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Ash remain [Ashton et Lucy]
Jeu 28 Mai 2020 - 2:59
Lucy s’assit dans un coin du NML, elle examinait les achats qu’elle venait de faire. En échange d’un peu de canabis, elle s’était procuré un lecteur mp3 et un ordinateur portable, avec son chargeur. C’était tout simplement exceptionnel ! C’était un vieux Asus, Lucy n’espérait pas en tirer grand-chose, mais elle avait l’espoir de pouvoir de nouveau regarder des films et écouter de la musique maintenant ! Ce serait un sacré confort. Elle s’imaginait déjà inviter les autres filles du motel regarder une comédie à la con, ou alors un film d’action. Lucy tuerait pour voir de nouveau interstellar. D’ailleurs, elle posterait une annonce pour récupérer des DVD…
La rousse regarda ce qu’il lui restait à échanger, deux grammes de cannabis, des piles et des revues porno. C’était déjà un sacré butin, elle retourna donc dans le flot des personnes, cherchant éventuellement de nouveaux objets à acheter. Il y avait un étal qui proposait de belles bières à aiguisés, peut-être en rapporter une pour Amalia… et si elle pouvait mettre la main sur des cigarettes pour Oxana, ce serait la perfection. Un vendeur attira son attention en proposant des tissus… ça pouvait sembler assez surprenant, mais c’était un produit rare et convoité. Une toile rouge satinée, attira son attention.
Lucy adorait le satin et le rouge, elle alla pour acheter mais alors qu’elle rassemblait ses biens pour faire une offre au vendeur, un homme passa devant elle et acquit le rouleau. Il avait une façon très étrange de parler. En utilisant ne nombreuses abréviation et un vocabulaire étrange. Lucy le regarda avec des grands yeux, il partait avec le tissu qu’elle voulait. Elle n’allait pas laisser passer sa chance. La rousse se lança à sa poursuite et le rattrapa comme elle pouvait : « Monsieur, s’il vous plait m’sieur ! » Elle finit par le dépasser et parvint à le faire s’arrêter : « Le rouleau de tissu, je veux l’acheter ! Ou alors acheter une partie ! J’ai… ça à vous échanger » Elle lui montra le cannabis et les piles. Mais alors qu’elle se penchait pour lui montrer, c’est ce moment que choisirent les magazines porno pour quitter son sac à dos et s’ouvrir au sol, livrant la forme plantureuse d’une ancienne actrice maintenant oubliée.
Lucy ouvrit en grand les yeux avant de commencer à les ramasser en vitesse, se confondant en excuse pour la gêne, ce n’était vraiment pas son intention de montrer ça à la base : « Pardon, c’était pas pour vous tout ça, je me doute que vous en avez pas besoin, vous êtes assez beau pour avoir qui vous voulez » Idiote… elle avait parlé encore trop vite, elle s’était laissé gagner par un sentiment de panique et se sentait le besoin de verbaliser. Idiote.
La rousse regarda ce qu’il lui restait à échanger, deux grammes de cannabis, des piles et des revues porno. C’était déjà un sacré butin, elle retourna donc dans le flot des personnes, cherchant éventuellement de nouveaux objets à acheter. Il y avait un étal qui proposait de belles bières à aiguisés, peut-être en rapporter une pour Amalia… et si elle pouvait mettre la main sur des cigarettes pour Oxana, ce serait la perfection. Un vendeur attira son attention en proposant des tissus… ça pouvait sembler assez surprenant, mais c’était un produit rare et convoité. Une toile rouge satinée, attira son attention.
Lucy adorait le satin et le rouge, elle alla pour acheter mais alors qu’elle rassemblait ses biens pour faire une offre au vendeur, un homme passa devant elle et acquit le rouleau. Il avait une façon très étrange de parler. En utilisant ne nombreuses abréviation et un vocabulaire étrange. Lucy le regarda avec des grands yeux, il partait avec le tissu qu’elle voulait. Elle n’allait pas laisser passer sa chance. La rousse se lança à sa poursuite et le rattrapa comme elle pouvait : « Monsieur, s’il vous plait m’sieur ! » Elle finit par le dépasser et parvint à le faire s’arrêter : « Le rouleau de tissu, je veux l’acheter ! Ou alors acheter une partie ! J’ai… ça à vous échanger » Elle lui montra le cannabis et les piles. Mais alors qu’elle se penchait pour lui montrer, c’est ce moment que choisirent les magazines porno pour quitter son sac à dos et s’ouvrir au sol, livrant la forme plantureuse d’une ancienne actrice maintenant oubliée.
Lucy ouvrit en grand les yeux avant de commencer à les ramasser en vitesse, se confondant en excuse pour la gêne, ce n’était vraiment pas son intention de montrer ça à la base : « Pardon, c’était pas pour vous tout ça, je me doute que vous en avez pas besoin, vous êtes assez beau pour avoir qui vous voulez » Idiote… elle avait parlé encore trop vite, elle s’était laissé gagner par un sentiment de panique et se sentait le besoin de verbaliser. Idiote.
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Re: Ash remain [Ashton et Lucy]
Ven 29 Mai 2020 - 3:24
J'tire la gueule, pas parce que j'suis obligé d'sortir, ça j'suis content, mais parce qu'j'suis obligé d'sortir pour acheter des trucs pour Elrik et qu'y m'a planté comme un piquet pour aller chercher d'tissus, comme si j'avais une gueule d'Karl Lagerfeld moi, j'suis pas tisseur qu'est'ce qu'je peux en avoir à foutre d'tout ça. J'm'étire un peu, y a du monde en plus dans c'te connerie et j'manque d'mettre un pain à un pauvre glandu qui passe par-là et qui m'dit d'faire attention, j'vais faire attention à sa gueule, ça va lui faire tout drôle à ce youpin. J'avance un peu et j'regarde ce qu'y a dans l'coin avant d'trouver le jackpot, c'est ça qu'il veut l'frangin pour sa nouvelle petite copine la bronzée, des morceaux de beaux tissus pour faire Dieu sait quoi avec, p'têt qu'ils vont baiser dans des draps comme dans l'films d'Bollywood, c'serait marrant même si imaginer Elrik qu'enfile une étrangère, ça m'rend un peu triste mais bon, il a toujours été un peu moins américain qu'moi du coup c'pas si grave qu'ça, enfin, c'est ce que j'suppose. J'me glisse entre deux trois types, t'façon, j'suis plus carré que la plupart d'entre eux donc y vont éviter d'se faire descendre à grand coup d'mandale et je m'approche du stand.
Y a un monde aberrant tout ça pour deux ou trois bouts d'tissus vendu par un gland qu'aurait pu s'dédoubler au Maroc qu'on aurait pas vu l'différence. J'passe tranquillement et j'lui tends c'qu'Elrik m'a donné à lui échanger, l'type hésite pas un instant et m'file le rouleau, c'con sait même pas qu'y m'en reste et qu'il aurait pu avoir plus s'il avait négocié, parfois, j'suis vraiment plus malin qu'l'reste d'l'humanité, ça s'trouve j'vais pouvoir m'trouver un truc pour faire chier Elrik, j'pense qu'j'vais lui acheter queue de chat à s'mettre dans l'cul, pour ses parties fines avec sa nouvelle copine, il va bien s'marrer, il pourra p'têt même miauler au moment où elle va l'enfiler. J'rigole tout seul et j'vois pas la fille qui s'précipite vers moi comme si j'étais l'RER de 15h50 pour m'montrer un truc, la pauvre perd tout c'qu'elle a dans son sac par terre et y a un truc qui choppe mes yeux, des bonnets F 120 centimètres, la fille a des obus dignes d'la seconde guerre mondiale et d'bombes qu'on a lâché sur Nagashima. Bordel, j'crois que qu'si cette fille est encore en vie j'la tringlerais juste pour savoir ce qu'ça fait qu'd'faire les montagnes russes au milieu d'une branlette espagnole.
Mais y a une main qui vient récupérer l'précieux visuel et j'fixe la p'tite d'moiselle qui s'est chargé d'le récupérer. C'est une jolie rousse, pas mal du tout, qui m'fixe comme si j'avais violé toute sa famille en ramassant les magasines pornos, hé c'pas moi qu'ai fait un truc d'mal ou qui m'promène avec d'quoi faire bander la moitié de l'planète terre sur moi. Mais elle m'compliment, Jessica Rabbit m'compliment, c'sympa mais moi j'veux surtout savoir pourquoi est-ce qu'l'bon Dieu essaye d'me détourner d'ma mission sacrée en m'envoyant des paires d'seins sous l'nez, j'vais encore m'faire engueuler par Elrik si j'ramène plus que du tissus. "Ben, on va d'jà commencer par vous dans c'cas-là." J'lui propose ma main pour s'relever, j'suis quand même un gars sympa parfois. "J'serais vous j'me baladerais pas avec d'quoi faire bander un mort, c'pas contre vous mais si ça tombe sur un aut'gars d'genre pervers y a moyen qu'vous finissiez en broche et j'parle pas d'broche d'métal." J'la dévisage un peu avant d'me rendre compte qu'elle est pas si mal pour une handicapée du mouvement. "Quoiqu'vous aurez p'têt pas b'soin du magasine pour l'convaincre." Faut p'têt que j'arrête d'dire c'que j'pense parfois.
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Re: Ash remain [Ashton et Lucy]
Sam 30 Mai 2020 - 16:01
Lucy regarda l’étranger comme s’il était irréel, pas comme dans les films où l’homme aidant à relever l’héroïne est beau et cultivé. Non, dans ce cas-là, sa diction était… affreuse. A utiliser des abréviations et surtout à lui faire du rentre dedans d’une façon aussi éhontée ! La rousse sentit sa peau blanchâtre rougir de honte en l’entendant. Déjà qu’elle était honteuse de base, mais là, il ne faisait rien pour arranger la situation. Cependant, ce n’était pas la première fois qu’elle avait affaire à un spécimen comme celui-là. Elle sourit en hochant la tête : « C’est gentil, même si ce n’est pas la façon la plus courtoise de le dire. »
Elle referma son sac avant de saisir la main « secourable » de l’étranger. Une fois sur pied, elle reprit la parole, il en faudrait plus pour la déstabiliser et elle tenait vraiment à avoir ce tissu rouge alors elle allait jouer le jeu. : « Je m’appelle Lucy, et vous ? » Il lui restait encore ses objets à échanger et, au pire, elle pourrait toujours jouer de ses charmes ? Une petite danse était souvent efficace pour convaincre les clients. Mais elle garderait ça en dernier recourt, avant, elle tenterait de lui vendre les revues et l’herbe.
« Ecoutez… si ces revues vous plaises, on peut peut-être s’arranger. Ce tissu, contre ces magasines à faire « bander un mort ». Et, si ça peut vous aider à choisir… un peu d’herbe en cadeau ? » Dit-elle en souriant et en montra le petit pochon de beuh. C’était certainement ce qu’elle avait de plus précieux à lui proposer après sa peau et ses mouvements. Elle recula d’un pas en observant le tissu… il serait tellement parfait, tellement de belles tenues. Elle regarda alors l’homme et pencha la tête en souriant : « Puis… peut-être pourrions-nous… prendre un verre, discuter un peu, apprendre à se connaitre. Vous semblez avoir beaucoup à raconter et puis, c’est la première fois que je vous vois ici. Ça serait dommage »
Lucy était du genre physionomiste et elle était certaine de ne l’avoir jamais vu. Elle se retourna alors et décida d’aller prendre la direction de la taverne, elle n’était pas officiellement rouverte, mais c’était là-bas qu’on était le plus susceptible de trouver à boire. Et il y aurait Vaughn pour intervenir s’il y avait un problème. L’un comme l’autre était des dragueurs à priori, mais le barman était plus beau !
Elle referma son sac avant de saisir la main « secourable » de l’étranger. Une fois sur pied, elle reprit la parole, il en faudrait plus pour la déstabiliser et elle tenait vraiment à avoir ce tissu rouge alors elle allait jouer le jeu. : « Je m’appelle Lucy, et vous ? » Il lui restait encore ses objets à échanger et, au pire, elle pourrait toujours jouer de ses charmes ? Une petite danse était souvent efficace pour convaincre les clients. Mais elle garderait ça en dernier recourt, avant, elle tenterait de lui vendre les revues et l’herbe.
« Ecoutez… si ces revues vous plaises, on peut peut-être s’arranger. Ce tissu, contre ces magasines à faire « bander un mort ». Et, si ça peut vous aider à choisir… un peu d’herbe en cadeau ? » Dit-elle en souriant et en montra le petit pochon de beuh. C’était certainement ce qu’elle avait de plus précieux à lui proposer après sa peau et ses mouvements. Elle recula d’un pas en observant le tissu… il serait tellement parfait, tellement de belles tenues. Elle regarda alors l’homme et pencha la tête en souriant : « Puis… peut-être pourrions-nous… prendre un verre, discuter un peu, apprendre à se connaitre. Vous semblez avoir beaucoup à raconter et puis, c’est la première fois que je vous vois ici. Ça serait dommage »
Lucy était du genre physionomiste et elle était certaine de ne l’avoir jamais vu. Elle se retourna alors et décida d’aller prendre la direction de la taverne, elle n’était pas officiellement rouverte, mais c’était là-bas qu’on était le plus susceptible de trouver à boire. Et il y aurait Vaughn pour intervenir s’il y avait un problème. L’un comme l’autre était des dragueurs à priori, mais le barman était plus beau !
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Re: Ash remain [Ashton et Lucy]
Lun 1 Juin 2020 - 3:07
C'te fille était vraiment bizarre, elle d'vait être défoncé aux opioïdes ou un truc du genre parce qu'elle l'regardait comme si j'débarquais d'une autre galaxie alors qu'aux dernières nouvelles c'tait elle qui v'nait d'se jeter sur moi pour m'agresser littéralement. Surtout qu'elle réagit pas comme les autres d'habitude quand j'me permet c'genre d'commentaires alors j'la dévisage, bordel d'merde, est-ce que c'une punition d'Dieu d'm'envoyer une rousse folle pour m'poignarder la bite ou un truc d'ce genre ? Elle m'dit même merci et c'moi qui d'vient perdu, j'ai pas l'habitude d'ce genre de choses, j'ai presque envie d'm'excuser et d'me barrer pour éviter d'continuer à lui parler, normalement elle aurait dû déjà avoir essayé d'me tuer une cinquantaine d'fois dans sa tête et elle avait l'air juste sympa, c'tait clairement c'genre de filles sociopathes qu'on voyait dans l'film et qui suivait des beaux bruns comme lui jusqu'à c'qu'elle provoque une rencontre et tout c'genre de trucs de gens dérangés. "Euh... ouais ?" J'sais pas trop quoi dire d'plus quand elle m'dit qu'c'pas courtois, j'essaye d'remettre bien mon haut et mon jean. "C'plus courtois si j'le dis en étant mieux habillé comme ça ?" J'suis pas très doué pour c'genre d'choses moi, j'sais pas trop être courtois, j'aurais du d'mander à Elrik d'me faire un briefing sur l'femmes du No Man's Land, j'étais pas prêt à c'genre de choses.
Elle prend ma main, s'relève, elle est plutôt jolie, j'veux dire pour c'qu'Elrik m'a décrit comme un endroit d'solitaires, j'm'attendais à trouver plus de bouseux qu'ça. Elle m'donne son prénom, c'Lucy, donc, comme Lucy Liu la japonaise qui fait des cascades comme Bruce Lee dans l'film à la con qu'son père r'gardait parfois quand il tait gosse, un truc comme Kill Bill, j'sais pu c'que c'était exactement. Mais faut qu'j'me présente alors j'essaye d'être courtois. "J'm'appelle Ashton, c'est pas mal comme prénom Lucy, j'essayerais d'm'en rappeler la prochaine fois qu'on s'verra." Y aura sûrement pas d'prochaine fois pis j'aurais sur'ment oublié qui c'était mais bon, elle a dit qu'fallait être courtois et moi j'veux pas faire peur aux autochtones, on m'a dit d'faire attention parce qu'si j'me met à dos certaines personnes, ça peut mal finir entre l'camp et eux, pis j'ai pas envie d'remonter encore des murs avec Joey même si j'l'aime bien, j'suis pas maçon et j'ai pas envie d'me faire chier à apprendre pour l'devenir alors en attendant, j'reste gentiment calme avec elle pis j'garde toutes mes pensées et tous mes commentaires, j'suis en affaires là pour qu'elle m'foute la paix et qu'j'rentre fissa au camp m'faire tailler une p'tite pipe par Elrik parce qu'j'aurais fais tout ce qu'il fallait et bien.
Elle m'parle d'revues qui sont tombés d'son sac et j'la dévisage, surtout quand elle m'propose d'l'herbe. Merde, on m'avait dit qu'les dealers étaient douées mais d'là à d'venir des rousses avec un joli cul pour écouler leur stock c'tait vraiment vicieux c'genre de tactique, ça pourrait presque marcher si j'étais pas entraîné mental'ment sur l'fait que tous les gens ici étaient sur'ment des enculés alors j'la laisse me proposer avant d'faire non d'la tête. "Sont pas pour moi ces choses-là, garde'c'que t'as pour t'envoyer au nirvana, moi j'suis pas intéressé." Pis, si j'veux voir des boobs en vrai j'demande à Elrik d'soulever son t-shirt vu l'poids qu'il fait y doit faire du 95D au moins, j'suis presque sûr qu'j'peux y mettre un nouveau né pour y téter, tiens faudrait qu'j'essaye sur la fille d'Andrea. Mais elle m'propose d'prendre un verre, j'réfléchis un peu, j'peux p'têt faire un détour en f'sant attention, pas trop boire et ramener l'truc, en plus en ayant passé du temps avec d'la bonne compagnie, j'serais un héros pour tout l'fort. "L'idée m'déplaît pas mais c'pas la peine d'essayer d'me la faire à l'envers, j'reste avec le rouleau." Pis j'me méfie, j'ai pas envie d'me faire avoir dans un guet-appent quand même. "Pis franch'ment, t'es assez mignonne pour pas avoir b'soin d'ce que t'as dans les poches alors rentre chez toi, roule toi un joint à la limite et trouve toi un beau gars à tirer, enfin moi j'dis ça qu'pour toi, j'pense qu't'as pas b'soin d'un magasine d'ce genre enfin.. t'es bien roulée quoi." T'fais vraiment trop d'efforts pour lui dire qu'tu veux pas qu'elle soit là mais bon, t'as pas trop l'choix si tu veux pas t'mettre à dos n'importe qui.
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Re: Ash remain [Ashton et Lucy]
Lun 1 Juin 2020 - 11:02
Lucy ne laissa rien paraitre mais la réaction de l’homme la fit tiquer. Il fit genre de se rhabiller… sauf que ce n’était pas du tout ce qu’elle entendait par courtoisie ! Elle parlait de son langage, de sa diction, de son vocabulaire. Le tout laissait franchement à désirer… mais tous n’étaient pas comme elle. Juger ne servirait à rien, elle se contenta de sourire encore et toujours : « Je suis enchanté de te rencontrer Ashton. » Elle l’entraina alors jusqu’au bar de la cage, enfin bar, c’était surtout un endroit qui vendait des bouteilles à un prix exorbitant et puisqu’Ash n’en voulait pas, elle échangea ses revues contre une bouteille de tequila.
La rousse réfléchit à un moyen de racheter les rouleaux car l’autre ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire. Lucy réalisa avec un peu de retard qu’elle était en train de réfléchir à comment le manipuler pour le pousser à lui céder le tissu… elle devenait comme Oxana en fait ! Se passant la main dans les cheveux, elle tenta de mettre un peu en avant sa féminité, puis qu’il ne cessait de lui rappeler qu’elle était belle… avec ses mots à lui. Encore une fois elle ne dit rien, c’était un peu amusant de le voir imaginer des expressions. Puis il en fallait bien plus pour l’atteindre, même si Johanna ou Amalia aurait déjà certainement réagit à tout ça.
Pour commencer son approche, elle lui passa la bouteille : « Ce tissu ne serait pas pour moi non plus, j’ai ai absolument besoin pour mes amies et pour moi. C’est essentiel pour nous d’en trouver du comme ça, ça fait des semaines que je cherche ! » Commença la rousse en prenant une voix douce et en posant ses grands yeux bleus dans ceux d’Ashton. Comme si elle n’avait pas entendu ce qu’il lui avait proposé. Prenant à son tour la bouteille, elle en bu une toute petite gorgée, simulant pourtant une belle descente. Tout un art qu’elle utilisait avec ses clients, pas folle la rousse. Puis, grimaçant, elle posa la bouteille entre eux : « Je ne fume pas Ash, c’est une monnaie d’échange, c’est pour ça que je te le propose, si je rentre bredouille, je ne vais pas fumer pour me trouver un mec à « sauter ». Déjà, je ne couche pas avec n’importe qui, il faut qu’il m’intéresse. »
Elle lui lança un regard entendu, le genre de regard qu’elle lançait à ses clients, que Johanna lançait aux siens. Celui qui faisait penser à ces hommes qu’ils étaient unique : « Mais dis-moi, tu viens d’où comme ça Ash, c’est la première fois que je te vois ici, je suis curieuse ! T’es tout seul ?»
La rousse réfléchit à un moyen de racheter les rouleaux car l’autre ne semblait pas vouloir lâcher l’affaire. Lucy réalisa avec un peu de retard qu’elle était en train de réfléchir à comment le manipuler pour le pousser à lui céder le tissu… elle devenait comme Oxana en fait ! Se passant la main dans les cheveux, elle tenta de mettre un peu en avant sa féminité, puis qu’il ne cessait de lui rappeler qu’elle était belle… avec ses mots à lui. Encore une fois elle ne dit rien, c’était un peu amusant de le voir imaginer des expressions. Puis il en fallait bien plus pour l’atteindre, même si Johanna ou Amalia aurait déjà certainement réagit à tout ça.
Pour commencer son approche, elle lui passa la bouteille : « Ce tissu ne serait pas pour moi non plus, j’ai ai absolument besoin pour mes amies et pour moi. C’est essentiel pour nous d’en trouver du comme ça, ça fait des semaines que je cherche ! » Commença la rousse en prenant une voix douce et en posant ses grands yeux bleus dans ceux d’Ashton. Comme si elle n’avait pas entendu ce qu’il lui avait proposé. Prenant à son tour la bouteille, elle en bu une toute petite gorgée, simulant pourtant une belle descente. Tout un art qu’elle utilisait avec ses clients, pas folle la rousse. Puis, grimaçant, elle posa la bouteille entre eux : « Je ne fume pas Ash, c’est une monnaie d’échange, c’est pour ça que je te le propose, si je rentre bredouille, je ne vais pas fumer pour me trouver un mec à « sauter ». Déjà, je ne couche pas avec n’importe qui, il faut qu’il m’intéresse. »
Elle lui lança un regard entendu, le genre de regard qu’elle lançait à ses clients, que Johanna lançait aux siens. Celui qui faisait penser à ces hommes qu’ils étaient unique : « Mais dis-moi, tu viens d’où comme ça Ash, c’est la première fois que je te vois ici, je suis curieuse ! T’es tout seul ?»
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Re: Ash remain [Ashton et Lucy]
Jeu 4 Juin 2020 - 1:18
Plus ça va moins j'sais trop quoi pensé d'elle, l'est bizarre, j'veux dire pas bizarre dans l'sens mauvais du terme comme l'aut'rouquin qu'j'vais rencontré, elle est juste bizarre dans l'sens où j'sais pas trop c'qu'elle pense et c'qu'elle fout là. Surtout qu'elle d'vrait bien avoir compris qu'j'lui demande pas trop son avis sur l'fait qu'ou non j'allais lui filer du tissu parce qu'elle aurait rien d'toute façon, j'étais bien décidé à ramener ça chez moi pis à c'qu'elle m'foute la paix fissa parce que j'avais plus peur d'Elrik qu'j'pouvais avoir envie d'lui faire quoique ce soit. J'passe ma main le long du tissu pour l'mettre sur l'côté sous mon bras, elle va p'têt comprendre qu'j'suis pas disposé à être gentil avec elle et à lui filer un truc important pour l'camp. Elle m'dit qu'elle était enchanté d'me rencontrer et la seule réponse qu'j'ai envie d'dire c'est que moi aussi mais qu'fallait faire fissa si elle voulait prendre un verre avec le beau garçon avant qu'c'lui-ci s'tire pour éviter qu'on l'tire dans la tête en plein force de l'âge mais j'fis ma route avec elle sans ajouter quoiqu'c'soit. Arrivé là-bas, la p'tite rousse échangea les revues qu'elle avait sur elle, Dieu seul savait pourquoi sûr'ment, contre une jolie p'tite bouteille d'Tequila qu'était déjà bien plus motivante pour braver les interdits d'Elrik.
J'la dévisageais quand elle s'touchait les cheveux, j'étais pas complètement con non plus, même si j'aimais bien l'spectacle elle m'avait assez parler des rouleaux pour qu'j'sache c'qu'elle voulait. Elle m'tendit la bouteille et sans chercher, j'la pris pour en boire l'contenu, c'était pas incroyable mais c'était déjà ça, j'étais pas un grand fan de certains alcools et la Tequila en f'sait parti mais bon, quand une jolie fille t'offre un verre tu fais pas ta mijaurée pis tu bois. D'autant qu'elle s'met à m'parler de ses amies qui aurait besoin de ce tissus alors j'la dévisage. "C'est l'apocalypse, j'suis pas sûr que t'es b'soin d'beaucoup de tissus comme ça surtout si tu restes dans l'coin." J'veux dire la mode c'était plutôt d'ressembler à un clodo qu'à une star de la mode par ici, enfin c'était l'impression qu'ça donnait en tout cas. J'lui rendis sa bouteille et en la regardant boire, j'fus impressionné, c'te fille avait pas une descente de p'tite garce, elle descendait l'alcool comme un homme, elle descendait même sûr'ment l'alcool plus comme un homme qu'Elrik pouvait l'faire. Elle m'annonce ensuite qu'c'est une monnaie d'échange et qu'elle saute pas n'importe qui alors j'hausse les épaules. "Moi j'm'en fous, c'pour toi, j'te dis juste d't'amuser." Moi, j'm'amusais déjà bien à outrepasser les règles d'Elrik, ça m'suffisait.
Pis j'vis son regard et j'sais pas pourquoi, j'lâchais naturellement un : "Oh". J'avais pas compris l'sous-entendu sur l'premier coup mais vu comme elle m'regardait, l'chemin se fit sans problème jusqu'à ma tête. J'regardais un peu ailleurs sur l'coup avant d'répondre à la rousse. "J'suis pas d'là." Mes yeux s'remirent sur elle. "J'viens d'un camp d'gens qui vivent ensembles t'vois, des gens libres." J'passe ma main sur l'goulot d'la bouteille avant d'prendre une gorgée et d'la reposer. "Pas qu'vous soyez pas libre hein, c'juste que chez nous, c'pas aussi euh.." J'cherche mes mots un peu. "J'veux dire y a moins d'business un peu limite quoi." J'suis pas sûr qu'elle comprenne c'que j'veux dire mais bon en même temps, j'm'en fous un peu de ce qu'elle pense. "Et toi, tu fais quoi ici ? J'veux dire mise à part essayer d'voler du tissus à d'beaux garçons" J'm'auto-complimente mais bon, j'fais c'que j'veux t'façon.
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Re: Ash remain [Ashton et Lucy]
Jeu 4 Juin 2020 - 21:03
Cet homme était définitivement obtus et semblait presque impossible à faire changer d’avis avec des arguments rationnels. Mais la rousse espérerait vraiment pouvoir le faire changer d’avis, il devait changer d’avis ! C’était important pour son égo personnel maintenant de le faire céder et de lui vendre ce tissu. Bien évidemment, elle ne montra pas son agacement, restant douce et avenante avec lui. Pour le moment, elle se refusait simplement à se laisser aller à des arguments plus… physiques. Tant qu’elle pouvait éviter de marchander ses charmes ou ceux de ses collègues, elle le ferait et s’en porterait ainsi mieux.
Radieuse, du moins en apparence, se laissant flotter par la saveur piquante de la tequila et par la caresse de ses cheveux sur sa propre peau, Lucy lança un regard entendu à l’homme, bien décidée à lui faire changer d’avis : « Mais dis-moi, comment tu pourrais savoir si j’ai réellement besoin ou non de ce tissu Ash’ ? Tu ne me connais pas, tu ne sais pas qui se suis, ni ce que je fais dans la vie… Et j’ai envie de te répondre, en quoi ce serait essentiel que tu ramènes ce tissu dans ton groupe ? » La réponse serait certainement bafouillante, car à moins qu’il ne travaille également dans un bordel, comme il disait, personne n’avait besoin de satin rouge.
L’autre lui parla alors de l’endroit où il venait, un endroit avec des gens libres ? C’était une façon étrange de parler de son groupe, la rousse le regarda perplexe, mais le laissa parler sans l’interrompre. Il n’avait pas tort en disant qu’ici tout n’était que business, surtout avec Oxana, qui ne réfléchissait que profits et pertes. Puis finalement, il lui demanda enfin ce qu’elle, Lucy, faisait dans la vie ! La rousse réfléchit une seconde avant de poser une main douce sur l’avant-bras de son cadet, car il était visiblement plus jeune qu’elle, maintenant qu’elle faisait attention aux traits de son visage… pas moche en plus, mais il fallait certainement qu’il se taise. Ça gâchait vraiment tout. « Je travaille dans un lieux… pour les hommes, avec ces tissus on aimerait beaucoup se faire de jolies vêtements doux et… » Elle montra ses jambes, comme pour illustrer son propos : « beaux pour recevoir nos clients, c’est une question de survie pour nous. Tu comprends ce que je te dis ? »
Radieuse, du moins en apparence, se laissant flotter par la saveur piquante de la tequila et par la caresse de ses cheveux sur sa propre peau, Lucy lança un regard entendu à l’homme, bien décidée à lui faire changer d’avis : « Mais dis-moi, comment tu pourrais savoir si j’ai réellement besoin ou non de ce tissu Ash’ ? Tu ne me connais pas, tu ne sais pas qui se suis, ni ce que je fais dans la vie… Et j’ai envie de te répondre, en quoi ce serait essentiel que tu ramènes ce tissu dans ton groupe ? » La réponse serait certainement bafouillante, car à moins qu’il ne travaille également dans un bordel, comme il disait, personne n’avait besoin de satin rouge.
L’autre lui parla alors de l’endroit où il venait, un endroit avec des gens libres ? C’était une façon étrange de parler de son groupe, la rousse le regarda perplexe, mais le laissa parler sans l’interrompre. Il n’avait pas tort en disant qu’ici tout n’était que business, surtout avec Oxana, qui ne réfléchissait que profits et pertes. Puis finalement, il lui demanda enfin ce qu’elle, Lucy, faisait dans la vie ! La rousse réfléchit une seconde avant de poser une main douce sur l’avant-bras de son cadet, car il était visiblement plus jeune qu’elle, maintenant qu’elle faisait attention aux traits de son visage… pas moche en plus, mais il fallait certainement qu’il se taise. Ça gâchait vraiment tout. « Je travaille dans un lieux… pour les hommes, avec ces tissus on aimerait beaucoup se faire de jolies vêtements doux et… » Elle montra ses jambes, comme pour illustrer son propos : « beaux pour recevoir nos clients, c’est une question de survie pour nous. Tu comprends ce que je te dis ? »
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