toutes façons, il faisait déjà tourner sa hache d’une petite voltige, pour lui présenter le manche, lui proposant de l’essayer.
Joey le fixa quelques secondes d’un air méfiant, avant de tendre le bras pour attraper l’arme, le survivant lâchant la partie métallique pour que seule la pompier soit en possession de la hache. Elle la soupesa à bout de bras, la détailla avec plus de précisions, fit plusieurs moulinets de son bras gauche, fendant l’air du tranchant de l’arme. Finalement, elle se positionna face à l’arbre qui semblait avoir déjà subi pas mal d’assauts, et comme avait dû le faire un peu plus tôt le survivant lui-même, planta l’acier dans le bois tendre, alors que la brune avait un léger sourire satisfait. Il n’y avait pas à dire, c’était du bon matériel, bien entretenu, bien équilibré. A son tour, Joey arracha le tranchant de la hache plantée dans l’arbre, et tendit l’arme à son propriétaire, en lui présentant le manche, tandis qu’elle haussait une épaule : « -Ouais…pas mal. » concéda-t-elle, avant d’observer un peu plus les alentours pour y découvrir de quoi ravir ceux qui aimaient se dépenser et s’entraîner dur. « -C’est toi qui a aménagé tout ça ? » demanda-t-elle en oubliant momentanément son manque d’amabilité, les sourcils légèrement haussés. La pompier fit quelques pas en avant, gardant malgré tout le survivant armé dans son champ de vision, alors que son regard intéressé détaillait les installations de fortune qui devaient pourtant être suffisante pour se maintenir en forme.
Joey le fixa quelques secondes d’un air méfiant, avant de tendre le bras pour attraper l’arme, le survivant lâchant la partie métallique pour que seule la pompier soit en possession de la hache. Elle la soupesa à bout de bras, la détailla avec plus de précisions, fit plusieurs moulinets de son bras gauche, fendant l’air du tranchant de l’arme. Finalement, elle se positionna face à l’arbre qui semblait avoir déjà subi pas mal d’assauts, et comme avait dû le faire un peu plus tôt le survivant lui-même, planta l’acier dans le bois tendre, alors que la brune avait un léger sourire satisfait. Il n’y avait pas à dire, c’était du bon matériel, bien entretenu, bien équilibré. A son tour, Joey arracha le tranchant de la hache plantée dans l’arbre, et tendit l’arme à son propriétaire, en lui présentant le manche, tandis qu’elle haussait une épaule : « -Ouais…pas mal. » concéda-t-elle, avant d’observer un peu plus les alentours pour y découvrir de quoi ravir ceux qui aimaient se dépenser et s’entraîner dur. « -C’est toi qui a aménagé tout ça ? » demanda-t-elle en oubliant momentanément son manque d’amabilité, les sourcils légèrement haussés. La pompier fit quelques pas en avant, gardant malgré tout le survivant armé dans son champ de vision, alors que son regard intéressé détaillait les installations de fortune qui devaient pourtant être suffisante pour se maintenir en forme.
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Re: La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Mer 6 Mai 2020 - 12:35
La brune et ses questions évidente ne commençait clairement pas sur les chapeaux de roues avec un énergumène comme moi, me payant un peu sa tête en faisant mime de chercher quelqu’un d’autre, je sens bien qu’elle retient son caractère bien trempé pour garder une politesse de façade, on verra combien de temps ça dure. Retirant la hache du tronc, je la lance en l’air afin de la récupérer par le côté tranchant et tendre le manche à la brune qui semblait bien intrigué de trouver un individu mi-homme mi-ours dans les environs, elle devait certainement être trop habitué aux pipelettes que l’on trouvait dans le camp.
Elle me regarda un instant puis l’arme tendue, elle comptait la prendre ou me faire poireauter comme ça longtemps ? Bon elle s’est enfin décidée, je m’écarte un peu afin de lui laisser l’accès à l’arbre souffre-douleur. L’observant faire, elle sous-pèse d’abord ma hache afin de mieux la prendre en main et vient finalement la planter le morceau de métal dans le bois déjà bien attendrit de l’arbre. Bon niveau technique j’ai l’impression de voir un bucheron bourré, mais on ne dira rien, j’avais l’impression qu’elle avait plus l’habitude de manier une hache à deux mains et non à une.
Elle récupéra mon arme et me tendit à son tour le manche vers moi en faisant une moitié de compliment. Je la remercie d’un hochement de tête, rangeant l’arme à ma ceinture. Elle jette un œil aux alentours, détaillant de son regard les quelques infrastructures que j’avais aménagé avec quelques autres sportifs du fort. Elle me demande alors si j’étais celui qui avait fait tous les travaux, je secoue la tête pour répondre à la négative et préciser :
- Je ne suis pas le seul à avoir contribué, les quelques accrocs au sport ont filé des coups de mains chacun apportant sa pierre à l’édifice. Donc si tu tombes sur quelque chose d’intéressant lors d’une de tes sorties, n’hésite pas, c’est un peu une salle de sport commune. Et en plein air.
Faisant le tour de la brune, l’observant sans me gêner de bas en haut, je finis par lui demander :
- Alors t’es nouvelle au fort ? Tu nous viens d’où ?
Elle me regarda un instant puis l’arme tendue, elle comptait la prendre ou me faire poireauter comme ça longtemps ? Bon elle s’est enfin décidée, je m’écarte un peu afin de lui laisser l’accès à l’arbre souffre-douleur. L’observant faire, elle sous-pèse d’abord ma hache afin de mieux la prendre en main et vient finalement la planter le morceau de métal dans le bois déjà bien attendrit de l’arbre. Bon niveau technique j’ai l’impression de voir un bucheron bourré, mais on ne dira rien, j’avais l’impression qu’elle avait plus l’habitude de manier une hache à deux mains et non à une.
Elle récupéra mon arme et me tendit à son tour le manche vers moi en faisant une moitié de compliment. Je la remercie d’un hochement de tête, rangeant l’arme à ma ceinture. Elle jette un œil aux alentours, détaillant de son regard les quelques infrastructures que j’avais aménagé avec quelques autres sportifs du fort. Elle me demande alors si j’étais celui qui avait fait tous les travaux, je secoue la tête pour répondre à la négative et préciser :
- Je ne suis pas le seul à avoir contribué, les quelques accrocs au sport ont filé des coups de mains chacun apportant sa pierre à l’édifice. Donc si tu tombes sur quelque chose d’intéressant lors d’une de tes sorties, n’hésite pas, c’est un peu une salle de sport commune. Et en plein air.
Faisant le tour de la brune, l’observant sans me gêner de bas en haut, je finis par lui demander :
- Alors t’es nouvelle au fort ? Tu nous viens d’où ?
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Re: La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Mar 12 Mai 2020 - 17:10
Joey ne pouvait le nier, elle était partagée entre deux sentiments bien distincts : celui d’être impressionnée par les installations, qui feraient sans doute briller les yeux des sportifs du coin, et celui de les essayer, là, tout de suite. Elle avait beau avoir continué à s’entraîner très fréquemment depuis que le monde s’était écroulé, elle n’avait jamais vu cela ailleurs qu’à l’arène, où ce maudit César avait tout fait pour maintenir en forme ses champions. Il fallait dire que l’endroit qui abritait cette arène postapocalyptique, ancien haut lieu sportif de Détroit, avait été bien trouvé, et le matériel déjà présent sur place était une aubaine pour les entraînements des sportifs. Quel manque à gagner cruel cela aurait été pour ce taré de Caulfield si ces hommes qu’il envoyait se battre sur la lice, contre d’autres, ou même des rôdeurs, se ramollissaient, et subissaient la lassitude des spectateurs. L’un des seuls avantages de cet endroit, au final, avait été cette salle dans laquelle la brune se rendait aussi souvent que possible pour continuer à garder la forme, et où Isha avait tenu à continuer à l’entraîner au combat. Du moins…jusqu’à ce que sa grossesse l’en éloigne, pour la bonne cause.
La pompier hocha la tête aux paroles du brun, avant de laisser son regard traîner davantage sur la barre de traction lorsqu’il annonça que tout matériel pouvant être utile était le bienvenu. « -Ok, j’y penserai… » souffla-t-elle, elle qui songeait de plus en plus à aller faire un tour en ville, pour se renseigner sur ce qu’il advenait des gens de son groupe. Enfin…de son ancien groupe. Son regard noisette quitta finalement la barre improvisée, se posant sur le visage du survivant, qui la détaillait, sans aucune retenue. « -Ça va, la vue te plaît ? Tu veux pas que je te donne mes mensurations, tant qu’on y est ? » demanda-t-elle avec humeur, en haussant un sourcil, les mains sur les hanches. Non mais sérieusement, d’où sortait cet énergumène ? Joey le toisa encore quelques secondes, avant de détourner le regard à sa question. Il savait très bien qu’elle était nouvelle, elle était là depuis à peine un mois, alors pourquoi s’attarder sur des questions aussi insignifiantes ? Pour toute réponse, il dû donc se contenter d’un simple hochement de tête, alors qu’elle répondait de façon laconique à la question suivante. « -De loin. Très loin même. » répondit-elle, avant de lorgner une nouvelle fois sur la barre de traction. Au bout de longues secondes, la brune consentit à répondre, n’ayant aucune raison d’être hostile envers ce type, même s’il se montrait un peu rustre sur les bords. « -Je viens de Détroit. Et toi, tu viens d’où ? » souffla-t-elle finalement, reposant son regard noisette sur lui en s’éloignant du matériel sportif.
La pompier hocha la tête aux paroles du brun, avant de laisser son regard traîner davantage sur la barre de traction lorsqu’il annonça que tout matériel pouvant être utile était le bienvenu. « -Ok, j’y penserai… » souffla-t-elle, elle qui songeait de plus en plus à aller faire un tour en ville, pour se renseigner sur ce qu’il advenait des gens de son groupe. Enfin…de son ancien groupe. Son regard noisette quitta finalement la barre improvisée, se posant sur le visage du survivant, qui la détaillait, sans aucune retenue. « -Ça va, la vue te plaît ? Tu veux pas que je te donne mes mensurations, tant qu’on y est ? » demanda-t-elle avec humeur, en haussant un sourcil, les mains sur les hanches. Non mais sérieusement, d’où sortait cet énergumène ? Joey le toisa encore quelques secondes, avant de détourner le regard à sa question. Il savait très bien qu’elle était nouvelle, elle était là depuis à peine un mois, alors pourquoi s’attarder sur des questions aussi insignifiantes ? Pour toute réponse, il dû donc se contenter d’un simple hochement de tête, alors qu’elle répondait de façon laconique à la question suivante. « -De loin. Très loin même. » répondit-elle, avant de lorgner une nouvelle fois sur la barre de traction. Au bout de longues secondes, la brune consentit à répondre, n’ayant aucune raison d’être hostile envers ce type, même s’il se montrait un peu rustre sur les bords. « -Je viens de Détroit. Et toi, tu viens d’où ? » souffla-t-elle finalement, reposant son regard noisette sur lui en s’éloignant du matériel sportif.
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Re: La hache pour briser, l'épée pour tuer [Joséphine & Elrik]
Jeu 14 Mai 2020 - 10:02
La survivante semble coriace, un peu trop au goût de certain même, trouvant plus un adversaire digne d’un véritable combat que d’une demoiselle en détresse. Et si l’espace d’un instant je me perds à observer la demoiselle de haut en bas pour mieux analyser un potentiel adversaire, elle me reprend très vite en me demandant si je ne voulais pas ses mensurations, je rigole un peu et lui réponds :
- A quoi ça me servirait ? Je ne suis pas couturier et j’ai encore moins le désir de te mettre dans mon lit. L’observation est la première étape que tout survivant se doit de faire, observer et apprendre.
Apprendre quoi dans ce cas précis ? Que la demoiselle soit encore en pleine forme, malgré quelques traces du temps qui passe, des cicatrices qui montrent qu’elle n’a pas peur de se battre et une musculature qu’il ne faut pas prendre à la légère. La manière dont elle a manié la hache aussi, ce n’est clairement pas la plus fine, mais on pouvait sentir qu’elle était habituée à manier une arme.
Enfin pour changer de sujet je lui demande d’où elle nous vient et je ne suis pas déçu quand j’apprends qu’elle arrive tout droit de Détroit, je hausse les sourcils avec une petite moue surprise, si elle avait fait son bout de chemin jusqu’ici pas étonnant qu’elle sache manier une arme et qu’elle ait quelques cicatrices. Elle me retourne la question, je prends alors un peu mon temps pour répondre, observant un peu les alentours, jouant un peu avec la patience de la brune pour finalement lui dire :
- D’une ville à côté de Phoenix, Tucson pour être plus précis. Enfin au début de l’épidémie j’étais dans la réserve indienne de Quinaults. A vol d’oiseau c’est à quelques heures à l’ouest, ça fait une trotte depuis Détroit ! Qu’est ce qui t’amènes dans le coin ? Le beau temps ?
Je me mets à jouer un peu avec ma hache, regardant son tranchant puis l’arbre en face, il faudrait que je l’entretienne dans les prochains jours si je veux qu’elle continue de mettre utile.
- A quoi ça me servirait ? Je ne suis pas couturier et j’ai encore moins le désir de te mettre dans mon lit. L’observation est la première étape que tout survivant se doit de faire, observer et apprendre.
Apprendre quoi dans ce cas précis ? Que la demoiselle soit encore en pleine forme, malgré quelques traces du temps qui passe, des cicatrices qui montrent qu’elle n’a pas peur de se battre et une musculature qu’il ne faut pas prendre à la légère. La manière dont elle a manié la hache aussi, ce n’est clairement pas la plus fine, mais on pouvait sentir qu’elle était habituée à manier une arme.
Enfin pour changer de sujet je lui demande d’où elle nous vient et je ne suis pas déçu quand j’apprends qu’elle arrive tout droit de Détroit, je hausse les sourcils avec une petite moue surprise, si elle avait fait son bout de chemin jusqu’ici pas étonnant qu’elle sache manier une arme et qu’elle ait quelques cicatrices. Elle me retourne la question, je prends alors un peu mon temps pour répondre, observant un peu les alentours, jouant un peu avec la patience de la brune pour finalement lui dire :
- D’une ville à côté de Phoenix, Tucson pour être plus précis. Enfin au début de l’épidémie j’étais dans la réserve indienne de Quinaults. A vol d’oiseau c’est à quelques heures à l’ouest, ça fait une trotte depuis Détroit ! Qu’est ce qui t’amènes dans le coin ? Le beau temps ?
Je me mets à jouer un peu avec ma hache, regardant son tranchant puis l’arbre en face, il faudrait que je l’entretienne dans les prochains jours si je veux qu’elle continue de mettre utile.
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